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| 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez | |
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Auteur | Message |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Dim 19 Mar 2017 - 18:13 | |
| mais entretemps j'ai le n° ds lesbroussart et cela doit etre quand même 300 mètres de beau site ....mais il y avait 3 entree/sorties donc il faut voir sur place...
mon message peut etre mis en question car ds lessbroussart 1 maison sur deux est une commerce a un moment et en plus c'est pas loin du place flagey....donc donc |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 12:17 | |
| Masset: - Citation :
- LA COORDINATION DES ENQUETES BRABANT WALLON -MENDEZ
Chapitre 1. Introduction
Section A. Prolongement de notre premier rapport d' expert
Les faits réunis sous l'appellation tueries du Brabant couvrent une période d'août 1982 à novembre 1985 ; l'affaire dite "Mendez" a pour point central l'assassinat de Juan Mendez, commis à Wavre le 7 janvier 1986 ; Bouhouche et Beijer seront inquiétés dans le cadre de ce qu'on a appelé le dossier Mendez et qui rassemble en réalité plusieurs faits s'étalant de 1981 à 1989; le dossier Mendez a pris fin par arrêt de la Cour d'Assises de Bruxelles prononcé le 13 février 1995.
Dès 1986, pouvait se poser la question de la coordination des enquêtes Brabant wallon et Mendez; cette collaboration était moins problématique pour ce qui concerne les faits des tueries du Brabant instruits par le juge d'instruction Schlicker dans la mesure où c'était ce même juge d'instruction Schlicker qui instruisait également le dossier Mendez;
pour rappel, le juge d'instruction Schlicker a été dessaisi des dossiers des tueries du Brabant par arrêt de la Cour de Cassation du 21 janvier 1987 ;
pour rappel également, le juge d'instruction Hennart a succédé au juge d'instruction Schlicker, en février 1988, dans le cadre du dossier Mendez;
la collaboration entre les enquêtes Brabant wallon et Mendez se posait néanmoins, même sous l'égide des instructions du juge Schlicker, dans la mesure où les tueries de Tamise et d'Alost étaient instruites par le juge d'instruction Troch de Termonde appuyé par la cellule Delta.
Notre premier rapport du 16 janvier 1997, consacré à l'enquête criminelle sur les "tueurs du Brabant" quant à "l'implication éventuelle de certains (anciens) membres de la Sûreté de l'Etat et/ou du Service général du renseignement et de la sécurité et/ou de la Gendarme- rie" a déjà examiné, au départ de la lecture du dossier d'instruction actuellement à Charleroi pour les tueries du Brabant, au départ des rapports des parquets généraux au départ de l'examen du dossier pénal Mendez et au départ de divers documents complémentaires, non seulement les éventuels liens entre ces deux enquêtes, mais aussi les questions de collaboration entre les différents enquêteurs et les différents juges d'instruction.
Le présent rapport a donc pour objet de compléter cette première analyse, la présente analyse se basant essentiellement sur les auditions de témoins réalisées par la présente Commission d'enquête parlementaire. (Voyez notre premier rapport, en ce qu'il est consacré à l'axe de recherche liaisons Mendez-Asmaoui-Amory, pp. 58 à 67, en ce qu'il est consacré à l'examen des rapports des parquets généraux, pp. 71 à 74, et en ce qu'il est consacré à la confrontation du dossier d'instruction tueries du Brabant, au dossier Mendez, pp. 79 à 83, avec une conclusion en ce qui concerne la collaboration entre les enquêtes en page 86. 163
Section B. Nécessité d'une coordination: La coordination institutionnalisée
Quelles que soient les opinions sur la nécessité d'une coordination des enquêtes Brabant wallon-Mendez, il est patent que la gendarmerie et le collège des procureurs généraux ensuite, ont fait en sorte que cette coordination existe en ce qui les concerne. Ainsi, comme il sera explicité ci-après, le colonel Michaux de la gendarmerie a été désigné comme coordinateur national Brabant wallon pour la gendarmerie à partir du 27 janvier 1986, et "il est devenu l'interlocuteur des enquêteurs Mende; dans la cellule d'information Brabant wallon" (Audition du colonel Michaux, 9 juillet 1997, pp. 2 et 18). Celui-ci précise encore: "Les magistrats instructeurs, et du parquet de Nivelles ont souhaité notre collaboration, y compris en ce qui concerne les enquêteurs et la fourniture des moyens logistiques. Ils ont souhaité une collaboration. Ils ont trouvé un colonel d'Etat major qui avait beaucoup de pouvoir. Ils ne parvenaient peut-être pas à avoir des chefs locaux, et, immédiatement, des renforts nécessaires. Donc je suis devenu l'interlocuteur systématique de MM. Deprêtre et M. Schlicker, y compris dans le dossier Mendez: Surtout que, n'oublions pas que M. Schlicker, à l'époque, traitait les deux". (Audition, ibidem).
La mission de coordination nationale au sein de la gendarmerie, dévolue au colonel Michaux, si elle est bien réelle en ce qui concerne le dossier des tueries du Brabant, semblerait ainsi plus résulter d'une situation de fait en ce qui concerne le dossier Mendez.
Par contre, en ce qui concerne la désignation d'un magistrat national coordinateur entre les enquêtes des tueries du Brabant et Mendez, la situation est bien plus claire, en ce que la désignation de M. Jonckheere résulte d'une "mission à lui confiée en 1988 par le collège des procureurs généraux réunis avec le ministre de la Justice, M. Gol" : ce membre du parquet de Charleroi devient donc le coordinateur national des enquêtes du Brabant wallon et Mendez (Audition de M. Jonckheere du 30 mai 1997, pp. 6 et 7).
Section C. Difficulté de coordination des enquêtes et de collaboration entre magistrats Les difficultés tenant à une coordination des enquêtes Brabant wallon et Mendez et à la collaboration entre enquêteurs semble être plus le fait des magistrats instructeurs eux-mêmes que des enquêteurs des différentes cellules.
Ces questions de collaboration paraissent avoir été discutées et décidées en dehors de la présence des enquêteurs, mais bien au niveau des différents juges d'instruction, du collège des procureurs généraux, et du ministre de la Justice.
Il s'agira essentiellement dans le présent rapport, de souligner ces difficultés de collaboration et de coordination entre magistrats, spécialement en distinguant les différentes périodes qui, précisément, d'un point de vue chronologique, rendent compte différemment de ces difficultés.
