Guillaume Vogeleer (Jimmy le Belge)

Je croyais au début que "Robert" était un membre des services de sécurité de l'Union Européenne.

On en parle dans la vidéo suivante :

https://www.dailymotion.com/video/x93f0d_barbouzes-gladio-p2-tueries-du-brab_news?ralg=meta2-only#from=playrelon-13

à partir de la minute 11.

" Robert a donné des cours de placement d'explosifs dans des cages d'escaliers, a donné des cours de démontage et de montage d'armements et de tirs , et également de tuer sans laisser de traces. "

(...)

"autorités militaires étrangères" - Services secrets militaires

________


Je reconnais cependant qu'il s'agirait alors d'un prénom.

L'hypothèse "Maurice Robert" me semble bien meilleure.

Quant à " G ", il est en effet raisonnable de penser à à l'ancien président français (VGE)... en se souvenant du point d'interrogaion ...

Par contre, les liens entre de Villegas et des mercenaires n'est pas encore assez clair à mes yeux.

Il faudrait relire ce qui est dit dans le fil "schéma de Libert".

A relire également :


http://www.liberation.fr/monde/0101202406-l-armada-de-mercenaires-au-zaire-commandes-par-un-belge-280-affreux-menent-la-contre-offensive

Le 24 janvier 1997 à 15h29

L'Armada de mercenaires au Zaïre. Commandés par un Belge, 280 «affreux» mènent la contre-offensive.

Par SMITH Stephen

Kisangani, envoyé spécial

Trente ans plus tard, il est de retour. Christian Tavernier, le Bob Denard belge, est le chef des mercenaires dans l'est du Zaïre, engagés par le président Mobutu pour reconquérir l'Est du pays tombé en octobre dernier aux mains de rebelles. Depuis le début de l'année, cet homme grand et sec, aux cheveux blancs, fait des sauts de puce à bord d'un petit porteur flambant neuf entre Kisangani et Watsa, une ville minière à 700 kilomètres au nord-est de la capitale du Haut-Zaïre. C'est là, en avant-poste dans une zone aurifère d'importance stratégique, que le colonel Tavernier a installé le gros de ses recrues, quelque 280 Serbes, Croates, Russes, Polonais, Belges, Italiens et Français. Tavernier, sexagénaire, connaît bien Kisangani. Son frère cadet, exploitant forestier, y était installé jusqu'à sa mort, du sida, l'an dernier. Quant à Watsa, Christian Tavernier en garde des souvenirs. C'est à Watsa qu'il combattait ­ déjà ­ la rébellion, en 1964-1965, à la tête du «14e codos», une unité de commandos mercenaires.

Le colonel Tavernier n'a jamais vraiment décroché. Conseiller militaire et homme d'affaires, il a longtemps travaillé avec les maquisards du colonel John Garang au Sud-Soudan où, à la fin des années 80, il a dû croiser un certain Laurent Kabila, à l'époque dans l'entourage de Garang et aujourd'hui chef rebelle dans l'est du Zaïre... Ancien du Katanga, du temps de la tentative sécessionniste de Moïse Tshombé et de la «force belge» payée par l'Union minière, Tavernier a failli reprendre du service dans le sud du Zaïre l'été dernier. Mais il a aussi fait des offres de service ailleurs, comme par exemple au Congo pour la restructuration d'une armée comptant moins d'hommes du rang que d'officiers.

Monsieur Afrique. A Paris, Tavernier n'est pas un inconnu. Selon nos informations, il entretient de longue date des relations avec Jacques Foccart, l'octogénaire «monsieur Afrique» du gaullisme. Au moins une fois, en juin dernier, Tavernier a été reçu au 14, rue de l'Elysée par l'ambassadeur Fernand Wibaux, un proche collaborateur de Foccart et conseiller officieux de Chirac pour les affaires africaines. Comme directeur de publication du magazine Fire, Tavernier s'est par ailleurs associé avec «le corsaire de la République», Bob Denard, rédacteur en chef et héros d'un feuilleton d'aventures publié dans cette revue pour mercenaires. «Compte tenu des liens qui existent depuis plus de trente ans entre Denard et Foccart, il est inconcevable que Foccart n'ait pas été, au moins, informé du contrat de Tavernier», estime un diplomate français.

