Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie)

Je me fourre peut-être toujours le doigt dans l'œil, mais je vois mal les agents des Stay-Behind belges (gérés par la SE ) mêlés de près ou de loin aux tueries.

Maintenant, ces agents ne convenant pas pour de violentes saloperies organisées , .... il faut prendre en considération la création du WNP dont les membres semblent convaincus ( selon leurs déclarations répétées ) faire partie d'une vaste organisation internationale ayant pour but de créer une résistance en cas d'invasion. Nous avons donc là un "erzats" de stay-behind créé d toutes pièces par nos comploteurs amateurs : Latinus ( qui sélectionne le personnel politisé ) Smets ( qui le forme aux missions ) et sans doute Raes ( qui finance et désigne les objectifs ?? )

Sous cet angle, on peut imaginer l'implication de "gladio" , mais sous la forme "erzats" créé avec des fous illuminés , persuadés de défendre l'occident chrétien (?) ou autre chose (?).

Aucun des dépôts "Stay" officiels n'a fourni ni armes , ni explosifs , ni aux Tueurs, ni aux CCC. Mais ils faut spécifier que ces dépôts n'étaient pas à disposition de la haute hiérarchie; pour y avoir accès elle aurait dû faire la demande au responsable de la 'Section Spéciale' qui gardait les coordonnées des sites dans son coffre fort.
N'oubliez pas la demande de la cellule TBW au Doul, à propos de détonateurs baladeurs ...
Fin des années 70, tous les dépôts contenant du matériel létal ( armes, explosifs) avaient été vidés et "normalement" les explosifs avaient été remis à l'armée, et les armes ( non numérotées) avaient été envoyées au pilon... ( Restent peut-être des détonateurs, objets de petite taille qui ont peut-être fait l'objet de "coulage" , de pertes... mais là nous sommes hors propos 'Tueries' )

Il ne faut pas oublier le Stay-behind militaire dont Armand De Decker avait appris l'existence lorsqu'il était au cabinet de Charles Poswick (selon ses propres déclarations au Parlement). Dans le précédent cabinet de Charles Poswick, il y avait Jean Militis ..

Michel Libert a cité le nom de plusieurs groupes comparables au WNP ... et sur lesquels je n'ai aucune information. Il faut se souvenir que l'arbre pourrait cacher la forêt ... y compris dans la nébuleuse anti-communiste belge de l'époque.

Les Italiens parlent maintenant d'un "Gladio noir" (notamment les "Noyaux de Défense de l'Etat") par opposition à un "Gladio blanc".

https://fr.scribd.com/doc/119510555/La-Strategie-de-la-tension-italienne-La-Strategie-de-la-tension-francaise

Une très intéressante analyse ...

http://uranopole.over-blog.com/article-la-surete-de-l-etat-belge-service-public-ou-instrument-manipule-115442320.html

17 février 2013

La Sûreté de l'Etat belge : service public ou instrument manipulé ?

Bonne analyse, sauf peut-être la version "bisounours" voulant que le gouvernement belge souhaitait prolonger a lutte en Angleterre. De Vleshauwer, parti ''en éclaireur'' à Londres avait été désavoué par le reste du gouvernement réfugié à Bordeaux.

A ma connaissance, ce sont des gendarmes belges qui ont tiré sur la manifestation organisée par les F.I. à Bruxelles ( dotés de Sten Guns la veille )... les British étaient en réserve dans le parc royal mais n'ont pas dû intervenir. ( Motif de la manif : exiger des élections législatives dans les + brefs délais, la durée normale d'une législature étant largement dépassée, et le gouvernement ayant de + donné sa démission au roi en mai 40 ... )
.... mais cela ne dérangeait pas nos gendarmes lesquels avaient utilisé leurs compétences durant l'occupation comme 'auxiliaires' de nos 'invités' en arrêtant les réfractaires au STO, en gardant les prisonniers russes employés aux charbonnages, en contrôlant la population avec entrain...pour ne citer que leurs missions les + honorables....

