schéma de Michel Libert

HERVE a écrit:

En effet ...

Je ne sais pas ce qui a été fait pour déterminer le propriétaire ...

Des recherches ont été effectuées à l'époque dans certaines grosses librairies. J'entends par librairie, les commerces vendant uniquement des livres.

un editeur donne aussi des exemplaires demo je pense , donc qui dit qu'ils l' ont ACHETE

@K
rien mais il me semble que la piste la plus plausible est quand même celle de l'achat: n'y a t'il pas eu une proposition de souscription dans AMI ? Pour avoir été dans le milieu (édition!) je sais que c'est le premier réflexe d'un éditeur.

Maintenant tout dépend de l'ouvrage (format,épaisseur, 4chromie.... qui détermine son coût).A ce propos, on a une idée ?

@HERVE
Modestement mon avis à ce stade-ci:
A lire le dossier, je me demande si la piste"" stratégie de la tension" n'est pas une impasse. Qu'il y ait une nébuleuse criminelle "internationale noire" ne fait aucun doute, mais les TBW ont ils à y voir ? Sans doute en sont ils issus mais utilisés ?
Quand je regarde la chronologie , je suis frappé par la montée en puissance des actes violents: tout cela commence "petit bras" pour finir en apocalypse, comme si fort d'un sentiment de toute puissance, ils s'étaient lachés et avaient basculés dans la folie meurtière (cfr Colonel Kurtz ds Apocalyse Now). Des prédateurs, seulement des prédateurs ?

La question centrale, à ce stade, ne me semble pas être celle-là. Une de mes connaissances m'a laissé entendre que les enquêteurs font en ce moment le chemin inverse...

Cette piste de la stratégie de la tension n'est une impasse que parce qu'on ne relie pas pour l'instant les noms aux faits, faute d'éléments matériels et objectifs. Par définition, cette stratégie ne peut réussir que par cloisonnement, et en brouillant les pistes...

Le nombre de manipulations de l'enquête depuis le début des faits n'est plus à démontrer. Le vrai problème est qu'on n'a jamais cherché à savoir pourquoi on brouillait les pistes... Ce schéma, par exemple, que Libert exhibe lors de cette fameuse émission en 1992, à quoi correspond-il exactement ? A la base, c'est une note manuscrite de l'intéressé reprenant des noms en vrac, juxtaposés... Peut-on faire confiance à Libert ? Etait-il sincère ? A-t-il été - à son insu - manipulé ? Je veux dire, non seulement pendant la période WNP, mais aussi à cette époque où l'on parlait de Gladio ?

Les enquêteurs ont-ils fait les vérifications nécessaires ? Libert, lors de cette émission, justifie ce schéma par l'apparition de ces gens qu'il cite dans ses "enquêtes" pour le WNP et le PAL (WACL, etc.). Les enquêteurs ont-il vérifiés les dites enquêtes ? Libert a-t-il laissé intactes ses archives du WNP ?

" D'après Bob LOUVIGNY, CIOLINI avait des contacts avec l'ambassade d'Israël (MOSSAD). CIOLINI aurait une adresse de contact en ARGENTINE, province de BUENOS AIRES. Il s'agirait de sa demi-sœur, la nommée COHEN Marina, Fabienne, mariée à MARTING."

screenshot-reader to text:

Citation :

CARTOUCHES MILITAIRES,
utilisées par les polices et les forces
armées de 1866 à nos jours, P.A.
Caiti, Editions De Vecchi. 1983.

L'auteur a tenté de présenter,
dans un ordre qui ne nous a pas
toujours semblé rationnel, les infor-
mations principales sur la majorité
*— jl serait prétentieux de dire toutes
— les munitions classiques de guerre
et de police utilisées depuis 1866.
La présentation est très bonne, le
papier de qualité, dans un format
permettant des schémas et tableaux
clairs et précis.
L'amateur de «beaux livres» re-
grettera peut être l'absence de plan-
ches en couleur, mais le collection-
neur ou l'amateur plus «technique»
y trouveront sans aucun doute un
meilleur rapport qualité-information-
prix.L'introduction donne une syn-
thèse des problèmes de détermina-
tion des calibres, des amorçages, des
types de poudre et des formes de
projectile. Nous y avons découvert
des sigles et dénominations que nous
n'avions jamais rencontrés mais
nous avons en revanche remarque
l'absence d'abréviations couram-
ment employées sur les condition-
nements américains, tels que RN
(round nose) WC (WADcutter) et SWC



