L'extrême-droite en Belgique

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Hélas, le réservoir électoral se porte bien...pas de redressement prévisible!

Nos "amis" de la droite extrême tablent peut-être sur une précarisation des populations suite à une économie de plus en plus déglinguée...

Faut être attentif à l' "HENAURME" dette US...

au début de la page ....

Citation :

.....Que penser de ceci ?
La victime de l'Auberge des chevaliers a connu aussi semble-t-il le "beau Léon". Une auberge où certains nostalgiques venaient prendre des repas de nombreuses années après la guerre.

il faut arrêter de dire que Vanden Eynde a connu Degrelle et qu'il était ds la collaboration
dixit beetgenomen VDE a meme refusé de travailler pour les allemands et sa firme a été saisi pendant la guerre ou qqs chose ds ce genre  et il a fait un peu de résistance !

k
savez quel etais la firmes confisquer pendant la guerre?
et savez vous si le frere de degrelle ,edouard ,assassiner en 44 avait aussi
une firme?

Le frère de Degrelle était un pharmacien local, suement pas un industriel.

merci

La tuerie de Courcelles ou tuerie du Rognac

Sur les 150 participants présumés à la tuerie, 97 seront identifiés, 80 capturés et jugés dont 27 exécutés le 10 novembre 19472 parmi eux, Victor Matthys et Louis Collard considérés comme instigateurs du massacre

Il s'agit de Paul Van Den Berghe, directeur commercial des charbonnages de Monceau-Fontaine, de passage à cet endroit
↑ Raoul Jacquet, agent d'affaire de Chimay
↑ Claire Bousman-Francq, son fils Jean et sa belle-fille Paule
↑ Jane et Marcel Barth
↑ Les 19 victimes sont : Charles Brogniez (commissaire de police), Joseph Bureau (agent principal de police), Léon Coton (architecte), Paul Coton (médecin), Raymond Delvaux (commissaire de police adjoint), Suzanne Lebas, Elisabeth De Ridder, Oscar Deulin (greffier), Léon Gilles (inspecteur de police), Pierre Harmignie (curé-doyen), Roger Hoslet, Edmond Huberland (médecin), Louis Jasmes (secrétaire général des mutualités socialistes), Augusta Longneaux, Léonce Mayence (avocat), Victor-François Michel, Auguste Nolard (commissaire de police), Arthur Stilmant (médecin), Marguerite Depasse

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_Courcelles

Durant cette même période, le 19 août 1943 plus précisément, une mesure d’excommunication est
prononcée à l’encontre de Degrelle par l’évêque de Namur pour avoir menacé et retenu, dans la cave
de la maison paternelle, le doyen de Bouillon, l'abbé Michel Poncelet.

http://historika.free.fr/Leon-Degrelle-division-charlemagne.net.pdf

luanda a écrit:

Durant cette même période, le 19 août 1943 plus précisément, une mesure d’excommunication est
prononcée à l’encontre de Degrelle par l’évêque de Namur pour avoir menacé et retenu, dans la cave
de la maison paternelle, le doyen de Bouillon, l'abbé Michel Poncelet.

http://historika.free.fr/Leon-Degrelle-division-charlemagne.net.pdf

Pour l'anecdote, en rentrant en train avec un ancien Bouillonnais, il m'a raconté l'histoire. Degrelle s'est pointé à l'église avec son arme au ceinturon. Le doyen a refusé de lui donner la communion car armé au sein de l'Eglise. Pris de colère, Degrelle a fait traverser le doyen le village l'arme au poing. Il l'a enfermé chez ses parents et c'est sa mère très pieuse et exerçant une grande influence sur son rejeton qui l'a copieusement engueulé en lui ordonnant de libérer 'monsieur le doyen'. Et le "grand" Degrelle obéit à maman. Non recoupé mais je pense fiable en tous les cas le témoin petit garçon avait retenu l'histoire.
Il m'a aussi parlé d'un curieux trafic d'armement au départ de l'usine métallurgique locale 'la Bouillonnaise'. On y fabriquait notamment des mines anti-personnelle et des poignées de cercueil...ce qui s'appelle un service complet !