Sur Albert Jozef de Vleeschauwer van Braekel :

http://nl.wikipedia.org/wiki/Albert_de_Vleeschauwer

http://www.houtekiet.be/boeken/p/detail/ik-alleen

Il est intéressant de noter que de Vleeschauwer ("Ik, alleen") a gardé la confiance de Léopold III, au contraire d'autres ministres.

Cela a été jusqu'à une union entre un membre de la famille de Raoul Van Overstraeten (conseiller militaire du roi Léopold III) et une demoiselle de Vleeschauwer

http://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Van_Overstraeten

http://www.inmemoriam.be/fr/2012-01-17/elza-de-vleeschouwer-van-braekel/%28%282%29%29/#.VR_SI-Hw5Ao

Il serait très intéressant de disposer des archives de Willy Weemaes pour éclairer ces périodes... mais presque personne ne les a lues, à part sans doute Edmond Bajart (un proche de Léon Degrelle)...

Le field manual FM30-31B de William C. Westmoreland est commenté sur

http://cryptome.info/fm30-31b/FM30-31B.htm

C'était un document de la DIA :

NATO's Secret Armies: Operation GLADIO and Terrorism in Western Europe
Par Ganser Daniele





William C. Westmoreland avec John K. Singlaub :





William C. Westmoreland avec Robert K. Brown :





_ _ _ _


https://fr.scribd.com/doc/59001131/Les-reseaux-stay-behind-en-France-1945-1962




















Note : à mon avis, l'ajout d'explosifs n'avait aucun intérêt dans le cadre des attentats du 11 septembre 2001 ; je m'inquiète par contre de lire que Mohammed Atta a suivi des cours de pilotage dans l'école où travaillait J-F Buslik... ; à relire aussi "Une mosquée à Munich" de Ian Johnson.

Mon message d'avril 2012:"Une petite chose quand même pour illustrer le climat de l'époque, en 1979/1980, je suivais à LLN les cours de la licence en Gouvernement et Administration publique et nous avions été invités à entendre en très petit comité l'exposé d'un officiel américain (OTAN ? Ambassade ? itinérant ?) genre officier en civil, sur le péril soviétique qui menacait l'Europe Occidentale (il parlait de hordes de Tartares!!!).re armement moral car menaces soviétiques (SS20) et puis passage à la pratique? Intéressant de retrouver le nom du conférencier.

Un article sur l'Italie dans la revue Celsius de septembre 1990 :

https://www.scribd.com/doc/261119107/Celsius-Septembre-1990-Italie

Pour ce qui concerne les "impunités" organisées par les Etats : les cas Buslick est un bel exemple : codamné à mort en 1er jugement d'assises, acquitté 20 ans après...;et la mort du sieur Michaux en 1978 où tout est fait pour que les coupables puissent s'échapper, une absolution pour les complices qui ont abrité les tueurs et les ont conduits sur le lieu de l'attentat....

Il me semble avoir été assez clair ..;

Jean, le nom de Henri Roques,n'est-il pas le lien avec le Château de Miremont à Feluy/Ronquière???

Il y a un lien entre le château de Miremont ...

http://www.seneffe.be/theme_loisirs/tourisme/office-du-tourisme/feluy-1/chateau-de-miremont

... et le château de la Rocq

http://www.seneffe.be/theme_loisirs/tourisme/office-du-tourisme/feluy-1/chateau-de-la-rocq

http://archives.lesoir.be/pas-simple-tous-les-jours-la-vie-de-chateau-miremontr-a_t-19910810-Z049A3.html

(...)  En fait, le château de Miremont est une bâtisse qui a été construite au sommet d'une colline verdoyante, à l'inititative de François de Lalieux de la Rocq. La première pierre a été posée par son fils Fernand, né au château de la Rocq, le 19 avril 1848.

Peu après, de vastes dépendances et une conciergerie ont été ajoutées à l'édifice. Le parc, dessiné par François de Lalieux lui-même, s'étend sur cinq hectares  (...)


Mais je n'ai rien lu sur un lien avec Henri Roques

http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Roques


Ceci dit, votre témoignage est du plus grand intérêt et il faudrait chercher à partir de là...


