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| Tinck, Jean-Marie | |
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+41Ben sinope stoukette69 dcmetro gypsy RAFTON Belgium10point perplexe larsan Boemerang aga chris tafff luanda FAITESVITE Cusmenne Claude romeo Henry CQB241 Hoho bernard1957 Et In Arcadia Ego ginlo dislairelucien K pami75 Saint Val alain signor HERVE thiry michel malvira soldat inconnu totor Hubert Bonisseur de La Ba Robert du Bois dim CS1958 Frédéric bernarddeboussu 45 participants | |
Auteur | Message |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 17:53 | |
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Dernière édition par K le Dim 29 Juin 2014 - 13:26, édité 1 fois |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 17:59 | |
| - K a écrit:
- non vous fantasez j'ai pas ecrit cela
j'ai écrit que des gens qui l'ont connu que j'ai rencontrer là ne l'ont pas vu depuis des lustres !
merde alors j'efface le message. Aïe K, ça tourne mal pour vous... Privé de forum pendant 1 heure.... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 18:06 | |
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Dernière édition par K le Dim 29 Juin 2014 - 13:26, édité 1 fois |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 18:24 | |
| - K a écrit:
- bon vu au fait que je pense que tinck est un mythomanne je pense de savoir ou il a ramasser ses histoires
il venait donc ds le cafe "Antique" rue Joseph HASARD mais cela est en 1988 +
pe il venait avant dans d'autres cafe du coin car
c'est ala hauteur du rue vanderkindere 473-475 et qqs centauines de metres plus loin en 1982 donc devait y avoir La mandarine voir les anciens messages de shadow :
- Citation :
- Sujet: Re: Carnet de balles (Michel Jaspar) Jeu 7 Fév 2008 - 17:29 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant
undercover a écrit:Mmm... Dubitatif undercover, je comprends mais c'est bien ainsi que se sont passées les choses. Encore un détail : Jean Bultot fréquente à partir de 1983 un établissement dans le haut d'Uccle: La Mandarine tenu à l'époque par un certain Claude (qui, plus tard, fera un peu de télévision sur la RTBF).
Cet établissement au demeurant sympathique est devenu en l'espace de moins de deux ans le repère, à la fois du "personnel" du Jonathan et d'une partie de sa clientèle mais aussi des membres du club de tir de Jean Bultot.
- Citation :
- La Mandarine, Rue Vanderkindere, à la moitié de cette longue rue presque à la perpendiculaire du square d'Arezzo
.
probablement a la hauteur du Midas donc n°442 c'est à peine 300 mètres de là
et ds cette longue rue habitais aussi MARBAIS mais où et si je me trompe pas il y aussi un garage de
mais je ne trouve plus l'info
donc tout laisse à croire que il a visité de lieux où on peut avoir jaser beaucoup sur ces affaires en cet époque là
cela reste un mythomane pour moi Et le détail ( probablement tir bout portant) en ce qui concerne la petite Nijse ? |
| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 18:27 | |
| Post du membre Auliffe Sam 12 Mai 2007 - 18:10 : - Citation :
Mardi 8 novembre 1994 (No 260) dans Le Soir (...) Lucien Marbaix a été tiré du lit chez son amie, au 395 rue Vanderkindere à Uccle. Il était en possession de la seule arme de poing pour laquelle il avait une autorisation, et qu'il porte sur lui en permanence, parce qu'il se sent menacé, a-t-il indiqué. Il a suivi les policiers sans difficulté jusqu'à l'appartement qu'il louait à son nom, deux maisons plus loin, au 387. Là, on a saisi, outre la documentation de Marbaix, de nombreuses caisses de munitions: environ 5.000 cartouches de tous calibres. Dans le lot, des munitions explosives, des balles à têtes creuses. Et des armes blanches: nunchaku, poings américains, matraques, crans d'arrêt et le redoutable assommoir à poinçon recourbé figurant sur notre photo. Des croix gammées, celtiques, des emblèmes de la SS... https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t635-marbaix-lucien--- Juste à côté de la Mandarine et moins de 50m du Champlain. |
| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 18:34 | |
| Pour mémoire: - K a écrit:
- peu de choses ici sauf
- Citation :
- Lors de cette descente, la BSR a pris des photos des constatations effectuées dans la cave.
Le cadavre n'était évidemment plus présent. On découvrit un document pouvant être utile à l'enquête: il s'agissait d'une lettre non datée et signée du prénom « Christian".(remarque :>>> Elnikov ????)
Il s'agissait d'une circulaire envoyée par ce Christian à plusieurs membres du WNP et qui souligne un malaise existant au sein de cette organisation.
Le juge d'instruction Schlicker n'a procédé à aucune enquête sur l'origine, la signification et la portée de cette lettre. Une enquête a cependant été menée par le juge d'instruction Lyna dans le cadre du dossier du double meurtre de la rue de la Pastorale.
Il s'est avéré que cette lettre avait été écrite par Christian Elnikoff en vue de provoquer la convocation d'une réunion afin d'évaluer le degré de fiabilité des principaux membres du WNP après les arrestations de Marcel Barbier, Eric Lammers et Michel Libert en septembre et octobre 1983.
Cette circulaire a été envoyée alors que Latinus était encore en vie et il était l'un des destinataires.
