le pont trop loin

Pose à l'aire de Berchem, mon gsm devait indiquait "24 jun 15:29 Lux GSM" 24 juin 1995 pour être précis quand j'ai téléphoné à mon épouse pour la rassurer. Ce dimanche très ensoleillé, je remontais un chargement de vin avec mon 4x4 tractant une remorque de 3,5 tonnes, une activité complémentaire développée en parallèle de mon travail de fonctionnaire. Revenant de Faugères, la route est longue, 17 heures de remontée moyenne jusque Villers-Perwin. Pour lui faire plaisir, je lui devais en retour, ma mère était du voyage. Le samedi vers midi, nous avions coupé notre faim dans un resto sympathique de Sète, l'occasion aussi de lui montrer au loin l'étang de thau, une découverte pour elle.

Vous, lecteurs de ce site, qu'est ce que cela peut nous apporter comme informations ? Pas si sur ... ! ce post comprendra des dizaines de pages dont certaines, preuve à l'appui.

J'ose enfin espérer que ces informations seront retransmises vers des journalistes d'investigation qui pourront enfin développer la vérité.

Vingt minutes de pose ? Contact, avant 16 heures, on affronte la Belgique. Affronter. Ceux qui connaissent ce trajet le disent, pas évident jusque Namur, d'abord, c'est plat, puis c'est le montagne russe. J'avais toujours une appréhension pour cette section.
Suite dans prochain post, merci de votre lecture.

trois ans plus tard, le procureur Bourlet au téléphone, "ah oui, bonsoir Monsieur Das, oui, mais pourriez-vous me dire si Madame Martin était aux bords de l'autoroute ? " "que voulez-vous que je vous dises Mr Bourlet, que voulez-vous entendre ? Oui, Madame Martin, Monsieur Dutroux, deux adolescents, Madame Martin tenait Julie dans ses bras, Mélissa s'était éloignée de 50 m en amont, son regard à croisé le mien en criant "au secours" désolé je n'ai pas été attentif à ce détail, pour moi, c'était papa, maman et les deux filles". ... Merci Monsieur Das. Bien d'autres personnes ont été informées des détails de cette situation, soit antérieurement à la découverte de Dutroux début août 1996, soit à la date de ce post. Personne n'a réagit, même en date de ce post le 27/09/2019. Même les parents n'ont jamais réagi. Julie, Mélissa, vous remercient.

La suite de cet épisode preuves à l'appui seront fournis sur ce site. A défaut, vous pouvez me contacter par mail granuloconfort@gmail.com 0495 94 23 82

L'épisode du peignoir et l'affaire Di Rupo

FERRIÈRES Pour la police belge, une page d'histoire se tourne. Et avec elle, des histoires, petites et grandes. Ou encore à taire. «A 60 ans, je me mettrai à écrire.»

Georges Marnette parlera-t-il de cette convocation par le ministre Luc Vanden Bossche la nuit du 13 au 14 décembre 2000 à l'Intérieur, rue de la Loi? Des frites et du champagne à 2 h du matin? De ses débuts dans l'affaire Nihoul après l'exhumation des corps de Julie et Mélissa? «J'ai commencé Nihoul. Je me souviens de l'audition de sa compagne, B. Toute une nuit. J'avais mis des lumières tamisées pour créer un climat qui l'amènerait à parler. J'étais un empêcheur d' Otheller en rond. Notre façon de travailler n'était pas la même. Avant de foncer, nous, nous voulions tout vérifier. Ça a claqué le jour où j'ai refusé une perquis demandée par Neufchâteau: j'estimais que le moment n'était pas venu. On me l'a reproché et j'ai claqué la porte.»Des journaux ont écrit que j'étais un copain de Nihoul. C'est vrai que Nihoul avait de très bons copains à la PJ mais je n'en étais pas. Je connaissais le Dolo pour y être allé trois fois. C'était mon métier. Nihoul, je l'avais vu une fois...»

On arrive à l'épisode connu du peignoir (la commission Tueries a reproché à Marnette d'avoir fréquenté un club à partouzes vêtu d'un peignoir) : «D'abord, c'était pas un peignoir mais un drap de bain. Et ça se passait au Club d'O, à Meise. On y allait pour des infos sur des truands. Je n'ai jamais sauté ni touché une fille, ni participé à des partouzes. J'entends le parlementaire Viseur me demander: Vous étiez en peignoir sans votre arme de service. Et s'il s'était passé quelque chose? Eh bien, on serait intervenu, le c...»

Eclate l'affaire Di Rupo où Marnette et son service essuient des reproches injustifiés à ses yeux: «Cette affaire, je ne l'ai pas vue arriver. Et je l'ai prise en pleine tronche. J'ai toujours dit et je maintiens que l'affaire en était encore pour nous à un stade préliminaire de collecte de renseignements. A l'époque, la priorité, c'était Nihoul. Il n'y a pas eu d'intention chez nous de viser personnellement qui que ce soit. Mais il y a eu une fuite qui a tout f... par terre et a permis toutes les manipulations. J'ai morflé. J'ai du mal encore aujourd'hui. Ça m'a valu un mois de suspension, une inculpation et finalement le non-lieu. Dans ce dossier, il y avait d'autres noms connus (que celui de M. Di Rupo, hors cause, NdlR) dont au moins deux étaient cuits si nous avions pu aller jusqu'au bout. Tout ça par la faute d'une fuite. Et je sais maintenant de qui...»

Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Qui à voulu louer le club d'O en manière privée en octobre 1978 ???

vous etiez de la police ou gendarmerie ? quand vous dites louer le club en maniere privee, vous voulez dire le temps d'une soiree ou a long terme avec un bail ?

