Latinus, Paul

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Jamais entendu parler d'une arme "A.P.75" qui serait la variante d'un M.16

Cheshire cat a écrit:

Jamais entendu parler d'une arme "A.P.75" qui serait la variante d'un M.16

http://en.wikipedia.org/wiki/Armi_Jager
http://www.naturabuy.fr/DEVANT-BOIS-GARDE-MAINS-AP75-CAL-22LR-COPIE-M16-TBE-item-297567.html
http://www.tireurs.fr/PDF2/M422lr.pdf
http://www.forum-airguns.com/t24910-armi-jaeger-ap-80-22lr

la date des déclarations de Lat (mi septembre 1983 ,sur le double meurtre en 1982 (B & L )
tombe ensemble à peu près avec le départ en vacances d'un de ces personnes impliqués par lui.
je doute donc du fait que c'est un hasard.

plustôt ,une indication qu'il est bien au courant des l'aller et venus


si cela est le cas et vu les déclarations de N et d'autres qui déclarent que L peut etre impliqué ds nivelles ,, Latinus aurait donc bien été au courant de ces évènements de nivelles mais n'en pipe pas mot.


ce que veut dire que nivelles est la prolongation de la déstabilisation de la sureté en cas ou

les déclarations de Barbier ne suffisent pas.

Est ce que on avait fait miroter aux deux bandes présentes qu'il travaillait aussi pour une "service" en récupérant des "dossiers ?"

un peu d'histoire pour les alpinistes

Citation :

13 et 14 septembre 83 : Découverte et interrogatoire de Michel Libert concernant les vols de documents-télex au CTR d'Evere.Il nie les faits.
14 septembre 83 : Réquisition d'instruction judiciaire dans l'affaire des vols de documents-télex. Michel Libert est placé sous mandat d'arrêt.

>Nivelles, 17 septembre 1983


>lundi de nivelles(19?)

> départ en vacances des grimpeurs ici qqs part

>Selon l'inspecteur Boucquaux, de la cellule du Brabant wallon, il existait une plainte de Lefère contre le couple Fourez-Dewit pour extorsion. Et le dernier prêt de VDK à Lefère date du 19 septembre 1983, deux jours après le meurtre du couple Dewit. Encore des coïncidences


Et aussi premier article de Haquin le 20 ds le soir sur WNP :
20 :09 :83 Le SOIR


le 20 on trouve latinus chez Houtv.:


Après qu’il eut été interrogé par la police judiciaire
les 21 et 22 septembre 1983 dans l’affaire du WNP et
dans celle des vols des télex de l’OTAN,

(ici le jeudi 22 :09 :83 , la mère de BARBIER  montre en prison les ordes de Lombarde et de Latinus
Latinus l’avait demander cela 8 mois avant pour faire tomber une service )



21 et 22 septembre 83 : Interrogatoire circonstancié de Paul Latinus concernant le WNP et les vols des documents-télex.

Paul Latinus s’est présenté à la police judiciaire (MARNETTE)le vendredi  23 septembre1983   pour y faire spontanément une déclaration concernant le double meurtre de la rue de la Pastorale,commis le 18 février 1982.

23 septembre 83 : Dénonciation par Paul Latinus à la police judiciaire des noms des auteurs du double meurtre de la Pastorale, à savoir Marcel Barbier et Eric Lammers.

24 septembre 83 :Aveux de Marcel Barbier à la police judiciaire;aveux qu'il confirme devant le juge d'instruction le
26 septembre 83 > Il est placé sous mandat d'arrêt.

Le 26 septembre 1983. Smets faisait un nouveau rapport sur la composition de l'état major du W.N.P.et que Paul Latinus a été membre du mouvement d'action civique de Thiriard.

Saucez avait été interrogé par la police judiciaire le 27 septembre 1983 à propos du WNP.


