carton jaune pour De Decker

Dans l' Angolagate (où l'on retrouve Mario Spandre), on cite Arcadi Gaydamac et Pierre Falcone.

Sur Arcadi Gaydamac :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arcadi_Gaydamak

Il est, avec son ami Khodorkovsky, partie prenante du détournement, au début des années 1990, du stock de richesses de l'ex-URSS (avec la complicité du trader Marc Rich et de la banque Paribas).

Peut-être une analogie avec le "trio kazakh".

Sur Benoît de Bonvoisin :

http://archives.lesoir.be/enquete-bonvoisin-du-neuf-liens-avec-les-horodateurs-li_t-19900608-Z02RLT.html

(...)

Ces documents concerneraient la Cidep - société éditrice d'Europe magazine, dont le juge ne doute plus qu'elle fût aux mains de B. de Bonvoisin -, ainsi que la CGE (belge et française) dont le «baron noir» a fidèlement servi les intérêts en Belgique et au Zaïre.

Nous l'avions révélé il y a quelques jours: d'autres documents ont été saisis dans l'hôtel parisien du baron De Bonvoisin. Ceux-ci - qui n'ont pas été remis au juge Van Espen - concernaient, entre autres, une proposition de vente de chars d'assaut faite au régime du maréchal Mobutu par une société d'armement française utilisant le baron Benoît de Bonvoisin comme intermédiaire. Voilà pourquoi, lors de l'exécution de la commission rogatoire belge en France, des représentants du Premier ministre Michel Rocard (qui dément cependant toute ingérence) se sont «intéressés» à l'affaire. Voilà pourquoi «l'intérêt supérieur de la France» s'est opposé un temps à l'enquête du juge Van Espen. Voilà pourquoi le communiqué du Parquet de Bruxelles diffusé jeudi salue «la parfaite compréhension des autorités françaises, lesquelles, nonobstant le caractère délicat de certaines matières traitées, ont prêté leur concours en exécutant avec célérité les devoirs demandés (...)»

Voir (vidéo - interview en anglais) :

http://www.infowars.com/gladio-black-ops-didnt-end-with-cold-war/

Gladio Black Ops Didn’t End with Cold War

Infowars.com

January 14, 2013

Appearing on Infowars Nightly News with Darrin McBreen, author Richard Cottrell explained how NATO’s “stay behind army” designed to fight in the event of a Soviet invasion of Europe was co-opted by the CIA, NATO, the P2 Masonic lodge, their fascist allies in Italy, and the military industrial complex and converted into a terrorist organization.

In addition to acts of terror in Italy and Belgium, Operation Gladio culminated in the assassination of the Italian Prime Minister Aldo Moro in 1978 by the Red Brigades, a terrorist organization infiltrated by the Italian and US secret services.

Gladio not only served as a pretext to spend trillions of dollars during the Cold War, but was also used to frighten Europeans and stampede them into voting for establishment political parties.

Richard Cottrell’s book is available at the Infowars Store. “One of P-2’s specialties was the art of provocation. Leftist organizations like the Red Brigades were infiltrated, financed and / or created, and the resulting acts of terrorism, like the assassination of Italy’s premier in 1978 and the bombing of the railway station in Bologna in 1980, were blamed on the left. The goal of this ’strategy of tension’ was to convince Italian voters that the left was violent and dangerous-by helping make it so,” writes Mark Zepezauer.

Despite claims the clandestine organization was dismantled following the terror events in the 1970s and 80s, Cottrell argues the opposite.

“Gladio is active, working and plotting to this day,” he told McBreen.

“This is an organization or idea or a brand or a trademark. Call it what you like, it is useful and you cannot put it away,” he said.

Cottrell also told Infowars Nightly News that he believes that NATO commander and Chairman of the Joint Chiefs of Staff, Gen. Lyman Lemnitzer, was the architect of the Kennedy assassination.

Lemnitzer’s proposed false flag operation against Cuba, known as Operation Northwoods, was rejected by Kennedy and his administration.

During a discussion covering numerous discrepancies and bizarre accounts in the movie theatre shooting in Aurora, Colorado, and the Sandy Hook school massacre in Newtown, Connecticut, Darrin McBreen asked the author: “Do you think they are barbaric enough to kill innocent children as an excuse to attack our 2nd Amendment?”

“Yes,” said Cottrell.

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Je partage son avis sur Lemnitzer !

Voir aussi :

http://fr.scribd.com/doc/80067441/Gladio-Richard-Cottrell-Lemnitzer

Le compagnon d'armes de Guy Weber au sein de la brigade Piron, le comte Yves du Monceau de Bergendal, est le beau-frère de Nicolas de Kerchove d'Ousselghem, très proche de Robert Close (ils ont écrit au moins un livre ensemble).

http://www.scribd.com/doc/78944465/L-extreme-droite-et-l-Etat-CHP-8

Le dossier révèle ensuite qu'outre de Bonvoisin et de Jonghe d'Ardoye intervint encore comme intermédiaire entre Generalcar et les services de la Défense Nationale un troisième noble du CEPIC bruxellois, qui faisait partie du cabinet de VDB .Il s'agit de Nicolas de Kerchove d'Ousselghem, qui est depuis 1967 un collaborateur permanent du cabinet VDB. Depuis des années, de Kerchove est l'homme de contact du CEPIC avec les organisations non militaires de l'OTAN. En 1981, il siège avec de Bonvoisin au Mouvement d'Action pour l'Union Européenne (installé rue Belliard no 39 à Bruxelles), à la commission de gestion du Musée de l'Armée, et au CEDI. Il est président de la commission de la Défense du CEPIC et directeur de la Revue Générale. Pendant des années, de Kerchove fut aussi l'un des membres belges du groupe de Bilderberg et le président des Jeunes Dirigeants Politiques Atlantiques, une organisation civile dépendant de l'OTAN. Son beau-frère était le comte Yves du Monceau de Bergendal, lui aussi membre du bureau national du CEPIC et bourgmestre d'Ottignies. Il est en outre sénateur PSC et membre de la commission sénatoriale de la Défense Nationale. Le comte du Monceau est un représentant direct du grand capital à la tête du CEPIC (essentiellement GB-Inno-BM et COBEPA)

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A noter que Yves du Monceau de Bergendal est lié à l'Ordre Souverain de Malte ... comme JF Etienne des Rosaies ...

http://www.cerclegaulois.be/cgi?usr=xwcagk9e2z&lg=fr&pag=1247&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4510&flux=1136094

Comte Yves du MONCEAU de BERGENDAL. Sénateur-Bourgmestre honoraire, Ambassadeur honoraire de l'Ordre Souverain de Malte

Pour information, voir aussi :

http://archives.lesoir.be/retour-dans-la-cite-de-dieu-_t-20080429-00FWE8.html

http://www.ordredemaltefrance.org/fr/organisation-qui-sommes-nous-missions-reseaux/reseau-national-et-international/reseau-national/bouches-du-rhone-aix-et-arles.html

En l'honneur de Camerone

Le 30 Avril, la Légion Etrangère commémorait comme chaque année le combat de Camerone. Les bénévoles qui interviennent au profit des invalides de la Légion ainsi qu'une délégation officielle composée du Grand Chancelier, du Président de l'Association Française, du Président de l'Ordre de Malte France et du préfet Etienne des Rosaies étaient les invités du Général de Saint-Chamas commandant la Légion Etrangère.