Cette réunion, qui se voulait secrète, a eu lieu le 26 mai 1984 - un mois après la mort de Latinus au domicile du 1er Maréchal des logis de la gendarmerie Lucien Marbaix, membre du WNP.
Les membres du WNP dont les noms suivent assistaient à cette réunion: Lucien Marbaix et son épouse, Christian Elnikoff et son amie, Marc De Jode, Jean-Louis Nemry, Frédéric Saucez et Marcelle Gobert
....et
Cette enquête n'a pas permis d'élucider de façon substantielle l'affaire du décès de Latinus ni celle du double meurtre de la rue de la Pastorale. Elle a cependant révélé qu'il y avait, au début de 1984, de fortes tensions au sein du WNP entre deux clans qui s'étaient progressivement formés : d'une part, les par- tisans de Paul Latinus, à savoir Charles Delom- baerde, Frédéric Saucez et Jean-Louis Nemry, qui avaient fait, dans le cadre de l'instruction, des décla- rations accablantes à charge de Marcel Barbier et Eric Lammers, et, d'autre part, ceux qui se rangeaient aux côtés de Michel Libert, libéré le 24 janvier 1984, à savoir Christian Elnikoff, Marc De Jode et Lucien Marbaix, qui avaient pris la défense de Marcel Bar- bier et d'Eric Lammers. Le deuxième groupe con- sidérait le premier presque comme des traîtres.
Cette enquête n'a cependant pas permis de prouver que des membres du WNP étaient impliqués dans l'affaire de la mort de Latinus.
Apparemment, le juge d'instruction de Bruxelles n'a pas informé le juge d'instruction Schlicker de Nivelles de cette enquête.
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| | | alain
Nombre de messages : 1586 Date d'inscription : 10/08/2010
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 19:31 | |
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Dernière édition par alain le Dim 20 Juil 2014 - 20:33, édité 1 fois |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:00 | |
| - CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- K a écrit:
- Le propriétaire français de la friterie a donc menti
enfin qqun qui pense au début
il ai pas vu depuis par des gens qui le connaissent et travaillent ds le port de plaisance de Ittre
Dans la nuit du samedi 10 novembre au dimanche 11 novembre 1985, Ronquières, au lieu-dit "Large de Fauquez", un témoin, Frank O. aperçoit deux véhicules stationnés sur le chemin de halage.
Une manipulation ni avérée ni exclue (28/02/2013) Gilbert Dupont Le mystère s’épaissit après des révélations sur des pièces à conviction repêchées du canal. le procureur fait état d’analyses sur les sacs-poubelle ayant contenu les armes et sur des chèques trouvés dans le canal. C’est une nouveauté : les chèques – ceux des Delhaize d’Overijse et Braine-l’Alleud – n’ont pas été retrouvés dans le canal en aval de Ronquières mais dans les bois de Ronquières, dits bois de La Houssière, au lieu-dit Mon Idée. On apprend donc ainsi que des chèques de la tuerie suivante, celle d’Alost, ont été retrouvés ceux-là avec les armes dans le canal, avec le baby coffre, comme après un séjour dans l’eau d’un à deux mois alors qu’ils auraient dû être au moins six fois plus abîmés, réduits en bouillie. Personne n’a de réponse. Mais un fait est indiscutable : au moins deux témoins ont vu les tueurs jeter des objets à cet endroit dans le canal la nuit du 10 au 11 novembre 1985, nuit suivant celle de la tuerie d’Alost. Ces témoins sont formels. Il n’y a aucune raison de douter. C’est même grâce à eux que tout a finalement été repêché au deuxième essai à Ronquières, en novembre 1986. Alors ? Alors ou bien les tueurs ont jeté le baby coffre avec les chèques et le reste le 10 novembre 1985, l’ont récupéré puis l’ont rejeté dans le canal en septembre ou octobre 1986, ce qui est absurde, ou bien les tueurs qui avaient oublié de jeter le petit coffre en 1985 sont revenus en 1986 et l’y ont jeté au même endroit et c’est à peine moins absurde.
C’est l’exploitation d’un procès-verbal (notice : 2.420) de novembre 1985 dans lequel un témoin affirmait à l’époque avoir vu des gens se débarrasser de “quelque chose à cet endroit”. ALAIN MOUSSA DEUX JOURS EN CAVALE
HAQUIN,RENE
Mercredi 31 octobre 1990
C'est par ailleurs dans le cadre de l'enquête du juge d'instruction Troch sur la «bande de Baasrode» que le magistrat obtint, en 1986, une petite information sur des armes «chaudes» abandonnées quelque part au fond d'un canal, dans la région de Ronquières. Cette information fut recueillie dans l'entourage de Moussa et d'un coïnculpé, Nicolas Karasilis, et permit, on s'en souvient, la découverte en novembre 1986 des deux sacs contenant les restes des armes utilisées pour les tueries du Brabant.
Coordonnées ?
Facebook https://facebook.com/karafilis.nicolas
2014-06-07 11:22 North EndLid Re: Nicolas Karafilis Robotfoto nummer 23?
