carton jaune pour De Decker

Sur Emile Lecerf, qui a mis sur pied les groupes « Révolution européenne »... accusés par Jean Thiriart, le leader de Jeune Europe, d’être financièrement aidés "par un des très gros bailleur de fonds du PLP (parti libéral pro-américain)"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_de_la_libert%C3%A9_et_du_progr%C3%A8s_(unitaire)

Voir :

http://www.resistances.be/tueurs16a.html







Selon ce document, Claude Nancy est important ...

Sur Claude Nancy, voir le fil de discussion "Qui est le docteur Soas ?" et le site suivant (en espagnol) :

http://www.stormfront.org/forum/t729881/

Traduction automatique :

Selon Michel dans le fil de discussion :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2404p15-bernard-mercier

Je viens de recevoir quelques informations sur Bernard Mercier. A une certaine époque, il fut très ami avec le docteur Nancy, le commandant Claude Dery et le major Bougerol.

Mercier aurait été enseignant à Thuin et il aurait possédé une péniche et un hors-bord à Lobbes.

Avec Nancy, Bougerol pratiquait une activité aérienne (avion ou hélicoptère).

Mercier serait encore président d'un yacht-club : http://ychs.blogs.lalibre.be/

_ _ _


Cela fait penser à la Milice de Jésus-Christ ... (liée aux dominicains)

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t742p60-milice-de-jesus-christ

http://www.avoixautre.be/spip.php?article1925

« (...) en relevant l’Allemagne et en résorbant ses six millions de chômeurs en 1933, Hitler avait démontré qu’il était possible de relever une nation sans ni faire appel ni se soumettre à la finance internationale apatride ».

(Extrait de Vers un matérialisme biologique de Claude Soas (pseudonyme de Claude Nancy), cadre de l’extrême droite belge subversive depuis les années 1960, éditions privées. Son livre fut diffusé auprès des membres du Front national de Daniel Féret, en 1996, par une activiste issue du Front de la jeunesse, du Parti des forces nouvelles et du Westland new post (WNP, une organisation néonazie clandestine responsable d’opérations terroristes).)

Dans le schéma de Libert :





on voit que Bernard Mercier est relié à Protea, Provita et au Comte d'Oultremont.

Sur ce dernier, voir :

http://archives.lesoir.be/les-d-oultremont-riches-depuis-toujours-un-vaudeville-s_t-19960823-Z0CHVF.html

LES D'OULTREMONT : RICHES DEPUIS TOUJOURS

MEUWISSEN,ERIC

Vendredi 23 août 1996

(...)

Quant à Emmanuel (1881-1958), le fils d'Adhémar, il se replia sur le château de Duras, où il exerça pendant un demi-siècle la charge de bourgmestre. Faute d'héritier mâle, le château de Duras passa aux mains de son gendre le comte de Liedekerke (1906-1995). Actuellement, il est toujours habité par les petites-filles du châtelain de la Berlière : Isabelle (née en 1919) et Henriette (née en 1910), épouse de Liedekerke. Ce couple de châtelains n'ayant pas d'enfant, c'est un neveu, Bernard de Liedekerke, qui exploite les 200 ha du domaine de Duras. Mais si Duras est sorti du patrimoine de la famille, ce n'est pas le cas de Warfusée (résidence du chef de maison) et de Presles, les deux perles du patrimoine familial.

A l'instar des Liedekerke, les d'Oultremont sont très nombreux. On compte aujourd'hui qu'une centaine de membres de la famille résident dans notre pays. Certes les successions ont éparpillé le fantastique patrimoine de jadis. Les domaines de Hélécine et de Wégimont ont été par exemple cédés aux provinces de Brabant et de Liège. Ceci dit, la famille a gardé de beaux restes. Outre Warfusée (Saint-Georges) et Warnant (berceau de la famille), les d'Oultremont occupent toujours leurs châteaux de la Cattoire (Bliquy), Presles, Gondregnies...

Ils sont aussi restés maîtres dans l'art de «fumer leurs terres». Comprenez : de réussir de belles unions matrimoniales (avec les familles Boël, Goblet d'Alviella, Merode, Malou, Ligne, Croy....). On rencontre peu de mésalliances. Nous avons quand même retrouvé une coupure de presse parue dans «Le Soir» et datée de 1987 qui fait état du mariage de la comtesse Yolande d'Oultremont avec le « roi du hold-up et de l'évasion» :... Francis Royen, alias «le Gitan» (sic !).

(...)

http://www.angelfire.com/realm/gotha/gotha/oultremont.html

1f) Yolande Léopoldine Georgette Charlotte, b.Ixelles 2 May 1951; m.1st Morlanwelz 14 Jan 1970 (div 1975) Jean-Claude Debaise (b.Haine-Saint-Paul 5 Oct 1943); m.2d Ham-sur-Heure 2 Mar 1976 (div 1984) François Fernand Marie Prévost (b.Beauvechain 24 Feb 1925); m.3d in the prison of Nivelles 30 Dec 1986 Francis Léonard Joseph Royen (b.Antheit 15 Jul 1954)


Il est notamment question de Francis Royen dans le fil de discussion relatif à Michel Anthemus :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t802-anthemus-michel

Voir aussi :

http://archives.lesoir.be/cinq-hold-up-a-l-actif-de-royen-et-de-ses-complices-neu_t-19920331-Z055LJ.html

CINQ HOLD-UP A L'ACTIF DE ROYEN ET DE SES COMPLICES NEUF ANS DE PLUS POUR LE GITAN

Page 14

Mardi 31 mars 1992

(...)

http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=538401

Date: 22/11/2005

LIÈGE Ce lundi, la cour d'appel de Liège a prononcé un arrêt dans le cadre d'un dossier de braquages. Ainsi, Michaël, 29 ans, Cihan, 20 ans, Laurent, 24 ans et Francis Royen, 51 ans ont dû répondre de 16 préventions de braquages de banque.

