Marcel Habran

Nombre de messages : 276 Date d'inscription : 08/03/2007

Simplement une petite remarque au sujet du professionnalisme de certains policiers. Ce soir lors de l'émission Faits Divers sur Bel Rtl de 19h00 à 20h00, un commissaire divisionnaire de Liège s'est amené déguisé avec un masque de Marcel Habran.
Avec une mentalité pareille que doit-on penser lorsque ces personnes dirigent une enquête judiciaire.

Sujet: Re: Marcel Habran Lun 8 Mar 2010 - 16:26

Un livre sur Marcel Habran menacé d'interdiction

BELGA

Mis en ligne le 08/03/2010 Un livre consacré à Marcel Habran, qui doit paraître prochainement aux Editions de l'Arbre sous le titre "Marcel Habran, la saga du grand banditisme en Belgique", est menacé d'interdiction de parution par Marcel Habran et ses avocats qui ont informé l'auteur, le journaliste Nicolas Gimenne, de leur intention.

Marcel Habran a été condamné à Liège en mars 2009 à 15 ans de réclusion criminelle et à une mise à la disposition du gouvernement pendant 20 ans, pour l'attaque d'un fourgon à Waremme, et pour avoir été le dirigeant d'une organisation criminelle. Il a introduit un pourvoi à la cour de cassation, qui a cassé l'arrêt pour manque de motivation. Le dossier sera rejugé à Nivelles en avril.
Le livre aurait dû sortir pendant la Foire du Livre de Bruxelles. Mais l'auteur et l'éditrice ont été informés que Marcel Habran et ses avocats voulaient faire interdire la publication. Ils ont reçu des mises en garde faisant état de "contrôle", de "vérification", et de "procédure".
L'éditrice et l'auteur jugent cette manoeuvre "scandaleuse". "En tant que journaliste, il m'est difficile d'accepter toute idée de censure. D'autant que Marcel Habran a communiqué avec moi pendant 9 ans sur le dossier et a accordé des interviews, même télévisées. Il doit s'agir d'une stratégie de maîtrise de la communication de la part de ses avocats avant le deuxième procès", a remarqué Nicolas Gimenne, précisant que la présomption d'innocence est respectée dans l'ouvrage.
Aucune décision quant à la parution n'a encore été prise par l'éditrice.

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"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)

Nombre de messages : 2473 Date d'inscription : 08/04/2007

Cela peut se comprendre, ce livre aurait surement un fort impact médiatique et l'on parlerait encore une fois de procès Habran alors que les assises de Liége ont démontré que Marcel Habran était l'un des inculpés le moins accusé.

Nivelles

Rédaction en ligne
vendredi 02 avril 2010, 08:16

Le procès dit « Habran Bis » débutera ce vendredi devant la cour d’assises à Nivelles. Marcel Habran, Thierry Dalem, Giuseppe Rosato et Anouar Bennane seront rejugés.

Le Soir (Dominique Duchesnes)
Le procès dit « Habran Bis » débutera ce vendredi devant la cour d’assises à Nivelles. Outre Marcel Habran, trois autres accusés – Thierry Dalem, Giuseppe Rosato et Anouar Bennane – seront rejugés pour des faits qui avaient fait l’objet d’un premier procès devant la cour d’assises de Liège. Le premier jour sera uniquement consacré à la constitution du jury. Le procès reprendra ensuite, après une interruption durant les congés de Pâques, le lundi 19 avril.

Au terme du procès à Liège, les quatre accusés précités (sur 11 initiaux, dont deux ont été acquittés) avaient introduit un pourvoi en cassation en raison du fait que le verdict n’avait pas été motivé.

Le 30 septembre 2009, la Cour de cassation les avait suivis et cassé leur condamnation. D’abord prévu à Bruxelles, le second procès d’assises a finalement été renvoyé à Nivelles (mais avec un jury bruxellois).

Deux volets seront jugés. D’une part, des attaques de fourgons (Habran et Dalem sont concernés) et d’autre part, des assassinats dans le « milieu » liégeois (Rosato et Bennane sont concernés).

Marcel Habran devra répondre de l’attaque d’un fourgon de la Brinks, le 12 janvier 1998 à Waremme, mais sans la circonstance aggravante d’homicide. Deux convoyeurs avaient été tués. Il est aussi accusé d’être le dirigeant d’une organisation criminelle.

