schéma de Michel Libert

Refiler des infos d'importances sur les opérations en cours pour sauver les Belges massacrés à Kolwezi, ceci à un régime totalitaire qui encadre les rebelles en action avec des instructeurs DDR et marxiste cubain relève d'un fait de haute trahison.

Ceci ne pouvait de toute façon pas interférer sur les opérations en cours. Et les services soviétique n'avait pas besoin du minable petit rapporteur syndicaliste liègeois voulant se donner de l'importance en trahissant son pays, pour connaître le déroulement des opérations.

De toute façon,des informations qui devraient rester secrètes circulaient de plus en plus. Plus tard, il apparaîtra que des syndicalistes français ont communiqué les plans de vol des rotations d'avions entre la France et le Zaïre. C'est ce que découvrent les services d'écoute français qui surveillent les liaisons radios des rebelles. Et Radio France International renchérit en annonçant le départ des C-130 belges avec 1 100 parachutistes. (Ces précisions très documentées figurent dans le livre français intitulé "Le mal zaïrois"4.)

Y aurait-il une justice immanente? Ou la stricte application de la règle marxiste - Léniniste à l'encontre des traîtres à leur pays? Au 170 européens et aux 700 indigènes massacrés à Kolwezi par des rebelles d'obédience marxiste s'ajoutera plus tard la personne de Cools
massacré lui aussi sur les hauteurs de Liège en 1991.

A noter qu'en 1978 Cools était président du Parti socialiste belge, et fut Président du Parlement wallon de 1982 à 1985. Il reçut aussi le titre honorifique de ministre d'État en 1983. Il reçut le grade de Grand Officier de l'Ordre de Léopold et celui de Grand-Croix de l'Ordre de Léopold II.
Bin tiens, pourquoi pas?

Les 1.100 paras Belges engagés dans l'opération "Red Bean "et les familles des victimes apprécieront...

André Cools avait beaucoup d'ennemis et je ne suis pas certain que l'enquête a été au bout des choses. Les exécutants (et même un peu plus haut qu'eux) ont été identifiés mais les décisions ont peut-être été prises par d'autres.

Outre les aspects liés aux loges maçonniques, ce sont les commissions de courtage de la réassurance auprès de Swiss Re qui m'ont le plus étonné. A quoi cet argent était-il destiné (dans la mesure où Léon Lewalle ne semble pas avoir mené un train de vie suspect) ? Je ne crois guère à la version du "matelas financier pour la SMAP" ...

http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/137528/chaude-la-piste-smap.html

André Cools avait-il appris quelque chose sur ces manoeuvres financières et les structures discrètes qui les rendaient possibles ?

HERVE a écrit:

André Cools avait beaucoup d'ennemis et je ne suis pas certain que l'enquête a été au bout des choses. Les exécutants (et même un peu plus haut qu'eux) ont été identifiés mais les décisions ont peut-être été prises par d'autres.

Outre les aspects liés aux loges maçonniques, ce sont les commissions de courtage de la réassurance auprès de Swiss Re qui m'ont le plus étonné. A quoi cet argent était-il destiné (dans la mesure où Léon Lewalle ne semble pas avoir mené un train de vie suspect) ? Je ne crois guère à la version du "matelas financier pour la SMAP" ...

http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/137528/chaude-la-piste-smap.html

André Cools avait-il appris quelque chose sur ces manoeuvres financières et les structures discrètes qui les rendaient possibles ?

De ce que j'ai lu sur l'assassinat en lui-même, son mobile, COOLS avait semble-t'il découvert des choses qu'il s'apprêtait à dénoncer d'une manière ou d'une autre, en lien probablement avec des contrats d'armement, des financements de partis dont le PS.
VDBist, sérieusement alcoolisé était facilement manipulable et ces mafieux italiens ou d'orgine italienne ne sont probablement pas les gentils copains qui aidaient leur ami en disgrace..

Dans l'article de La Libre, il est question de Luciano Fegatilli, un expert en assurances qui détenait illégalement plusieurs armes.