Francis Royen est particulièrement bien connu de la justice liégeoise. En effet, l'homme a déjà été condamné à quinze ans de prison par la cour d'assise de Liège pour des braquages avec prises d'otages et à huit ans de prison par la cour d'appel de Liège en 2004 pour un home-jacking. Lors de ces faits, le malfrat n'avait pas hésité à prendre des enfants en otage.

Francis Royen est donc une nouvelle fois, impliqué dans des braquages, des vols de voitures, de plaques et des ports d'armes.

(...)

_ _ _


Ce mariage fait penser à celui de Ariane de Liedekerke et de Victor Portenart ...

http://archives.lesoir.be/france-3-ariane-de-liedekerke-et-victor-portenart-dans-_t-20020423-Z0LR2U.html

(Victor Portenart) cet homme qui a entretenu des liaisons dangereuses avec l'extrême droite. Dans le dernier numéro de l'hebdomadaire flamand « Humo », il avoue avoir été fasciste. Il y revendique ouvertement une amitié avec le docteur Daniel Féret (ex-leader du Front national). Il fut également l'éditeur responsable d'« Europe Magazine », publication clairement positionnée à l'extrême de la droite. Son nom est par ailleurs lié, à son insu, parfois, à la « bande de Nivelles », aux tueurs du Brabant wallon, à la Sûreté de l'Etat, à feu Jean Gol, à Albert Raes, à Pinochet...

_ _ _


Dans le schéma de Libert, sous "Comte d'Oultremont" : Marc Menassa

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1932-menassa-marc

Epoux de Bérangère d'Oultremont. En relation avec Latinus. Lié au financement du WNP via le Liban et De Lombaerde ? (s; audition de Libert Michel)

“PV 1695 du 10/05/1988 Verbalisants: NOEL jean-Luc - PJ Nivelles Objet: Renseignements et transmis d'un rapport du nommé DAMSAINT Henri de Suède En cause de: CALMETTE FERRARI Jean Francis Adolphe Lucien, né à BEZIERS (F) le 21/06/42, dlié Rhode-St-Genèse.

La PJ obtient en mai 88 par Damsaint, des infos sur les TBW et Calmette. Damsaint désigne Calmette Ferrari Jean Francis comme auteur de l'agression Vernaillen Herman. Menassa serait son bras droit. Il habite 4 rue de la Levure à Ixelles. Entendu, Calmette Ferrari Jean Francis nie mais reconnaît avoir été en contact avec Faez Al Ajjaz (El Ajjaz Faez) par Latinus Paul. C'est par ce dernier qu'il a connu SMETS Christian S.E. Il connaît Menassa. Il était le proprio de l'appart qu'il louait à Ixl. Il sait que Menassa est Libanais mais ignore si Menassa est un ex-agent de la S.E. libanaise comme déclaré par Damsaint. L'audition de ce dernier confirme les dires de Calmette Ferrari Jean Francis.” [...] “5) Calmette Ferrari Jean Francis, 4 rue de la Levure Ixelles. Dirige une société de gardiennage. (notamment City 2).

Ancien OAS connu dans les régions de Toulon et de Marseille. Serait l’auteur principal de l’agression du major Vernaillen Herman et de son épouse (faite avec la voiture de Faez All Ajiaz (El Ajjaz Faez). Aurait organisé le détournement des lingots d’or en provenance de Zurich à Zaventem avec l’aide de Bouhouche Madani. Aurait organisé et participé à la libération de Haemers Patrick. 6) Menassa, 4 rue de la Levure à Ixelles. Ancien agent de la sûreté libanaise. Serait l’adjoint de Calmette Ferrari Jean Francis.”

_ _ _


Selon plusieurs personnes connaissant le dossier, Ferrari Calmette n'a pas reçu l'attention qu'il mérite de la part des enqueteurs ... Il n'est pas encore trop tard ...

Intéressant de voir les familles de Liedekerke et d'Oultremont (par ailleurs liées entre elles) aussi proches de truands/extremistes cités dans les dossiers qui nous intéressent ...

Je m'interroge toujours sur les liens entre la famille de Liedekerke et Armand de Decker ...

attention Hervé

dans la suite des articles parues sur le coup d"état de 1973 il a des precurseurs

1.:Gazet van Antwerpen 14/8/73
2.:Special l'Eventail de 15 aout 73

3.rapport confidentiels de BSR rue maghin Liege 23 aout 1973 qui font reference aux
AVIS:
D00 N°4036 du 14 11 25 Aou. 73 et
D00 N°4042 du 14 17 15 Aou. 73.


ds laquel ils font reference que cet article ds le gazet van Antwerpen est un faux et que un article à peu près semblable est parue dans "SPECIAL EVENTAIL n° 437 du 15 aout 73


si on sait que des gens du " special eventail" ont après essayer de reprendre le magazine "l'Evènement " de ACTION press -TAVERNIER >AMI)en faillite, à la deuxième faillite de action press (septembre 1982 contre le voeu de VDB

c'est les copains de VDB groupés ds Lux.HOLDING TRUST >Prelate corporation, EDIMAT,Sidney shore,afgevaardigde beheerder met behoud van de belangen van TAVERNIER in NEW fashion media editeur de AMI et l'EVENEMENT (src Timmerman)



et un part d'un P.V. de.....

Citation :

........part. Dès l'implication de DE LOHBAERDE dans le cadre du WNP, au sujet
du financement du mouvement, il avait été convenu que celui—ci verse
5O.OOO Fr par MODUL HED (EUROSySTEHE HOSPITALIER) où DE LOMBAERDE avait
un rôle d'intermédiaire principal vers l'Amérique du Sud principalemen'
ainsi que d'autres projets du même type au Proche-Orient et le LIBAN en
particulier»par l'intermmédiaire de Harc MENASSA qui est l'époux de
Bérangère d'OULTREMONTT ces personnes en relation avec LATInUS et DE LOm
BAERDE. Je puis vous préciser qu'en fait Michel HARO était chargé de la
livraison vers l'Amérique du Sud toujours en étroite collaboration .avec
DE LOMBARDE. Je puis vous dire que NARO se trouvait également dans le
BURAFLEX. La nommée Chantal SCHIALLERE qui travaillait également à SPECIAL-
L'EVENTAIL intervenait également dans la filière de MODUL MED, en relation
avec Charles VERPOORTEH lequel est entré en dissension avec DE LOMBARDE
par la suite. Personnellement, DE L0MAERDE m'avait demandé d'avancer ....

