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 Alost, 9 novembre 1985

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Murcielago




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMer 23 Juin 2010 - 14:36

Henry a écrit:
Je me permets de reposer ma question à Murcielago et qui a mieux sa place dans ce fil.

Bonjour Murcielago,
Pourriez-vous repréciser les choses bizarres ? Moi et des autres on pouvais façon de parler mettre nos montres pil à l'heure de l'échangement de la garde entre BSR et Police Alost
Les armes trouvées avant l'attaque dans le chemin menant au magasin font-elles parties de ces choses bizarres ? Non, parce-que c'etais plus pour creër un piste, fause ou pas. Mais si la police il avait faits les demarchent qui devais être faites, on n 'aurrais jamais la même histoire.

Autre question, un policier (Daniel Cirlande) aurait déclaré après Alost que tout était truqué dans les affaires du Brabant, qu'en pensez-vous ?
Si il y avait quelque chose de truqué, c'etais tous l'ensêmble parceque les gens qui devait être mort, bien il le sont malheursement.
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Marlair Jean-Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMer 23 Juin 2010 - 15:56

Murcielago,

J'ai eu la même Info concernant Mr. Cirlande.

On m'a assuré qu'il vivait à Bali.

Cordialement.
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jc1243401




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMer 23 Juin 2010 - 16:09

@ JC Marlair,

Le message qui fait état de Cirlande ( l'homme qui évita à Beijer de faire des cadavres autour de la 404 BSR ) est du pseudo " Henry ".

Par contre, je reste persuadé que " Murcielago " tente d'aider au mieux. Mais peut-il plus ? Le veut-il, en regard du peu de cas que font les enquêteurs des témoignages ? .... ??
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Marlair Jean-Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMer 23 Juin 2010 - 17:39

jc,

Il est vrai que pour entraîner qq un dans les confidences, il faut lui donner confiance: NE PAS juger, mais essayer de comprendre !
C'est sans doute cela notre rôle premier. La justice doit faire le reste, c'est sa vocation et sa seule raison d'être.

Si les qq personnes - je pense bien sûr à des anciens enquêteurs et à des familiers des tueurs eux-mêmes - NE prennent PAS à coeur de vouloir changer les comportements, il N'y a AUCUN espoir d'aboutir un jour. Ce serait désespérant, ce serait un échec cuisant pour tout qui croit encore en la démocratie. Et en l'humanité.

Ce NE sont PAS des grands mots, mais la réalité humaine: croire en la supériorité de la vie et de ceux qui la défendent contre les croque-morts de basse classe pour qui ces vieilles histoires NE doivent surtout PAS être réveillées. Et tant pis pour ceux que cela choque !

Cordialement.
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Henry

Henry


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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMer 23 Juin 2010 - 23:01

Murcielago a écrit:
Henry a écrit:
Je me permets de reposer ma question à Murcielago et qui a mieux sa place dans ce fil.

Bonjour Murcielago,
Pourriez-vous repréciser les choses bizarres ? Moi et des autres on pouvais façon de parler mettre nos montres pil à l'heure de l'échangement de la garde entre BSR et Police Alost
Les armes trouvées avant l'attaque dans le chemin menant au magasin font-elles parties de ces choses bizarres ? Non, parce-que c'etais plus pour creër un piste, fause ou pas. Mais si la police il avait faits les demarchent qui devais être faites, on n 'aurrais jamais la même histoire.

Autre question, un policier (Daniel Cirlande) aurait déclaré après Alost que tout était truqué dans les affaires du Brabant, qu'en pensez-vous ?
Si il y avait quelque chose de truqué, c'etais tous l'ensêmble parceque les gens qui devait être mort, bien il le sont malheursement.
Je me suis permis de remettre en gras les réponses de Murcielago à mes questions et cela pour une meilleure compréhension.
Je remercie au passage Murcielago de ses réponses.
En ce qui concerne la déclaration du policier Cirlande, je précise l'avoir lue dans le livre d'André Rogge, "Les égouts du Royaume".
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romain gary




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 6:40

Permettez-moi de revenir avec le grand blond au furoncle et au fond de teint.
Il était bien présent à l'intérieur, avec le vieux et le killer au minimum.

