Portrait Wavre 'Dekaise' unique, diffusé le lendemain

https://www.academia.edu/32607685/Historical_development_of_ethnic_nationalism_in_Spain_and_ETA_problem




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Difficile de ne pas penser à

https://fr.scribd.com/doc/15109318/Rapport-VBDJ-Haemers-traduction-francaise

Rapport VBDJ, Haemers, traduction française

L'aquila e il condor
De Stefano Delle Chiaie, Massimiliano Griner, Umberto Berlenghini

La deuxième occasion de collaboration avec Sérac, cette fois directement demandée par lui, a été le soutien à la résistance algérienne. En 1965, Houari Boumedienne, soutenu par les Soviets et les États-Unis, avait évincé Ahmed Ben Bella, président de l'Algérie après les accords d'Evian de 1962, et avait pris sa place. Après de nombreuses années, Ben Bella et Mohamed Boudiaf ont organisé la résistance contre Boumédienne. L'initiation de l'OSA (Organisation Secrète Algérienne, à ne pas confondre avec l'OAS), communément appelée OS, a repris sous le nom du mouvement nationaliste que Boudiaf lui-même avait fondé après 1945 pour s'opposer aux Français. Ben Bella a été soutenu par la Chine et celle-ci, en cas de victoire, a promis qu'elle serait indépendante des deux blocs impérialistes.

Diverses opérations ont été menées pour attirer l’attention internationale sur l’Algérie. Lors de l'une d'elles, le 1er janvier 1976, Jay Simon Salby (dit "Castor") et André Cherid ont été arrêtés en Algérie. Le frère de Cherid, Jean-Pierre, m'a demandé s'il était possible d'intervenir pour aider son frère. Par le biais de Sixto di Borbone Parme, j'ai joint Kamal Jumblatt, le chef druze au Liban. Joumblatt s'est envolé pour Alger et a obtenu directement de Boumedienne que la peine de mort infligée à ces deux personnes soit commuée en peine d'emprisonnement.

En 1976, mes relations avec Sérac se sont refroidies. À la fin de 1975, j'étais un fugitif en Italie et je m'étais basé dans la rue Sar-Torto, à Rome. C’est le fameux appartement où seront arrêtés Adriano Tilgher, Giulio Crescenzi, Bruno Di Luia et Enzo Vinciguerra.

Stefano Delle Chiaie, la fabrique d'armes et les "Ingram" modifiés...

https://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf

HERVE a écrit:

Stefano Delle Chiaie, la fabrique d'armes et les "Ingram" modifiés...

J'ai déjà, pour ma part, retracé il y a quelques temps l'enchainement d'éléments que vous présentez.
Et cette fabrique en Espagne (si je me souviens bien. Madrid ? Je ne relis pas, je me limite à mon souvenir) d'Ingram modifiés m'avait déjà interpelé.

L'objectif du vol chez Dekaise d'un prototype d'Ingram ? L'apropriation de secrets de fabrication en somme ?

L'ennui, c'est que D.D. semblait en relation avec un tel vivier de gens "limite" (ben oui, il vendait des armes, pas des fleurs...) que le seul fait de s'être intéressé aux activités de ce monsieur, a mené, comme on pouvait s'y attendre, à le découverte de faits potentiellement litigieux "à la dizaine". Et de liens tout aussi potentiels avec les t.du.B., "à la pelle" aussi.

Mais le braquage du 30 septembre 82 est-il forcément lié à un de ces nombreux éléments soulevés ??
Là est toute la question...
Vu il s'agissait d'un commerce ayant pignon-sur-rue, vendant au comptoir comme n'importe quel autre commerce accessible au Grand Public, rien n'est sûr.

Il va être difficile de faire témoigner Jean-Pierre Cherid qui est décédé en 1984 mais la piste de Stefano Delle Chiaie est particulièrement intéressante, notamment parce qu'il connaissait bien Léon Degrelle (voir ce qui concerne le "presidium") et Jean-Robert Debbaudt.

Il devrait encore être possible de poser des questions à Stefano Delle Chiaie mais il ne répondra probablement pas plus que John K. Singlaub (à propos, ils ont eu tous les deux des liens avec la WACL... comme Robert Close).

Autre élément troublant :

https://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf

(...)  

“Il Caccola” (Stefano Delle Chiaie) claims that in the early part of that summer of 1960 while the tension was still mounting, he was approached, through an MSI intermediary, by an official of the Interior Ministry to undertake covert operations against anti-fascists and left-wing militants. It was also around this time that Delle Chiaie decided to leave Ordine Nuovo and set up his own neo-fascist organisation which eventually became known as Avanguardia Nazionale, an organisation which was to be the breeding ground and epicentre of neo-fascist terror for two decades.

(…)

Avanguardia Nazionale had a steady income of 300,000 lire a month guaranteed by Carlo Pesenti.