4.: votre lettre avec NANCY qui contient aussi la reference D00 4036

on voit que déjà en 1973 il y avait un début de parodie entre divers fractions de la droite
qui continu en 1982


finalement , je peux dire que walter de bock a toujours été intrigué par cet affaire a t il écrit qqs part et aussi


vers 1935 36 il y avait bien eu une tentative de coup d'état

comme ds tous les états bananières par après

Il faut toujours faire des recherches à charge et à décharge autrement on est manipulé en boucle .

on voit que les fractions de la droite sont impliqué dans differentes scandales financiers et faillites (eurosystem,modulmed,renifleurs,action press , ccf, copine ...................................................
et qu'ils se tirent ds les pattes aussi et que a la fin des restes de scandales (action renifleurs arrivent ds le gyron
des copains de V...B et G.L )

les trous faits par les faillites des banques sont comblés par la societé .

donc batailles intra- droite catho-cathos -maçons en belgique
à coté des manoeuvres exterieures ?


sources : het leugenpaleis pag43 ev.

Au vu de certains des messages qui précèdent, le livre suivant pourrait etre intéressant :

http://www.books.fr/societes-et-politique/lalliance-inavouee-disrael-avec-lafrique-du-sud/

L’alliance inavouée d’Israël avec l’Afrique du sud

Comment un pays né des persécutions nazies a-t-il pu s’allier à un régime raciste ? Israël et l’Afrique du Sud ont entretenu, dans les années 1970 et 1980, d’intenses relations commerciales et militaires. L’État juif serait allé jusqu’à proposer des armes nucléaires à Pretoria. Alliance immorale ou realpolitik bien comprise de la part de ces deux États parias ?

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On pense bien entendu à la région anversoise et à l'industrie du diamant.

Voir :

http://en.wikipedia.org/wiki/De_Beers

(...) The company was founded by Cecil Rhodes, who was financed by Alfred Beit and Rothschild.[2] In 1927, Ernest Oppenheimer, a German Jewish immigrant to Britain who had earlier founded mining giant Anglo American plc with American financier J.P. Morgan,[3] managed to wrest control of the empire, building and consolidating the company's global monopoly over the diamond industry until his retirement. During this time, he was involved in a number of controversies, including price fixing, antitrust behaviour and an allegation of not releasing industrial diamonds for the US war effort during World War II.[4][5]

2.^ Epstein, Edward Jay (1982). The rise and fall of diamonds: the shattering of a brilliant illusion. Simon and Schuster.
3.^ "New Mining Target: Anglo American". Forbes. 21 August 2006. http://www.forbes.com/2006/08/21/anglo-american-update-cx_cn_0821miner.html.
4.^ a b Janine P. Roberts (2003). Glitter & Greed. The Disinformation Company. ISBN 0-9713942-9-6. http://books.google.com/books?id=raO8jHBdDhYC. Retrieved 27 November 2008.
5.^ a b Theodor Emanuel Gregory (1977). Ernest Oppenheimer and the Economic Development of Southern Africa. Arno Press. http://books.google.com/books?id=8le1AAAAIAAJ. Retrieved 27 November 2008.

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Voir aussi :

http://pages.stern.nyu.edu/~lcabral/teaching/debeers3.pdf

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Liens entre Tabacofina et "Rembrandt Group" (Afrique du Sud)

http://books.google.be/books?id=IBA9AAAAIAAJ&pg=PA59&lpg=PA59&dq=Tabazaire,+rembrandt&source=bl&ots=ZTFE85lNkd&sig=Bz2jrp2-NbIwtofeVtRUb3T7NMc&hl=en&sa=X&ei=M7QPUaT3IaWL0AW734CIBQ&ved=0CFEQ6AEwBw#v=onepage&q=Tabazaire%2C%20rembrandt&f=false


http://en.wikipedia.org/wiki/Rembrandt_Group

http://www.ventures-africa.com/2012/02/unveiling-one-of-africa’s-greatest-tycoons-johann-rupert/

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http://archives.lesoir.be/300-millions-reclames-a-la-kbc_t-20091211-00RAM7.html

(...) le rôle essentiel que le groupe KB – par le truchement de ses filiales KB-Lux et Kredietrust notamment – aurait joué entre 1977 et 1993, dans les ventes d’armes à destination de l’Afrique du Sud, alors soumise à un embargo par une résolution des Nations unies qui sanctionnait le régime de l’apartheid. (...)

Le rôle capital qu’ont pu jouer le groupe KB et ses filiales dans les transactions occultes que l’Afrique du Sud mène, à l’époque, avec ses partenaires à l’étranger a déjà été dénoncé avec force par des gens comme Mark Pieth, qui préside le Comité de lutte contre la corruption au sein de l’OCDE. « Le nommé Steinberg dira lui-même que 70 pour cent des dix milliards de dollars représentant le montant des achats d’armes de l’Afrique du Sud entre 1977 et 1993 ont transité par les comptes de la KB-Lux », a déclaré Me Modrikamen devant le tribunal de commerce. (...)

... via « l’extraordinaire entrelacs de quelque 800 sociétés offshore créées et administrées à cette fin par Kredietrust, une autre filiale du groupe ». (...)

Citation :

Mercier aurait été enseignant à Thuin et il aurait possédé une péniche et un hors-bord à Lobbes.