Comment est-il arrivé? Comment est-il parti? Pas avec le vieux et le killer... À moins que lui et le killer ne fassent qu'un? Non, c'est impossible.

Qui peut apporter des éléments de réponse?
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Marlair Jean-Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 8:51

Romain,

Je NE puis PAS répondre à vos interrogations, si ce n'est sur un constat.

Les 3 tueurs activement visibles NE sont SANS DOUTE que la partie " découverte "
du dispositif. De même que la GOLF.
Il devient de plus en plus certain qu'il y eut un " déploiement " de moyens plus important ( je l'avais chiffré à 8-9 hommes et 3 véhicules ) pour assurer un encadrement et une sécurité minimum à ce type de " raid ". Car, c'est bien de cela qu'il s'agissait, qu'il fut monté par des éléments paramilitaires ou par des hommes d'un tout autre milieu !!!

Un seul exemple ( et il y en d'autres ! ) de sécurité minimale qui a dû être prise.
Le Vehicule des tueurs.
A tout moment, celui-ci peut avoir une défaillance : panne, tir dans un pneu...
Dans la panique qui " explosa " sur le parking ( valable pour Braine, Overijse, Alost ) tout pouvait advenir. Un chauffeur pris de panique - ou fou de rage - aurait pu, volontairement ou NON foncer dans le Véh des tueurs. Qui aurait pu raisonnablement organiser ces attaques sans prévoir, là tout près, c-à-d sur le parking même, la présence d'un Véh de réserve pour porter secours aux " Maîtres- tueurs "? C'est l'enfance de l'art, tout de même...non ?

Cordialement
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Murcielago




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 12:33

romain gary a écrit:
Permettez-moi de revenir avec le grand blond au furoncle et au fond de teint.
Il était bien présent à l'intérieur, avec le vieux et le killer au minimum. Tenant compte du pré attacque et du temps , il y avait beaucoup de nervosité auprès des services (policiers??) qui eux étais vissiblement présent. Je fais attention à quoi je dis maintenat , mais les flics au poste de garde, à l'entree de la famille vds étais fause, Le grand blond est sortie d'une bagnolle à travers la chaussee en FACE du Delhaize. Tout prêt de la famille des premier victimes et moi.

Comment est-il arrivé? Comment est-il parti? Pas avec le vieux et le killer... À moins que lui et le killer ne fassent qu'un? Non, c'est impossible. Lequel?

Qui peut apporter des éléments de réponse?
Je vais essayer de faire un petit plan pour que tout soit plus vissible et à comprendre
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michel-j




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 13:06

Au vu de ce que j'ai pu lire de l'affaire, et tenant compte de la fragilité des témoignages, je reste cependant persuadé, Jean-Claude, que votre théorie est la plus réaliste !

Toute l'agitation relevée AVANT l'attaque... les "contradictions" étonnantes des témoins sur les "parcours" des auteurs, etc... Tout plaide en faveur d'une opération concertée... pensée... comme un "coup aux échecs"; par un esprit d'un niveau tout autre que celui des "opérateurs".
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Henry

Henry


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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 13:32

L'important dans tout combat qu'il soit courtois ou viril est de détourner l'attention.
Toujours faire douter, cela peut toujours servir si la situation venait à se détériorer.
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michel-j




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 13:47

Tout en tenant compte que les équipes de protection (payées au forfait en matière de grand banditisme) ne sont là QUE pour remédier à la casse en cas de problème (le niveau des "primes" augmente alors en fonction des difficultés combattues pour atteindre... "une part"... mais en aucun ca plus) mais surement pas pour faire de la diversion... cette éventualité, bien spécifique se trouverait alors programmée avec plus de "spectacle" que l'opération elle-même ; ce qui est son but !

