la piste noire

Wabo:

Citation :

Je crois simplement que le FDJ est très peu connu (la faute sans doute à sa dissolution) et que d'investigations, si on veut s'orienter vers l'extrême-droite, il faudrait peut-être creuser aussi de ce côté-là. Simple suggestion

timing correct:

Citation :

27 Januari 82 : Het Hof van Beroep in Brussel bevestigt de veroordeling tegen het Front de la Jeunesse van mei 1981.

Citation :

le début du commencement de la bande TBW : Dinant, 13 mars 1982

.

Dans vos tablettes, auriez-vous aussi des proches de Lhoist ou de Dumont-Wautier ?


A noter que l'on voit passer très souvent le nom de Otto de Habsbourg ...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_de_Habsbourg-Lorraine

Diplômé de l'université belge de Louvain en sciences sociales et politiques, Otto de Habsbourg-Lorraine doit en 1940, avec sa famille, fuir la Belgique, puis la France, au début de l'offensive d'Hitler, qui le déteste car Otto de Habsbourg s'est publiquement opposé à l'Anschluss en 1938.

Grâce au consul portugais à Bordeaux, Aristides de Sousa Mendes, les Habsbourg-Lorraine obtiennent des visas pour passer la frontière franco-espagnole et ensuite quitter l'Europe pour les États-Unis où ils s'installent à Washington.

Membre de la Ligue anti-communiste mondiale, il fait partie du comité de parrainage du Cercle Renaissance, une organisation patriotique française.

Partisan de l'unité européenne, il est député au Parlement européen de 1979 à 1999, représentant du Land allemand de Bavière au sein de la formation conservatrice CSU. Doyen d'âge, il préside par deux fois la séance inaugurale du Parlement européen. Il fonde, avec un groupe de députés européens favorables à l'apprentissage de la langue française, le GEDULF, qui fait la promotion du français comme langue de référence de l'Europe ...

.

Quelle branche de la famille Nassau ? Attention, je suis luxo.

.

luc "rocky" v.k., ami de "flupke" v.e., n'est-il pas marrié avec une basque franquiste (combination surprenante) ?

Une famille "ducale" ...

http://www.van-eyck.com/notre_equipe_01.php

Thierry de Looz Corswarem, Fondateur et Président de Financière Van Eyck, né en 1948, trois enfants. Après des études en Sciences Politiques, il a passé plus de 30 ans dans de grandes banques privées : Paribas puis Banque de Gestion Privée et la Compagnie Financière Edmond de Rothschild.

http://www.resistances.be/el200701.html

Front national (FN)

Dans la circonscription de Bruxelles-Hal-Vilvorde : Georges Duterme (l'un des principaux rédacteurs du journal Le National, le mensuel du parti, 5e effectif), Christine Van Nieuwenhoven (députée régionale bruxelloise, 21e) et Thierry de Looz-Corswarem (qui fut l'un des deux premiers députés FN en 1989, et qui pousse la liste).

Pour information :

http://vlex.be/vid/-38563585

http://www.fnb.to/FNB/Article/Bastion_35/Analyse.htm

et

(Situation au 1 juin 1999)

http://www.europarl.europa.eu/election/listcand/ccbe.htm

FN (Front National)

Liste des candidats :

Daniel FERET
Hugues WAILLIEZ
Christiane VAN NIEUWENHOVEN
Alain SADAUNE
Françoise JULSONNET
Françoise VERHEGGE
Christian HAUDEGAND
Francis DETRAUX
Jocelyne VETU
Comte Thierry de LOOZ-CORSWAREM

Liste des suppléants :

Jacqueline MERVEILLE
Hugues WAILLIEZ
Audrey RORIVE
Baron Emanuele LICARI di CASTEL MOLA
Josiane BENIS
Pol WUIAME
Patrick COCRIAMONT
Guy HANCE
Lucien DUVAL
Georges HUPIN

http://familleroyalebelge.blogspot.com/2011/10/le-role-politique-du-roi-albert-ii-en.html

1995

En juillet, le Roi octroie des insignes royaux à Guy Spitaels (PS), Léo Delcroix (CVP), Guy Coëme (PS), Frank Van den Broucke (SP), Alain Van der Biest (PS) et Guy Coëme (PS), tous impliqués dans des "affaires" (Agusta p.ex.), ainsi qu'au comte Thierry de Looz-Corswarem, élu du Front National. Beaucoup de Belges sont choqués de cet arrêté royal. Certains anciens combattants renvoient leurs décorations au palais royal, accompagnées d'une lettre de reproches. En fait, il est de tradition que le ministre de l'Intérieur propose au Roi le nom des femmes et hommes politiques siégeant depuis huit ans au parlement fédéral. Ceux-ci obtiennent les insignes de chevalier de l'Ordre de Léopold. Au fur et à mesure que leur nombre d'années de présence augmente, ils deviennent successivement Commandeur, Grand Officier et Grand Cordon. Rappelons qu'Albert II est le Grand Maître de l'Ordre de Léopold.

http://archives.lesoir.be/quand-les-d-ursel-etaient-les-seigneurs_t-20050601-000937.html?query=Schetz&firstHit=0&by=10&sort=datedesc&when=-1&queryor=Schetz&pos=1&all=2&nav=1