Deux remarques :

http://www.gplu3.be/Geneabel/actes/acte_bans.php?xid=1367256&xct=9167

de LALIEUX de la ROCQ Robert Marie Paul Joseph est décédé à MIREMONT (HAUTE GARONNE)

Cela pourrait donner une indication sur le nom du château ...


Arnould de Briey aurait séjourné au Moulin de Bornival et il est question de Bornival dans les archives de Madame Alice de Lalieux de la Rocq, née Gendebien :

http://mdmemoireseneffe.blogspot.be/2014/04/inventaires-des-archives-anciennes-de.html

Il y a en tout cas un lien entre la famille de Briey et la famille de Lalieux de la Rocq.

Léon GENDEBIEN (6 Dec 1857, 28 Jan 1942) a eu trois enfants :

Paul GENDEBIEN, b. 07 Feb 1884, Ixelles, d. 24 Jun 1957, Marbaix-la-Tour.
Alice GENDEBIEN, b. 27 Feb 1887, Ixelles, d. 29 Aug 1966, Feluy.
Georges GENDEBIEN, b. 11 Jul 1889, Marbaix-la-Tour, d. 12 May 1940, Temploux.

Une des filles de Paul GENDEBIEN est Marie-Elisabeth GENDEBIEN (2 Jan 1919) qui a épousé le comte Claude de BRIEY (3 Apr 1917).

Alice GENDEBIEN a épousé Robert de LALIEUX de la ROCQ (30 Jul 1884, 13 Jun 1937).

Robert de LALIEUX de la ROCQ (30 Jul 1884, 13 Jun 1937) est donc l'oncle du comte Claude de BRIEY (3 Apr 1917).

Pour continuer :

http://gw.geneanet.org/gounou?lang=fr;pz=auguste;nz=dumont;ocz=0;p=claude;n=de+briey

Le comte Claude de BRIEY est le fils de Anne d'Ursel (1887-?)

Sauf erreur de ma part, il est le frère de Arnould de Briey qui a épousé Marie-Louise van Zeeland.

Par ailleurs, un dénommé Hervé d'Ursel (1930) a épousé Marie-Cécile de Bonvoisin (1934) ...

Les amateurs de généalogie auront à coeur de vérifier et compléter le tableau... par exemple en le reliant à

http://www.inmemoriam.be/fr/2014-01-02/alain-de-liedekerke-de-pailhe/#.VSU9czrlopE

( j'espère pouvoir compléter la série bientôt )


Fire ! - Septembre Octobre 1991 - Stay-behind (2)

Extrait du magazine "Fire!" de septembre-octobre 1991 ; second article d'une série consacrée aux "Stay-behind" (Gladio)

https://www.scribd.com/doc/261432757/Fire-Septembre-Octobre-1991-Stay-behind-2


Fire ! - Novembre Décembre 1991 - Stay-behind (3)

Extrait du magazine "Fire!" de novembre décembre 1991 ; troisième article d'une série consacrée aux "Stay-behind" (Gladio)

https://www.scribd.com/doc/261435950/Fire-Novembre-Decembre-1991-Stay-behind-3


Fire ! – Janvier Février 1992 - Stay-behind (4)

Extrait du magazine "Fire!" de janvier février 1992 ; quatrième article d'une série consacrée aux "Stay-behind" (Gladio)

https://www.scribd.com/doc/261436676/Fire-Janvier-Fevrier-1992-Stay-behind-4


Fire ! – Mars Avril 1992 - Stay-behind (5)

Extrait du magazine "Fire!" de mars avril 1992 ; cinquième article d'une série consacrée aux "Stay-behind" (Gladio)

https://www.scribd.com/doc/261437632/Fire-Mars-Avril-1992-Stay-behind-5


Fire ! – Mai Juin 1992 - Stay-behind et Guerilla (Portugal)

Extrait du magazine "Fire!" de mai juin 1992 ; article sur "Stay-behind" et guerrilla au Portugal

https://www.scribd.com/doc/261438357/Fire-Mai-Juin-1992-Stay-behind-Et-Guerilla-Portugal



http://fr.wikipedia.org/wiki/AMI/ArMI/Fire

La revue belge francophone AMI ("Arms Militaria International" ; magazine international des armes) parait à partir de 1979. Le magazine, mensuel dans un premier temps, ensuite bis-mensuel, puis, finalement, trimestriel publie des articles sur les armes, l'uniformologie, le rechargement et le Militaria.