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@alain:

Non, alain, le nom "SIERENT" n'évoque rien pour moi de prime abord...
Passage au FN? Logique...pour Dr Pique-Pique si le type en question était propriétaire de deux agences de mannequins... "LE PHENIX", tiens, ça me fait penser au GP Eurovision de la chanson!   

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@HERVE:

Pour Daniel FERET, à la fin des années 80 - début des années 90, il avait un "boxeur" pour garde du corps.
A la fin des années 90, c'est un sujet Portugais, Felipe F., qui l'accompagne dans ses sorties noctambules.
L'existence d'un véritable "service de sécurité et de renseignements", voire d'un "service d'action" est contestable, par le fait que le FN est une sorte d'auberge espagnole, véritable "foutoir" destiné à entretenir et à contenir toute une frange d'électeurs mécontents et déçus par les partis traditionnels.
Le FN existera pendant plus de 25 ans...véritable miracle lorsqu'on connaît les travers des uns et des autres, à commencer par les frasques de son président (à vie)...mais pendant plus de 25 ans, cette "nébuleuse" qui semblait tant inquiéter feu Jean GOL en fera tant des mains et des pieds qu'aujourd'hui cette extrême-droite quitsch s'est totalement évanouie dans une atomisation qui aurait regroupé aux dernières élections plus de 11,6% des voix s'il n'y avait eu en lice qu'un seul et unique parti d'extrême-droite.  
Bien joué, Daniel...le pouvoir en place peut te remercier!   

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@alain:

Un sujet Portugais qui évolue actuellement dans le noyau du mouvement du "barbu"....

Etait en fuite du Portugal suite à délit mineur. A côtoyé le FN FERET et a été repêché par Hervé van L.

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@alain:

Personnellement, je n'ai rien, mais AGINTER me dit quelque chose...   

[quote="HERVE"]










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L'Espagnol ne m'est pas connu non plus, du moins pas celui-là!

Pour le GAL, il y avait un moment donné des activistes de ce mouvement qui vaient pignon sur BRUXELLES.
Et vu le nombre d'"autonomistes" également présents sur la capitale (et ailleurs!) (penser à ALVAREZ), cela s'explique.
Le GAL, c'est forcément très dangereux vu le profil des gens qui en font partie et qui n'hésitent pas, la fin justifiant hélas les moyens, à utiliser des méthodes plus dures que l'ETA...   

Dans les coulisses de l’extrême droite

L’Extrême droite est-elle nazie ?

Les partis politiques catalogués à l’extrême droite se revendiquent souvent comme étant de « simples » partis de « droite nationale » ou « populaire ». Ils mettent en avant les transfuges de formations classiques (PRL, PSC, VLD, CVP…) qui ont rejoint leurs rangs. Pourtant, leur origine fondatrice nous démontre à chaque fois que c’est sur un terreau fasciste, voire nazi, qu’ils sont nés. Rappel historique.

Les liens entre l’extrême droite d’aujourd’hui et celle d’hier sont très nombreux. Des nazis et des fascistes français et belges, qui avaient pendant la Deuxième Guerre mondiale collaboré avec l’occupant nazi, ont directement participé à la création du Front national français (en 1972), du Vlaams Blok / Belang (en 1978) et du Front national belge (en 1985). Léon Degrelle, un des plus importants collaborateurs belges des nazis et chef de la SS wallonne, a soutenu politiquement, jusqu'à sa mort en mars 1994, les actuels partis d’extrême droite. Des contacts réguliers seront ainsi maintenus entre plusieurs dirigeants du FN et du VB avec Léon Degrelle.

Honneur à un néonazi et fondateur du FN

Aujourd’hui encore, Jean-Marie Le Pen rend hommage à François Duprat, membre historique de la direction de son « front » et chef des néonazis des années septante. La plupart des dirigeants actuels de l’extrême droite proviennent d’organisations néonazies. Par exemple, Filip Dewinter était le chef du NSV, une association d’étudiants nationalistes liée au mouvement néonazi et aux négationnistes.

