le cercle Pinay

https://deeppoliticsforum.com/forums/showthread.php?8323-Classified-Belgian-police-report-on-Nebula-receives-another-look

(dossier ATLAS)

(...)

h. A MIAMI company (Florida/USA): NEW REPUBLIC

This company had an account at the CGER [ASLK, Algemene Spaar-en Lijfrente Kas]
Managed exclusively by PRZEDBORSKI Felix (mentioned supra) and Farouk KHAN (of the KHAN-gang). This account was liquidated in 1990 (when the new law on money laundering took effect) and the funds -2 bn $- were transferred to IRAQ.

(...)

Pour information :

http://www.intelligenceonline.fr/intelligence-economique/2015/12/02/le-grand-retour-de-la-famille-khashoggi,108114229-GRA

Édition du 02 décembre 2015 - n°748

Le grand retour de la famille Khashoggi ?

La société britannique de logistique OCS Group s'est reposée sur un des plus anciens réseaux de Riyad pour établir sa filiale locale, créée le 24 novembre. Son partenaire, le conglomérat Zahid Group, est adossé à la mythique famille Khashoggi. Son vice-président Amr Khashoggi n'est autre que le jeune demi-frère d'Adnan, qui fut pendant les années 70 et 80 l'intermédiaire obligé sur tous les contrats de défense du royaume, du fait de sa très grande proximité avec l'inamovible ministre de la défense d'alors, Sultan bin Abdelaziz. Si Adnan, qui fête ses 80 ans cette année, n'est plus guère opérationnel, son jeune frère, diplômé de Yale et par ailleurs membre de la Khashoggi Holding, peut encore s'appuyer sur les réseaux que celui-ci avait animés - et en partie créés - à l'époque. Pour nombre d'observateurs, ces derniers reprennent du poil de la bête depuis l'accession au trône de Salman bin Abdelaziz, jeune frère de Sultan.

Comme Intelligence Online s'en est fait l'écho dans son enquête Insiders sur le tout-puissant ministre de la défense, Mohammed bin Salman (voir ici), de nombreux conseillers qui gravitent actuellement dans l'orbite du clan Salman sont d'anciens proches des galaxies Sultan.

Originaire de Jeddah, Zahid Group a multiplié de longue date les partenariats avec les sociétés occidentales dans le secteur industriel (Caterpillar, Lafarge, etc.). Il est aussi le partenaire depuis 2007 du pétrolier Total dans le pays - et au Maroc depuis 2014 - pour le secteur parapétrolier (lubrifiants...).

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http://www.intelligenceonline.fr/intelligence-economique/note-blanche/2014/01/08/les-reseaux-iraniens-de-mmekhashoggi,108002220-ART-REC

Édition du 08 janvier 2014 - n°703

Les réseaux iraniens de Mme Khashoggi

Avec l'ouverture du marché iranien, les groupes occidentaux cherchent des conseillers susceptibles de les aiguiller dans le pays. L'une des premières sollicitées est Shahpari Khashoggi, troisième épouse du magnat saoudien Adnan Khashoggi.

Liens familiaux - Issue de la grande famille iranienne Zanganeh (lire ci-contre), Shahpari Khashoggi a récemment été discrètement approchée par plusieurs grands groupes occidentaux cherchant à revenir en Iran. Dans les années 90, cette femme élégante, qui vit entre Londres et Marbella, avait conseillé plusieurs groupes français sur leurs opérations en Iran (IOL nº545), notamment le groupe Total. Ses conseils avaient notamment permis au pétrolier de remporter le contrat de développement du champ gazier de South Pars en Iran, en septembre 1997. L'enquête du juge Philippe Courroye et celle de la justice américaine sur les réseaux de Total en Iran l'avaient cependant incitée à prendre ses distances avec la France.

Réseaux saoudiens - Dans les années 2000, Shahpari Khashoggi a joué contre les intérêts français : c'est elle qui a aidé, en 2011, l'espagnol OHL à remporter le méga-contrat du "train des pèlerins" entre La Mecque et Médine, face à Alstom et la SNCF. Un lobbying de longue haleine : proche du roi Juan Carlos et de son amie la princesse Corinna zu Sayn-Wittgenstein, Shahpari Khashoggi avait voyagé dans l'avion royal lors de la visite officielle effectuée par le souverain espagnol à Riyad en 2006.


Londres

Shahpari Khashoggi

Née en 1968

Née en Iran à la fin des années 60, Shahpari Khashoggi a connu une jeunesse dorée sous le régime du Shah : elle est en effet la fille de la célèbre chanteuse Pari Zanganeh, interprète de musique traditionnelle iranienne mais également d'opéra. Devenue aveugle en 1972 suite à un accident, cette dernière vit toujours en Iran, où elle a continué à se produire après la chute du Shah. Le père de Shahpari Zanganeh, en revanche, a quitté le pays avant 1979 et vit toujours en exil.

Grande famille de notables, les Zanganeh sont restés influents au sein de la nouvelle République islamique, même si Shahpari Zanganeh a toujours nié avoir un lien de parenté avec l'actuel ministre du pétrole, Bijan Namdar Zanganeh, qui a déjà occupé le même poste de 1988 à 1997.

