Nicolas Lebon

@Chronos

Que pensez vous de la piste Nicolas Le Bon. Je vous l'ai déjà demandé 2 fois. J'espère que vous répondrez cette fois-ci

Leonidas

@Michel Libert

Avez vous entendu parler ou connu Nicolas Le Bon (dans les années 80)?

Cordialement

Leonidas

Citation :

 '' Les enquêteurs des tueries n'ont ils pas ramené de suisse un élément qui rendait le suspect plus suspect ? ''  Gilbert Dupont  

 

Sortir ca des années après le prélèvement, ca fait un peu réchauffé histoire de vendre du papier. . .Et blablabla. . .L'ADN innocente  totalement ou non un suspect et pas à moitié.

Ce que nous connaissons de cet article fait franchement penser à la méthode de la CBW qui est de faire semblant de travailler au travers des médias.

La justice pour les victimes, ce n'est pas qu'un mot pour faire du fric, c'est une exigence!


Cordialement,

Lionel Ruth est convaincu que Nicolas Lebon cachait quelque chose mais pas les tueries du Brabant wallon. Un avis qui n'est pas unanime.

Peut-être une coincidence mais un certain Christian Lebon, grand banditisme, a été cité vaguement lors de l'axe filière boraine en lien avec Becker-Ghassoul. Un lien de parenté avec Nicolas?

Un lien, peut-être. Mais pas le père, Lebon étant le nom de sa mère.

Michel Ghassoul suspecté d'avoir participé à la tuerie de Nivelles.

Suspecté parce que le policier blessé au Colruyt de Nivelles aurait dit que l'un des tueurs portait le même type de barbe que Michel Ghassoul

Condamnés à 30 ans de réclusion pour Lebon et Mahieu
Christian Lebon, 56 ans en 2010.

Christian Lebon, 54 ans, qui a déjà passé plus de trente années de sa vie en prison, a été condamné à trente ans assortis d’une mise à disposition du gouvernement de 20 ans. A deux reprises, il avait écopé de la prison à perpétuité, mais certaines grâces lui avaient été accordées et ses peines s’en étaient vues diminuées.

Donc, à-priori, aucun lien. Un coup dans l'eau.

Et si l'on se fie à la façon dont l'intéressé orthographiait son nom sur son compte FB, c'était en deux mots, commençant par un "l" minuscule, avec "le", puis [espace] et "Bon".

En même temps on doit logiquement s'attendre à ce qu'un patronyme qui s'orthographie de la sorte soit très souvent retranscrit incorrectement, tout en désignant néanmoins la même personne...

Mais aussi, d'un autre côté, les gens modifient parfois, à dessein, l'orthographe de leur nom de famille sur Internet, par volonté de discrétion.

Jacques, dernier témoin de la piste suisse de la Tuerie du Brabant: "Nicolas Le Bon me disait qu’il avait fait des choses en Belgique"

https://www.dhnet.be/actu/faits/jacques-dernier-temoin-de-la-piste-suisse-de-la-tuerie-du-brabant-nicolas-le-bon-me-disait-qu-il-avait-fait-des-choses-en-belgique-5e8dfc9d7b50a6162b1075a2

Source : DH - Gilbert Dupont- Abonnés Publié le jeudi 09 avril 2020 à 09h33 - Mis à jour le jeudi 09 avril 2020 à 09h34

on peut y lire:

"Mais, le chef d’enquête Lionel Ruth s’étant fait débarquer début 2010..."

comme celle qui l'a accompagné en Suisse (ou réciproquement)...y auraient-ils trouvé (en Suisse), Lionel et Ruth, des confirmations à des doutes, dérangeantes pour certains?

Le dernier article de Gilbert Dupont en entier :

Jacques, dernier témoin de la piste suisse de la Tuerie du Brabant: "Nicolas Lebon me disait qu’il avait fait des choses en Belgique"

Dans l’affaire des tueries du Brabant, Jacques, qui vit à Phnom Penh, est le dernier témoin de la fameuse piste suisse ouverte par la profileuse Danièle Zucker.

Fin 2009, c’est la piste qu’on n’attendait plus dans l’enquête des tueries du Brabant. Les enquêteurs la nomment “la piste suisse”. Mais, le chef d’enquête Lionel Ruth s’étant fait débarquer début 2010, elle n’ira guère plus loin, en dépit des résultats, interpellants, nous dit-on, d’une expertise ADN effectuée à Gosselies par les laboratoires bio.be.

Cette piste suisse cible un Belge qui semble avoir quitté précipitamment la Belgique dans les années 1985 quand l’enquête commencé à s’intéresser à lui. Nicolas Lebon a pu passer des années sous les radars, jusqu’à ce qu’une profileuse, Danièle Zucker, ressorte la piste qu’on avait oubliée pendant vingt ans.