Avec Nancy, Bougerol pratiquait une activité aérienne (avion ou hélicoptère).

il faut relire le message du membre" Boreux" et savoir que M, B ont habité Mont le T

Nancy ?

tout près du bois de H.


si N&B faisait d'aviation cela va etre ds un club d'aviation militaire naturellement


loué un hélico coutait chère à l'époque >>6000bfr/h . Il en avait que 200 hélicos en privé

en plus Anderlues c'est tard et il fait nuit et ces cocous/hélicos ne sont souvent pas IFR mais VFR donc ne peuvent voler que pendant la journée.


il faut controler si c'est pleine lune à ce moment là

si c'est organisé militairement avec supervision ds les airs c'est le seul raison pour avoir un coucou là haut car les apps de vision de nuit étaient à leurs début .

dixit postal devait y avoir une deuxième voiture qui faisait des manoeuvres pour bloquer eventuels poursuivants quand les TBW se sont enfuits vers hourpes.

cela pe un 4x4 volé au STALLE .

En ce qui concerne l'Afrique du Sud, on peut noter que la société de gardiennage Wackenhut y était très présente.

_ _ _

Sur Wackenhut ( et Jean-Francis Calmette ) :

http://prop1.org/legal/prisons/92wack.htm

(...) Wackenhut's right-wing politics have not been confined to supporting U.S. administrations. In 1977, Wackenhut obtained special permission to operate in Belgium; according to Edward Herman and Gerry O'Sullivan's The Terrorism Industry, Wackenhut 'quickly got involved with right-wing terrorists who were themselves linked to state security agents." Wackenhut's local director in Brussels, Jean-Francis Calmette, was a rightist who had hired and given combat instruction to members of Westland New Post, a Belgian fascist group. Wackenhut left Belgium in the early 1980s, following accusations that its guards were luring immigrant children into basements and beating them. (...)

_ _ _

http://www.jp-petit.org/Geopolitique/empire_carlyle.htm

(...) Carlyle a été créé en 1987, avec 5 millions de dollars, (...) Le groupe végète jusqu'en janvier 1989 et l'arrivée à sa tête de l'homme qui inventera le système Carlyle, Frank Carlucci. Ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale puis secrétaire à la défense de Ronald Reagan, M. Carlucci compte à Washington. Il est l'un des amis les plus proches de Donald Rumsfeld, actuel ministre de la défense. Ils ont partagé une chambre quand ils étaient étudiants à Princeton. Ils se sont ensuite croisés dans de nombreuses administrations et ont même travaillé, un temps, pour la même entreprise, Sears Robuck.

(...) Frank Carlucci a une réputation sulfureuse.

Ce diplomate était en poste dans les années 1970 dans des pays comme l'Afrique du Sud, le Congo, la Tanzanie, le Brésil et le Portugal où les Etats-Unis et la CIA ont joué un rôle politique douteux. Il était le numéro deux de l'ambassade américaine au Congo belge, en 1961, et a été soupçonné d'être impliqué dans l'assassinat de Patrice Lumumba. Il a toujours fermement démenti. La presse américaine l'a aussi accusé d'être impliqué dans plusieurs trafics d'armes dans les années 1980, mais il n'a jamais été poursuivi. Il a dirigé un temps Wackenhut, une société de sécurité à la réputation détestable, impliquée dans l'un des plus grands scandales d'espionnage, le détournement du logiciel Promis. Frank Carlucci a eu pour mission de faire le ménage dans l'administration Reagan au moment de l'affaire Iran-Contra et a succédé alors au poste de conseiller à la sécurité nationale à John Pointdexter.

http://www.guardian.co.uk/business/2013/feb/03/enrc-drama-shareholders

ENRC – lots of drama, not many shareholders

The Kazakh miner is always making headlines, even though less than 20% of its stock is held by outside investors

Simon Goodley

The Observer, Sunday 3 February 2013


ENRC's efforts to move into mining in the Democratic Republic of Congo have been hampered by a controversial choice of partner in the region.


Eurasian Natural Resources Corporation is probably not a company in which you own shares. Despite the Kazakh miner being in the FTSE 100, only 20% of stock is held by outsiders. Yet despite this small interest, the company has found an extraordinarily diverse number of ways to irritate the City since its 2007 flotation.

You'll recall, of course, the boardroom coup of 2011, when independent directors were ousted by the three founders in a move dubbed "more Soviet than City"; then there's a potential Serious Fraud Office investigation into allegations concerning its Central Asian and African businesses; as well as the pickle over its controversial choice of partner in the Democratic Republic of Congo.

This week ENRC unveils its latest production report, but few actually care what is coming out of the ground. Instead, the internal wrangles remain the key topics, with the most obvious – what is happening with the SFO negotiations? – leading the queries. More observant ENRC kremlinologists might also ponder: what's happened to Arif Shadiev? The nephew of Patokh Chodiev, one of the founding trio, has quietly left the group – which is such a wrench that ENRC can barely admit it to itself. Shadiev has been gone for months, but his name remains listed among the metals group's top brass.

Sur le site "assassinats de coopérants", il y a un article selon lequel Dulcie September a été assassinée parce qu'elle aurait pu faire des révélations sur l'aide française au programme nucléaire militaire sud-africain.

http://assassinatsdecooperants.ouvaton.org/spip.php?article6475

http://mg.co.za/article/2011-06-17-september-shot-for-nuke-secrets

La source citée par l'article (2011) est un ancien ministre adjoint des affaires étrangères, Aziz Pahad.

Voir aussi:

http://www.mg.co.za/article/1998-01-09-on-the-twisted-trail-of-dulcies-death

Le rôle des services français et du lobby pro-apartheid animé par des proches de Pasqua, ainsi que la responsabilité de Pasqua (ouvertement hostile à l'ANC), sont décrits dans le livre de Xavier Renou (chapitres 2 et 11).

On y mentionne aussi des révélations faites par d'anciens responsables des services de Pretoria, comme Eugene de Kock, concernant le rôle des français (voir p.393). De Kock était le Klaus Barbie sud-africain (la presse l'a surnommé "Prime Evil"...).

http://en.wikipedia.org/wiki/Eugene_de_Kock

https://www.youtube.com/watch?NR=1&v=ofwLg1vp4y0&feature=endscreen

Un des articles mentionnés par Renou:

http://www.liberation.fr/societe/0101327184-des-mercenaires-francais-ont-ils-tue-dulcie-september-retour-sur-l-assassinat-de-la-militante-de-l-anc-en-1988

Sur le lobby pro-apartheid en France, voir aussi Robert Monzat (Enquêtes sur la droite extrême, chp 10).

