carton jaune pour De Decker

( Olivier Maingain vient de déposer sa proposition visant à instaurer une commission d’enquête parlementaire à ce sujet ).


http://www.levif.be/info/levif-blog/opinions/deux-justices-et-donc-l-injustice/opinie-4000200456831.htm

Deux justices, et donc l'injustice

lundi 29 octobre 2012 à 09h40

(...)

Cette impuissance devant le système judiciaire n’est pas le sort de certains autres.

Leur privilège ne se limite nullement à un traitement plus accueillant dans nos tribunaux : au contraire, la loi leur permet d’éviter le désagrément de ce déplacement humiliant.

Tel le milliardaire Chodiev qui a profité de cette loi ignoble du 14 avril 2011 sur ‘la transaction pénale élargie aux crimes financiers’. Moyennant 22,5 millions d’euros, le parquet de Bruxelles abandonne toute poursuite contre lui. Depuis, au fisc de se débrouiller pour chercher les €188 millions manquants dans cette même affaire Tractebel chez GDF Suez. Sont-ils sacrifiés à la pression de Sarkozy en fonction de la vente de 45 hélicoptères au Kazakhstan le 27 juin 2011 ? Olivier Maingain vient de déposer sa proposition visant à instaurer une commission d’enquête parlementaire à ce sujet.

Détail juridique bizarre de cette hâtive transaction avec le parquet bruxellois qui daterait du 17 juin : elle précède la loi réparatrice du 11 juillet 2011 (entrée en vigueur le 11 août) qui permettait enfin l’application à des cas de fraude fiscale réalisés par faux ou usage de faux. En effet, dans la précipitation législative, les auteurs Verherstraeten, Becq & Terwingen avaient limité son application à des faits pouvant entraîner une seule amende, alors que le délit de faux ou d’usage de faux requiert en plus une peine de prison d’au minimum un mois. Le résultat : la loi du 14 avril était jusqu'au 11 août 2011 inapplicable pour les délits précis qu’elle visait, car pour trouver une fraude fiscale sans faux en écritures, il faut chercher loin.

Un pareil traitement ‘tapis rouge’ n’est cependant que la fin provisoire de l’histoire, car il y a encore mieux : appelons-le le tapis bordeaux.

En effet, le rapport du Conseil Supérieur de la Justice au sujet du Diamantgate Anversois relève (p. 25) : « Par ailleurs, le dossier H.S.B.C. révèle le risque accru de pressions exercées sur le Parquet et ce d’autant plus depuis l'entrée en vigueur du nouvel article 216 bis du C.I.Cr. En effet, alors qu'aucun dossier n'est encore à l'information ( !), alors qu'aucun devoir d'enquête n'a été accompli ( !) et que seuls des articles de presse font état de renseignements détenus par le Parquet d'Anvers, les avocats des milieux diamantaires entament immédiatement des démarches auprès du Parquet général et proposent d'entamer des négociations en vue d'une transaction. De telles propositions, au stade d'une enquête qui n'est pas encore entamée, sont surprenantes. L'on peut donc craindre que de telles démarches émanant de toutes sortes de lobbies économiquement puissants soient répétées en vue d'éviter des enquêtes approfondies.”

Entretemps, les €188 millions qui manquent à la caisse de l’Etat ne serviront pas à une meilleure réception dans les tribunaux pour les chômeurs d’ Arcelor-Mittal ou Ford. Pour eux, dans cette justice de classe, faute de justice, il ne reste au mieux que la clémence d’un petit juge, impuissant lui aussi.


(Jan Nolf est licencié en droits et en criminologie. Il fut avocat pendant 10 ans et juge de paix pendant presque 25 ans. Vous retrouvez ces remarques critiques au sujet de la justice sur son blog juridique www.JustWatch.be et sur Twitter&@NolfJan)

Extrait d'un livre d'Alain Guichard, "Les franc-maçons" (édition de 1969).

http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN

http://fr.scribd.com/doc/111545719/Alain-Guichard-Les-franc-macons-edition-de-1969

(...) Neanmoins, les vertus qu'ils celebrent ne sont pas toujours aussi interieures qu'ils l'affirment. Le 18 juin 1964, par exemple, la Grande Loge de Neuilly mettait un immeuble en chantier et faisait appel, pour la pose de la premiere pierre, au general Lemnitzer, commandant des forces de rO.T.A.N. Hommage aux vertus militaires de "l'Ouest" ?

Un dossier de la revue "Le Crapouillot" de février 1981 est sur

http://fr.scribd.com/doc/111546162/Le-Crapouillot-fevrier-1981

Il convient de se renseigner sur cette revue :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Crapouillot

A cette époque, l'équipe dirigeante était de droite, voir d'extrême-droite.

L'extrême-droite et la franc-maçonnerie sont souvent ennemis mais il faut parfois nuancer.

http://www.de-sede.net/index.php?option=com_content&view=article&id=57&Itemid=57&tmpl=component

(...) la trop fameuse loge italienne P2 dont le Grand Maître Licio Gelli, après avoir travaillé successivement pour les fascistes italiens, pour les nazis et pour la CIA, parvint à contrôler les postes clé des services secrets et du haut commandement, à se faire des amis dans la presse, dans la grande industrie, dans la banque, dans la Mafia italo-américaine et au Vatican, et profita pour fomenter des attentats, des provocations et des tentatives de putschs contre la République italienne. (...)