L'évolution des munitions nous
donne, en 2 pages, une bonne syn-
thèse assez complète de l'évolution
des différents calibres ; les calibres
récents (44 Mag par exemple) ne
sont toutefois pas présentés.
Les «considérations sur le pou-
voir d'arrêt et perforation» sont as-
sez simples pour être comprises par
tous, mais datent de 1931.
Chacun des calibres militaires ou
police les plus courants est ensuite
décrit après un bref historique ; ses
données numériques sont fournies
avec une photo ou un schéma, géné-
ralement avec les tolérances, le type
de projectile qui a été produit et les
différentes dénominations ou équi-
valences de calibre. N'étant pas col-
lectionneur de munitions, nous
avons ainsi appris qu'il existait des
6,35 scmi-blindèes. Etant donné le
sérieux de l'auteur et de son conseil,
nous avons toutefois été quelque peu
étonné que des poids de poudre
soient donnés (ex. pour le 6,35 mm:
0,09 g) sans autre précision. Pour
rappeC le poids de la charge varie
suivant la fabrication et le type de
poudre employé.
Le plus souvent, l'ennui que l'on
pourrait croire suscité par une ènu-
meration, qui pourrait être monoto-
ne , des caractéristiques des dif-
ferents calibres est coupé par une des-


cription, en grisé, n'apporte auc peu
de détails techniques, mais elle crée
autour de la description technique
chiffrée de la munition un cadre
distrayant. L'auteur a ainsi «navi-
gué» entre l'ouvrage technique que
l'on consulte maïs qu'on ne lit pas, et
le livre dissertant avec une élégance
cachant parfois la pauvreté techni-
que du sujet

Notre plus grand regret, dans ce
livre qui s'est à la fois voulu ouvrage
technique de référence et agréable à
lire ou consulter, a pour objet le
chapitre «cartouches pour maintien
de l'ordre» : moins d'une colonne et
demie de texte, deux pages de(grarv
des) photos. Est-ce sérieux à une
époque où RWS, Remington et tant
d autres grandes firmes ont. depuis
plusieurs années, un programme
portant sur des dizaines de muni-
tions particulières a ce domaine, peu
connu même des services de police
intéresses ?

L'ouvrage présenté ici est un bon
ouvrage, dans la lignée des ouvrages
américains présentés en la matière-
Bon nombre de données techni-
ques devront être vérifiées avant de


rendre un avis favorable, mais, dès à
présent, nous pensons pouvoir dire
qu'il s'agira d'un bon achat en tant
que premier livre pour les amateurs,
collectionneurs débutants, policiers
ou militaires avant cette branche
dans les cours élémentaires qui leur
sont dispensés.
CD. □
=Claude Dery ?

si je comprend bien ce livre est un livre pour foutre dans le feu

Je n'avais pas pensé à

CD. = Claude Dery

C'est pourtant probable vu que son nom est dans la rédaction, comme "expert balistique".

Voilà déjà une personne qui a eu le livre à sa disposition !!!

Cela fait au moins une personne qui a eu le livre en main.

L'a-t-il encore ?

S'il ne l'a plus, à qui l'a-t-il donné ?

A une de ses connaissances comme M. Bouhouche ?

A un autre rédacteur de la revue ?

Ou bien l'a-t-il jeté au feu ?

le feu sacré du bois de la houssière : ils rodaient autour pour conjurer les dieux celtiques!

suivant les differentes versions :

1.: les gendarmes de Ecaussines qui ont étouffer le feu fraichement demarré ....

2.: un promeneur qui a alerté une camionette de gendarmes qui passe

3.: les motards de braine (le comte ou l'alleud?) qui trouvent les cheques

ou le grand feu qui a endommagé les arbres autour dixit aigle ?

puis qqs heures après à 50 mètres(?) en vient de foutre le feu un golf avec le blessé de alost etc


je ne connais pas bien le bois mais le feu avec cet encyclopedie avec les cheques de overijse c'est fabiqué ds le but d'égarer je pense


on ne c'est jamais accordé sur les differentes voitures gti1 et 2 utilisées à overijse,braine et alost,
-volé à Erps Kwerps et ailleurs puis mis en pièces (devant un villa de VDB?) au cimetière de ......