Thierry Dalem devra aussi répondre de l’attaque de Waremme (avec circonstance aggravante de double homicide) mais aussi d’autres : attaque d’un fourgon postal le 19 décembre 1996 à Dison ; recel d’un véhicule ayant servi pour un hold-up contre le bureau de poste de Braives le 4 décembre 1998 ; attaque d’un fourgon sur l’aéroport de Findel, au Luxembourg, le 9 octobre 2000.

Le volet assassinat ne concerne que les accusés Giuseppe Rosato et Anouar Bennane. Le parquet fédéral a toutefois décidé de lier l’ensemble des dossiers, y voyant des connexions. Le procès concernera donc aussi les assassinats d’Onofrio Cacciatore (Rosato et Bennane doivent en répondre), de Francesco Vella (seul Rosato est accusé), de Georges Hardy (Rosato et Bennane) et de Mario Tomasi (Rosato et Bennane).

À l’issue du procès à Liège, Marcel Habran avait été condamné à 15 ans de prison auquel s’ajoutait une mise à disposition du gouvernement durant 20 ans. Thierry Dalem avait écopé de 30 ans de prison.

Giuseppe Rosato et Anouar Bennane avaient, eux, été condamnés à la perpétuité.

Suite à la décision de cassation, tous bénéficient à nouveau de la présomption d’innocence pour les faits jugés.

À l’ouverture du procès, la Cour pourrait entendre les éventuelles demandes de disjonction des causes formulées par la défense. Marcel Habran et Thierry Dalem demanderaient à être jugés dans un procès distinct de celui de Giuseppe Rosato et d’Anouar Bennane. Un premier calendrier fixe la durée du procès jusque fin juin. (D’après Belga)

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Habran en grève de la faim au finish (03/04/2010)
EPA
Le procès bis de Marcel Habran et consorts s’est ouvert vendredi matin devant la cour d’assises de Nivelles

NIVELLES La première matinée a été consacrée uniquement à la constitution du jury qui a été dédoublé en raison de la durée du procès, prévu pour durer jusqu’en juillet.

La reprise des débats est fixée au lundi 19 avril après les vacances de Pâques. L’autre info d’hier est que Marcel Habran, détenu à la prison de Forest, s’est mis en grève de la faim au finish depuis jeudi soir. En cause, des promesses qui lui avaient été faites par la direction pénitentiaire et n’ont pas été tenues.

Ainsi, Habran ne peut pas garder sa machine à écrire en cellule alors qu’il a toujours besoin d’écrire, notamment en relation avec son dossier judiciaire qu’il consulte sans cesse. Autre plainte du détenu, il ne peut pas disposer de son percolateur comme on l’aurait promis à ce grand buveur de café !

Enfin, il n’a pas accès au préau et n’a pu emporter ses baskets, lui qui est un pratiquant acharné de la course à pied en dépit de ses 77 ans et ne conçoit pas une journée en prison sans courir plusieurs dizaines de tours de préau. Marcel Habran promet d’aller jusqu’au bout de son action et, si besoin, de passer à la grève de la soif dès mardi.
Gil.
La Dernière Heure 2010

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Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009

Jusqu'où la mesquinerie peut aller se fourrer, c'est à peine croyable !... Comme si, si Habran voulait se faire la belle, une paire de baskets était la condition siné qua non d'une évasion réussie.

Décidément, les comiques troupiers qui ont l'impudence de s'identifier à une parcelle de LA Justice n'en sont pas à une démonstration de ridicule prés !

Pitoyable !

Nombre de messages : 2473 Date d'inscription : 08/04/2007

Ce qui pour moi est incroyable, c'est que Marcel Habran soit enfermé pendant son procès alors qu'il est libre depuis l'arrêt de cassation et qu'il était encore libre avant le procès liégeois.
Marcel Habran n'a jamais fait faux bond aux diverses convocations de la justice mais il faut bien ancrer dans l'esprit des jurés qu'il est toujours dangereux.
Croyez-vous qu'à 77 ans, le gaillard aurait des idées de cavale ?

Procès Habran: les affirmations du témoin protégé Cerri niées (26/04/2010)
Photonews
Cerri, dont le témoignage devant la cour d'assises est prévu le 5 mai, explique avoir obtenu des détails sur Waremme via Michel Anthemus

NIVELLES Le truand Michel Anthemus a nié, lundi devant la cour d'assises, au procès Habran et consorts bis, avoir fait des confidences au témoin protégé Rolando Cerri. Les enquêtes sur les différents dossiers ont, pourtant, notamment été guidée par les informations fournies par Cerri à la justice. Concernant le volet de l'attaque du fourgon de la Brink's à Waremme, le nom de Michel Anthemus avait été cité par le témoin protégé. Selon lui, Anthemus aurait fait partie du projet initial de cette attaque de fourgon avant de s'en retirer.