Lammers arriva chez son père le vendredi 30 septembre 1983 à 22 heures. Il ne se rendit pas immédiatement
à la police judiciaire pour y être interrogé mais les faits suivants se produisirent:
Dans l’après-midi du samedi  le 1”’ octobre 1983,Eric Lammers se rendit, en compagnie de Marc Van der Meiren,
(remarque je pense que c’est marc qui était avec lui en suisse)

chez Frédéric Saucez, Jean-Louis Nemry  était présent. Tous étaient membres du WNP.
Lammers et Nemry se connaissaient depuis octobre 1980 alors qu’ils faisaient partie ,du Front de la Jeunesse.



>>Fin septembre 83 : Depuis les révélations concernant le WNP par Paul Latinus et Marcel Barbier, les membres de l'équipe Massart de la Sûreté de l'Etat qui avaient donné connaissance en février 1983 de l'existence du WNP, n'obtiennent plus accès, dans les services de la Sûreté de l'Etat, aux dossiers des mouvements d'extrême droite. Ceux-ci sont conservés par le « secrétaire privé » de l'Administrateur Directeur-général.


Dans la soirée du 1”’ octobre 1983, les parents
d’Eric Lammers ont reçu un appel téléphonique de la mère de Marcel Barbier, qui leur apprit que son fils
avait avoué avoir commis des faits très graves en compagnie du leur, qu’elle ne le croyait pas et qu’elle enterait
d’obtenir plus d’informations le lundi suivant.

Eric Lammers était présent lors de cet appel téléphonique.

on voit les étranges coïncidences et difficultés (4 semaines) pour trouver Libert et Latinus

Extrait de l'interview de Francine Lyna dans le premier livre de Guy Bouten :

(février 1982 ...)

Extrait de

Les Tueries du Brabant
par Jean Mottard et René Haquin
(Complexe - 1990)

les dates , toujours les dates >ZIPper WNP avec TBW sur certaines elements du vague 1

Sur le décès de Paul Latinus, il pourrait être intéressant de relire ce qui est dit dans le livre de Jean Mottard et René Haquin ("Les tueries du Brabant" - enquête parlementaire) qui date de 1990 :

http://fr.scribd.com/doc/173313220/Le-deces-de-Paul-Latinus-Mottard-Haquin-1990

Vidac Rue François Bossaerts 53 1030 Schaerbeek possiblement a qqs centaines de metres du HK Dailly, Autac,Vieille bosn le même periferie qoui

vidac fondé par qui et pour qoui faire ?
récemment déménagé,

Voir aussi, en néerlandais, un autre article de la série "Operatie catacomben" (HUMO, 1987) :

http://fr.scribd.com/doc/175300440/HUMO-7-Mei-1987-De-Macht-Met-Alle-Middelen

Et si Victor Ostrovsky ne disait pas n'importe quoi quand il affirmait que le WNP était un outil Stay-Behind qui avait été repris par le Mossad, pour organiser les TBW?

- le bureau des questions sionistes
- un capo d'extrème droite qui disait que Latinus était impliqué dans des affaires Mossad
- un agent secret free-lance (Michel Dufrane?) qui a vu des telex du mossad à la Sûreté, pour dire qu'ils allaient s'occuper de l'"affaire Latinus"
- la presence de Al Ajjaz (Arabie Soaudite/Syrie), Menassa (Liban) et l'histoire des camps d'entrainement au Lybie, l'histoire Carlos
- Smets et ses connections juifs (professionelles et privées)
- Gol en charge de la Sûreté
- Lammers qui conduit à la bande Haemers (elle même ayant une conotation juive via Tyack, J.C. Darville, l'"organisation" de P. Haemers, ...)
- l'auxilliare Bouhouche qui conduit à Mendez, Buslik, Beijer (tous ayant des rapports "juifs")

Puis regarder les elements portant la signature d'Israel dans quelques attaques TBW (libanais, modus operandi, ...) et les éléments juifs/israeliens chez bcp de personnes cités dans les dossiers

La question: si le Mossad avait repris le WNP, c'était pour s'attaquer à qui? Probablement à la "nébuleuse" qui préoccupait Gol et Raes. Quelle était cette nébuleuse, infiltré par mr. X (Bougerol?). Et pourquoi?