Quand les d'Ursel étaient les seigneurs

MEUWISSEN,ERIC

Page 20

Mercredi 1er juin 2005

Limelette Etude généalogique

ÉRIC MEUWISSEN

Impressionnante. Si vous passez par Limelette, profitez-en si l'église est ouverte pour aller jeter un coup d'oeil sur la dalle funéraire de Jean d'Ursel et de sa femme Jeanne de Limelette. Soit la dalle d'un grand seigneur décédé en 1505. Son histoire nous est notamment racontée dans la magistrale étude du comte Baudouin d'Ursel (1). Une étude, fruit du travail de toute une vie, qui nous retrace, outre l'histoire des seigneurs de Limelette, l'épopée des grands marchands Schetz devenus d'Ursel par la suite. L'auteur a ainsi étudié en profondeur leur action économique, leur fortune, leurs carrières militaires ou politiques.

D'abord, il y a Erasme Schetz, mort en 1550 et établi à Anvers où il sera l'un des premiers marchands de la cité. Ses fils continueront sur sa lancée, l'aîné devenant même en 1560 trésorier général. Par la suite, des mariages avantageux, plus relevés de génération en génération, les feront accéder au sommet de la hiérarchie nobiliaire des Pays-Bas. Et c'est ainsi qu'on verra bientôt le comte, devenu duc d'Ursel (1717), entrer dans le monde très fermé des princes européens.

Pour l'anecdote, signalons au passage qu'une des filles du deuxième duc d'Ursel épousa le célèbre feld maréchal de Ferraris (1726-1814), auteur de la fameuse carte des Pays-Bas qui porte son nom.

L'auteur arrête sa généalogie avec le maire de Bruxelles sous Napoléon, le duc Charles Joseph (1777-1860). Ce dernier qui fut par la suite sénateur du jeune royaume de Belgique est l'ancêtre de tous les d'Ursel actuels. Une famille que l'on retrouve aujourd'hui dans de nombreux coins de Brabant wallon. Et plus particulièrement à Wavre au Bois de Laurensart, au château d'Heylissen (Hélécine) et à Grez-Doiceau autour du Bercuit, ou une avenue porte d'ailleurs leur illustre patronyme (avenue Gérard d'Ursel).

A ce sujet, nous apprenons que la propriété de Bercuit à Grez-Doiceau a été acquise et améliorée avec l'argent de la vente entre 1906 et 1913 de terres (30 ha) que la famille possédait à Hoboken. Des terres de grande valeur, vu la proximité d'Anvers.

(1) « Comte Baudouin d'Ursel : Les Schetz » (2 vol.), 956 pages. Recueil de l'Office généalogique et héraldique de Belgique, T. LIV & LV. Rens. : 02-772.50.27.

_ _ _ _ _ _


Extraits du livre suivant :

VDB Un Citoyen Au-Dessus De Tout Soupcon

Par Jan Willems

On a déjà écrit beaucoup de choses sur Bernard de Bonvoisin. Son grand-père maternel était Alexandre Galopin, qui fut pendant des années à le tête de la Société Générale. Galopin fut un des banquiers que le gouvernement Pierlot chargea en mai 1940 de veiller au bon fonctionnement de l'administration de notre pays pendant l'occupation. Il fut par ailleurs l'auteur de deux documents qui furent utilisés après la libération par un certain nombre de collaborateurs économiques pour justifier leur comportement.

Le père de Bonvoisin fut également pendant des années membre de la direction de la Société Générale. Il y représentait le groupe des sociétés immobilières et les secteurs du diamant et des assurances. En raison de son importance, la famille de Bonvoisin avait ses entrées à la cour, et c'est encore le cas aujourd'hui.

Le frère de Benoît de Bonvoisin, Pierre-Alexandre, qui fait partie des cadres supérieurs de la Société Générale, a épousé une comtesse de Jonghe d'Ardoye. Sa soeur Marie-Cécile est candidate PSC à Woluwé-St. Pierre et l'épouse du comte Hervé d'Ursel déjà mentionné.

(...)

Selon un rapport du Comité Supérieur de Contrôle, le service social et culturel de l'armée (CDSCA) aurait fait pression en 1974 sur plusieurs de ses fournisseurs pour qu'ils versent de l'argent dans la caisse électorale de Vanden Boeynants. Le baron de Bonvoisin intervint comme intermédiaire dans cette transaction illégale effectuée par Freddy Rossignol (collaborateur et fidèle ami de Vanden Boeynants).

_ _ _

Page 83

Le nom de Charlie De Pauw parut pour la première fois en 1957 comme actionnaire d'une importante société immobilière. Il s'agissait de l'entreprise "Terres et Domaines" déjà mentionnée, dont Jean Cruysmans et la "Caisse Privée" avaient été les cofondateurs en 1953.
A la même assemblée générale où Charlie De Pauw fit son entrée au conseil d'administration de la société, la banque suisse Pictet reprit les actions de la Caisse Privée. Parmi les autres actionnaires, on peut citer le comte Philippe d'Ursel et son altesse royale le prince Rodolphe de Croy. Charlie De Pauw se trouvait donc en illustre compagnie.

Page 86

La maison d'Ursel appartient à ce qu'on appelle dans les cercles aristocratiques "les princes du Salon Bleu", c'est-à-dire la haute noblesse. Et le comte Philippe d'Ursel n'est pas un rejeton quelconque de cette lignée, puisqu'il dirige aujourd'hui l'Association de la Famille d'Ursel, la société qui gère le patrimoine familial.