Les deux hommes, gravitant dans le milieu du banditisme, ont été en relation durant près de quinze ans et ont notamment été incarcérés en même temps, en 2000, à la prison de Verviers. Mais Anthemus a encore nié avec force avoir fait de quelconques révélations.
"Cerri a trouvé un feuilleton à raconter", s'est exclamé Michel Anthemus lundi devant la cour d'assises. Anthemus, apprenant que son nom était cité pour Waremme (et ce par un autre témoin protégé, Didier Singleton, aujourd'hui décédé) avait pris contact avec la justice pour clamer son innocence avant même d'être contacté. L'enquête au aussi révélé que l'après-midi de l'attaque de Waremme, Michel Anthemus s'était rendu à Liège, avec une voiture louée à Paris.

Mais ce, selon ses confidences, afin d'y voir une maitresse. "J'avais entendu que l'on parlait de l'attaque à la radio et vu mon passé, j'avais peur que l'on me suspecte. Je n'ai rien à voir avec Waremme sinon je ne serais pas venu en Belgique le 12 janvier", a aussi souligné Michel Anthemus.
Rolando Cerri a également affirmé qu'Anthemus avait effectué des repérages de fourgons sur l'E40. "J'avais l'habitude de m'arrêter sur l'autoroute à Waremme sur le chemin de Paris. J'ai juste observé le passage des camions mais par jeu", a encore précisé, lundi, l'intéressé.

Michel Anthemus a aussi souligné ne pas connaitre Marcel Habran. Quant à Thierry Dalem, Michel Anthemus explique l'avoir rencontré à deux reprises: à la prison de Verviers où il lui a été présenté par Cerri; et à une seconde reprise, par hasard, à Paris alors que Cerri et Dalem étaient montés dans la capitale française afin d'y acheter du matériel de communication dans le milieu des discothèques.

Pour expliquer cette discordance, Michel Anthemus en déduit que l'argent a guidé Rolando Cerri dans ses affirmations à la justice.
"Cerri est un témoin protégé donc rémunéré" a-t-il affirmé en conclusion de son témoignage.

A la suite de ces déclarations, l'avocat de Marcel Habran, Me Laurent Kennes, a suggéré d'organiser une confrontation entre Rolando Cerri et Michel Anthemus en audience publique au cours du procès (cela avait été le cas lors du premier procès à Liège). Le président Luc Maes a répondu que cette possibilité pourrait être examinée lors du témoignage de Rolando Cerri devant la cour d'assises.
Le procès doit se poursuivre lundi après-midi avec le témoignages de proches de Marcel Habran.

La Dernière Heure 2010

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Procès Habran & Cie bis: des victimes "seules face à la justice" (27/04/2010)
BELGA
"Nous somme victimes trois fois. La première lors des faits, la deuxième lors du procès à Liège. Et désormais tout recommence ici..."

NIVELLES Les proches des deux convoyeurs de la Brink's tués dans l'attaque du fourgon de Waremme en 1998, Koen Meirens et Benny Demeester, entendus mardi matin au procès Habran et consorts bis, ont exprimé leur désarroi face au fonctionnement de la justice. Bien que parties civiles, ils ne sont plus représentés par un avocat devant la cour d'assises de Bruxelles. Les veuves des deux convoyeurs tués, ainsi que le fils de Benny Demeester, n'entrent pas dans les conditions pour bénéficier d'un avocat "pro deo".

"Nous somme victimes trois fois. La première lors des faits, la deuxième lors du procès à Liège. Et désormais tout recommence ici et nous ne l'avons pas demandé", a exprimé la veuve de Benny Demeester devant la cour d'assises de Bruxelles, délocalisée à Nivelles.

"Nous avons bien reçu une proposition d'avocat mais les honoraires s'élèveraient à 20.000 euros et nous n'en avons pas les moyens. J'ai surfé sur internet pour obtenir des informations et via le service d'aide aux victimes, nous avons pu avoir un soutien juridique. Pour le reste, nous devons attendre. J'espère que justice se fera", a, pour sa part, confié le fils du convoyeur.