je trouve le serie de Hilde Geens bon et à relire et mettre en ligne de temps où j'avais des lacunes.
aussi je trouve confirmation de certaines choses j'avais sentis louche par autres approches et lectures
dommage de ne pas être commencé par cela.

il reste question comment le chef de cabinet de VDB vient plus tard chez GOL ?ou je me trompe ds ces series de "kerkhofs"

ça K, c'est une très bonne question. Mais il semble que la clique CEPIC/AESP/LIL/... s'est regroupé dans l'IESP, maintenant principalement de tendance PRL/loge plutot que PSC/opus. Sauf VDB et de Bonvoisin. Ils n'ont pas suivi leurs (ex?)amis de la mouvance paneurope/von Habsburg-Malte-WACL-Pinay-P2-... Si comme les pions Stay Behind purs et durs sont allé à l'IESP et que la mouvance plutot maffieuse de VDB et copains a pris un autre chemin?

ce monde par Breways&deLiege


le début ,troisième version , la bonne ?:

Citation :

Depuis qu'il a quitté le Front de la Jeunesse fm 1978, Paul Latinus tente
d'approcher la Sûreté de l'Etat. Il vise la section à laquelle appartenait
Smets (B2-C) par le biais d'un de ses inspecteurs, Christian De Roock. Ces
tentatives d'approche avaient échoué. Smets et De Roock les jugeaient trop
insistantes et se demandaient si la brouille entre la direction du Front et La-
tinus était réelle ou feinte. En juin 1979, à la surprise de Smets, son supé-
rieur le commissaire Victor Massart, responsable à la Sûreté de l'Etat de la
brigade qui couvre la Province de Brabant en matière de Renseignements
Généraux (B2), engage Paul Latinus comme informateur.
Lors de la rencontre qui a lieu dans un café près de la gare du Luxem-
bourg, Massart présente Latinus à son 'manipulateur' (sous sa véritable
identité!): Christian Smets, celui qui depuis plusieurs mois rechigne à
l'engager. A l'époque de son engagement, Latinus - qui provient du
Front! - est censé fournir des renseignements sur les groupes de gauche et
d'extrême gauche. Il dispose, pour ce faire, de deux outils: d'une part le
'Codo', le service de renseignement du Front de la Jeunesse qu'il a réor-
ganisé et où il a gardé des contacts et, d'autre part son poste dans l'admi-
nistration qui délivre les emplois CST aux associations progressistes. Ces
deux canaux lui permettent d'appâter la Sûreté. Victor Massart précisera
qu"il est particulièrement difficile de refuser ce genre d'offre, surtout
pour un fonctionnaire dont la vocation est de recueillir tous les renseigne-
ments possibles ( ... ) De plus, le fonctionnaire européen à l'origine de la
rencontre était fiable. '6 Ce dernier n'est autre que Robert Thomas, un res-
ponsable du service de sécurité de la CEE. Il entraînait les militants du
Front de la Jeunesse aux techniques de combat... Fiable, disait Massart.
Par quel biais Latinus a-t-il été envoyé à la Sûreté?

Il fournissait auparavant des informations à la BSR (Gendarmerie) de Bruxelles, mais les éléments qu'il apportait y étaient jugés trop politiques.

L'adjudant Roger Tratsaert aurait dès lors pris contact avec un de ses anciens collègues passé au service de sécurité de la CEE, Roland Maffioli.

La suite de la filière est connue, puisque Thomas va trouver Massart.

Selon un témoin qui désire garder l'anonymat,(7) cette filière est fausse et n'aurait été donnée que pour en masquer une autre:

toujours en partant de la BSR de Bruxelles, ce serait Madani Bouhouche qui aurait pris Latinus en charge pour le remettre à Claude Dery.

Puis on retombe à nouveau sur Massart et Thomas.

L'appartenance de Dery et Massart aux réseaux du major Bougerol est
certaine. Faut-il en conclure que les réseaux du major Bougerol ont opéré
le transfert de Latinus de la BSR de Bruxelles vers la Sûreté?