La cellule Cools pensait que Fegatilli et Lewalle se connaissaient.

On retrouve Luciano Fegatilli dans l'article suivant :

http://archives.lesoir.be/sept-personnes-a-lantin-apres-une-tentative-d-assassina_t-19970918-Z0E7JH.html

et il aime partager son goût pour la boxe :

https://www.youtube.com/user/mikoul001

Sans en savoir plus sur ce Luciano Fegatilli et ses possibles contacts avec Léon Lewalle, on ne peut pas creuser le sujet.

Ce qui m'étonne dans le scénario qui a été retenu, c'est que André Cools aurait été au courant des malversations de certains membres du cabinet de Alain Van der Biest et aurait pu les dénoncer ou en tout cas exiger que cela s'arrête ...

... alors qu'André Cools devait être au courant de nombreuses affaires louches touchant notamment le financement du PS et qu'il ne semble pas avoir fait grand chose pour que cela cesse. Il y avait par ailleurs d'autres hommes politiques avec de graves problèmes d'alcool ...

Si André Cools envisageait de faire des révélations, je ne crois pas que c'était au sujet du cabinet Van der Biest. Il devait y avoir autre chose ... qui ne touchait sans doute pas les politiciens du PS.

Puisque Léon Lewalle avat engagé un détective privé pour surveiller André Cools, on peut supposer que l'inverse pouvait aussi se produire et qu'André Cools avait eu connaissance d'affaires troubles ... peut-être dans le domaine des assureurs (et réassureurs).

ce bon vieux cools avec son bon vieux copain Felix Prze[...] (et son fils) à Antibes...
mais là, il parait, il est dangereux d'en parler trop...

... à Antibes ... n'est-ce pas là que le grand maître de la GLNF a son bureau ?

Le magazine "Le Point" actuellement dans les kiosques (n° 2096) présente un dossier sur Jean-Marie Le Pen (à mon avis, il est question de lui dans le schéma de Latinus).

Extrait :

"Son discours est très pro-israélien, dans la droite ligne de l'extrême-droite des années 70."

_ _ _


(...)

Le Pen et Israël

Invité au congrès juif mondial.

Après les municipales de 1983, le leader du FN cherche à s'attirer les faveurs de la communauté juive française. Ses contacts au sein de la secte Moon le mettent en relation avec Jacques Torczyner, président du Mouvement sioniste international, qui l'invite au Congrès juif mondial, le 17 février 1987 à New York.

"Quand il l'apprend, Le Pen est fou de joie", raconte Pierre Ceyrac (parlementaire frontiste du Nord, membre de la secte). Le Pen s'engage à rester discret sur ce déjeuner, promesse qu'il respectera, semble-t-il. La rencontre se déroule au Four Seasons, devant une quarantaine de représentants d'associations juives. La délégation du front national comprend, outre son président, Charles de Chambrun, Pierre Ceyrac et Jean-Marie Le Chevallier, à ce moment-là directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen. Ce dernier fait un discours enflammé, très brilliant. Il raconte un épisode de 1956. Débarqué au canal de Suez trois jours avant le retrait des troupes franco-anglaises, il avait à l'époque tenté de convaincre les membres de son régiment de déserter et de combattre aux côtés de Tsahal l'ennemi commun, censé abriter les corps francs du FLN. Au Four Seasons, son discours est très pro-israélien, dans la droite ligne de l'extrême-droite des années 1970, qui considérait Israël comme un pilier du monde libre, aux avant-postes de la luttte contre le communisme international. Il se prononce pour la fermeture du bureau de l'OLP à paris, se montre résolument atlantiste et pour l'intégration d'Israël dans un "front européen" (...) A la fin de l'allocution, selon le récit des membres de la délégation frontiste, l'assistance se lève pour une standing ovation et Edgar Bronfman, le président du Congrès juif mondial, propose à Le Pen de le faire raccompagner à son avion, signe, semble-t-il, d'une assez forte empathie."