(...) Il faut savoir que, si le Grand Orient d'Italie avait été mis hors la loi sous le fascisme, il existait aussi une Maçonnerie de tendance fasciste surnommée la Maçonnerie Noire, dont le théoricien était l'ésotériste Julius Evola et qui était représentée par la Sérénissime Grande Loge Nationale. (...)

(...) Pinochet, reçu dans la franc-maçonnerie chilienne en 1941, Loge San Bernardo, n'a pas hésité à faire assassiner son Frère Salvador Allende, par deux fois Vénérable de la loge Hiram 65. (...)

(...) l'attitude des dirigeants de la Grande Loge du Chili qui, non contents d'avoir gardé le silence lors du coup d'Etat de Pinochet qui détruisit la démocratie dans le pays en 1973, exclut tous les maçons liés à Salvador Allende, y compris - sous prétexte d'absentéisme! - ceux qui avaient été jetés en prison. Du coup, on a vu Pinochet écrire au Grand Maître Contesse pour saluer "l'action noble et généreuse" de la Grande Loge, et le Grand Maître répondre au dictateur en l'assurant de sa "profonde estime et sincère affection". (...)

Extrait du "Crapouillot" (1981) :

(...) Tres marquee par un anticommunisme formel qui ne tolère aucune concession, la Franc-Maconnerie américaine a tendance aujourd'hui à traiter avec suspicion toutes les
obediences etrangeres dans lesquelles se manifeste un courant politique de gauche. C'est la raison essentielle de la defiance qu'elle a temoignee ce dernieres annees au Grand Orient et à la Grande Loge de France. Les orientations apolitiques qui ont prevalu dans les derniers convents de ces obediences Irancaises n'ont pas suffi à mettre un terme à cette suspicion habilement entretenue d'ailleurs par la Grande Loge d'Angleterre.

La Franc-Maçonnerie americaine est tout autant attachee à la religion que la Franc-Maconnerie anglaise. Peu de temps avant sa mort, George Washington lancait cet avertissement :« Prenez garde à l'homme qui tente d'inculquer Ia morale sans la religion, » On recite des prieres dans les loges, et, presque partout, le Grand Architecte de l'univers est assimile clairement à Jésus-Christ. Il n'est pas rare d'entendre des pasteurs protestants precher dans le temple maconnique.

La Maconnerie americaine a donne naissance à la Maconnerie des Iles Philippines, qui compte dans ses loges 42 % d'Americains. C'est la Maconnerie des Philippines qui a reveille la Maconnerie du Japon apres la derniere guerre. Plusieurs des hauts dignitaires de la Franc-Maconnerie nippone sont encore aujourd'hui des citoyens americains.

http://www.de-sede.net/index.php?option=com_content&view=article&id=57&Itemid=57&tmpl=component

(...) on a vu le fameux évêque Marcinkus, grand argentier américano-lithuanien du Vatican et maçon, associer le banquier catholico-maçon Calvi, le banquier mafioso et maçon Sindona et le Grand Maître de la P2 Gelli dans les opérations frauduleuses et scandaleuses que l'ont sait, qui entraînèrent la banqueroute de la Banque Ambrosiano contrôlée par le Saint-Siège et la mystérieuse liquidation de Calvi, trouvé pendu, très symboliquement, sous le pont des Frères Noirs à Londres. (...)

avec deux briques dans ses poches !

En mai 2012, Armand De Decker voulait que la profileuse Danièle Zucker soit à nouveau introduite dans le groupe des enquêteurs :

http://fr.scribd.com/doc/94265417/Paris-Match-Armand-De-Decker

Il est intéressant de noter qu'elle travaille de concert avec "Academy Group Inc" aux USA.

Voir :

http://abusesanctuary.blogspot.be/2007/01/between-good-and-evil-by-roger-l.html

(...)

I am the founder of The Academy Group, an elite international crime consulting firm whose half dozen members, all FBI, CIA, or Secret Service veterans, constitute a brain trust of the world’s top forensic behavioral science experts in their respective fields: from sexual homicide and child predation, to international terrorism and espionage.

(...)

L'article du Vif

C'est qui, ce Chodiev ?

est sur :

http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN

http://fr.scribd.com/doc/111557736/Le-Vif-C-Est-Qui-Ce-Chodiev

" Academy roup Inc. " (AGI)


http://www.epubbud.com/read.php?g=FRJK6RJE&tocp=1





http://www.epubbud.com/read.php?g=FRJK6RJE&p=2&two=1


D E D I C A T I O N

To my wife, Joanne, who put the smile back on my face.