Roeland Raes, vice-président-fondateur et aujourd’hui toujours dirigeant de ce parti, a fait partie d’un réseau international néonazi. Raes n’a jamais renié son parcours militant et reste entièrement soutenu par l’appareil de direction du VB.

Daniel Féret affirme avoir milité à Jeune Europe, un mouvement d’extrême droite fondé par un ancien collaborateur qui, pendant la Guerre 39-45, était membre de l’association des Amis du Grand Reich Allemand. Plusieurs élus et dirigeants frontistes proviennent des rangs d’une formation politique néonazie, le Parti des forces nouvelles. C’est le cas de Patrick Cocriamont (député fédéral) ou de Patrick Sessler (le secrétaire général du FN jusqu’il y a récemment).

De nos jours, l’extrême droite parlementaire reste soutenue par des organisations ouvertement néonazies ou néofascistes (Altaïr, Renaissance européenne – Terre et Peuple wallonie, Voorpost, Vlaamse jongeren Mechelen, Blood and Honour…). D’ailleurs, c’est un cercle de réflexion politique se revendiquant du nazisme, du nom de Were Di, qui est à la base du manifeste de fondation du Vlaams Blok. Son fondateur et actuel président d’honneur, Karel Dillen, dirigea autrefois Were Di.

Influence nazie pour le VB

Le 18 novembre 1992, le Parlement flamand vote une motion qui condamne le programme « anti-immigrés » du Vlaams Blok et affirme que celui-ci s’inspire directement des lois racistes de l’Afrique du Sud, à l’époque de l’apartheid, et de la dictature d’Adolf Hitler en Allemagne. Aujourd’hui encore, le VB revendique une Flandre indépendante fondée sur une « communauté homogène », c’est-à-dire une « race pure », comme hier, les nazis. Enfin, en novembre 2004, lorsque le Vlaams Blok devient le « Vlaams Belang », il se choisit un nouveau sigle : le dessin d’un lion flamand qui jusqu’alors était utilisé par une association d’anciens combattants flamands… nazis ! Un hasard, comme de bien entendu.

N’oublions donc jamais ceci : qu’elle soit radicale ou BCBG, le l’extrême droite entretient toujours, aujourd’hui, des sympathies nazies.


Manuel ABRAMOWICZ

© RésistanceS – www.resistances.be - Bruxelles – Belgique – 23 septembre 2005

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@alain:

Mais actuellement, le GAL n'a plus de point de chute belge!

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@alain:

Le plus grand est une vieille connaissance de l'extrême-droite, un certain Guy F., qui tint la section montoise du FN au début des années 90 et fut détrôné par la Mère SESSLER, qui le détrôna pour obtenir le leadership du FN dans l'arrondissement de MONS.
Elle fit des déclarations à la presse, selon lesquelles le précité Guy F. aurait été un "agent" de la SE, dont le but aurait été de freiner la progression du mouvement!
Pas mieux pour elle, pour le frangin ainsi qu'une des filles qui travailla dans les locaux de FERET en qualité de secrétaire.
En fait, le nommé Guy F. était plutôt un pilier de bistrot, habitué à balancer divers tuyaux aux policiers de la région, lesquels auraient partagé certaines de ses idées politiques.
La question est de savoir si le nommé Guy F. avait de réelles idées politiques!  

Cette photo date des années nonante et a pour cadre un petit square arboré, probablement à IXELLES.
Peut-être du côté du Parnasse, en se rapprochant du célèbre Square d'EMMAÜS...

Le petit gros à côté de Guy F. est un type qui était présent à pas mal de réunions, notamment où des "gens de la noblesse"; et le petit jeune en bleu marine est probablement un militant actif que l'on retrouve par la suite chez Hervé van L.

La belle fille brune à gauche m'est totalement inconnue...