(...)

Il faut relire le fil de discussion sur Tavernier (et la revue A.M.I.)

On y trouve l'explication du lien entre Villegas et "A.M.I" ! ! ! (voir ci-dessous)

Par contre, je ne vois pas encore celle du lien avec "Soldier of Fortune"

_ _ _


On peut supposer que Christian Tavernier et Michel Relecom se connaissaient car ils "fréquentaient" tous les deux le président Mobutu. Il en allait sans doute de même de Ronald Rossignol qui a notamment racheté le Mystère 20 du président zaïrois et qui aurait eu d'autres affaires avec lui (y compris via le commerce des armes ?).

Christian Tavernier a créé la revue belge francophone AMI (pour Armes Militaria International) qui parut à partir de 1979. Elle publiait des articles sur les armes et le Militaria (tout objet témoignant de l'activité militaire).

Elle devint ArMI en 1987 puis Fire en 1990.

Le magazine Fire, appartenant aux mercenaires Bob Denard et Christian Tavernier, disparut en 2002.

Ces magazines furent vendus en kiosque en Belgique, en France et en Suisse.

Parmi les collaborateurs : des compagnons de Tavernier au Zaïre et aussi Bob Louvigny (détective privé, voir le fil de discussion), l'américain Chuck Taylor l'ancien para-commando Roger Swaelens ("practical shooting").

Les enquêteurs ont trouvé chez Paul Vanden Boeynants des actions de "Action Press", éditeur de AMI.

Quand Action Press a eu des problèmes financiers, l'ambassadeur zaïrois à Bruxelles (Kengo Wa Dondo) est intervenu (1980), ainsi que le frère de Alain de Villegas de Jette Saint-Pierre (affaire des avions renifleurs). Selon De Morgen, il y a aussi eu une aide de Jean Gol. La faillite est néanmoins arrivée en septembre 1982.

AMI a alors été édité par New Fashion Media (aussi liée à VDB).

Un exemplaire d'une encyclopédie sur les cartouches militaires a été incendié dans le Bois de la Houssière entre le 2 et le 9 novembre 1985 avec d'autres revues d'armes, divers documents et des chèques estampillés Delhaize, volés lors des faits commis à Overijse le 27 septembre 1985.

Le mot « Kalachnikov » est souligné à la page 89, et à la page 87, le mot "URSS" est souligné. De même, avec toutes les munitions de cal. 7,62 mm OTAN.

A la page 9, qui parle toujours du même type de munitions, le mot "Etats Unis" est passé au marqueur.

Le livre sur les cartouches militaires dont il est question dans le dossier a été chroniqué dans la revue belge AMI (numéro 50 de février 1984).

Quelques mots tiré de cette chronique:

"L'ouvrage présenté ici est un bon ouvrage, dans la lignée des ouvrages américains présentés en la matière.
Bon nombre de données techniques devront être vérifiées avant de rendre un avis favorable, mais, dès à présent, nous pensons pouvoir dire qu'il s'agira d'un bon achat en tant que premier livre pour les amateurs, collectionneurs débutants, policiers ou militaires ayant cette branche dans les cours élémentaires qui leur sont dispensés."

Un bon de commande est présent, permettant de commander cette revue à "la librairie des éditions" rue du Trône à Bruxelles.

L’intervenant est convaincu que les tueurs lisaient la revue AMI. Ce n'est pas la première fois qu'elle apparait dans l’enquête. En vrac, on y a lu :

- publicité pour Dekaise.
- compte-rendu de compétitions d'action-shooting, où on peut retrouver des noms familiers.
- éloge des riot-guns à travers plusieurs articles.
- et donc chronique de ce livre.

et le chronique est ecrit par D... , non ? ,

L'article en question est sur

http://www.scribd.com/doc/92086900/Revue-AMI-extraits

et est signé C.D. ...

Sans doute Claude Dery

Voir notamment

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2324-les-differentes-expertises-faites-par-l-expert-dery

Dans ces affaires, il a fait autant d'expertises que J-P Dumont a fait de plaidoiries, ce qui n'est pas peu dire.

