Latinus, Paul

Sur la WUNS :  

https://brill.com/view/journals/fasc/8/2/article-p275_275.xml

Dreaming of a National Socialist World: The World Union of National Socialists (WUNS) and the Recurring Vision of Transnational Neo-Nazism

Online Publication Date: 17 Dec 2019

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Belgium’s Section also fell into decline by the end of the 1960s. This Section was one described by Simonelli as group Rockwell deemed to be a success shortly after creating the wuns. It was initially run by Jean-Robert Debbaudt, a volunteer for the Waffen-SS, and someone who had fostered links with Léon Degrelle and the European Social Movement in the 1950s. However, Debbaudt felt his role compromised by the mid-1960s, and resigned. Rockwell was subsequently advised by Ludtke to cultivate Degrelle to run the Belgian Section. However, Rockwell chose instead Rudiger Van Sande, leader of the Belgian National Socialist Union. A 1965 bulletin noted that after his elevation to this role, Van Sande’s house was raided by the police while he was on holiday, and he lost his job as a consequence. It encouraged members in the international movement to offer what backing they could. 102

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Message de Michel Libert sur le WUNS...

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Oui, le WUNS m'a été une fois (pas plus) évoqué. Il me semble que cela fut par Nicole Schollaert. Un petit panel de responsables m'a été présenté sur papier dont, en effet, Paul Latinus ressortait. Y était également spécifiés Herman Wachtelaer et d'autres personnes, de plusieurs nationalités (dont belges, néérlandaises, espagnoles, francaises et allemandes, dont je ne me rappelle plus du tout les identités.

TC

ML

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Sur Colin Jordan :

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf96034711/colin-jordan-et-francoise-dior-se-marient

Dans l'ouvrage collectif " L'extrême-droite et l'Etat ", Anne Maesschalk écrit (page 148) :  

L'utilité de la pratique des repérages devient évidente quand on découvre que Latinus décide de familiariser les militants du Front avec la lutte anti-terroriste. Il fait appel pour cela à une de ses connaissances, un certain Robert, qui serait responsable du service de sécurité de la Commission des Communautés Européennes à Bruxelles. Le Robert en question viendra expliquer aux militants du Front comment faire des surveillances d'immeubles et d'individus, des filatures, comment poser des explosifs, détecter de pareils engins et déminer des immeubles et enfin comment démonter et remonter des armes. Latinus lui-même ne s'y entend pas trop mal pour ces genres d'exercices. C'est lui qui avec Jean-Pierre Matagne, un autre militant du Front, aurait fabriqué les bombes incendiaires découvertes dans les camionnettes qui amenaient les militants du Front à la manifestation pour l'Afrique du Sud en 1978.

Ce Robert est un bon candidat pour le schéma dessiné par Paul Latinus

Du coup, "J M P" pourrait bien être Jean-Marie Paul, que Francis Dossogne connaissait bien.

A la page 152 :

Grâce à une note de Francis Dossogne saisie chez lui par la Police Judiciaire, on peut cerner un noyau dur qui dispense la formation à ce niveau et qui participe également aux autres niveaux. Dans cette note, Francis Dossogne assigne à un 'groupe sécurité et protection rapprochée' la "mission de protection semi-permanente des membres du Directoire National du Front ou de toute autre personne désignée par celui-ci" et désigne pour son encadrement : Jean-Marie Paul (...). Il prévoit également que la formation et la sélection seront assurées par Tony alias Gaston Dossogne (...) et par 'Robert' pour le tir et l'anti-terrorisme.

Il pourrait s'agir du même 'Robert' dans les deux passages mais Anne Maesschalk n'en dit pas plus.

On pense donc à Robert Thomas.

La question est alors de savoir pourquoi il est indiqué "Paris" sur le lien entre "J M P" et "La Vega".

Si l'on parle des services de sécurité des institutions, RT pas à la commission, mais au conseil....