La confrontation entre les 4 juges d'instruction Lacroix, Hennuy, Troch et Hennart, effectuée par la Commission d'enquête parlementaire le 15 juillet 1997 témoigne de ces difficultés, ainsi qu'il sera dit ci-après. 164
Dernière édition par K le Mer 22 Mar 2017 - 19:15, édité 4 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 12:17 | |
| chapitre 2 - Citation :
Chapitre II. Existence ou non d'hypothèses communes ou de liens matériels entre les faits des tueries du Brabant et les faits du dossier Mendez
Le fossé peut paraître énorme entre les conceptions d'enquête des juges Lacroix et Hennart, à entendre le premier déclarer: "Ce que je voulais en réalité, c'était voir si, à travers la lecture faite par des gens qui connaissaient les faits du Brabant wallon nous ne pouvions pas retirer un élément positif (du dossier Mendez).
Et si M. Hennuy a posé une série de 80 questions suite à un rapport fait par M. Riva, nous constatons maintenant qu'après la lecture que nous avons faite du dossier, nous avons aussi peut-être 80 nouvelles questions à poser.
Mais nous devons d'abord les poser aux intéressés; c'est le travail que nous sommes en train de préparer, je ne l'ai pas caché", et le confronter au second qui déclare: sur une question de M. Deleuze, "mais le juge d'instruction actuel de l'affaire des tueries suit quand même cette piste Mendez, Bouhouche, Beijer 1
Réponse de M. Hennart: "c'est qu'il a vraiment du temps à perdre. Sauf s'il a découvert quelque chose d'extraordinaire depuis. On entend dire que les liaisons avec l'affaire Mendez sont évidentes, qu'il faut absolument poursuivre (. .. ) Aujourd'hui, il est insup- portable que l'on agite encore l'affaire Mendez comme étant une des pistes à suivre." (Confrontation des 4 juges d'instruction, Auditions du 15 juillet 1997, pp. 22 et 32).
Cette conviction, de l'époque actuelle, de poursuivre les investigations en direction des protagonistes du dossier Mendez, est diversément partagée, voire rejetée par les témoins entendus par la présente Commission d'enquête.
Renvoyons tout d'abord à notre premier rapport rédigé le 16 janvier 1997, dans le cadre précisé à la Section A du premier chapitre, précisant que l'axe de recherche liaisons Mendez figure au dossier d'instruction de Charleroi sous la référence F14 comportant 603 pièces rassemblées dans trois cartons: l'analyse du dossier qui avait été faite mettait en avant certains points de contact entre les dossiers tueries du Brabant et Mendez , ainsi que la collaboration entre les cellules Brabant wallon et Mendez (Voir notre premier rapport du 16 janvier 1997 pp. 58 à 67).
Le juge d'instruction Schlicker, entendu, précise: "Après avoir été dessaisi du dossier (Brabant wallon) nous avons continué à investiguer dans l'affaire dite Mendez: Nous avons eu le sentiment, que, quelque part, nous allions retrouver la précédente affaire (. .. )
Le Président: "Mais les informations dans l'enquête Mendez vous paraissaient utiles dans votre enquête sur les tueries du Brabant wallon? - M. Schlicker: "Exactement" (. .. )
Le Président: "Je voudrais revenir sur l'enquête Mendez; comme vous avez vous-même mené l'enquête Mendez pendant un certain temps
-M. Schlicker: "Pendant 1 an 1"
- Le Président: "Avez-vous senti un lien entre les deux dossiers des tueurs du Brabant et Mendez ?
- M. Schlicker: "C'est une conviction" (Audition du 4 février 1997,pp. 3, 4 et 23).
Le substitut Van Lierde du parquet de Nivelles, précise:
-Le Président: "Vous souvenez-vous que le dossier Mendez était réellement intéressant pour l'enquête des tueries du Brabant wallon ?
- M. Van Lierde: "11 était intéressant, étant donné la personnalité des personnes qui intervenaient dans le dossier Mendes. La plupart étaient des anciens gendarmes qui faisaient du tir pratique. Il est évident que ces personnalités étaient susceptibles d'être prises en compte au cours de l'enquête des tueries du Brabant. Le dossier Mendez relatait certains faits qui faisaient penser aux tueries du Brabant 165
wallon ( ... ). Il y avait des choses qui présentaient des similitudes et qui donnaient à penser que l'on ne devait pas ignorer ces gens dans les recherches concernant les tueurs du Brabant wallon". (Audition du 21 mars 1997, pp. 29-30).
"Question du député Deleuze: Dans le cadre de ce dossier (Mendez) avez-vous eu connaissance de liens avec les affaires des tueries du Brabant?
- Réponse de M. Van Lierde: J'ai évoqué tout-à-l'heure des aspects du dossier et l'épisode du dinghy. Des déclarations de certains inculpés laissaient à penser que ( ... ) mais, tout comme le juge d'instruction. je crois, je n'ai pu constater de faits ou d'éléments effectifs concrets et avérés, sinon on aurait agi autrement. Mais la personnalité des prévenus, le genre de formation qu'ils avaient eu, les faits qu'ils avaient commis, faisaient qu'on ne pouvait pas les exclure. C'était un profil qui pouvait correspondre". (Audition du 21 mars 1997, pA8).
L'avocat général Morlet, qui a recquis devant la Cour d'Assises dans le dossier Mendez, précise sur le même thème : "Depuis un certain temps, et sur le plan des hypothèses d'enquête, l'idée d'un lien entre tout ou partie des faits du Brabant wallon et des faits qui ont été reprochés à Bouhouche et Beijer et qui ont été jugés par la Cour d'Assises, constituait, certainement depuis la fin des années 80 une préoccupation d'actualité pour les cellules Brabant wallon et Delta. Je crois qu'il en est toujours ainsi, mais, je le répète, sur le plan des hypothèses d'enquête, et non pas sur le plan des éléments ou des indices concrets ( ... ) Nous sommes toujours dans le domaine de l'hypothèse d'enquête. En réalité, en dehors du domaine hypothétique, nous n'avons aucun indice concret qui forme un pont entre les deux affaires, qui forme un pont entre le "bewijsmaterieel" recueilli dans le cadre de l'affaire Bouhouche et celui recueilli dans le cadre de l'affaire du Brabant wallon. A mon sens, et sous réserve d'éléments récents dont je n'aurais pas connaissance: convergence d'hypothèses, oui, éléments concrets, non." (Audition du 21 avril 1997, pp. 19 à 21).