Shahpari Zanganeh a épousé Adnan Khashoggi à La Mecque en 1990 : elle avait alors 22 ans. Elle est la troisième femme du flamboyant intermédiaire saoudien, aujourd'hui âgé de 80 ans. Celui-ci a fait l'essentiel de sa fortune en tant qu'intermédiaire de Lockheed dans le royaume dans les années 60 et 70.
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Intéressant de noter que Adnan Khashoggi a fait l'essentiel de sa fortune en tant qu'intermédiaire de Lockheed dans le royaume saoudien dans les années 1960 et 1970.


C'est un point commun avec le prince Bernhard des Pays-Bas, à l'origine du Bilderberg et du WWF.


Il serait intéressant d'en savoir plus sur les relations entre Adnan Khashoggi d'une part, Faez al-Ajjaz et Léon-François Deferm d'autre part (Deferm n'a-t-il pas acheté une villa de Khashoggi à Marbella ?). Paul Vanden Boeynants aurait lui aussi voulu rencontrer Adnan Khashoggi.


Adnan Khashoggi était proche du Safari Club et donc du prince Turki ("Cercle" Pinay/Violet) et du comte Alexandre de Marenches.

Au sujet de Ted Shackley ...

... deux notes de la quatrième édition de "Rogue Agent" (David Teacher) qui sortira dans quelques jours ... (avec des liens qui fonctionneront)

http://www.bearcave.com/bookrev/blond_ghost.htm

http://spartacus-educational.com/JFKshackley.htm

http://www.telegraph.co.uk/news/obituaries/1417113/Ted-Shackley.html


(397)  Research Associates International was "a company that does risk assessment and economic feasibility studies, reporting on international events, especially concerning the international oil market. In addition, the company operates an executive protection program for its principal clients in the oil trade" - from the 1992 IFF book, pg ix (see footnote 396). The CIA career of Ted Shackley is too complex a subject to cover in any detail in this investigation; he was however a central figure in the later Cercle as described by van der Reijden. In brief, Shackley served as CIA Miami station chief running anti-Castro operations in 1962 before transferring to Laos in 1966 and Vietnam in 1968 where he oversaw the Phoenix programme. In 1972, he returned to America as head of the CIA's Western Hemisphere Division, playing a key part in operations against Allende. In 1976, Shackley was appointed Associate Deputy Director for Clandestine Operations under CIA Director George H. W. Bush, and retired from the CIA in 1979, setting up Research Associates International with Jameson.

In 1994, Shackley registered an American Foreign For Profit Corporation, the Atlantic Cercle, Inc., at his home address in Florida, no doubt to provide a financial vehicle for organising the Cercle's regular Washington meetings; following his death in 2002, the corporation's assets and those of Shackley's estate were contributed to AFIO – see Van der Reijden at http://www.isgp.nl/2010_Le_ Cercle_ update#amery. On Shackley, see footnote 409; David Corn, Blond Ghost: Ted Shackley and the CIA's Crusades, Simon and Schuster, New York 1994; http://www.bearcave.com/bookrev/blond_ghost.htm; Roger Warner, Back Fire: The CIA's Secret War in Laos and Its Link to the War in Vietnam, Simon and Schuster, New York 1995; http://www.bearcave.com/bookrev/backfire.htm; http://www. spartacus.schoolnet.co.uk/JFKshackley.htm; Ted Shackley, Spymaster: My Life in the CIA, Brassey's, New York 2005; Joseph J. Trento, Prelude To Terror: Edwin P. Wilson and the Legacy of America’s Private Intelligence Network, Basic Books/Carroll and Graf, 2006; http://www.nytimes.com/2002/12/14/us/ theodore-shackley-enigmatic-cia-official-dies-at-75.html; http://articles.latimes. com/2002/dec/14/local/me-shackley14; http://www.telegraph.co.uk/news/ obituaries/1417113/Ted-Shackley.html which reads in part: "Later he was to play an organising role in Le Circle [sic], a private group of respected Atlantic-orientated businessmen with an interest in security and political issues".


(466) ...           Joseph C. Goulden in his book on "rogue" CIA agent Edwin P. Wilson, The Death Merchant (Simon and Schuster, New York 1984) notes (pg 47): "When Richardson retired in 1967, he became a consultant in defense affairs; one of his positions, which he was to take in 1973, was a vice-presidency of Ed Wilson's Consultants International". Bellant (pgs 38 and 44) notes: "One of the operatives involved in the Wilson-Terpil arms trade is Brig. Gen. (retired) Robert C. Richardson III. He was a Vice-President of Consultants International from 1973-77, a front company used in the Libyan operations ... Robert C. Richardson III, the retired Air Force general who worked in the Air Force's Politico-Military, covert operations branch ... was also aiding the Wilson-Terpil operations to Libya, involving secret gunrunning and explosives transfers".

Je me demande si Ted Shackley a rencontré William Westmoreland.

C'est bien possible quand on pense à leur séjour à Saïgon (dans le cas de Ted Shackley, c'était précédé par un poste au Laos).