-ou mis a feu ds le bois de houssières (de VDB?) et ,

-ou, en plus celui volé au mont des arts après l'attaque de Alost.

tout est truqué pour égarer , donc minitieusement préfabriqé et scenarisé.



,

Il est sain de se demander régulièrement si l'on ne se fait pas mener en bateau par l'un ou l'autre manipulateur...

Il faut revoir :

http://www.killersbrabant.be/objects-fr.php

et les revues que l'on a retrouvées :

AMI (Armes Militaria Infos).
Armes international - N° 25 - dec 85 - jan 86.
L'amateur des armes - N° 30.
Armes international - N° 1 - december 1983.

ainsi que l'encyclopédie ...

Le feu était au Bois de la Houssière entre le 2 et le 9 novembre 1985.

Il y avait aussi divers documents et des chèques estampillés DELHAIZE, volés lors des faits commis à OVERIJSE le 27 septembre 1985.

Le compte-rendu de la lecture de l'encyclopédie (signé CD = Claude Dery ? ... proche de Bouhouche) vient de la page 95 du AMI n° 50 de février 1984.

Cela signifie que quelqu'un a eu en même temps en main des chèques de l'attaque d'Overijse, l'encyclopédie et les revues.

Quelque soit sa motivation, ce simple fait doit être pris en compte.

_ _ _


Par ailleurs, le schéma de Latinus est tiré du livre de René Haquin "Des taupes dans l'extrême-droite" et la légende parle d' "amalgames" ... Comme Libert, Latinus est parfois présenté comme un mythomane ...

_ _ _


Je suis prêt à parier que les restes du feu et les schémas Libert & Latinus ne sont pas de la manipulation. Je crois aussi que Libert était sincère dans ses interviews télévisées.

Même si Libert est sincère, il peut se tromper ... vu que lui-même a été manipulé (c'est d'ailleurs ce qu'il dit) à un certain moment.

Avec ce que l'on sait maintenant, il y a cependant une cohérence là-derrière qui me donne confiance.

Je m'avance bien entendu quand je fais l'hypothèse que "LA VEGA" (schéma de Latinus) est César de la Vega, un argentin de la P2 ambassadeur à Paris. Un lien WNP - P2 est important quand on sait ce que la P2 a fait par ailleurs.

Cependant, là aussi, il y a une bonne cohérence ... L'Argentine apparaît par ailleurs à d'autres endroits dans le dossier (notamment avec Elio Ciolini ... qui est une des clés de nos recherches).

HAQUIN,RENE

Page 16

Mardi 10 juin 1997

Le chef des enquêteurs à la commission Tueries : le commandant Schot prêt à quitter le bateau

Le commandant de gendarmerie Didier Schot dirige depuis dix ans, mais plus pour longtemps, la cellule « tueries» de Jumet. Visiblement il ne partage pas l'optimisme du magistrat Jean-Claude Lacroix sur l'issue de l'enquête :

- Je ne vois pas le bout du tunnel. L'enquête sur les portraits-robots est intéressante. Et nous avons deux chapeaux, des mégots, des vêtements portant des indices sur la signature génétique d'un auteur. Ils sont à l'analyse depuis deux ans. Quand on aura une signature, il faudra encore des mois. L'axe fondé sur la balistique est démotivant. Exemple : le rapport de trois experts sur les plombs «cubiques» tirés sur les gendarmes après l'attaque de Dekaise en 1982 était erroné. Deux des experts disent n'avoir jamais vu ces plombs. Le troisième, Claude Dery (décédé), nous a donné des explications fumeuses. Quant à l'axe d'enquête basé sur le dossier Mendez, il est bâti sur du sable qui ne durcit pas.

(...)

Citation :

Armes international - N° 25 - dec 85 - jan 86

ou killersbrabant sont des rigolos ou c'est le distributeur de ce magazine qui a donné les numero ,fraichement arrivé , à des critiqies car alost c'est le 9 novembre 1985 !!!!


donc la magazine dont l'encre n'etait pas seche se trouve déjà à la houssière???????

quand cette magazine était distribué ????que-dalle!!!!