Pour moi; des équipes de couverture ( 2 à mon avis, mais c'est juste une question de "flair") se trovaient sur place... et je ne serais pas étonné du tout qu'une affaire prévue pour être "tapée" dans la foulée ait été abandonnée;
2 possibilités;
a) Un acteur principal a pris du plomb
b) Tous les objectifs prévus ont été remplis (mais en ce cas, le scénario impliquerait des "cadavres exquis").
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Marlair Jean-Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyJeu 24 Juin 2010 - 16:38

michel-j,

Mais bien entendu !

Car, sans jouer les cyniques, s'ils l'avaient voulu, les tueurs auraient fait bien plus de dégâts, plus de victimes. Dans cette " AMBIANCE " particulière des grandes surfaces aux heures de pointe, un carnage aurait été plus facile que ce que nous avons connu. La " MISSION " était bien précise, l' " OBJECTIF "parfaitement dessiné. Les " DELAIS " fixés comme une minuterie, le " DISPOSITIF " élaboré après une préparation minutieuse. Et le " RYTHME " établi en fonction des diverses DIRECTIONS ou ITINERAIRES de mise en place ou de repli choisis.

Rien N'a été laissé au hasard. L'appréciation posée par ce qu'il faut bien appelé LE CHEF a tenu compte de tous les impondérables possibles. Et il a fait choix d'une " MANOEUVRE " qui N'était PAS la meilleure bien sûr ( pour cela, il faut l'exécuter pour savoir ! ) mais qui était chaque fois celle qui avait le PLUS de chances de réussir.

Je NE prétends PAS que j'ai tout compris. Mais je sais QUE TOUT CELA A REUSSI !!!
On cherche toujours des petits malfrats.
La preuve ? Après 25 ans, les tueurs et ceux qui les ont conduits courent toujours !

Très cordialement
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felix




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 29 Juin 2010 - 14:16

On repart dans les délires...
Comme l'avait dit ironiquement quelqu'un ici, il y avait peut-être aussi un A10 en couverture pret à intervenir en cas de coup dur...
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WOLF




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 29 Juin 2010 - 17:01

Le nombre de victimes était planifié depuis le début. simple manière de mettre certaines personnes sous pression.

Le petit jeux de l'addition du total des opérations précédentes.

Hall=1
Beersel= 2
Braine=3
Overiyse=5
Alost=8

La prochaine aurait probablement été un delhaize à Lokeren. et le bilan aurait été de 13.

Mais quelqu'un en a décidé autrement. Disons le destin.
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michel
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 29 Juin 2010 - 18:30

@Wolf

A B0eersel, il n'y a eu qu'un seul mort (Delhaize).

_________________
"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)
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felix




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 11:27

césar a écrit:
Encore un point nouveau me semble-t-il : Mr Vos signale que lors des fouilles dans le bois de la houssière, à l'endroit précis où les témoins ont vu le corps, la police a tout de même retrouvé des balles 9mm..."...qu'on utilise certainement pas pour aller à la chasse...et qui peuvent provenir de l'attaque chez Dekaise...".
Qu'est-ce que cela signifie ? c'est le 9mm en tant que tel ou ces munitions retrouvées avaient des caractéristiques bien particulières ? Quelles cartouches a-t-on volés chez Dekaise, on sait ?? Autre question : pourquoi ces cartouches se sont trouvées là ?? Mr Vos ne dit rien de plus : étaient-elles sur le sol, enfouies profondément ? Pour en revenir à Dekaise, je lis ci et là qu'un certain Vicky Van Obbergh a été retrouvé en possession d'une arme volée chez Dekaise : c'est chaud comme info tout de même!! Désolé, je n'ai que des questions et aucune réponse...