Thomas Polgar (far right) takes command of the CIA station in Saigon, January 1972. At left is former Station Chief Ted Shackley, heading back to a new assignment in Washington. In the middle is General Creighton Abrams, head of the Military Assistance Command Vietnam (MACV)


https://en.wikipedia.org/wiki/Creighton_Abrams

(...) Abrams would succeed Westmoreland as commander on June 10, 1968, (...)

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John K. Singlaub n'était pas loin !

http://spartacus-educational.com/JFKsinglaub.htm

(...) In 1964 Singlaub became chief of Military Assistance Command Studies and Observation Group (MACV-SOG). This was an unconventional warfare task force that oversaw assassination and paramilitary operations throughout Southeast Asia. MACV-SOG now took over Oplan 34-A from the CIA. Ted Shackley, CIA chief in Laos, reported having monthly meetings with Singlaub. According to one report, Singlaub "oversaw political assassinations programs in Laos, Cambodia and Thailand" (Inside the Shadow Government). (...)

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http://spartacus-educational.com/JFKposhepny.htm

(...) He ("Tony Poe") was sent to South Korea where he served under John Singlaub (...)

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Guillaume Vogeleer n'était pas loin non plus : grand ami de "Tony Poe", connu de John K. Singlaub (et de Stefano Delle Chiaie), il était aussi présent lors de la chute de Salvador Allende au Chili (11 septembre 1973), un événement dans lequel Ted Shackley a joué un rôle important.

http://fr.ossin.org/vue-du-monde/112-enquetes/1162-le-renversement-dallende-raconte-par-washington

(...) En 1972, Ted Shackley, officier très expérimenté en opérations clandestines en devint le directeur. Il nomma son homme-lige Tom Clines chargé des opérations de la CIA au Chili, pour travailler spécifiquement sur le « cas Allende ». Celui-ci avait sous sa responsabilité ses vieux collègues Sánchez Morales et Atlee Phillips.

En mars de l’année suivante, Bill Colby nommé sous-directeur des Opérations Spéciales de l’Agence redevint leur supérieur. Colby et Shakley, qui avaient été à la tête de la guerre sale en Indochine, se trouvaient de nouveau réunis pour en mener une autre.

Depuis 1972, cette équipe de la CIA menait l’opération de désinformation et de sabotage économique la plus perfectionnée que l’on ait connue jusqu’alors au monde. Colby reconnaîtra dans la presse de son pays que ce fut une « expérience de laboratoire sur l’efficacité de l’investissement financier lourd pour discréditer et renverser un gouvernement. » [6] (...)

Transnational Anti-Communism and the Cold War: Agents, Activities, and Networks
Par Luc van Dongen,Stéphanie Roulin,Giles Scott-Smith







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Au sujet du prince Turki, il est instructif de lire

http://www.economist.com/node/8428963

Il est également intéressant de faire une recherche dans "Le Monde diplomatique", notamment :

http://www.monde-diplomatique.fr/1998/10/ROY/4071

Octobre 1998

LES CONTOURS FLOUS DE L’« INTERNATIONALE » ISLAMISTE

Un fondamentalisme sunnite en panne de projet politique

TOUT commence en 1983, quand l’Occident subit de plein fouet le choc du radicalisme islamique : au Liban, parachutistes français et marines américains meurent par centaines dans l’explosion de leur caserne. L’Iran se déchaîne contre « le Grand Satan » américain. En attendant, l’Union soviétique, « l’empire du mal » aux yeux de M. Ronald Reagan, écrase sous les bombes l’Afghanistan musulman, tout en bénéficiant de l’étrange complaisance des radicaux islamiques. Une idée s’impose à Washington : faire payer à Moscou le prix maximal pour l’occupation de l’Afghanistan tout en détournant le radicalisme islamique contre le communisme et, accessoirement, contre le chiisme iranien. Il s’agit d’encourager un radicalisme proprement sunnite, qui mettrait en avant l’application intégrale de la charia, en évitant toute évocation d’une « révolution » islamique. Cela est tout bénéfice pour l’Arabie saoudite, désireuse de renforcer sa légitimité islamique contre l’Iran. Les services pakistanais quant à eux ont alors (et ont toujours) un plus vaste dessein : jouer la carte islamique sunnite pour contrôler l’Afghanistan et effectuer une percée vers l’Asie centrale.

L’opération fut conçue par la CIA, le chef des services saoudiens (le prince Turki bin Faysal, toujours en fonctions) et l’Inter Services Intelligence pakistanaise (ISI) - seul ce dernier service étant cependant prêt à « se mouiller ». Echaudée par les guerres secrètes du Vietnam et du Laos, la CIA ne veut pas d’agent impliqué directement sur le terrain. Les Saoudiens, quant à eux, ont l’habitude de tout sous-traiter, de la défense nationale à la conduite de leurs Rolls Royce. On confie donc le travail à des Frères musulmans arabes et au parti islamiste pakistanais Jamaat-i-Islami, d’où sont issus de nombreux conseillers du général Zia Ul Haq, chef de l’Etat pakistanais entre 1977 et 1988.