1 Testament ______________________________1

2 In the Beginning ________________________17

3 The Badge _____________________________43

4 The Bureau ____________________________67

5 The Behavioral Science Unit ______________87

6 The Valley of Death ___________________ 125

7 The Academy Group ___________________ 163

8 Requiem _____________________________ 201

9 Holy Ground __________________________ 215

10 The Broken World ____________________ 247

11 The Divining__________________________ 281

acknowledgments _______________________ 297

Index __________________________________301


_______________


http://en.wikipedia.org/wiki/Roger_Depue

http://millennium-thisiswhoweare.net/cmeacg/The_Academy_Group_Inc.php


Logo :






Roger Depue :






United States Secret Service (USSS) = http://www.secretservice.gov/

Claude Guéant semble embarqué dans une curieuse affaire ...

http://www.lepoint.fr/politique/enquete-pour-soupcon-de-faux-sur-un-recours-contre-l-election-de-solere-30-10-2012-1523035_20.php

Enquête pour soupçon de faux sur un recours contre l'élection de Solère

(...)

Qui vivra verra ...

Peut-être s'éparpille-t'on un peu au -dessus....
Revenons vers du concret.
A la GLRB, existait une Loge le Cèdre n°17 qui semblait réunir des FM:. du Liban, visiblement particulièrement protégée (depuis quand ?).
On pense bien sûr aux noms cités ici, notamment pour Wavre et plus généralement la piste libanaise.
Les loges, outre leur caractère affairiste, réunissaient pas mal d'espions-diplomates-trafiquants.
Que tout ce petit monde se réunisse au nom d'idéaux dévoyés et l'on aboutit à une "organisation"... Celle évoquée par Haemers dont au moins deux membres de sa famille proche étaient FM:. ???
De ces derniers mois d'enquête ici, il apparait de plus en plus que l'existence d'une P2 belge était probable.
On avance petit à petit.
N'oublions pas en marge le phénomène des "fraternelles" qui est à creuser.

Merci ! Voir :

http://le-cedre-nr17.wikidot.com/

Respectable Loge Le CÈDRE n° 17 à l'Orient de Bruxelles

Pour des raisons de sécurité, ce site a été effacé.
Veuillez-nous en excuser.


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Dans cette discussion, les noms de Eric Van de Weghe et de Christian Amory (Amaury ?) reviennent régulièrement. J'ajouterais ceux de Philippe Créteur et de Gabriel Uhoda ...


Quelques compléments ...


Le 12 décembre, l’émission Controverse (RTL) propose un panel sur le thème de la libération de Nihoul. Parmi les invités, le journaliste Philippe Créteur, de La Dernière Heure, grand défenseur de Nihoul. En mai 1982, Solidaire (à l’époque il s’appelait encore Concret) publie un dossier sur les infiltrations fascistes dans les organisations démocratiques en Belgique. Un des personnages centraux de ce dossier est... Philippe Créteur. Dans les années 70, Créteur est membre du Front de la Jeunesse, une organisation d’extrême droite qui dispose, depuis 1976 au moins, d’un ‘service de renseignements’. Ce service rassemble des masses d’informations sur des organisations de gauche en Belgique. Dès 1977, des scissions apparaissent au sein du Front. Quelques dissidents, parmi lesquels Créteur, fondent une nouvelle organisation, l’Association Politique Ordre Nouveau (APON), qui se rebaptisera plus tard Mouvement Social Populaire (MSP). Les fascistes ont bien l’intention de passer à l’action: c’est ce qui ressort de leurs multiples tentatives d’infiltrations dans des organisations de gauche. Ainsi, dès 1978, Créteur reçoit la mission de s’infiltrer dans le Front Antifasciste et dans le Comité Afghanistan. Le PTB le démasque après qu’il ait tenté d’infiltrer la rédaction de Concret.

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Crêteur Philippe, grand défenseur de Nihoul, ancien militant d'extrême-droite, journaliste de la Dernière Heure serait un ami de Eric Van de Weghe

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http://archive.indymedia.be/news/2001/01/2109.html

Belgique, an 1973, la dictature ?

Selon des archives officielles, des enquêtes détaillées et des témoignages dignes de foi, vers 1973, un réseau clandestin a programmé un putsch militaire dans notre pays.

(...)

Les dernières révélations de La Dernière Heure (DH) se basent sur le témoignage de Christian Amory. Ce n'est pas la première fois que cet ancien de l'Escadron spécial d'intervention (ESI) de la gendarmerie (lire Avancées, octobre 1998, p. 27) dévoile des informations détaillées à propos de ce projet de coup d'Etat. Il donnera le nom de code de ce plan, "l'Opération bleue». Un nom qui fut souvent cité lors des travaux d'auditions des deux commissions parlementaires d'enquête sur le banditisme et le terrorisme. Dans l'interview accordée à la DH, Amory avance plusieurs informations détaillées (avec des noms, des dates, des lieux). Il affirme que l'ESI était entièrement impliqué dans ce projet fou. Voici quelques extraits de l’entretien DH-Amory.

A la date convenue par les conspirateurs, nous avons été mis en stand-by de 24 heures

(...) Toutefois, malgré une planification préparée depuis de longs mois et le soutien de plusieurs secteurs du régime, ce scénario antidémocratique n'a pas été mis en œuvre. Une personnalité politique de premier plan devait prendre le pouvoir. C'était le scénario prévu. Deux heures avant, son secrétaire privé l'a informé de ce qui se préparait et du rôle qui lui était offert. Cette personnalité a refusé. Et tout s'est arrêté.