Trouvez-vous des noms connus dans l'article suivant ?

http://archives.lesoir.be/chatelains-en-sursis-la-fin-d-une-epoque-ou-sont-passes_t-19930507-Z06QHD.html

(...) Au début du siècle, une cinquantaine de familles aristocratiques se partagent la grande fortune foncière (1). Neuf familles de la noblesse mènent un train de vie que l'on pourrait qualifier de... «royal».

Et parmi elles, le Prince Charles de Ligne, les marquis de la Boëssière-Thiennes et van der Noot d'Assche, les comtes Cornet de Grez d'Elzius, de Pret-Roose de Calesberg, de Rouillé, Adhémar d'Oultremont, Octave d'Oultremont de Duras et du Chastel de la Howarderie.

Et puis, il y a une famille tout à fait à part: celle des Arenberg.

Ils possédaient avant 1918 un «État dans l'État». Un hôtel à Bruxelles (actuel Palais d'Egmont), des châteaux à Enghien et à Heverlée (dont 6.000 hectares dans la seule province de Brabant), sans parler de leurs possessions en Campine (600 ha), à Enghien (2300 ha), à Braine-le-Comte (800 ha), à Quiévrain Hensies (500 ha), à Marche-les-Dames ainsi que les polders de la rive gauche de l'Escaut et la forêt de Neufchâteau... Au total, entre 10.000 et 15.000 ha.

Aujourd'hui, la branche belge des Arenberg ne possède plus que quelques centaines d'hectares à Champlon-Famenne. La raison en est simple. Lors de la guerre 1914-1918, le duc d'Arenberg servit dans l'armée allemande et ses biens furent mis sous séquestre.

Que sont devenues ces cinquante familles? Dans l'ensemble, elles sont toujours bien présentes, même si leur patrimoine a fondu. Que l'on pense aux Croÿ au Roeulx (50 ha), au marquis de Trazegnies à Corroy-le-Château (12 ha), aux Snoy qui auraient possédé jusqu'à 3.000 ha autour du château de Bois-Seigneur-Isaac et dont une indivision gère aujourd'hui... 80 ha. Certaines familles sont devenues tellement nombreuses que le patrimoine a été plus que morcelé (Oultremont, Liedekerke, Merode...).

Certaines familles ont réussi une belle reconversion économique. Ainsi par exemple en 1985, un rapport établissait que sur 3.500 entreprises, 352 étaient dirigées par des nobles. Ce qui porte la représentation des aristocrates à 50 fois plus que leur proportion dans la société. De même, sur 13.000 administrateurs, on dénombrait 6 % de nobles. Soit 30 fois plus que leur proportion réelle.

(...)

__________________


Sur le schéma de Libert, on retrouve

Comte d'Oultremont

Chili - Latinus ... donc de Liedekerke

Van Gyseghem (orthographe ? noblesse ?)

"KDL" = de Lombarde ? ... est-il de la noblesse ?

___________________


Pour information (France) :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_Villemarest

____________________

Ce n'est peut-être pas le meilleur endroit pour mettre le message suivant ... Cela concerne la WACL mais rejoint aussi des noms cités ci-dessus ...

http://www.scribd.com/BEGHINSELEN

http://www.scribd.com/doc/83327701/Damocles-Octobre-1983

Damoclès n° 8 (octobre 1983)

Extraits du discours du Général R. CLOSE (qui était à ce moment le "Council Chairman" et donc à la tête de la WACL).

(…)

Il est également urgent que les Européens comprennent que ce qui se passe en Amérique centrale ne peut les laisser indifférents. Si, tel un cancer, la subversion gagnait d’autres pays limitrophes des Etats-Unis, les conséquences pourraient en être désastreuses pour l’équilibre géo-stratégique mondial et pour l’Alliance Atlantique en particulier.

La semaine dernière, au cours d’un briefing donné au Pentagone pour les six Parlementaires européens de notre groupe, on nous fit observer que si le Mexique était gagné à son tour par l’insurrection et la déstabilisation, les Etats-Unis pour la première fois devraient consacrer des moyens considérables à la sécurité d’une frontière sur de 2000 kilomètres avec un état se réclamant du marxisme léninisme.

Est-ce cela que nous souhaitons à l’heure où nous connaissons la précarité de notre sécurité due au déséquilibre marquant des forces en présence ?

L’automne que nous allons vivre est d’une capitale importance.
Tous, vous êtes instruits de la double décision de l’Alliance de déployer à la fin de cette année les missiles de croisière et Pershing II, à moins qu’un miracle de dernière minute n’intervienne à Genève.

(…)

_ _ _


Il faut noter que la cérémonie d'ouverture de cette XVI° Conférence de la WACL (20 au 22 septembre 1983) s'est tenue dans l'hémicycle du Parlement européen au Kirchberg à Luxembourg.

Il serait très intéressant de savoir qui étaient "les six Parlementaires européens de notre groupe" ...

Je penserais bien à Otto de Habsbourg et à Paul Vankerkhoven (qui a aussi pris la parole) ...

Qui seraient les autres ?

En tout cas, on voit se profiler le soutien aux "Contras" et la question des missiles ...

