Tinck, Jean-Marie

perplexe a écrit:

Je présume que cela permet surtout de disculper : si la séquence n'apparaît pas dans l'ADN du suspect, ce n'est pas le sien. ça explique :

Citation :

" l’ADN retrouvé sur la veste du taximan Angelou tué en janvier 83 présenterait des points de correspondance qui ne permettent pas d'exclure une participation de l’inculpé".

Quel intérêt alors de faire référence expressément au chauffeur de taxi et à sa veste ? Quid de toutes les autres pièces à conviction dans ce contexte d'un inculpé maintenant et des comparaisons ADN à faire ou faites (?). Les cordelettes du gardien de l'auberge des Chevaliers par exemple ? N'ai-je pas lu qu'elles avaient été nouées de manière spéciale ? Des nœuds de Marine ?

Formation militaire ... il a été emprisonné où ? Saint-Gilles ? Bultot ? une arme de Bultot a été retrouvée lors du déménagement de la cellule CBW vers Charleroi. ça serait quand même pas un aussi mauvais scénario de série B ! Genre des taulards recrutés par un directeur véreux pour faire des mauvais coup en échange de faveurs ?

Le site "Resistances" vient de publier un nouvel article que j'ai mis sur

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2675-tinck-coincer-les-commanditaires#78695

Il est très intéressant ...

Quelqu'un avait-il déjà entendu parler de ce Brice Poirier, présenté comme un "spécialiste des dossiers noirs de la Belgique" ?

@larsan:

Apparemment, il s'agit d'un nouveau venu chez RésistanceS.be.

Je pense qu'il s'agit du deuxième article publié, le premier concernant les "fouilles à HORNU" et tout ce qu'il y aurait autour, quant au second article, nous l'avons sous les yeux et manifestement, le journaliste sort tout un attirail qui n'est pas sans rappeler un scénario de film de COSTA-GAVRAS.

Tout cela est bien séduisant.

Mon expérience personnelle me renvoie à des schémas beaucoup plus "classiques" mais enfin, à chacun son opinion...

La "matérialité des faits" décidera de la suite...

N'empêche que si le vieux est en taule ce soir, c'est bon signe (ou pas   )

j'aurais parié ma montre qu'on allait le libérer aujourd'hui

CS1958 a écrit:

(...)

"qui ne permettent pas d'exclure une participation" semble la phrase majeure.

Il y a un mot en littérature pour ce genre de circonvolution (?).

(...)

Cela ressemble fort à ce qu'on appelle une litote...  

Nous retrouvons quand même dans cette articles des propos déjà tenus sur ce site, les initiés reconnaîtront certaines tournures de phrases.

oui mais quelles sont ses sources ?

Dans le cadre de cet article, je vois beaucoup de similitude avec certains posts mais nous retrouvons aussi cela chez sud-Presse.

Dans l'article de "resistance" je remarque déjà une erreur quand je lis ces 2 phrases:
 1.La Santana sera retrouvée vers 22h30 ce soir-là à Uccle, à l’entrée de la drève du Caporal, à 200 mètres de la chaussée de la Hulpe. Uccle, c’est la commune dans laquelle résidait... Jean-Marie Tinck, à l’époque.
 2.Cinq jours après le vol de la VW, Tinck déménagera d’Uccle à Ixelles. Il y habitera pendant un an

Donc dans la 1ere phrase le journaliste dit que Tinck habitait a uccle le 30sept 82 (jour de l'attaque dekaize)
Dans la 2ième phrase il dit que Tinck a déménager d'uccle et habite a Ixelles le 16 mai 82 pendant un an.Alors mr. le journaliste? uccle ou ixelles?
Ensuite le journaliste nous dit:" Cette année-là, il est condamné pour une affaire de coups et blessures et purge 30 mois de prison."
La encore je crois qu'il y a une erreur.Tinck a été condamner a 30 mois de prison mais n'a jamais du les faire.
Encore une erreur il me semble.

Et In Arcadia Ego a écrit:

CS1958 a écrit:

(...)

"qui ne permettent pas d'exclure une participation" semble la phrase majeure.

Il y a un mot en littérature pour ce genre de circonvolution (?).

(...)

Cela ressemble fort à ce qu'on appelle une litote...  

Périphrase ?  

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/la-belgique-sur-la-trace-des-tueurs-du-brabant-31-05-2014-3884527.php

La Belgique sur la trace des tueurs du Brabant

Énigme criminelle.Trente ans après les faits, la justice belge espère tenir un suspect dans l'affaire des Tueurs du Brabant, une bande de braqueurs, auteurs de multiples meurtres et jamais identifiés.