Philippe Créteur, le journaliste de la DH (et ancien militant d’extrême droite) qui a recueilli les propos de Christian Amaury , rappela alors qu'en commission d'enquête, le commandant de la gendarmerie de l'époque aurait admis certains mouvements de troupes. C'était des manœuvres, a-t-il expliqué. Quant au nom de ce politicien choisi par ces «cagoulards», un autre témoin de l’époque, contacté voici quelques jours par Avancées, désigna Paul Vanden Boeynants, alors ministre de la Défense nationale.

Enquête personnelle

Christian Amory, pour sa part, après un service actif au sein de l'ESI (1971-1979), un passage à la BSR Bruxelles (1979-1983) et dans la cellule d'enquête sur les tueurs du Brabant, reçut finalement son C4, en 1995. Il faut savoir que ce témoin clé des «années de plomb» belges fréquentait par ailleurs les deux gendarmes Robert Beijer et Madani Bouhouche (lire Avancées, avril 1998, pp. 28-29). Il fut même soupçonné d'avoir été le lien entre ses deux ex-collègues et la bande des Borains (les premiers suspects des tueries du Brabant).

Le nom d'Amory est aussi cité dans des PV ayant trait au vol d'armes commis au QG de l'ESI (1980). Plusieurs de ces armes réapparaîtront dans le cadre des investigations pour retrouver la trace des auteurs des massacres dans les grandes surfaces entre 1983 et 1985. Selon lui, son renvoi de la gendarmerie est lié au fait qu'il s'était intéressé de très près à tous les événements qui ont secoué la gendarmerie ces dix dernières années, car je croyais être dans un milieu très proche de tout cela. J'ai fait ma petite enquête personnelle: les résultats, je les communiquais à l'adjudant Goffinon (Avancées, novembre 1998, p. 25) et à l'Etat-Major.

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Vendredi 8 janvier 2010

http://www.leclea.be/affaire_dhkp-c/proces_de_bruxelles/pdf/Le_Soir-08-01-2010_p.10.pdf

Au fond de sa prison moscovite, le Belge Eric Van de Weghe, 43 ans, trouvera peut-être un peu de soulagement dans la décision intervenue jeudi devant le tribunal correctionnel de Bruxelles.

La présidente de la 49e chambre a dit la prescription atteinte dans une affaire qui l’opposait à l’homme d’affaires liégeois Gabriel Uhoda.

Rien de bien surprenant car l’enquête sur cette affaire financière avait débuté en 1997. Arrivée devant le tribunal douze ans après, à l’automne 2009, la situation n’était pas encore claire pour tout le monde. Gabriel Uhoda s’y présentait pour se constituer partie civile ; le procureur, quant à lui, le considérait comme un prévenu.

Les autres co-prévenus, eux, brillaient par leur absence. Dans ces circonstances, le tribunal avait remis l’affaire à une audience de la fin de l’année.

Pour examiner des faits rocambolesques où il est question de tableaux prestigieux à vendre puis de 600 bouteilles de grands vins à récupérer en Hongrie.

L’enquête a mis des années à aboutir. Trop d’années qui ont contraint le tribunal à devoir reconnaître que la prescription de l’action publique était atteinte. Les poursuites pénales se sont donc évanouies à tout jamais. Au civil cependant Eric Van de Weghe devra quelque peu dédommager ses victimes.

Il y a un mois, Eric Van de Weghe était condamné dans une autre affaire également fort ancienne par ce même tribunal. Six mois dans le cadre d’une autre rocambolesque affaire où seraient mêlés des tas de services secrets.

Enfin, des faits d’une autre nature affectent actuellement Eric Van de Weghe : il est, semble-t-il, détenu à Moscou suite à une condamnation qui serait intervenue au Brésil pour un trafic d’êtres humains.

Il aurait fourni des dames de compagnie à de richissimes Russes avec qui Van de Weghe entretenait depuis longtemps d’excellents contacts.

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http://www.lalibre.be/actu/international/article/563010/eric-van-de-weghe-n-est-plus-incarcere-en-russie.html

Eric Van de Weghe n'est plus incarcéré en Russie

BELGA

Mis en ligne le 15/02/2010

Eric Van de Weghe, l'homme d'affaires bruxellois incarcéré depuis décembre dans une prison de Moscou pour traite d'êtres humains, a été libéré rapporte lundi Het Laatste Nieuws.

Eric van de Weghe avait été arrêté à la demande des autorités judiciaires brésiliennes.

Les enquêteurs estimaient qu'il était impliqué dans un trafic international de femmes.

Les victimes de ce trafic présumé ont été interrogées et l'ont disculpé. Elles ont dit à la police qu'elles ne le connaissaient pas et ne l'ont jamais rencontré.

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Un membre du trio kazakh, Alijan Ibragimov (Braine l'Alleud), avait des contacts avec Gabriel Uhoda (affaire Cools).

http://www.marcernst.com/dwnlds/Walter_De_Bock_Tractebel.pdf

(...)

De Morgen, zaterdag 9 februari 2002

(...)

