papiers

Mes recherches sur "LEZ" à proximité de la place de Wauthier-Braine ne donnent aucun résultat.
Je pense donc que lez est bien une partie du nom d'une ville.

Je trouve ceci : "Peronnes - lez - Binche", près de Anderlues.
Et que trouve t'on là-bas ?

http://www.supershooting.be

Il serait intéressant de savoir si ça existait déjà à l'époque.

@CQB241:

Le club de tir de PERONNES-LEZ-BINCHE a été ouvert en 1991...

Pour toutes et tous, je me permets d'insister sur le fait qu'être inscrit dans un club de tir et pratiquer le tir sportif N'EST PAS un indice de psychopathologie...
Le tir est une discipline olympique qui a permis de gagner beaucoup de médailles!
Quant aux tireurs, ils sont soumis à une législation stricte qui ne colle pas vraiment avec le profil d'"aspirant-tueur"...et ce, depuis de nombreuses années.
Pour pratiquer cette discipline, il faut être régulier aux entraînements et faire preuve de sérieux.
Tout individu qui se singulariserait par rapport aux règlements en vigueur serait vite repéré et exclus!

Merci pour votre compréhension!   

des medailles !!! pas que au jeu olympique

@luanda:

Pourquoi vouloir à tout prix faire du tir un sport destiné aux "candidats-tueurs"?

Il y a des "meurtres" commis tous les jours...même une voiture est une arme! Il suffit de regarder le comportement de certain(e)s au volant...

Non, j'aime bien rigoler mais toujours en remettre sur le dos des tireurs devient de la mauvaise démagogie!

Quelqu'un qui a un comportement bizarre est vite repéré dans un club de tir et des sanctions sont prévues, allant jusqu'à l'exclusion.

De plus, un rapport peut être adressé aux autorités judiciaires sur le comportement d'un individu.

Sans parler des policiers et autres membres de l'ordre judiciaire qui fréquentent régulièrement les stands de tir.

Non, pour ce qui est des TBW, vu le type d'armes utilisées, c'étaient des gars qui s'entraînaient dans des bois ou des carrières... rien à voir avec le tir sportif!

MERCI!   

non pas du tous
sa doit etre un chouette jeu ,ou on doit se sentir fort comme en haut
d une montagne que l on vient de gravir
comme le basketeur qui reussit sont panier
comme le gamin qui sait enfin nager...

J'avais vu sur leur site que ce club a été fondé en 1991. Mais il n'est pas rare qu'un ancien employé reprenne une société et en devienne le patron.
J'attire votre attention sur le fait qu' il ne fait pas que stand de tir.

Je ne dis pas que les TBW venaiet tirer, mais ils devaient quand même se procurer des munitions pour s'entraîner dans les bois.

Je trouvais intéressant qu'il y ait un armurier dans la région d'Anderlues.

@luanda:

Comme dans toute discipline sportive, il faut effectivement tout faire pour évoluer et se dépasser!

Excellent aussi pour la concentration!

Mais je le répète: il est probable que les TBW n'ont pas fréquenté de clubs de tir!

Pour faire ce qu'ils ont fait, pour utiliser des riot-guns, pas besoin d'un entraînement dans la légalité...
Il y a des carrières pour cela!
Pour tuer un chien de 11 coups de .22, il ne faut pas avoir passé 20 ans dans un stand de tir!

Le jeu de massacre, tout le monde peut y jouer, il suffit d'être ... psychopathe!

Statistiquement, on estiùme que 1,5 à 2 % de la population présente des caractéristiques du profil "psychopathe"...   

en tous cas la theorie de cqb241 est seduisante

@CQB241:

Oui, il y avait à l'époque une armurerie à LA LOUVIERE et plusieurs dans la région de CHARLEROI.
A BINCHE et à THUIN, je ne crois pas.
Plus loin, il fallait aller à MONS...

Mais à l'époque, les munitions de calibre 12 (pour shotgun) et .22LongRifle (souvent utilisées par les auteurs) sont en vente libre!
Pas besoin d'autorisation pour les acheter!
Quant aux munitions de calibre 7,65mm, si je ne m'abuse, elles étaient en vente libre en FRANCE à la même époque...