Le juge d'instruction Lacroix précise le point d'ancrage : "Le procès de la filière boraine devant la Cour d'Assises du Hainaut va cependant capoter; la session (ouverte le 18 janvier 1988) va être reportée (Ndlr: le 21 janvier 1988) à une date ultérieure (Ndlr: au 6 avril 1988) sur base de deux éléments. Quelque temps avant le procès, une indication était arrivée à la police judiciaire de Nivelles, selon laquelle un pistolet se trouvait dans de la sauce bolognaise dans un congélateur chez Bouhouche. En réalité c'est Beijer qui a donné cette information. Nous avons été avisés que cette arme était confiée à Nivelles pour expertise.
Dans un premier temps, l'expert Dery fait la liaison entre cette arme et deux munitions de 9 mm qui ont été retrouvées, l'une dans la voiture Santana, si ma mémoire est bonne, et l'autre dans le bois de la Houssière. La mission alors était confiée à un Collège d'experts composé de M. Celens de l'Ecole royale militaire et du Colonel Demanet.
Finalement, il n'y avait plus aucune certitude que cette arme-là ait pu servir dans les faits du Brabant wallon. En tout cas, les munitions de référence qui avaient servi à faire la comparaison, en pratique, ne pouvaient pas avoir être tirées par cette arme-là. Au départ, le premier résultat qui arrive au niveau de la Cour d'Assises est assez mitigé. D'autre part, ont été entendus à ce moment-là en tant que témoin, M. Schlicker et M. Goffinon (Ndlr : Chef BSR dans l'enquête Mendez) qui déclarent qu'il doit y avoir une liaison entre Bouhouche, Beijer et les faits du Brabant wallon. Surprise, ces éléments, les deux témoignages plus le rapport concernant le 166
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pistolet à la bolognaise, ont pour résultat le report de la session à une date ultérieure.
Le procès va être repris le 6 avril 1988. Etaient convoqués les six membres de lafilière boraine. Toujours est-il que celui qui commence le 6 avril 1988 va durer trois semaines.
Plus de 120 témoins vont être entendus. On va en arriver à des acquittements pour les faits concernant le Brabant wallon proprement dits. (Ndlr: Arrêt du 2 mai 1988).
Il y a eu des condamnations qui concernent des faits commis dans le Borinage qui ne sont pas liés directement aux faits du Brabant wallon", ajoutant par ailleurs: "La session de la Cour d'Assises a été ouverte assez rapidement (. .. ) Les borains ont été jugés. Nous connaissons le résultat ( ... ) il n'avait toujours pas été répondu à la question de savoir si oui ou non, Bouhouche et Beijer pouvaient être impliqués dans les faits du Brabant wallon. C'est la raison pour laquelle, nous souhaitions, pour pouvoir répondre à cette question, soit par l'affirmative, soit par la négative, avoir accès au dossier Mendez; c.-à-d. à l'ensemble du dossier qui était instruit au départ par M. Schlicker et ensuite par M. Hennart".
C'est dans ce contexte-là que la décision des procureurs généraux est intervenue." (Audition des 23 mai et 15 juillet 1997, pp. 13 à 14 et 4 à 5).
Le magistrat coordinateur Jonckheere répond dans le même sens: "Question du député Deleuze: on comprend la logique factuelle de nommer un coordinateur des enquêtes de Termonde et de Charleroi, puisque des liens balistiques sont établis entre ces enquêtes ( ... ) - Réponse de M. Jonckheere : C'est incontournable
- Question de M. Deleuze: "Absolument " Pourquoi, en février 1988 vous a-t-on aussi nommé coordinateur de l'enquête Mendez ?
- Réponse de M. Jonckheere : "A cause de propos tenus en Cour d'Assises du Hainaut par M. Schlicker et par l'adjudant en chef Goffinon, qui, outre la liaison balistique, remise en question et avortée du pistolet à la bolognaise, sont venus dire en Cour d'Assises qu'il y avait des liaisons ( ... ) ( ... )
Question du président : "Pourquoi la cellule n'était-elle plus en mesure (Ndlr en 1994) de lire le dossier Mendez ?
- Réponse de M. Jonckheere : "Parce que la lecture d'un tel dossier ne nécessite pas 4,5 ou 6 personnes, mais bien 15. De plus, pour faire une lecture intelligente et subtile,il faut des enquêteurs du passé, c.-à.-d. des enquêteurs qui connaissent tout le background de l'enquête ( ... ) Ce ne sont pas des complots, c'est un fait, bien sûr que c'est grave .
Mais vous avez là en même temps l'explication du fait que nous sommes, 6 ans après, incapables de dire si oui ou non, à charge ou à décharge, ces gens sont impliqués dans les tueries du Brabant.
Ce n'est que grâce aux initiatives prises par le procureur général du Hainaut et relayé par le substitut du PG Michaux, actuellement en charge,qu'on a enfin remis sur pied (avec des appuis extérieurs obtenus grâce au climat de la fin 1995, c.-à-d. le dixième anniversaire de la tuerie d'Alost) une équipe à Jumet, qui progresse tous les jours" (Audition du 30 mai 1997 pp. 81-82 et 86-87).
L'enquêteur Riva précise son rôle: "J' ai été détaché de la BSR de Charleroi à la Cellule Brabant wallon, d'avril 1988 à juin 1994 (...) - Question du Président: "Nous avons constaté, à la lecture du dossier, que vous aviez enquêté de manière approfondie sur les relations entre le dossier Mendez et celui des tueurs du Brabant. Vous avez établi un rapport, en date du 27 novembre 1991 dans lequel vous rédigez un questionnaire de 14 pages sur les relations entre ces deux dossiers. A cette époque, vous semblait-il important et nécessaire de pouvoir consulter le dossier Mendez ? -Réponse de M. Riva: "Effectivement. Des éléments de rapprochement (pag167)
avaient déjà été épinglés par les enquêteurs de la cellule Brabant wallon. Je vous rappelle que je suis arrivé en avril 1988. Ma première préoccupation a été d'essayer de prendre connaissance de ce dossier gigantesque. Lors de l'étude du dossier et à la suite des réunions de travail avec mes collègues enquêteurs de la cellule Brabant wallon, je me suis aperçu, comme d'autres enquêteurs d'ailleurs, que des éléments de rappro- chement dans le dossier Mendez pouvaient éventuellement être intéressants pour l'enquête Brabant wallon. Cela faisait déjà quelque temps que l'on aurait voulu aller de l'avant, c'est-à-dire avoir des contacts beaucoup plus étroits avec la cellule Mendez.
Des réunions de travail, il y en avait.