A noter aussi : l'incohérence des dates pour les revues qui ont été brûlées ...

Hypothèse : les gens qui les ont brûlées en ont-ils disposé avant la vente dans les kiosques ? Claude Dery, comme expert, recevait-il des copies comme meembre d'un "comité de relecture"?
Difficile de connaître la vérité ... A vérifier en tout cas.

Guy Bouten croit que Claude Dery, ami de M. Bouhouche, est suspect ... On peut relire ces affaires avec cette hypothèse en tête ...

HERVE a écrit:

Je croyais au début que "Robert" était un membre des services de sécurité de l'Union Européenne.

On en parle dans la vidéo suivante :

https://www.dailymotion.com/video/x93f0d_barbouzes-gladio-p2-tueries-du-brab_news?ralg=meta2-only#from=playrelon-13

à partir de la minute 11.

" Robert a donné des cours de placement d'explosifs dans des cages d'escaliers, a donné des cours de démontage et de montage d'armements et de tirs , et également de tuer sans laisser de traces. "

(...)

"autorités militaires étrangères" - Services secrets militaires
________

Je reconnais cependant qu'il s'agirait alors d'un prénom.

L'hypothèse "Maurice Robert" me semble bien meilleure.

Quant à " G ", il est en effet raisonnable de penser à à l'ancien président français (VGE)... en se souvenant du point d'interrogaion ...

Par contre, les liens entre de Villegas et des mercenaires n'est pas encore assez clair à mes yeux.

Il faudrait relire ce qui est dit dans le fil "schéma de Libert".

Sur le fil "schéma de Libert", il est aussi fait mention d'un certain Alain Robert.

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2362p60-schema-de-michel-libert

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Robert_%28homme_politique%29

- "À partir de juin 1966, après avoir soutenu la candidature de Jean-Louis Tixier-Vignancour à la présidentielle de 1965, il fait partie des dix membres du nouveau « secrétariat central » du mouvement" (Tixier-Vignancour fut notamment l'avocat de Céline)

- "En 1972, il crée avec François Brigneau, le Front national [FN] en demandant à Jean-Marie Le Pen— à l'époque gérant de la SERP (société d'édition de disques) — de se joindre à eux et de prendre le poste de président. Il occupe quant à lui le poste de secrétaire général.

- "En 1974, il participe activement aux côtés d’Hubert Bassot à la campagne présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing"

A noter également:

"En novembre 1974, à la suite de ce différend, Alain Robert fonde le Parti des forces nouvelles (PFN)avec Pascal
Gauchon."

(Note: on verra également apparaître vers 1983 en Belgique un "Parti des forces nouvelles (PFN)"...)

On peut lire aussi:

- "Ami de très longue date de Charles Pasqua,..."

- "En 1981, Alain Robert rejoint le Centre national des indépendants et paysans" (pour mémoire le CEPIC belge = Centre politique des indépendants et cadres chrétiens...)

- "Il est cofondateur de « Solidarité et défense des Libertés » avecAlice Saunier-Seité, Charles Pasqua, Alain Griotteray, Jacques Médecin et Raymond Bourgine en 1984. "

- "En 2005 il devient membre du Bureau des Réformateurs"

Étonnant, non?  

 ???
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Citation :

J'ai ete en contact avec les autorites concernees,il y a quelques annees et leur ai apporte mon temoignage:un groupe de
beges,pretendus mercenaires a sevi a St Domingue dans le trafic de drogue,dans la region de Puerto Plata;ils se sont
vantes d'etre les tueurs du braban.Je les ai rencontre a l'epoque,pourraient correspondre aux portraits robots.D'autres
caracteristiques correspondent aux donnees de l'enquete,l'un d'entre eux est toujoursa Puerto Plata.Les autres ont
disparus.Pour votre information.
Écrit par : ph.sanchez | 14.12.2011
Merci à Ph Sanchez pour son message qu'il serait intéressant de pouvoir développer. Vous pouvez me contacter sur cette
adresse : patricia.finne@gmail.com
http://tueriesbrabant.skynetblogs.be/archive/2005/10/23/nbsp.html