A partir de la fin 1984, des milliers de militants islamistes, parmi les plus remuants du Proche-Orient, partent pour l’Afghanistan.

(...)

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Dans la quatrième édition de "Rogue Agents" de David Teacher :

(...)  In May, shortly after this first visit to Teheran, Crozier met Prince Turki al-Faisal, brother of Prince Saud al-Faisal, the Saudi Foreign Minister since 1975. Six months earlier, Turki had replaced his uncle, Turkish-born Kamal Adham, as head of Al Mukhabarat Al A'amah, the Saudi intelligence service. As such, he would become a key link in the covert war waged against Soviet forces occupying Afghanistan by the coalition of the CIA, the ISI - the Pakistani military intelligence service which created the Taliban - and the Afghan mujaheddin, including one of Turki's personal contacts, Osman bin Laden. In recognition of his services, Turki would be one of the Taliban's guests of honour at the proclamation of the Islamic Republic of Afghanistan in Kabul on 28th April 1992.

         Turki would become one of the world's longest-serving intelligence chiefs, his reign lasting from September 1977 until August 2001 just prior to the WTC attack when, as an all-too-visible personification of US-Saudi links, he was removed as head of the Saudi intelligence service to assuage growing anti-American feeling in Saudi Arabia. However, he was too valuable a man to lose and after a "decent interval" was appointed Saudi Ambassador to the UK where he played a prominent role in the media drive for war with Iraq (368)*.

(368)  On Turki al-Faisal and the mujaheddin, see Cooley, an outstanding book; US and the Taliban: a done deal, Pierre Abramovici, Le Monde Diplomatique, English edition, January 2002. Turki served as Saudi Ambassador in London from January 2003 to July 2005 when he was posted to Washington; he would however abruptly resign in December 2006, but was not offered the mooted post of Saudi Foreign Minister replacing his brother Saud (http://www.economist.com/node/8428963) and retired from public office in February 2007. He now chairs the King Faisal Center for Research and Islamic Studies in Riyadh.

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Janvier 2002

https://mondediplo.com/2002/01/05deal

BACKGROUND TO WASHINGTON’S WAR ON TERROR

The US and the Taliban: a done deal

Afghan factions, mediated by the UN and US, reached some agreement in Bonn in December. The agreement was no sudden miracle; it was possible only because all the groups had met before, through contacts. The Bonn proposals were not new. They had been discussed for over three years.

by Pierre Abramovici

When the Soviets withdrew from Afghanistan in 1989, it did not mean peace. The United States had intervened in the war only through the Afghan forces, and via the Pakistani secret service — the Inter Services Intelligence (ISI) — and took no further interest. Vincent Cannistraro, an ex-CIA agent (...)

The secret history of the CIA
Par Joseph J. Trento


(...) The colorful Special Operations expert, General John K. Singlaub, chief of Military Assistance Command Vietnam Special Operations Group (MACV-SOG) in Vietnam, also worked with Shackley ans his team in Cambodia and at the secret CIA air base at Udorn in Laos.

(...) The relationships Shackley developed during his time in Laos eventually made him one of the most powerful men in the CIA, because he and his associates held a common secret : The CIA was in an alliance with Laotian drug lords against the North Vietnamese and the Pathet Lao, Laos's own Communist guerrilla army. Once again, the CIA was in business with the mob .

(...)  Santos Trafficante (...) was now the biggest importer of China white heroin in the world and General Vang Pao's biggest customer. The fact that Shackley was working with an opium smuggler who was doing business with a man who had played a role in the murder of John F. Kennedy seemed to bother no one in the CIA. "Shackley's a practical man", Wilson said.

(...) What the CIA had taken over from the French colonial administration in Vietnam was the Southeast Asian drug business.

That our Laotian allies were in the illegal drug business did not come as a shock. For many years, the CIA had been allowing rebel armies it supported and dictators it backed to engage in drug dealing to finance operations.

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Prelude to terror
The Rogue CIA and the Legacy of America's Private Intelligence Network
Par Joseph J. Trento

Note : intéressant de voir apparaître la DIA au Chili ...

(...)  On September 12, 1973, half a year after Helms left, (...) Shackley's Western Hemisphere Division orchestrated - with the Defense Intelligence Agency - yet another coup attempt.

(...)  What came next was a military dictatorship that engaged in every form of torture. The CIA helped train Pinochet's secret police, the dreaded DINA, and suggested that DINA hire Shackley's Cubans. After the September coup, the DINA and the CIA worked in close cooperation.

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Note : il serait utile d'en savoir plus sur la "training base for Belgian mercenaries".

Page 54 et 55

(Edwin) Wilson said he introduced Rodriguez to Soghanalian, as Clines requested, because he knew Soghanalian was looking for an experienced man to train the Christian Militia. But Soghanalian tells a darker story about what Wilson told him to do with Rodriguez

(...)  Soghanalian took Rodriguez to a training base for Belgian mercenaries. "He started talking, saying he was a CIA agent. You can't do that. He drinks and cries and says he wants his girlfriend".