La prise d'armes présidée par le ministre de la Défense a mis à l'honneur les anciens de la bataille de Bir Hakeim, dont on fêtait le 70e anniversaire. Le père Lallemand, aumônier de la Légion Etrangère, a été élevé au grade de commandeur de la Légion d'honneur. Cette journée pleine d'émotion a permis de resserrer les liens qui unissent l'Ordre de Malte France et la Légion. Merci à tous les participants et tous nos voeux pour la suite des actions en faveur des invalides.


Publié le 14-05-2012

Nicolas de Kerchove d'Ousselghem a aussi été un collaborateur de Jean Gol ...

http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1193

En ce qui concerne le livre de Richard Cottrell sur Gladio, j'ai l'impression que l'auteur a un peu baclé le travail en voulant relier tous les événements (y compris le drame du Heysel ... et aussi tous les témoins X) ... en faisant parfois des erreurs ; il ne présente pas de preuves et ne donne pas ses sources. J'ai par exemple lu sous sa plume que Latinus et Nihoul se connaissaient ... ce que je n'ai jamais vu ailleurs ... si c'est le cas, ce serait un scoop ... Il écrit aussi que Paul Vanden Boeynants (qui serait surnommé PvB !) faisait partie du Groupe G (sic). Cela jette le discrédit sur tout le reste et c'est dommage car il y a des remarques intéressantes.

C'est ainsi qu'il relève, avec raison, que Lyman Lemnitzer a créé la DIA (Defence Intelligence Agency). Selon lui, la DIA superviserait les réseaux Stay-behind ... ce qui est une hypothèse intéressante ... (le mot "hypothèse" n'existe pas dans le vocabulaire de Richard Cottrell).

D'autant plus que Paul Latinus a déclaré travailler pour la DIA, ce qui n'est pas du tout incomptatible avec son admiration pour Alexander Haig (qui peut aussi se comprendre par le role important de Alexander Haig dans la secte Moon qui était en contact avec le WNP).

Jacques Monsieur, outre ses liens avec la Sécurité militaire belge, avait aussi des contacts avec la DIA (selon "des personnes bien informées")

Il faudrait donc aborder son livre ("Gladio, NATO's Dagger at the Heart of Europe : The Pentagon-Nazi-Mafia Terror Axis") avec un esprit critique. Je me suis meme demandé si ses erreurs manifestent étaient vraiment involontaires ou si elles avaient pour but de jeter le bébé avec l'eau du bain. Je partage en tout cas son avis sur Lyman Lemnitzer et j'y ajouterais Guy Weber ...

Le travail de Daniele Ganser sur Gladio est beaucoup plus sérieux mais est plus ancien et devrait etre mis à jour ...

Jean-François Étienne des Rosaies

http://www.acteurspublics.com/2010/08/30/le-nouveau-president-de-l-institut-du-cheval

30/08/2010

(...)

Breveté de l’École technique militaire de l’armée de l’air, ancien cavalier militaire et international de dressage, Jean-François Étienne des Rosaies a été chef de cabinet d’Olivier Stirn au secrétariat d’État chargé des Relations avec le Parlement (1973-1974). Il a été chargé de mission auprès du président et de la direction générale de la Compagnie générale des eaux de 1976 à 1986. Chargé de mission auprès de Robert Pandraud au ministère délégué chargé de la Sécurité (1986-1987), il est alors nommé préfet de la Meuse.

Chargé de mission à l’Élysée

Conseiller spécial du secrétaire général de la défense nationale de 1991 à 1994, il est chargé de mission à l’inspection générale de la région Île-de-France, puis conseiller auprès du président de cette région (1996). Chargé de mission auprès du directeur général de l’administration du ministère de l’Intérieur, il dirige le cabinet du président de la mission parlementaire pour la création de l’Observatoire de la délinquance en 2001, avant d’être conseiller de l’Institut des hautes études de la sécurité intérieure (Ihesi) en 2002. Chargé de mission au cabinet du directeur général de la police, responsable du commandement et de la coordination des unités équestres de la police et de la gendarmerie en 2003, il prend la tête d’une mission dépendant du ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire en 2006-2007.

Jean-François Étienne des Rosaies a alors été nommé chargé de mission au cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Élysée. En mai dernier, il a été nommé président du conseil d’administration de l’établissement public Les Haras nationaux. Il a été auditeur du Centre des hautes études de l’armement (Chear) en 1993.

Sur l'ordre de Malte :

http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2007-01-16/les-croises-de-l-humanitaire/920/0/3433

(...) François de Grossouvre, qui était le conseiller aux services secrets du président François Mitterrand, avait été ambassadeur de l'ordre de Malte au Maroc. L'homme qui se suicida dans son bureau de l'Elysée le 7 avril 1994 a été fait chevalier directement par Rome au début des années 80. Car l'association française, par crainte d'un scandale, avait refusé sa candidature. « Mais François de Grossouvre avait ses entrées au Vatican et a réussi à entrer comme ça », se souvient Jean-Pierre Lenoir, un ancien du Service 7 du Sdece, l'ancêtre de la DGSE. « Il a rendu de grands services à l'ordre de Malte », assure-t-on en interne sous couvert d'anonymat.

A contrario, l'ordre maltais a permis au conseiller de Mitterrand chargé des services secrets et de la police d'être proche du roi Hassan II, ce qu'il souhaitait. En fait, l'ordre semble prisé des agents secrets. Alexandre de Marenches, qui fut chef du Service de documentation extérieure (Sdece), a été fait chevalier en 1951. A un moindre niveau, ils sont nombreux à avoir officié dans les milieux du renseignement : parmi eux, Nicolas Ignatiew, descendant de Russes blancs, qui joua un rôle pour la libération des otages du Liban au côté de Jean-Charles Marchiani. Est chevalier, aussi, Jean de Sabran Pontevès, qui a travaillé pour la DST en Afrique. Et le préfet Jean-François Etienne des Rosaies, conseiller spécial du secrétaire général de la Défense nationale (SGDN) au début des années 90, devint, quand il s'avisa de quitter son poste, délégué de l'ordre de Malte.

(...)

_ _ _


Quelques remarques :

François de Grossouvre (voir Wikipedia) avait un role très important dans le Stay-behind.