Mais nous voulions franchir un pas supplémentaire, c'est-à-dire avoir accès au dossier. C'est la raison pour laquelle, dès 1990, mes collègues et moi-même avons essayé de rassembler tous les éléments en notre possession, notamment ceux obtenus par la lecture de copies de PV, de rapports, suite à nos entretiens et nos contacts avec les membres de la cellule Mendez. C'est ainsi que j'ai été désigné pour rédiger ce fameux rapport de 1991 qui attirait l'attention sur l'existence de plusieurs éléments de rapprochement et sur notre désir d'avoir des réponses à toutes les questions que nous nous posions dans ce rapport". (Audition du 3 juin 1997, pp. 2 à 3).
Quant au juge d'instruction Hennuy, sur ce thème, il déclare:
"Question du président,' précisément, vous avez.fait, M. Hennuy, un début d'étude comparative en 1991-1992. Vous avez parlé du questionnaire établi par M. Riva, qui comportait 13 pages. Pourquoi étiez-vous aussi intéressé dans le dossier Mendez ? Quel fut le résultat de ce début d'étude comparative ?
- Réponse de M. Hennuy " Comme je l'ai dit tout à l' heure, je n'étais pas en mesure, ne connaissant rien de l'affaire, d'estimer s'il était opportun de poursuivre ou d'aban- donner telle piste en cours au moment où j'ai pris le dossier en charge. A mon arrivée j'ai constaté que, parmi les axes d'enquête retenus, il y avait un axe Bouhouche - Beijer.
C'était M. Riva qui y travaillait plus particulièrement. C'est lui, qui, de sa propre initiative, avait fait cette synthèse. Sans savoir si cela était opportun, j'ai répercuté cette synthèse à M. Hennart pour qu'il y fournisse les réponses. Mais à cette époque j' étudiais encore le dossier et j'allais encore le faire pendant un certain temps. De ma propre autorité, je n'ai pas voulu esquiver ou interrompre une piste." (Audition du 15 juillet 1997, pp. 35-36).
Le juge d'instruction Hennart poursuit, pour sa part: "Je dois bien constater que M. Hennuy avec qui j'ai entretenu d'excellents rapports, affirme également, qu'en termes d'éléments matériels, il n'y a rien de concret. On revient toujours avec un certain nombre d'hypothèses que l'on formule, mais le courage de toutes les hypothèses, c'est aussi le courage d'aucune!" (Audition du 15 juillet 1997, p.l7).
Quant à M. Doraene, chargé au sein du service d'appui de la cellule Brabant wallon d'intervenir en tant que service spécialisé dans le domaine financier pour vérifier le dossier Delhaize et en second lieu, à titre personnel, en tant qu'ex-enquêteur du dossier Mendez, d'y puiser toute une série d'éléments qui pourraient intéresser le dossier du Brabant wallon, il précise: "Si vous le permettez, j'aimerais faire une démonstration devant la commission. A mon avis, le centre de vos préoccupations est de savoir s'il y a 168 -
un lien matériel entre le dossier Mendez et le dossier Brabant wallon: Je dis: "Non", aujourd'hui il n'y a pas de lien matériel". Il faut être clair sur ce point (. .. )
De plus, je dois vous dire que j'ai aussi été sollicité par M. le juge d'instruction Lacroix pour répondre à un questionnaire de plus de 100 questions déposé par les avocats de la partie civile de quelques victimes du Brabant wallon, Maître Graindorge et Magnée; ces derniers, avant une chambre du Conseil du mois d'octobre, avaient remis une série de questions dont certaines concernaient le dossier Mendez: J'ai pris en charge les questions Mendez pour y répondre et transmettre les informations à M. le juge d'in- struction Lacroix (. .. ) Encore une fois, je tiens à dire qu'il n'y a pas d'élément matériel qui relie le dossier Mendez au dossier du Brabant wallon; cependant, il y a une volonté manifeste de M. Lacroix d'explorer cette hypothèse comme on exploit l'hypothèse d'un racket sur Delhaize.
Ce sont des hypothèses de travail qui sont consolidées par toute un série d'indices qui méritent d'être vérifiés. J'en parlerai à huis clos tout-à-l'heure; j'ai énuméré 17 ou 18 indices (. . .) Je tiens à rappeler devant cette commission, pour que les choses soient claires, qu'il n'y a pas d'élément matériel établissant un lien. Tout ceci est une hypothèse de travail, c'est une piste comme n'importe quelle autre piste." (Audition du 30 juin 1997, pp. 26,66 à 68 et 99); cet enquêteur défend sa façon d'approcher la problématique: "une enquête ne doit pas nécessairement démarrer sur un élément matériel de culpabilité. Cela peut aussi commencer par un certain nombre d'indices ou de faisceaux convergents qualifiés de troublants, ou que sais-je encore.
Or, ici, nous avons une collection d'éléments troublants. Je vous en parlerai tout-à- l' heure, j'en ai recensé 17. Si on veut persister à dire: parce qu'il n'y a pas d'éléments matériels, on ne conçoit pas que le dossier Brabant wallon puisse s'orienter vers le dossier Mendez; s'il faut attendre l'élément matériel nous n'avons plus qu'à espérer simplement qu'un jour ou l'autre, l'un des auteurs souffrant d'une maladie incurable fasse des aveux, à l'article de la mort. C'est évidemment irraisonnable d'attendre une telle issue." (Audition du 30 juin 1997, p. 32).
Quant au coordinateur national gendarmerie pour le Brabant wallon, le colonel Michaux, il précise, interpellé sur la relation entre les deux dossiers: "Cela est assez délicat, M. le président. Vous me demandez de faire de l'interprétation. Moi, je sais, ce que tout le monde dit jusqu'à présent, à savoir qu'il n'y a pas d'éléments, pas d'indices.
Et M. Lacroix, lorsqu'il a témoigné pour la première fois devant la Cour d'Assises du Hainaut, a parlé d'une hypothèse intellectuellement séduisante. Je ne crois pas que l'on soit beaucoup plus loin actuellement qu'une hypothèse intellectuellement séduisante. Mais . cela, c'est une opinion totalement personnelle d'une personne extérieure au débat judiciaire. Donc, ce n'est pas moi qui fais la relation entre les deux dossiers. Vous me demandez, en tant que témoin, de donner mon opinion à ce sujet (. .. )
- Le Président: "Vous n'êtes pas totalement extérieur en ce qui concerne le dossier qui nous intéresse. Vous avez entendu M. Doraene, devant notre Commission
- Réponse de M. Michaux: "Oui, mais M. Doraene a une démarche que j'appelle prospective. Pour lui, c'est eux, et il voudrait bien le démontrer. Moi, je préfère partir du dossier, des faits, des éléments, des empreintes, et chercher quels sont les auteurs." (Audition du 9 juillet 1997 p. 19). (pag169)
Dernière édition par K le Mer 22 Mar 2017 - 20:10, édité 3 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 12:28 | |
| MASSET: chapitre III - Citation :
- Chapitre III. La coordination des enquêtes Brabant Wallon - Mendez durant la
période Nivelles jusque janvier 1987
Ainsi qu'il a été précisé ci-dessus, d'un point de vue chronologique, il apparaît que la coordination des enquêtes Brabant wallon - Mendez a pu être envisagée à Nivelles entre 1982, date des premiers faits des tueries du Brabant instruits à Nivelles et 1987, date du dessaisissement de Nivelles au profit de Charleroi.