" Bienne-lez-Happart ", fait partie de Lobbes.

Marche-Lez-Ecaussines est près de Ronquières et de son canal..

Témoignant à Bruxelles pour son frère Serge, Philippe Moureaux se souvient qu’à l’époque, il n’était qu’un jeune étudiant, utilisé comme chauffeur : «  mon frère et son épouse Henriette accueillaient souvent des  militants algériens dans leur appartement de la place du Roi Vainqueur, à Ixelles. C’était facile, il y avait plusieurs portes d’accès à l’immeuble, et les filatures menées par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/03/09/le-front-du-nord-des-belges-dans-la-guerre-dalgerie/

luanda a écrit:

Témoignant à Bruxelles pour son frère Serge, Philippe Moureaux se souvient qu’à l’époque, il n’était qu’un jeune étudiant, utilisé comme chauffeur : «  mon frère et son épouse Henriette accueillaient souvent des  militants algériens dans leur appartement de la place du Roi Vainqueur, à Ixelles. C’était facile, il y avait plusieurs portes d’accès à l’immeuble, et les filatures menées par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/03/09/le-front-du-nord-des-belges-dans-la-guerre-dalgerie/

Aurait-on retrouvé une page du coran dans les papiers ?   

par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

place du Roi vainqueur, ce n'est pas à Etterbeek?

Rien d'anormal pour des plaques de voiture appartenant à la police française....... mais de là à ......... à ce petit jeu on trouve des liens entre tout et n'importe quoi.

luanda a écrit:

par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

75 c'est Paris....vous penser a "ANU 75" ????

malvira a écrit:

luanda a écrit:

par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

75 c'est Paris....vous penser a "ANU 75" ????

@Malvira,

Flupke Moustache jeune étudiant......... rien à voir avec la période qui nous occupe, encore un amalgame qui ne sert à rien.   

Et le frère de Flupke cité dans de drôles d'affaires...pour le moins!

qui courait apres qui dans les annee 60

m moureaux parle des algerien cacher et recrutants dans les unif

et qui vient "faire un netoyage" en belgique mais aussi en allemagne et en suisse

la main rouge

13 Avril 1959: Le cargo Alkaira saute à Ostende.

10 mars 1960, : Akli Aïssiou, un étudiant interne en médecine, qui recrute discrètement parmi ses compatriotes, est abattu appartement de la rue Longue Vie à Ixelles.

25 Mars 1960: Deux professeurs d'université belges favorables à l'indépendance algérienne sont visés : le professeur Georges Laperches est tué à Bruxelles par un colis piégé; le même jour, dans la même ville, Pierre Le Grève, se méfiant d'un livre piégé, a la vie sauve.

15 Octobre 1960: Félix Moumié, leader camerounais de l'opposition est empoisonné à Genève.

3 Mars 1959: Georg Puchert saute dans sa voiture piégée à Francfort.


La France n'ayant pas ouvert ses archives secrètes relatives à cette période, on en est réduit à des recoupements.Les assassinats furent nombreux en Allemagne de l'Ouest, Suisse, Belgique, Italie et Pays-Bas d'après Faligot et Guisnel .Constantin Melnik évoque 135 personnes tuées pour la seule année 1960.

http://le-lab.over-blog.fr/article-invitation-a-lire-la-main-rouge-de-didier-daeninckx-et-mako-quand-on-assassinait-en-secret-122274946.html

Témoignant à Bruxelles pour son frère Serge, Philippe Moureaux se souvient qu’à l’époque, il n’était qu’un jeune étudiant, utilisé comme chauffeur : « mon frère et son épouse Henriette accueillaient souvent des militants algériens dans leur appartement de la place du Roi Vainqueur, à Ixelles. C’était facile, il y avait plusieurs portes d’accès à l’immeuble, et les filatures menées par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

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apres avoir cree les main rouge pour l "algerie" on ne peut pas se limiter de
cree les main verte des annee 80

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13 Avril 1959: Le cargo Alkaira saute à Ostende.

10 mars 1960, : Akli Aïssiou, un étudiant interne en médecine, qui  recrute discrètement parmi ses compatriotes, est abattu  appartement de la rue Longue Vie à Ixelles.