_ _ _


http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Iran-Contra

L’affaire met en lien deux sujets disparates : la vente d’armes à l’Iran et le financement de militants Contra au Nicaragua. Le financement direct a été rendu illégal par l’amendement Boland. L’affaire émerge après la publication le 3 novembre 1986 du journal libanais Al-Shiraa qui démontre que les États-Unis ont vendu des armes à l’Iran en échange de la libération des otages du Hezbollah. Des lettres envoyées par Oliver North à John Poindexter appuient l’accusation. Toutefois, l’ambassadeur israélien aux États-Unis déclare que l’objectif était d’établir des liens avec des éléments militaires en Iran. Un fait qui mérite d’être remarqué, c’est que l’origine du financement Contra ne provient pas seulement des ventes d’armes, mais aussi d'un trafic de drogue dont les États-Unis avaient connaissance.

Plusieurs familles nobles sont aussi citées dans le livre

Main basse sur Bruxelles

Par Georges Timmerman

dont des extraits sont sur

http://www.scribd.com/BEGHINSELEN

http://www.scribd.com/doc/84314268/Main-basse-sur-Bruxelles-extraits

Voir aussi

http://books.google.be/books?id=tgYwE03kV2IC&pg=PA94&lpg=PA94&dq=Herv%C3%A9+d'Ursel,+fraude&source=bl&ots=hSu8bRZg7v&sig=_tE_PirfgiY-G1iiB7kQs-G_5CU&hl=fr&sa=X&ei=rp1YT46bJcTL0QXwsLjNDQ&ved=0CDsQ6AEwAw#v=snippet&q=d'Ursel&f=false

Page 81

(...) Selon la nécrologie publiée par l'agence Belga, De Pauw était, en 1946, "courrier des troupes américaines à Paris", une circonlocution qui évoque involontairement le monde du renseignement. La légende, soigneusement entretenue par CDP, veut que, lors d'un de ses nombreux déplacements entre Bruxelles et Paris, son automobile ait pris feu. Un camion de l'armée américaine qui passait par là lui a porté secours ; les GI's possédaient à leur bord un extincteur. C'est ainsi que le jeune homme d'affaires a découvert son créneau : les extincteurs pour automobiles. De Pauw "jouit bientôt de la notoriété comme fabricant d'extincteurs et réussit également à en vendre de grandes quantités à l'armée américaine". Les bouteilles vides étaient rechargées par la marque Meteor, qui sera revendue plus tard à la multinationale américaine Ansul.

La société Meteor fut constituée en 1951 par De Pauw, Philippe d'Ursel (l'actionnaire principal) et Jean Cruysmans, à l'époque administrateur de la Caisse Privée et de l'établissement bancaire suisse Pictet & Cie.

Pendant la guerre de Corée (1950-1953), Meteor a fourni des extincteurs aux troupes françaises et belges parties en Corée dans le cadre du contingent de l'ONU. La rumeur veut que cela ait constitué la base de la fortune de De Pauw : en 1953, cinq millions FB garnissaient son compte en banque.

En 1957, De Pauw devient actionnaire de la firme immobilière Terres et Domaines, fondée en 1953 par, entre autres, Jean Cruysmans et la Caisse Privée. En fait, Meteor a fusionné avec Terres et Domaines. Lors de l'assemblée générale pendant laquelle De Pauw a fait son entrée dans la société, la banque suisse Pictet (représentée par Jean Cruysmans) a repris la participation majoritaire de la Caisse Privée.

Les autres actionnaires étaient le comte Philippe d'Ursel et le prince Rodolphe de Croy-Roeulx, un noble qui deviendra plus tard vice-président de la Compagnie de Promotion (groupe De Pauw), administrateur de Codenat (Cercle des Nations) et administrateur de Tax Free Sky Shop.

_ _


La Caisse Privée est souvent intervenue comme financier des entreprises de De Pauw, alors débutant. Cette banque est aussi appelée "la banque de la noblesse" en raison du sang noble de nombre de ses administrateurs, associés, fondateurs ou clients.

Elle gère également une partie des biens de VDB. Cette institution bancaire, petite mais influente, est spécialisée dans la gestion des biens et services financiers aux entreprises. Depuis 1958, elle fait partie du holding néo-colonial Socfin (Société financière des Caoutchoucs). Ce groupe franco-belge est entre les mains de quelques familles catholiques en vue. Il y a quelques années, Socfin a échappé de justesse aux visées hostiles de Sasea, un holding suisse contrôlé par des raiders italiens liés à la mafia.

_ _

NOTE : on parle de Sasea dans le livre "Le blanchiment en Belgique" de Jean Vanempten et Ludwig Verduyn (éditions Luc Pire). Un extrait est sur

http://www.scribd.com/doc/77765184/Le-blanchiment-en-Belgique-methodes

_ _

Socfin était un des actionnaires principaux de Comofi (Comptoir immobilier et financier), une entreprise qui, en 1988, fut reprise par CNP (Groupe Bruxelles-Lambert) et fusionna ensuite pour constituer Bernheim-Comofi. Socfin contrôle diverses filiales actives dans le domaine de l'immobilier, comme l' Immobilière de la Pépinière, propriétaire du siège social de la Caisse Privée / Socfin, à l'avenue du Champ de Mars, à proximité de la porte de Namur.

