le cercle Pinay

Cela vaut la peine de se pencher sur la réunion du "Cercle" à Bonn du 30 juin au 3 juillet 1983, avec la présence de Ted Shackley.

Une partie du programme :





William Schneider :





Hans Rühle :

https://de.wikipedia.org/wiki/Hans_R%C3%BChle


Donald Jameson (apparemment un collègue de Ted Shackley) :

http://quebecoisdesouche.info/art-moderne-cia/

http://www.independent.co.uk/news/world/modern-art-was-cia-weapon-1578808.html

Note : l'occasion de rappeler que l'art moderne servait aussi aux financements occultes lors de la guerre froide ... et cela pourrait bien concerner le fils de Paul Van Zeeland (il serait intéressant de connaître ses éventuels liens avec la CIA et sa possible implication dans la tentative de coup d'Etat de 1973, avec son beau-frère de Briey).

Dans le livre de Brian Crozier ("Free Agent"), on apprend que François de Grossouvre et Georges Albertini étaient à la réunion du "Cercle" à Washington en décembre 1980.

Dans le livre de Pierre Marion ("Le pouvoir sans visage"), on peut lire (page 133) que "François de Grossouvre, ancien chargé de mission auprès du président, quitte son poste en 1985 pour devenir conseiller de Dassault (il sera actif au Proche-Orient), tout en conservant son poste à l'Elysée".

Serge Dassault est régulièrement invité aux réunions du "Cercle" mais je ne sais pas s'il a jamais été présent.

François de Grossouvre était un ami de Paul Barril ... qui était proche de Charles Pasqua (lui aussi invité au "Cercle").

Paul Barril a été n°2 au GIGN.

Il a eu Catherine Degoul comme avocate. Cette dernière intervient dans le "kazakhgate". Dans cette affaire, on retrouve Armand De Decker (présent à au moins une réunion du "Cercle", avec ses amis Robert Close et Jacques Jonet) et des proches de Charles Pasqua (Nicolas Sarkozy, Jean-François Etienne des Rosaies, Claude Guéant, etc).

Sur Paul Barril, voir

http://survie.org/mot/paul-barril

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Barril

L'occasion de relire

http://5minutes.rtl.lu/grande-region/luxembourg/552705.html

Selon Guy Santer, "Ben Geiben connaît les "Bommeleeër".

(...)  le groupe de gendarmes d'élite français GIGN n'aurait pas seulement entraîné la Brigade mobile au Luxembourg et fait la fête avec eux, mais il aurait aussi posé lui-même des bombes, celle d'Hollerich notamment.

Ce qui reste à prouver.  (...)

Guy Santer est un cousin de Jacques Santer (commission européenne) qui voulait prendre Pierre Eveillard à son service... ce qui nous conduit au schéma de Paul Latinus et à Gérard Lhost...

On retrouve Jean Violet ("Cercle", avions renifleurs... avec le père dominicain Yves-Marc Dubois) à la fin de l'extrait suivant de "La piscine" (Roger Faligot) ...


Note : intéressant de noter que, parmi les "Jedburgh", il y avait un certain John K. Singlaub qui parle dans son autobiographie de réunions "d'anciens"... Bill Casey était présent et ils ont été invités par le maire de Paris, Jacques Chirac...

Pour être plus précis sur les séjours de John K. Singlaub en France, deux extraits de son autobiographie "Hazardous Duty"...

En 1958 :








_ _ _ _ _


En 1984 :




(...)




(...)




Note : en 1984, Monique Garnier-Lançon était l'adjointe de Jacques Chirac ... mais rien ne dit qu'elle ait rencontré John K. Singlaub ou William Casey (qui se connaissaient déjà lors de la seconde guerre mondiale).

_ _ _ _ _ _ _ _ _


Un dossier de Celsius (n°17 - mars 1989) sur la tentative de coup d'Etat en Belgique en 1973 ...

https://fr.scribd.com/doc/281768479/Celsius-17-1989-Coup-d-Etat

http://www.independent.co.uk/news/aitken-dropped-by-the-rights-secret-club-1258522.html

Aitken dropped by the Right's secret club

Is it the ultimate dishonour? Chris Blackhurst on Le Cercle, an exclusive think-tank said to be funded by the CIA

Chris Blackhurst

Sunday 29 June 1997

(...)