Cette même préoccupation aurait pu exister entre 1985 et 1987 entre l'enquête tueries du Brabant instruite à Termonde et le dossier Mendez instruit à Nivelles; pour ce dernier aspect, aucune précision utile n'a été apportée dans le cadre des auditions de la présente Commission d'enquête.
Par contre, pour le premier aspect, il apparaît que la coordination des enquêtes Brabant-wallon et Mendez entre 1982 et 1987 a pû être réalisée par le juge d'instruction Schlicker lui-même, puisqu'il était en charge des deux enquêtes.
Entendu à ce propos, le juge d'instruction Schlicker déclare: "Question du président: Vous dites vous-même avoir senti l'existence d'une relation entre ces deux dossiers. Dès lors, n'avez-vous pas eu le réflexe de mettre les informations intéressantes concernant Latinus et Mendez dans le dossier des tueries pour les faire valoir dans cette enquête-là?
- Réponse de M. Schlicker : "Non, c'est vrai" (. .. )
Question du député Viseur: "Mais vous avez une piste d'extrême droite, toute une série de noms qui présentent un intérêt réel mais qui apparemment vont être dissociés, des noms qui tournent autour du WNP et, en octobre 1985, une attention particulière sur la peugeot 504 utilisée dans le Brabant wallon et dont on parle aussi dans le dossier Mendez. Tout cela ne vous amène pas, ne fût-ce que par un rapport au Procureur du Roi ou au Procureur général à dire que vous avez un sentiment réel qu'il existe des conjonctions ?
-Réponse de M. Schlicker : "M. le Procureur du Roi en était conscient et le savait."
- Question de M. Viseur: "ll n'y a pas eu alors une unité de la cellule Mende: et de la cellule Brabant wallon. Vous ne vous êtes pas interrogé à ce sujet?
- M. Schlicker: On avait monté une cellule Mendez qui fonctionnait bien. Je faisais la liaison entre les deux.
- Question de M. Viseur: Vous étiez seul pour faire la liaison entre les deux ?
- Réponse de M. Schlicker: " Oui"
- Question de M. Viseur: "Dans des dossiers aussi volumineux ! Compte tenu que vous aviez encore d'autres dossiers à traiter, n'était-il pas dangereux de dire que vous étiez la seule personne à pouvoir faire le lien ? Le lien peut être intellectuel mais il doit aussi être matériel
- Réponse de M. Schlicker : "Les enquêteurs avaient des contacts entre eux
- Question du Président : "Vos successeurs, dont M. Hennart, qui a traité le dossier Mende; et M. Lacroix qui a traité ie-dossier tueries n'ont pas pu profiter de votre connaissance de ces éléments et du lien eventuel que vous établissiez. Ces éléments ont été perdus puisque l'on a pas pu en profiter dans les dossiers. Cela était peut-être très bien au moment où vous traitiez les deux dossiers, mais après ces dossiers ont été traités par deux juges d'instruction différents. Et à ce moment-là, des éléments connexes n'étaient plus évidents pour vos successeurs
-Réponse de M. Schlicker :"Je sais bien"
-Question de M. Viseur: "Entre mai 1985 et janvier 1986, vous faites toute une série d'apostilles, notamment à M. Dussart. Leur contenu montre manifestemment des liens entre les deux dossiers. M. Dussart ne donne pas suite à ces apostilles ( ... )
-Question du président: "Il a été découvert enfévrier 1986 (pag170 )
que Bouhouche avait vendu à la Belgian Law Enforcement Agency deux carabines de la même marque que celle qui avait été volée chez Dekaise. C'est sur cette base que vous avez entamé l'enquête sur la relation entre Bouhouche et les clubs de tir pratique.
- Réponse de M. Schlicker : "Je sais qu'en février 1986, nous devions être en plein dans la recherche des armes volées à Mendez; c'était le grand sujet de préoccupation parce qu'on essayait de trouver le mobile du meurtre de Mendez: Je sais qu'on était en train de tourner tant et plus.
- Question du président: "Voilà de nouveau le problème Mendez et tueries du Brabant avec le manque de parallélisme entre les deux (. .. )" (Audition du 4 février 1997 p. 25, 36 à 37 et deuxième partie, p. 15).
Le substitut de Prelle de la Nieppe, du parquet de Nivelles, chargé du dossier des tueries du Brabant, déclare: "Je ne peux malheureusement pas vous répondre sur ce point parce que je n'ai jamais traité le dossier Mendez. Il est vrai que dans le cadre du dossier des tueries, lors de nos réunions de la cellule info, M. le juge d'instruction Schlicker me transmettait quelques procès verbaux intéressants d'auditions de certaines personnes recueillies dans le cadfre de l'affaire Mendez" (Audition du 4 février 1997, p. 53). Question : voiture 504 utilisé ds laffaire MENDEZ ? qui en sait plus ? est celui volé à Braine près du lion ?
Dernière édition par K le Mer 22 Mar 2017 - 19:14, édité 1 fois |
| | | Quidam67
Nombre de messages : 180 Date d'inscription : 17/03/2017
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 12:58 | |
| |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:13 | |
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Dernière édition par K le Dim 16 Fév 2020 - 17:36, édité 1 fois |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:23 | |
| La 504 utilisée dans le brabant wallon, a un parcours illégal de 18 jours.
Du 28 janvier 1983 au 14 février 1983, avant elle est clean, après elle est morte.
Pour qu'il y ait un lien entre ces 2 dossiers via la 504,il faudrait que l'utilisation illégale
de la 504 du dossier Mendez et ciblée par le député Viseur se situe dans la même période.
Apparemment schlicker fait des liens dont il est lui-même le (seul)maillon faible, léger et opaque.
Peut être faudrait-il questionner monsieur le député Viseur?