_ _

Page 83

En 1985, le Consortium des Parkings a vu entrer dans ses murs 15 millions de véhicules, soit plus de 40 000 par jour. C'est ce qui a valu à De Pauw, selon une étude de marché réalisée pour ITT, le titre de "plus grand homme de parking du monde".

_ _

Extrait du livre sur le blanchiment :

Certains types d'entreprises se prêtent particulièrement bien au jeu du blanchiment. Le parking est un cas typique. Imaginons un parking offrant mille places. Cela signifie 24 000 heures de parking par jour, soit 8,5 millions par an. En prenant comme hypothèse un prix de 50 francs l'heure, le chiffre d'affaire potentiel, pour ce genre de parking, est donc de 425 millions de francs par an. On pourrait objecter que ce dhiffre doit être diminué de moitié, puisque les parkings sont rarement occupés la nuit. Pas du tout, il suffit de trouver un endroit de passage, là où les places peuvent, par heure connaître la plus grande rotation.

Le taux d'occupation réelle de ce genre de parking ne peut être contrôlé que grâce aux tickets de caisse. mais rien n'est plus facile, pour un propriétaire de parking qui serait également blanchisseur d'argent sale, que de programmer sa caisse de manière à "gonfler" l'occupation réelle de son garage. le solde entre le taux d'occupation réelle et d'occupation fictive servira au blanchiment.

_ _


A noter qu' Hervé d'Ursel est le beau-frère de Benoît de Bonvoisin.


_ _


Dans le fil de discussion relatif au CEPIC :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t215-centre-politique-des-independants-et-cadres-chretiens-cepic

Dirigé par Paul Vanden Boeynants (qui en deviendra son président en 1977), le baron Benoît de Bonvoisin, Jean-Paul Grafé, José Dessertes, feu Jean Breydel, Cécile Goor, Joseph Michel, Paul Vankerkhoven et bien d'autres, le CEPIC, lors de son premier congrès en 1975, reçut les encouragements de Léo Tindemans (le premier ministre CVP de l’époque).

Cette aile droite du PSC était liée au mensuel d’extrême droite « Nouvel Europe magazine » et au Front de la jeunesse (FJ).

Cruysmans (directeur de la banque) fréquentait le CEPIC et utilisait des jeunes des cafés fréquentés par la bande Haemers. Cruysmans formait politiquement ces jeunes [ HUMO 27/02/97 (N°09/2946) ]

_ _


Un message de Michel :

CEPIC et Front de la Jeunesse

Les réseaux anticommunistes catholiques, où l'on a réuni après la guerre des collaborateurs recyclables et des résistants très à droite pour cause de guerre froide, vont continuer à marquer l'histoire familiale.

Joseph Happart, militant dans les Jeunesses Catholiques Rurales, poursuivra sa carrière de syndicaliste agricole comme dirigeant des Unions Professionnelles Agricoles. Sa route y croisera celle de Jean-Marie Bastin qui est aujourd'hui un des principaux conseillers de José Happart ainsi que le gestionnaire des asbl happartistes basées dans le domaine de Tribomont. En 1962, expropriés par l'extension de l'aciérie de Chertal, les Happart arriveront à Fouron. Joseph Happart ayant retrouvé ses droits civils et politiques, les partisans du Retour à Liège iront le chercher pour les élections de 1970 mais il déclinera l'invitation. Il venait d'être décoré chevalier de l'Ordre de Léopold II grâce aux UPA et surtout grâce au ministre de l'Agriculture Antoine Humblet. Ce dernier est, en 1958, un des fondateurs du CEPIC, l'aile extrêmement droitière du PSC symbolisée par Paul Vanden Boeynants. Humblet était également membre de la Milice de Jésus-Christ, un ordre chevaleresque catholique anticommuniste et pro-américain.

C'est à cette époque que José Happart commence à émerger comme leader d'une action syndicale paysanne fortement teintée à l'époque de poujadisme et d'anti-parlementarisme. Il ira jusqu'à faire entrer un taureau au Parlement belge. 1978 marquera un tournant dans la vie de José Happart: son père meurt et l'Action Fouronnaise (AF) vient le chercher pour en faire son leader. C'est aussi cette année-là qu'apparaît une série d'articles sur les Flamands dans "Le Foron", le trimestriel de l'AF. Ils sont rédigés par un résistant qui, après guerre, s'est investi dans les mouvements néo-rexistes et l'action anticommuniste. On y lit entre autres des regrets quant à l'exécution du docteur Auguste Borms après la guerre, lui qui fut deux fois traître à sa patrie.

José Happart retrouve aussi au sein de l'AF des membres du CEPIC dont le réseau d'influence lui permettra de rencontrer le Roi Baudouin sur le bord d'une autoroute. Ces réseaux vont s'agiter autour du Nouvel Europe Magazine, un mensuel d'extrême droite dirigé par Emile Lecerf, ancien collaborateur reconverti dans l'anticommunisme atlantiste. S'y croisaient gens du CEPIC et militants du tristement célèbre Front de la Jeunesse. En mars 1979, on peut y lire un article dithyrambique sur José Happart qui "brûle de cette "lumière intérieure" qui fait les vrais leaders". Cette citation fait référence à la définition du leader énoncée par Primo de Rivera, le fondateur de la Phalange espagnole! A l'époque, des contacts ont eu lieu entre les Happart (essentiellement Jean-Marie) et les dirigeants du Front pour assurer la formation paramilitaire du groupe "Hérisson", la milice de l'AF. José Happart, en septembre 1981, a reconnu ces contacts en précisant qu'ils n'avaient jamais abouti contrairement aux rumeurs qui circulaient. Toujours est-il qu'à l'époque, nous avions personnellement observé la présence dans les Fourons, parmi les contre-manifestants francophones, de militants du Front. Fort curieusement, ils entretenaient d'excellents contacts avec les casseurs du VMO lorsqu'ils n'étaient pas membres des deux mouvements en même temps.