Index forum BVN » Bende De Staerke » Nicolas Karafilis
Nicolas Karafilis probeerde zelfmoord te plegen toen de Deltacel hem wou ondervragen over de wapenvondst bij Alain Moussa. Hij bevestigde de aanwezigheid van Philippe De Staerke in Aalst. Die zou een donkergrijze gespikkelde overjas hebben gedragen en die begin 1986 samen met andere kledij gedumpt hebben in het kanaal Brussel-Charleroi ter hoogte van het slachthuis van Anderlecht.
Deze bekentenis was sensationeel. Karafilis kwam meteen op vrije voeten. Nicolas Karafilis wordt omschreven als één van de beste vrienden van Philippe De Staerke.
Over de wapenvondst bij Moussa:
Bij Moussa werden een grijze jas en een patroongordel gevonden. Een paar getuigen in Aalst zagen een van de daders met eendezelfde uitrusting. Bij Moussa vond men nog springstoffen, militaire kledij en riotguns die hij was gaan halen in een garagebox van De Staerke in de buurt van de Barrière in Sint-Gillies. Toen men Johnny hiermee confronteerde, riep hij uit: "Je suis perdu, j'ai été choisi sur base de mon dossier."
De Griekse medeplichtige Nicolas Karafilis, die samen met Philippe De Staerke in de gevangenis van Doornik had gezeten en er zijn postje als aardappelschiller aan Johnny te danken had, sloeg bij zijn arrestatie in de doorgangsgevangenis van Anderlecht zijn horloge stuk en probeerde met een glasscherf zijn polsen door te snijden, op de verkeerde manier, horizontaal. Toen hij gevonden werd in een enorme plas bloed, was hij al bewusteloos, maar hij kon nog gereanimeerd worden.
Ook hij begon te zingen. In februari en maart 1986 had hij een bedrag van omgerekend meer dan 12.000 euro witgewassen voor Johnny. En hij had boxen voor hem gehuurd. Johnny had er vijf besteld, maar hij had er maar twee in gebruik genomen, waarvan De Staerke de sleutel had. Johnny had aan zijn vriendin gevraagd om, als hij zou worden opgepakt, samen met Karafilis een Nissan en een Golf uit de boxen te halen.
Bron: Beetgenomen | Hilde Geens
De morgen online, 16-10-2004 Cela c'est terminé comment pour le "tueur" de la bande? Est-ce qu'il a été touché par balle pendant le dernier "raid" à Alost? [u]Suivant un PV du 12 novembre 1986. Un témoin a indiqué à la justice où les TBW ont largué les armes. Franck O. habitait à l'époque dans une caravane près du canal. La nuit du 10/11 au 11/11/'85 il a été réveillé par un bruit de voitures et des hommes qui parlaient et qui jetaient des sacs dans le canal. Il a d'abord pensé à des malfrats et il dit avoir écouté attentivement ce qu'ils disaient. "J'ai entendu prononcer le mot "Docteur"(...). u] |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:09 | |
| Je n'ai pas (encore) l'article en entier mais il pourrait être intéressant ...
http://www.lalibre.be/actu/belgique/tueurs-du-brabant-l-enquete-reprend-sur-l-homme-a-la-golf-53aafe073570c0e74342e611
Tueurs du Brabant : l’enquête reprend sur l’homme à la Golf
Engels Philippe Publié le mercredi 25 juin 2014 à 18h51 - Mis à jour le mercredi 25 juin 2014 à 18h51
La justice veut creuser à fond "la troisième piste importante". Confrontations en vue ?
(...)
|
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:10 | |
| - CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- CS1958 a écrit:
- K a écrit:
- Le propriétaire français de la friterie a donc menti
enfin qqun qui pense au début
il ai pas vu depuis par des gens qui le connaissent et travaillent ds le port de plaisance de Ittre
Dans la nuit du samedi 10 novembre au dimanche 11 novembre 1985, Ronquières, au lieu-dit "Large de Fauquez", un témoin, Frank O. aperçoit deux véhicules stationnés sur le chemin de halage.
Une manipulation ni avérée ni exclue (28/02/2013) Gilbert Dupont Le mystère s’épaissit après des révélations sur des pièces à conviction repêchées du canal. le procureur fait état d’analyses sur les sacs-poubelle ayant contenu les armes et sur des chèques trouvés dans le canal. C’est une nouveauté : les chèques – ceux des Delhaize d’Overijse et Braine-l’Alleud – n’ont pas été retrouvés dans le canal en aval de Ronquières mais dans les bois de Ronquières, dits bois de La Houssière, au lieu-dit Mon Idée. On apprend donc ainsi que des chèques de la tuerie suivante, celle d’Alost, ont été retrouvés ceux-là avec les armes dans le canal, avec le baby coffre, comme après un séjour dans l’eau d’un à deux mois alors qu’ils auraient dû être au moins six fois plus abîmés, réduits en bouillie. Personne n’a de réponse. Mais un fait est indiscutable : au moins deux témoins ont vu les tueurs jeter des objets à cet endroit dans le canal la nuit du 10 au 11 novembre 1985, nuit suivant celle de la tuerie d’Alost. Ces témoins sont formels. Il n’y a aucune raison de douter. C’est même grâce à eux que tout a finalement été repêché au deuxième essai à Ronquières, en novembre 1986. Alors ? Alors ou bien les tueurs ont jeté le baby coffre avec les chèques et le reste le 10 novembre 1985, l’ont récupéré puis l’ont rejeté dans le canal en septembre ou octobre 1986, ce qui est absurde, ou bien les tueurs qui avaient oublié de jeter le petit coffre en 1985 sont revenus en 1986 et l’y ont jeté au même endroit et c’est à peine moins absurde.