Jean-Marc Ducos | 31 mai 2014, 07h00

Elle est la mémoire vivante de l'étrange affaire des Tueurs du Brabant. Une série de quinze braquages d'une violence inouïe commis entre 1982 et 1985 par un gang inconnu, dans des supermarchés du sud de la Belgique, dans les provinces du Hainaut, de Namur et même en France, à Maubeuge, et dont les auteurs présumés n'ont jamais été identifiés à ce jour.

Des malfaiteurs qui ont laissé derrière eux un funeste sillage de 28 victimes et, parmi elles, de nombreux enfants exécutés froidement. Le dossier judiciaire, toujours en cours, a rebondi ces derniers jours avec l'arrestation d'un suspect, Jean-Marie Tinck, 67 ans (lire ci-contre), par la cellule d'enquête spéciale dirigée par la juge d'instruction belge, Martine Michel. Il est incarcéré depuis, et sa demande de mise en liberté a été rejetée hier par la chambre de mise en accusation de la cour d'appel de Mons.

Patricia Finné, 57 ans, la fille d'une des victimes, continue elle aussi, vingt-neuf ans après les faits, à mener son enquête. Obstinée, elle « ne lâche rien », confie-t-elle, même si le chagrin la rattrape parfois quand son regard se brouille à l'évocation de la mort de son père, Léon Finné, 54 ans, fusillé par une rafale le 27 septembre 1985 sur le parking du supermarché Delhaize d'Overijse. « Il était parti faire des courses comme tout le monde. Selon les témoins, lorsqu'il a entendu des tirs sur le parking, il a vu le petit Sébastien s'écrouler. Mon père a voulu rejoindre sa voiture pour appeler les secours car il était l'un des rares à avoir à l'époque un radiotéléphone dans sa voiture », raconte Patricia Finné. Ce jour-là, quatre hommes ont fait feu au fusil à pompe, sur le parking de ce commerce après une première attaque le même jour, quelques heures plus tôt, dans un supermarché de la même chaîne à Braine-l'Alleud, qui avait déjà fait trois morts.

Patricia n'apprendra la mort de son père, un consultant bancaire, que le lendemain. « Ceux qui ont tiré savaient utiliser les armes comme des professionnels. Quand ils ont fait feu sur le magasin, ils ont tiré une ligne droite parfaite... », note cette secrétaire médicale, qui a eu du mal à admettre la mort de son père. « Quand ma mère nous a dit que papa était parmi les victimes, je lui ai demandé : Mais dans quel hôpital il est ? Je refusais de croire qu'il puisse être mort », confie Patricia Finné. Et elle a fait alors « une promesse sur le cercueil » de son père de « retrouver un jour les assassins ».

Pour surmonter la peine, le chagrin, les séparations, les abandons, Patricia avoue « s'être accrochée au quotidien pour tenir au jour le jour », car à l'époque elle avait « un petit garçon de 3 ans à élever ». « Et attendre pendant près de trente ans qu'une enquête avance, rester les bras croisés, ce n'est pas mon style. J'ai une rage intérieure de savoir qui sont ces tueurs et pourquoi ils ont fait cela, parfois pour des butins dérisoires ! », lance Patricia Finné, qui anime un blog et parcourt toute la Belgique pour rencontrer des témoins car elle reste « persuadée que des gens savent des choses et n'ont sans doute pas encore parlé ».

« Ma vocation, ce n'est pas de mener une enquête parallèle mais d'être une agence de renseignements que je livre à la police », justifie Patricia, qui reconnaît devoir faire le tri entre les « mythomanes et les psychopathes ». Mais depuis les faits, Patricia s'est forgé peu à peu une opinion sur le dossier : « La théorie du grand complot, l'implication de la CIA, des services secrets, pour déstabiliser la Belgique et imposer un régime politique dit fort, j'ai bien du mal à y croire », assure Patricia, qui préfère celle du « pacte criminel entre deux bandes rivales mais ayant connu un désaccord ».

Longtemps, la police a cru tenir les suspects, la bande des Borains, des truands chevronnés. Mais ils ont été acquittés en 1988. « Pour les avoir écoutés, ils étaient un peu lisses et n'avaient pas l'envergure », s'est persuadée Patricia, qui dément aussi tout « chantage » opéré sur les chaînes de magasin Delhaize ou Colruyt. Quant au dernier suspect, elle le classe parmi « les probabilités » et préfère rester prudente pour ne « pas sombrer si c'est une fausse piste ».