Le président Luc Maes a, lui-même, fait part d'une particularité à la suite de ces déclarations de victimes. "La loi est curieusement faite. Elle prévoit qu'un accusé doit être assisté d'un avocat et que s'il n'en a pas, le président doit en désigner un. Mais la loi ne prévoit pas que le président puisse en désigner un pour les victimes devant quelque juridiction, y compris donc devant une cour d'assises. Pour les parties civiles, la tâche est souvent difficile", a relevé le magistrat.

La veuve de Koen Meirens, l'autre convoyeur tué, a, elle, décidé de se constituer partie civile au nom de son fils âgé aujourd'hui de 14 ans. Cette constitution n'avait pas été faite lors du premier procès à Liège. Le président Maes a, dès lors, laissé entendre qu'un avocat pourrait être désigné vu que le fils du convoyeur tué est toujours mineur. Mais après renseignements pris lors d'une interruption d'audience, il est apparu que ceci était était impossible pour des raisons techniques de droit. "Profitez des élections pour voter pour des gens qui veilleront aux intérêts des parties civiles", a déclaré le président en expliquant cette conclusion aux proches des deux convoyeurs.

La partie du procès, consacrée exclusivement à l'attaque de fourgon de Waremme, doit normalement se terminer mardi après-midi.
La Dernière Heure 2010

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Procès Habran & Cie bis: tentative d'enlèvement de l'épouse d'Habran ? (30/04/2010)

BELGA
Chams Djeridi aurait tenté d'enlever l'épouse de Marcel Habran alors qu'elle était seule à Bruxelles

BRUXELLES La cour d'assises de Bruxelles, qui siège à Nivelles, a poursuivi, vendredi, l'examen des agissements suspects de Marcel Habran au complexe Auchan à Luxembourg en juin 2000. Marcel Habran est suspecté d'avoir observé, avec le nommé Cesare Bruzzese, le mouvement d'un fourgon.

La juge d'instruction liégeoise Coelst et les enquêteurs de la PJ de Liège ont présenté les faits. La présentation a repris dans les grandes lignes les éléments évoqués la veille par leurs homologues luxembourgeois.

Un élément connexe à ce volet a aussi été détaillé: une potentielle tentative d'enlèvement de l'épouse de Marcel Habran.

Le nom d'un certain Chams Djeridi, condamné par ailleurs dans le dossier de l'assassinat du libraire bruxellois Bouchaïb Ibork, intervient dans cette affaire.

Djeridi était l'indicateur d'un commissaire de police belge, Gérard Seront, et aurait reçu des informations, par l'intermédiaire de ce dernier, sur les mesures d'observation en place sur Marcel Habran. Des fuites qui auraient mis un terme à tout projet d'attaque.

Marcel Habran et son épouse expliquent que Djeridi s'est présenté, grimé, à l'appartement bruxellois du couple, le 18 juin 2000 en fin de soirée, soit le lendemain des agissements suspects de Marcel Habran au complexe Auchan.

Marcel Habran se trouvait alors dans sa propriété de Matton en France. Djeridi aurait tenté d'enlever l'épouse de Marcel Habran alors qu'elle était seule à Bruxelles, tout en dévoilant, entre-autres, qu'une caméra de surveillance avait été placée devant leur domicile. Les images enregistrées de l'incursion de Djeridi au domicile du couple Habran ont été analysées par des enquêteurs.

« Les mouvements ne donnaient pas l'impression de violence et de contrainte. Djeridi avançait même à reculons, ce qui serait étonnant dans une tentative d'enlèvement », a relevé vendredi le commissaire Jean-Claude Tahir, de la police judiciaire fédérale de Liège.

Trois jours plus tard, Chams Djeridi sera arrêté dans le cadre du dossier de la disparition du libraire Bouchaïb Ibork.

Des notes relatives aux faits d'Auchan seront trouvées dans un box de garage utilisé par Djeridi. Le commissaire Seront reconnaîtra avoir donné des informations à son indicateur et sera condamné pour cela.

Cet hypothétique projet d'enlèvement de l'épouse de Marcel Habran devait être évoqué vendredi après-midi, avec l'audition de divers protagonistes.

Chams Djeridi a signifié son refus de comparaître comme témoin. Le président Luc Maes a rédigé un mandat d'amener à son égard.
La Dernière Heure 2010

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Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 17/05/2010

il merites tous perpete et c est tout ils n ont que ce qu il merite surtout des enculé comme rosato benane pierrin marechal .....qu il creve

Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 28/10/2008

cher vince, avez vous aussi des arguments pour vos propos assez... forts ?