Sur commission rogatoire belge, Nicolas Lebon est entendu à deux reprise à Delémont (Suisse). Après quoi, lui qui menait une vie si tranquille quitte la Suisse pour s’établir en Chine, en Turquie puis au Cambodge, ou il a trouvé la mort fin 2013, emportant ses secrets, s’il en avait.

Lebon avait une compagne et le couple vivait à Phnom Penh chez un Français, Jacques: en quelque sorte “le dernier témoin”. Jacque a accepté de répondre.

Nicolas Lebon avait aussi une soeur qui travaillait dans un restaurant, l’Auberge du Chevalier, dont le concierge a été assassiné. Son meurtre est lié à celui, peu après, du chauffeur de taxi Angelou, et ainsi à la première vague des tueries du Brabant.

Pour la profileuse Danièle Zucker, des recoupements mènent à Nicolas Lebon. Ajoutons qu’en avril 2013, Lebon qui se trouve alors à Istanbul, poste un message sibyllin sur son mur Facebook: “je quittais la Belgique (…) pour fuir et aller nulle part. Je le quittais sans souci en espérant disparaître dans l’oubli”. “Fuir.”

Pour Jacques, son ami, qu’il a connu entre 2011 et 2013, “ne fuyait pas au sens ou on l’entend. Il ne fuyait ni quelqu’un ni quelque chose et ne se cachait pas. Il a toujours voyagé sous sa véritable identité.”

Jacques ne doute pas de l’authenticité du message Facebook. “C’est son style. Et quand vous me dites qu’il a réponde au commissaire belge venu l’auditionner en suisse qu’il jouait mail au poker, c’était là aussi tout à fait son style.”

Lebon n’a jamais parlé des tueries à Jacques, ni des soupçons qui ont pesé sur lui ni des enquêteurs belges qui l’ont interrogé en Suisse.

“Mais il m’a dit qu’il avait eu des problèmes en Belgique, qu’il avait fait deux à trois ans de prison et n’avait pas pu à cause de cela assister à la naissance de son premier fils (là, une incohérence, son fils aîné étant né en Suisse, pas en Belgique). Je n’ai jamais su pourquoi. C’était un terrain sensible. Selon lui, il avait quitté la Belgique parce qu’il valait mieux changer d’air pour se reconstruire. De ce qu’il disait, il s’était retrouvé à la rue étant jeune adolescent, et il avait fait des c…”

Venant d’Istanbul, quand il s’installe chez Jacques à Phnom Penh en juillet 2013, Nicolas Lebon a le projet d’ouvrir un restaurant. “C’était un fin cuisinier et aussi un très bon bricoleur. Il y a eu un fatalité. C’est le jour ou il avait finalement trouvé l’endroit ou ouvrir le restaurant qu’il a eu cet accident de moto.”

Pour Jacques, inutile de fantasmer sur les circonstances. Assise à l’arrière, la compagne s’est fait arracher son sac. “Les vols à l’arraché sont monnaie courante à Phnom Penh.”

Lebon s’est lancé à la poursuite des voleurs. Il a fini par les rattraper et a carrément foncé dans leur moto. Le Belge, qui a effectué un vol plané de “20 mètres”, est décédé à l’hôpital, après huit semaines de coma. Avec l’aide du consulat, sa compagne et Jacques ont voulu le rapatrier à Bruxelles ou il espéraient le sauver. Ils venaient juste d’obtenir le feu vert quand leur ami est mort, le 8 novembre 2013.
Cette réaction - foncer à moto sur une moto - témoigne d’une certaine violence: “C’était un nerveux, un sanguin. Nicolas pouvait dégager une certaine violence quand il était en danger ou pour protéger un proche. Mais une violence comme celle que vous décrivez (celle des tueries, celle de l’exécution de sang-froid, de plusieurs balles dans la tête, d’un concierge seul, âgé et sans défense), je sais par expérience que l’être humain est complexe, mais ça me surprend.”

Nicolas Lebon n’avait que 48 ans. Il ne s’attendait pas à cet accident. Selon Jacques, il n’a pas laissé d’écrits. Selon lui toujours, il n’avait plus aucune relation en Belgique, “même sa soeur, qui nous avons eu du mal à localiser”.