----------------------------------------------


libert:
-ou il était second couteau comme il dit qqs part car il ne peut accompagner Latinus (comme ds le gare de Mons)

-ou il était un grand chef et il connait tout les contacts à l'internationale.

s'il n'est que second couteau comment sans avoir fait des recherches historiques et sans les possibilités du net qu'on a maintenant , comment entre 1983 et 1992 , date ou il sort le schema , il peut avoir accumuler tout ces données et en faire un schema pour ce programme télé?>>>il n"'a pas le calibre pour cela ! donc on lui a filé ce schéma ?????

- s'il est "grand chef" pourqoui son carrière ne c'est pas develloppé après grâce à tout ces contacts ?


pour moi il n'était qu'un front , une leurre

regardeou calmette avait sa ferme:

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/gallery/Album-personnel-de-K/SHAPE-pic_202.htm


et ERBISOEUL , le seul qui en parle c'est sur ligne "ARMORY"

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t260p75-christian-amory


Ghijsels notait que c'était en afrique du sud ?

et un membre bien informé "des années " indique aussi que c'est en belgique

@K

La question relative aux dates citées sur le site internet de l'enquête ne doit absolument pas être négligée.

La revue "Armes international" n° 25 Dec. 85 - Jan. 86 (dont on voit la couverture) se trouvait parmi les restes du feu au Bois de La Houssière.

Or, il est dit que l'encyclopédie et les revues ont été jetées au feu entre le 2 et le 9 novembre 1985.

Qui, en Belgique, aurait pu avoir le n° 25 de la revue "Armes international" entre le 2 et le 9 novembre 1985 ?

Ou bien il y a une erreur sur le site.

Ou bien certaines personnes recevaient le magazine "en avant-première" pour une raison que je ne connais pas ( Comité de lecture ? Claude Dery ? )

Cela pourrait être important !

En effet :

"En ce qui concerne le nommé CALMETTE, j'ai appris qu'il avait loué une fermette à Erbisoeul face a une ferme. A l'époque, lui et certains de ses amis de mêmes opinions politiques y auraient testé des armes et se seraient livrés à certains entrainements de type paramilitaire." (s: Amory, PV21266)

C'est en effet près du SHAPE (et le SHAPE, cela fait penser à Douglas MacArthur II - mais c'était encore en France - ainsi qu'à Lyman Lemnitzer - à l'époque du déménagement - et à Alexander Haig ... possible lien avec Latinus et lien sûr avec la secte Moon, comme Douglas MacArthur II d'ailleurs ... sans oublier que Guy Weber y a été assistant de Lyman Lemnitzer et que ces deux derniers étaient proches de Léopold III).

Calmette est important, notamment vu sa proximité avec Faez al Ajjaz (lui-même en lien avec Kashoggi ?) ...

Il semble avoir donné des cours de karaté à beaucoup de gens !

Voir :

http://prop1.org/legal/prisons/92wack.htm

Wackenhut's labors on behalf of Arab despots aren't the company's only unsavory episodes. Here are some ocher items from our Wackenhut file:
* Wackenhut's right-wing politics have not been confined to supporting U.S. administrations. In 1977, Wackenhut obtained special permission to operate in Belgium; according to Edward Herman and Gerry O'Sullivan's The Terrorism Industry, Wackenhut 'quickly got involved with right-wing terrorists who were themselves linked to state security agents." Wackenhut's local director in Brussels, Jean-Francis Calmette, was a rightist who had hired and given combat instruction to members of Westland New Post, a Belgian fascist group. Wackenhut left Belgium in the early 1980s, following accusations that its guards were luring immigrant children into basements and beating them.

Les enquêteurs ont certainement une longue liste de ses contacts ...

A lire avec réserve !
Je ne sais pas si je me souviens bien ( j'y ai encore pensé dimanche donc pas d'effet de suggestion du dernier message lu) mais il me semble que Jean D.avait une retraite dans le Hainaut, du côté de Ath ( ? ). Je crois l'y avoir eu au téléphone. A vérifier évidemment.

Citation :

A l'époque, lui et certains de ses amis de mêmes opinions politiques y auraient testé des armes et se seraient livrés à certains entrainements de type paramilitaire." (s: Amory, PV21266)

Citation :

Les enquêteurs ont certainement une longue liste de ses contacts ...

et si on dois croire le post d'un membre très bien informés sur les années , ils vont y rencontrer les noms de leurs anciens collegues ou même chefs


je n'ai jamais vu un chien mordre son qeue , c'est pour cela qu'ils tournent en rond depuis 25 ans.