Concreet werd de interesse van De Morgen in Tractebel een jaar of twee, drie terug gewekt via twee andere sporen. Ten eerste vroegen - smeekten - speurders om meer journalistieke aandacht voor de infiltratie van de Russische maffia in de Belgische economie. Soms haalden berichten daarover wel de krantenkoppen, maar het ging van kwaad naar erger. Er was al een moord nodig zoals die op 17 juli 1998 op Achmiel 'Mike' Brandwain, vlak bij de Keizerlei in het hartje van Antwerpen, om ook het grote publiek duidelijk te maken dat het hier niet om een marginaal fenomeen ging, maar om niet te missen signalen dat een nieuwe en uiterst agressieve variant van groot-banditisme dit land begon te teisteren.

Zo'n eerste concrete aanleiding kwam er in de marge van de zaak-Cools. Bij het screenen van de entourage van Alain Van der Biest bleek de invloed van de Luikse familie Uhoda duidelijk, een misdadige clan met uitstekende contacten in Oost-Europa en de voormalige Sovjet-Unie. Op een bepaald ogenblik komt de De Morgen politierapporten onder ogen en ontdekt dat er vragen gesteld worden over de rol die Gabriel Uhoda, een telg van die familie, speelde bij het in orde krijgen van een arbeidskaart voor een zekere Alijan Ibragimov, dat de staatsveiligheid de hele zaak in de smiezen heeft, en dat het die dienst niet ontgaan is dat alles gebeurt op aandringen van Tractebel en dat diezelfde Ibragimov ook gevolgd wordt door de ordediensten. Die politionele aandacht voor lieden die zich ophouden in de buurt van Gabriel Uhoda hoeft niet te verwonderen, maar wel die voor een blijkbaar cruciale zakenrelatie van Tractebel? Tractebel, dat was toch een eerbiedwaardig bedrijf, geleid door de bovenlaag aan 'honourable men' die dit koninkrijk bezit ?

Dans la mesure où les Tueries du Brabant avaient plus que probablement comme objectif de renforcer les "forces de l'ordre" en Belgique et d'amener la population à réduire son opposition à l'installation d'euro-missiles, un intervenant du forum me demande s'il y a pu y avoir un équivalent en France ...

Il est frappant de constater que Lyman Lemnitzer (général américain, à la tête du SHAPE et franc-maçon au sein de la franc-maçonnerie américaine, profondément anti-communiste) a partagé son temps entre la France et la Belgique, en établissant des liens forts avec la GLNF et des gens comme Guy Weber ou même Léopold III.

Il y a là-derrière quelque chose que l'on a appelé le complexe militaro-industriel ... c'est-à-dire celles et ceux qui s'enrichissent des tensions et des conflits (et au besoin les suscitent).

L'opération Northwoods semble bien être la création de cette mouvance (organisation ?). De là à penser que son refus par le président Kennedy est lié à sa mort ...

Si l'on compare la France à l'Italie, on peut émettre l'hypothèse que le SAC (Service d'Action Civique) s'apparentait à Gladio / Stay-behind et que la GLNF ressemblait à la P2.

Peut-être faut-il parler au présent et pas uniquement à l'imparfait.

Dans les années 1980 et 1990 en France, je conseillerais d'approfondir les enquêtes relatives aux attentats "islamistes" (Liban ou GIA).

Bien entendu, les exécutants étaient persuadés de servir une cause liée à leur conception violente de l'Islam. La question est plutôt au niveau des commanditaires et du soutien logistique.

Cela peut sembler fantaisiste mais je conseille la lecture du livre "A Mosque in Munich" de Ian Johnson.

http://www.amazon.com/Mosque-Munich-Nazis-Muslim-Brotherhood/dp/0151014183

http://www.ian-johnson.com/mosqueinmunich.html

En français (avant la parution du livre) :

http://www.checkpoint-online.ch/checkpoint/histoire/his0021-mosqueeislamistemunich.html

(traduction de Ian Johnson, "How a Mosque for Ex-Nazis Became Center of Radical Islam", The Wall Street Journal, 12.7.05 )

Au chapitre 7 du livre de Depue

http://www.epubbud.com/read.php?g=FRJK6RJE&p=2&two=1

il est largement question de " The Academy Group ".

On y apprend que le fondateur (Depue) avec comme grand ami Con Hassel, qui s'est occupé du la section "anti-terrorisme" du FBI avant de passer à la CIA.

On en parle aussi dans

Psychological Aspects of Crisis Negotiation, Second Edition
Par Thomas Strentz

(Google Books)

Voir :

http://www.crcnetbase.com/doi/abs/10.1201/b11305-1

Con Hassel is an attorney with a master's degree in criminology who served as a Marine Sergeant in Korea where he won the Purple Heart. After he retired from the FBI, he worked for the Central Intelligence Agency (CIA) where he earned ...

_ _ _


Depue passe aussi du temps à "démontrer" qu'un membre de la famille de "Bobby" Kennedy est l'auteur du meurtre crapuleux d'une jeune fille, Martha Moxley. Cela fait évidemment penser aux soupçons envers un autre Kennedy (William) au sujet de l'assassinat d'une autre jeune fille en Floride en 1991. Serait-ce donc une famille de criminels pervers ? En fait, je n'ai aucune compétence en ce domaine et je ne connais pas les dossiers ...