Brian Crozier, the author and well-known Cold-Warrior with close ties to MI6 and the CIA, is a senior member. Anthony Cavendish, the former senior MI5 man, is an old Cercle hand. Nicholas Elliot, the ex-MI6 officer, used to go to their meetings.

American regulars included Bill Casey and William Colby, heads of the CIA, Henry Kissinger, and Edwin Feulner from the Heritage Foundation. Mr Aitken's great hero, Richard Nixon, went to Cercle meetings after he left the White House. In Europe, Josef Bach, former chef de cabinet to the German Chancellor Adenauer, and Jean Violet, a Parisian lawyer and adviser to the French intelligence services, were also in Cercle.

In 1979, Mr Crozier presented a "planning paper" to the group. Among its aims was to secure changes of government in the UK and Germany. Mr Crozier noted that in the UK, with the accession of Mrs Thatcher, this had been achieved.

Other listed objectives were:

"Undercover financial transactions for political aims";

"International campaigns aiming to discredit hostile personalities or events";

"Creation of a (private) intelligence service specialising in a selective point of view";

"Establishment of offices under suitable cover each run by a co-ordinator from the central office. Current plans cover London, Washington, Paris, Munich and Madrid."

Despite the ending of the Cold War, the group is stronger than it ever was. The source of its funding is a mystery. Mr Clark and Robin Ramsay, editor of Lobster, the magazine that attempts to monitor the intelligence services, say it is the CIA. One member maintained that each person attending was asked to pay $500 to cover travel and that it was "entirely self- financing."

(...)

http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-14351703.html

13.09.1982

Victory for Strauß

(...)

_ _ _


Cet article important mériterait une bonne traduction.

Par exemple :

" Am 5./6. Januar 1980 haben sich, aus der Mitte des CERCLE, in " " Zürich u.a. die Herren Maitre VIOLET, Graf HUYN, MdB, Mr. " " Brian CROZIER (früher langjährig bei CIA), Mr. Nicholas " " ELLIOTT (früher Abt.-Dir. beim brit. SIS), General a. D. " " STIN-WELL (früher US Defense Intelligence Agency), Mr. " " JAMESSON (früher CIA) getroffen, um exekutive Maßnahmen " " durchzusprechen. Diese Konferenz wurde von VIOLET geleitet. "

que l'on retrouve dans

http://8bitmode.com/rogerdog/lobster/lobster08.pdf

Dans le très intéressant document

A Global Crusade Against Communism

de Adrian Hänni que l'on trouve sur

https://fr.scribd.com/doc/259158534/A-Global-Crusade-Against-Communism

il est écrit :





Sur le général Richard Giles Stilwell :

https://deeppoliticsforum.com/forums/showthread.php?1534-Gen-Richard-Giles-Stilwell#.Vf69xpfw5Ao

(...)

Commander-in-Chief of UN and American forces in Korea from 1974 to 1976. Member of the in 1976 revived Committee on Present Danger, a reactionary anti-communist think tank that included people like John F. Lehman, Clare Booth Luce, Paul H. Nitze, Richard Perle (friend of Brian Crozier, head of Le Cercle at that time), Richard Pipes, (a later associate of Crozier), Eugene Rostow, Admiral Elmo Zumwalt (former Chief of Naval Operations), George Shultz, William Casey (Le Cercle), Richard Allen, Jeane Kirkpatrick, and David Packard. Friend of General John K. Singlaub, who set up the American chapter of the World Anti-Communist League (WACL). President of the Association of Former Intelligence Officers in the late 1970s.

(...)

Stilwell went to the January 1980 Le Cercle Meeting in Zurich.

(...)

Stilwell was Deputy Under-Secretary of Defense for Policy from 1981 to 1985.

