la piste noire

Albert Raes ! Pour les documents qu'il détient ? Pour son infiltration du WNP via le fameux commissaire ?
Qui est "le canard" ?
Raes dénoncé par Bonvoisin ? A ne plus rien y comprendre.
Je ne sais plus quoi penser.
C'est bien le dernier auquel j'aurais pensé.
A mon avis, c'est une question d'archives mais alors, pourquoi le silence de Raes ? Il ne pouvait pas monter plus haut dans la hiérarchie. En plus, pas le profil d'un "fasciste"....
Quel est votre avis ?

le canard, dont le nomm'échappe pour le moment était cet agent de la sureté chargé d'infiltré le wnp

Donc notre fameux commissaire qui jouait les Fantomas lors des séances d'instruction...
Je trouve la ficelle un peu grosse mais après tout, la CBW sait ce qu'elle fait.
Rien n'exclut la partie de billard à trois bandes d'ailleurs...

C'est vrai que sauf erreur de ma part Raes habite Gand.

non, Bruges
par contre, le WNP avait des membres à Gand

Merci de cette précision. Donc, il est question de Gand et du WNP. Sauf erreur de ma part, les références au WNP relevaient de membres francophones. On se dirige alors vers le VMO non ?
Quel rapport entre Raes et le VMO ou tout mouvement flamingant ? Le dossier TBW se résumerait aux prémices d'un"bye bye Belgium"? Les témoignages des victimes ne militent pas dans ce sens. Et si l'on évoque les francophones, ils étaient et sont probablement toujours belgicains...

Où alors on repart sur la piste Gladio et il convient de se reporter à ce qui a été écrit à ce sujet sur ce site dans cette rubrique spécifique. Mais je ne comprends toujours pas dans cette logique la lutte fratricide Bonvoisin / Raes....
Autre élément dans un registre parallèle, les déclarations d'un célèbre truand belge affirmant en privé qu'il avait été recruté par une bande de fous à l'idéologie d'extrème droite. Et l'on revient alors au bois de la Houssière ... et l'on revient à VDB et donc CEPIC-Bonvoisin. Comment gérer ces paradoxes énigmatiques ?

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wabo a écrit:

Ce sera ma seule et unique intervention sur ce forum.

dommage, votre temoinage aurait pu être très intéressant...

wabo a écrit:

J'en ai connu 6 au moins : des fanatiques de la supériorité de la race blanche. Je serais presque enclin à écrire : des membres du KKK, version belge.

Effectivement. Très intéressant.

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D'après mes sources, il n'y avait pas de nobles dans le giron du FJ. Pas dans ce groupe mais il existait peut-être des mouvements satellites.

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Il ne serait pas surprenant que des membres de la noblesse fassent partie de la "nébuleuse". En tout cas, il y en avait dans l'entourage direct de Paul Latinus et du WNP.

Rappel historique

En janvier 1974, un mouvement de jeunes nationalistes apparaissait à Liège sous le nom de Front universitaire liégeois. Son but était de « combattre la dictature marxiste dans l’enseignement ». Ce premier Front reçut directement l’appui du journal « Nouvel Europe magazine » (NEM). Neuf mois plus tard, avec une petite poignée d’étudiants de l’Université libre de Bruxelles (menés par Francis Dossogne) et de l’Université catholique de Louvain (menés par Daniel Gilson), ils mirent officiellement sur pied le Front de la jeunesse qui sera financé par les NEM-Clubs (la branche militante du « Nouvel Europe magazine ») et en deviendra sa section jeune.

L’éminence grise du FJ était Emile Lecerf, le rédacteur en chef du « NEM ». Les premiers objectifs de l’organisation: l’occupation du terrain politique sur les campus universitaires, mais aussi la formation idéologique de ses adhérents. A ses débuts, le FJ servait surtout de groupe d’action à plusieurs dirigeants du CEPIC et « travaillait » pour le Public information office.

Une dizaine de gendarmes militaient clandestinement dans ses rangs. Ils faisaient partie du Group G. Des renseignements politiques étaient récoltés par le FJ sur l’extrême gauche et les mouvements pacifistes. Jean Bultot y milita, tout comme l’actuel dirigeant du Vlaams Blok, Johan Demol. En 1981, des activistes frontistes participèrent à l’attentat contre le journal progressiste « Pour ».

Group G = Section du Front de la jeunesse (FJ) qui regroupait clandestinement des gendarmes d’extrême droite. Elle était directement sous les ordres de Francis Dossogne, le chef du FJ. Plusieurs membres du Groupe G seront cités dans les enquêtes sur les « années de plomb ».