_ _ _


Ceci dit, qui a eu la curieuse idée d'engager cette profileuse qui refilait ses dossiers à "The Academy Group"?
Lionel Ruth?

En plus, ils ont été grassement payés pour cela ...

http://www.historyforsale.com/html/prodetails.asp?documentid=277696&start=4&page=89





1961-1962 JOINT CHIEFS OF STAFF: GENERAL LYMAN LEMNITZER, GENERAL CURTIS LE MAY, GENERAL DAVID M. SHOUP, GENERAL GEORGE H. DECKER, GENERAL GEORGE W. ANDERSON
Joint Chiefs of Staff from 1961 to 1962, with their signatures on the matting. This photo belonged to Lemnitzer and was part of his estate.

http://www.assassinationresearch.com/v1n1/bodyofsecrets.htm

ON THE ORIGINS OF THE ASSASSINATION OF JFK

James H. Fetzer

[Editor's Note: Perhaps without appreciating the importance of his discoveries for understanding the origins of the conspiracy to assassinate John F. Kennedy, James Bamford's BODY OF SECRETS (2001) reveals the preoccupation of the Joint Chiefs of Staff, especially its chairman, Lyman Lemnitzer, with invading Cuba and removing Castro, an approach to which President Kennedy proved an obstacle.]

(...)

"Lemnitzer had no respect for the civilians he reported to. He believed they interfered with the proper role of the military. The 'civilian' hierarchy was crippled not only by inexperience', he would later say, 'but also by arrogance arisnig from failure to recognize its own limitations. . . . The problem was simply that the civilians would not accept military judgments.'

In Lemnitzer's views, the country would be far better off if the generals would take over. "For those military officers who were sitting on the fence, the Kennedy administration's botched Pay of Pigs invasion was the last straw. "The Bay of Pigs fiasco broke the dike', said one report at the time. 'President Kennedy was pilloried by the superpatriots as a "no win" chief. . . . The Far Right became a fount of proposals born of frustration and put forward in the name of anti-Communism. . . . Active duty commandesr played host to anti-Communist seminars on their bases and attended or addressed Right-wing meetings elsewhere. "Although no one in Congress coud have known it at the time, Lemnitzer and the Joint Chiefs had quietly slipped over the edge."

Eisenhower's suggestion of creating "a pretext for invading Cuba--a bombing, an attack, an act of sabatoge--carried out secretly against the United States BY the United States . . . to justify the launching of a war", was a dangerous suggestion from a desperate president, who wanted to retire from office with a flourish. "Although no such war took place, the idea was not lost on General Lemnitzer. But he and his colleagues were frustrated by Kennedy's failure to authorize their plan and angry that Castro had not provided an excuse to invade. "The final straw may have come during a White House meeting on February 26, 1962.

Concerned that General Lansdale's various covert action plans under Operation Mongoose were simply becoming more outrageous and going nowhere, Robert Kennedy told him to simply drop all anti-Castro efforts. Instead, Lansdale was ordered to concentrate for the next three months on gathering intelligence about Cuba. It was a humiliating defeat for Lansdale, a man more accustomed to praise than to scorn. "As the Kennedy brothers appeared to suddenly 'go soft' on Castro, Lemnitzer could see his opportunity to invade Cuba quickly slipping away. The attempts to provoke the Cuban public to revolt seemed dead and Castro, unfortunately, appeared to have no inclination to launch any attacks against Americans or their property.

Lemnitzer and the other Chiefs knew there was only one option left that would insure their war. They would have to trick the American public and world opinion into hating Cuba so much that they would not only go along, but would insist that he and his generals launch their war against Cuba. . . . They prepare a plan, called OPERATION NORTHWOODS, which "called for a war in which many patriotic Americans and innocent Cubans would die senseless deaths--all to satisfy the egos of twisted generals back in Washington, safe in their taxpayer-financed homes and limousines.

(...)

Au sujet du père Morlion :

http://gulib.georgetown.edu/dept/speccoll/fl/f330%7D2.htm

on y trouve notamment une correspondance entre le père Morlion et J.B. Montini (11/17/1944) qui sera le pape Paul VI ...

http://www.mosquitonet.com/~prewett/caqsmom25.2.html

The Role of Felix A. Morlion

In the latter part of April 1948 the Romanian Timpul published an article, "The Vatican Espionage Service," cited in the Soviet journal New Times, No.31, 1948, at pp. 5, 6. As reported, the article indicated that,

"In 1946 the Pope entrusted the Dominican friar [Felix A.] Morlion, a Belgian, with the reorganization of the Vatican intelligence service and its merger with the jesuit espionage network. The central intelligence department of the Vatican is headed by Janssens, a general of the Jesuit Order. His deputy is Montini, the acting Vatican Secretary of State, and his assistants are Schmider, the administrative director of the central jesuit espionage bureau, and Morlion, director of Centro d'informazione pro Deo. The central intelligence department is subdivided into branches and sections dealing with the various countries. One of the main branches is the so-called 'special division' which operates under the signboard of the Centro d'informazione pro Deo press agency. Similar divisions have been set up in the Centro d'informazione pro Deo units in all parts of the world. In New York the 'special division' is directed by Cardinal Spellman, in Innsbruck (Austria) by Regent, the rector of a jesuit college, in Coblenz (Germany) by the Catholic priest Poelaert who is also director of the Catholic press agency. The branch in charge of espionage in Eastern and Southeastern Europe is supervised by Schmider and Preseren, the jesuits' chief expert on the Slav countries and adviser to the Vatican Secretary of State."