Lors des fouilles, on a retrouvé des douilles de 9mm court (.380 acp pour les anglo-saxon). Un des Ingram volé chez Dekaise était chambré dans ce calibre. C'est effectivement un calibre peu courrant, et c'est bien trop gros comme coïncidence
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michel-j




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 11:37

felix a écrit:

Lors des fouilles, on a retrouvé des douilles de 9mm court (.380 acp pour les anglo-saxon). Un des Ingram volé chez Dekaise était chambré dans ce calibre. C'est effectivement un calibre peu courrant, et c'est bien trop gros comme coïncidence

Logique que ce type de munition ait été considéré comme venant de chez Dekaise;

*Dekaise travaillait sur des silencieux.
*Les armes automatiques sur lesquelles il travaillait étaient notamment des Ingram.
*Pour qu'un silencieux soit efficace, il nécessite l'emploi de balles subsoniques... donc, en 9mm, du court... pas du parabellum (par exemple).
*si des connaisseurs ont volé des Ingram chez Dekaise, ils ont certainement songé à embarquer aussi les minutions appropriées... ne serait-ce que pour ne pas risquer de se faire repérer en recherchant du 9 court !

Notez qu'un pistolet Beretta (pourvu d'un kit de conversion, cela va de soi !) tirait aussi bien du 7,65 que du 9mm court... que son canon (ses canons) dépassant de la culasse pouvait facilement être filetés... et qu'un système de verouillage de culasse était assez aisé à lui rapporter.
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felix




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 12:47

michel-j a écrit:
felix a écrit:

Lors des fouilles, on a retrouvé des douilles de 9mm court (.380 acp pour les anglo-saxon). Un des Ingram volé chez Dekaise était chambré dans ce calibre. C'est effectivement un calibre peu courrant, et c'est bien trop gros comme coïncidence

Logique que ce type de munition ait été considéré comme venant de chez Dekaise;

*Dekaise travaillait sur des silencieux.
*Les armes automatiques sur lesquelles il travaillait étaient notamment des Ingram.
*Pour qu'un silencieux soit efficace, il nécessite l'emploi de balles subsoniques... donc, en 9mm, du court... pas du parabellum (par exemple).
*si des connaisseurs ont volé des Ingram chez Dekaise, ils ont certainement songé à embarquer aussi les minutions appropriées... ne serait-ce que pour ne pas risquer de se faire repérer en recherchant du 9 court !

Notez qu'un pistolet Beretta (pourvu d'un kit de conversion, cela va de soi !) tirait aussi bien du 7,65 que du 9mm court... que son canon (ses canons) dépassant de la culasse pouvait facilement être filetés... et qu'un système de verouillage de culasse était assez aisé à lui rapporter.

Non, logique qu'on pense à Dekaise, parce qu'un Ingram dans ce calibre a été volé chez lui, et que d'autre part, les armes en 9mm court sont rares.
Et lors des attaques, un des tueurs étaient armés d'un pistolet mitrailleur compact qui pouvait être cet Ingram.
Je ne sais pas où vous voulez en venir avec cette histoire de Beretta et de silencieux; avez-vous des informations plus précises?
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michel-j




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 17:58

Pas d'infos inédites ou plus précises, non.

Que des Ingram ont été volés chez Dekaise, je suis persadé que tout le monde sur ce site est au courant... Je le reprends d'ailleurs dans mon texte si vous vous donnez la peine de relire (si toute fois vous n'êtes pas Néerlandophone, ce qui pourrait exliquer la confusion dans la tournure de phrase).

Les 9 courtes ne bénéficient pas d'une grande diffusion, c'est certain. Le terme "rare" me semble un peu excessif quand même... je n'ai jamais connu de poblème d'approvisionnement dans les années 70/80.