La question des relations franco-sud africaines à cette époque est toujours un sujet sensible en France. Un ancien responsable de la DGSE, Maurice Dufresse/Pierre Siramy, avait fait des révélations sur l'affaire September dans ses mémoires il y a quelques années.

Il avait mentionné Rouget et ce dernier l'a poursuivi en diffamation.

Plus généralement, son livre lui a valu des représailles gouvernementales (il aborde d'autres sujets confidentiels, donne des noms , etc). Il a été finalement relâché il y a quelques mois.

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/un-espion-a-la-retraite-assigne-pour-des-revelations-sur-l-assassinat-a-paris-d-une-militante-anti-apartheid-05-11-2010-1258859_53.php

http://www.google.fr/search?as_q=&as_epq=Maurice+Dufresse&as_oq=&as_eq=&as_nlo=&as_nhi=&lr=&cr=&as_qdr=all&as_sitesearch=&as_occt=any&safe=images&as_filetype=&as_rights=


Sur Richard Rouget (qui faisait partie des dirigeants du GUD et des groupuscules qui sont issus), quelques documents ...

Le GUD était lié au PFN français, d'après les RG.

Octobre 1981
L’extrême droite
(...)

ANNEXE I (PFN)
Le Renouveau Nationaliste et le GUD

Depuis une dizaine d’années , le GUD a été la branche universitaire des mouvements d’extrême-droite.
Déclaré le 15 mars 78 à la Préfecture de Police sous le n°46.926 P, le GUD s’est auto-dissous le 17 juin 1981.
Son siège était situé au Centre Juridique Assas [NB = Fac de droit], 92 r d’Assas à Paris (6e). Il comptait environ cinquante militants actifs, pour la plupart étudiants à Assas.
Suite à son auto-dissolution, le GUD a décidé la création d’un nouveau mouvement jeune plus élargi : « Le Renouveau Nationaliste », ayant son siège au CJ Assas.

Ses responsables étaient ceux de l’ex-GUD , Richard ROUGET , Arnaud FEBVRE, Charles Henri VARAUT & Arnaud BOUET.
La mésentente entre les différentes composantes a entraîné une brusque disparition du « Renouveau Nationaliste ».
Un GUD « régénéré » plus proche du PFN serait de nouveau créé au sein de la Faculté d’Assas ; il poursuivrait le même objectif que par le passé. (...)

Sur les services sud-africains, un livre qui semble intéressant :

James Sanders. Apartheid's Friends: The Rise and Fall of the South African Secret Services.

London: John Murray, 2006. 539 pp.

http://www.h-net.org/reviews/showrev.php?id=25562

http://books.google.fr/books/about/Apartheid_s_friends.htmlid=_EcFAQAAIAAJ&redir_esc=y

Voir aussi le numéro de RAIDS disponible sur :

http://fr.scribd.com/doc/123762247/Raids-n%C2%B05-Octobre-1986

Raids (n°5, octobre 1986)

Ce magazine fait l'apologie des "opérations homicides" contre l'ANC, et plus généralement de la "riposte armée" contre la "subversion" (voir l'éditorial et les extraits d'articles)...

Il attaque les opposants internationaux à l'apartheid (Mouvement oecuménique des églises, associations antiracistes etc). Des membres de l'équipe, comme Debay (après la Rhodésie), avait eux-mêmes fait partie de l'armée sud-africaine.

Cette discussion éclaire un peu ce qu'a pu etre le séjour de Paul Latinus en Rhodésie et en Afrique du Sud. Il est difficile de savoir ce qu'il a fait mais il aurait pu rencontrer des gens comme Robert K. Brown et/ou Yves Debay (des "journalistes", ou plutot des mercenaires ayant une carte de presse).

Ce milieu des mercenaires était bien connu de beaucoup de membres du WNP, de quelqu'un comme Guy Weber (Katanga), comme Jean Bultot (James Shortt connaissait Robert K. Brown) ou comme J-F Etienne des Rosaies (Biafra).

Un article d'époque ...






Voici l'avis d'un lecteur du forum ...

En conclusion, ce que je veux dire, c'est que les filières liées à l'Afrique du Sud sous l'apartheid fournissent un impressionnant stock de tueurs potentiels , qui correspondraient plus au profil que des gens comme Tony Poe, James Coyne ou Robert K. Brown ; en plus de ne pas être adaptés au terrain belge, ces derniers étaient déjà "occupés" en Asie et en Amérique Centrale.

Je ne dis pas qu'il n'y a pas de lien possible avec SOF , je veux dire que des mercenaires belges revenus d'Afrique australe (même provisoirement, entre deux séjours) , des militants belges (ou français) d'extrême-droite en rapport avec les services de Pretoria, ou même des membres de ces services (le NIS, ex-BOSS) feraient plus l'affaire. Ces trois catégories de tueurs étaient obligés de connaître le terrain et d'être assez discrets pour leurs opérations (de surveillance et d'assassinat) contre l'ANC en Europe; et en plus un afrikaner peut passer pour un belge.

Même en suivant une piste liée à l'Afrique du Sud, les Américains et les services belges ne sont pas très loin (lobbies pro-apartheid en Occident).

Il semble aussi pertinent de s'intéresser de plus près à Mazy car il se situe au "carrefour" des différentes filières mercenaires et il a un passé chargé (liens avec Aginter ?).

Son bar est un peu trop voyant (il est réputé comme un lieu de rendez-vous pour les mercenaires, on en parle dans la presse, et en plus Mazy se fait prendre en photo ... ce qui n'est pas très discret).