Cordialement
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:29 | |
| non il y a probalement 3 pigots
-celle volée au chauffeur du ministere puis mis a feu
-une autre volé pas loin du lion
- une pigot ds dossier tbw et mendez inconnu
Dernière édition par K le Dim 16 Fév 2020 - 17:37, édité 1 fois |
| | | Quidam67
Nombre de messages : 180 Date d'inscription : 17/03/2017
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:31 | |
| Comme on lit tout et son contraire... est-il possible d'essayer d'éclaircir la fin de la 504 BW?
Apparemment tout le monde est d'accord de dire qu'elle a fini le 14/02/1983 après le vol de la Golf Rabbit. Mais où exactement a-t-elle été abandonnée? (apparement quelque part aux alentours de Waterloo) A-t-elle été brûlée ou pas? |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:43 | |
| Il y a peu, Chronos m'apprenais qu'elle n'avait pas brulé, ce qui expliquerai peut être que l'on ait pu
comptabilisé son usage effectué par les tdb sur une distance de 100km.
Cordialement
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:46 | |
| - Citation :
- -Question du président: "Il a été découvert enfévrier 1986
(pag170 ) que Bouhouche avait vendu à la Belgian Law Enforcement Agency deux carabines de la même marque que celle qui avait été volée chez Dekaise. C'est sur cette base que vous avez entamé l'enquête sur la relation entre Bouhouche et les clubs de tir pratique. il y a une deuxieme question ds cet affaire: bobo avait une lic encecomme armurier après être sorti de ARI mais il achète a Dekaize une ingram , le dernier du même lot d'où sort l'ingram volé chez dekaize par le TBW . Dekaize doit les avoir acheter chez limportateur :Belgian Law Enforcement Agency fin 1985? et au même moment il vend des carabines voléés chez dekaize au Belgian Law Enforcement Agency . On decouvre cela en février 1986 et il est en tôle pour l'affaire Mendez comme armurier il était moins cher de l'acheter lerme chez Belgian Law Enforcement Agency directement mais a ce moment là la firme n'existait plus ds sa forme car entre temps repris et redemarrer. donc Bouh ouche voulait absolument l'ingram du même LOT? et dekaize declare en 1987 qu'il ne sait plus si ces ingrams ont une embouchure pour silecieux ou pas les deux savent probalement que le baque dessai de liege ne gardent pas trace non plus. prpbleme est que dekaize et l'importeur doivent savoir que le bureau d'exposlifs et de munitions USA n'authorise plus la vente a exportation des ingrams avec filetage depuis que la maffia les utilise ds le trafic de drogues. pour moi Bou a besoin du même ingram du même lot car il veut mélanger les pièces !!! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:57 | |
| comme j'ai commencé a écrire (et aussi effacer ) ici avec le pigot je peux vous confirmer que cela m'a pris 6 mois avant de trouver ds le dossier des borains (perdu) que c'était a 200-300 mètres du 3 CC restaurant !
...
je pense qu'ils ont pris le chemin de sable "chemin de plancenoit" puis direction papelotte
la ferme papelotte et ferme de hougoumont ont tout les deux jouées une rôle ds la bataille de waterloo
on peut donc penser que les TBW sont les fantômes de la garde rapprochée de Napoleon !
le problème est que les journalistes ne tienent pas compte que trois communes se rejoignent près du restaurant du trois canards et ils écrivent "waterloo" mais ds une extremité.....
Dernière édition par K le Dim 16 Fév 2020 - 17:39, édité 2 fois |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 14:58 | |
| K à écrit :
''et au même moment il vend des carabines voléés chez dekaize au Belgian Law Enforcement Agency . On decouvre cela en février 1986 et il est en tôle pour l'affaire Mendez''
Ce n'est pas plutôt juste des carabines de la même marque, ou encore une fois
la même arme SAUF LE PERCUTEUR. . .
K. à écrit (et brille une fois de plus!) :
''pour moi Bou a besoin du même ingram du même lot car il veut mélanger les pièces !!! ''
Cela lui ressemble, son habitation devait être un véritable musée d'un génie du crime.
. . .Suivez le guide. . .
Cordialement
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 15:24 | |
| il avait plein de boxes cela suffit
question est comment il sait qu'il y a encore un dernier ingram de ce lot ?
Est 'il au courant de l'enquete à wavre
regarde le personnel -"extra" de ARI : 5 repris de l'agence detect repris >diminué à 2 Mais
plein de ex collègues faisait la queluelue pour travailler au noir si on croit le dernier des menteurs....
mais regarde l'histoire du mercedes 4x4 ......sait on jamais |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mar 21 Mar 2017 - 15:40 | |
| K. à écrit :
''question est comment il sait qu'il y a encore un dernier ingram de ce lot ?''
Il a peut-être su dresser ,lui, une liste de ce qui avait été volé
Cordialement |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mer 22 Mar 2017 - 20:33 | |
| oui ,c'est plus facile de faire une liste objets quand on les a sous le nez...
j'ai mis ici plus haut aussi les deux premiers chapitres sur les liens mendez TBW ds le bouqin de Masset
|
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Mer 22 Mar 2017 - 21:00 | |
| @K,
K à écrit : ''oui ,c'est plus facile de faire une liste objets quand on les a sous le nez...''
Et qu'on ne laisse pas les autres décider pour soi. . .
Cordialement
|
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 8:31 | |
| LES MÊMES COMPLICES ,
Daniel DEKAIZE et Juan MENDEZ sont tout 2 trafiquants d'armes au sens hors la loi du terme
Citation beijer robert, ''le dernier mensonge'' p.67 :
''Une parenthèse technique : L'AR 15, calibre 222, était en vente libre car considéré comme arme de
chasse ou de tir sportif alors que son cousin germain, calibre 223, était classé dans la
catégorie des armes de guerre, son achat et sa détention nécessitant une autorisation du
gouverneur de la province. Nous avions donc acheté, le pus facilement et le plus légalement
du monde, des 222 que nous avions fait transformer par l'armurier Dekaize, incontournable
en Belgique et qui, comme on dit familièrement, ''mangeait à tout les râteliers'' avant d’être
victime à Wavre, de la tragique agression que l'on sait.''
A la page 56, il y explique leur excursion avec lui, Bouhouche, Mendez et d'autres gendarmes
complices dont le but était bien entendu la fourniture en armes.
>>> DEKAIZE et MENDEZ sont 2 trafiquants d'armes, 2 marchants de mort.
Tout les 2 organisent leur trafic avec Dany Bouhouche et beiger robert!!!!!!!!!!