L'histoire du Beretta n'est pas ue "révélation"... Je disais juste (puisque le 9mm et le 7,65 ont été utilisés) qu'une arme d'époque possédait cette double capacité... Et qu'elle pouvait recevoir un silencieux... rien de plus.
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michel
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 18:49

LES MINUTES APRES L'ATTAQUE
"C'était l'enfer"
"Sors de la voiture, sors. Couche-toi." Je tire mon amie Fabienne hors de la voiture et nous nous abritons dans un jardin avoisinant. Nous entendons des détonations. Sur le Haring, des gendarmes armés de mitraillettes. Des agents courent dans tous les sens sur les pelouses. Des gens hurlent, pleurent. Dans leur fuite vers l'autoroute, les gangsters doivent emprunter le même chemin que nous. Pour les éviter, je braque au dernier moment. Je crie "Filons". A la Hoezestraat, nous quittons notre véhicule. Si les fuyards passent par le Haring, nous sommes en plein dans la ligne de tir de leurs poursuivants. Nous nous accroupissons, protégés par ma voiture, un muret et des buissons. Il est précisément 19h50. Une petite R4 de la gendarmerie remonte la Parklaan en marche arrière. Un homme en tenue de combat court vers un coin sur lequel se trouve un restaurant d'où des badauds observent la scène.
Tout va vite. Sur un refuge un autre gendarme. Sur la pelouse devant le garage "Central" cinq policiers courent dans tous les sens. Suivent cinq, six, peutêtre sept détonations. Au loin le bruit angoissant de sirènes. Des gendarmes et des policiers courent sur la chaussée de Ninove. Pendant un instant nous ne voyons rien et il fait calme. Ensuite, un va-et-vient entre les entrées du magasin et la rue. Des policiers et des civils. Des portes s'ouvrent. René De Witte, à l'époque journaliste à la Gazet van Antwerpen, parle. Ce jour-là, son chemin a croisé celui des tueurs du Brabant wallon.
"Où est notre gamin ?"
Juste avant huit heures, le parking est devenu un véritable enfer. Quelques agents tiennent la foule à distance. Une rumeur se répand, les gangsters seraient encore sur le parking. Des gens pleurent, s'embrassent, s'enlacent. Une femme est hystérique. "Notre gamin. Il s'y trouve encore." Elle désigne un parking où des policiers, nerveux, s'activent. Soutenue par un couple, la femme est inconsolable jusqu'à ce qu'un homme accoure du parking. Son oreille saigne "Ce n'est rien, ce n'est rien, il n'a rien !" La dame lui tombe dans les bras. Ils pleurent. Par-dessus l'épaule de cette dame, on voit le regard perdu de l'homme. Les yeux pleins de larmes, le visage en sang et l'air accablé, inconsolable, mais surtout en colère et plein de haine.
Près d'un autre couple, un garçon dans les bras de son père, tellement serré contre lui qu'on croirait qu'on veut le lui arracher. L'homme est petit,une vingtaine d'années, il a le regard délavé. Entre les larmes et les baisers à son enfant, j'entends des bribes de ce qu'il raconte. Il explique comment sa petite famille a échappé à la mort. Un homme traverse la foule et les aborde. Votre nom et votre adresse, svp. "Non, dit la femme, nous savons ce que c'est." Mais ce monsieur n'est pas un journaliste. "Police, vous comprendrez que nous avons besoin de votre témoignage. Mais je vous assure la plus grande discrétion". L'agent est en civil et ce n'est qu'après avoir montré sa carte de service qu'il obtient les renseignements qu'il souhaite. Quand il s'en va, le monsieur continue à raconter son histoire à ceux qui l'entourent. L'agent se retourne, prend l'homme par les épaules et lui dit, furieux : "Si vous voulez que la police soit discrète, soyez-le aussi."