HERVE a écrit:

Le magazine "Le Point" actuellement dans les kiosques (n° 2096) présente un dossier sur Jean-Marie Le Pen (à mon avis, il est question de lui dans le schéma de Latinus).

Extrait :

"Son discours est très pro-israélien, dans la droite ligne de l'extrême-droite des années 70."

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(...)

Le Pen et Israël

Invité au congrès juif mondial.

Après les municipales de 1983, le leader du FN cherche à s'attirer les faveurs de la communauté juive française. Ses contacts au sein de la secte Moon le mettent en relation avec Jacques Torczyner, président du Mouvement sioniste international, qui l'invite au Congrès juif mondial, le 17 février 1987 à New York.

"Quand il l'apprend, Le Pen est fou de joie", raconte Pierre Ceyrac (parlementaire frontiste du Nord, membre de la secte). Le Pen s'engage à rester discret sur ce déjeuner, promesse qu'il respectera, semble-t-il. La rencontre se déroule au Four Seasons, devant une quarantaine de représentants d'associations juives. La délégation du front national comprend, outre son président, Charles de Chambrun, Pierre Ceyrac et Jean-Marie Le Chevallier, à ce moment-là directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen. Ce dernier fait un discours enflammé, très brilliant. Il raconte un épisode de 1956. Débarqué au canal de Suez trois jours avant le retrait des troupes franco-anglaises, il avait à l'époque tenté de convaincre les membres de son régiment de déserter et de combattre aux côtés de Tsahal l'ennemi commun, censé abriter les corps francs du FLN. Au Four Seasons, son discours est très pro-israélien, dans la droite ligne de l'extrême-droite des années 1970, qui considérait Israël comme un pilier du monde libre, aux avant-postes de la luttte contre le communisme international. Il se prononce pour la fermeture du bureau de l'OLP à paris, se montre résolument atlantiste et pour l'intégration d'Israël dans un "front européen" (...) A la fin de l'allocution, selon le récit des membres de la délégation frontiste, l'assistance se lève pour une standing ovation et Edgar Bronfman, le président du Congrès juif mondial, propose à Le Pen de le faire raccompagner à son avion, signe, semble-t-il, d'une assez forte empathie."

Au nom de la défense d'Israël, et par peur-haine des Musulmans, des alliances contre nature.
Un "détail de l'Histoire" ?
Comme quoi l'ED est protéïforme comme je le disais en juillet dernier.
Mais la tendance est là et elle est durable.
Le Communiste a été remplacé par l'Arabe dans l'imaginaire de ces gens aux idées..........

En tout cas, cela peut permettre de mieux comprendre la présence d'un rabbin dans le schéma de Libert ...

Il est aussi instructif de s'intéresser à la famille Bronfman et à Seagrams ...

http://www.slate.com/articles/news_and_politics/assessment/1998/04/edgar_bronfman_edgar_bronfman.html

Je me demande s'il y a un lien entre la famille Bronfman (producteur canadien de whisky ... notamment à l'époque de la prohibition aux USA ... d'où des contacts "douteux" et sans doute mafieux) et l'épouse québecquoise de Charles Pasqua (Riccard) ...

N'oublez pas qu'à l'époque de la "filière libanaise", les phalangistes étaient associés à Tsahal.
En revanche, dans le registre de l'ED à l'époque , version Italienne, c'était l'inverse.
Cf. Entrainements chez des extrémistes Palestiniens (Abou Nidal ?).

Cela vaut la peine de creuser les liens entre la famille Bronfman et la mafia, sans verser dans l'anti-sémitisme (ou dans son opposé). Cela conduit probablement au dossier ATLAS, ce qui n'est pas sans intérêt.

Voir

http://hercollano2.blogspot.fr/2010/03/al-capone-man-and-myth.html

(...)

Hank Messick writes that Capone’s positioning “delighted” the Lansky crowd “because Capone was very much their man.” Al though Capone eventually became his own master in Chicago, running scores of rackets and criminal operations, his loyalty to his New York friends was so firm that Lansky and [Luciano] knew they could always count on him.