Brian Crozier, a friend, Cercle chairman, and founder of The 61 secret intelligence group, wrote in his 1993 book (p.177): "A four-star general, Dick Stilwell had served with distinction in Vietnam. Under President Reagan, he was appointed Assistant Defense Secretary. While in this post, he joined the inner group of The 61...

(...)

_ _ _ _ _


Sur la question du financement :





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Sur les sources :





Certaines de ces sources ne sont pas disponibles sur le forum (je n'ai diffusé qu'une partie de ce qui se trouve à la "Hoover Institution" venant de Kyril Drenikoff, de Monique Garnier-Lançon et de Brian Crozier).

L'essai de Adrian Hänni semble être ce qu'il y a de mieux à lire sur le sujet, avant la prochaine édition de "Rogue Agent" de David Teacher (qui ne devrait plus tarder).

Cet essai se concentre sur le "Cercle" et ne mentionne pas la réunion à l'abbaye de Royaumont qui montre l'influence de la "Milice de Jésus-Christ" sur les membres du "Cercle", ce qui est très intéressant pour la Belgique (Bougerol, etc). Cela conduit aussi à d'autres dominicains comme le père Félix Morlion (Pro Deo) et le père Yves-Marc Dubois qui a collaboré avec Jean Violet, notamment pour les avions renifleurs. Quand on parle des sources de financement, on peut d'ailleurs se demander si des affaires comme celle des avions renifleurs ne devrait pas être vues sous cet angle. Il faudrait aussi étudier le rôle de Carlo Pesenti dans "Europa Christiana" et celui des grandes entreprises italiennes dans ce qui a succédé à l'université Pro Deo...

Cet essai n'aborde pas non plus les archives de Kyril Drenikoff qui éclaire les activités de l'Ordre du Rouvre (et ses liens avec Nice).

Il pourrait y avoir beaucoup à faire pour les historiens.

Pour information :

http://www.panshin.com/trogholm/secret/rightroots/Timeline1969-82.html

Il faut aussi garder à l'esprit que Ted Shackley et John Singlaub se connaissaient très bien.

Comme cela a été noté plus haut, le voir assister en 1983 à une réunion du "Cercle" avec Robert Close, Jacques Jonet, Luc Beyer et Nicolas de Kerckhove ne laisse pas indifférent.


http://spartacus-educational.com/JFKsinglaub.htm

(...)   Singlaub joined the Central Intelligence Agency (CIA) and he was sent to Manchuria during the Chinese Civil War. In 1951 he became Deputy Chief of the CIA station in South Korea. Later he moved to Laos where he worked closely with Ted Shackley.

In 1964 Singlaub became chief of Military Assistance Command Studies and Observation Group (MACV-SOG). This was an unconventional warfare task force that oversaw assassination and paramilitary operations throughout Southeast Asia. MACV-SOG now took over Oplan 34-A from the CIA. Ted Shackley, CIA chief in Laos, reported having monthly meetings with Singlaub. According to one report, Singlaub "oversaw political assassinations programs in Laos, Cambodia and Thailand" (Inside the Shadow Government).

In 1966 Ted Shackley was placed in charge of CIA secret war in Laos. He appointed Thomas G. Clines as his deputy. He also took Carl E. Jenkins, David Morales, Rafael Quintero, Felix Rodriguez and Edwin Wilson with him to Laos. According to Joel Bainerman it was at this point that Shackley and his "Secret Team" became involved in the drug trade. They did this via General Vang Pao, the leader of the anti-communist forces in Laos.  (...)

_ _ _


http://www.nytimes.com/1981/09/06/us/ex-cia-agent-s-associates-run-arms-export-concerns.html?pagewanted=1

EX-C.I.A. AGENT'S ASSOCIATES RUN ARMS EXPORT CONCERNS

Published: September 6, 1981

(...)

http://www.nytimes.com/1981/09/06/us/ex-cia-agent-s-associates-run-arms-export-concerns.html?pagewanted=4

(...)    When Shackley left the C.I.A. in September 1979, he went to work for Mr. Clines at A.P.I. Distributors, S.S.I., and I.R.T. Ltd. Friends of Mr. Shackley familiar with his business activities said he viewed the association with Mr. Clines as a way of getting established in private business. They said that after Mr. Wilson was indicted, Mr. Shackley decided to reduce his association with Mr. Clines and his ventures.