Yves du Monceau de Bergendal a aussi été dans l'ordre de Malte.

http://www.cerclegaulois.be/cgi?usr=xwcagk9e2z&lg=fr&pag=1247&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4510&flux=1136094

Comte Yves du MONCEAU de BERGENDAL. Sénateur-Bourgmestre honoraire, Ambassadeur honoraire de l'Ordre Souverain de Malte

http://fr.scribd.com/doc/100815521/OPUS-DEI-en-Belgique-1986-extraits-2





Yves du Monceau de Bergendal était aussi très proche de Guy Weber (au moins depuis la brigade Piron) et de Leopold III.

En outre :

http://www.voltairenet.org/article6772.html

Les chevaliers de l’ordre de Malte : sus aux communistes !

25 janvier 1995

De nombreux membres et sympathisants de l’Opus sont également membres de l’ordre souverain de Malte, tel Son Eminence John O’Connor, cardinal-archevêque ultra-homophobe de New York.

L’Ordre dispose d’une souveraineté sans territorialité et donc d’une fiction diplomatique. Il entretient actuellement des relations d’Etat à Etat avec trente-quatre puissances et vient d’être reconnu par l’Organisation des Nations unies. Le Grand Maître de l’Ordre, même laïc et marié, a dignité de cardinal. Parmi les chevaliers on trouve les faucons américains, tels William Casey (ancien directeur de la CIA), Alexander Haig (ancien secrétaire d’Etat), Glenn Souham (décédé, ancien conseiller militaire de Ronald Reagan).

L’Ordre a collaboré avec le révérend Sun Myung Moon pour soutenir les contras du Nicaragua à hauteur de quatorze millions de dollars, par l’intermédiaire de la Fondation americaine de Preston Bush Jr (frère de l’ancien directeur de la CIA et président des USA, Georges Bush) et du Nicaraguan Freedom Fund.

Un article en anglais :

http://www.nytimes.com/cfr/international/20040701fareview_v83n4_naftali.html?_r=0

Berlin to Baghdad: The Pitfalls of Hiring Enemy Intelligence

Published: June 24, 2004

(...)

In accordance with the 1998 Nazi War Crimes Disclosure Act, the CIA and the U.S. Army have had to declassify thousands of documents on their relationships with Nazi war criminals. Gehlen himself may never have been indicted for war crimes, but we now know that at least 100 of his employees were former members of the SS.

(...)

Cette présence massive de SS dans le service secret allemand doit etre gardée en mémoire.

Voir aussi :

http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB146/index.htm

(...) At the end of the war, Gehlen established a close relationship with the U.S. and successfully maintained his intelligence network (it ultimately became the West German BND) even though he employed numerous former Nazis and known war criminals. The use of Gehlen's group, according to the CIA history, Forging an Intelligence Partnership: CIA and the Origins of the BND, 1945-49, was a "double edged sword" (...)

Un extrait d'un livre (1990) susceptible de vous intéresser

Le pouvoir sans visage
Le complexe militaro-industriel

de Pierre Marion

est sur

http://fr.scribd.com/doc/120623130/Le-complexe-militaro-industriel-Pierre-Marion-extraits

Sur l'auteur, Pierre Marion :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Marion

(...) En 1981, Charles Hernu, nouveau ministre de la Défense le nomme directeur général du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE), où il prend la succession d'Alexandre de Marenches. Il est le dernier à ce poste, puisque, le 2 avril 1982, le SDECE est transformé en Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Il en est directeur jusqu'en novembre 1982 (...)

Pierre Marion entreprend ce qu'il appelle une « démilitarisation » du SDECE qui vise à y diminuer le nombre de militaires. Fort de son expérience internationale, il pense en effet que pour être plus efficaces, les services spéciaux doivent faire appel à des civils dotés de cultures multiples (ingénieurs, économistes, historiens, géographes, linguistes etc.), à l'image des alter ego anglo-saxons (CIA, MI6) ou allemands (BND).

Le but est de dégager les services spéciaux du complexe militaro-industriel qui se comporte comme un groupe de pression autonome et engage la France dans des programmes d'armements très coûteux, inadaptés à la menace et hors de tout contrôle démocratique véritable ; il le qualifie de statocratie.

Un extrait du livre (qui date de la fin des années 1980, Pierre Marion ayant été au SDECE en 1981 et 1982) :

Une interview de J-F Etienne des Rosaies (relative à l'équitation) :

http://www.cavadeos.com/content/view/full/25710

(c'est au moins une passion qu'il partage avec Jacques Monsieur)

J-F Etienne des Rosaies est franc-maçon ... presque avec certitude à la GLNF, comme beaucoup de chefs d'Etat d'Afrique francophone et, probablement, comme son ministre Claude Guéant. Après la guerre, la GLNF a permis aux franc-maçons américains de l'OTAN de pratiquer (voir le lien avec le SACEUR franc-maçon Lyman Lemnitzer qui a inauguré à Paris les locaux d'une loge). La GLNF est actuellement sous administration judiciaire. Elle est marquée par son affairisme. Il faut noter que J-F Etienne des Rosaies parle de Armand De Decker comme d'un cousin germain ... autre loge ? autre obédience ?

J-F Etienne des Rosaies est à l'Ordre de Malte, comme François de Groussovre (Chevalier de l'Ordre de Malte, Grand Officier du mérite de l'Ordre de Malte, ambassadeur de cet État auprès du Maroc). A noter que J-F Etienne des Rosaies était très lié à une princesse du Maroc. L'Ordre de Malte abrite de nombreux (ex-)membres de services spéciaux, y compris le directeur de la CIA à l'époque de Ronald Reagan. Il faut aussi noter la présence de Yves du Monceau de Bergendal (ami intime de Guy Weber).

J-F Etienne des Rosaies est proche de Charles Pasqua et très probablement du SAC (Service d'Action Civique). Il y a évidemment beaucoup à dire sur Charles Pasqua, notamment à l'époque des prises d'otages quand Charles Pasqua était ministre de l'intérieur. Le SAC semble très lié au Stay-behind français ... François de Groussovre avait un rôle important dans le Stay-behind.

En 1972, Etienne des Rosaies devient tout à coup chargé de mission auprès du président de la République du Gabon.

Le président du Gabon était (depuis 1967) Omar Bongo ("ni à gauche, ni à droite, mais tout droit!")

http://fr.wikipedia.org/wiki/Omar_Bongo

Voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Tarallo

André Tarallo, né en 1927 à Centuri est un homme d'affaires français, connu pour être un des protagonistes de l'affaire Elf. Il est un camarade de promotion de Jacques Chirac à l'ENA en 1957. Il fut durant près de trente ans le « Monsieur Afrique » d'Elf au poste de directeur des affaires générales. Homme de terrain et d'influence, il connaît personnellement tous les chefs d'États africains, particulièrement le Gabonais Omar Bongo et le Congolais Denis Sassou N'Guesso. Tarallo était en pratique le 3ème personnage du groupe Elf, juste derrière le président et le vice-président directeur général.