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On retrouve Carlo Pesenti dans "Europa Christiana", lié à la Milice de Jésus-Christ et à l'organisation de la réunion à l'abbaye de Royaumont (Giulio Andreotti, Benoît de Bonvoisin, Robert Close, Jacques Jonet, etc). La Milice de Jésus-Christ (d'obédience dominicaine) a des membres en Belgique et notamment Jean Bougerol et Claude Dery… sans oublier Bernard Mercier.

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1747

Connaissez-vous les Milices de Jésus-Christ ?

J’ai eu connaissance de ces Milices de Jésus-Christ par Bernard Mercier qui était un fonctionnaire de l’éducation nationale détaché au cabinet, notamment de Mr. Humblet. Je savais que ce dernier faisait partie de ces Milices. Je crois qu’il en portait d’ailleurs un signe extérieur. Pour moi il s’agissait d’un mouvement qui avait pour but principal le retour de la liturgie grégorienne.

Bron: Verhoor Benoît de Bonvoisin | 26 september 1985

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On retrouve aussi Carlo Pesenti dans le "Cercle Pinay-Violet", appelé "Pesenti group" dans les mémoires de David Rockefeller.

Toujours dans

https://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf

(peu après l'extrait ci-dessus)






Gaetano Orlando, qui trouvera refuge chez Mario Spandre, avocat et ami de Benoît de Bonvoisin.

http://antonella.beccaria.org/2010/05/06/gaetano-orlando-il-suo-viaggio-in-belgio-il-traffico-darmi-e-il-pranzo-di-lavoro-alla-sede-della-nato/

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Note : intéressant de noter que Benoît de Bonvoisin dit qu'il a entendu parler des Milices de Jésus-Christ par Bernard Mercier qui travaillait au cabinet du ministre Antoine Humblet (lui aussi membre de ces Milices) ; ce dernier a été, à une certaine époque, proche de José Happart. Il est clair que l'éventuelle influence paternelle de José Happart ne le conduisait pas vers le parti socialiste. Le père Happart était un collaborateur, responsable d'une milice pro-nazie dirigée par le VNV, le principal mouvement collaborationniste flamand, la Boerenwacht/Garde Rurale.

Autre extrait :

https://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf

(juin 1980)





Il me semble probable que Mario Spandre et/ou Benoît de Bonvoisin faisaient partie de filières de ce genre.

L'échange de "personnel" d'un pays à l'autre est peut-être illustré par un Jean-Pierre Cherid opérant chez Dekaise à Wavre...

The Angry Brigade: A History of Britain's First Urban Guerilla Group
De Gordon Carr
(2010)





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(en italien)

https://www.youtube.com/watch?v=7TMl4dAsMlo






(on voit aussi Jean-Claude Marlair, Eddy Vos et d'autres)

La Machine de guerre américaine: La politique profonde, la CIA, la drogue, l ...
De Peter Dale SCOTT





(...)





(...)





(...)

Note : l'attentat contre Bernardo Leighton date du 6 octobre 1975, quelques semaines avant la mort de Francisco Franco (20 novembre 1975) ; Valerio Borghese était décédé le 26 août 1974.

https://www.liberation.fr/societe/2001/07/23/une-police-politique-relayee-en-europe_372286

Une police politique relayée en Europe.

Par Karl LASKE   — 23 juillet 2001 à 00:08  

Aux ordres de Pinochet, la Dina frappait hors du Chili.

Trois attentats commis par la Dina (police politique chilienne ) à l'étranger ont mis en évidence son fonctionnement centralisé et, ipso facto, la responsabilité de Pinochet. Le premier, le 30 septembre 1974 à Buenos Aires, vise l'ancien commandant en chef des armées chiliennes. Carlos Prats et sa femme meurent dans l'attentat. L'exécutant est un Américain d'origine chilienne, Michael Townley, surnommé bientôt «le tueur de la Dina». Il est placé sous l'autorité du général Raul Iturriaga Neuman, chef des opérations à l'étranger, qui réfère lui-même à Manuel Contreras. Ce dernier, patron de la Dina, selon un rapport de la CIA d'avril 1975, «ne rend compte» qu'au général Pinochet «et ne reçoit d'ordres» que de lui. Le 6 octobre 1975, Townley organise l'attentat contre Bernardo Leighton, ex-vice président du Chili, grièvement blessé à Rome. Le 21 septembre 1976, il assassine, à Washington, Orlando Letelier, ancien ministre chilien des Affaires étrangères. Mis dans un avion vers les Etats-Unis par les Chiliens en 1978, moyennant statut de repenti et nouvelle identité, il ne sera condamné qu'à dix ans de prison dans l'affaire Letelier.