Pourquoi prendre un tel luxe de précautions? On se contentera de constater que le nom de Madani Bouhouche a été cité dans les enquêtes sur les tueries du Brabant et l'assassinat de Juan Mendez, que Claude Dery a été l'expert balistique de ces dossiers chauds et d'autres.
82

remarque 7: membre commission gladio

je pense avoir lu quelques part que Dery est passé par là et qu'il a fait des déclarations d'avoir été  manipulé ...qui en sait plus ?

et par hasard le lancement du missile V1 Latinus se passe au moment où

Citation :

> L'intention manifeste par Bougerol de créer une agence de presse a, semble-t-il, été décisive dans l'attitude des responsables militaires car ils appréhendaient le mécontentement de la presse et ses inévitables investigations. Quoi qu'il en soit, en juin 1979, Bougerol fut muté à Tervueren l'état-major général des forces de l'intérieur. La mort du lieutenant-général Roman, survenue au milieu de 1978, un de ses rares protecteurs à l'armée, a scellé manifestement le sort du major Bougerol.

Bougerol a Tervuren ,oui ok mais dans quel service ?
Car c est la que se trouve la direction du G2:BS
Donc si il quitte l enveronnemet de SDRA .....il est sous tutelle de C_INT ce qui signifie kif-kif et bourricot   

moi je pensais qu'on avais mis dans la bibliotheque pour enfin etre tranquille car

la page suivante (84) on parle du fait que le SDRA était entrain de fouiller les mêmes dossiers que Smets:

Citation :

Départ à Charleroi


A l'époque de l'engagement de Latinus comme informateur, l'inspecteur
Christian Smets était considéré comme le poulain du commissaire Victor
Massart. Mais les relations entre les deux hommes vont se dégrader à par-
tir du moment où, ayant réussi l'examen de commissaire, Smets devien-
dra responsable d'une section au sein de la brigade dirigée par Massart.

L'ambiance se dégrade tellement qu'à la fin 1980, Smets demande et ob-
tient sa mutation au poste de Charleroi de la Sûreté.

Avant de rejoindre la capitale du Pays Noir, il a une entrevue fin novembre 1980 avec l'admi-
nistrateur-adjoint Jacques Devlieghere que Massart - futur 'défenseur de
la démocratie' dans l'affaire WNP - surnomme affectueusement le 'so-
cialo du fond du couloir'.

Devlieghere charge Smets de continuer son travail sur l'extrême droite à Charleroi, et lui donne pour cibles le service de renseignements privé PlO et sa prolongation - le réseau 'Miller' -l' Ab-
baye d'Aulne et les chevaliers de la Milice de Jésus-Christ ainsi que le groupe néo-fasciste Occident.

La mutation de Smets aura de sérieuses conséquences.

Il faut revenir pour cela à une chronologie serrée.

-Le 1"' décembre 1980, le 'traitant' de Latinus part à Charleroi, en bagarre avec Massart et certains membres de sa brigade.

- Peu après, le 18 de ce même mois, Pour démasque l'ancien cadre
du FJ. Certains, dont Latinus, n'hésitent pas à penser que Smets s'est vengé
en vendant la mèche à l'hebdomadaire d'extrême gauche. Ce qui est totale-
ment faux. Nous sommes d'autant plus formels sur ce point que l'un des au-
teurs de ce livre est le rédacteur de l'article qui a mis le feu aux poudres.

A la suite des révélations parues en janvier 1981, Paul Latinus décide de fuir.
Il veut quitter le pays clandestinement et s'adresse, pour se faire,
au commissaire Smets qui refuse. Première tentative visant à le mouiller?
Objectivement, Latinus peut quitter le pays comme il le désire, n'étant
l'objet d'aucune poursuite judiciaire. Il s'enfuit donc, et gagne le Chili
grâce à une personnalité de la noblesse belge travaillant pour l'ambassade
de Pinochet en Belgique, la comtesse de Liedekerke.

A Charleroi, le commissaire Smets s'installe. Contrairement à sa posi-
tion à Bruxelles, il est censé être un généraliste du renseignement.