C’est l’exploitation d’un procès-verbal (notice : 2.420) de novembre 1985 dans lequel un témoin affirmait à l’époque avoir vu des gens se débarrasser de “quelque chose à cet endroit”. ALAIN MOUSSA DEUX JOURS EN CAVALE
HAQUIN,RENE
Mercredi 31 octobre 1990
C'est par ailleurs dans le cadre de l'enquête du juge d'instruction Troch sur la «bande de Baasrode» que le magistrat obtint, en 1986, une petite information sur des armes «chaudes» abandonnées quelque part au fond d'un canal, dans la région de Ronquières. Cette information fut recueillie dans l'entourage de Moussa et d'un coïnculpé, Nicolas Karasilis, et permit, on s'en souvient, la découverte en novembre 1986 des deux sacs contenant les restes des armes utilisées pour les tueries du Brabant.
Coordonnées ?
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2014-06-07 11:22 North EndLid Re: Nicolas Karafilis Robotfoto nummer 23?
Index forum BVN » Bende De Staerke » Nicolas Karafilis
Nicolas Karafilis probeerde zelfmoord te plegen toen de Deltacel hem wou ondervragen over de wapenvondst bij Alain Moussa. Hij bevestigde de aanwezigheid van Philippe De Staerke in Aalst. Die zou een donkergrijze gespikkelde overjas hebben gedragen en die begin 1986 samen met andere kledij gedumpt hebben in het kanaal Brussel-Charleroi ter hoogte van het slachthuis van Anderlecht.
Deze bekentenis was sensationeel. Karafilis kwam meteen op vrije voeten. Nicolas Karafilis wordt omschreven als één van de beste vrienden van Philippe De Staerke.
Over de wapenvondst bij Moussa:
Bij Moussa werden een grijze jas en een patroongordel gevonden. Een paar getuigen in Aalst zagen een van de daders met eendezelfde uitrusting. Bij Moussa vond men nog springstoffen, militaire kledij en riotguns die hij was gaan halen in een garagebox van De Staerke in de buurt van de Barrière in Sint-Gillies. Toen men Johnny hiermee confronteerde, riep hij uit: "Je suis perdu, j'ai été choisi sur base de mon dossier."
De Griekse medeplichtige Nicolas Karafilis, die samen met Philippe De Staerke in de gevangenis van Doornik had gezeten en er zijn postje als aardappelschiller aan Johnny te danken had, sloeg bij zijn arrestatie in de doorgangsgevangenis van Anderlecht zijn horloge stuk en probeerde met een glasscherf zijn polsen door te snijden, op de verkeerde manier, horizontaal. Toen hij gevonden werd in een enorme plas bloed, was hij al bewusteloos, maar hij kon nog gereanimeerd worden.
Ook hij begon te zingen. In februari en maart 1986 had hij een bedrag van omgerekend meer dan 12.000 euro witgewassen voor Johnny. En hij had boxen voor hem gehuurd. Johnny had er vijf besteld, maar hij had er maar twee in gebruik genomen, waarvan De Staerke de sleutel had. Johnny had aan zijn vriendin gevraagd om, als hij zou worden opgepakt, samen met Karafilis een Nissan en een Golf uit de boxen te halen.
Bron: Beetgenomen | Hilde Geens
De morgen online, 16-10-2004
Cela c'est terminé comment pour le "tueur" de la bande? Est-ce qu'il a été touché par balle pendant le dernier "raid" à Alost? Suivant un PV du 12 novembre 1986. Un témoin a indiqué à la justice où les TBW ont largué les armes. Franck O. habitait à l'époque dans une caravane près du canal. La nuit du 10/11 au 11/11/'85 il a été réveillé par un bruit de voitures et des hommes qui parlaient et qui jetaient des sacs dans le canal. Il a d'abord pensé à des malfrats et il dit avoir écouté attentivement ce qu'ils disaient. "J'ai entendu prononcer le mot "Docteur"(...). u] FAITESVITE MessageSujet: Re: Témoin des armes dans le canal Lun 27 Déc 2010 - 22:19 "c'est devenu par la suite une baraque à frite mais à l'époque c'était vraiment une simple caravane. Bien sur il est possible qu'ils ne se soient pas aperçu que le témoin dormait dans sa caravane. Mais ce que je cherche à éclaircir c'est si oui ou non les tbw ont fait en sorte que l'on trouve ce qu'ils avaient jeté dans le canal. Certains prétendent qu'ils ont fait çà exprès pour relier 83 et 85, d'autres laissent entendre qu'ils ont laissé un coffre qui provenait d'Alost avec de l'argent pour prouver que çà n'était pas leur mobile, même vous il y a quelques jour vous avez émis l'hypothèse que la date du 11 novembre pour jeter çà dans le canal et donc cloturer les TBW était peut-être un choix délibéré, le jour de la libération. Mais si l'une de ces 3 hypothèses est vraie (rien n'est sur, on est d'accord) c'est qu'ils étaient sur et certains d'être dénoncés. [u]Or tout repose sur ce seul témoignage, toujours dans cette hypothèse je ne vois que 2 cas possibles: - soit les tbws sont responsables des vols commis dans la caravane de Frank O, ils voulaient amener soit la police, soit le propriétaire à surveiller la caravane pour y être surpris. - soit ils ont fabriqué ce témoignage et donc complicité entre le témoins et qq1 de l'environnement des tbw |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:12 | |