A supposer qu’il ait été mêlé aux tueries, Lebon, qui a dissimulé à son ami la raison des deux commissions rogatoires belges en Suisse, allait-il lui parler de l’Auberge du Chevalier? Il a évoqué son passé “de voyou” en Belgique. L’a-t-il édulcoré? “Il disait: ‘j’étais un petit voyou en Belgique.’ Quel genre de voyou? Il avait fait des choses illicites, ça, c’est sûr. Lesquelles? Jusqu’ou? Maintenant j’apprends cela, j’ai envie de savoir qui il était réellement. Mais, quoi qu’il ait fait, Nicolas était et reste mon ami.”

Né à Watermail-Boisfort le 25 novembre 1964, Nicolas Lebon a été incinéré à Phnom Penh.

Nous terminions nos précédents articles (La DH 19/03/2019 et 5/11/2019) avec cette question … que nous reposons: Nicolas Lebon, qui a grandi et vécu à Lembeek (ou un des véhicules servant aux braquages, la VW Santana, a été volé) était-il le bon?

Les résultats de l’analyse de l’ADN obtenus en 2009 par les laboratoires bio.be étaient-ils interpellants? Si oui, en quoi?

Il serait intéressant de retrouver la soeur Lebon. J'ose espérer que la Cbw a fait ce travail...

Merci pour l'article complet.

Encore un article décevant.. Un titre racolleur et un contenu banal. Ce journaliste n'est malheureusement pas un journaliste d''investigation. Dommage, sa collaboration avec Ponsaert était pourtant intéressante.
La dernière fois, il nous annonçait un scoop avec l'ADN et puis psssccchttt.

Allez, il a le mérite de rappeller quand même 2 ou 3 choses importantes qu'on connaissait déjà: NLB avait 21 ans en 1985, un peu trop jeune pour correspondre au tueur mais rien n'empêche qu'il aie eu des liens avec la bande.
Rien sur le fait que NLB aie perdu 2 doigts dans un accident avant son départ?

Autre précision. J'en ai déjà parlé: En 2009, (si mes souvenirs sont bons; c'était avant la présentation du dernier mensonge), lors de vacances en Thaïlande, j'ai par hasard pris un verre avec un membre bien connu de ce forum (sans savoir qui il était) en compagnie d'un certain Jacques, un français résidant à Phnom Phen.

Je ne sais pas s'il s'agit du même individu. Probablement pas, mais dans le doute.... (des français, au Cambodge il y en a des tas et Jacques est un nom courant). A la lecture de l'article je vois que Jacques a connu Le Bon en 2011 donc ma question à NRB n'a évidemment plus aucun sens.

"Jacques" est un prénom d'emprunt...

https://www.dhnet.be/actu/faits/tueries-du-brabant-nicolas-le-bon-la-piste-suisse-etait-a-chaque-fois-en-liberte-5ea1c7a99978e21833c2c2ac
Encore un article, mais j.imagine encore sans révélation...

on retrouve sur le forum une autre Lebon (?)

mis par HERVE
Sujet: Re: Douglas MacArthur II - Page 3 28 Avr 2012 - 9:22

Chez EIM, il faut aussi citer Marcel Barbier et Marie-Thérèse Lebon.
(...)
Quant à Marie-Thérèse Lebon, elle travaillait à l'EIM et elle avait des contacts avec Jean Bougerol : PIO, PDG (Inforep) ...

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2338p50-douglas-macarthur-ii

on la retrouve aussi en page 13 du sujet michel,libert

Vanheuv a écrit:

on retrouve sur le forum une autre Lebon (?)

mis par HERVE
Sujet: Re:    Douglas MacArthur II - Page 3   28 Avr 2012 - 9:22

Chez EIM, il faut aussi citer Marcel Barbier et Marie-Thérèse Lebon.
(...)
Quant à Marie-Thérèse Lebon, elle travaillait à l'EIM et elle avait des contacts avec Jean Bougerol : PIO, PDG (Inforep) ...

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2338p50-douglas-macarthur-ii

on la retrouve aussi en page 13 du sujet michel,libert

Ne voyons pas des "Lebon" partout....c'est Marie Thérèse Legon...

oui sans doute d ailleurs m libert écrit legon en dessous de ce passage ,
je pensais qu il avait fait une faute .



https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1299p300-libert-michel

dh - les sports+
09/02/2022 www.dh.be




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Très bien, mais à quel P.R. correspondrait-il ? Il avait quand même un faciès assez particulier à l'époque des Tueries ce N.L.

totor a écrit:

Très bien, mais à quel P.R. correspondrait-il ? Il avait quand même un faciès assez particulier à l'époque des Tueries ce N.L.

Peut-être à aucun s'il a :
- participé à un un ou plusieurs faits
- pour lesquels aucun P-R n'a été établi .

Il semblerait qu'une prise ADN a été faite sur NL et que son ADN méritait de continuer à enquêter sur lui.