"Le nom de République dominicaine a été institué par la constitution de 1844 (en espagnol, qui est la langue officielle, l'île se nomme : República dominicana) qui commence ainsi : « Les députés des peuples de l'ancienne partie espagnole de l'île de Saint-Domingue décrètent… ». Son origine se trouve dans le nom de la capitale, Saint-Domingue (Santo Domingo en espagnol), elle-même baptisée en l'honneur de saint Dominique de Guzmán."
"Dominique de Guzmán (Domingo Núñez de Guzmán), né vers 1170 en Espagne dans un milieu aisé et mort le 6 août 1221 à Bologne, est un religieux catholique, fondateur de l'ordre des frères prêcheurs appelés couramment « dominicains ». "
(source: Wikipédia)

Liens avec :

- Casper Flier https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2288-juan-borges
- ATLAS, Vander Elst etc. https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t20p165-la-piste-noire
- Violet, Pinay, SDECE https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1911p15-european-institute-of-management-eim
- Organisation Hyperion https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2114p45-organisation-hyperion
- Les avions renifleurs https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1158-les-avions-renifleurs

Il y a plusieurs choses interessantes dans les messages ci-dessus.

La photo qui est mise a cote du portrrait-robot est celle de "Poe" (voir Wikipedia).

Il y a d'autres photos de lui sur internet, notamment dans un bar en Thailande.

Un temoin a souvent rencontre Guillaume Vogeleer et Poe ensemble. C'est donc important a verifier.

Google ne permet-il pas une recherche a partir d'une image ? Je ne connais pas la procedure.

L'ancien attache militaire a l'ambassade belge de Bangkok (un certain "Andre" ?) devrait en savoir plus mais ne semble pas desireux d'en parler ... Dommage ...

Ce "Alain Robert" me semble un bon candidat pour le schema de Paul Latinus ,,, peut-etre meilleur encore que Maurice Robert ... Le lien avec Jean-Marie Le Pen (J-M P) serait evident.

En ce qui concerne "Dominique" et la Republique Dominicaine, c'est un peu confus pour moi mais cela fait un lien entre des elements epars.

L'Ordre des Dominicains apparait en effet à divers moments dans les dossiers, ce qui m'q deja etonne (vu le respect aue je leur porterais a priori).

Je crois me souvenir d'un pere "Dubois" et aussi d'un dominicain belge inconnu dans notre pays car il a toujours vecu aux USA.

Il y a en effet des liens avec Hyperion et aussi avec Atlas. Dans ce dernier cas, c'est via le duo forme par le pere de Christian Van der Elst (professeur de droit a l'ULB, etc) et le prix Nobel de la paix Dominique Pire.

Connaissant le parcours de Christian Van der Elst (enlevement de Vanden Boeynants, alibis de Nihoul, etc), cela m'a etonne au plus haut point. A creuser donc ...

Quant aux mercenaires, c'est un milieu du plus grand interet dans nos affaires ("Soldier of Fortune", etc) ...

Le pere dominicain belge - tres peu connu chez nous - est Felix A. Morlion. Cela vaut la peine d'en savoir plus sur lui ...

Peut-etre la maison-mere des dominicains belges etait-elle trop proche de l'Ecole Royale Militaire, a cote du parc du Cinquantenaire ?

Dans la liste des societes de droit luxembourgeois creees par Christian Van der Elst, il y en avait une en Afrique dont le siege etait dans un batiment des dominicains de ce pays. Les liens entre Van der Elst et les freres precheurs semblent s'etre poursuivis apres la disparition de Dominique Pire. Je ne sais trop qu'en penser. Avaient-ils l'anticommunisme comme point commun ?

Ceci dit, rapprocher cela des mercenaires vivant en republique dominicaine est peut etre trop rapide...

Le lien de Alain Robert avec Jacques Medecin est tres interessant

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_M%C3%A9decin

La ville de Nice apparait parfois dans les dossiers ... (dentiste Melchior, "parcage autorise" ...???).