| mais c'est pas correcte car en face il y avait une deuxième temoin qui a vu des agissements dixit? de bende pag216
spécialement PV 2420(farde 38)
et un autre : PV 525
Dernière édition par K le Mer 25 Juin 2014 - 20:16, édité 1 fois |
| | | bernarddeboussu
Nombre de messages : 1107 Localisation : BORINAGE Date d'inscription : 05/02/2014
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:15 | |
| @alain: Faisandé? Non, il reste même beaucoup de trucs à vérifier... Beaucoup d'apostilles en perspective! Nous aurons certainement de nouvelles surprises...et c'est tant mieux! |
| | | alain
Nombre de messages : 1586 Date d'inscription : 10/08/2010
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:33 | |
|
Dernière édition par alain le Dim 20 Juil 2014 - 14:45, édité 1 fois |
| | | bernarddeboussu
Nombre de messages : 1107 Localisation : BORINAGE Date d'inscription : 05/02/2014
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:39 | |
| @alain: Bien vrai! Cette piste notamment de la GOLF volée aux Trois Canards et repeinte pour des méfaits... Et aussi de nouveaux indices relatifs aux va-et-vient de Jean-Marie le Solitaire... Enfin, l'important est que ça bouge! |
| | | Hoho
Nombre de messages : 1024 Date d'inscription : 17/10/2010
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 20:44 | |
| |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 21:03 | |
| http://www.lalibre.be/actu/belgique/tueurs-du-brabant-l-enquete-sur-l-homme-a-la-golf-va-reprendre-53aab4ae357059db44c46564
Tueurs du Brabant : l’enquête sur "l'homme à la Golf" va reprendre
Philippe Engels Publié le mercredi 25 juin 2014 à 13h41 - Mis à jour le mercredi 25 juin 2014 à 16h44
La juge d’instruction Martine Michel prend au sérieux les déclarations du témoin X, qui a dit reconnaître le conducteur d’une Golf noire potentiellement impliquée dans les Tueries du Brabant.
Pour rappel, La Libre a retrouvé cet informateur ayant recueilli des confidences et accusant d’anciennes connaissances (lire notre édition du week-end) : l’homme cite les noms de suspects figurant au dossier, mais qui n’auraient pas été interrogés de manière suffisante ni confrontés, en 2002.
« Nous voulons en avoir le cœur net. Nous voulons aller au fond des choses », ont clamé en chœur les procureurs généraux de Mons et de Liège, Ignacio de la Serna et Christian De Valkeneer, chargés de la coordination de cette enquête menacée par la prescription (ce sera le cas dans très exactement 500 jours, sauf allongement probable).
Les magistrats rencontraient, hier, les familles des victimes. Ils ont fait le point sur l’enquête au long cours « qui n’avait jamais connu autant de mouvement ». Ces 20 ou 25 dernières années, en tout cas. Martine Michel et son équipe d’enquêteurs, renforcée dès juillet et passant de 12 à 15 unités, vont réécouter attentivement les déclarations de l’informateur dont l’identité reste secrète pour des raisons de sécurité. Cet informateur affirme qu’il aurait été prié de « tout oublier » par un gendarme venu à son domicile il y a un peu plus de dix ans. Libéré de la peur, il avance de nouveaux détails troublants sur les connections entre les passagers de la fameuse Golf et ceux qui pourraient leur avoir donné une « mission ». De quoi donner du corps à l’une des rares hypothèses évoquées en conférence de presse par les magistrats en charge de ce calvaire pour les familles des 28 victimes recensées : une déstabilisation de l’Etat, via le recours à de simples exécutants.
Car pour l’essentiel, l’enquête se détourne des hypothèses pour se concentrer sur des éléments concrets, relatifs aux trois pistes principales :
Jean-Marie Tinck s’est plutôt bien tiré du test du polygraphe. Le détecteur de mensonge n’a rien décelé de particulier quand le suspect n°1 s’est ravisé en affirmant qu’il n’avait rien à voir avec les Tueurs. Il y aurait toutefois d’autres éléments à charge, méritant d’être analysés. Il est vraisemblable que le ministère public requerra son maintien en détention, lundi prochain.
On saura formellement en août si l’enquête a été manipulée dès ses prémices, en 1986. A 100%, il devrait alors être établi que les sacs bourrés de pièces à conviction et repêchés à Ronquières ont séjourné quelques semaines à peine dans l’eau. Resterait alors à vérifier s’ils ont été balancés sur les indications d’un informateur secret. Et/ou s’il s’agissait d’embrouiller les pistes.
L’enquête sur la Golf noire vue à Landelies, en 1983, redémarrera « dans les prochains mois ». Avec une question sensible, ici aussi : pourquoi cette enquête-là n’a-t-elle été menée qu’à 60 % ?