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Il est instructif de s'intéresser à l'affaire Elf

http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Elf

On y retrouve Charles Pasqua, Omar Bongo et d'autres, plus ou moins proches de J-F Etienne des Rosaies.

http://www.liberation.fr/evenement/0101237809-enquete-sur-les-reseaux-de-la-compagnie-elf-banquier-du-petrole-et-de-la-guerre-en-afrique-creee-dans-les-annees-70-la-fiba-banque-controlee-par-elf-et-le-president-du-gabon-brasse-en-coulisses-les-mi

Ceci dit, Elf est également intéressant à cause de l'affaire des avions renifleurs :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_avions_renifleurs

On touche là à des noms que l'on trouve sur le schéma de Latinus : De Villegas et Jean Violet ...





Deux personnages sont à l’origine de la pseudo-invention : Aldo Bonassoli, un agriculteur italien autodidacte (devenu réparateur de télévision et pionnier des effets vidéos) et Alain De Villegas, un riche aristocrate désargenté vivant en Belgique. Ce dernier possède un diplôme d’ingénieur. Tous deux sont férus de science et avides de publicité.

Ils rencontrent dans des circonstances obscures un avocat français du nom de Jean Violet. Celui-ci a longtemps travaillé pour le SDECE, en collaboration avec certains responsables de l’Église catholique romaine afin de financer des opérations de déstabilisation dans les territoires satellites de l’Union soviétique via les communautés religieuses locales. C'est pourquoi il a pu développer un réseau de relations important, dont l'ancien président du Conseil Antoine Pinay et Philippe De Weck, un des patrons de l’Union des Banques Suisses (UBS).

Jean Violet utilise ses connaissances dans les milieux politiques et des services de l’État pour persuader la direction d’Elf d’investir dans le développement de l’appareil. Avec l’aide d’Antoine Pinay, du dirigeant d’UBS, de ses contacts parmi les anciens fonctionnaires des services secrets recyclés chez Elf (dont Jean Tropel, responsable de la sécurité au sein de l’entreprise) et dans la hiérarchie catholique (notamment le révérend père Dubois, dominicain français), il persuade Pierre Guillaumat, président d’Elf à ce moment, de réaliser des expérimentations...

La manipulation devient alors une véritable mystification.

Les responsabilités n’ont pas toutes été mises en lumière. Il semble que de nombreuses personnes au sein d’Elf aient eu connaissance de l’escroquerie et aient volontairement trompé leur direction.

Dans son ouvrage "Les Industriels de la fraude fiscale", Jean Cosson, ancien chef de la section financière du parquet de Paris, devenu conseiller à la Cour de cassation, démontre qu'il s'agit d'une fausse escroquerie. En effet, selon l'ouvrage, les escrocs n'étaient pas crédibles et la somme aurait pu être récupérée. S'appuyant sur le rapport parlementaire et sa propre enquête, Jean Cosson conclut que la décision d'accepter, en toute connaissance de cause, cette fausse escroquerie et ce vrai détournement, incombe au Premier ministre de l'époque, c'est-à-dire Jacques Chirac. Il conclut également que les sommes ont servi, au moins en partie, à constituer une caisse noire électorale pour la droite française.

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Voir aussi :

http://www.flying-zone.be/histoire/2_hist_2011_renifleurs.php

(...) L'enquête menée en 1980 par la Cour des Comptes Française aboutira à la conclusion que l'équivalent de près de 7 milliards de BF auront été versés secrètement par ELF, de 1977 à 1979,sur le compte suisse de FISALMA et près de la moitié de cette somme n'a jamais pu être récupérée ! Selon certaines sources, une partie de l'argent aurait servi à financer une caisse noire en vue des élections pour la droite française. Une commission d'enquête parlementaire constituée en France n'a pas réussi à élucider toute l'affaire mais il en résulte qu'un certain nombre de personnes au sein de l'entreprise ELF devaient être au courant de l'escroquerie. (...)

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Pour information, il y a un dénommé Michaël de Villegas sur :

http://www.eventail.be/

Il faudrait relire ce qui a déjà été écrit sur

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2362p135-schema-de-michel-libert

Quelques informations sur François de Grossouvre, à replacer dans les recherches sur le Stay-behind en France ...

(en anglais "physician" signifie "médecin", comme vous le savez sans doute)


http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_de_Grossouvre

http://en.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_de_Grossouvre

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1) Horizons noirs - L'extrême droite en Europe (J.Vander Velpen, EPO 1996) p.105

Non sans jubilation, le FN voit les juges français suivre l'exemple de leurs collègues italiens et commencer leur propre opération «Mains propres». Le parti socialiste est aspiré par les scandales comme par les sables mouvants. Le socialisme de gouvernement, qui s'annonçait en 1981 comme le règne de la justice et de l'humanisme, se termine en clientélisme et en scènes dignes de la cour des Borgia. François de Grossouvre, ami influent de Mitterrand, se tue le 7 avril 1994 d'une balle dans la bouche dans son bureau de l'Elysée.
Il y a les aventures de Bernard Tapie, homme d'affaires douteux, à qui l'appui de Mitterrand vaut un ministère dans le gouvernement Bérégovoy. Tapie est mis en cause dans une interminable cohorte de procès pour escroquerie, abus de biens sociaux et corruption.
Ce sont les signes macabres d'un socialisme qui a troqué l'idéal de l'émancipation collective pour la soif d'enrichissement individuel.(...)

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2) Nato's Secret Armies - Daniele Ganser 2005, p.90-91
(voir le livre pour notes et sources de Ganser)

The secret war against the Communists did not end when Plan Bleu was exposed and closed down in 1947. Much to the contrary, French Socialist Prime Minister Paul Ramadier saw to it that his trusted chiefs within the military secret service were not removed by the scandal. When the storm had passed he ordered Henri Ribiere, Chief of SDECE, and Pierre Fourcaud, deputy Director of the SDECE, in late 1947 to erect a new anti-Communist secret army under the code name 'Rose des Vents' (Rose of the Winds, i.e. Compass Rose), the star-shaped official symbol of the NATO. The code name was well chosen, for when NATO was created in 1949 with headquarters in Paris the SDECE coordinated its anti-Communist secret war closely with the military alliance.21

The secret soldiers understood that within its maritime original context the compass rose is the card pattern below the compass needle according to which the course is set, and according to which corrections are undertaken if the ship is in danger of stirring off course.