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/le-marin-denonce-par-un-indic-31-05-2014-3884537.php

Le Marin dénoncé par un indic

La Louvière (Belgique)

Jean-Marc Ducos | 31 mai 2014, 07h00





Son nom n'est pas inconnu pour les enquêteurs de la cellule consacrée aux Tueurs du Brabant. Jean-Marie Tinck, 67 ans, dit le Marin, avait déjà été suspecté en 1997 lorsque des témoins avaient cru reconnaître cet homme fort en gueule comme étant le portrait-robot n o 17 élaboré par la police dans une liste des 33 suspects. Et reconnu grâce au bonnet de marin que ce charpentier de profession, passionné de voile, portait d'ailleurs le jour de son arrestation à Bruxelles dans l'appartement de sa mère.

Un homme connu et condamné pour des affaires d'homicides lors de beuveries en 1981 et 1991. La dernière fois, il avait tué le tenancier du bar le Champlain à Uccle car le patron avait « servi un Arabe » en pleine guerre du Golfe. Il est désormais soupçonné d'avoir volé deux des voitures ayant servi au gang des tueurs.

Le 10 mai 1982, une Austin Allegro est volée à Ixelles, dans la banlieue de Bruxelles. Cette voiture servira à en voler une autre, une Volkswagen Santana, la même nuit à Lembek. Cette Volkswagen sera identifiée lors du cambriolage de l'épicerie Piot à Maubeuge (Nord) le 14 août 1982. Et six semaines plus tard, cette même Volkswagen était utilisée encore pour l'attaque de l'armurerie Dekaise, à Wavre le 30 septembre 1982.

Là aussi sans nécessité, les tueurs ouvrent le feu sur les policiers. L'un d'eux n'en réchappera pas. Cette Santana sera retrouvée près de Uccle, là où résidait à l'époque le Marin. Un élément troublant vient perturber les enquêteurs car Jean-Marie Tinck boite comme l'un des suspects des Tueurs du Brabant. Aujourd'hui, les enquêteurs vont tenter de comparer les éléments de preuves datant de l'époque des faits pour des comparaisons génétiques, impossibles à réaliser en 1997, avec celui du suspect incarcéré sous haute protection à la prison de Nivelles. Une course contre la montre est engagée.

« Les éléments à charge contre mon client ne sont pas sérieux un seul instant. Il n'y a aucune preuve de culpabilité. M. Tinck est serein et déterminé à prouver qu'il n'a rien à se reprocher. La meilleure preuve est qu'il n'a jamais refusé de donner son ADN pour cette expertise », martèle M e Jean-Edmond Mairiaux, l'avocat du suspect, qui tourne en ridicule la façon dont la police belge est revenue sur lui : « Un indicateur de la police française attiré par la promesse d'une récompense. » La société des magasins Delhaize a toujours promis une prime conséquente aux témoins.

C'est effectivement un amateur de voile, originaire de Montpellier (Hérault), qui a fait remonter l'information à la police judiciaire française, qui a transmis le tuyau à la justice belge. Tout deux ont navigué ensemble et effectué des convoyages de voilier. Au cours de soirées arrosées, Tinck a confessé à celui qui l'hébergeait « avoir été le chauffeur » des Tueurs du Brabant. En avril, un magistrat belge accompagné de deux enquêteurs et de la juge d'instruction Martine Michel sont venus écouter le témoin. Leur conviction était faite.

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/cette-piste-est-serieuse-31-05-2014-3884539.php

« Cette piste est sérieuse »

Christian De Valkeneer, procureur général de Liège

Propos recueillis par J.-M.D. | 31 mai 2014, 07h00





Le procureur général de Liège explique qu'il va falloir du temps pour confirmer les soupçons.

Un suspect, trente-deux ans après, est-ce le début d'une véritable piste ?

CHRISTIAN DE VALKENEER. Cette affaire suscite légitimement beaucoup d'émotion en Belgique. Mais, encore une fois, il va falloir laisser du temps à l'enquête. Car les expertises demandées, notamment pour savoir si ce suspect n'est pas un mythomane qui fanfaronne pour se rendre intéressant, ne se font pas en un tour de main. Nous avons une série d'indices pour l'instant qui ne sont pas encore des preuves.

Que reste-t-il de la mémoire des preuves ?

Il est vrai que nous sommes dans l'archéologie judiciaire car ces faits remontent à plus de trente ans. Le temps est l'ennemi des preuves. Pour cette affaire criminelle, le dossier a toujours été ouvert. Mais dans le cas de ce suspect, l'enquête est confrontée à une difficulté majeure. De nombreux éléments d'enquête sur la personnalité, sur le réseau relationnel de cette personne, sur son train de vie ont été détruits légalement car il a effectué ses peines de prison pour d'autres faits d'homicides. C'est tout cela qu'il faut reconstituer aussi pour confirmer des liens avec l'affaire qui nous intéresse.