Dernière édition par HERVE le Mer 25 Juin 2014 - 21:09, édité 1 fois |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| | | | bernarddeboussu
Nombre de messages : 1107 Localisation : BORINAGE Date d'inscription : 05/02/2014
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 21:11 | |
| @CS1958: Mmmmh, vous parlez comme un sphinx, cher ami! De quelle fille est-il donc question? |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 21:16 | |
| http://www.levif.be/info/actualite/belgique/tueurs-du-brabant-acceleration-de-l-enquete-et-3-policiers-supplementaires/article-4000671176882.htm
Tueurs du Brabant : accélération de l'enquête et 3 policiers supplémentaires
Source: Belga mercredi 25 juin 2014 à 13h36
Les procureurs qui diligentent l'enquête sur les tueries du Brabant ont rencontré les proches des victimes mercredi à Charleroi. Ils leur ont appris que trois pistes principales et plusieurs pistes confidentielles étaient actuellement suivies. Vu l'accélération de l'enquête, trois policiers supplémentaires compléteront la Cellule du Brabant en juillet.
Le procureur du roi de Charleroi Pierre Magnien, le procureur général de Liège Christian De Valkeneer et le procureur général de Mons Ignacio de la Serna, accompagnés de deux magistrats du ministère public, ont reçu les proches des victimes des tueries du Brabant mercredi matin. Les autorités judiciaires ont affirmé que trois pistes principales étaient actuellement suivies, ainsi que plusieurs pistes confidentielles.
La première découle de l'arrestation de Jean-Marie Tinck, le 12 mai dernier, à la suite de confidences de ce dernier à un ami français. Un faisceau de présomptions converge vers le suspect, toujours présumé innocent. D'une part, trois personnes l'ont identifié en 1997 sur base des portraits-robots diffusés à l'époque. D'autre part, il avait fait l'objet d'un prélèvement de salive et d'empreintes, sans être entendu, en avril 1999. "L'expertise psychologique menée depuis son arrestation permet d'affirmer qu'il n'est pas considéré comme un affabulateur", explique Christian De Valkeneer. "Nous tenons compte également de son passé judiciaire chargé, faisant état de violences graves envers des personnes. Par ailleurs, l'expertise ADN effectuée sur les traces retrouvées sur le chauffeur de taxi abattu à Mons n'a pas permis d'établir une concordance positive avec le profil de Jean-Marie Tinck mais que celle-ci ne peut être exclue. Enfin, le rapport du test polygraphe n'est pas encore rentré, mais il apparaît que lorsque l'on demande s'il a participé aux tueries, le suspect répond par la négative sans que cela n'apparaisse mensonger".
La deuxième piste suivie par les enquêteurs concerne la découverte en 1987 de deux sacs dans le canal de Ronquières. Ceux-ci contenaient des preuves relatives à plusieurs attaques mortelles. Grâce aux analyses effectuées par l'INCC, il est désormais quasi certain que ces sacs n'ont pas séjourné une année dans l'eau, mais probablement un cours laps de temps. Christian De Valkeneer évoque à ce propos une possible manipulation de l'enquête, d'autant que ces deux sacs font le lien entre les deux vagues des tueries, totalement différentes dans leur perpétration. "La deuxième vague concerne des tueries aveugles qui font penser à une déstabilisation de l'Etat ou du terrorisme. La première est beaucoup plus atypique et cible des personnes en particulier", remarque le procureur général de Liège.
Enfin, la troisième piste concerne la Golf volée au restaurateur des "Trois Canards", assassiné par les tueurs du Brabant. Cette voiture, semble-t-il, a pu être repeinte pour servir à d'autres faits.
Selon les cinq magistrats en charge du dossier, l'enquête connaît actuellement un grand coup d'accélérateur et de nombreux témoignages parviennent pour l'instant aux enquêteurs. Vu cette accélération, la Cellule du Brabant a obtenu l'octroi de trois enquêteurs supplémentaires qui débuteront leur travail dès le 1er juillet, portant à 15 le nombre de policiers qui investiguent sur ce dossier.
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| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| | | | bernarddeboussu
Nombre de messages : 1107 Localisation : BORINAGE Date d'inscription : 05/02/2014
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Mer 25 Juin 2014 - 22:22 | |
| @CS1958: Bravo! Excellents calembours! Bonne fin de soirée! |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Jeu 26 Juin 2014 - 0:25 | |
| - michel a écrit:
- Un de nos membres qui a perdu son mot de passe (Deparis) me fait parvenir la réflexion suivante :
Juste une réflexion en passant.
Il semble établi (ou du moins très probable) que le 9 novembre 1985 l'agent Eddy Nevens ait tué le géant quelques minutes après le raid du Delhaize d'Alost. Le témoignage fait par Philippe/Aigle4 à la CBW va dans ce sens (corps à même le sol à l'arrière de la Golf des tueurs dans le bois de la Houssière).
Par ailleurs, on sait que ces mêmes tueurs, dans la nuit du 10 au 11 novembre 1985, se sont débarrassés d'une partie de leur arsenal et de leur butin au "Large de Fauquiez" (Ronquières).
Autrement dit : dans l'eau.