(...)  both Wilson and Soghanalian agree that Rodriguez was put on Soghanalian's payroll, which was funded by the DIA, at a time when Rodriguez was already being paid by the CIA.

https://en.wikipedia.org/wiki/Sarkis_Soghanalian

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Note :  en ce qui concerne le lien entre Edwin Wilson (qui connaissait Armand Donnay, qui était actif au port d'Anvers, etc) et Robert Keith Gray (le lobbyiste de "Hill & Knowlton" qui a rencontré l'armurier Dekaise), Joseph J. Trento en parle à la page 42 mais fait surtout référence au livre de son épouse Susan B. Trento "The Power House".

Dans le livre de Joseph J. Trento "The secret history of the CIA", pages 446 et 447, il est question de la vente, à l'été 1981, d'avions AWACS (Airborne Warning and Control System) à l'Arabie saoudite ...

The two men who laid the groundwork for the AWACS sale were Air Force Major General Richard Secord and Marine Lieutenant Colonel Oliver North. Both had worked for General John Singlaub under Ted Shackley in Laos. Their connection to Shackley led to a scheme to trade arms through Israel for U.S. hostages being held by Shiite Muslim terrorists in Lebanon. In this scheme, they used the Israelis' long-term business relationship with Iran.

Blond Ghost: Ted Shackley and the CIA's Crusades
Par David Corn
Simon & Schuster, 1994 - 509 pages

Note : intéressant de noter le lien entre Edwin Wilson et le monde syndical, en particulier AFL-CIO ... cela fait penser à Irving Brown (que Robert Solborg - DIA ? - a présenté à André Moyen) et à David Dubinsky (connu de Félix Przedborski).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Irving_Brown

http://www.historiographie.info/irvingbrown.pdf





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AFL-CIO's Secret War Against Developing Country Workers: Solidarity Or Sabotage?
Par Kim Scipes





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Manhunt
Par Peter Maas
Random House, 1986 - 301 pages





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Nuclear Black Markets: Pakistan, A.Q. Khan and the Rise of Proliferation ...
Par Mark Fitzpatrick (M.P.P.)







Sur Armand Donnay :

https://nl.wikipedia.org/wiki/Armand_Donnay

http://www.grip.org/sites/grip.org/files/DOSSIERS_NOTES_ET_DOCUMENTS/ND-007.pdf

The Death Merchant
Joseph C. Goulden, Alexander W. Raffio
Bantam, 1 oct. 1985 - 438 pages





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Dans

Nuclear Black Markets: Pakistan, A.Q. Khan and the Rise of Proliferation ...

il est aussi question de liens entre le Pakistan et Belgonucléaire (Norbert Van de Voorde ??? un associé de Jacques Fourez dans SOVEC).

Note : ne pas confondre M. A. Khan et A. Q. Khan ...

https://en.wikipedia.org/wiki/Munir_Ahmad_Khan

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abdul_Qadeer_Khan

http://www.atlcom.nl/ap_archive/pdf/AP%202011%20nr.%206/Schippers.pdf

Pour mieux comprendre Ted Shackley, il est instructif de voir qu'il est passé par le CIC en Allemagne après la guerre...

Spymaster: My Life in the CIA
Par Ted Shackley





Voir

https://en.wikipedia.org/wiki/William_King_Harvey

(...) From 1952 to 1960 Harvey was posted to West Berlin as Chief of Base, where he led the operation that built an underground tunnel to the Soviet sector, to spy on their communication channels. This operation was called PBJOINTLY.[1] On his return to CIA headquarters, Harvey was tasked with a project to organise "Executive Action" - assassination of foreign political leaders, under the codename ZR/RIFLE.[1] To get at Fidel Castro, Harvey decided he needed Mafia links, and drew on the connections of CIA agent Robert Maheu, who had links with Sam Giancana, Santo Trafficante, Jr., Johnny Roselli and others.[1] (...)

http://jfk.hood.edu/Collection/Weisberg%20Subject%20Index%20Files/C%20Disk/CIA%20Harvey%20William%20King/Item%2002.pdf

http://www.globalresearch.ca/launching-the-u-s-terror-war-the-cia-9-11-afghanistan-and-central-asia/29799

Background: the Safari Club and William Casey

These arrangements can be traced in one form or another, at least back to the 1970s. Then senior CIA officers and ex-officers (notably Richard Helms), who were dissatisfied with the CIA cutbacks instituted under Jimmy Carter’s CIA director, Stansfield Turner, organized an alternative network, the so-called Safari Club. Subordinated to intelligence chiefs from France, Egypt, Saudi Arabia, Morocco and (under the Shah) Iran, the Safari Club provided a home to CIA officers like Theodore Shackley and Thomas Clines, who had been marginalized or fired by CIA Director Turner. As Prince Turki later explained, the purpose of the Safari Club was not just to exchange information, but to conduct covert operations that the CIA could no longer carry out directly in the wake of the Watergate scandal and subsequent reforms.