Entretemps la police peine a contenir les curieux à l'entrée du parking. Les ambulances arrivent et repartent. Dix, vingt et plus qui se remplacent mutuellement. Les premières sont arrivées presque immédiatement sur place. Elles tournent jusque 20h30. Ce qui rend perplexes beaucoup des personnes présentes. Trois morts, cinq morts dit-on, mais personne ne sait vraiment. Et personne ne peut imaginer la souffrance derrière les vitres des ambulances. Certains s'adressent aux postes de surveillance, mais les agents ne savent rien, ou disent ne rien savoir. Des barrages bloquent totalement le parking et l'entrée de la Parklaan. Sur la Parklaan, le tableau est tout aussi triste. Des gens pleurent. Ici pas de cadavres, pas de sang, puisque l'attaque a eu lieu de l'autre côté du magasin. De ce côté-ci, il y a moins de caisses. C'est par ici que la plupart des clients et des membres du personnel se sont enfuis. Ils ont entendu du vacarme mais n'ont rien vu. Des présentoirs à cigarettes renversés près des caisses, mais pas vraiment de bazar. Guy V.H. d'Alost est un des jobistes "permanents". Il est épuisé et rentre chez lui. Les caissières et le personnel du côté parking se trouvent maintenant à l'avant du bâtiment. Sous le regard de centaines de spectateurs.
"Nous étions morts de peur"
La gentille dame chez qui je vais souvent régler mes achats pleure sans arrêt. J'ai la gorge nouée. Peter V.M. d'Erembodegem, jobiste lui aussi, avait congé ce jour-là. C'est peut-être à cela qu'il doit la vie, parce que normalement il travaille dans la "zone de la mort". Son père est fâché quand il le retrouve dans la foule. "Tu aurais pu nous appeler. Nous étions morts de peur." La seule histoire concrète parmi les centaines d'expressions de colère et de douleur est celle de Patrick. Il habite la Lokerenveldstraat, pratiquement à l'ombre des enseignes du Delhaize. Il vient de faire ses déclarations à la police et se mêle maintenant à la foule. "Non, j'aime mieux ne pas donner de nom." Je note ce qu'il répètera plus tard à la télévision et aux journalistes qui arrivent les uns après les autres. Il y a une heure, Patrick a eu la peur de sa vie. Il donnera de précieux renseignements.
"Ca m'a déjà semblé bizarre quand je suis arrivé à huit heures moins le quart sur le parking et qu'il n'y avait personne. Habituellement, et surtout le samedi, c'est très animé. Aujourd'hui, rien. J'ai vu un homme qui entrait en courant dans le Robert's Place, un café. J'ai entendu des coups de feu, mais ils pouvaient provenir de gosses qui jouaient avec des pétards. Qui pense à un hold-up ? Je continue donc jusqu'à ce que j'aperçoive au loin un homme encagoulé, peut-être s'agissait-il d'un bas-nylon tiré sur le visage. Je me cache derrière le coin du Brico Center et j'entends qu'on tire. Je vois alors un deuxième homme. Il marche courbé sous quelque chose de pesant, qu'il porte dans les bras. Il peine. Ensuite un troisième homme. Un grand fort gaillard armé d'un fusil. Il tire sur tout ce qui bouge. Sur moi également, et sur un panneau réclame qui flotte dans le vent. Il tire à travers tout. Un combi de police arrive. Je crie : "Stop, ils sont là sur le parking." Ils sont deux, sortent du véhicule. Un agent s'enfuit, l'autre traverse la rue avec moi. Il crie aux gens dans les entrées "rentrez, rentrez ! Il me montre son pistolet : "Que dois-je en faire ?" Ce que Patrick raconte après, d'autres personnes l'ont vu, depuis le café. Deux gangsters dans une Golf GTI gris anthracite quittent le parking. Phares éteints. Le tireur est à pied, s'arrête sur le trottoir, remarque un deuxième combi garé tout au plus à cent mètres, sur la piste cyclable du Haring. Il tire. Il y a cinq impacts de balle. Le coffre de la Golf est resté ouvert. Le tireur s'y installe. Ils fuient à toute allure vers Ninove. Entretemps, la R4 de la gendarmerie est aussi arrivée. Le premier combi et la petite voiture engagent la poursuite. Une course inégale, tandis que depuis la banquette arrière le bandit fait feu comme un sauvage. Les commentaires vont bon train dans