As the secret cooperation with the United States intensified in April 1951 the French SDECE opened a station in Washington.22 According to the overall CIA and NATO planning for anti-Communist secret warfare in Western Europe the Rose des Vents army within the SDECE had the task to locate and fight subversive Communist elements within the French Fourth Republic. Furthermore it had to undertake evacuation preparations and provide for a suitable exile base abroad. The Rose des Vents secret army was trained to undertake sabotage, guerrilla and intelligence-gathering operations under enemy occupation.

France was divided into numerous geographical stay-behind zones, to which secret cells were allocated, with each zone being supervised by an SDECE officer. An exile base for the French government was installed in Morocco in northern Africa, and the SDECE sent some of its microfilmed archives to Dakar in Senegal.23

Maybe the most famous member of the French secret anti-Communist Rose des Vents army was Francois Grossouvre who in 1981 became the adviser of Socialist President Francois Mitterand for secret operations. During the Second World War Grossouvre had enrolled in a fascist Vichy-backed militia that he later claimed to have infiltrated on behalf of the resistance. After the war the military secret service recruited him for the Rose des Vents secret army. SDECE agent Louis Mouchon who had himself recruited many secret soldiers for the network recalled how Grossouvre had been contacted: 'Our responsible man in Lyon, Gilbert Union, who during the war had carried out missions for the BCRA, was a passionate car driver and at that time had died on the road. To replace him, the SDECE had recruited, in 1950, Francois de Grossouvre.' Mouchin elaborated that Grossouvre was not only chosen for his wartime experience but as well for his contacts: 'His business, the A. Berger et Cie Sugar company, offered ample opportunities to stage fronts. He really had excellent contacts.'24

As special adviser of President Mitterand, Grossouvre influenced French secret warfare in the beginning of the 1980s but was eased out of his main responsibilities in 1985 as his cloak-and-dagger style became intolerable to Mitterrand's staider colleagues. Yet the personal relations to Mitterand allegedly remained good and when in late 1990 after the pan European Gladio discoveries President Mitterand in the midst of the scandal had to close down the French Gladio network 'he had first consulted his "grey eminence", Francois Grossouvre'.25

By the time of Grossouvre's death his participation in the secret war was no longer a secret. 'He was recruited into the French espionage service and helped to organise Gladio, an American backed plan to create an armed resistance movement in Western Europe against a Russian invasion', the British Economist noted in his obituary after Grossouvre, aged 76, had dramatically shot himself in the Elysee Palace on April 7, 1994.26 (...)

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3) Pinay Cercle (J. Van Der Reijden 2006)

p.49 du PDF

(...) Things changed in 1981, when the socialist Mitterrand became president of France. One family who couldn't appreciate the new socialist policies were the Rothschilds, who saw their family bank nationalized. They had to shift attention to New Court, their securities firm in New York at Rockefeller Center with stakes in corporations as TRW and Hughes Aircraft (194). But even though Mitterrand was a socialist, he also was a an ardent Catholic who favored European integration. Also, Georges Albertini already anticipated the victory of the socialists and brought Mitterrand's closest friend and confidant, Francois de Grossouvre, into the Cercle six months before the elections. When Mitterrand was elected in 1981, he appointed de Grossouvre as coordinator of security and intelligence (195). Four years later de Grossouvre and Admiral Pierre Lacoste, two leading officers in the French stay-behind networks (196), were among a small group that decided to sink the Rainbow Warrior in reaction to the protests of Greenpeace against French nuclear testing at Mururoa (197)

p.103-104 du PDF

[195]
1993, Brian Crozier, 'Free Agent', p. 217-218: "At the Cercle meeting in Washington in December 1980, Georges Albertini had brought along a quiet Frenchman named Francois de Grossouvre. This was an impressive example of his foresight. De Grossouvre, a physician, was the closest friend and confidant of the Socialist leader and presidential candidate Francois Mitterrand. For many years, Grossouvre had carried out special missions for Mitterrand. By nature and training, he was self-effacing. He played no part in our debates, but listened carefully, taking notes. Five months later, Francois Mitterrand narrowly defeated Valéry Giscard d'Estaing in France's presidential elections. One of his first actions was to appoint de Grossouvre as his coordinator of security and intelligence. Shortly after, having obtained his direct line from Albertini, I went to see him in his modest office in the Elysée Palace."

[196]
2005, Daniele Ganser, 'NATO's Secret Armies', p. 101: "[The SDECE's] name changed to Direction Generale de la Securite Exterieure (DGSE) and Admiral Pierre Lacoste became its new Director. Lacoste continued to run the secret Gladio army of the DGSE in close cooperation with NATO..." Ganser, p. 90: "Maybe the most famous member of the French secret anti-Communist Rose des Vents [French Stay Behind/Gladio] army was Francois Grossouvre who in 1981 became the adviser of Socialist President Francois Mitterand for secret operations."

[197]
October 6, 1985, New York Times, 'Greenpeace ship reaches test site': "The Greenpeace flagship has arrived off the coast of the French nuclear test site in the South Pacific, where it joined another protest ship from the organization...
Greenpeace replaced the Rainbow Warrior, which was blown up on July 10 by French agents in New Zealand's Auckland harbor... Meanwhile, the largest opposition newspaper in Paris, Le Figaro, reported Friday that Mr. Mitterrand must have known of plans to sink the Rainbow Warrior, which was preparing to lead the Mururoa protest. Mr. Mitterrand's Socialist Government acknowledged secret service responsibility for the sinking last month. Defense Minister Charles Hernu and Adm. Pierre Lacoste, the head of the secret service, resigned because of the scandal. Le Figaro, without citing its sources, said the decision to mine the Rainbow Warrior was made in June in a meeting at the Elysee Palace attended by Mr. Hernu, Admiral Lacoste and the presidential adviser, Francois de Grossouvre. It was ''not believable'' that Mr. de Grossouvre failed to inform Mr. Mitterrand of the sabotage plans, Le Figaro contended."

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4) Rogue Agents - Habsburg, Pinay and the Private Cold War 1951 - 1991 by David Teacher (3rd edition, 2011) p.222 du PDF

(379) Roth and Ender, pgs 89-90. The Cercle/6I had already assisted the Israelis a year earlier at the July 1979 launch of the propaganda outlet, the Jonathan Institute – see below. Crozier reveals that the next Cercle meeting would be held in December 1980 in Washington, a meeting attended by Carter's adviser on Soviet Affairs, Professor Marshall Shulman of Columbia University – see Crozier, pg 261. Crozier also reveals another guest at that meeting:

"At the Cercle meeting in Washington in December 1980, Georges Albertini had brought along a quiet Frenchman named François de Grossouvre. (...)
Shortly after, having obtained his direct line from Albertini, I went to see him in his modest office in the Elysée Palace. We had reacted with alarm to Mitterrand's victory, but de Grossouvre reassured me"

– Crozier, pgs 217-218.