On comprend donc qu'il était nécessaire, après "le rendez-vous avec l'histoire" de septembre 1984, de se livrer à quelques "retouches" historiques. D'autant que, comme l'écrivait Le Vif à cette époque, "les militants de la base "sentent" qu'Happart n'est pas un socialiste fiable, et le soupçonnent d'agir avant tout en fonction de son intérêt personnel, y compris dans ses dimensions financières".

Source : Le soir illustré (sd)

On parle aussi de la faille d'Ursel et de "KD" ( le "vieux druide nazi" Karel de Lombaerde ) dans :


BENOIT DE BONVOISIN ET L'AFFAIRE PDG EN CORRECTIONNELLE A BRUXELLES UNE EPINGLE DE SURETE(DE L'ETAT)QUI PIQUE

HAQUIN,RENE

Page 17

Jeudi 7 février 1991


Le substitut Godbille reproche au baron de voir la Sûreté partout et de dénoncer tout ceux qui le dérangent. N'est-ce pas lui le maître-chanteur?


Saisie du dossier PDG-de Bonvoisin, ouvert il y a près de dix ans et arrivé aujourd'hui à la quasi-prescription, la 49e chambre correctionnelle de Bruxelles avait demandé début janvier (voir «Le Soir» du 4 janvier) et a obtenu la communication de plusieurs dossiers susceptibles d'éclairer autrement les préventions retenues dans l'affaire PDG à charge du baron Benoît de Bonvoisin, de Jean-Marie Detournay et, par défaut, de Roger Volcher. Il s'agit des dossiers (moeurs) de l'affaire Pinon, de l'incendie de «Pour», du «suicide» du chef du WNP Latinus (remis à l'instruction), et de plusieurs cartons provenant du dossier de Bonvoisin-Sûreté avec les explications de l'ancien patron de la Sûreté M. Raes et du commissaire Smets.

Avant de prendre l'affaire PDG-de Bonvoisin au fond, le tribunal correctionnel doit se prononcer sur la recevabilité des poursuites (pour infractions financières et fiscales, fraudes et faux en écritures), la défense du baron ayant plaidé en janvier que le dossier PDG de 1980 touche au dossier Cidep de 1990 et que l'ensemble prouverait que le baron est victime d'une coalition de fonctionnaires.

A ces arguments, le premier substitut Jean-François Godbille a répondu hier pendant plus de trois heures pour admettre en conclusion qu'il y a bien lieu de joindre le dossier Cidep au dossier PDG, donc de remettre l'affaire sine die, en demandant au parquet général de faire clôturer dans les délais les plus brefs l'instruction de 1983 sur la plainte du baron contre la Sûreté, réactivée fin 1987 par l'arrêt de la chambre des mises en accusation.

Je ne suis pas ici pour poursuivre MM. Raes et Smets de la Sûreté, le parquet général restant maître de ces poursuites, mais bien pour examiner si les poursuites basées sur le dossier PDG sont ou non recevables. Il y a donc lieu de vérifier s'il y a eu dans le chef de la Sûreté une volonté de nuire au baron, s'il y a collusion avec l'ISI et si des auxiliaires de justice s'y sont associés activement ou en ne cherchant pas à découvirir la vérité, dit en substance M. Godbille.

Devant un grand tableau en deux planches criblées de sigles de sociétés, de chiffres et de flèches, l'organe du ministère public observe que des vérifications fiscales entamées il y a plus de dix ans par l'ISI ont fait apparaître autour de la société PDG, dont le baron reste suspect d'avoir été le patron occulte, d'importants mouvements de fonds avec notamment le Moyen-Orient, et des «flux monétaires» qui, par un biais ou l'autre, touchent à d'autres dossiers belges ou étrangers que l'on peut inscrire dans une «toile d'araignée» gigantesque qui révélerait l'activité d'un réseau mafieux. Cela va de Riyad et du Koweït à Beyrouth et Kinshasa en passant par Paris, les avions renifleurs, la Suisse du lobby pétrolier, le tout noué en Belgique. Une démonstration troublante, dont les multiples ingrédients doivent être soumis au débat contradictoire et à la critique historique.

Parce que dans le révélateur de ces «flux» réapparaît une mouvance caractéristique. N'y retrouve-t-on pas les noms bien connus de Latinus, d'André Dehaut (le garagiste trafiquant impliqué en marge de l'attentat Vernaillen en 1981), du major Bougerol (l'énigmatique officier détaché chez VDB pour l'officine PIO et Inforep), de Bernard Mercier (du Cepic et du WNP) et Amand Geschiere (tous deux impliqués dans le transfert du néo-nazi allemand Eckerart Weil), du vieux druide nazi Karel de Lombaerde et du «capitaine» Michel Libert (du WNP) chez lequel ont été récemment saisis du papier vierge à entête du Cepic, une note détaillée sur Geschiere (que Latinus nous avait déjà remise en 1983) et du papier à entête de sociétés dont Euromeat, dont on apprend qu'il en existe deux, une appartenant à VDB, l'autre établie à Deurne, comme s'il fallait penser qu'une des deux aurait pu servir de fondement aux rumeurs de trafics de drogue impliquant VDB?