In August 1966, Morlion approached H. L. Hunt for funding Vatican anti-Communist operations in Latin America. Hunt gave an interview to the British Guardian Weekly, February 27, 1969:

" 'I was approached by Paolo Cardinal Marella, who said he spoke for the Pope and asked if I would supply members of my [20,000 member] Youth Freedom Speakers' movement who spoke Spanish to be sent south [to Latin America] to engage in speechmaking and activities. I was told the Pope was thinking in terms of 11 million dollars a year support for the entire movement against communism in Spanish-speaking countries.' ......... The project was now centered in New York, at the Asian Speakers Bureau, with the Free Pacific Association, Inc., on Riverside Drive [another front for the Rev. Moon's Unification Church]. A key figure in this papal concern over Leftist threats to the Vatican's greatest stronghold was thc Rev. Felix A. Morlion, who was present at the original discussions. "

Subsequently, Morlion emerged as a key figure in the "Bulgarian Connection" hoax when the fascist Grey Wolf Agca attempted to assassinate the Pope: It appears that Morlion lived in Rome directly below the apartment of the Bulgarian Antonov, and was a possible source of Agca's description of Antonov's apartment. (See, Il Mondo, April 8, 1985; L'Espresso, May 19, 1985.)

En fait, tout le contenu de

http://www.mosquitonet.com/~prewett/caqsmom25.2.html

pourrait vous intéresser :

COVERT ACTION INFORMATION BULLETIN

Issue title: SPECIAL: NAZIS, THE VATICAN, AND CIA

WINTER 1986 Number 25

Pages 27-38

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Voir aussi :

http://www.prouty.org/brussell/nazi-1.html

The Nazi Connection to the John F. Kennedy Assassination

by Mae Brussell (from The Rebel, November 22, 1983)

(...) "Wild Bill" Donovan was top dog in the OSS. Shortly before the Germans overran Europe, Father Felix Morlion, a papal functionary, had set up a Vatican intelligence organization called Pro Deo in Lisbon. When the U.S. entered the war Donovan moved Morlion lock, stock and barrel to New York and opened a sizeable bank account for him to draw on. The priest founded the American Council for International Promotion of Democracy Under God, on 60th Street. In the same building is the office of William Taub, whose name popped up during the Watergate affair. Taub is well-known as a wide-ranging middleman for such powerful figures as Nixon, Howard Hughes, Aristotle Onassis and Jimmy Hoffa, and his behind-the-scenes maneuvers were invaluable to Nixon in his 1960 run at the presidency. Taub was especially close to Cardinal Alfredo Ottaviania of the Holy See, who arranged Mussolini's 1929 "donation" of $89 million to the Vatican to ensure its neutrality with Mussolini and Hitler. The money went into a special fund in the Vatican Bank, and after the war part of it was entrusted to "God's Banker" Michele Sindona for investment. Sindona channeled a good chunk of it to the Nixon campaign.

When Rome was liberated in 1944 Morlion and Pro Deo relocated there. In recognition of Donovan's good works on behalf of Pro Deo, Pope Plus XII knighted him with the Grand Cross of the Order of St. Sylvester. And before he flew off to Washington to cut his deal with the CIA, Reinhard Gehlen received the Sovereign Military Order of Malta award from the Pontiff. So did James Jesus Angleton, a Donovan operative in Rome who became the CIA's chief of counterintelligence. (...)


(...) 1960 Elections: Richard Nixon vs. John F. Kennedy

Before the election of 1960, a group within the Christian Right plotted to kill John Kennedy in Van Nuys, California while he was still a candidate.

The group was a meld of anti-Castro Cubans, Minutemen and home-grown nazis. Some were sought by Jim Garrison, following his arrest of Clay Shaw, for testimony before the New Orleans grand jury. When Garrison forwarded extradition papers for Edgar Eugene Bradley, a member of the group, Governor Ronald Reagan refused to sign them.

The leader of one of these groups, the Christian Defense League (CDL), was the Reverend William P. Gale. During the war Gale had been an Army colonel in the Philippines training guerilla bands. His superior officer was Willoughby. By the late 1950s Gale was recruiting veterans for his "Identity" group, which was financed by a wealthy Los Angeles man.

One of the CDL's contacts was Captain Robert K. Brown, a special forces professional from Fort Benning, Georgia. Brown was working with anti-Castro Cubans, mercenaries similar to Skorzeny's teams. Brown is now publisher of Soldier of Fortune magazine and paramilitary texts such as Silencers, Snipers, and Assassins. The book explains how Mitchell WerBell made special weapons for the CIA, Bay of Pigs assault squads and other customers. WerBell, son of a wealthy Czarist cavalry officer, perfected a silencer so effective a gun can be shot in one room and not heard in the next. It is ideal for assassinations.