>>>> Les mêmes complices!
Question à 5 balles Mendez et Dekaize se connaissaient-ils, se fréquentaient-ils?
C'est pas le parrain 4 ça? ''Il était une fois en Belgique. . .''?
ou bien ''Quand les gendarmes tiraient sur la population dans les supermarchés. . .''
Cordialement
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:17 | |
| - Citation :
- Question à 5 balles Mendez et Dekaize se connaissaient-ils, se fréquentaient-ils?
je pense avoir lu que la femme de Mendes a declaré qqs part que son mari et dekaize voulait a un moment se mettre en affaires ..... mais c'était pas daté ! quand.
Dernière édition par K le Dim 16 Fév 2020 - 17:44, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:27 | |
| donc ici plus hauts j'ai mis qqs chapitres du bouqin de masset
là on peut lire ce que pensent les differentes protagonistes.
force est de constater que Schlicker a fort bien travailler ds les deux dossiers mais du a deux fautes en analyses baliistiques dont il netait pas a l'origine mais bien responsable il a ete destabilisé et il a perdu le dossier des TBW et celle de mendez.
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:30 | |
| pendant les lectures on trouve que cette destabilisation se passe au mois de janvier 1988.
un mois très chargé.
et je vais mettre ici les evenements
jour par jour |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:30 | |
| avant 1 janvier 1988 - Citation :
11:12:87 : Reunion Schlicker-Lacroix p81 >reponse fin janvier 1988 Masset: - Citation :
- Ainsi, le courrier adressé par le juge d'instruction Lacroix au juge d'instruction Schlicker
le 29 décembre 1987, faisant suite à une réunion commune du 11.12.1987, avance certaines questions utiles à l'avancement de l'enquête Brabant wallon, attestant d'une connaissance de plusieurs éléments du dossier Mendez, mais fait état également de certaines doléances sur certains aspects de la collaboration; par courrier du 30.01.1988, le juge d'instruction Schlicker répond partiellement aux demandes formulées.l
16 dec 1987 : Pinson retire le grade BSR de Balfroid et Bihay
>>(305) WS, 24; Co2, 114. Dans son analyse du rapport de la première commission d'enquête, Coveliers fait également observer à cet égard que, fin 1987 début 1988, il était question d'un « deal" entre Bouhouche et le parquet de Nivelles, ce qui a été reconnu par le procureur Deprêtre : « Fin 1987 début 1988, le commissaire en chef de la police judiciaire de Nivelles apprend par Anne Bouhouche que son mari voudrait lui parler. Le policier ne sachant trop comment réagir, il demande conseil au juge d'instruction Schlicker qui lui dit de s'adresser au procureur du Roi Deprêtre. Ce dernier autorise cet entretien. Bouhouche propose de fournir des informations à deux conditions: 1. Anne Bouhouche doit être libérée. 2.toutes les armes qui ont été saisies chez Bouhouche doivent lui être restituées.
Le 21 décembre 1987, toutes les armes sont rendues à des membres de la famille et Mme Bouhouche est remise en liberté.
Bouhouche tient parole. Il révèle l'endroit où sont cachées les armes volées à l'escadron spécial d'intervention de la gendarmerie et déclare qu'à la demande de la sûreté de l'Etat, il est devenu membre de l'organisation paramilitaire d'extrême-droite le Westland New Post. Il donne également des renseignements sur Robert Beyer, renseignements qui permettent l'arrestation de ce dernier. Aucun procès-verbal n'a été dressé de ces entretiens entre Bouhouche et le commissaire en chef de la police judiciaire qui ont eu lieu en présence d'un substitut. Une dizaine de rapports confidentiels ont toutefois été rédigés. Ce n'est qu'en juin 1988 que ces rapports ont étéjoints au dossier. .»
Coveliers note à cet égard: «Des événements importants se passent au cours de l'enquête et on ne les consigne pas dans un procès-verbal. Il s'agit d'une violation tout à fait manifeste des droits de la défense. Plus grave encore, il semble que l'on peut conclure des accords. .» Cette situation évoquée par l'auteur au sujet de l'intervention et du rôle du procureur du Roi Deprêtre, s'inscrit toutefois manifestement dans le cadre des faits délictueux attribués entre autres à Bouhouche et pas au sens strict dans le cadre de l'enquête sur les « tueurs du Brabant ».
On observera que dans son témoignage devant la première commission d'enquête parlementaire, le procureur du Roi Deprêtre nie qu'il y ait eu des tractations avec l'épouse de Bouhouche (CEP3B, 379).
Ainsi, le courrier adressé par le juge d'instruction Lacroix au juge d'instruction Schlicker le 29 décembre 1987, faisant suite à une réunion commune du 11.12.1987, avance certaines questions utiles à l'avancement de l'enquête Brabant wallon, attestant d'une connaissance de plusieurs éléments du dossier Mendez, mais fait état également de certaines doléances sur certains aspects de la collaboration; par courrier du 30.01.1988, le juge d'instruction Schlicker répond partiellement aux demandes formulées.l''?
>>>Remis en liberté en décembre 1987, Beijer fit l'objet, dès la fin janvier 1988, d'un mandat d'arrêt international lancé par le juge Schlicker: sur indication fournie par l'épouse de Madani Bouhouche, les enquêteurs venaient de saisir, dans le congélateur, le fameux pistolet caché dans la bolognaise, en même temps que des cartes d'identité volées pour faciliter une évasion de Bouhouche. Mme Bouhouche affirma que Beijer lui avait remis cette arme, et des experts en balistique estimèrent que la culasse du pistolet avait servi lors de la tuerie au Delhaize d'Alost, en novembre 1985. Beijer, alors en vacances chez sa mère en Espagne, parvint à rentrer sans se faire prendre, franchissant la frontière belgo-française à bord d'un autocar et rentrant chez lui par les garages, caché dans le coffre d'une voiture. Avant de se constituer prisonnier à Nivelles, il nous fit des déclarations importantes, accusant des agents de la Sûreté de lui avoir commandité diverses missions et d'avoir organisé la location du réseau des garages et des planques. Le juge Schlicker étant souffrant, la série de dossiers concernant Beijer et Bouhouche fut confiée au juge Hennart. En 1989, l'instruction n'ayant plus enregistré de nouveaux éléments à charge, et la détention préventive se prolongeant, les deux inculpés furent remis en liberté.