In the 1980s, CIA Director William Casey made key decisions in the conduct of the Afghan covert war, not through his own CIA bureaucracy but with the Saudi intelligence chiefs, first Kamal Adham and then Prince Turki. Among these decisions was the creation of a foreign legion to assist the Afghan mujahideen in their war against the Soviets – in other words, the creation of that support network which, since the end of that war, we have known as Al Qaeda. Casey worked out the details with the two Saudi intelligence chiefs, and also with the head of the Bank of Credit and Commerce International (BCCI), the Saudi-Pakistani bank in which Adham and Turki were both shareholders.

In so doing, Casey was in effect running a second or back-channel CIA, building up the future al Qaeda in Pakistan with the Saudis, even though the official CIA hierarchy underneath him in Langley rightly “thought this unwise.” In American War Machine, I situated the Safari Club and BCCI in a succession of ”second CIA” or “alternative CIA” arrangements dating back to the creation of the Office of Policy Coordination (OPC) in 1948. Thus it is relevant that CIA Director George Tenet, following Casey’s precedent, met with Saudi Ambassador Bandar around once a month, and would not tell CIA officers handling Saudi issues what he had discussed.

Le général Robert Close connaissait Ted Shackley et Brian Crozier via le "Cercle". Il connaissait John Singlaub via la WACL et plusieurs officiers de l'OTAN via le "Collège de défense de l’OTAN" à Rome.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A8ge_de_d%C3%A9fense_de_l'OTAN

http://www.ndc.nato.int/

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De 1961 à 1965, Close est à la division « Plans et Politique » du SHAPE (le commandement stratégique de l’OTAN) et en 1974 il est envoyé à Rome au Collège de la Défense au moment où l’Italie vivait aussi ses « années de plomb » avec des mouvements terroristes d’extrême droite et d’extrême gauche piloté par l’extrême droite liée aux réseaux Gladio. Il quitte l’armée en 1980 et rejoint le PRL (Parti réformateur libéral), tout en continuant ses relations avec le cercle Pinay et les réseaux US européens. Enfin, Close a été président de la ligue anticommuniste mondiale, qui était clairement une organisation fasciste créée notamment par le chef de la secte Moon et Tchang Kaï Check, et cela en lien avec la CIA.

L'autobiographie de Ted Shackley est sur

https://fr.scribd.com/doc/294096181/Spymaster-T-Shackley-2006


Sur "Tony Poe" :




(...)



(...)



_ _ _


Sur John Singlaub :

(suite)


Sur William Westmoreland :




_ _ _


Sur Henry Kissinger :




(...)



(...)




_ _ _


Sur la Mafia :




(...)




_ _ _


Sur Santos Trafficante :





_ _ _


Sur Larry Devlin :




(...)



(...)

http://aangirfan.blogspot.be/2006/12/bologna-bomb-1980-gladio-terrorism-in.html

In the early 1970s there was reportedly a meeting between Alexander Haig and Licio Gelli:

According to Searchlight:

In an interview, an ex-Nato operative said that Ted Shackley, the CIA's deputy station chief in Rome, "fixed a meeting between Alexander Haig and Gelli at the US embassy in Rome in the early 1970s, when Haig was President Nixon's Chief of Staff." Money, he said, was then filtered to Stay Behind or Gladio with the blessing and knowledge of both Haig and the then head of the US National Security Council, Henry Kissinger. Their aim was to prevent a communist takeover at all costs.

_ _ _ _ _

Sur Ted Shackley, voir :

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http://www.nytimes.com/1994/10/23/books/the-spy-in-the-gray-flannel-suit.html

The Spy in the Gray Flannel Suit
By Joseph Finder;
Published: October 23, 1994

avec une réponse :

http://www.nytimes.com/1994/12/11/books/l-blond-ghost-972711.html

'Blond Ghost'
Published: December 11, 1994

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http://www.nytimes.com/2002/12/14/us/theodore-shackley-enigmatic-cia-official-dies-at-75.html

Theodore Shackley, Enigmatic C.I.A. Official, Dies at 75
By DAVID STOUT
Published: December 14, 2002

http://www.nytimes.com/2005/04/10/books/review/the-spying-game.html

The Spying Game
By TIM WEINER
APRIL 10, 2005

Plus ancien, un long article :

http://www.nytimes.com/1981/06/21/magazine/exposing-the-libyan-link.html

EXPOSING THE LIBYAN LINK
Published: June 21, 1981

_ _ _

Voir aussi le chapitre 14 de

http://www.statecraft.org/

http://www.statecraft.org/chapter14.html

Sur Ted Shackley et la "Secret Team".


https://fr.scribd.com/doc/294223392/The-Guardian-Jul-4-1987-Deadly-Alliance-Formed-in-the-Jungle







Note : sur Udorn

https://en.wikipedia.org/wiki/Udorn_Royal_Thai_Air_Force_Base

Udorn RTAFB was also the Asian headquarters of Air America, a US passenger and cargo airline covertly owned and operated by the Central Intelligence Agency (CIA). It supplied and supported covert operations in Southeast Asia during the Vietnam War. (...)

Ted Shackley est aussi cité dans

https://fr.scribd.com/doc/294226492/The-Guardian-Aug-9-1989-Last-Post-for-Reagan-s-Rebels




(...)



