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| Philippe Lebrun | |
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+3Et In Arcadia Ego dim HERVE 7 participants | |
Auteur | Message |
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HERVE
Nombre de messages : 21560 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Philippe Lebrun Mer 19 Fév 2014 - 14:50 | |
| @luanda Pourquoi avez-vous posté un message relatif à Georges Douvriotis sur ce fil de discussion ? Georges Drouviotis, c'est Jacques Monsieur (service secret militaire belge et DIA), Gutelman (TEAMCO), Hage, ARI, CSIS, Davignon... Philippe Lebrun, c'est Michel Vander Elst, donc Nihoul, Haemers, Vanden Boeynants, Deferm (Przedborski, etc) Il y a très probablement un lien Deferm - Gutelman ... ils ont en tout cas été consultés tous les deux pour Unisys, comme Claude Delperdange ... Voir : http://fr.scribd.com/doc/50944311/Rossem-qui-a-tue-Andre-Cools Mais vous pensiez peut-être à quelque chose d'autre ... Il pourrait être plus rapide de passer par la CIA-DIA (voir Daniel O. Graham de l'IEPS), notamment si Félix Przedborski a eu des contacts à Vienne avec James Pavitt (qui sera chef de station CIA à Luxembourg). Il ne faut pas oublier Guillaume Vogeleer qui a eu des contacts avec la DIA et avec la CIA, ainsi qu'avec le commandant François, le chauffeur de Paul Vanden Boeynants, Stefano delle Chiaie, John Singlaub (ancien de la CIA, WACL), Richard Holm (qui sera chef de station CIA à Bruxelles), etc Quand je pense à CIA-DIA, je pourrais ajouter la WACL et le MOSSAD car ces organisations étaient en très bons termes dans les années 1980 (IranContra)... Il y a aussi de multiples entrées vers le dossier Atlas ... |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21560 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Philippe Lebrun Mar 18 Mar 2014 - 13:34 | |
| http://www.alterinfo.net/Le-CSIS-le-think-tank-de-Brzezinski_a27807.html
Center for Strategic and International Studies
Le Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS) est un groupe de réflexion de droite conservateur fondé en 1962 par M. David Abshire et l'amiral Arleigh Burke, à l'apogée de la Guerre froide en pleine crise des missiles de Cuba. Depuis ses débuts, le CSIS a grandi pour devenir l'une des plus éminentes institutions de politique internationale, avec plus de 220 employés à temps plein et un vaste réseau d'universitaires axés sur la défense et la sécurité, la stabilité régionale et transnationale des défis allant de l'énergie et climat à l'échelle mondiale le développement et l'intégration économique.
Jusqu'en 1986, le CSIS a été affilié à l'Université de Georgetown. Le premier membre du CSIS à plein temps a été Richard V. Allen, un républicain conservateur, qui a été conseiller à la sécurité nationale sous la présidence de Reagan. Le CSIS se décrit comme "une institution indépendante pour la recherche sur les politiques publiques dans le domaine des affaires de sécurité nationale et étrangères." Il met l'accent sur "les enjeux et les défis auxquels sont confrontés les États-Unis dans la promotion de ses intérêts et de ses responsabilités mondiales." Il prétend être une institution internationale.
Toutefois, Timothy S. Healy, président de l'Université de Georgetown, a décidé que le CSIS a été un peu moins académique et crédible que ce qu'il prétend être. Apparemment, le CSIS n'a pas de bibliothèque, son corps professoral est plus souvent vu à la télévision que dans les salles de classe (plus de 4000 apparitions en 1985), et ses publications ont la réputation (par les normes scolaires) d'être superficielles. Le CSIS est une "machine de propagande conservatrice", notamment pour les politiques de l'administration Reagan. La plupart des cadres supérieurs du CSIS boursiers n'enseignent pas, mais perçoivent de beaux revenus (jusqu'à 70000 $).
L'affiliation officielle entre L'Université de Georgetown et le CSIS a pris fin le 1 Juillet 1987. Un article dans la Tribune de Londres cite un article du Washington Post disant que Georgetown a rompu la relation en raison de sa forte identification avec le CSIS parce qu'il avait des relations avec l'administration Reagan sur le contrôle des armes, l'Amérique centrale et l'Afrique du Sud. L'Université a également été perturbée parce que les grandes contributions au CSIS proviennent des entreprises du complexe militaro-industriel.