And it is worth pointing out that Capone’s immediate “boss” in Chicago, Torrio, was also the Chicago point man for the liquor interests of the Canadian-based Bronfman liquor empire which was shipping its legally-produced products over the border for illegal consumption by Prohibition-era American drinkers. Sam Bronfman and his family worked closely with the Lansky syndicate from the beginning. Therefore, the Torrio-Capone link brought the connection full circle.

Meanwhile, Chicago’s ruling boss, Colosimo, was doing nothing to endear himself to either Bronfman, Lansky or Siegel, whom he was known to refer to as “dirty Jews.” Colosimo proclaimed that he couldn’t understand why Luciano dealt so closely with Lansky and Siegel, saying “I sometimes have a suspicion that he must have some Jewish blood in his veins,” a suspicion that—in light of Luciano’s subsequent fate, as we shall see, is highly unlikely.

In addition, Colosimo asserted that there was “no future in bootlegging” and showed little interest in patronizing the Bronfman liquor supply. Colosimo wanted to focus on drugs, prostitution and loan-sharking. His boycott of Bronfman booze was cutting into the Lansky syndicate’s profits.

Needless to say, when the time was ripe, Lansky (via Torrio and Capone) moved against Colosimo who was gunned down by a New York Jewish gangster sent in to do the job. The biggest wreath at Colosimo’s lavish funeral featured a card that read: “From the sorrowing Jew boys of New York.” Soon enough, the Bronfman liquor came flowing into Chicago, courtesy of Lansky’s henchman, Torrio and his right-hand, Capone.

(...)

Un autre aspect de J-M Le Pen révélé par sa nouvelle biographie est l'importance qu'il accorde à l'argent.

Selon les auteurs, il a du mal à faire la différence entre l'argent du FN et le sien et il s'intéresse particulièrement aux vieilles personnes (Solange Léonet ...).

Toute ressemblance avec Nicolas Sarkozy n'est peut-être pas fortuite ...

L'aspect protéïforme de l'ED permet néanmoins de la cerner ou au moins de le tenter.
Pour le surplus, je n'ai que mépris à l'égard des "politichiens" comme disait le Général.
Nous avons un seul homme d'Etat ici en France; Jean-Pierre Chevènement.
Mais né en Mars 1939........
"La messe est dite".....

Un lecteur attentif ("A") me demande d'être plus nuancé lorsque j'aborde le discours pro-israélien de l'extrême-droite des années 1970.

La phrase "En fait, l'extrême-droite et les Juifs étaient en très bon termes dans les années 1970" est excessive. Il conviendrait plutôt de dire qu'une partie de l'extrême-droite s'entendait avec certains milieux juifs de droite, à travers le monde. Cela s'expliquait essentiellement par un anticommunisme et un anti-soviétisme commun. A partir de l'article du magazine "Le point" on pourrait aussi parler d'un "anti-arabisme" commun : Jean-Marie Le Pen a tenté de convaincre les membres de son régiment de combattre aux côtés de Tsahal contre "l'ennemi commun" (FLN, etc).

Voir :

http://www.sourcewatch.org/index.php/World_Jewish_Congress

http://www.sourcewatch.org/index.php/Edgar_M._Bronfman,_Sr.


Voir aussi

http://www.sourcewatch.org/index.php/Anti-Defamation_League

http://www.sourcewatch.org/index.php/AIPAC

https://www.youtube.com/watch?v=LCyQfka9THk


Sans parler des organisations paramilitaires d'extrême-droite comme la "Jewish Defense League" (fondée par le rabbin Meir Kahane à NYC en 1968), classée comme terroriste par le FBI :

http://en.wikipedia.org/wiki/Jewish_Defense_League

http://en.wikipedia.org/wiki/Meir_Kahane


Nous parlons aussi d'une époque où Israel s'entendait bien avec le régime d'apartheid sud africain et a soutenu les contras nicaraguayens (sur ce dernier point, voir le livre "The Iran-Contra Connection").