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 17/05/2010

j ai lu tout ce qui s ai dit les pages precedente et je suis tout a fait d accord avec kilukru ........que ca soit habran dalem rosato benane etc ...c est des alibi bidon ...........le fait de revenir tres vite du luxembourg a fleron.............habran qui fait son cinema avec sa facture proximus alors qu il aurai tres bien pu donner son telephone a quelqu un d autres comme n importe quel gamin l aurai fait donc je ne vois pas en quoi c est une preuve ..........ou encore rosato qui se presente au commisariat du thier a liege pour declaré son pit bull quelques minutes apres l assasinat de tomasi alors que le commissariat se trouve a quelque minutes egalement ......tout ca ne sont pas des preuves d innocence mais plus tot de culpabilité ......ils ont cru bien faire mais faut vraiment etre con pour croire qu ont va enrouler tout le monde avec des alibi qui tiennent pas la route ..........donc maintenant qu il assume et puis c est tout .....vous savez des personnages qui sont coupable de 3,4,5,..meurtres ou plus ....ils n ont qu une chose c est crevé en prison

Vince,

Je comprends que vous puissiez être en colère mais essayez d'utiliser un ton un peu plus consensuel. Merci.

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Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 17/05/2010

consensuel ?!..... je voi pas de quoi vous parlez je ne prend aucun ton je m exprime c est tout

Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009

En Flandres on évoque (parait-il) la possibilité de restaurer la peine de mort... Chouette ! On a déjà trouvé l'officiant aussi dépourvu de doutes que de trouble de conscience ! Marcel Habran - Page 25 Icon_biggrin

Il serait curieux de voir la réaction de certaines personnes si elles devaient appeler "papa" ou "maman" un ... INCULPE !

Le procès Habran et consort bis reprend mercredi à Nivelles
Mis en ligne le 31/08/2010

Les plaidoiries, réquisitoire, délibération sur la culpabilité et éventuel débat sur la peine devraient encore s'étaler sur le mois de septembre.
Le procès dit "Habran et consorts bis" reprend ce mercredi devant la cour d'assises de Bruxelles délocalisée à Nivelles, avec le début des plaidoiries.

Le procès avait été suspendu pour les deux mois d'été. Outre Marcel Habran, trois autres accusés - Thierry Dalem, Giuseppe Rosato et Anouar Bennane - sont rejugés pour des faits qui avaient fait l'objet d'un premier procès devant la cour d'assises de Liège. Ce second procès s'est ouvert à Nivelles le 2 avril dernier.

Marcel Habran doit répondre de l'attaque d'un fourgon de la Brink's, le 12 janvier 1998 à Waremme, mais sans la circonstance aggravante d'homicide. Deux convoyeurs avaient été tués. Il est aussi accusé d'être le dirigeant d'une organisation criminelle.

Thierry Dalem doit aussi répondre de l'attaque de Waremme (avec la circonstance aggravante de double homicide) mais également de l'attaque d'un fourgon postal le 19 décembre 1996 à Dison et de l'attaque d'un fourgon sur le tarmac de l'aéroport de Findel, au Luxembourg, le 9 octobre 2000.

Le "volet assassinat" ne concerne que les accusés Giuseppe Rosato et Anouar Bennane. Le parquet fédéral a toutefois décidé de lier l'ensemble des dossiers, y voyant des connexions. Ce procès concerne donc aussi les assassinats d'Onofrio Cacciatore (Rosato et Bennane doivent en répondre), de Francesco Vella (pour lequel seul Rosato est accusé), de Georges Hardy (Rosato et Bennane) et de Mario Tomasi (Rosato et Bennane).A l'issue du procès à Liège, Marcel Habran avait été condamné à une peine de 15 ans de prison à laquelle s'ajoutait une mise à disposition du gouvernement durant 20 ans. Thierry Dalem avait écopé de 30 ans de prison. Giuseppe Rosato et Anouar Bennane avaient, eux, été condamnés à la perpétuité. Les quatre accusés se disent tous innocents des faits qui leur sont reprochés.

Selon le calendrier initial, ce second procès, à Nivelles, aurait normalement dû se terminer avant l'été. Mais les audiences avaient été suspendues durant deux semaines, fin mai/début juin, en raison de l'absence pour motif médical d'une magistrate de la cour. La juge assesseur Sophie Demars avait dû être hospitalisée d'urgence pour une crise d'appendicite.