_ _ _
In 1962, Dr. Abshire and Admiral Arleigh Burke founded the Center for Strategic and International Studies (CSIS).
http://en.wikipedia.org/wiki/David_Manker_Abshire
David Manker Abshire (born April 11, 1926) has served as a Special Counselor to President Reagan and was the U.S. Ambassador to NATO from 1983-1987
(...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21560 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Philippe Lebrun Dim 19 Juin 2016 - 11:29 | |
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| | | lrnt
Nombre de messages : 84 Date d'inscription : 23/04/2015
| Sujet: Re: Philippe Lebrun Sam 11 Fév 2017 - 22:33 | |
| - HERVE a écrit:
Un lecteur attentif me fait remarquer que dans la liste se trouve aussi Samuel Huntington, qui veut nous faire croire à une menace islamiste :
http://www.historyorb.com/world/clashofcivilizations.php
Il faut bien un nouvel ennemi après la chute du mur de Berlin...
Ceci dit, le parcours de Henri Simonet fait penser à celui de Jean Gol ... à lire de gauche à droite.
Il faut surtout noter la présence, au sein du CSIS, de Bernard Lewis, citoyen israélo-américano-britannique qui fut le conseiller de Benyamin Netanyahou quand celui-ci était ambassadeur d'Israël à l'ONU et qui reste aujourd'hui proche des néo-conservateurs (cf. Wikipédia). Selon plusieurs auteurs, c'est lui le véritable théoricien du Choc des civilisations, une expression qu'il aurait utilisée dès 1957, bien avant Huntington donc. Quel événement a réellement lancé ce choc des civilisations entre le monde occidental et l'Islam ? Les attentats du 11 septembre 2001. Il existe un petit lien entre les tueries et les attentats du 11 septembre en la personne de J-F Buslik, puisque celui-ci a travaillé dans l'école d'aviation de Joe Kemper de 1989 à 1999, école où 2 terroristes du 11 septembre suivirent des cours en 2001. À l'époque, Buslik était sans doute en en contact avec Kemper, qui vint témoigner à son procès tenu la même année en Belgique. Buslik est soupçonné par plusieurs auteurs d'avoir été employé par la CIA, comme son père. Buslik fut très proche de Frank Eaton de la DEA. Dans les années 70, les DEA étaient dirigées par le CCINC, une organisation présidée par Henry Kissinger, où travaillaient des membres du Pentagone et de la CIA. Kissinger fut nommé, bien plus tard, à la présidence de la Commission nationale d’enquête sur les attentats du 11 septembre. "Mais il en démissionna parce qu'il aurait été obligé de rendre public le nom des clients de sa société de conseil Kissinger Associates." (Wikipédia). Etienne Davignon, qui fut membre du CSIS lui aussi, est très proche de Kissinger et travaille (ou travaillait ?) pour Kissinger Associates. Il conseilla à Richard C. Strauss - membre du CSIS également - les services de Beijer et Bouhouche, ce dernier étant l'ami d'enfance de Buslik. On parla beaucoup de Bouhouche et Beijer au procès de Buslik évoqué plus haut... Au CSIS se trouvait également Zbigniew Brzezinski, le conseiller de nombreux présidents américains, qui écrivait, dans son essai Le grand échiquier paru en 1997, que la conquête de l'Eurasie - indispensable pour dominer le monde - serait très difficile à faire avaler au peuple américain "sauf en cas de menace extérieure directe de grande envergure" permettant ensuite de justifier l'entrée en guerre, comme l'attaque contre Pearl Harbour, rappelait-il, permit de justifier l'entrée en guerre des USA lors de la deuxième guerre mondiale. Après le 11 septembre, la guerre contre la terreur permit effectivement de justifier les interventions en Afghanistan puis en Irak. On peut également évoquer le Project for the New American Century (PNAC), dont l'un des signataires était Paul Wolfowitz, et son Rebuilding America's Defenses où l'on pouvait lire, en l'an 2000, que "le processus de transformation [...] sera probablement long en l'absence d'un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor." Les attentats du 11 septembre furent ce nouveau Pearl Harbor permettant aux États-Unis d'améliorer leur leadership mondial... (et d'aller détruire l'Irak, ennemi d'Israël. Wolfowitz avait déjà demandé en 1998 à Bill Clinton de faire tomber Saddam Hussein, mais sans succès.) Une guerre d'Irak qui, finalement, a nourri le terrorisme... Aggravant ainsi ce choc des civilisations, ce fossé entre Occident et Islam. Et permettant à nos élites de justifier un tas d'actions liberticides, au nom de la liberté et des valeurs occidentales devant être protégées. |
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