Le périodique change de titre et devint ArMI en 1987, ensuite, Fire!, en 1990. Le magazine Fire! appartient, entre autres à l'ancien mercenaire Bob Denard. Arrêt de parution en août 2002

Plusieurs articles datant de 1990-1991 sur "stay-behind" en Belgique sont sur

https://www.scribd.com/doc/261705916/Articles-de-1990-1991-Sur-Stay-behind-en-Belgique

Dumont ; De Staerke , dans une mesure - sûre : Bouffioux ... Enfumage.

L'idée que des gendarmes fassent partie des "Stay" est à l'opposé même de la mission de cette organisation : l'action dans la clandestinité, après l'effondrement des structures de l'Etat.
L'expérience nous a appris que des structures policières sont soit anéanties, soit utilisées par l'occupant... difficile de concilier avec action discrète ...
La commission, au lieu de se focaliser sur les personnes membres des Stay, aurait mieux fait de se préoccuper de l'usage du budget de la structure ... mais nos députés aiment à faire du bruit, comme des tonneaux vides.

Citation :

L'expérience nous a appris que des structures policières sont soit anéanties, soit utilisées par l'occupant... difficile de concilier avec action discrète ...

complètement t'accord

mais il y a aussi en Belgique l'experience des service de la sureté et l'office des etrangers pendant la dernière guerre

une partie est allé en UK une autre parti a largement collaboré avec l'occupant pensaient- ils et finalement ils travaillaient pour la resistance aussi a relire sur wicki


récemment trouvé que pappie Carett. était aussi ds le service "Etrangers" mais aucune idee a partir de quand et son frère H était à jeune europe et oocident en 68 puis capitaine au staff para en 1985


pe il était parmi les para ds la rue en 1985 pour defendre la Belgique contre ..son frère ?

cela devient hilare , ce cirque

heureusement on est ds le pays du Surr.

Mwè, le personnel civil de la SE s'est exilé en France; arrêt à Poitiers puis retour en Belgique. Recasés dans différents ministères dont celui du ravitaillement.

Le 2e bureau belge à Londres : j'ai peu d'éléments sur le sujet ; à mon avis constitué sur place de 'bric et de broc' et se sont formés eux-mêmes, peut-être sous l'égide des Britishs.

L'administrateur de la SE a été embastillé par les Chleus puis a été libéré à l 'intervention d'un haut responsable nazi . ( Ils s'étaient connus dans le cadre 'Interpol' et avaient sympathisé à l'époque.)

La SE reconstituée après guerre ne reprend qu'assez peu d'agents d'avant guerre, s'y glissent de nombreuses personnes , réputées résistantes, qui mènent l'épuration ( ou règlent des comptes ???)

Période curieuse en tous cas.

Pour information ...

http://www.dedefensa.org/article-notes_sur_les_trois_vies_de_l_avion_rafale_13_04_2015.html

Notes sur les trois vies de l'avion Rafale

13/04/2015 - Analyse

(...)

Le cas du JSF contre le Rafale fait partie de la grande saga des Stay-Behind, alias Gladio...

«En un peu plus de quinze ans, cette situation nouvelle et révolutionnaire s’est établie dans l’exportation des armements, sous l’impulsion des USA et à l’image de leurs arguments idéologiques. La situation commerciale habituelle de conquête des marchés puis de leur défense comme positions acquises est effectivement devenue une situation stratégique actant l’hégémonie militaire et politique sur ces marchés. Il ne suffit plus de parler d’influence, de pressions, etc., même si ces éléments sont de plus en plus présents et actifs. Il est désormais question d’une structure générale où les “clients” sont devenus des “correspondants” choisis par Washington pour à la fois absorber le matériel US et tenir leur place dans une structure militaire globale contrôlée par le Pentagone.