Il est un peu question de César de la Vega sur le site suivant :

http://www.pagina12.com.ar/1998/98-12/98-12-14/pag03.htm

(il est surtout question de l'importance de la loge P2 dans ce pays !)

Voir aussi :

http://piras_peron.blog.tiscali.it/2012/01/05/operazione-gianoglio-peron-ritorna-in-argentina/

Il est question de la situation en Argentine dans le livre suivant :

http://www.scribd.com/doc/87382497/Escadrons-de-la-mort-Tdm

La plupart des chapitres est disponible sur :

http://www.scribd.com/BEGHINSELEN

En 1946, le lieutenant-colonel Juan Domingo Perón accède à la présidence argentine. Aussitôt, il entreprend un programme de coopération diplomatique, économique et culturelle avec l’Espagne franquiste. Ces relations bilatérales vont agiter tous les secteurs de la société argentine, certains les défendront, d’autres les condamneront. L’armée argentine ne restera pas étrangère à ce débat et prendra même une part active dans les relations hispano-argentines.

Licio Gelli se vantait souvent de liens avec Juan Peron, le caudillo argentin. De fait, sur la liste des « piduistes » (membres de P2) découverte au début des années 1980, plusieurs membres de la junte de Jorge Videla y étaient cités, entre autres José Lopez Rega, le fondateur de la « Triple A » (« Alliance anticommuniste argentine »), responsable du massacre de l'aéroport d'Ezeiza, lorsque des snipers tirèrent sur la foule de jeunes péronistes de gauche, enclenchant la scission entre la gauche péroniste et la droite péroniste.

La Loge P2 a été accusée d'avoir participé, aux côtés du réseau Gladio, à la « stratégie de la tension » visant à « empêcher, selon les termes d'un rapport parlementaire rédigé en 2000 par la coalition de l'Olivo, le Parti communiste italien et, dans une moindre mesure, le Parti Socialiste Italien d'accéder au pouvoir exécutif ».

La liste des membres de P2, découverte en 1981 dans une villa de Licio Gelli, comptait de nombreuses personnalités, dont l'intégralité des chefs des différents services secrets italiens (SISMI, etc.), de nombreux politiques (dont Silvio Berlusconi, condamné pour parjure pour avoir nié son appartenance mais qui a depuis bénéficié de prescription), des journalistes, des magistrats, le banquier de Dieu Roberto Calvi, le mafieux Michele Sindona, José Lopez Rega, le fondateur argentin de la « Triple A », Raúl Alberto Lastiri, et Emilio Eduardo Massera, qui participa à la junte de Jorge Rafael Videla…

A voir aussi :

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/liberation-50-les-etranges-95378

en tout cas, pour ce qui concerne l' U-977 ...

Il y a un documentaire en espagnol sur Youtube :

https://www.youtube.com/watch?v=W1jVQeTzAgs

https://www.youtube.com/watch?v=Oiq0XsgMWvw

etc

Lire les chapitres "La filière argentine" et "Odessa" dans

http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seaux_d%E2%80%99exfiltration_nazis

(...) L’existence des filières italiennes et argentines n’a été confirmée que relativement récemment, essentiellement suite à des recherches effectuées dans des archives déclassifiées. Jusqu’aux travaux de Aarons et Loftus, et ceux d’Uki Goñi (2002), il était généralement admis que les ex-nazis eux-mêmes, organisés en réseaux secrets, avaient exploité seuls les filières d’évasion. La plus connue de ces filières est ODESSA (organisation d’anciens membres de la SS), fondée en 1946 selon Simon Wiesenthal, qui comprenait le SS-Obersturmbannführer Otto Skorzeny et le Sturmbannführer Alfred Naujocks et en Argentine, dit-on, Rodolfo Freude (...)