21 December 87 : Eind 1987, begin 1988 verneemt de hoofdinspecteur bij de gerechtelijke politie van Nijvel (gilbert ?) via Anna Bouhouche dat haar man hem zou willen spreken. De hoofdinspecteur weet niet goed hoe hij hierop moet reageren en vraagt raad aan onderzoeksrechter Schlicker, die hem verwijst naar de Procureur des Konings van Nijvel, Jean Deprêtre. Deze zegt dat het gesprek kan doorgaan. Bouhouche stelt de hoofdinspecteur inlichtingen voor onder twee voorwaarden. Anne Bouhouche moet vrijgelaten worden en alle wapens die bij Bouhouche in beslag genomen werden, moeten terugbezorgd worden. Op 21 december 1987 worden de wapens aan de familieleden teruggegeven en komt mevrouw Bouhouche vrij.
De ex-rijkswachter houdt zich aan de afspraak. Hij onthult waar de wapens, gestolen bij het Speciaal Interventie Esquadron van de rijkswacht, zich bevinden en verklaart dat hij op verzoek van de Staatsveiligheid lid is geworden van de extreem-rechtse paramilitaire organisatie Westland New Post. Hij verstrekt bovendien inlichtingen over Robert Beijer, zodat die kan worden aangehouden. Van de bijeenkomst van Bouhouche met de hoofdcommissaris van de gerechtelijke politie van Nijvel in aanwezigheid van een substituut, werd nooit een proces-verbaal opgesteld. Wel werden er tientallen confidentiële rapporten opgemaakt.
Pas in juni 1988 worden deze rapporten bij het dossier gevoegd. Wanneer Procureur des Konings van Nijvel, Deprêtre, deze vraag krijgt voorgeschoteld bij zijn verhoor door de parlementaire onderzoekscommissie, hoopte hij eraan te ontsnappen door te doen of hij ze niet goed begreep. Uiteindelijk moest hij toegeven dat de versie van de feiten juist was, maar dat dit herhaaldelijk gebeurt in strafonderzoeken. Er gebeurden dus belangrijke zaken tijdens een onderzoek zonder dat er een proces-verbaal van wordt opgesteld. De rechten van de verdediging worden hier zeer duidelijk geschonden. Sterker, er blijken dealtjes mogelijk te zijn!
In dezelfde periode, omstreeks de jaarwisseling 1987-1988, komen de speurders er nog net op tijd achter dat Bouhouche een ontsnappingsplan voorbereidt.
Bouhouche wou zijn echtgenote een 9 mm pistool de gevangenis laten binnensmokkelen. Met behulp van dit wapen hoopte Bouhouche tot buiten de gevangenismuren te geraken, waar een VW Golf hem met draaiende motor zou opwachten.
Achter het stuur van de Golf zou Maurice Lammers zitten, de vader van WNP-lid Eric Lammers. De Golf was geleverd en 'behandeld' door een andere extreem-rechtse militant, Alain Weykamp. In de maanden voor de geplande ontsnapping leerde Bouhouche Spaans, slikte hij grote hoeveelheden vitamines en nam hij zoveel mogelijk deel aan de sportactiviteiten in de gevangenis. Menig speurder is van mening dat de ex-BOB'er naar Paraguay wilde vluchten.
>>28 decembre 1988 cfr le soir au procès des dupons : extrait: - Il m'en a parlé, dit Jean-Pierre Callens, bien avant qu'il ait eu des ennuis avec la justice pour ses écoutes téléphoniques irrégulières. Cette implication de la Sûreté n'est donc pas, à en croire Callens, un artifice inventé par la défense. Reste à savoir si ces contacts de Beijer avec la Sûreté allaient jusqu'à l'exécution de «missions particulières». Et, de toute manière, tout crime commandité reste un crime. Ce n'est éventuellement qu'au deuxième débat sur la peine (février prochain?) que ces arguments pourraient valoir quelque mansuétude.
Mais il faut serrer les dates de plus près. Le procès-verbal où se trouvent consignés les propos de Beijer impliquant la Sûreté date du 28 décembre 1987.
Fin 1987, à en croire l'acte d'accusation, c'est aussi le moment où l'ex-épouse de Bouhouche serait invitée par Beijer à influencer son mari, alors détenu, pour qu'il implique la Sûreté dans l'affaire Mendez. Mais, attention, le sol est miné de toute part! Cette précision se trouve à la page 114 bis de l'acte d'accusation. Un «bis» de la numérotation qui indique assez qu'on a rajouté ceci en fin de parcours, pour s'épargner de devoir restenciler tout un acte d'accusation déjà imprimé. Et Callens est formel: C'était avant les ennuis judiciaires de Bouhouche et Beijer. Le fantôme d'Albert Raes revient en audience. GUIDO VAN DAMME
29:12:87 Lacroix demande collaboration entre CBW et Mendez et aussi 27:11:91 il ecrit lettre demandant: pag 59 et 81 >reponse de schlicker le 30:01:88 authorisation donné que le 8 juin 1995 >
In dezelfde periode, omstreeks de jaarwisseling 1987-1988, komen de speurders er nog net op tijd achter dat Bouhouche een ontsnappingsplan voorbereidt. Bouhouche wou zijn echtgenote een 9 mm pistool de gevangenis laten binnensmokkelen. Met behulp van dit wapen hoopte Bouhouche tot buiten de gevangenismuren te geraken, waar een VW Golf hem met draaiende motor zou opwachten. Achter het stuur van de Golf zou Maurice Lammers zitten, de vader van WNP-lid Eric Lammers
plein d'erreurs de datation .... donc à re-detailler...
Dernière édition par K le Ven 7 Avr 2017 - 13:12, édité 5 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:30 | |
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:31 | |
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: 20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez Jeu 23 Mar 2017 - 10:31 | |
| 3 ici qqs parts a mieux situer car beijer est aussi parti en espagne qqs part ?????,!!!!!!!!!!! question Magnee et Graindorge Citation : - Citation :
- 89.
Comment se fait-il qu'il n'y ait pas eu de procès-verbal ni aucune enquête lorsque le commissaire Reyniers confia à la police judiciaire de Nivelles le Colt 45 vendu par Beijer à l'officier de police judiciaire Callens début 1988 ? (PV PJ Nivelles 2384 ou 22.893 -notices 10.21.2864183 Nivelles ) > d'où l'histoire de - Citation :
- Citation :
Audition C C, membre de la Pj de Bruxelles, est entendu, dans un cadre disciplinaire, quant à ses contacts avec Beijer et des questions d'armes.
(134 pièce 586Q, annexe à PV CBW 25763/95 du 22.03.1995 )
Dernière édition par K le Sam 25 Mar 2017 - 14:04, édité 1 fois |
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