»Cette situation est la conséquence d’une longue maturation. Les USA possédaient, à la fin de la Guerre froide, particulièrement en Europe qui est le modèle le plus convaincant et le plus achevé de cette situation d’hégémonie, une formidable base d’influence. Les différents moyens et relais “ouverts” sont connus, situés à la jonction de l’action légale de lobbying et de l’action d’influence du renseignement. Mais il existe également des moyens tangentiels fondamentaux, dont on ignore en général le poids. Il s’agit essentiellement du tissu de relais d’influence et d’action établi à partir de 1947-1948 sous la direction du MI6 (très vite en perte d’importance) et du renseignement US (CIA et DIA, SR des forces armées), et structurellement à l’intérieur de l’OTAN, au travers des réseaux Stay Behind (SB), plus connus sous le nom générique de leur branche italienne depuis les révélations de 1990, de réseau Gladio.


(...)

http://www.wsws.org/de/articles/2015/04/14/okto-a14.html

Oktoberfest-Attentat: Bundesregierung verweigert Auskunft über V-Leute

Von Dietmar Henning
14. April 2015

(...)

Voir aussi :

https://www.wsws.org/de/articles/2015/02/11/okto-f11.html

Neues zum Oktoberfestattentat

Von Dietmar Henning
11. Februar 2015

(...)

Citation :

Période curieuse en tous cas.

à décortiquer: "sureté belge avant 1940" sur google

Citation :

[PDF]L'Administration de la Sûreté de l'État à Londres, novembre ...

www.cegesoma.be/.../chtp15_025_Debruyne.pdf

DE LLÉTAT SERA RÉTABLIE EX NIHILO EN NOVEMBRE 1940 DANS LA ... qui dépendait de la Justice et s'occupait avant tout des étrangers et des menaces inté ... cette 'première' Sûreté de l'État et celle qui se développera à Londres ...


[PDF]Le financement des services de renseignements en ...

www.cegesoma.be/.../chtp13_14_010_Debruyne.pdf

de la résistance armée en Belgique, 1940-1944, Bruxelles, mém. lic., Ecole royale ... la manière dont la Sûreté de l'État procède pour procurer aux services ... Avant toute chose, ils nous faut cerner en quoi peuvent consister les besoins d'un.


Sûreté de l'État (Belgique) — Wikipédia



fr.wikipedia.org/wiki/Sûreté_de_l'État_(Belgique)


La Sûreté de l'État est le service de renseignement civil belge (son .... De peu avant la guerre, au cours de la guerre (à Londres) et brièvement après, il y ... de mars à juin 1940 à Bruxelles; en 1943-1944 à Londres; de 1944 à 1947 à Londres ...

le but est de comprendre ds quelle service le papie de Carret avait travaillé pour comprendre l'environnement familiale qui mène à deux frères antigonistes en vue politique


en sus Carret en tôle avait des contacts le mouvement Thiriart  , comme Latinus à une époque

Citation :

Créée par l’arrêté royal du 8 mars 1940 et placée sous la direction de l’ancien chef de  la  Sûreté publique, Robert de Foy, l’Administration de la Sûreté de l’État est au départ un organisme destiné à protéger l’État contre les menées secrètes dirigées contre lui, et ce en collaboration avec les parquets militaires.

Contrairement à la Sûreté publique qui dépendait de la Justice et s’occupait avant tout des étrangers et des menaces intérieures, la nouvelle organisation, placée sous l’autorité de la Défense nationale, doit lutter contre l’espionnage. À peine mise en place, elle sera contrainte de travailler à plein rendement dans la précipitation des journées de mai 1940. Le désastre aboutira à sa dislocation en juin

donc déjà deux suretés avant le debacle !

pus un troisième à Londres etc



si je me trompe pas celle de Londres (admin Lepage)n'a PAS grand chose a dire après guerre  !!

et l'explication est ici je pense:

Citation :

36 Le profil philosophique de Lepage serait d’ailleurs celui d’un libéral progressiste et croyant [Interview de Pierre Vermeylen, par José Gotovitch, Henri Masson et Michel Vanbergen, 27.9.1977 (CEGES)]. Cette ouverture pluraliste de bon nombre de membres de la Sûreté contribuera d’ailleurs à la reconnaissance du Front de l’Indépendance, mouvement de résistance dominé par les communistes et qui s’ancrera profondément à gauche (etienne verhoeyen, La Belgique occupée. De l’an 40 à la Libération, Bruxelles, 1994, p. 493­495)