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Je garderais Tony Poe, James Coyne ou Robert K. Brown dans la liste des suspects, à cause des portraits-robots, mais je suis conscient qu'il n'a jamais été question d'anglophones parmi les tueurs ...

Il ne manque pas de candidats possibles dans le milieu des mercenaires (un milieu bien connu du WNP), surtout qu'il y a une interface avec les truands (voir Guillaume Vogeleer, etc).

Sur les "escadrons de la mort" d'Afrique du Sud :

http://en.wikipedia.org/wiki/Civil_Cooperation_Bureau#The_operational_sections

Region 5: International/Europe – Johan Niemoller appears to have been coordinator. In 1987, he was suddenly withdrawn following the arrest of a number of individuals living in England on charges of plotting to kill ANC leaders. Eeben Barlow, the founder of the private military company, Executive Outcomes, then took command of Region 5.[24]

http://www.wnd.com/1998/08/3290/

Un policier sud-africain qui s'est lancé dans l'espionnage contre l'ANC et dont on a parlé dans le cadre de l'assassinat de Olof Palme :

http://en.wikipedia.org/wiki/Craig_Williamson

http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article656

29 mars 1988 :
Assassinat de Dulcie September, représentante de l’ANC en France (Afrique du Sud)

En 1986, le régime d’apartheid en Afrique du Sud est frappé d’un boycott international que la France détourne par des livraisons indirectes de charbon, de pétrole (via l’Iran), d’armes et de matériel nucléaire - trafic entretenu tant par la droite que la gauche -. Dulcie September, représentante de l’ANC en France, fait savoir à ses correspondants qu’elle a des informations importantes à ce sujet et qu’elle se sent menacée : Le jour même où elle emménage, une petite société Sport Éco, éditrice d’une lettre sur l’économie du sport, s’installe sur le même palier. Son rédacteur en chef Pierre Cazeel est un spécialiste de l’Afrique du Sud.

Alors que le représentant de l’ANC à Bruxelles a été assassiné, le ministère de l’Intérieur refuse à Dulcie September une protection policière. Il se trouve qu’un chargé de mission du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, un ancien de l’OAS, est le rédacteur en chef de l’organe du lobby français pro-apartheid.

Fin 1987, un chantier de ravalement s’installe devant l’immeuble. Un des ouvriers, Stéphane, vient souvent bavarder de l’ANC avec Dulcie. Le 29 mars 1988, ce Stéphane et un autre ouvrier un peu spécial, Daniel, sont seuls sur le chantier. Dulcie September est assassinée de cinq balles. Durant une demi-heure le voisin, Pierre Cazeel, se trouve près du corps de la victime. L’enquête s’enlise rapidement. La presse privilégie la thèse du crime commis par un commando sud-africain. La société Sport Éco quitte peu après l’immeuble. L’ouvrier Daniel est parti pour la Suisse. Une journaliste hollandaise, Evelyn Groeninck, vient enquêter à Paris mais on lui fait comprendre que son intérêt est de rentrer chez elle.

Implication de la France :

Il semble, d’après ce que cette journaliste a publié, que l’assassinat a été commis par un mercenaire, ancien de la Légion étrangère venu des Comores, ce serait Jean-Paul Guerrier, adjoint de Bob Denard. Il aurait été commandité par un service sud-africain en lien avec la DGSE. La France aurait eu intérêt à la disparition de Dulcie September, probablement pour éviter des révélations sur le contournement du boycott du régime de l’apartheid décidé par l’ONU.

Sources :

François Xavier Verschave, La Françafrique - Le plus long scandale de la République, Stock, page 190-201 ; François Xavier Verschave, Noir Silence, Les Arènes, 2000, page 138-139.

Lors de sa présence au Congo Belge, Carlucci faisait DEJA partie des cadres de la CIA... et plusieurs sources le citent comme "relai" du feu vert de l'élimination de Lumumba attendu par les Belges pour passer à l'acte.

Aux USA Carlucci est aussi réputé pour être proche (dans le meilleur des cas) de la Mafia... certains auteurs voient même en lui un... "parrain"... genre de missi dominici entre le syndicat et la CIA.

Juste quelques remarques supplémentaires sur l'Afrique du Sud ...

X.Renou, CHP11, p.394

(...) La représentante de 1'ANC travaille a ce moment sur un sujet sensible: les trafics d'armes organises par la France en faveur de l'apartheid, via les Comores et peut-etre le Rwanda (...)

Les divers articles qui mentionnent Jean Paul Guerrier comme suspect (Capitaine Siam), parlent de sa carrière aux Comores avec Denard.

Pretoria était très actif dans l'Océan Indien: en direction des Comores, mais aussi des Seychelles. A la fin des années 1970, l'Afrique du Sud avait servi de base arrière à une tentative de coup d'état contre le gouvernement socialiste des Seychelles, menée par Mike Hoare. Evidemment la CIA était au courant.

http://en.wikipedia.org/wiki/Mike_Hoare#The_Seychelles_affair_and_subsequent_conviction

http://en.wikipedia.org/wiki/France-Albert_Ren%C3%A9#Single-party_state_and_coups_d.27.C3.A9tat

L'implantation durable de Denard aux Comores (une dizaine d'années: 1978-1989) et ses activités locales ont été soutenues par les Sud-Africains. La République Sud Africaine a notamment financé la "garde présidentielle" comorienne (ou "GP"), dirigée et encadrée par des hommes de Denard de 1978 à 1989. Ceux-ci l'expliquent sur leur site (la façon dont ils décrivent leurs opérations n'est pas très objective, par exemple ils parlent de "coup de semonce" au gouvernement marxisant béninois en 1977, alors qu'en fait il s'agit d'une défaite suivie d'un départ en catastrophe...).

http://www.orbspatrianostra.com/ops.html





Il n'y a pas qu'aux Comores (1978-1989) que Denard travaillait avec les "Sud-Africains". Par exemple, en 1976, il appuyait l'UNITA de Jonas Savimbi en Angola (voir la capture d'écran). Les travaux de Monzat et peut-être aussi Frédéric Laurent ("L'orchestre noir",1978) parlent des activités du SDECE en faveur de Savimbi sous V. Giscard d'Estaing

Photos à voir:

http://www.orbspatrianostra.com/albums-photos.html

Leur rubrique nécrologique: on y mentionne plusieurs belges ...

http://www.orbspatrianostra.com/in-memoriam.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Frank_Carlucci

Frank Carlucci, né le 18 octobre 1930 à Scranton en Pennsylvanie, est un homme politique et homme d'affaires américain.