Aucune mesure n'avait été prise pour veiller au remplacement d'un magistrat de la cour en pareille circonstance. Avant l'été, les avocats des différents accusés avaient aussi plaidé l'irrecevabilité des poursuites. La cour n'avait toutefois pas accédé à leur demande.

Les plaidoiries, réquisitoire, délibération sur la culpabilité et éventuel débat sur la peine devraient encore s'étaler sur le mois de septembre.

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Je suis étonné de voir tout le monde condamner cet homme avant même la prononciation de son jugement, il faut croire que le belge avale tout ce que la presse lui donne à manger.

Personne ne connaît les faits et tout le monde le condamne coupable. Sur quel base ?
Personne ne s'est jamais demandé si sa version était la bonne ? Pourquoi, parce qu'il n'a pas de crédibilité à cause de son pédigrée ?

La justice pourrie, ça existe dans les deux sens. Les enquêteurs qui s'acharnent pour trouver un coupable, à la demande d'un supérieur, d'un juge d'instruction, de leur propre rancune ou d'autres facteurs (argent, ...), ça existe !

Je dis rarement ça d'un truand et peu importe ce qu'on en pensera mais je trouve qu'à son âge et le temps qu'il a passé en taule ou en préventive, il mérite de prendre sa retraite auprès de sa famille.

C'est certainement le dernier truand de Belgique à respecter encore certaines valeurs ou tout du moins certains principes, à rechercher l'argent facile mais toujours en privilégiant l'illégalité à l'immoralité.
Le genre de truands rival des flics où une certaine forme de respect mutuel difficile à comprendre influe les actions des 2 partis.

Aujourd'hui ça n'existe plus, ou peut-être pour 5% à tout casser des truands et un petit peu plus chez les flics ...

Nombre de messages : 2473 Date d'inscription : 08/04/2007

Ce qui me choque surtout, c'est la différence de publicité entre les deux procès, autant, le 1° avait eu un retentissement médiatique hors du commun, autant le second se joue pratiquement dans l'intimité.
J'ai bien sur la réponse, le premier devait redorer le blason de la justice liégeoise, la publicité de la presse complice servait à rafraichir la mémoire des jurés.
Nous avons tout eu dans ce procès, des faux témoignages, des confrontations mais la presse ne mettait jamais en exergue que les prouesses du ministère public, jamais lorsque celui-ci se retrouvait dans les cordes.
Sait-on encore que Marcel Habran n'était accusé que des faits de Findel, de Waremme et d'organisation criminelle, ce qui va de soi s'il était accusé des deux premiers et pourtant, le procès portait son nom, sait-on aussi que Marcel Habran était libre avant la tenue de son procès, ce qui en dit long sur sa prétendue dangerosité.
Autre exemple, une autre accusé, Thierry Dalem était accusé d'une quinzaine de fait, il a été acquitté pour 11 et pourtant son avocat principal( celui qui était là tous les jours) était débutant.
Mais cela, la presse n'en a pratiquement jamais parlé.

Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009

Ce qui m'hallucine complêtement, moi, c'est que des gens sensés, intelligents, instruits de façon satisfaisantes puissent encore croire à ces poncifs carrément absurdes brandis par nos institutions comme des étendards honorifiques... les politiques qui bossent pour le bien de la communauté (quand ? Sur les W.C ?)... l'honneur de la justice ( ah ouais !... quand on lui permet d'être "du siège" ou "debout", et pas généralement couchée aux pieds des dispensateurs de médailles et de promotions; les premiers cités !)... l'intégrité des forces de l'ordre (ou de l'armée) automatiquement à la botte du pouvoir.

C'est d'une débilité confondante !... Des milliers d'exemples criants, hurlants, nous démontrent au quotidien que tout celà n'est qu'une sinistre farce faute de réel "pouvoir du peuple", de contrôle des abus de pouvoir ignominieux dans une démocratie qui se respecteraient effectivement... de sanctions effectives contre ces rapaces institutionnalisés qui nous inondent du vomi de leurs mensonges.