Il faudrait relire ce que Peter Dale Scott a écrit sur les liens entre la CIA et le Mossad à cette période ...


Par ailleurs, Charles Pasqua avait le soutien du milliardaire Jimmy Goldsmith :

http://en.wikipedia.org/wiki/James_Goldsmith

(son père était juif et sa mère catholique)

In 1977 Goldsmith bought the French weekly L'Express and between 1979 and 1981 published the UK news magazine NOW! which failed to survive.[16]


Cette discussion a sa place dans ce forum vu que le ministre de la justice de l'époque était Jean Gol (contrairement à ce que certains ont écrit, je crois que c'était bien son nom et pas une abréviation).


Un point qui m'a toujours semblé obscur est le fait que la rançon de Paul Vanden Boeynants a été payée à partir d'Israël "pour services rendus" (je ne sais pas de quels services il pouvait bien s'agir).

Cela éclaire aussi la présence d'un "rabbi Groher" dans le schéma de Libert.

En outre, pour information :

http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/biography/Rothstein.html

http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/biography/lansky.html

http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/biography/Edgar_Bronfman.html

http://en.wikipedia.org/wiki/Meir_Kahane

http://www.entrepreneur.com/article/197618

(...)

Risky Business

In the process of building his empire, Samuel Bronfman had to deal with some of America's most notorious mobsters, including the likes of Charles "Lucky" Luciano, Meyer Lansky and Dutch Shulz. Although Bronfman's business dealings with these and other infamous gangsters were completely legal, thanks to loopholes in both Canadian and American law, Bronfman was never really comfortable walking the thin line between the two sides of the law. And his connections with organized crime would place him in an uncomfortable position on more than one occasion.

In 1935, Sam and his brothers were charged with smuggling whisky back into Canada. In the end, thanks to what some said were "suspiciously missing" shipping records, the charges were thrown out of court. Bronfman's Prohibition-era dealings would again return to haunt him in the 1950s, this time in the United States, during a congressional investigation into organized crime led by Senator Estes Kefauver. On the stand, Bronfman's name was mentioned by a number of America's biggest gangsters. A lawyer for one of them referred to Bronfman as "a plain, ordinary bootlegger." There's no doubt Bronfman met with mobsters. Meyer Lansky's widow even talked about the lavish dinners Bronfman threw for her husband. But while there were certainly connections, no crimes were ever proven.

(...)

Voir aussi

The Mafia Encyclopedia
Par Carl Sifakis

sur Google Books

je pense plustôt un copain juif qui habitait le même immeuble et qui avait eu le même problème de santé avec un de ces enfants ou petits enfants comme" le leucemie" je pense
d'avoir lu qqs part

Si VDb était très à droite cela ne lui faisait pas un neo-nazi quand même.

Dans son entourage il y avait divers "shades of Grey"et probalement c'est ceux là qui le voyait comme leurs champion.

-si le première vague peut être lié pour une partie au WNP (car les journalistes d'époque ont compris après 8 ans que les buts de Lat et certains" barons" allaient ds la même direction
>< destabiliser la sureté, Raes en comprometant l'infiltration de Smets pour les punir des effets de la note de la suretéde 1981 , qui a fait capoter les plans du CEPIC)

-la deuxième vague va plustôt vers un chantage sur le champion vu certains (fausses)indices qu'on a mis volontairement en avant.

qqs part un journaliste a rassemblé des differentes hypothèses et le 4-ième , ramassée ds les milieus de la justice dit-il ,allait dans cette direction.