Un ancien néofasciste italien ­ issu d'Avanguardia nazionale ­, Vincenzo Vinciguerra, a raconté au juge Le Loire les prémices du plan Condor et le rôle de son chef, Stefano Delle Chiaie, cerveau présumé de l'orchestre noir italien: «Les rapports entre Avanguardia nazionale et Pinochet ont été instaurés par le prince Borghese, qui a présenté Stefano Delle Chiaie à Pinochet, a-t-il expliqué. C'était un rapport politique, en ce sens qu'Avanguardia nazionale apportait son appui à la Dina en Europe. Il pouvait s'agir de renseignements, de propagande et éventuellement d'actions d'un genre particulier. L'une d'entre elles a été la tentative d'assassinat de Bernardo Leighton.» Après l'attentat, Pinochet aurait dit à Delle Chiaie: «Quel dommage, ce vieux ne veut pas mourir.»

Lors de sa vie clandestine, au Chili et en Argentine, Delle Chiaie, alias «Alfa», a été en contact avec «le tueur de la Dina». «Je sais que Townley a pris contact avec Delle Chiaie pour solliciter son aide afin d'éliminer Altamirano, qui était un exilé chilien, secrétaire du Parti socialiste chilien», raconte Vinciguerra. Carlos Altamirano comme Volodia Tetelboim, secrétaire du PC chilien, échapperont aux tueurs de Pinochet en février 1975.

Entendu lui aussi par Le Loire, Delle Chiaie a prévenu qu'il ne serait «pas un témoin à charge contre Pinochet». D'ailleurs, pour se situer politiquement, il s'est levé en criant «fasciste», bras tendu. Le juge l'interroge sur la disparition de Jean-Yves Claudet en Argentine. En 1978, lors d'une perquisition chez le chef de poste de la Dina à Buenos Aires, Enrique Arancibia Clavel ­ récemment jugé dans l'affaire Prats ­, de nombreux documents sur Delle Chiaie sont trouvés. «C'était un camarade», explique l'Italien. Chez lui, on trouve une note se concluant par «Claudet n'existe plus». «Je ne sais absolument rien à ce sujet, répond Delle Chiaie. Moi, sur les autres, je ne dis rien, décrète-t-il. Je préfère dire que je ne les connais pas plutôt que de me trouver confronté à des contradictions.» Le nom de Townley, pourtant, le fait réagir: «Sur ce point, je peux répondre car j'étais opposé à cette décision quand il a été livré aux autorités américaines au Chili.»

Le juge Le Loire vient d'obtenir tout récemment l'entraide judiciaire qu'il demandait aux Américains. Il a prévu d'interroger Townley. Et Henry Kissinger, qui s'est dérobé à ses questions en mai à Paris.

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The Condor Years: How Pinochet And His Allies Brought Terrorism To Three ...
De John Dinges





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Predatory States: Operation Condor and Covert War in Latin America
De J. Patrice McSherry

Ici encore, en bas de page, on parle de J-P Ch.
(page suivante indisponible sur Google Books !)


Extrait de : Les plastiqueurs : Une histoire secrète de l'extrême droite violente De Frédéric CHARPIER
https://books.google.be/books?id=V3toDwAAQBAJ&lpg=PP1&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q&f=false

Si l'hypothèse qu'il s'agisse de cet homme sur le PR se vérifiait, cela remettrait beaucoup de choses en question en tout cas...

Cela conduirait à une implication de Stefano Delle Chiaie... un proche de Licio Gelli (et donc de Giulio Andreotti) mais aussi un proche de Léon Degrelle... sans oublier le témoin qui affirme qu'il l'a vu à Bangkok avec Guillaume Vogeleer.

Stefano Delle Chiaie a aussi été, à un certain moment, un ami de Elio Ciolini et a participé à des réunions de la WACL (à l'époque de Robert Close et John K. Singlaub ?)

HERVE a écrit:

Il était l'un des membres de l'OAS française protégée par le régime franquiste.

Le régime franquiste n'aurait pas toléré qu'il porte préjudice à Fabiola de Mora y Aragón (une aristocrate d'origine espagnole) qui, par son mariage avec le roi Baudouin de Belgique, est devenue la cinquième reine des Belges (1960 à 1993).
A ce point, qu'il ne s'est même pas opposé à l'exfiltration de Léon Degrelle même si les 3 tentatives d'exfiltration ont toutes échouées.
Probablement à cause de VDB puisque rien que l'idée de revoir Degrelle sur le sol belge ca lui déplaisait fortement

@HERVE : au simple et strict titre d'hypothèse, n'y aurait-il pas lieu de créer un fil 'suspect'au nom de J-P Ch. ? En tant que décédé, il y a peu de chances que ni lui ni des proches le défendant éventuellement n'intentent une action en justice contre le forum, comme l'ont fait certain(s). Des "proches" ? Un homme de son pedigree en avait-il/a-t-il seulement encore aujourd'hui ?