25 Mars 1960: Deux professeurs d'université belges favorables à l'indépendance algérienne sont visés : le professeur Georges Laperches est tué à Bruxelles par un colis piégé; le même jour, dans la même ville, Pierre Le Grève, se méfiant d'un livre piégé, a la vie sauve.

15 Octobre 1960: Félix Moumié, leader camerounais de l'opposition est empoisonné à Genève.

3 Mars 1959: Georg Puchert saute dans sa voiture piégée à Francfort.


La France n'ayant pas ouvert ses archives secrètes relatives à cette période, on en est réduit à des recoupements.Les assassinats furent nombreux en Allemagne de l'Ouest, Suisse, Belgique, Italie et Pays-Bas d'après Faligot et Guisnel .Constantin Melnik évoque 135 personnes tuées pour la seule année 1960.

http://le-lab.over-blog.fr/article-invitation-a-lire-la-main-rouge-de-didier-daeninckx-et-mako-quand-on-assassinait-en-secret-122274946.html

Témoignant à Bruxelles pour son frère Serge, Philippe Moureaux se souvient qu’à l’époque, il n’était qu’un jeune étudiant, utilisé comme chauffeur : «  mon frère et son épouse Henriette accueillaient souvent des  militants algériens dans leur appartement de la place du Roi Vainqueur, à Ixelles. C’était facile, il y avait plusieurs portes d’accès à l’immeuble, et les filatures menées par la police française, (qui circulait dans des plaques immatriculées 75…

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apres avoir cree les mains rouge pour l "algerie" on ne peut  pas se limiter de cree les main verte des annee 80

 

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« La seule certitude, c'est que rien n'est certain. »

pourtant j'en ai une vous concernant   

@Toutes et à Tous:

Toujours à propos de la signification des mots et lettres sur les papiers découverts en Forêt de Soignes...

En ce qui concerne " ANU 75", on peut se référer à un code de marquage pour l'identification des composants électroniques.

Ainsi, les semi-conducteurs d'usage courant sont désignés par deux lettres suivies de trois chiffres:

Ex: BC 107 le B indiquant qu'il s'agit d'un transistor ou d'une diode au Silicium
le C précise qu'il s'agit d'un transistor audiofréquences de faible puissance
les trois chiffres 107 donnent des indications sur ses caractéristiques propres (c'est un transistor bipolaire NPN, qui est repris dans de nombreux catalogues de composants électroniques qui en donnent les valeurs caractéristiques)

Les semi-conducteurs d'usage PROFESSIONNEL sont désignés par trois lettres suivies de deux chiffres.
La signification des lettres est la même que pour les semi-conducteurs à usage courant (tout public).

Ex: BDX 20 le B indique qu'il s'agit d'un transistor au Silicium
le D indique qu'il s'agit d'un transistor audiofréquences de puissance
la troisième lettre et les deux chiffres indiquent l'usage professionnel (et non tout public) et les deux chiffres constituent un nombre de série professionnel.

Dans le cas qui nous préoccupe,

ANU 75 le A indique qu'il s'agit d'une diode ou d'un transistor au Germanium (et non au Silicium) (les composants au Germanium sont aujourd'hui réservés à des applications bien spécifiques, vu les propriétés de Germanium par rapport au Silicium)
le N ... J'ai un "trou" dans ma liste qui est incomplète car je ne trouve plus rien entre L qui correspond à un transistor radiofréquences (HF) de puissance (comme ceux utilisés en émission radio) et le P qui caractérise les photodiodes (composants optoélectroniques)
la lettre U et les chiffres 75 constituant le numéro de série et l'usage professionnel...

Il pourrait s'agir à mon très humble avis d'une diode ou d'un transistor au Germanium, utilisé dans des applications de station radioémettrice ou de l'élément d'un émetteur CB ou similaire.

On a beaucoup parlé de "pylône" et d'émetteur CB ou de talkies-walkies...

Consultez des catalogues de composants électroniques (Fairchild, Motorola, etc...)


Cherchez dans tout ce beau monde s'il existe un électronicien ...