WNP : sans doute actif de 1979 à 1983, le WNP avait les caractéristiques de la plus parfaite des organisations nostalgiques de l’Ordre nouveau hitlérien. Structuré sur le modèle de la SS, le WNP ne pouvait nier son amour immodéré pour le national-socialiste. Mais le «folklore» de cette organisation n’est pas l’unique chose qu’il faudrait retenir d’elle. Le WNP fut avant tout une organisation clandestine dont le but était la déstabilisation de notre pays (par l’infiltration, la manipulation et divers projets d’attentats).

Issu du Front de la jeunesse, il bénéficiait d’un réseau d’information important avec des tentacules au coeur même de l’appareil de l’Etat. Beaucoup de journalistes d’investigation et d’autres observateurs pensent que le WNP devait en réalité être un groupe d’action au service d’une structure encore plus importante. Pour sa part, le numéro un de cette organisation, Paul Latinus, retrouvé « suicidé » en 1985, affirmait être un agent de l’un des nombreux services secrets nord-américains. Plusieurs de ses activistes seront ensuite cités dans l’enquête sur les tueries du Brabant.

Dans l'entourage du WNP, la comtesse Philibert de Liedekerke (KIKA) :

http://www.scribd.com/doc/79316421/Photos-mondaines

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Une petite question pour vous wabo :

Qu'y avait-il au rez de chaussée de la rue Belliard lorsqu'on entrait dans le hall d'accès?

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wabo a écrit:

michel a écrit:

Qu'y avait-il au rez de chaussée de la rue Belliard lorsqu'on entrait dans le hall d'accès?

Vous aviez les mêmes fréquentations ?
Désolé, je ne m'en souviens plus.
Je vois tout au plus un espace vaste, une salle de conférence d'une contenance que j'évaluerais aujourd'hui à une petite centaine de places, sans fioritures. Une allée centrale, bordée de part et d'autre de rangées de chaises pliantes ou quelque chose qui y ressemble.
Pour le reste, mystère. Je me souviens en vous écrivant d'une couleur rouge omniprésente (rouge bordeaux ou pas trop vif) mais où ???

Avez-vous un avis sur D. un sénateur qui a fêté son élection en 1977 à cet endroit? Personnage aux multiples facettes.

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wabo a écrit:

Désolé, je ne vois pas de qui il s'agit !
Je l'ai écrit déjà, ma mémoire fait défaut.
J'ai en souvenir d'un seul personnage pour l'avoir vu au moins à quelques reprises, il s'agit d'un certain Benoît de ... (je cherche le nom, ça me reviendra sans doute).

Benoit de Bonvoisin.

Alain devrait nous en dire plus ! Y a-t-il aussi des familles du "salon bleu" ?

http://nl.wikipedia.org/wiki/Salon_Bleu


Il y a parfois des choses surprenantes dans certaines familles. Voir notamment le fil de discussion sur Victor PORTENART ...


Philibert de LIEDEKERKE de PAILHE MERILLON.
Marié avec Marie-Thérèse CUEVAS HERMAN, dont

Paul.
Marié avec Olivia von PORTATIUS.
Delphine.
Mariée avec Nicolas LHOËST.
Ariane.
Mariée avec Victor PORTENART.


On peut aussi penser à Arnaud de Borchgrave qui travaille au Washington Times (le journal de la secte Moon au sein de laquelle on retrouvait Alexander Haig et Douglas MacArthur II).

http://www.washingtontimes.com/staff/arnaud-de-borchgrave/


Un autre nom que l'on rencontre sur le site : les propriétaires du château de Pallandt :

http://www.chateau-de-pallandt.be/

(en lien avec Paul Latinus ? ... il faudrait relire les témoignages de la mère de ce dernier).


En outre, on voit aussi passer Yves du Monceau de Bergendal, un ancien de la Brigade Piron (compagnon d'armes de Guy Weber), de COBEPA (avec Michel Relecom ?) et de GB-Inno-BM (lié à COBEPA = Compagnie Belge de Participations Paribas) ...

http://archives.lesoir.be/yves-du-monceau-vient-de-saluter-ses-quarante-ans-de-ma_t-19930210-Z06DG3.html

http://archives.lesoir.be/le-patron-de-gib-se-retire-un-profil-de-haut-cadre-banc_t-19981218-Z0G589.html

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