Comprend rien.
Mai peux être trop important.
Quand c'est important on ne peux pas deviner ou douter
Expliquez vous avec les détail ... "il était une fois..."

p

M a écrit:

Ce dimanche très ensoleillé, je remontais un chargement de vin avec mon 4x4 tractant une remorque de 3,5 tonnes, une activité complémentaire développée en parallèle de mon travail de fonctionnaire.

Les fonctionnaires n'ont pas droit à une activité commerciale, il me semble?

M a écrit:

Pose à l'aire de Berchem, mon gsm devait indiquait "24 jun 15:29 Lux GSM" 24 juin 1995 pour être précis quand j'ai téléphoné à mon épouse pour la rassurer. Ce dimanche très ensoleillé, je remontais un chargement de vin avec mon 4x4 tractant une remorque de 3,5 tonnes, une activité complémentaire développée en parallèle de mon travail de fonctionnaire. Revenant de Faugères, la route est longue, 17 heures de remontée moyenne jusque Villers-Perwin. Pour lui faire plaisir, je lui devais en retour, ma mère était du voyage. Le samedi vers midi, nous avions coupé notre faim dans un resto sympathique de Sète, l'occasion aussi de lui montrer au loin l'étang de thau, une découverte pour elle.

Vous, lecteurs de ce site, qu'est ce que cela peut nous apporter comme informations ?  Pas si sur ... ! ce post comprendra des dizaines de pages dont certaines, preuve à l'appui.

J'ose enfin espérer que ces informations seront retransmises vers des journalistes d'investigation qui pourront enfin développer la vérité.

Vingt minutes de pose ? Contact, avant 16 heures, on affronte la Belgique. Affronter. Ceux qui connaissent ce trajet le disent, pas évident jusque Namur, d'abord, c'est plat, puis c'est le montagne russe. J'avais toujours une appréhension pour cette section.
Suite dans prochain post, merci de votre lecture.

Le timing de votre périple est un peu compliqué à suivre. Le 24 juin 1995 était un samedi, et non pas un dimanche. Partis de Sète après le déjeuner, ce qui fait un détour pour rejoindre la Belgique depuis Faugères, vous avez fait vite pour être à Berchem avec une remorque de 3.5 tonnes de vin vers 16 h.

Léonidas a écrit:

M a écrit:

Ce dimanche très ensoleillé, je remontais un chargement de vin avec mon 4x4 tractant une remorque de 3,5 tonnes, une activité complémentaire développée en parallèle de mon travail de fonctionnaire.

Les fonctionnaires n'ont pas droit à une activité commerciale, il me semble?

et bien si j'en ai connu plus d'un, tout à fait officiellement.

KeBiesse a écrit:

vous etiez de la police ou gendarmerie ?

ni l'un ni l'autre, n'est ce pas Michel?

Où sont M. les dizaines de pages promises? Brûlées dans un poêle à pellet?

de ce récit sans doute un peu confus, on peut juste retenir que "M" fait juste une erreur de date.
il part de Faugères vers Sète (arrêt resto combien de temps et à quelle heure) normal pour rejoindre la A7 et remonter par le Luxembourg. il n'a surement pas roulé d'une traite. donc pourquoi pas être vers 1530 à Berchem

La date dont il est question ici est particulière: le 24 juin 1995 disparaissaient Julie et Melissa. Dans son récit M. dit avoir vu Michele Martin et Dutroux et les 2 fillettes. Il n'a pas pu les voir le dimanche.

c'est pourquoi j'expliquais qu'il s'était trompé sans doute de jour mais pas de date.
resto le vendredi visite guidée départ et remontée vers la Belgique, arrivée le samedi fin d'après midi

Quand on manque à ce point de précision dans une affaire comme celle là, il devient difficile d'être convaincant. Un poêle trop loin?

cela enlève assurément de la crédibilité mais si c'est vrai...il devrait être juste un peu plus prolifique dans ses récits, il faut attendre la suite si il y a

oui, qu'il nous en dise un peu + plutôt que se faire de la pub pour ses poêles à pellet..

Si le périple démarre le vendredi 23 juin 1995, qu'il dure 17 h et se termine à Berchem le samedi vers 16 h., ça veut dire qu'il début le vendredi à 23h. Je vois mal là dedans un déjeuner (pour les belges le repas de midi) à Sète...

Hello à tous, De plus son message concernant le peignoir du 27 sept est issu d.un article de presse , donc rien de neuf à l’horizon...ça sent en effet le feu de cheminée

Pour un conseil sur les poêles à pellets je suis dispo, en revanche les tueries du Brabant c’est plus complexe....pourtant je suis français donc tout découle de source...en général je passe mes vacances d’été dans vos belle contrées ( Knokke , Bruges’ Ostend

Vous êtes des gens plutôt sympathiques donc qui voudrait vous faire du faire mal ?

D’ailleurs une telle bonhomie ne vous rend elle pas suspect d’un complot « anti poêle à pellets «???,le fait de manger à Sète des télines (qui entre nous est le meilleur coquillage de mer français ) fait il de vous un mythomane ou un conducteur chevronné ?
Remonter du vin français pourquoi pas...mais avec une 190 D ou une SAAB Turbo ?

Pour le reste M devrait arrêter la Petrus Aged Red et respecter ses contemporains, ce forum est à bien des égards une « planche de salut » ou bien « une ode à l’espoir » pour le tas de cons que nous sommes et qui ouvrons tous les jours l’application en espérant que la lumière fut.
Par contre si M dans son périple était passé par la Vologne...on est preneur.

Comme le suggérait Pierre plus haut, reprenons depuis le début: Il était une fois...