la foule. Comment les forces de l'ordre ont-elles pu laisser filer les malfrats ? Pourquoi la première équipe de policiers n'a-t-elle pas bloqué l'entrée du parking ? Au café "Corner", au Haring, il y a aussi beaucoup de remue-ménage. Dans les bras de sa mère, un gars regarde, sans comprendre. Sa tête saigne. Il accompagnait sa mère qui faisait des achats. Sur le parking, le père veut fuir à bord de son Opel Kadett. Il roule lentement, mais lorsqu'il donne brusquement des gaz, on lui tire dessus. Plus tard, des dizaines de curieux iront voir les quatre impacts sur la vitre arrière et la vitre latérale explosée.
Maurits De Vulder a vu fuir les gangsters
"A huit heures moins le quart samedi soir je me trouvais juste en face du parking du Delhaize, dans un café de la Geraardsbergsestraat", raconte Maurits De Vulder, 57 ans, d'Alost. "Brusquement, nous avons entendu des tirs à l'extérieur. Une femme est entrée en courant, paniquée. Elle criait qu'une attaque avait lieu et que son mari se trouvait dans le Delhaize. Toutes les lumières ont été immédiatement éteintes dans le café. De là j'ai pu observer la suite des événements. Deux minutes plus tard environ une voiture de police est arrivée" poursuit Maurits De Velder. "Le véhicule s'est garé une dizaine de mètres après l'entrée du parking. Deux policiers en sont sortis. L'un courait vers le rond-point, l'autre a traversé la rue et s'est caché derrière un conteneur à verre, en oblique par rapport à l'entrée. C'est alors qu'une personne masquée est arrivée en courant du parking sur la rue".
"Il portait une veste en cuir sombre, était grand, avait une chevelure assez abondante. Il avait une arme à la main. Il a tiré quelques coups en direction du rond-point. Juste après, une Golf est arrivée de l'arrière du parking dans la Geraardsbergsestraat en direction de Denderleew. Pendant la fuite on a encore tiré quelques fois depuis le coffre. Il est apparu plus tard que le véhicule de police - vide - a été touché à ce moment-là. Peu après, je ne sais pas combien de temps, est arrivé un combi de la gendarmerie. Il a suivi la même direction que la Golf en fuite".
"Ta gueule"
Dans le magasin, il est difficile de trouver des témoins parmi les trop nombreux curieux. Des explications glanées ça et là permettent de mieux imaginer le scenario. Un des gangsters a pris un homme en otage. Une dame qui se trouvait tout près se fait rabrouer : "Ta gueule". Les attaquants étaient-ils francophones ? On ne trouve plus de témoins capitaux. Très rapidement après les faits, des policiers en civil ont recherché des témoins pour les entendre. Des témoins privilégiés reçoivent l'ordre de quitter immédiatement les environs et de ne faire aucune déclaration. Personne du reste n'ose s'adresser aux caissières quand, après de longues heures et très éprouvées, elles quittent le magasin. Pas plus que la dame qui sort du magasin avec ses deux enfants et un caddie bien rempli. Personne ne se demandera quelle nuit d'insomnie les attend.
Vers minuit, on me demande si je peux accompagner pour une audition. Dans le magasin, je croise des échevins et le bourgmestre Uyttersprot. Sous le choc. Des escaliers étroits mènent au magasin. A gauche, dans la cantine, les membres du personnel attendent. A droite, dans un débarras, entre des cintres, des brosses et du matériel d'entretien, un homme est assis devant une machine à écrire portable. Poliment mais avec détermination il me dit que je ne dois pas compter sur lui pour obtenir des informations. Le devoir de discrétion est absolu, dit-il. Je suis son dernier client. Il tape à toute allure. A côté de lui, des chemises brunes pleines de témoignages. "Notre enquête est un puzzle" dit-il finalement. "Chaque détail compte." Dehors, une pluie maussade a commencé de tomber.
Source : Gazet van Antwerpen – René de Witte – Novembre 1985