Et ce témoin qui se manifeste si tardivement ?

Ce témoin relate des faits précis et cohérents. Et qui sont de nature à donner du crédit aux indices. Le suspect nie. Mais, à ce stade, cette piste est sérieuse. Et on ne peut se permettre de la négliger.

bernarddeboussu a écrit:

@alain:

Et le plus étrange, c'est que lorsqu'on lance une citation pour entendre un de ces individus, il vous est parfois répondu:  "Inconnu des services de la Police fédérale du SHAPE"...     

Mais demain est un autre jour et peut-être en saurons nous davantage...  

ET ,l americain K de POIRIER ds resistance .....est il notre K.....qui quitait le SHAPE pour agiter les FACHOS ?

alain a écrit:

bernarddeboussu a écrit:

@alain:

Et le plus étrange, c'est que lorsqu'on lance une citation pour entendre un de ces individus, il vous est parfois répondu:  "Inconnu des services de la Police fédérale du SHAPE"...     

Mais demain est un autre jour et peut-être en saurons nous davantage...  

ET ,l americain K de POIRIER ds resistance .....est il notre K.....qui quitait le SHAPE pour agiter les FACHOS ?

David Montgomery-Kee ?

a demander a BERNARD .....mais c est 1 autre K .comme P. et j .aussi ,ils etaient des anciens du Vietnam

CS1958 a écrit:

alain a écrit:

bernarddeboussu a écrit:

@alain:

Et le plus étrange, c'est que lorsqu'on lance une citation pour entendre un de ces individus, il vous est parfois répondu:  "Inconnu des services de la Police fédérale du SHAPE"...     

Mais demain est un autre jour et peut-être en saurons nous davantage...  

ET ,l americain K de POIRIER ds resistance .....est il notre K.....qui quitait le SHAPE pour agiter les FACHOS ?

David Montgomery-Kee ?

En janvier 1926, en vacances hivernales en Suisse, à Lenk dans l'Oberland bernois, Montgomery rencontre Sir Edward Crowe et sa famille ainsi qu'une mère de famille de deux enfants, veuve d'un officier anglais mort en 1915 à Gallipoli, Elizabeth Carver. Les deux enfants Carver avec lesquels il sympathise d'abord ont onze et douze ans : ils sont farouchement antimilitaristes. Montgomery et Crowe qui surveillent la sortie sportive des enfants et adolescents alors que les femmes restent ensemble, entament des discussions animées et joyeuses avec ces jeunes et irréductibles pacifistes. L'année suivante, il retourne à Lenk avec son ami Edward en janvier 1927. Là, il s'éprend de la veuve surnommée Betty. Ce coup de foudre chamboule sa vie. Il se marie le 27 juillet 1927. Un unique garçon David naît de leur union le 18 août 1928. Montgomery est lieutenant-colonel du 1er bataillon royal du régiment de Warwickshire en 1931. Il effectue son service en Palestine, en Égypte et en Inde. Sa femme qui, énergique et gaie, se révèle une excellente femme de colonel et son fils ne le quittent exceptionnellement qu'en période d'insécurité. Le père de famille attentionné est nommé colonel et instructeur au Staff College de l'armée indienne à Quetta en Inde.

CS1958 a écrit:

Et In Arcadia Ego a écrit:

CS1958 a écrit:

(...)

"qui ne permettent pas d'exclure une participation" semble la phrase majeure.

Il y a un mot en littérature pour ce genre de circonvolution (?).

(...)

Cela ressemble fort à ce qu'on appelle une litote...  

Périphrase ?  

Périphrase, oui.

Circonvolution, circonlocution ou périphrase, les trois synonymes se valent. En langage familier, 'tourner autour du pot'...

La circonlocution est un détour de langage visant à adoucir certains propos ou à masquer la pensée véritable de celui qui les tient.

Le fait d'utiliser une périphrase consistant à dire moins pour laisser entendre plus qu'il n'est dit, s'appelle une litote.

Exemple :

Citation :

Le théâtre classique n'est bien que dans la litote. HENRIET : La litote? Qu'est-ce que c'est que ça? SEVRAIS : C'est quand on dit moins que ce qui est. Quand Suréna et Eurydice se sont quittés en s'aimant du fond de leur cœur, mais Eurydice dit seulement : notre adieu ne fut point un adieu d'ennemis.
MONTHERL., Ville dont prince, 1951, II, 2, p. 885.

Source:

   http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=combi.htm;java=no;

  

Et In Arcadia Ego a écrit:

CS1958 a écrit:

Et In Arcadia Ego a écrit:

CS1958 a écrit:

(...)