Last September, Mr. Shackley founded Research Associates International, a consulting company. Research Associates currently shares office space in Rosslyn, Va., with S.S.I. and I.R.T. Ltd., and the incorporation paperwork for Mr. Shackley's company was handled by the Washington law firm of Shaw, Pittman, Potts & Trowbridge, which represents A.P.I., I.R.T., S.S.I. and Eatsco, according to company officials.

Friends of Mr. Shackley said he was looking for separate office space for Research Associates. Lowers Has Offices in Building   (...)

_ _ _


C'est via Research Associates International ("risk management") que Ted Shackley a conservé des liens avec des Iraniens et a pu rencontrer notamment Manucher Ghorbanifar en novembre 1984 à Hambourg. En mai 1985, Ted Shackley en a parlé avec Michael Ledeen. Les pièces du puzzle étaient alors en place pour la vente d'armes à l'Iran.

Note : il ne faut pas oublier l'implication de Georges Gutelman dans la vente d'armes en Iran ; son grand ami Jean Gol était-il au courant ? Cela me semble probable...

Sur le fils de Jean Violet :

https://fr.linkedin.com/in/paul-violet-3489b021

Maire-Adjoint de Paris

Mairie de Paris

1983 – 1995 (12 ans)

Il a dû rencontrer Monique Garnier-Lançon ...

Violet, Al Ajjaz et de Bonvoisin prenaient souvent le thé ensemble dans les salons feutrés Parisiens de la CGE. La CGE (General Electric, AEG, Sofina, Westinghouse...) forme le lien entre les 'idiots utiles'
tels le WNP, FJ, Burafex et la (très) Haute Finance. M. Verdeyen: " creusez dans l'histoire de la CGE pour comprendre."

mais Sofina n'était -elle pas une des firmes qui finançait Moyen?

il se peut que les dossiers pour Faez ,donnés par Tavernier et d'autres venaient du reseau Moyen ?

CGE

coté face

http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/31808/C&T_1987_17_12.pdf?sequence=1

mais coté pile ?

http://www.lesechos.fr/22/07/2014/LesEchos/21733-039-ECH_roux--pebereau--le-prince-de-l-ombre-et-son-dauphin.htm

regarde la periode de la nationalisation CGE?(nat periode :nov 1981 -fevr 1982 CGE)


je pense que la relation avec debon est anterieur à cette nationalisaton:

Citation :

Soudaine désaffection

C'est donc tout naturellement qu'en 1981, lors de l'arrivée au pouvoir de François Mitterrand, Ambroise Roux met en avant son directeur général... pour diriger la CGE tout juste nationalisée. Ayant publiquement déclaré qu'en cas de victoire de François Mitterrand il ne resterait pas à la tête de la firme, honni par la gauche qui voit en lui l'incarnation du « grand patron », l'industriel ne pouvait, de toute façon, guère espérer conserver son poste.

Ayant su, non sans habileté, nouer quelques contacts avec la nouvelle équipe, Roux obtient cependant que Georges Pébereau soit maintenu à la direction générale de la CGE. Si un nouveau président est nommé - en l'espèce Jean-Pierre Brunet -, le pouvoir appartient dans les faits au directeur général. En 1984 d'ailleurs, Georges Pébereau est nommé PDG du groupe public.