Son mois de décembre est occupé par la prise de contact avec ses subordon-
nés, leurs dossiers et... les fêtes de fin d'année.

A la rentrée de janvier, le commissaire en chef Jean Van Gorp lui téléphone, bien énervé.
Il veut des résultats dans l'enquête PIO-Miller-Milice de Jésus-Christ. Celle-ci n'a
pas encore commencé.

Devlieghere insiste ensuite. Mise sous pression, l'antenne carolorégienne de la SE ne fait dès lors pas dans la dentelle. Son enquête est si peu discrète qu'un officier supérieur de gendarmerie à la re-
traite déboule dans les locaux de l'antenne locale du service secret pour
83
protester contre les questions qu'on pose dans son entourage sur lui-même et Jean Bougerol. Négligeant les précautions pour cause d'urgence, un inspecteur de la Sûreté se retrouve à fouiller les mêmes dossiers qu'un agent du SDRA.

Depuis que VdB a quitté la Défense nationale, les services de renseignements militaires sont eux aussi sur la piste du réseau Bougerol-Miller.

Après quelques recherches, un des hommes de Smets met la main sur un papier à en-tête montrant que PlO est un département de la société anonyme PDG dont le siège est au 39 rue Belliard.
Soulagement. L'enquête peut retourner à Bruxelles.

note : le retraité peut etre Maj.? naturellement

brew&deliege:

Smets et d'autres suivent le dossier à Bruxelles

Citation :

De manière surprenante, la direction de la Sûreté rappelle Smets à
Bruxelles. Nous pouvons révéler aujourd'hui que, bien qu'officiellement
en poste à Charleroi, le commissaire Smets a été rapatrié pendant trois se-
maines au moins à Bruxelles, qu'il a disposé d'un bureau et d'un adjoint
au 9" étage du square de Meeûs pour intensifier ses recherches sur de Bon-
voisin et son entourage. Chose surprenante, disions-nous, car la Sûreté
disposait à Bruxelles, dans le même couloir, chapeautée par Victor Mas-
sart, d'une brigade qui était censée effectuer ce travail.
Smets n'est pas seul à pister le baron: les informations contenues dans
les notes envoyées au cabinet Moureaux proviennent de 5 des 7 brigades
qui composaient la Sûreté. Les équipes de surveillance tournent à plein
régime. Quatre personnes sont surveillées en permanence pendant les
mois de janvier et de février 1981:

-Benoît de Bonvoisin, qui se rendait
fréquemment au Cercle des Nations, à Europe Magazine, au siège de la
société PDG ou chez un homme d'affaires anversois,

-Herman Geshier;

-Jean Bougerol, le major qui partageait son temps entre le quartier général
des Forces de l'Intérieur à Tervueren et le local dont il disposait avenue
d'Auderghem;

-Bernard Mercier qui se rendait du cabinet du Premier mi-
nistre au Cercle Charlemagne, avenue Louise et

-le docteur Claude Nancy.

donc ici on apprend que Mercier dont personne sait ce qu'il fait au cabinet  joue au "Tournesol" ds le cabinet du premier ministre Martens & Eyskens ?

(Le gouvernement Martens IV dirigea la Belgique du 22 octobre 1980 au 2 avril 1981.

Le gouvernement Mark Eyskens dirigea la Belgique du 6 avril au 21 septembre 1981.)

les gouvernements chngent les cabinetards restent ?

puis trois mois après il est mis à sec:

Citation :

>>Op 21 mei 1981, tien dagen nadat de leden van de com-
missie Wijninckx inzake de privé-milities de beruchte nota
toegestuurd krijgen, kondigt PSC- en Cepic-voorzitter Paul Vandenboeynants aan, dat dat Cepli-kopstukken

Baron de Bonvoisln (schatbewaarder),
Paul Vankerkhoven (onder-voorzitter
secretaris-generaal ridder  Jean   Breydel,
en bestuurslid Bernard Mercier

uit al hun functies in de PSC en de Cepic geschorst worden.