Citation :

La Sûreté de l'État à Londres

Le retour en Belgique en septembre 1944 signifie pour la Sûreté la fin d’une période, d’autant qu’il met un terme à ses activités liées à la résistance. Sa place dans la communauté du renseignement s’en trouve considérablement modifiée, ses missions principales se tournant désormais prioritairement vers le contre­espionnage et la répression de la collaboration, déjà en préparation à Londres. L’Administration de la Sûreté de l’État retrouve de la sorte une fonction proche de celle qui était la sienne à sacréation initiale, en mars 1940. Cependant, la coopération avec les services britanniques sera poursuivie. Il faut encore terminer la guerre et déjà prendre position pour l’après­guerre. Le communisme, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, n’aura été qu’un allié de circonstance. Lepage en est conscient et veut de ce fait maintenir une coopération soutenue avec ses homologues d’outre­Manche. Avant même la libération de la Belgique, il remet à Pierlot un mémorandum en ce sens. Il y écrit en effet : “Nous avons également un intérêt majeur à demeurer en relations en matière d’activités intérieures subversives. Les idéologies qui se sont heurtées au cours de cette guerre et continueront à le faire pendant un temps indéfini n’ont reconnu aucune frontière et n’en reconnaîtront vraisemblablement pas à l’avenir” 39. Cette relation privilégiée sera concurrencée par la présence croissante des services américains au fur et à mesure que se dessineront les tensions de la guerre froide. Ceux­ci ont cependant au départ plus d’affinités avec la Deuxième Direction qui reste, malgré un rapprochement institutionnel, en rivalité constante avec la Sûreté. Elle considère d’ailleurs le communisme comme son adversaire désigné, alors que la Sûreté l’intègre dans un spectre de menaces plus large.
Les changements liés au retour au pays se traduiront aussi pour la Sûreté par le départ de la plupart de ses cadres des années d’exil, à commencer par Lepage lui­même, remplacé par Pol Bihin en novembre 1944. Ugeux, Aronstein, Floor, Nicodème, Deswarte et d’autres encore quittent la structure au moment de la libération ou dès la fin des hostilités.

À l’inverse, la Police des Étrangers est réintégrée dans l’institution, de même que d’anciens éléments restés en Belgique.

Ces derniers sont accompagnés de nombreux résistants qui participeront à l’immense travail répressif qui s’annonce. Ainsi, la période qui s’ouvre avec la fin de la guerre s’inscrit sans doute plutôt dans la continuation de celle qui avait précédé l’occupation du pays. Ceci dit, elle bénéficiera largement du travail et des contacts des années d’exil.

donc "la police des Etrangers" , restée en Belgique qui a travaillé pour les allemands ? pour le transports des étrangers (+ juifs ) travaille maintenant avec les resistants pour rapatrier les survivants des camps ?


histoires belges

Pour information (en italien) sur les liens politico-mafieux (et certains "services") :

http://www.reteccp.org/biblioteca/disponibili/demos/oggi/pattoimpunito/impunite.html

ainsi que

http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_Poletti

et

http://en.wikipedia.org/wiki/Portella_della_Ginestra_massacre

Pour les Tintinophiles : les Dupont-d sont inspecteurs à la Sûreté ( chaussures cloutées... et habits bourgeois )
Hergé se moque de cette nouvelle institution chargée du contre espionnage .
La Police des Etrangers s'appelle à l'époque "Sûreté Publique" . La branche "Sureté" va dans un premier temps lutter contre la 5e Colonne en relevant l'identité de toutes les personnes de nationalité Allemande ou Autrichienne sur notre territoire en collaboration avec la Sur. Pub..... Lors de l'invasion, ces personnes seront arrêtée administrativement et évacuées vers la France ... nombreux récits concernant cette imbécillité ( à la limite criminelle ) vu le sort réservé à ces personnes par la suite ...

Les Dupont-d ont une médaille : armoiries de Belgique et verso : Sureté Publique - Openbare Veiligheid + au centre nom et grade du porteur.

Je pense parler de cet aspect historique dans mon récit.