... sans oublier le "casse de Nice" pour financer l'extreme-droite ...

qui est christian vander elst? dans Atlas on parle de Raymond vdElst qui est le père de Michel vdElst. Ce dernier est cité dans le dossier Dutroux (proche de Nihoul) et dans le dossier De Jonghe/Van Brussel (proche de la bande Haemers, et membre de "l'organisation").

HERVE a écrit:

Ce "Alain Robert" me semble un bon candidat pour le schema de Paul Latinus ,,, peut-etre meilleur encore que Maurice Robert ... Le lien avec Jean-Marie Le Pen (J-M P) serait evident.

Tout à fait d'accord. Il faut cependant continuer à chercher d'autres "Robert" éventuels, mais c'est bonne découverte.

Pour la recherche google par images, il suffit de choisir le mode images puis de cliquer sur l'icone appareil photo dans le champs de recherche.

Ensuite envoyer la photo, mais les résultats ne sont pas top... Ce n'est en rien de la reconnaissance faciale.

DIM a bien raison de corriger mon erreur plus haut : je parlais de MICHEL Van der Elst et pas d'un hypothetique CHRISTIAN ... (meme s'il y a un Belge de ce nom au Togo).

En ce qui concerne le portrait-robot 23, je ne sais pas ce qu'il faut en penser.

On a cite le proprietaire du "Tiger", un bar en Thailande. Il y a bien une ressemblance pour le visage mais il semblait un peu age, petit, malade (diabete) et pas assez professionnel (au sens "mercenaire") pour etre un des Tueurs du Brabant.

L'hypothese Tony Poe avec son profil de heros de Apocalypse Now est tentante. Je crois me souvenir qu'il est ne au debut des annees 1920 et mort en 2003 ... Il avait donc 60 ans environ lors des attaques.

Les temoins n'ont pas parle d'un tueur parlant anglais et le portrait ne semble pas repris sur le nouveau site internet ,,, Que faut-il conclure ?

Un temoin affirme avoir plusieurs fois rencontre Guillaume Vogeleer avec Tony Poe en Thailande. Si Tony Poe a vraiment joue un role dans les Tueries, cela clarifierait beaucoup de choses ...

Sur Soldier of Fortune, voir

http://www.newsmax.com/US/SoldierofFortuneMagazine/2010/09/14/id/370248

Sur le createur de Soldier of Fortune, Robert Brown :

http://www.nrawinningteam.com/bios00/brown.html

(voir la photo sur le site)

Lieutenant Colonel, U.S. Army Reserve, (Ret.); Special Forces Team Leader (Viet Nam); OIC Advanced Marksmanship Unit XVIII Corps; Graduate Command and General Staff College; Military Parachutist (wings from U.S., El Salvador, Guatemala, Israel, Peru, Taiwan, Thailand); competitive pistol shooter; African and North American big game hunter; author of numerous articles on guns and shooting; smuggled from Afghanistan 5,000 rounds 5.45mm Com Bloc ammo to U.S. Government (first test sample in U.S.). Directormember of Executive Committee for two years-past member of Public Affairs and Finance Committees. Nominated for re-election by Nominating Committee. Currently member of Legislative Policy, Grassroots Development, Publications Policies Committees. Has supported and funded pro-gun candidates for state Legislatures, House of Representatives and U.S. Senate. Actively supported access to public lands for hunting; combat correspondent and investigative journalist; founder/publisher of Soldier of Fortune magazine.

Mr. Brown was re-elected to the NRA Board of Directors in 2003 for a 3 year term.

Voir aussi

http://www.nytimes.com/2000/10/16/business/media-soldier-of-fortune-toughs-out-changing-times.html

(peut-etre faudrait-il comparer sa photo aux portraits-robots... comme celles de ses "journalistes").

J'ai mentionne plus haut " Fort Bragg " et Mayerus. C'est en fait du major Bougerol, par ailleurs un ami de Mayerus, que je voulais parler. Dans une interview, il reconnait "etre passe" par Fort Bragg ... A-t-il pu avoir un contact avec Robert Brown (qui y a ete instructeur)? Difficile a dire ...