Voir aussi la page 6 du fil de discussion sur Gérad Lhost ...

Extrait :

_ _ _


Aux pages 27 et 28 de

http://fr.scribd.com/doc/85188482/Les-des-etaient-pipes-Victor-Massart-extraits

il est question de Robert Thomas et de Roland Maffioli (ancien adjudant de la BSR de Bruxelles), travaillant au service de la sécurité des institutions européennes. Il est bien possible que Gérard Lhost les connaisse aussi ... Ce sont eux qui auraient contribué à introduire Paul Latinus à la Sûreté de l'Etat. Paul Latinus aurait agi "sur ordre des Américains".

On peut penser à un "piège" visant à compromettre la Sûreté de l'Etat avec l'extrême-droite ... ce que Europe magazine "dévoilera" le 18 mars 1983 ...

(...)

_ _ _


Quelle que soit la version, Robert Thomas et Roland Maffioli (ancien adjudant de la BSR de Bruxelles) interviennent.

Ces membres du service de sécurité des institutions européennes ont joué un rôle important et il est logique de se demander ce que Gérard Lhost savait de tout cela.

Autre élément troublant : que s'est-il vraiment passé autour de la mort de Paul Latinus ?

On peut soutenir que la DIA l'a amené à se rapprocher de la Sûreté de l'Etat et que cela faisait partie d'une stratégie visant à compromettre la Sûreté avec des néo-nazis ... le WNP semblant appelé à réunir les divers groupes partageant cette idéologie ...

Voir "Europe Magazine" du 18 mars 1983 :

http://fr.scribd.com/doc/176224431/Europe-Magazine-18-Mars-1983

La DIA était proche du SDRA (voir le cas de Jacques Monsieur) à un moment où la gendarmerie faisait partie de l'armée (d'un pays membre de l'OTAN et accueillant le SHAPE) ... Cela fait directement penser à Lyman Lemnitzer (à l'origine de la DIA) et à Guy Weber (assistant de Lemnitzer au moment du coup d'Etat de l'OTAN en Grèce). De la Grèce à l'Italie (voir Costantino Plevris) puis à la Belgique, il n'y a pas tellement loin ... sauf qu'en Grèce, le but était de remplacer la tête de l'Etat alors qu'en Italie et en Belgique, il était de renforcer le pouvoir en place (pour "lutter contre l'ennemi intérieur" comme aurait pu le dire Guy Weber). Alexander Haig était tout-à-fait dans la même ligne.

Les tueries du Brabant seraient alors une manifestation de la guerre psychologique (chère à Bougerol).

Ces tueries et les attentats des CCC ont permis à Jean Gol de s'attaquer aux mouvements de gauche et de renforcer les forces de l'ordre. Dans le même ordre d'idée, on peut penser à un lien entre Jean Gol et le Mossad. On peut aussi creuser ce qui concerne le "Safari Club" qui avait pris la place du "service action" de la CIA après les déboires de cette dernière (bien qu'avec Reagan, elle reprenait vigueur). Est-ce via ce "Safari Club" que des gens comme Faez Al Ajjaz et Adnan Khashoggi ont été amenés à jouer un rôle ?

En ce qui concerne les exécutants, il y avait le choix. Claude Nitelet et Dominique Salesse ont très probablement été impliqués ; on a aussi cité le nom de Patrick H. (lié à Jean Gol ? connu du Mossad ?) ... mais je continue à soutenir l'hypothèse de mercenaires, un milieu bien connu de Jean Bultot ... et de Pierre Eveillard (probablement proche de Gérard Lhost).

Nous savons que Guillaume Vogeleer a travaillé pour la DIA (et sans doute aussi la CIA ... il y avait des points communs comme en témoigne le parcours du Général Graham de l'IEPS). Guillaume Vogeleer avait des contacts avec la pègre, notamment Havelange (qui aurait pu "travailler" pour Jean Gol ?). Jean Bultot connaissait également très bien la pègre.

Nous savons aussi que Robert K. Brown et Jim Coyne (grand ami de Guillaume Vogeleer), de "Soldier of Fortune", sont venus en Europe en été 1982.