De PDG à Delens, Bougerol, Halterman, Botte, d'Ursel, CCF, Primobel, Piedboeuf et SVB3, faut-il en conclure que la note de la Sûreté mettant en cause de Bonvoisin dans le financement de l'extrême droite, et les notes de la Sûreté sur les difficultés financières de l'hebdomadaire «Pour», avec les erreurs qu'elles contiennent, révèlent des fuites volontaires, des violations de secret professionnel dans le chef de l'ISI et de la Sûreté? Que des manoeuvres malveillantes auraient provoqué l'enquête fiscale sur PDG et entraîné la faillite de la société, grâce au concours ou à la passivité des autorités judiciaires?

Vous n'apportez pas la moindre preuve de cette collusion, lance M. Godbille au baron de Bonvoisin. Vous voyez la Sûreté partout, vous épinglez chacune de ses erreurs. Avec cette épingle de sûreté, chaque enquêteur qui se frotte à vous s'y pique. Votre virulence dans les reproches et vos satisfactions à géométrie variable me semblent suspectes. Vous avez dénoncé des fonctionnaires, des ministres, des parlementaires, des magistrats, des enquêteurs, des journalistes. M. Smets n'a-t-il pas été contraint à jouer son scenario machiavélique au WNP?

Pour M. Godbille, le baron pourrait donc être lui-même le comploteur, le maître-chanteur, le grand déstabilisateur. Benoît de Bonvoisin lui a répliqué que son exposé était criblé d'erreurs et que l'instruction de sa plainte contre la Sûreté a été faite à charge, pas à décharge. La parole à la défense le 14 février.

RENÉ HAQUIN

Il faudrait aussi s'intéresser aux deux mouvances suivantes :


http://belgiqueetchretiente.hautetfort.com/

http://www.comitedentreprise.com/modules/news/article-pdf-113.html

(voir ce qui concerne les cérémonies du "solstice")

Il faudrait relire

http://anneesdeplomb.topdiscussion.com/t1536-hubert-massa


_ _ _


Pour information :

http://terre-celtique.over-blog.net/250-index.html

A voir, notamment sur Google Book :

De l'avant à l'après-guerre, l'extrême droite en Belgique francophone

Par Françis Balace, Centre de recherches et d'études historiques de la seconde guerre mondiale (Belgium)

(...) C'est aussi dans la mouvance ou plus exactement dans l'héritage d'un Joly désormais discrédité qu'il faut situer le Centre d'études et de formation contre-révolutionnaire (CEFCR) de Tournai, créé le 1 février 1961 par un notable local, le dentiste José Delplace, fils d'un colonel qui a joué un grand rôle dans la résistance tournaisienne et qui vient d'être rapatrié du Congo.

(...) A ses côtés, un ancien des Jeunesses nationales de Joly, l'étudiant en mathématiques Claude Absil, alors âgé de 23 ans.

(...) Delplace et Absil animeront la principale "fenêtre" qui permettra à des agents de l'OAS de passer en Belgique. Déjà au début 1960, à l'époque des barricades d'Alger, Tournai avait joué un certain rôle dans les plans de l'ingénieur lillois Philippe de Massey qui voulait constituer dans le Nord "une force de frappe reposant sur les activistes belges" et entraîner dans la sédition les unités militaires de Lille et Douai. "Honorable correspondant" du SDECE, il sera discrètement "exfiltré" vers la Suisse par ses amis.

_ _


Ce serait donc cet "Absil" qui serait proche de Rosalie de Mérode ?


_____________________


Toujours dans la noblesse, voir :

http://fr.groups.yahoo.com/group/suffrage-universel/message/2765

(...) Le samedi 02 juillet 2005 à l’hôtel bruxellois Royal Crown a eu lieu le premier petit déjeuner d’ATIK (« Avrupa Türk Isadamlari Dernegi » ou en français « Conseil Européen des Businessmen Turcs »), une association présidée par un certain Aziz Sahin, un homme d’affaires récemment installé à Bruxelles en provenance d’Allemagne, propriétaire de la société Demsa (fournisseur de marbre), président de l’association Tursab (Association of Turkish Travel Agencies) et membre du mouvement d’extrême droite turque des « Loups gris ».

Aucun doute n’est possible sur la ligne politique d’ATIK puisque son secrétaire général n'est autre que le baron François van Caloen, dissident du parti d’extrême droite belge (FNB - Front Nouveau de Belgique ou FN Bis) et dirigeant du Cercle Patriotique. Le Cercle Patriotique a collaboré dès 1996 avec le Parti pour la liberté du citoyen (PLC) de Luc Eykerman, allié à son tour en 1989 au Front National, puis au BEB (Belgique-Europe-Belgïe) et en 1995 au FNB (Front Nouveau de Belgique) de Marguerite Bastien

_________________


Note : si j'ai pensé à la famille Lhoist (et Dumont-Wautier) plus haut, c'est notamment par la proximité de la famille de Liedekerke ... et leur goût pour la chasse et les armes ...

http://environnement.wallonie.be/legis/dnf/chasse/chasse005.htm

... représentants du Conseil supérieur wallon de la Chasse :

- M. Léon Lhoist, avenue des Fleurs 8, 1150 Bruxelles;

- M. Bertrand de Liedekerke, Oudoumont 1, 4537 Verlaine;

.