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Au sujet de la DGSE, à noter que, selon Pierre Marion :

(...) La moitié des effectifs totaux - environ 3000 agents - est constituée de militaires. 90 % des postes de resposabilité sont tenus par eux (...) En 1981, la structure de commandement était encore dérivée du modèle militaire et totalement inadaptée ...)

Dans le livre de Michel Leurquin et Patricia Finné (pages 98 et suivantes) :

(...) Adriano Vittorio jouera un rôle primordial dans l'enquête sur la filière boraine (...) Il se vantera toujours d'avoir appartenu au très controversé SAC, le Service d'action civique. (...)

Le SAC n'était pas en Belgique en terre inconnue. Le plat pays servait de plaque tournante pour exporter de l'héroïne vers la Suède et la Suisse via un homme de confiance, le trafiquant de stupéfiants André Condemine.

(Après 1982) plusieurs des responsables du mouvement viendront se réfugier en Belgique. (...)

_ _ _


En faisant des recherches sur André Condemine, on arrive notamment sur le clan Zemmour :

http://lunik-parrain.skyrock.com/34264543-LES-Z.html

(...) En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux "Z" de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le "gang des siciliens". (...)

mais aussi sur

http://www.mail-archive.com/ctrl@listserv.aol.com/msg29599.html

The Great Heroin Coup

(...) Police fished a drifting trunk from the Seine on 28 July 1973. Inside was the corpse of a man with bullets in his heart and neck. It was Andre Condemine, the David gang's minister of transportation and its only member to avoid arrest. Police investigation established he had been dead since February. Perhaps Condemine had had something to do with the arrest of Jean-Baptiste Croce. It was no secret that Condemine had sought to reconstruct a Latin American narcotics network and had settled on Mexico, Croce's territory.

http://www.mail-archive.com/ctrl@listserv.aol.com/msg29598.html

Beau Serge was by then the undisputed boss of "The Brazilian Connection." Its other leaders were Sarti, Michel Nicoli, Andre Condemine, Francois Canazzi, Jean Lunardi, Francois Chiappe, Robert Bourdoulous, and Francois ("Fan Fan") Orsini. Most had known David through SAC. Some had been with Ricord in
Paraguay. Newcomers Orsini and Canazzi were wanted in France for attempted murder.

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Selon Michel-j

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1372p285-ciolini-elio-bande-haemers-loge-p2-en-italie

Dédé Condemine était en fait l'homme de confiance et le représentant en Europe de Christian David, lui même devenu le bras droit d'Auguste Ricord (internationale nazi) après qu'il eut rendu de fiers services aux S.R de droite d'Amérique, via le SDECE, contre les groupuscules de gauche de l'Amérique latine. Nous somme là au coeur de la "French-Latin-Connection" (la filière sud... à ne pas confondre avec la filière nord fleurant plutôt l'anis).

... et Gilbert Zemmour a aussi été lié au SAC ...

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Voir

http://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Ricord

Auguste Ricord, surnommé "il commandante" ou "Mr Héroïne", est connu pour avoir été l'un des principaux trafiquants de la French Connection dans les années 1950 et 1960.

Proche d'Henri Lafont (chef de la Carlingue), Ricord avait travaillé pour la Gestapo française en tant qu'homme de main sous le régime de Vichy. Ayant fui en Amérique du Sud à la Libération, le truand montera un trafic d'héroïne à destination des États-Unis transitant par le Mexique et surtout il mettra en place les premiers laboratoires de transformation d'opium à Marseille (peut-être avec une partie de l'argent de la "carlingue").

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http://www.pensezbibi.com/categories/pensees-politiques/autour-dun-verre-de-pastis-charles-pasqua-et-le-jdd-13138

(...) dans le livre d’Alain Jaubert («D comme Drogue» paru aux Editions Alain Moreau), livre aux 640 pages que ne peut/pouvait ignorer notre Valdiguié avant son interview. Voyons ce qui se disait dans ces bonnes pages :

«Page 345, par exemple, on lit : «Jean Venturi assure l’acheminement de la drogue vers le Canada et le rapatriement des capitaux vers la Suisse ou la France. I! est au même moment représentant au Canada du Pastis Ricard. Le directeur commercial chargé des exportations chez Ricard est Charles Pasqua, un des fondateurs du SAC., grand recruteur de truands et de barbouzes. Au moment où Pasqua a Venturi sous ses ordres, il ne peut absolument pas ignorer les activités de son représentant, puisqu’elles ont fait l’objet d’une fiche du FBI publiée aux Etats-Unis, qu’il y a à Marseille un copieux dossier de police consacré aux frères Venturi et que le nom de Venturi ne peut à l’époque, en aucune façon, être ignoré du moindre directeur commercial de la région marseillaise ».

Jusqu’en 1973, Pasqua était député UDR (ex-UMP) des Hauts-de-Seine. Un dur du gaullisme. En suivant pas à pas toutes ces affaires de drogue qui éclatent de temps en temps pour retomber aussitôt, Alain Jaubert retrouve les mêmes noms, les mêmes hommes politiques, les mêmes banques — car il en faut pour faire un trafic qui porte souvent sur des sommes d’un ou deux milliards de francs. Et, bien sûr, les mêmes officines comme celle du SAC.

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http://www.voltairenet.org/article6800.html

(...) Autre épisode : en 1972, le quotidien new yorkais "Newsday" publie une série d’articles intitulés "The heroïn trails". Une équipe de journalistes a commencé son enquête au Canada sur les agissements dans les années 60 de Jean Venturi, représentant local de la firme Ricard, dont le supérieur hiérarchique direct avait été à l’époque Charles Pasqua, directeur des ventes à l’export.

Après avoir obtenu confirmation auprès des services de police compétents du document du bureau américain des narcotiques incriminant Jean Venturi dans un trafic d’héroïne à destination des Etats-Unis, les journalistes new yorkais arrivent à Paris pour remonter cette ramification de la célèbre french connection. Leur récolte est maigre.

L’opacité de la firme Ricard ne leur a pas permis d’établir la vraie nature et l’ancienneté des liens unissant Pasqua et Venturi. Au moins ceux-ci étaient-ils liés par une réalité hiérarchique au moment de la cavale de Venturi, en 1967.

Il n’a pas été non plus établi si les Pasqua - que des liens familiaux unissent au Canada - étaient, par ce biais aussi, en contact avec les Venturi. Parallèlement, des recherches ont été menées sur le patrimoine de la famille Pasqua.

En 1994, à l’occasion d’une recherche, la disparition inexpliquée des archives de "Newsday" concernant cette enquête a été constatée.

En 1967, un mandat d’arrêt international a été établi à l’encontre de Jean Venturi. Il n’a jamais été arrêté.

Il a été question de Jacques Offergeld plus haut. Il est sur le schéma de Paul Latinus, sous "de Villegas".

Jacques Offergeld a écrit un livre, avec beaucoup de photos, sur Léopold III. Dans la même collection, il y a un livre de Jo Gérard, un de Jacques de Launay et un de Barbara Emerson.

