Dekaise, Daniel

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Bonjour,

L'idéal serait d'avoir le schéma complet avec tous les noms. Mais où le trouver?

Les 8 flèches qui arrivent chez dekaise partent forcément de 8 personnes différentes.
Ce qu'on ne voit pas c'est si les flèches sont double.

Le schéma est établi avec une machine, il suffit de voir la régularité entre les pointillés des flèches.

Cordialement

si on arrive à avoir un plan plus nette on peut pe y trouver le nom de son copain armurier à qui il téléphone presque tout les jours....


si il n'est pas sur le plan , tout cela c'est du bidon , poudres aux yeux de chasseurs de fantômas....

et maintenant on va demander le nom de cet armurier, ....

cherche un peu ... c'est ds le dossier dussart, bihay etc je pense...

@ K

Bonjour K,

Le nom qu'on cherche serait Marchetto, ami d'enfance de Dekaise, chez qui 40 silencieux ont été saisis à Court-st-Etienne.
Curieux mais Bouhouche a enquêté sur cette affaire.

Cordialement

François Raes a toujours été persuadé que Bouhouche était dans le coup.

Le schéma aurait une plus grande ressemblance avec le logiciel mercure v3, plutôt qu' annacrim.
Correction pour les flèches noires vers Dekaise, 9 et pas 8.

je ne sais plus , il faut que je cherche un bouqin.

le nom me semble le bon mais pas le reste:

le constructeur des silencieux était un nom tsech  

(M.V. lic armurier n°9 à Court..  49 silencieux non finies)

et la fabrication était tout a fait légal finallement...pour un armurier.

mais D venait de recevoir sa lic. a wavre que qqs mois avant l'attaque , avant ....il vendait des cannes à pêche ou était en stage de formation ailleurs...ou c'est les lenteurs de l'administration....)

mais la commande de 200 sil. est con du au fait que le producteur ingram en faillite au USA puis repris etc

tu te rends compte que ni l'importateur ,ni pourtois ni dekaise l'ont su ?

peut-etre les TBW voulait produire un film car cette ingram est souvent utilisé ds les productions de ollywood. en cet periode là


donc pour le dessin danacricrim: bazaar si M.V.et le maff. n'y sont pas répérable

c'est le bazaar de fantomas

il faut s'y habituer : la désinformation n'est pas un Trumpy-produit cela existe ds toutes les gueguerres

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Bonjour Etienne,

A1 sur à 100% de cette info?

Dans l'affaire Dekaise, outre Marchetto, les enquêteurs citaient aussi la société Kintex en Bulgarie, qui commerçait dans l'armement, et était une couverture des services secrets est-allemands, autours du KGB.

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https://www.google.be/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwj5xLeNq-HZAhUGiywKHVI-Cm8QFgg5MAE&url=https%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FKintex&usg=AOvVaw2mAzjZkqxIueWXPn-1ex6C

Bonjour,

Concerne la société bulgare Kintex intéressant les enquêteurs dans l'affaire Dekaise et le schéma.
Mon post du 8 mars ci-dessus.

Cordialement

Voir aussi Kintex sur ce forum, dans recherches

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Revenons-en à notre armurier. Vérification faite aujourd'hui, il est toujours armurier, même si Google Maps nous montre comme adresse un zoning industriel au nord de Wavre, sans nous montrer les locaux de l'armurier.

J'ai toujours en mémoire son interview de 1986 pour l'émission suisse Temps Présent, celle dans laquelle JD parle de prédateurs. DD y parle de son agression et donne son avis: "des terroristes non politisés pour qui la vie d'un homme, c'est rien"... Autre chose, pour un passionné d'armes, il est étonnant qu'à l'époque il n'a jamais été capable de donner une liste complète et fiable des armes qui lui ont été dérobées.

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@ Roulio; oui, je me suis apparemment trompé d'émission. Je reviendrai avec le lien dès que je l'aurai trouvé. Une émission de la RTBF alors (rien trouvé sur SONUMA jusque là) où DD cite textuellement la phrase que j'ai postée plus haut.

Bonjour,

La personnalité de Dekaise est tout a fait intéressante :

- Les deux AR-15 qui ont servi pour l'attentat contre
le major Vernaillen auraient été modifiés par notre armurier wavrien pour ses copains les Dupondt, et ce en 1981.

De là a conclure qu'il s'est retrouvé, peut être involontairement complice et membre d'une association de malfaiteurs, il n'y a qu'un pas à faire.

Le braquage du 30 septembre est-elle l'oeuvre des Dupondt? Douteux pour un tas de raisons, mais donnée (commanditée ?) par les duettistes à une bande de malfrats ordinaires en vue de faire passer un message... à quelqu'un qui savait trop, pourquoi-pas?

- Cet artisan besognieux dont les médias ont fait un génie de l'armement, aurait été pressenti pour la production quasi industrielle de silencieux au profit d'industries étatiques ? Cela ne me paraît pas cadrer avec les mentalités du business, il n'était même pas (sauf erreur de ma part) en société.

En tout cas, la correction reçue ce jour là ne l'a pas rendu bavard.

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Daniel Dekaise avait reçu la visite de Robert K. Gray.

Robert K. Gray était proche de Edwin Wilson.

Edwin Wilson faisait des affaires avec Armand Donnay.

On retombe sur les Libanais :

https://www.grip.org/sites/grip.org/files/DOSSIERS_NOTES_ET_DOCUMENTS/ND-007.pdf







Sur le sénateur Hanquet (père de Albert Hanquet) :

Extrait de LA DROITE BELGE ET L'AIDE A FRANCO par Francis BALACE

WAVRE - Tribunal correctionnel : Un employé de l’armurier volait dans le stock
Un employé de l’armurerie Dekaise s’installe comme armurier indépendant, non agréé, revend en France (surtout), en Italie, à Monaco et aux USA.
lavenir.net  30/05/2015 - article payant
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20150529_00657106

Décidément....