On parle aussi de " Belgique et Chrétienté " sur :

http://www.resistances.be/lepenb01.html

Les orateurs : Alain Escada, Patrick Maricot et Henri Laquay ...

Note : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Close

Robert Close : " Proche, sur la fin de sa vie, d'Alain Escada, il contribuera à la rédaction de diverses de ses publications, comme la revue Polémique."

A voir : Dictionnaire de l'extrême droite francophone

http://www.resistances.be/r0201.html

notamment ce qui concerne Pierre Vial

http://www.resistances.be/vial.html

Pierre Vial reconnaît Marc Augier (mieux connu sous le pseudonyme de Saint-Loup) comme étant son véritable "père spirituel". Cet écrivain-idéologue d’extrême droite fut le responsable de Devenir, la revue officielle de la SS française. Pour mieux illustrer les instincts guerriers de l’association Terre et Peuple, nous avons sélectionné quelques écrits de Pierre Vial, son président-fondateur. Ses propos sont de véritables appels à la violence. Pour rappel, en Belgique, il est considéré comme un exemple à suivre par la plupart des groupuscules néopaïens, les associations politico-culturelles du Front national et le vice-président du Vlaams Blok.

HERVE a écrit:

Sur le schéma de Libert, on retrouve
Comte d'Oultremont

il s'agit très probablement de la Comtesse d'Oultremont = l'épouse de Marc Men.assa

HERVE a écrit:

A voir : Dictionnaire de l'extrême droite francophone

http://www.resistances.be/r0201.html

notamment ce qui concerne Pierre Vial

http://www.resistances.be/vial.html

Pierre Vial reconnaît Marc Augier (mieux connu sous le pseudonyme de Saint-Loup) comme étant son véritable "père spirituel". Cet écrivain-idéologue d’extrême droite fut le responsable de Devenir, la revue officielle de la SS française. Pour mieux illustrer les instincts guerriers de l’association Terre et Peuple, nous avons sélectionné quelques écrits de Pierre Vial, son président-fondateur. Ses propos sont de véritables appels à la violence. Pour rappel, en Belgique, il est considéré comme un exemple à suivre par la plupart des groupuscules néopaïens, les associations politico-culturelles du Front national et le vice-président du Vlaams Blok.

Hervé,

Beaucoup de choses qui paraissent sur le site Résistances.be sont approximatives. Cela tient à la personnalité d’Abramovitch qui est avant tout un militant. Un militant d’extrême gauche et qui revendique ce militantisme. Quand il aborde « l’extrême-droite » c’est d’abord en tant que militant plutôt qu’en tant que chercheur ou historien.Cela n’enlève rien à sa démarche, qui si elle n’est pas suffisament aboutie a le mérite d’exister. Ceci étant, ramener Pierre Vial à un espèce de sorcier païen me parait un peu court. Très franchement, je ne vois pas de fil conducteur entre les tueurs et Pierre Vial.

Un livre que je vous conseille édité chez Copernic en 77, Vue de Droite d'Alain de Benoist

@ dim

Il y a un fil de discussion sur Marc Menassa ... "poux de Bérangère d'Oultremont.

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1932-menassa-marc

Coïncidence : on parle de CALMETTE FERRARI Jean Francis Adolphe Lucien, né à BEZIERS (F) le 21/06/42. D'où vient ce nom "Ferrari" ? Un lien avec Sergio Ferrari qui réside dans la maison où Paul Cams a été assassiné ? ou bien un pur hasard ...

Une autre famille noble qui pourrait vous intéresser est "Carton de Wiart" qui a des liens forts avec l'Opus Dei.

Remarque historique : à l'automne 1940, Carton de Wiart, de retour en Belgique, s'empressera de présenter ses excuses au Roi pour son attitude en mai-juin , il deviendra l'un des piliers de la propagande léopoldiste dans le PSC d'après 1945.

Cela me gêne de lier "Argenteuil" à "la piste noire" ... même si Léopold III avec "un penchant autoritaire" (c'est le moins que l'on puisse dire) et que les sympathies de la princesse de Réthy posent question.

Il n'empêche que Léopold III et Lyman Lemnitzer avaient de longues conversations ensemble, qui se terminaient au golf à Mons ... Or Lyman Lemnitzer a soutenu l'opération Northwoods ... qui vaut bien les tueries du Brabant ...

Argentieul est lié au moins par deux points aux choses qui nous interessent

1.les papiers et ,cartes banquaires, et pull troué, taché delaissé à 500metres de l'arrière entree

route vers le DERSCHEID , trouvées par un garçon 2 semaines après Dekaise

2.:et aussi après de BEERSEL 2: description de personnes == ala descriptions de BEERSEL2 avec des tirs ds un arbre .(où j'ai lu cela ,)

3.: info indirecte , non confirmé , d'autres faits