(les publications à son sujet sont déjà éparpillées sur deux fils, au stade actuel du forum....
Et il se pourrait qu'il y a ait d'autres petites éléments supplémentaires (matériels..) à mettre en relation avec cet individu)

Cela pourrait clarifier les choses en effet ...

D'ici-là :

La teoría de la Conspiración
De Antonio Perez Omister

(traduction)

On peut dire qu’avec elle commence la sale guerre contre l’organisation terroriste basque.

Pedro El Marino faisait partie des services des renseignements de la marine et il a réussi à former autour de lui un groupe de mercenaires et de membres de la droite étrangers tels que Jean Pierre Cherid (français et ancien membre de la redoutable OAS), José María Boccardo Alemán (argentin et ancien membre du triple A) et Mario Ricci (italien, néofasciste et membre d’Avanguardia Nazionale).

Cherid, Boccardo et Ricci étaient les braseros, des hommes de deuxième niveau, auxquels Leónidas fait référence dans son interview et ceux qui se sont occupés de localiser la résidence qu'avait José Miguel Beñaran, Argala, dans la ville française d'Anglet.

Au fil du temps, Jean-Pierre Cherid est devenu l'un des mercenaires les plus actifs de la sale guerre contre le groupe terroriste ETA. L'ancien membre de l'OAS est décédé en 1984, alors qu'il manipulait des explosifs qu'il allait placer contre un responsable etarra.

Parmi les restes de son véhicule et de son corps, la gendarmerie française a trouvé un annuaire téléphonique répertoriant le numéro du Cabinet des opérations spéciales du ministère de l'Intérieur, Pedro El Marino, et d'un sergent de la Garde civile. La police française a également trouvé parmi les restes de l'attaque une carte de la Direction générale de la Garde civile, avec la photo de Jean-Pierre Chérid, délivrée le 14 février 1981 et au nom d'Iván González Rodríguez. Après sa mort, son épouse a réclamé la pension de veuve au ministère de l'Intérieur.

Jean-Pierre Cherid et son groupe ont localisé la résidence d'Argala en mai 1978 et, à partir de ce moment-là jusqu'à son exécution, ils étaient principalement dédiés au contrôle et au suivi de la direction de l'ETA.

Le chef du groupe, Pedro el Marino, a déjà plus de quatre-vingts ans, réside hors des frontières espagnoles et est actuellement en très mauvaise santé.

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Voir :

https://www.elmundo.es/cronica/2003/427/1072098707.html

(...)

Q.- Comment, où et qui a eu les explosifs?

R.- Pedro El Marino. Les explosifs ont quitté une base américaine, mais je ne me souviens pas exactement si elle provenait de Torrejón ou de Rota, mais je sais que les Américains ne savaient pas à quoi cela servirait.

(...)

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Le mythe de la transition pacifique: Violence et politique en Espagne (1975-1982)
De Sophie Baby
(2013)

Aux côtés de Jean-Pierre Cherid, on cite José María Boccardo, un argentin de l'AAA.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Miguel_Be%C3%B1ar%C3%A1n_Orde%C3%B1ana

(...)  Argala est mort assassiné le 21 décembre 1978 par une bombe (...)  Dans les participants à l'attentat se trouvaient José María Boccardo, ancien membre de la Triple A, Jean-Pierre Cherid un ancien membre de l'OAS et Mario Ricci un néo-fasciste italien. (...)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alliance_anticommuniste_argentine

(...)  L'Alliance anticommuniste argentine (espagnol : Alianza Anticomunista Argentina, AAA ou Triple A) a été fondée par José López Rega, membre de la P2 de Licio Gelli. (...)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_L%C3%B3pez_Rega

Il faut rappeler que Licio Gelli était bien connu de Giulio Andreotti et de Stefano Delle  Chiaie.

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Propaganda Due
De Carlos Manfroni

(...)  Le leader influent de Perón, José López Rega, figurait en réalité sur les listes de la Propaganda Due sous le numéro d'ordre 591. (...)  Il y avait aussi Raúl Alberto Lastiri, le premier gendre de José López Rega, président de la Chambre des députés et, entre juillet et octobre 1973, président par intérim de la République argentine. Ils n'étaient pas les seuls Argentins dans la distribution. La liste des personnes enregistrées à Buenos Aires incluait le propre responsable de la franc-maçonnerie argentine, César de la Vega, juste dans une case précédant celle avec le nom de José López Rega, et aussi (...)  Alberto Juan Vignes, chancelier de l'Argentine de juillet 1973 à août 1975 (...)

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Il faudrait en discuter avec Bernard Mercier ...

Daniel Dekaise a parlé d'une "petite tapette marocaine".

Selon

https://en.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Cherid

Jean-Pierre Cherid était d'ascendance marocaine...