(...)

_ _ _ _

et dans





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A l'occasion de son décès (2002)

Mother Jones Magazine







Voir :

https://en.wikipedia.org/wiki/Loans_Affair

The Loans Affair, also called the Khemlani Affair, was a political scandal involving the Whitlam Government of Australia in 1975, in which it was accused of attempting to borrow money without federal consent from Middle Eastern countries by bypassing standard procedure as dictated by the Australian Treasury.

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http://coorabellridge.com/2014/10/28/the-role-of-american-agencies-in-the-overthrow-of-whitlam/





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http://www.alternet.org/world/was-us-involved-bringing-down-australias-government

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http://www.serendipity.li/cia/cia_oz/cia_oz3.htm

(...)

Tony Douglas: Jerry Aaron's interpretation of the Shackley Cable is shared by former CIA agent Ralph McGehee. Was Shackley in a position to be ordering ASIO about, I mean, you worked under Shackley in Vietnam. Is he a senior CIA officer?

Ralph McGehee: Oh, yes, he was a top CIA officer. He was also one of Ed Wilson's closest friends. Ed Wilson, of course, was head of Task Force 157. Prior to that, Wilson had been in the CIA. And there are all sorts of evidence that Task Force 157 was also orchestrating the efforts to overthrow the Whitlam government.

(...)

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Task Force 157

http://www.nytimes.com/1982/10/07/us/the-case-of-the-missing-spy-benefits.html

(...) The case was brought by more than a dozen agents of a secret naval intelligence organization called Task Force 157, which was formed in 1966 and disbanded in 1977. The former agents contend they are entitled to Civil Service benefits for the work on the task force; the Government counters that they were never formal Federal employees.

The Merit Board case is not the first time the existence of Task Force 157 has been exposed in public. Some information about its operations was first published in 1977 and the Navy unit has figured in the case of Edwin P. Wilson, the former C.I.A. agent charged with illegally aiding Libyan terrorists. But the employment case has brought to light new information about the task force and its members.

The force handled a number of sensitive missions for the Navy, including monitoring the movement of nuclear weapons at sea by the Soviet Union. The force also operated a secret communications system that was used in 1971 by Henry A. Kissinger, President Nixon's national security adviser, to communicate with the White House on his first visit to China. Suit for Civil Benefits (...)

Un lecteur attentif me fait remarquer que l'indien William Norman disait avoir été impliqué dans TF157.

Un lien entre Ecoovie et Ed Wilson (qui a été proche de Ted Shackley) ? Ont-ils été ensemble en Belgique ?





Ted Shackley et William Casey se connaissaient bien ...

Prelude to Terror: Edwin P. Wilson and the Legacy of America's Private ...
Par Joseph Trento





Dans le même livre, il est question de Ed Wilson en Belgique :







Une coquille dans le livre de Joseph Trento (par ailleurs très intéressant) : il s'agit de Armand Donnay ...

Kaddafi, la CIA et les marchands de mort
François Soudan, Joseph C. Goulden
Groupe Jeune Afrique, 1987 - 188 pages





"lance-grenades dans une usine belge" ... s'agit-il de MECAR ?

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The Death Merchant
Joseph C. Goulden, Alexander W. Raffio
Bantam, 1 oct. 1985 - 438 pages




A key Wilson source in arms deals was a swarthy Frenchman named Armand Donnay, a former colonel in the Foreign Legion who had done mean duty in both the Second World War and the Algerian revolution. An intelligence officer, Donnay ...


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Nuclear non-proliferation and U.S. national security: hearings before the Committee on Governmental Affairs, United States Senate, One hundredth Congress, first session, February 24, 25, and March 5, 1987, Volume 4
United States. Congress. Senate. Committee on Governmental Affairs
U.S. G.P.O., 1987 - 225 pages





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Weapons of Mass Destruction: The Cases of Iran, Syria, and Libya
Kenneth R. Timmerman
Simon Wiesenthal Center, 1992 - 133 pages





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On retrouve Armand Donnay dans :

http://www.grip.org/sites/grip.org/files/DOSSIERS_NOTES_ET_DOCUMENTS/ND-007.pdf

http://killersbrabant.be/pieceaconviction-26.html

FAUL (Fabriques d’Armes Unies de Liège)




(...)



(...)




Note : cela pourrait nous conduire à l'armurerie Dekaise et à Robert "Bob" Gray...

Dans "Inside the shadow government" (page 28) :

Wilson had operated "proprietary companies" for the CIA since 1964. (...) He also founded Consultants International, which Wilson claims functioned only as a private business.

Washington lobbyist Robert Keith Gray was listed as Consultants International's director.

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Robert Gray, qui a rencontré Dekaise, était donc proche de Ed Wilson (lui-même lié à Ted Shackley et à Armand Donnay).

http://spartacus-educational.com/JFKwilsonE2.htm

(...)  Wilson joined the Central Intelligence Agency in 1956. As a CIA agent, he spied on European unions before running shipping companies secretly owned by the agency. Over the next few years he arranged clandestine CIA arms shipments to Angola, Laos, Indonesia and the Congo.