"qui ne permettent pas d'exclure une participation" semble la phrase majeure.

Il y a un mot en littérature pour ce genre de circonvolution (?).

(...)

Cela ressemble fort à ce qu'on appelle une litote...  

Périphrase ?  

Périphrase, oui.

Circonvolution, circonlocution ou périphrase, les trois synonymes se valent. En langage familier, 'tourner autour du pot'...

La circonlocution est un détour de langage visant à adoucir certains propos ou à masquer la pensée véritable de celui qui les tient.

Le fait d'utiliser une périphrase consistant à dire moins pour laisser entendre plus qu'il n'est dit, s'appelle une litote.

Exemple :

Citation :

Le théâtre classique n'est bien que dans la litote. HENRIET : La litote? Qu'est-ce que c'est que ça? SEVRAIS : C'est quand on dit moins que ce qui est. Quand Suréna et Eurydice se sont quittés en s'aimant du fond de leur cœur, mais Eurydice dit seulement : notre adieu ne fut point un adieu d'ennemis.
MONTHERL., Ville dont prince, 1951, II, 2, p. 885.

Source:

   http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=combi.htm;java=no;

L'alcool permet de lever des inhibitions chez certaines personnes, qui se laissent aller à des confidences. Un peu alcoolisé, une de mes connaissances m'avait raconté avoir été témoin de massacres de villageois par une armée, loin de l'Europe. Les détails fournis ne laissaient aucun doute sur le caractère authentique de cette histoire. Une information qui n'avait et n'a d'ailleurs pas été portée à la connaissance du grand-public. Visiblement cette histoire l'avait marqué et il en a parlé seulement sous l'emprise de l'alcool. 

Les "confidences" ou supposées telles de JM T. sont peut-être véridiques ou comportent une part de vérité. Il peut aussi avoir recueilli des confidences d'une autre personne et se les être appropriées. La déclaration du procureur le concernant, jointe ci-dessus dans ce fil, est logique et professionnelle

bernarddeboussu a écrit:

@larsan:

Apparemment, il s'agit d'un nouveau venu chez RésistanceS.be.

Je pense qu'il s'agit du deuxième article publié, le premier concernant les "fouilles à HORNU" et tout ce qu'il y aurait autour, quant au second article, nous l'avons sous les yeux et manifestement, le journaliste sort tout un attirail qui n'est pas sans rappeler un scénario de film de COSTA-GAVRAS.

Tout cela est bien séduisant.

Mon expérience personnelle me renvoie à des schémas beaucoup plus "classiques" mais enfin, à chacun son opinion...

La "matérialité des faits" décidera de la suite...    

Je crois savoir que Poirier est 1 journaliste belge ,qui a quitte le monde des canards pour 1 tres haut poste ds la societe;
a ma connaisance ,il est diplome de 2ou3 grandes ecoles europeennes ......
Et ,surtout ilne peut pas ,etre suspecte d antimilitarisme ou antiamericanisme ......d apres les bruits de couloirs ,il a fait ses preuves ds 1 autre vie .......
Maintenant est ce la bonne piste ......(il a ete souvent vu en compagnie de generaux (3etoiles )qui etaient a des postes cles du systeme )donc bien informé .

alain a écrit:

bernarddeboussu a écrit:

@larsan:

Apparemment, il s'agit d'un nouveau venu chez RésistanceS.be.

Je pense qu'il s'agit du deuxième article publié, le premier concernant les "fouilles à HORNU" et tout ce qu'il y aurait autour, quant au second article, nous l'avons sous les yeux et manifestement, le journaliste sort tout un attirail qui n'est pas sans rappeler un scénario de film de COSTA-GAVRAS.

Tout cela est bien séduisant.

Mon expérience personnelle me renvoie à des schémas beaucoup plus "classiques" mais enfin, à chacun son opinion...

La "matérialité des faits" décidera de la suite...    

Je crois savoir que Poirier est 1 journaliste belge ,qui a quitte le monde des canards pour 1 tres haut poste ds la societe;
a ma connaisance ,il est diplome de 2ou3 grandes ecoles europeennes ......
Et ,surtout ilne peut pas ,etre suspecte d antimilitarisme ou antiamericanisme ......d apres les bruits de couloirs ,il a fait ses preuves ds 1 autre vie .......
Maintenant est ce la bonne piste ......(il a ete souvent vu en compagnie de generaux (3etoiles )qui etaient a des postes cles du systeme )donc bien informé .

Brice POIRIER (juriste, principal coordinateur), d’Avocats Sans Frontières- France pour la défense des parties civiles au Cambodge ?