Le presse fabriquà la demande un coupable abominable avec un innocent... ou exactement le contraire... selon les ordres qu'elle recevra le cas échéant lors d'affaires dites "sensibles"... et c'est valable en tous pays, qu'ils soient dictatoriaux ou présumés "démocratiques"... Qui donc ignore encore que les magistrats sont nommés par les politiques ? Que leur devoir de réserve est une plaisanterie accessoire à côté de leur "obligations de reconnaissances".. qu'une "belle carrière" dépend plus du carnet d'adresses qu'une quelconque connaissance des codes pénaux éventuellement ouverts un jour !

Les journalistes ?... Que pèsent les courageux Albert Londres face au comité d'édition... aux menaces de privation d'informations... voire de redressements fiscaux après enquêtes transformant le harcèlement en exercice de yoga ?

Lorsqu'il y a "gros procès"... cherchez donc dans l'actualité politique ce qu'il y a à cacher, à occulter, à étouffer... Ce type d'abonnement est quotidien... valable en tous pays ! Suffit juste d'ouvrir les yeux en se disant que le pire n'est rien à côté de la banale vérité.

Sujet: Re: Marcel Habran Jeu 2 Sep 2010 - 17:31

Procès Habran & Cie bis: le procureur évoque un système mafieux (02/09/2010)

"Nous sommes face à des hommes pratiquant la religion du silence. Dans ce milieu-là, on ne parle pas et on ne passe pas aux aveux" a déclaré le procureur

NIVELLES Le procureur fédéral Michel Yernaux a évoqué jeudi devant la cour d'assises de Bruxelles, siégeant à Nivelles, au procès Habran et consorts bis, une loi du silence digne de l'"omerta de la mafia" pour décrire le système dans lequel les accusés ont évolué.

Dans ce second procès, des faits de grand banditisme sont jugés d'une part, dont l'attaque mortelle d'un fourgon de la Brink's le 12 janvier 1998 (Marcel Habran et Thierry Dalem doivent en répondre); et quatre assassinats d'autre part (Giuseppe Rosato et Anouar Bennane en sont accusés). Malgré ces deux volets distincts, l'accusation estime qu'ils sont reliés dans un système de criminalité organisée liant tous les accusés. "Habran et Dalem comme dirigeants, Rosato et Bennane comme exécutants", estime l'accusation.

"Nous sommes face à des hommes pratiquant la religion du silence. Dans ce milieu-là, on ne parle pas et on ne passe pas aux aveux", a lancé jeudi le procureur Yernaux. "Celui qui parle est abattu", a-t-il aussi dit, évoquant les assassinats d'Onofrio Cacciatore et de Georges Hardy, parce qu'ils auraient été des "balances"; ou la crainte d'être éliminé du témoin protégé Rolando Cerri (dont les confidences à la justice ont amené à l'interpellation de Marcel Habran et de Thierry Dalem).

"Nous sommes aussi face à des hommes rompus à la dissimulation. Tout est fait pour ne laisser aucune trace", a scandé le procureur Yernaux, soulignant un manque d'état d'âme chez les auteurs. "On crée de fausses pistes, on demande à d'autres d'utiliser son GSM, on brûle les véhicules, on se crée des alibis".
Face au manque d'éléments matériels, le procureur a aussi demandé aux jurés de faire confiance aux témoignages; dont ceux des témoins protégés, bien que ceux-ci soient critiqués par la défense.

Le procureur a également évoqué la lourdeur du dossier "A force d'être plongé dans le dossier, on en vient en quelque sorte à banaliser les faits. Waremme devient une date et un fait. L'image des convoyeurs tués s'estompe, d'autant plus qu'aucun avocat n'est encore là pour perpétuer leur souvenir", a-t-il regretté. "Mais nous jugeons bien ici deux meurtres. Des hommes ont été abattus comme des chiens dans une cage."

Marcel Habran doit uniquement répondre de cette attaque de fourgon mais sans la circonstance aggravante de double homicide. L'accusé est toutefois en complète dénégation "M. Habran peut être vu comme un bon papy mais il s'agit d'une personne continuant à laisser subsister de la crainte, y compris chez M. Dalem", a estimé le procureur. M. Yernaux a enfin relevé que Marcel Habran, en 1972, alors qu'il devait répondre d'un vol avec violences similaire, s'était dit "innocent et amnésique" pour ne pas fournir d'explications.