In 1971, Wilson left the CIA to run shipping companies for a secret Navy intelligence organization called Task Force 157  (...)

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Vu que Ed Wilson a espionné des syndicats européens pour la CIA, il a pu connaître Irving Brown :

http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2013/06/30/irving-brown-politique-et-transparence-i.html

(...)  l'intervention d'Irving Brown a été jusqu'à organiser et financer chez nous la création d'un syndicat (la CGT-FO)

Il faut se souvenir que Robert Solborg (attaché militaire ... donc possible membre de la DIA) a présenté Irving Brown à André Moyen.

Par ailleurs, Ed Wilson s'est intéressé au port d'Anvers (et Anvers fait penser à Milpol et au père Morlion).

Il est aussi possible que Ed Wilson ait rencontré David Dubinski, proche de Félix Przedborski.

André Moyen a probablement connu Félix Morlion (considéré comme un agent de la CIA) dont le "mentor" a été James Angleton.


http://www.mosquitonet.com/~prewett/caqsmom25.2.html

http://whowhatwhy.org/2014/11/02/the-deep-state-plots-the-1980-defeat-of-jimmy-carter/

http://whowhatwhy.org/2014/10/26/the-deep-state-and-the-bias-of-official-history-2/


After Carter was elected, the Safari Club allied itself with Richard Helms and Theodore Shackley against the more restrained intelligence policies of Jimmy Carter, according to Joseph Trento. In Trento’s account, the dismissal by William Colby in 1974 of CIA counterintelligence chief James Angleton, combined with Watergate, is what prompted the Safari Club to start working with [former DCI Richard] Helms [then U.S. Ambassador to Iran] and his most trusted operatives outside of Congressional and even Agency purview. James Angleton said before his death that “Shackley and Helms … began working with outsiders like Adham and Saudi Arabia. The traditional CIA answering to the president was an empty vessel having little more than technical capability.”

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Une information récente sur MECAR :

http://www.ttu.fr/munitions-les-ambitions-de-nexter/

(dans les années 1980 et 1990, MECAR avait un seul actionnaire ... américain)

Voici la version finale de "Rogue Agents" sur mediafire:

http://www.mediafire.com/view/4pq91px3iya284d/Rogue_Agents_-_the_Cercle_and_the_6I_in_the_Private_Cold_War_1951_-_1991_by_David_Teacher_%284th_edn%2C_2015%29.pdf

Autres liens :

https://wikispooks.com/wiki/Rogue_Agents

https://cryptome.org/2015/12/Rogue-Agents-4th-edition.pdf

Pour information sur le prince Turki dans l'actualité :

http://thebulletin.org/feud-iran-saudi-view9033

5 January 2016

The feud with Iran: A Saudi view

(...)

http://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/00963402.2016.1124655

View from the inside: Prince Turki al-Faisal on Saudi Arabia, nuclear energy and weapons, and Middle East politics

(...)

Sur Ted Shackley :

Intelligences secrètes
Par Fabrizio Calvi
(1988)

J'avais envoyé à David Teacher ("Rogue Agents") un extrait du dernier livre de Peter Dale Scott (PDS, "L'Etat profond américain").

Il tient à faire une correction au sujet du comte Alexandre de Marenches qui n'aurait pas participé aux réunions du "Cercle Pinay-Violet" ("Pesenti Group", selon David Rockefeller).

A la page 191 de "Free Agent", Brian Crozier écrit en effet : " In fact, neither Marenches nor Dickie Franks ever attended a Pinay Cercle meeting during the years I was involved with it : between 1971 and 1985" et "The two men - Marenches and Violet - never met."

Dickie Franks = MI6

Un article (en allemand) de 1980 sur Franz Josef Strauss et le "Cercle" est disponible sur

https://fr.scribd.com/document/324343622/Spiegel-Turki-Strauss

Un message de David Teacher ...

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Puisque des extraits de Rogue Agents 4 vont maintenant etre publies (sur Crozier, Moss, Thatcher, Reagan et Strauss), j'ai actualise la quatrieme edition; la nouvelle version etendue peut etre telechargee a:

http://www48.zippyshare.com/v/JrgvhNI4/file.html

L'essentiel du livre n'a pas change; voila donc pourquoi je ne le distribue pas autant sur le Web que la 4ieme edition. Neanmoins, pour des chercheurs serieux, j'ai corrige une mesidentification dans Rogue Agents 4 (Walter Raymond etait en fait un propagandiste de la CIA intimement lie au scandale Iran-Contra) et rajoute des informations concernant la campagne de propagande clandestine menee par l'Afrique du Sud apartheid, les implications des membres britanniques du Cercle dans le Brexit, un In Memoriam concernant le journaliste belge Philippe Brewaeys qui m'a beaucoup aide dans le temps, et une nouvelle Page 2 donnant les liens de telechargement et des commentaires sur le livre.

J'espere que les informations ajoutees vont etre utiles; libre a vous de publier les nouveaux liens sur le blog TBW.

Ciao, DT.