Je suis un peu perplexe en voyant les ressemblances entre certains portraits-robots et des anglophones comme Robert Brown et Tony Poe ( ... et Jim C,oyne) ; je crois que les temoins ont parle de francophones ...

HERVE a écrit:

[...]
Je suis un peu perplexe en voyant les ressemblances entre certains portraits-robots et des
anglophones comme Robert Brown et Tony Poe ( ... et Jim C,oyne) ; je crois que les temoins ont
parle de francophones ...

Un des témoins, qui a vu "le vieux" dans le bois de la Houssière estime son âge entre 60 et 65 ans, plutôt de taille moyenne.
Le "vieux" était à distance et faisait des signes. Le témoin ne l'a pas entendu parler.

On parle ailleurs du "vieux" qui pilote une Golf GTI entre Braine et Overijse. Encore une fois, vu à distance, pas entendu.

Il est aussi question du vieux au volant d'une Opel (seconde équipe?).

Dans tous les cas, personne ne paraît avoir entendu ce "vieux". (Attention, ne pas confondre avec le tueur au masque de vieillard)

Jusqu'à preuve du contraire ni l'âge ni la langue n'apparaissent donc éliminatoires..?

---

Je crois que lors d'une attaque, un des membres de la bande aurait crié "Ils ont un Uzi" ... mais je ne connais plus les circonstances exactes...

Le début de la soixantaine, cela correspondrait bien à Tony Poe, de son vrai nom Anthony Alexander Poshepny (September 18, 1924 – June 27, 2003).

On en parle abondamment sur internet ... mais surtout en Asie ...

C'était un proche de Guillaume Vogeleer ...

http://teakdoor.com/food-and-drink/24683-chis-madrid-review-oldest-expat-pub-2.html



Jack Shirley is on the right and Tony Poe is sitting with him to his left.

The Madrid was an old CIA hangout during the Air America days. At that time, you most likely would run into Jack Shirley or Tony Poe downing a few beers in the Madrid. Tony Poe is who the Colonel Kurtz character from Apocalypse Now is based on. The photo below is an old one from the Lucy's Tiger Den. The walls at the Madrid are plastered with photos of customers new and old.

Cee phrase a été prononcée lors de l'attaque du Colruyt de Nivelles au cours du combat avec les gendarmes Morue et Lacroix.

Sur Soldier of Fortune :

http://www.newsmax.com/US/SoldierofFortuneMagazine/2010/09/14/id/370248

Soldier of Fortune Magazine Turns 35

Tuesday, 14 Sep 2010 02:33 PM

By Barrett Tillman

One morning in 1984, famed firearms instructor Jeff Cooper called, suggesting that I talk to Robert Brown, publisher of Soldier of Fortune Magazine (SOF) about a semiautomatic pistol, the Bren Ten, that Jeff was promoting. Since I had contributed to SOF and participated in its matches, I ventured that I’d like to hear more.

The mission: I would go to El Salvador with an SOF team to introduce the Bren Ten to combat, then return to write an article about it. But this was SOP for SOF.

Brown later admitted, however, "Cooper and I had three criteria: We needed a good enough shooter; we needed a good enough writer; and we needed somebody dumb enough to do it."

Much as I appreciated Jeff and Bob’s confidence, it never happened. The gun was plagued with problems that were only solved after the El Salvador option lapsed.

Nonetheless, that nascent episode represented Soldier of Fortune in microcosm: a hands-on approach to innovative, front-line journalism.

The magazine burst onto the scene in July 1975 with a format that set the trend for the next three decades. Brown is a former Special Forces captain and Vietnam vet with a master’s in political science and jump wings from half a dozen nations.

He’s also a natural entrepreneur who saw a niche and moved to fill the void.

The magazine began on little more than a shoestring and a hunch. Living in Boulder, Colo., Brown perceived an unfilled market and presold 4,000 subscriptions that paid for the printing of the first issue.

Billed as “The Journal of Professional Adventurers,” SOF caught on almost immediately.

The magazine recruited a network of freelance correspondents who provided on-the-ground coverage of conflicts from Rhodesia to El Salvador to Afghanistan to Burma and many intermediate stops.