There had been prolonged controversy about how many shots were fired the day Kennedy was killed. The President's wounds, nicks on the limousine and curb, and other bullet evidence indicated quite a few. But the Warren Commission concluded there were only three. It took the testimony of spectators in Dealy Plaza who said they only heard three. It never considered the possibility that silencer-fitted guns were fired.

(...)

The Howard Hughes organization, used as a cover for the kill-Castro conspiracy, (Hughes thought it was a patriotic idea) has long retained Carl Byoir Associates as its public relations arm. Throughout the war Byoir represented nazi bankers and industrialists and the I.G. Farben interests. One of his clients was Emest Schmitz, member of the I.G. Farben-Ilgner and the German American Board of Trade. His Information Services was subsidized by the nazi government. George Sylvester Viereck, editor of the German Library of Information, was also in business with Byoir. A lucrative Byoir client was the Frederick Flick Group. Flick, a Nuremberg defendant released by McCloy, was the single greatest power behind the nazi military muscle.

(...)

In 1949, during congressional hearings on the Malmedy Massacre, the bloody Battle of the Bulge, McCarthy invited himself to take over the entire testimony. He wasn't satisfied until the prison doors flew open. The most detestable and ugly battle of World War II, an assault upon Americans and civilians in Belgium, was ignored. Hitler's precious Generals Fritz Kraemer and Sepp Dietrick, along with Hermann Priess and many others, were free.

With that business finished, McCarthy took on Robert Morris as Chief Counsel for the Senate Internal Security Subcommittee. Morris' earlier training in Navy Intelligence in charge of USSR counter-intelligence and psychological warfare could be utilized well by Senator Joe. Particularly the psychological warfare part.

After McCarthy died, Morris moved to Dallas, Texas. He was a judge, and became president of Dallas University.

In 1961, a year after Buckley founded YAF, another conservative organization was formed in Munich, Germany, calling itself CUSA, Conservatism USA. These were not students, but members of the U.S. army, soon to be mustered out, then to appear in Dallas, Texas, by November 1963. The host would be Robert Morris.

A correspondence between Larry Schmidt in Dallas, to Bernie Weissman in Munich, Germany, in preparation for their arrival, was published in the Warren Commission Hearings, Vol. XVII.

(...)

Ci-dessus, on peut lire que Robert K Brown (voir les nombreux messages à son sujet et à propos de Soldier of Fortune ... bien connu de Jean Bultot, Guillaume Vogeleer, Coyne, Shortt et d'autres) était en contact avec CDL ( Christian Defense League ).

Sur cette "ligue" :

Encyclopedia of Right-Wing Extremism In Modern American History

Par Steven E Atkins











Pour information, une photo de Robert K Brown (second à droite, voir aussi le fil de discussion sur "le schéma de Libert")





Ce tireur d'élite et spécialiste des silencieux ressemble à un ancien portrait-robot ...

Vous parlez d'un portrait robot après Wavre?

Celui du milieu :





Voir aussi le fil de discussion sur Guillaume Vogeleer.

Le trio que vous présentez, c'était après 85, mais à Wavre, un individu avec des grandes lunettes avait aussi fait l'objet d'un portrait robot.

Puisqu'on parle du père dominicain Félix Morlion plus haut, dans le cadre de la "piste bulgare" lors de l'attentat contre Jean-Paul II (une campagne de désinformation menée par les associés de la CIA) :

http://www.powerbase.info/index.php?title=Special%3ASearch&search=Agca&go=Go

On retrouve l'omniprésent Michael Ledeen (années de plomb en Italie = super SISMI et P2, "Billygate", Iran-Contra, soutien aux guerrillas anticommunistes dans le Tiers-Monde, et plus récemment l'affaire des "armes de destruction massive" irakiennes ).

Voir :

http://www.sourcewatch.org/index.php/Michael_Ledeen

http://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Ledeen

Voici la description que donne de lui "l'Humanité" (quotidien du Parti Communiste Français, 14/12/87).

Collaborateur de « Commentary » et conseiller de Mrs Decter, universitaire et avocat, journaliste et « expert en terrorisme », Michael A. Ledeen, lui, est d'abord un stakhanoviste du coup fourré (« dirty trick »). Lorsque l'« International Herald Tribune » l'a choisi pour faire partie des deux douzaines de signatures figurant au sommaire du magazine commémoratif du centenaire du quotidien, cet automne, il est fâcheux qu'il ne l'ait présenté que comme un «Irangate player». C'est faire bon marché d'une carrière où, du département d'Etat à la Maison-Blanche, du CSIS de Georgetown à la CIA, les échelons s'appellent « Billygate » (provocation « libyenne » contre Jimmy Carter), « filière bulgare », « super-SISMI » (avec son ami Francesco Pazienza, inculpé entre autres dans le massacre de Bologne, prise clandestine de contrôle du principal service secret italien), etc.

Pour information :

http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN

http://fr.scribd.com/doc/111793253/Encyclopedia-of-International-Organized-Crime-C-DeVito-2005

Henry a écrit:

Vous parlez d'un portrait robot après Wavre?

Merci d'avoir interrompu le dialogue entre nos deux dératés qui viennent d'aligner 66 échanges sans être dérangés, ce qui prouve l'excellence, l'ouverture et l'intérêt du débat