Or :
1 - on a retrouvé (sauf erreur de ma part) un ticket de train Bruxelles-Ostende (un port donc) ; 2 - on a jamais retrouvé le corps du géant à terre en dépit de fouilles poussées ; 3 - Jean-Marie TINCK (qui n'est que suspect) est marin ; 4 - On pouvait lire ceci le 18 mai 2014 sur le site www.lacapitale.be : Dans le quartier, l’homme de 67 ans, est surnommé « le marin ». « C’est un véritable passionné de marine. Il allait souvent à Ostende d’ailleurs (…) », confie un autre membre du voisinage.
Puisque les TBW ont balancé leur matériel dans l'eau, que penser de l'hypothèse selon laquelle le corps du géant ait été balancé en mer ? Blijkbaar was een zekere Thierry Senterre lid van de Zeemacht, 55 jaar oud in februari 2010. De leeftijd is dus alvast dezelfde als de 'naamgenoot' van wie hierboven sprake. Deze Thierry Senterre was officieel tussen 1975 en 2010 gekazerneerd in... Oostende (!). Oostende is niet minder dan een sleutelstad in het hele Bende-dossier. Onder meer Bruno Vandeuren werd er vermoord, en andere interessante figuren waren gekazerneerd bij de Zeemacht in Oostende. Bende van N. forum 2014-02-25 11:39 Aubanel |
| | | Robert du Bois
Nombre de messages : 686 Date d'inscription : 18/11/2013
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Jeu 26 Juin 2014 - 1:29 | |
| - Et In Arcadia Ego a écrit:
- @pami75: il s'agit sans doute de la personne dont il est question dans ce post de 'shadow':
- shadow a écrit:
- Il y avait un troquet au début de la Rue Vanderkindere, à partir de la chaussée de Waterloo, (qui faisait le coin de la rue Hazard) où se retrouvait une partie de la jeunesse uccloise. Ce bistrot (je ne me souviens plus du nom) était pourvu d’une salle au sous-sol dans laquelle se trouvaient un baby-foot et une pompe à bière. L’établissement était tenu par un couple habitant le brabant wallon. Lui se prénommait Michel et avait dans son temps travaillé comme VRP pour un fabricant de glace et de produits congelés (Motta ou Frima ?). Avant de reprendre ce bistrot, Michel était un client régulier de la Mandarine tenue par Claude Genty (ami de Pierre Paul de Rycke et plus tard claqueur à la RTBF). Jean-Marie Tink était un client très régulier puisqu’il vivait au-dessus de l’établissement avec un jeune homme d’une vingtaine d’années. Il était perpétuellement affublé d’une espèce de béret marin. Il n’avait pas d’activité professionnelle. Assez grand et très carré. C'était un très bon joueur de poker menteur, en réalité, redoutable ! Lorsqu’il perdait, tout le monde se mettait à l’abri, ce bonhomme était capable de démonter un immeuble. Je l’ai vu personnellement à l’œuvre.
Il y avait 3 personnes qui se trouvaient et se voyaient (souvent) en compagnie de Jean-Marie Tink dans le bistrot de Michel: un certain Grégory qui travaillait dans l’Edition à Jette si mes souvenirs sont exacts et deux autres dont je n’ai pas retenu les prénoms.
Avant l’affaire du Champlain qui s’est déroulée à la fin des années 80, Michel, le patron de l’établissement, a eu pas mal de souci avec Jean-Marie Tink. Un soir, il a menacé un client d’une balle dans la tête, le client avait pour son seul malheur le fait de discuter avec le jeune ami de Jean-Marie Tink! Les choses ont été très loin et Michel a réellement eu peur de ce qui pouvait se passer par la suite. Il a été interdit (dans la mesure des choses) de venir dans l’établissement.
Michel en quelques mots: Peu de temps après, Michel a divorcé, sa femme a gardé encore quelques mois l’établissement et ensuite la remis. Michel s’est mis en couple avec une jeune fille de 20 ans sa cadette. Ils ont eu un enfant. La dernière fois où j’ai eu des nouvelles de Michel c’est en 1990. Retrouver cette personne peut présenter un avantage, Michel recevait dans son établissement pas mal d’Ucclois connu comme Pitchoun. Grace à l’archivage des registres de commerces il doit être possible de connaitre le nom de famille exact de Michel et son épouse et par la même avoir, peut-être, s’ils sont toujours vivants, des informations complémentaires sur Jean-Marie Tinck.
(...) https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2660-tinck-jean-marie#77014
--- En complément: à l'époque, il y avait un atelier de glaces chaussée de Wavre à Auderghem. Sur l'enseigne, il était question d'Esquimos. Ce devait être à côté du Centre Scolaire Les Marronniers (où il y a maintenant un garage Mercedes).
Le groupe Miko a fabriqué les 'Esquimos'. Il a rejoint le groupe Unilever en 1994 et repris les produits Motta:
- Citation :
- BRUXELLES L'histoire de Miko, c'est d'abord l'histoire d'une famille, les Ortiz, originaires du pays basque espagnol, qui atterrissent en 1922 à Saint Dizier, en Haute Marne. C'est ensuite l'ascension d'une marque qui a racheté Delico, Frigécrème, Stromboli, Nouki avant de rejoindre en 1994 le groupe Unilever et d'y reprendre les produits de son ancien concurrent, Motta. L'histoire des glaces Ortiz-Miko couvre tout le 20e siècle. En 1905, Luis Ortiz vend des glaces à pied. La société des Glaces Ortiz voit le jour en 1943. C'est en 1951 que le nom de Miko apparaît. En 1954, l'industrialisation commence avec l'acquisition d'une machine à faire les glaces en bâtonnets. Celles-ci sont vendues dans les cinémas par les ouvreuses. La vente des bonbons et des 'Esquimaux' (une marque déposée par Gervais en 1922) constituaient alors pour l'exploitant de salles sa principale source de ses bénéfices. Aujourd'hui, Miko décline Magnum, Carte d'Or, Royal Cornetto, Solero, Viennetta ou encore Miko Kids.