Sur Jo Gérard, voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jo_G%C3%A9rard

Il fut le confident politique de VDB pendant des décennies, mais aussi, à l'époque de l'assassinat de Lumumba le rédacteur en chef de l'hebdomadaire Europe Magazine, une publication d'extrême droite qui publiait régulièrement des articles ouvertement racistes. Il avait également mis sur pied, au Congo-Brazzaville, une radio qui émettait une propagande hostile à Lumumba.

Sur Jacques de Launay, voir :

http://fr.scribd.com/doc/77306582/Les-Brigades-Noires-CHP14

Le président de cette "European Press Association" (EPA) n'est autre que Jef Anthierens, rédacteur en chef du périodique flamand "Spectator", et président de la "Compagnie Internationale d'Editions Populaires" (CIDEP). la société éditrice du "Nouvel Europe-Magazine". Parmi les responsables de l'EPA, citons l'historien Jacques de Launay, alias Jacques Formant, écrivain et collaborateur épisodique au "Nouvel Europe Maqazine" (...)

Voir aussi :

http://books.google.be/books?id=W5Mnwe7-dU4C&pg=PA27&lpg=PA27&dq=%22de+launay%22,+CEPIC&source=bl&ots=sSTyxxMMjp&sig=33aAY3UqMk6I5_ZjpWf6quX_z2o&hl=fr&sa=X&ei=Azj4UIGWFIWn0AW5u4HYDw&redir_esc=y#v=onepage&q=%22de%20launay%22%2C%20CEPIC&f=false

VDB Un Citoyen Au-Dessus De Tout Soupcon
Par Jan Willems

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Il est aussi question de Jacques Offergeld dans

http://fr.scribd.com/doc/77306582/Les-Brigades-Noires-CHP14

(...) Parmi les 47 candidats de la liste "Unité des Belges" se présentant à Schaerbeek, on trouvait en 1976 : le journaliste Charles Verpoorten, aujourd'hui éditorialiste connu pour ses positions droitières à l'hebdomadaire
"Spécial-l'Eventail" et membre du comité directeur du CEPIC, Jacques Offergeld qui, lors de précédentes élections avait bénéficié du soutien du JBJ et est devenu par la suite conseiller de la société PDG du baron Benoit de Bonsoivin, et Jacques Van Den Bemden, ancien de "Jeune Europe". En 1964, Jacques Van Den Bemden fut l'un de ceux qui suivirent le docteur Claude Nancy et Emile Lecerf, actuel rédacteur en chef du "Nouvel Europe-Magazine", lors qu'ils quittèrent "Jeune Europe" pour fonder "Révolution Européenne". Jacques Van Den Bemden est maintenant journaliste au "Nouvel Europe-Magazine" et rédacteur en chef de la publication anticommuniste "Inforep" éditée par la société PDG. Lors des élections communales d'octobre 1982, Van Den Bemden s'est présenté à Schaerbeek sur la liste du bourgmestre Roger Nols. (...)

Hervé en pilote automatique

.

Il est vrai que cela pourrait sembler manquer de cohérence ... Le fil d'Ariane reste les schémas de Libert et de Latinus sur le WNP (et ce qui l'entoure) ainsi que ce qui pourrait etre lié à Armand de Decker.

En ce qui concerne les schémas, il y a quand meme des progrès : le lien de Villegas / Violet via les avions renifleurs par exemple ... tout en sachant que l'on touche là à la société ELF et que cela risque de partir dans beaucoup de directions différentes, notamment africaines.

ELF, cela touche également Charles Pasqua, personnage trouble (c'est le moins que l'on puisse dire) :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Pasqua

Charles Pasqua a été témoin au mariage de Nicolas Sarkozy (23 septembre 1982).

Il a aussi des liens obscurs avec le Québec (son épouse et la famille de celle-ci ...) et, bien entendu, avec le SAC.

Il faut se souvenir que J-F Etienne des Rosaies est un préfet "pasquaien", notamment impliqué dans la crise des otages quand Charles Pasqua était ministre de l'intérieur (rétro-commissions ?). Etienne des Rosaies est aussi franc-maçon, sans doute à la GLNF, la loge "affairiste" où l'on retrouve les chefs d'Etat d'Afrique francophone ...

Je ne voudrais pas approfondir toutes les "affaires" de la France :

http://users.skynet.be/nomoreillusions/scandal_in_france.html

mais il ne faut pas etre naif non plus.

La GLNF nous conduit aux franc-maçons américains dont ceux du SHAPE / OTAN et notamment Lyman Lemnitzer (assisté en Belgique par Guy Weber).

Il faut vraiment relire l'article du Canard enchainé (d'il y a trois mois) et la lettre de J-F Etienne des Rosaies à son ministre Claude Guéant ...

Tout ce qui concerne le WNP et les Stay-behind pourrait nous éclairer. Je pense notamment au role de la DIA (Paul Latinus, Jacques Monsieur ...) qui est le principal fournisseur de renseignements militaires US et responsable de la coordination des activités de renseignements des organes du Département de la Défense, en lien avec les Joint Chiefs of Staff (JCS).

L'histoire de la DIA commence avec le Defense Reoranization Act de 1958. En mai 1960, le président Eisenhower charge un organisme spécial d'étudier les aspects organisationnels et fonctionnels du renseignement militaire afin des les optimaliser. L'étude conduit à l'exigence de la création d'une nouvelle organisation de renseignement militaire.

Le 8 février 1961, le secrétaire à la Défense Robert McNamara charge le Joint Chiefs of Staff d'établir et de développer un concept pour une agence de renseignements. Le 1° aout 1961, le JCS publie la Directive 5105.21 "Defense Intelligence Agency" entrée en vigueur le 1° octobre 1961, qui crée la nouvelle agence. C'est notamment elle qui gère la formation et l'engagement des attachés militaires.

En schématisant, on pourrait dire que la DIA est le "bébé" de Lyman Lemnitzer (et il ne faut pas oublier l'opération Northwoods). On peut penser que la DIA , avec le SACEUR, supervise les réseaux Stay-behind.

C'est pourquoi je suis parfois critique envers Guy Bouten qui, dans son dernier livre, parle uniquement de la CIA (surtout que, selon moi, la CIA n'est pas une entité uniforme et cohérente ... voir les livres de Loftus).

Une des pistes intéressantes serait de mieux connaitre les liens entre Armand De Decker et la famille du comte Philibert de Liedekerke (dont l'épouse d'origine chilienne était proche du WNP et de Paul Latinus).

Une autre piste serait de clarifier les liens entre le Stay-behind français et le SAC. François de Grossouvre n'est plus là pour nous aider.