Robert K. Gray connaissait bien William Casey (CIA)

Armand Donnay, proche de Edwin Wilson, proche de Robert Keith Gray (qui a visité Dekaise) et de la "Secret Team"...


https://www.beljike.be/justitia-veritas/belgique/politique/regionalisation-une-catastrophe/politique-regionale/affaires/

La Région wallonne a-t-elle aidé un trafiquant d’armes arrêté ?  , LB 08/04/198

La Région wallonne a-t-elle, à la fin de l’ l’année 1980, accordé une aide à un homme d’affaires liégeois, par ailleurs dirigeant d’une société… fictive de droit panaméen tt spécialisée , dans le commerce des armes ? La réponse à cette question devrait être fournie incessamment lorsque la B.S.R. de Liège aura terminé ses investigations.Le 29 mars dernier (voir LLB du 31 mars 1982), Armand Donnay 46 ans, domicilié à Embourg, est écroué à Lantin sous l’inculpation de banqueroute frauduleuse, organisation d’insolvabilité, faux, usage de faux et escroqueries. Il ne s’agit là que des faits les plus récents d’un «palmarès» déjà étoffé où le trafic d’armes semble tenir une place appréciable. 

En 1979 déjà, Donnay a passé quelques mois en prison.  En 1980, à la tête de la firme d’import-export «Armaco-R.S.» (armement matériel, coopération), Armand Donnay connaît d’autres malheurs.  Sa société éprouve des graves difficultés financières.Aujourd’hui, elle avouerait un passif de près de 20 millions et serait incessamment déclarée en faillite.En juin 1980, donc, pour «soulager» Armaco et couvrir certaines de ses opérations, il crée la « Sobelarabian », societé fictive de droit panaméen. Ces agissements conduiront finalement à son inculpation en mars 1982.

Entretemps, l’industriel liégeois a entrepris une correspondance suivie avec le secrétaire d’Etat à l’Economie régionale wallonne de l’époque, M. Melchior Wathelet, par l’entremise de M. Claude Cheruy, conseiller de M. Wathelet. Le 16 octobre 1980, M. Cheruy répond, par une lettre manuscrite, à M. Donnay.  On peut y lire : « Je vous retourne les documents relatifs à votre projet Sodelarabian. En ce qui concerne une application éventuelle des aides d’Etat, je vous engage à adresser, au plus tôt au secrétaire d’Etat, une. lettre contenant une demande de principe qui exposerait les grandes lignes de l’affaire».

Accord de principe

Le 12 novembre 1980, Donnay écrit à M. Wathelet (aux bons soins de M. Cheruy) et lui expose ses projets.  Ceux-ci consistent essentiellement en la reprise de la firme « Zune Blindage » de Liège, la création (dans les ateliers d’Armaco) d’une division a remise en état de matériel militaire, la mise sur pied d’un atelier de mécanique fine et d’études en électronique militaire.  Dans ce courrier, il n’est pas question de Sobelarabian.

Le secrétaire d’Etat répond à Donnay.  M. Wathelet lui donne son accord de principe sur le bénéfice de la législation d’expansion économique «relativement au montant d’investissement à effectuer» dans’ le cadre de la reprise de la firme « Zune Blindage »., Pour les projets de remise en état de matériel militaire et d’ateliers de fine mécanique et d’études en électronique, M. Wathelet se dit «disposé à faire bénéficier Armaco des aides identiques prévues par cette même législation».  Il ajoute: «Cette décision de principe s’étend donc à l’ensemble du programme d’investissement que vous envisagez.»Nouvel échange de correspondance, le 8 mars 1981.  Donnay soumet à M. Wathelet un projet de lettre qu’il compte expédier à M. Nothomb, alors ministre des Affaires étrangères.  Donnay y sollicite un assouplissement dans la réglementation des ventes d’armes à l’étranger.

Sans rapport direct avec là Région wallonne, la missive fournit néanmoins d’utiles renseignements sur l’évolution des rapports entre M., Cheruy et Donnay.  Ce dernier a, en effet, joint un carton manuscrit dans lequel il tutoye et appelle le collaborateur de M. Wathelet par son prénom.RemerciementsLe 30 avril 1981, Donnay remercie, par une autre lettre, M. Wathelet pour son aide dans le projet,« Zune. » mais demande, en outre, un subside immédiat de 10 millions pour procéder à la réparation d’un barrage qui empêche la turbine de l’atelier « Zune » reconditionné de devenir opérationnel.

Le 23 mars 1981, la Société régionale d’investissement de Wallonie (S.R.I.N.) avait sèchement refusé une demande de crédit sollicitée par Donnay, lui conseillant de s’adresser à un organisme bancaire.La Région wallonne a-t-elle accordé une aide à Donnay comme le suggère sa lettre du 30 avril 1981 ou simplement donné son accord de principe ?  Quoi qu’il en soit, on se demande comment le cabinet de M. Wathelet a pu ignorer que Donnay avait déjà eu des démêlés avec la justice.  Le style même des lettres de l’homme d’affaires aurait normalement dû attirer l’attention, tant il est marqué du sceau d’une évidente mégalomanie.  Pourquoi, enfin, dès octobre 1980, aucune enquête n’a-t-elle été faite au sujet de la mystérieuse Sobelarabian?

Lorsque Dekaise présente l'un de ses agresseurs comme une "petite tapette marocaine", ne veut-il pas nous parler de l'un des principaux suspects dans ce dossier (qu'il n'oserait pas nommer par ailleurs) ?