Source : www.bendevannijvel.com (traduction lagloupette02)

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyMar 27 Juil 2010 - 20:34

m......j'ai raté celui là !


et dire que c'est une texte pareille que j'avais lu il y a 25 ans ds le morgen.
J'avais lu l'histoire du conteneur de verre.
Maintenant on peut commencer une powerpoint d'un meilleur ligne de temps.

et croiser celui la avec le discours de Troch devant la commission.

punaise!

Rien de ceci ds le soi disant reconstitution de Vos

et on y vois clairement l'arrivée d'un R4 deux minutes après le debut des evenements
Citation :



"A huit heures moins le quart samedi soir je me trouvais juste en face du parking du Delhaize, dans un café de la Geraardsbergsestraat", raconte Maurits De Vulder, 57 ans, d'Alost. "Brusquement, nous avons entendu des tirs à l'extérieur. Une femme est entrée en courant, paniquée. Elle criait qu'une attaque avait lieu et que son mari se trouvait dans le Delhaize. Toutes les lumières ont été immédiatement éteintes dans le café. De là j'ai pu observer la suite des événements. Deux minutes plus tard environ une voiture de police est arrivée" poursuit Maurits De Velder. "Le véhicule s'est garé une dizaine de mètres après l'entrée du parking. Deux policiers en sont sortis. L'un courait vers le rond-point, l'autre a traversé la rue et s'est caché derrière un conteneur à verre, en oblique par rapport à l'entrée. C'est alors qu'une personne masquée est arrivée en courant du parking sur la rue".


Je pense qu'il faut commencer à mettre tout ces cafés ds un dessin car ils n'existent plus maintenant
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césar




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyDim 29 Aoû 2010 - 14:14

Juste avant l'attaque, on demandera une dédicace à une radio locale. Le demandeur s'exprime en flamand sans accent et demande la chanson "op voet naar scherpenheuvel" "pour 19h15 précise, car après il sera trop tard".

Probablement aucun rapport, mais une ville en brabant flamand porte ce nom : Scherpenheuvel. La copine de De Staerke à l'époque y travaillait comme prostituée. Encore une coincidence de plus...
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Marlair Jean-Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyDim 29 Aoû 2010 - 15:48

César,

La chanson " Op voet naar Scherpenheuvel " se réfère aux pèlerinages vers ce haut lieu du culte à la Vierge Marie en l'honneur de laquelle une Basilique fut construite dans cette petite ville ( limite +ou- entre Brabant Fl et Limbourg ) En français: Montaigu.
En effet, au seizième siècle ( Pays-Bas Autrichiens ) la Vierge fit une apparition en ces lieux.
La tradition veut que les pèlerinages se fassent en groupes, à pieds vers la Basilique. Toute l'année, spécialement de mai à septembre, ces pèlerinages viennent de tous les villages des environs, de toutes les petites ou grandes villes de Flandre. Ainsi, le premier dimanche de mai, c'est le tour des fidèles d' Anvers. Un peu leur petit St Jacques de Compostelle en somme, mais sans itinéraire unique et fixe.

Pour l'anecdote, de mémoire d'un habitant de là-bas, il n'y a pas de pèlerinage spécifique le 09 Nov, période fort avancée en automne.

Ceci pour info.
Cordialement
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SiscoF




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyDim 29 Aoû 2010 - 16:05

Quel lien fait-on avec la tuerie d'Alost ? Il me semble que certains ont interprété cet appel comme le feu vert pour les tueurs ? Pourquoi ?
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michel
Admin



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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 EmptyDim 29 Aoû 2010 - 17:17

Cette chanson a été demandée à une radio locale peu avant la tuerie en dédicace à la "bande de Nivelles".

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 19 Empty

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