Biographie[modifier]Frank Carlucci entreprend des études à l'université de Princeton où il fait la connaissance de Donald Rumsfeld.

Il rejoint le département d'État en 1956, puis vice-consul à Johannesburg en 1958 et second secrétaire de l'ambassade des États-Unis à Léopoldville dans ce qui était encore le Congo belge. Il y est soupçonné d'avoir facilité l'accession au pouvoir du général Mobutu et d'être impliqué dans l'assassinat de son rival Patrice Lumumba[1],[2].

Il est également en poste en Tanzanie et au Brésil avant de rejoindre les services de la Maison Blanche. Ambassadeur à Lisbonne pendant la révolution des Œillets en 1974, il est finalement nommé directeur adjoint de la CIA par Jimmy Carter en 1978.

En 1982, il quitte le monde politique pour celui des affaires, en particulier dans les domaines de l'armement et de la sécurité.

Il est nommé conseiller à la Sécurité nationale par Ronald Reagan en 1987 qui le nomme secrétaire à la Défense des États-Unis de fin 1987 à 1989. À l'issue de ce mandat, il est recruté par l'entreprise Carlyle dont il devient le directeur.

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Voilà un parcours qui devrait nous intéresser ! Afrique du Sud, Congo (Lumumba), Portugal, CIA, complexe militaro-industriel, Carlyle ...

Il a du croiser le chemin de la plupart des personnes dont nous parlons ici : Guy Weber et les mercenaires du Katanga, Douglas MacArthur II (ambassadeur des USA en Belgique lors de la crise katangaise), Aginter Press (Portugal) et peut-etre Paladin, etc

Dans le message ci-dessus, il est question de Frank Carlucci III.

http://en.wikipedia.org/wiki/Frank_Carlucci

Carlucci was born in Scranton, Pennsylvania, the son of Roxanne (née Bacon) and Frank Charles Carlucci, Jr., an insurance broker. His father was of Italian and Swiss descent.[1]


Cela vaut la peine de s'intéresser au courtier en assurances Frank Carlucci II et à Frank Carlucci I ...

http://www.scoop.co.nz/stories/HL0506/S00418.htm

http://www.counterpunch.org/2005/07/02/frank-carlucci-the-first/

Frank Carlucci the First

by SUZAN MAZUR

The life of Frank Carlucci I has largely escaped public scrutiny, possibly because he’s grandfather to one of the knights of the political chessboard — Carlyle Group’s Frank Carlucci III — who is not known for being flashy. But Carlucci I was an ebullient man and left a legacy as a master builder that merits attention, some of his projects including the Ellis Island Landing Station in New York Harbor, the Grand Stairway at Arlington National Cemetery and Washington D.C.’s Willard Hotel. Moreover, his life provides further insight into the political motivations of his grandson.

His talent for secrecy in the Masonic brotherhood, for example, for which he was rewarded with the highest honor: "sublime prince of the royal secret" was no doubt coded somewhere in the Y chromosome passed along to Frank Carlucci III, who has so far served as deputy director of the CIA, secretary of defense and national security adviser, among other trusted appointments.

Carlucci I’s power base was his craft. As a third-generation Italian stone cutter, he was confident of his work. He was also a strikingly handsome man, sporting a handlebar moustache in an 1897 photo in the Portrait and Biographical Record of Lackawanna County, Pennsylvania.

But to get a sense of what other forces shaped Carlucci I, you have to think your way back to another mythical age when medieval secret societies and ethnic fraternal organizations played a protective role in America’s emerging communities ­ as they did in the late 1800s in mineral-rich Scranton, Pennsylvania, where the Carlucci family settled after emigrating from Italy. Carlucci I belonged to them all ­ Masons, Knights Templar, Benevolent Protective Order of Elks, Mystic Shrine and Irem Temple Shrine.

He also served as honorary president for life of most, if not all, of the Italian societies in Scranton. Scranton had a large Italian immigrant population. The Italians came to the US seeking freedom and no more "padroni" (it’s unclear that’s what they got). Men generally worked in the anthracite coal mines and their families belonged to one of the Roman Catholic churches.

But Carlucci was a stone mason. Think Da Vinci Code for a moment. At the heart of Masonry and its occult rituals and symbols (a couple of which are stamped on US currency) is the building of the Temple of Solomon and fate of its master builder. Through the centuries this association with mysticism has put the Masons at odds with the Catholic Church, which has long rejected occult secret societies.

Carlucci obviously valued the traditions of his craft and professional associations, and the knowledge of the keystone in building an archway was part of the Mason success story. So, Carlucci opted for membership in St. Luke’s Episcopal church in Scranton. He also organized several Republican political clubs and served on various local councils.

Frank Carlucci I was born at Santomenira, Italy near Salerno on April 7, 1862 ­ according to northeast Pennsylvania historian Joseph H. Young, who retrieved Lackawanna county documents. He was the son of Carlo and Grace (Napoliello) Carlucci and the grandson of John Angelo Carlucci.

Frank I took up stone cutting at age 14 in Italy. And in 1882 at age 20, he emigrated to the US with his brother Nick Carlucci. There were nine children altogether and the family reunited in Scranton where a number of Carlucci descendants still live.

Frank first worked in Scranton with a German building contractor named Conrad Schroeder, leaving the firm in 1884 to form a cut stone partnership with Nick ­ Frank Carlucci & Brother, then F&N Carlucci. In 1900, F&N Carlucci merged with Schroeder, reorganizing as The Carlucci Stone Company.