Pour en revenir à la conférence de Jean-Marie Le Pen au "Four seasons" à New York, un autre récit (qui recoupe celui de la récente biographie de Le Pen) :

(...) La rencontre entre Le Pen et les responsables de la communauté juive s’est déroulée à New York en juin 1987 en présence du président du congrès juif de l’époque, Edgar Bronfman. Cette rencontre a eu lieu dans un restaurant appartenant à la famille de ce big boss, le "four seasons". Selon Olivier Guland auteur du livre "Le Pen, Mégret et les juifs", outre M.Bronfman, ont assisté à cette soirée :

- la plupart des caciques du judaïsme américain,
- un conseiller d’Itzhak Shamir,
- l’ambassadeur d’israel aux nations unies, un certain Benyamin Netanyahu (actuel premier ministre de l’entité sioniste),
- Abraham Foxman, numéro deux de l’ADL Anti-Defamation League (aujourd’hui n°1).

La réunion a duré une heure, après un petit exposé de 20 minutes où le vieux menhir (surnom de Le Pen) a insisté sur son soutien indéfectible à israël qualifié de "rempart du monde libre" et flatté ses nouveaux amis qu’il considère être "à l’avant garde du combat anti-terroriste" ; il a répondu à une dizaine de questions portant sur la sécurité d’israël. A la fin de sa prestation, le vieux a eu droit à une standing ovation.

Après la réunion, Le Pen s’est envolé pour Washington et il a pris le même avion que Israel Singer, le secrétaire général du congrès juif mondial, et Jacques Torszyner, l’organisateur de la réunion.

Certains n'ont pas apprécié cette conférence ... comme Théo Klein.

Marine Le Pen semble avoir eu un accueil moins chaleureux :

http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2011/11/08/etats-unis-le-mysterieux-interlocuteur-de-marine-le-pen-en-floride/

_ _ _


Il faut noter que les contacts entre Jean-Marie Le Pen et la communauté juive ont été établis via la secte Moon (aussi présente sur le schéma de Libert).

Voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Ceyrac_%28homme_politique%29

Pierre Ceyrac, né à Douai le 18 septembre 1946, est un homme politique français.

Il a été, entre autres, élu député du Nord en 1986, député européen en 1989 et conseiller régional en 1992, dans le Nord-Pas-de-Calais, chaque fois sur les listes du Front national qu'il quitte en 1994. Il a été aussi connu pour son engagement comme membre actif de la secte Moon (secrétaire général de CAUSA International, filiale politique de Moon) mais s'est retiré de ce mouvement en 1997. Il est le neveu de François Ceyrac.

Voir aussi :

http://www.prevensectes.com/moon5.htm

et

http://www.lesinrocks.com/2012/09/12/actualite/quand-le-front-national-avait-rendez-vous-avec-la-secte-moon-11302049/

(...) “Le révérend Moon pensait que le communisme était un danger pour le monde”, explique aujourd’hui Pierre Ceyrac, qui fut missionnaire pour la secte dès 1972 et secrétaire général pour l’Europe du mouvement Causa, le bras politique des moonistes, à partir de 1983. (...)

Il faut se souvenir que Douglas MacArthur II et Alexander Haig ont été deux piliers de la secte Moon et que cette dernière a eu des contacts avec le WNP ...

L'ED est visiblement pragmatique. Elle sait où est l'argent. Elle sait aussi que pour arriver au pouvoir, elle doit composer avec l'un des plus puissants lobby.

Il y a eu des interventions intéressantes sur

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1149-la-piste-israelienne?highlight=Isra%EBlienne

Ceci me renforce dans l'idée que "J-M P" du schéma de Latinus est bien jean-Marie Le Pen ...

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/09/03/quand-la-secte-moon-avait-des-liens-avec-le-front-national_1755060_823448.html

Quand la secte Moon avait des liens avec le Front national

Le Monde.fr | 03.09.2012 à 17h29 • Mis à jour le 03.09.2012 à 18h25 Par Abel Mestre

Jean-Marie Le Pen en 2009.

Le Front national a entretenu des liens, au mitan des années 1980, avec la secte Moon, dont le fondateur, Moon Sun-myung, est décédé lundi 3 septembre. C'est un certain Pierre Ceyrac qui avait joué le rôle de trait d'union. Ce membre de la secte en France fut notamment député FN en 1986 – il a quitté le parti d'extrême droite en 1994.