Tiens , dans le troisième paragraphe que Shadow a écrit on pourrait croire que Tinck est homosexuel. Une piste ? |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Jeu 26 Juin 2014 - 8:07 | |
| http://www.lecho.be/actualite/economie_politique_belgique/Tueurs_du_Brabant_la_verite_du_detecteur_de_mensonge.9517094-3154.art
14:14 - 25 juin 2014
Tueurs du Brabant: la vérité du détecteur de mensonge
Trois pistes principales sont désormais suivies dans l'enquête sur les tueurs du Brabant, dont celle pourtant sur la participation éventuelle de Jean-Marie Tinck. Trois enquêteurs supplémentaires vont renforcer la cellule.
Les procureurs qui diligentent l'enquête sur les tueries du Brabant ont rencontré les proches des victimes mercredi à Charleroi. Ils leur ont appris que trois pistes principales et plusieurs pistes confidentielles étaient actuellement suivies. Vu l'accélération de l'enquête, trois policiers supplémentaires compléteront la Cellule du Brabant en juillet.
Le procureur du roi de Charleroi Pierre Magnien, le procureur général de Liège Christian De Valkeneer et le procureur général de Mons Ignacio de la Serna, accompagnés de deux magistrats du ministère public, ont reçu les proches des victimes des tueries du Brabant mercredi matin. Les autorités judiciaires ont affirmé que trois pistes principales étaient actuellement suivies, ainsi que plusieurs pistes confidentielles.
Trois pistes
♦ La première découle de l'arrestation de Jean-Marie Tinck, le 12 mai dernier, à la suite de confidences de ce dernier à un ami français. Un faisceau de présomptions converge vers le suspect, toujours présumé innocent. D'une part, trois personnes l'ont identifié en 1997 sur base des portraits-robots diffusés à l'époque. D'autre part, il avait fait l'objet d'un prélèvement de salive et d'empreintes, sans être entendu, en avril 1999.
"L'expertise psychologique menée depuis son arrestation permet d'affirmer qu'il n'est pas considéré comme un affabulateur", explique Christian De Valkeneer.
"Nous tenons compte également de son passé judiciaire chargé, faisant état de violences graves envers des personnes. Par ailleurs, l'expertise ADN effectuée sur les traces retrouvées sur le chauffeur de taxi abattu à Mons n'a pas permis d'établir une concordance positive avec le profil de Jean-Marie Tinck mais que celle-ci ne peut être exclue. Enfin, le rapport du test polygraphe n'est pas encore rentré, mais il apparaît que lorsque l'on demande s'il a participé aux tueries, le suspect répond par la négative sans que cela n'apparaisse mensonger".
♦ La deuxième piste suivie par les enquêteurs concerne la découverte en 1987 de deux sacs dans le canal de Ronquières. Ceux-ci contenaient des preuves relatives à plusieurs attaques mortelles. Grâce aux analyses effectuées par l'INCC, il est désormais quasi certain que ces sacs n'ont pas séjourné une année dans l'eau, mais probablement un cours laps de temps. Christian De Valkeneer évoque à ce propos une possible manipulation de l'enquête, d'autant que ces deux sacs font le lien entre les deux vagues des tueries, totalement différentes dans leur perpétration. "La deuxième vague concerne des tueries aveugles qui font penser à une déstabilisation de l'Etat ou du terrorisme. La première est beaucoup plus atypique et cible des personnes en particulier", remarque le procureur général de Liège.
♦ La troisième piste concerne la Golf volée au restaurateur des "Trois Canards", assassiné par les tueurs du Brabant. Cette voiture, semble-t-il, a pu être repeinte pour servir à d'autres faits.
Selon les cinq magistrats en charge du dossier, l'enquête connaît actuellement un grand coup d'accélérateur et de nombreux témoignages parviennent pour l'instant aux enquêteurs. Vu cette accélération, la Cellule du Brabant a obtenu l'octroi de trois enquêteurs supplémentaires qui débuteront leur travail dès le 1er juillet, portant à 15 le nombre de policiers qui investiguent sur ce dossier.
_ _ _
Voir aussi :
http://www.rtbf.be/video/detail_tueurs-du-brabant-le-point-sur-l-enquete?id=1938600
A mon avis, les trois pistes principales pourraient converger...
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| | | alain
Nombre de messages : 1586 Date d'inscription : 10/08/2010
| Sujet: Re: Tinck, Jean-Marie Jeu 26 Juin 2014 - 11:04 | |
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Dernière édition par alain le Dim 20 Juil 2014 - 14:44, édité 2 fois |
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| | | | Tinck, Jean-Marie | |
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