The Carluccis advertised as wholesale dealers and general contractors in cut stone and cut stone buildings. They dealt in limestone, bluestone, pink granolithic sandstone and crushed stone. This was before the widespread use of cinder blocks in building. Schroeder remained president of the company until his death two years later from an accidental self-inflicted gunshot wound.

The Carlucci stoneyards were conveniently situated in Scranton close to the Delaware, Lackawanna & Western railroad, which enabled Carlucci to transport stone throughout the country. He tapped the company’s sandstone quarries at nearby Nicholson and Forest City, and cut and dressed the stone in his stoneyards. He collaborated with such architects as Lansing Holden, Fred Amsden, Ed Langley and others to build dozens of landmarks in northeastern Pennsylvania and elsewhere in the keystone state, among them: the Luzerne and Monroe county courthouses, a post office, five Protestant churches, the Lackawanna county jail (built with Schroeder), Coal Exchange Building (with Schroeder), several hotels, the Scranton Republican Building, the FM Kirby residence, CS Woolworth residence.

The sandstone Carlucci used first formed in the upper Lackawanna River about 365 million years ago. It was greenish gray (bluestone) that went into the 1890 construction of Ellis Island Landing Station in New York Harbor. Carlucci secured a $250,000 government contract for the job. He also built his own home in stone at Clay Avenue and Poplar Street ­ a classic Greek temple with pillars, where he lived with his Swiss wife, Louise Cerini and children Frank Jr., Carl, Helen and Althea.

Carlucci maintained contact with the pool of artisans in southern Italy where he grew up, some of whom he brought to Scranton. He started a School of Mechanics and Arts in Scranton to train stonecutters. He also published the only Italian newspaper at the time in northeastern Pennsylvania, the Pensiero (Thought).

In celebration of the 400th anniversary of Christopher Columbus’s discovery of America, Carlucci proposed erecting a Columbus monument in Scranton’s Courthouse Square. Italian sculptor Albini Cottini drew the model for Columbus and Carlucci carved it from a 9 12 foot block of solid limestone. The statue still stands on the square where Carlucci spoke at the October 11, 1892 unveiling.

In an encore in 1893, Carlucci carved a statue of George Washington for the square. According to Mary Ann Moran, director of the Lackawanna Historical Society who has been studying the Carlucci monuments, the night of the Washington statue dedication a theater benefit was held entitled "The Voodoo or the Lucky Charm", which seems to say something about the life of Carlucci .

One of his most talented proteges was Vincent Russoniello. Russoniello’s archives at Philadelphia’s Historical Society of Pennsylvania reveal he first began working for Carlucci for 22 cents an hour grossing $3 a week and then graduated to apprentice architect for which he was paid nothing.

He got the job because his family was related to the Carluccis through the Cassess banking family. Russoniello later opened his own firm in Scranton, building many of the Roman Catholic churches in the region using Carrara marble, plus various properties for prominent businessmen including Frank Carlucci I, lawyer John Memolo and industrialists Philip and Angelo Medico.

In 1913 Carlucci’s eyesight began to fail. There was a financial crash around this time and banks were closing, including the Cassess Bank. Carlucci left the stone cutting business and was forced to sell his home on Clay & Poplar; it was eventually demolished. From 1921 until his death a decade later, he was a coal operator/contractor. His son, Frank Carlucci, Jr., would take a more secure path as an insurance agent for Connecticut Mutual and move his family to the woods at Bear Creek following the death of his first wife. Frank Carlucci I died March 4, 1931 at the age of 69, several months after the birth of his grandson and namesake, Frank Carlucci III.

SUZAN MAZUR’s reports have appeared in the Financial Times, Economist, Forbes, Newsday, Philadelphia Inquirer, among other publications, and on PBS, CBC and MBC. She has been a guest on McLaughlin, Charlie Rose, and various Fox television news shows. Email: sznmzr@aol.com

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http://www.scoop.co.nz/stories/HL0501/S00017.htm

Un autre article (en anglais) sur Frank Carlucci (III) et Carlyle :

http://www.counterpunch.org/2002/02/01/the-strange-career-of-frank-carlucci/

Sur Carlyle :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlyle_group

Frank Carlucci (I, II et III) et le "Carlyle Group" ne sont pas si éloignés que cela du fil de discussion ...

Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy) copilote depuis avril 2008 l’activité mondiale de services financiers de Carlyle Group ... probablement celui qui tire les ficelles.

Le Groupe Carlyle est une société d’investissement américaine fondée en 1987. Basé à Washington D.C., il est présent dans de nombreux domaines d’activités, comme l’aéronautique, la défense, l’industrie automobile et des transports, l’énergie, les télécommunications et les médias. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est. Le groupe possède 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et il emploie plus de 515 professionnels de l’investissement dans 21 pays. Les différentes entreprises de son portefeuille emploient, quant à elles, plus de 286 000 personnes dans le monde et Carlyle a environ 1 100 investisseurs répartis dans 31 pays à travers le monde.

Pour rappel, le groupe Carlyle a ou a eu parmi ses membres actifs l’ancien Premier ministre britannique John Major, James Baker, ancien secrétaire d’État américain, George Bush père, ancien directeur de la CIA et ancien président des États-Unis, Frank Carlucci, ancien directeur de la CIA et secrétaire à la Défense américain, Karl Otto Pöhl, ex-président de la Bundesbank, la famille Ben-Laden et plusieurs chef d’État et de gouvernement.

Le groupe Carlyle n’est pas coté en Bourse, et n’est donc non tenu de communiquer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que le nombre de leurs parts respectives.

Quatre frères "Sarkozy" : le cerveau qui copilote l’activité mondiale des services financiers d’une multinationale tentaculaire, l’un qui a été en charge de l’exécutif de la France (Nicolas), l’un à la tête d’un des plus gros groupes d’assurance santé et le dernier qui sert les intérêts des laboratoires.

Sans oublier les très nombreux amis milliardaires de Nicolas Sarkozy et les liens mafieux et maçonniques des Frank Carlucci I, II et III ...