Consequently, military intelligence operatives began subscribing (or taking home copies in plain brown wrappers) because Bob’s boys in the bush covered events that the mainstream media overlooked.

Bob Brown believes in participatory journalism. SOF provided the U.S. government with its first AK-74, obtained in Afghanistan, with 5,000 rounds of ammo to boot.

A few SOFers like to portray themselves as knuckle-dragging mercs, but that’s for show. Some are deceptively accomplished individuals: One earned a law degree from Harvard; another used more C4 explosive than anyone outside the U.S. government.

The byword is professionalism. For instance, a 1983 report describing the work of a 12-man SOF team in El Salvador covers 47 pages. It includes weapons maintenance, sound discipline on ambush, field medicine and sanitation. But it wasn’t all guns and gear.

One of the salient recommendations was geopolitical: “It is suggested that the government of El Salvador would gain more support in North America if more publicity were given to the fact that in a nation of 5 million people, one province has had 90,000 individuals who have fled communist areas. Aid given to these and other displaced persons by the government should also be publicized.”

In a 1986 editorial, Briown wrote, “For the last decade, I’ve hunted terrorists with the Rhodesian African rifles and fired up a Russian fort in Afghanistan with the mujahideen . . . Between firefights, takeovers and insurgencies, I manage to put out a magazine.’

He added, “We are not content to just tell the story. To the best of our ability, we also help equip, aid, and train the world’s anticommunist freedom fighters. We make no apologies about this or for our virulent anti-tyrant, anti-communist editorial stance.”

Many SOFers pursue juicy stories regardless of risk. In 1983 contributor Jim Coyne approached a notorious KGB agent known as an assassin in Thailand.

The Russian was known as “Jaws” for good reason: The U.S. embassy predicted dire consequences, especially since SOF was investigating Soviet chemical-biological weapons provided to Vietnam. Jaws glibly denied the accusation — with wink and a nod — but agreed to meet for lunch. The KGB and SOF were mutually drawn to one another.

At first Brown refused to dine with a KGB agent. But finally he went along and conducted his little corner of the Cold War in a Bangkok coffee house.

When SOF published a story about the meeting, three days later “Jaws” was recalled to Moscow. Brown subsequently got a threatening letter from him stating that he looked forward to a meeting in Central America.

Some SOF correspondents were fearless, and some paid the ultimate price.

In the first 25 years, four of the bold men who braved the most dangerous missions died in the line of duty, whether as freelance journalists or freelance mercs: George Bacon, III, in Angola; Michael Echanis in Nicaragua; Lance Motley in Thailand; and Colonel Robert MacKenzie in Sierra Leone.

Certainly the magazine has drawn its share of controversy. It has consistently outraged the left by publishing Rhodesian Army recruiting posters, to offering $25,000 in gold to a defector from Cuban intelligence, to a $1,000,000 reward for the defection of a Nicaraguan MI-24 helicopter. All the while training the Contras and Salvadorian army.

Behind the front-line reportage and splashy news coverage, SOF did something more: It supported Vietnam veterans as no other publication ever has.

That may seem natural since Brown and so many staffers are former Vietnam vets, but the thread is deeply woven into the magazine’s fabric. The 25th anniversary issue said in part, “Overnight, SOF offered Vietnam vets the recognition they deserved, a home in a sense, a meeting place for like souls. Like a banner, it acknowledged their sacrifices and continues to do so, loudly and loyally.”

The sense of camaraderie was evident in the first SOF convention I attended in the 1980s. Seated beside me was a former Green Beret officer who confided, “Being with these guys is the best I’ve felt about myself since Vietnam.”

In 1985 the magazine’s 10th anniversary drew congratulatory messages from a wide spectrum: Fleet Marine Force Atlantic, the USAF media office, Vietnam Veterans Coalition, two U.S. senators, Charlton Heston, and Arnold Schwarzenegger, among others.

Now, 35 years later, SOF and Brown are still going strong, headed for a fourth decade of reporting from the world’s hot spots, with a style and all its own.

Bob Brown sums up his philosophy with the motto: “Slay dragons, do noble deeds and never, never, never, give up.”


Visit Soldier of Fortune Magazine's website: http://www.sofmag.com/