"Ses réponses, ici au procès, ont toujours été fuyantes", a regretté le procureur. Et d'ajouter " Nous parlons ici d'un psychopathe, à savoir une personne avec une capacité de manipulation et une absence de tout remord. Cet homme n'a pas changé depuis 1972 : un psychopathe qui fait peur". Après cette introduction relative à la criminalité organisée, les trois magistrats du ministère public vont s'attacher à tenter de prouver méthodiquement la culpabilité des accusés dans les faits qui leur sont reprochés. Les réquisitions vont s'étaler jusque lundi.
© La Dernière Heure 2010

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Et voilà, c'est bien ce que je disais, ce procès bis était pratiquement oublié mais comme la parole est donnée au ministère public, la presse se rappelle que cela peut faire l'objet d'un article.

Sujet: Re: Marcel Habran Jeu 2 Sep 2010 - 19:36

michel a écrit:: [b]

"Nous sommes face à des hommes pratiquant la religion du silence. Dans ce milieu-là, on ne parle pas et on ne passe pas aux aveux" a déclaré le procureur

Une phrase qui pourrait s'appliquer aux TBW?

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"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)

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A coup sur, Michel !

Mais encore plus certainement à la mafia épiscopale dont les exentricités du pal sont on ne peut plus protégées par ces trublions en habits cardinalesques, ou carnavalesques, qui tentent de nous vendre de la "morale" pré-compressée afin de convaincre le quidam lambda qu'une "justice" existe réellement !

Entre un Habran en liberté et un Dutroux restitué aux réseaux hautement protégés... le connard de contribuable préfèrerait qui ?... C'est la question que devraient poser les avocats de la "défiance"... Car c'est la question fondamentale à laquelle le peuple, les parents, sont en droit d'exiger réponse... Que l'on colle Daneels à la place d'Habran, et le procureur investit le premier trou de souris, de cafard venu à la vitesse d'un missile !

Habran a-t-il couvert 475 faits de pédophilie ?... Habran a-t-il seulement levé la main sur un enfant ?... Alors les pignouffes qui s'imposent en défenseurs intransigeants des vertus seraient bien inspirés de se regarder dans une glace pour répondre à la question... "Mes gesticulations Fouquier-Tinvilesques pourront-elles parvenir à détourner de l'attention du public des atrocités autrement plus angoissantes pour la société que des histoires de fric mal acquis... manne incontournable et généralisée de nos systèmes politiques démo-crasse-tics ?".

Qu'Habran mérite proçès... sais pas ; je ne possède pas le dossier ! Mais sûrement... il était "debout"... pas "aux ordres"... ou "couché".

Le "méga proçès d'Habran" sert-il à faire oublier d'autres sujets de préoccupation autrement plus grâves, car concernant directement le devenir de nos enfant livrés à un système pataugeant dans la plus extrême pourriture... qui donc a besoin d'un dossier pour se forger une opinion tout ce qu'il y a de plus légitime ?

Sujet: Re: Marcel Habran Jeu 2 Sep 2010 - 20:37

michel a écrit:

michel a écrit:: [b]

"Nous sommes face à des hommes pratiquant la religion du silence. Dans ce milieu-là, on ne parle pas et on ne passe pas aux aveux" a déclaré le procureur

Une phrase qui pourrait s'appliquer aux TBW?

Les truands qui ne parlent pas, c'est parce qu'ils ne savent pas ou que ça leur nuira (dans 95% des cas).
La loi du silence c'est de la mythologie, tout le monde balance tout le monde dans le milieu du banditisme.

Habran & Cie représentent l'exception qui confirment la règle, ceux d'une autre époque où en effet une certaine partie du milieu (qui n'existe plus vraiment aujourd'hui) s'accordait encore certains principes, dont celui de ne pas balancer ses complices.
Mais les truands de cette catégorie n'abattent pas des innocents sur un parking et ne tirent pas pour des flics.
Alors non, je ne pense pas que cette phrase s'applique aux TBW.

Ceci dit, ça ne veut pas dire non plus que personne ne sait rien, même si ça m'étonnerait très fort que ces personnes appartiennent au milieu du banditisme.
Seulement on ne les connais pas ou si on les connais on ne les a sans doute jamais interrogé ou ils sont morts.
Et puis si vous n'avez rien contre la personne, elle n'a pas grand intérêt à vous dévoiler quelque chose. Ici il y a bien la prime mais si, je dis bien si, quelqu'un peut identifier les auteurs, il n'estime peut-être pas cette récompense suffisante au risque qu'il court et/ou aux conséquences de ses révélations

Il est aussi possible que personne, en dehors des auteurs, ne sache rien ou ne sache pas qu'il détient des informations qui peuvent aider les enquêteurs ...

Cordialement.

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