Cela vaut aussi la peine d'en savoir plus sur les trafics d'armes vers l'Afrique : voir le témoignage de Gaetano Orlando sur l'OTAN à Bruxelles, voir le role de Benoit de Bonvoisin pour la vente de chars au Zaire de Mobutu, voir le role de Mario Spandre dans l'Angolagate, voir les activités de Faez el Ajjaz (financier du WNP), notamment avec Beherman ...

Ce qui contribue aussi à la complexité de ce fil de discussion, c'est le parcours de J-F Etienne des Rosaies

Voir aussi :

http://www.acteurspublics.com/2010/08/30/le-nouveau-president-de-l-institut-du-cheval

Il a été journaliste puis a été en lien avec les "services", les renseignements, la défense ... avec une expérience en Afrique (Gabon) et des roles de "chargé de mission", notamment à la Compagnie Générale des Eaux ... ce qui fait penser à Benoit de Bonvoisin et aux contrats liégeois. Son appartenance à la franc-maçonnerie (GLNF ?) ne clarifie pas les choses, ainsi que sa proximité avec Charles Pasqua ...

Il pourrait certainement nous éclairer ... mais le voudra-t-il ?

En ce qui concerne Jacques Offergeld (dont il est question plus haut et qui apparait dans le schéma de Latinus), voir, en néerlandais :

http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1122

Een boek van de journalisten Jacques Offergeld en Christian Souris dat eind 1985, na de overval op het Delhaize-warenhuis van Aalst, verscheen. De auteurs omschreven de Bendeleden als terroristen die in opdracht van drugs- en wapenhandelaars de Belgische instellingen wilden destabiliseren. Ze verwezen naar de rol van de KGB en de Bulgaarse firma Kintex en voegden er fijntjes aan toe dat Willy Pourtois in opdracht van Kintex wapentransacties behartigde. (Zie ook de Russische Connectie.)

Dit verklaarde zijn aanwezigheid bij Dekaise in Waver en bij de weverij in Temse. Ze vergaten er wel bij te vermelden dat Pourtois een informant was van de Staatsveiligheid en met Bouhouche en Faez Al Ajjaz samenwerkte. Het spoor dat Offergeld en Souris ontdekten, voerde naar de communistische geheime diensten en vertoonde sterke gelijkenissen met de hypothese rond de Turk Agça na de aanslag op de paus in 1981.

De twee journalisten haalden de mosterd bij Claire Sterling, auteur van het boek 'The secret war of international terrorism' en door hen de hemel in geprezen als 'la grande spécialiste du terrorisme', zonder te vermelden dat ze CIA-agente was.

Offergeld was journalist van NEM en Inforep en vertoefde dus jarenlang in de kringen van majoor Bougerol en baron de Bonvoisin maar ook van commissaris Smets. Hij kreeg een conflict met zijn broodheren en stapte over naar de Antwerpse zakenkrant 'La Métropole', de spreekbuis van het Joodse diamantmilieu.

Christian Souris was journalist van het liberale weekblad Pourquoi Pas? en werd door Paul Latinus als eerste gecontacteerd om het bestaan van WNP bekend te maken. Souris kreeg van zijn bazen na tussenkomst van minister Gol geen toelating om de primeur te publiceren. Daarop wendde Latinus zich tot René Haquin die de infiltratie van commissaris Smets in de WNP tot grote woede van Gol aan de kaak stelde.

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Christian Souris n'a donc pas pu avoir la primeur pour le WNP. Avec Offergeld, il publie un livre qui semble accuser le KGB pour les "années de plomb" ... mais rédige quand-meme dans le "Pourquoi pas?" deux articles intéressants sur les liens avec la Suède pour Securitas et pour Olof Palme ...

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Intéressant de noter le lien avec la piste bulgare pour l'attentat contre le pape Jean-Paul II.

Dans cette piste apparait notamment le père dominicain belge Felix Morlion

http://www.resistances.be/tueurs10.html

Il est question ailleurs sur le forum de ses activités à Anvers avant la seconde guerre mondiale.

Je continue à me poser des questions sur l'ordre dominicain. Outre Felix Morlion, il y a la Milice de Jésus-Christ, d'obédience dominicaine :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t742p30-milice-de-jesus-christ

et aussi le père Dubois, dominicain français.

Sur Yves-Marc Dubois :

http://www.8bitmode.com/rogerdog/lobster/lobster26.pdf

(...) An early associate of Violet's in his work for the SDECE was fellow agent
Father Yves-Marc Dubois, foreign policy "spokesman" for the Dominican order,
unofficial member of the Pontifical Delegation to the UN, and believed by the
SDECE to be the head of the vatican secret service. The pair were active in the United
Nations in the mid50s, to prevent UN condemnation of France's Algerian policy,
when Violet was attached to the French delegation headed by Antoine Pinay.
Another major focus for Violet and Dubois'activities for the SDECE was Eastern
Europe: they received half a million francs a month from General Grossin to run "the
Church of Silence", Catholic networks behind the Iron Curtain.'

Another early contact for Violet, also thanks to Pinay, was Franz Josef Strauss,German
Defence Minister, Bavarian Premier and head of the CSU party who was later to
become a key political-figure in the Pinay Circle.

(...)

Note : ci-dessus, on parle aussi de Violet, également cité dans le schéma de Latinus et qui avait un lien avec De Villegas pour les avions renifleurs ... cela éclaire un peu pourquoi De Villegas et Jacques Offergeld sont très proches dans le schéma (mais il y a peut-etre d'autres explications). Dans le schéma, un point d'interrogation sépare De Villegas et "G", qui pourrait etre Giscard d'Estaing, vu l'allusion aux diamants.

Jacques Offergeld connaissait bien le milieu diamantaire (il a été journaliste à 'La Métropole' d'Anvers).


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Bien entendu, il y a aussi les liens entre entre le père de Michel Vander Elst (dossier Atlas, etc) et le père dominicain Dominique Pire.

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Impressionnant !

L'informatique offre des moyens pour maitriser la complexité ... et nous en avons bien besoin ...

Un point faible aussi dans le forum : il y a peu de choses sur l'Allemagne.

Pourtant, les liens avec le WNP sont nombreux !

Dans le livre de René Haquin, on peut lire ce qui suit (à propos de Michel Libert) :





Il y a aussi des témoignages très étonnants sur la direction de Volkswagen par exemple (Karel De Lombaerde, Michel Libert) et celle de Mercedes ...

J'ajouterais bien la richissime famille Flick et d'autres sociétés allemandes ...

De quoi le Stay-behind allemand était-il composé ?

Cela a-t-il été approfondi par les enqueteurs ?

Au sujet de richissimes familles et des mouvements qu'elles soutiennent, un lecteur attentif me conseille :

http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cagoule

et aussi (à vérifier)

http://jssnews.com/2011/07/17/la-saga-bettencourt-de-la-cagoule-a-la-kipa/