Paul Latinus a-t-il soupçonné des gens qu'il connaissait et en a-t-il parlé (peut-être à la mauvaise personne) ? Certains avancent l'hypothèse d'un assassinat perpétré par Calmette. Là encore, on peut remarquer que Gérard Lhost était proche de Mayerus et que ce dernier connaissait Calmette ... Toujours est-il que cette possibilité n'a peut-être pas été assez approfondie.

Smets à charlerloipar de vliegere et van gorp et

on sait maintenant:

Citation :

Quatre personnes sont surveillées en permanence pendant les
mois de janvier et de février 1981:

-Benoît de Bonvoisin, qui se rendait
fréquemment au Cercle des Nations, à Europe Magazine, au siège de la
société PDG ou chez un homme d'affaires anversois,

-Herman Geshier;

-Jean Bougerol, le major qui partageait son temps entre le quartier général
des Forces de l'Intérieur à Tervueren et le local dont il disposait avenue
d'Auderghem;

-Bernard Mercier qui se rendait du cabinet du Premier mi-
nistre au Cercle Charlemagne, avenue Louise et

-le docteur Claude Nancy.

mais dans la même periode il y avait

Citation :

Le 7 janvier 1981. le Parquet perquisitionne au domicile de
Paul Latinus à la recherche de Jean-Marie Paul et découvre
qu'il détient sans autorisation une riot-gun et une 22 long rifle
munie d'un silencieux. Quelques jours plus tard, alors que
Pour vient de dénoncer les pratiques de Paul Latinus. celui-ci
disparait sans laisser d'adresse. Evanoui dans la nature. Deux
mois après, on apprend qu'il a juge bon de s'enfuir en Améri-
que latine parce qu'il aurait été l'objet de menaces de mort ano-
nymes. Latinus se choisit alors un avocat: Jean-Paul Dumont.
Cet avocat, qui est membre du CEPIC et conseiller communal
PSC à Uccle dans la section de José Desmarets est aussi l'avo-
cat de Daniel Gilson dans le procès du Front de la Jeunesse en
février 1981.

150


19 fevrier 1981 premier audition RAES comm Wijninckx


plus loin debon semble tres vite au courant de ce qui est dit ds ce commission.
on peut donc supposé qu'ils ont su très aussi d'être suivi ....

je ne comprends pas la place et l'importance de "Geschier" qui est aussi suivi et cambriolé par le WNP d'ailleurs


c'était à quel date ?

Le choix de Jean-Paul Dumont comme avocat est significatif.

Jean-Paul Dumont intervient dans de très nombreux dossiers qui nous intéressent et il était aussi un grand ami de Sergio Ferrari, personnage central du rapport Panda sur la mafia belgo-luxembourgeoise.

De là à voir en lui une charnière entre l'extrême-droite et la mafia, il n'y a qu'un pas !

et maintenat l'affaire Geschier

coup pourri pag 64

tout le monde copie les conneries des autres .

ce n'est que ds debon de brewaeys et deliege qu'on trouve enfin qqs chose plus sérieux .

dommage qu' à la tournure d'une page il mélange les pédales ds les dates et écrit 1980 puis 1981


pour faire court:

Geschier est mélangé avec le transport de Weil vers la France janvier 1981


mais il ne remarque pas qu'il est suivi par la sureté

Weil est intercepté avant brussxeles où Mercier ne le voit pas arriver

WNP pense que Geschier a fuité et lance 6 mois plus tard une action contre Geschier.
à suivre

Eduardo Frei, chef de l'État de 1964 à 1970.chili

l'émotion suscitée par la confirmation, lundi 7 décembre, que sa mort en 1982 n'avait rien de naturel et qu'elle était bien l'oeuvre des agents d'Augusto Pinochet.

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Les-revelations-sur-l-assassinat-d-Eduardo-Frei-troublent-la-fin-de-la-campagne-electorale-chilienne-_NG_-2009-12-09-570020

info qui sort avant des election...!