Odessa aurait été supportée par le réseau Gehlen Org, qui employait de nombreux anciens membres du parti nazi et était dirigé par Reinhard Gehlen, un ancien officier de renseignement nazi employé après la guerre par la CIA. Le réseau Gehlen Org devint le noyau de l’agence de renseignements allemande BND, dirigée par Reinhard Gehlen depuis sa création en 1956 jusqu’en 1968. Outre le réseau Gehlen Org, le CIA organisa en parallèle et juxtaposa les réseaux Stay-behind en Allemagne. Des documents de la CIA divulgués en 2006 suite au 1998 Nazi War Crimes Disclosure Act démontrent que la CIA a organisé des réseaux Stay-behind d’agents allemands entre 1949 et 195531.

En 1952, l’ancien officier SS Hans Otto révéla à la police criminelle de Francfort l’existence de l’armée fasciste allemande Stay-behind BDJ-TD. Les extrémistes de droite arrêtés furent déclarés non coupables dans des circonstances mystérieuses.

Un des réseaux Stay-behind avait comme membres le Sergent Heinrich Hoffman et le Lieutenant Colonel Hans Rues et un autre, dont le nom de code était Kibitz-15, était dirigé par le lieutenant-colonel Walter Kopp, un ancien officier de la Wehrmacht, décrit par ses agents traitants américains comme un « nazi non repenti »32 (...)

Voir :

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/06/06/AR2006060601555_pf.html

http://www.guardian.co.uk/world/2006/jun/08/secondworldwar.usa

et les livres de John Loftus ...

( http://www.scribd.com/doc/77666691/America-s-Nazi-Secret )

http://fr.wikipedia.org/wiki/Alliance_anticommuniste_argentine

Alliance anticommuniste argentine

L’Alliance anticommuniste argentine (espagnol : Alianza Anticomunista Argentina, AAA ou Triple A), fondée par José López Rega, était un escadron de la mort actif en Argentine lors de la "guerre sale" dans les années 1970. Celle-ci a fait plus de 30 000 victimes. On estime à environ 1 500 le nombre de victimes de la Triple A elle-même.

(...)

La Triple A a été fondée par José López Rega, également membre de la loge maçonnique italienne Propaganda Due (P2), impliquée dans la « stratégie de la tension » en Italie, avec l'aide d'Alberto Villar, vice-chef de la police fédérale argentine et participant de l'opération Condor, Rodolfo Eduardo Almiron, ainsi que l'agent de la SIDE (les services secrets argentins), Anibal Gordon2, et son acolyte Raúl Guglielminetti. José López Rega se servait des fonds du Ministère des Affaires Sociales qu'il dirigeait pour financer le groupe terroriste. Le but initial de la Triple A était probablement l'élimination physique des partisans de gauche du péronisme, étant donné que Lopez Rega représentait l'aile droite du parti. Postérieurement le groupe paramilitaire élargit les assassinats au reste de la gauche non-péroniste.

(...)

De réputation notoire, la Triple A bénéficiait d'un appui tacite important de la part des militaires et du chef de l'armée Jorge Rafael Videla, qui prendra le pouvoir lors du coup d'État de mars 1976. Lors de la dissolution de l'escadron, beaucoup de ses hommes de mains ont été immédiatement recrutés par l'armée pour poursuivre leurs pratiques mais cette fois-ci avec l'appui quasi-officiel de l'appareil d'État.

(...)

Le juge espagnol Baltasar Garzon a démontré que Stefano Delle Chiaie avait travaillé avec la Triple A.

Selon le documentaire de Marie-Monique Robin, Escadrons de la mort, l'école française (2004), des anciens de l'OAS exilés en Argentine, ainsi que des officiers de renseignement français, ont participé à la formation en techniques de contre-insurrection de l'armée argentine. Un accord secret liant Paris à Buenos Aires était en vigueur de 1959 à 1981, date de l'élection de François Mitterrand à la présidence.

Pendant son exil secret en Espagne, Almiron fut le garde de corps du dirigeant politique Manuel Fraga Iribarne, ministre du Tourisme sous Franco puis ministre de l'Intérieur lors de la transition démocratique. Almiron a été retrouvé et capturé par Interpol en Espagne en décembre 2006 et son extradition vers l'Argentine est attendue dans les mois à venir.

D'un autre côté, José María Boccardo, ancien membre de la Triple A, a participé avec Jean-Pierre Cherid et d'autres dans l'assassinat, en 1978, d'Argala, un etarra qui avait lui-même participé à l'assassinat du premier ministre de Franco, Luis Carrero Blanco, en 1973 — événement déclencheur de la transition démocratique espagnole.