Dans leur livre de référence paru au Seuil en 1994, intitulé Le Pen biographie, Gilles Bresson et Christian Lionet recueillent le témoignage de Pierre Ceyrac. "En 1985 (...), j'ai rencontré Le Pen (...). Il ne connaissait pas l'enseignement du révérend Moon, mais il n'était pas effrayé ou offusqué. Au contraire, il s'est montré curieux. J'ai apporté mon carnet d'adresses, des ouvertures dans le monde entier. Cette ouverture intéressait Le Pen. Moi, en tant que mooniste, ce qui m'intéressait au FN, c'était une ouverture sur la scène nationale."

MM. Bresson et Lionet donnent un premier exemple de ces passerelles, en racontant un déplacement au Japon, pendant lequel l'anticommunisme apparaît comme une cause commune au FN et à l'Eglise de l'unification : "Au Japon (...), [Jean-Marie Le Pen] rencontre des dirigeants de l'Union internationale pour la victoire sur le communisme, organisation créée en 1968 par le révérend Moon", écrivent-ils.

LA PHOTO DE LE PEN AVEC REAGAN

Mais surtout, cette "ouverture internationale", M. Le Pen en bénéficiera avant la présidentielle de 1988, avec sa fameuse photo aux côtés de Ronald Reagan, alors président des Etats-Unis.

"A la mi-février 1987, Le Pen rentre de Washington, où l'a accompagné Pierre Ceyrac. Il a en poche un cliché, qu'il s'empresse de publier, où on le voit serrant la main de Ronald Reagan. La photo laisse supposer qu'il a été reçu à la Maison Blanche. Il n'en est rien. Elle a été prise lors d'une conférence donnée par le président des Etats-Unis au cours d'un déjeuner de quatre-vingt couverts organisé par le colonel Bo Hi-pak. Bras droit du révérend Moon, l'officier sud-coréen est le président de la société New World Communications, qui contrôle le Washington Times. Sur la recommandation de Ceyrac, Bo Hi-pak se fait un plaisir de conduire par le bras Le Pen vers Reagan qui le salue poliment, sans plus, mais sous l'œil opportun des objectifs."

Autre photo intéressante :



Elle est tirée de l'article suivant (en néerlandais) :

http://willyvandamme.wordpress.com/2011/08/10/het-perfide-isral-naakt/

Comme quoi tout est bien compliqué.
J'ai dit que l'ED pour revenir à elle était protéïforme.
Qui dit ED officiellement ici dit WNP, voire Waechtelaer.
On évoque l'ED depuis le début mais on a examiné en détail en réalité plusieurs ED, notamment quand il s'est agi d'aborder sur un mode mineur l'ED Italienne (dont l'épisode controversé de l'armurerie parisienne).
Cette ED là est pro-palestinienne.
Mais celle de Ciolini ne l'est pas du tout.
Seul le vecteur du financement et de la capacité de le faire doit être prépondérant en dehors des idéologies à géométrie variable.
Qui finance et pourquoi ?
Et le sujet abordé ici ces derniers temps a-t'il un lien avec les TBW ?
Telle est la question principale si l'on défend au travers d'une certaine vision la manipulation qui se situerait hors cadre "banditisme", voire "prédateurs".

Je crois que les relations entre l'extrême-droite (les extrême-droites ?) et le Moyen-Orient sont complexes, notamment en ce qui concerne le Liban à l'époque qui nous intéresse.

En s'intéressant à Jean Gol, on reste dans le sujet des Tueries vu la fonction qu'il exerçait à l'époque. De même, Jean-Marie Le Pen apparaît, à mon avis, dans le schéma de Latinus et mérite l'attention.

On peut aussi se souvenir des liens entre Jean Gol et Georges Gutelman :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Gutelman

et l'importance que ces liens ont eu lors de l'opération Moïse.

Il faut quand même noter que cette opération a violé de multiples façons le droit international, même si je ne veux pas entrer ici dans une polémique ...