Qu'est-ce qui, alors, explique la soudaine désaffection qu'éprouve Ambroise Roux envers son protégé ? L'industriel devenu le fondateur et l'animateur de la très puissante Association française des entreprises privées (Afep) est-il déçu que Georges Pébereau ait accepté de diriger, sous un gouvernement de gauche, un groupe public ? Supporte-t-il mal l'envol de son dauphin ? Toujours est-il que « l'Ambroise » ne défend guère Georges Pébereau lorsqu'en 1986, avec le retour de la droite au pouvoir, le nouveau ministre de l'Economie, des Finances et de la Privatisation, Edouard Balladur, décide de le remplacer à la tête de la CGE. Sur la suggestion d'Ambroise Roux, c'est Pierre Suard qui est nommé. Un premier coup de canif dans les relations entre les deux hommes...
Mais la vraie rupture survient lors du célèbre raid contre la Société Générale. Nous sommes en 1988. Chassé de la CGE par Balladur, Georges Pébereau a créé avec des capitaux amis Marceau Investissements. Désireux, peut-être, de prendre sa revanche, il tente, avec plusieurs banques, une OPA sur la CGE. La manoeuvre échoue en raison de l'opposition de tout l'establishment politique et industriel. Georges Pébereau identifie alors une autre cible : la Société Générale - la banque de la CGE -, dirigée par Marc Viénot - qui est aussi administrateur de la CGE. L'ancien dauphin d'Ambroise Roux vise-t-il, par l'intermédiaire de la Société Générale, le groupe qu'il a dirigé jusqu'en 1986 ? Ce n'est pas impossible. Des semaines durant en tout cas, la bataille fait rage, Pébereau et ses alliés parvenant même à ramasser 10 % de la banque. Très remonté contre cette opération et contre son ancien collaborateur qui se permet de bousculer le paysage industriel et financier du pays, Ambroise Roux s'impose d'emblée comme l'animateur principal du lobby destiné à faire échouer l'OPA, jetant dans la balance toutes ses capacités manoeuvrières et le poids de ses relations. Le raid, de fait, échoue...

http://www.datapress.be/moteur/details.php?file=recherche&idResult=0&idSousFiche=15084&search=&srch=BENOIT%20de%20BONVOISIN

La nationalisation de CGE = Mitterrand en 82. Drôle de nationalisation. CGE a continué comme avant, sauf + garantis par l'état. Le moins qu'on puisse dire c'est que 'la Mite' était un drôle de socialiste:
-il était dans la Cagoule avant et pendant la 2GM
-il était d'avis que les socialistes étaient les mieux placés pour éloigner les cocos du pouvoir.
"CGE Alsthom a utilisé Deferm depuis des années. Rôle de Przedborski > Mitterrand via Merli. Passé de guerre". ( Ref. 'De elite van de macht.' p708)

'De elite van de macht' - page 708

"Farouk Khan" ?

Un certain Farouk Khan a été le commissaire pakistanais pour les régions du nord (près de la Chine). Est-ce celui-là ?

Il a été question de tester les armes nucléaires pakistanaises dans un désert chinois ... Y a-t-il un lien ?

"Khan" est un nom fréquent au Pakistan : un certain Munir Khan était le président de la Pakistan Atomic Energy Commission et Abdul Quadeer Khan a dirigé le développement de la "bombe islamique".

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OTRAG

https://fr.wikipedia.org/wiki/OTRAG

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GLOBUS

Il pourrait s'agir des essais nucléaires soviétiques ...

https://en.wikipedia.org/wiki/Nuclear_Explosions_for_the_National_Economy#History

(...)  Another catastrophe resulted from the Globus-1 explosion near the village of Galkino, 40 kilometers from Kineshma city on September 19, 1971.[8] It was a small underground explosion of 2.5 kilotons that was a part of the seismological program for oil and gas exploration.  (...)
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Au sujet de la prolifération nucléaire, voir

https://www.scribd.com/doc/291769512/De-Morgen-16-Jan-1988-Pakistan-Bom

Une comminision rogatoire à Pakistan ?

Cela s'est déjà vu, je crois...

C'est calme, trop calme, le calme avant la tempête ? 

HERVE a écrit:

'De elite van de macht' - page 708

Décodé:

"Hermanus ==> Comuele (voir Rapport Atlas)
Bierset
OTRAG
GLOBUS
Deferm-armes + drogues > témoignage de Mosbeux
First National US Investment
filière nucleaire Milmi (?)
Dekoning Felix-Farouk Khan
compte CGER " (voir Atlas)


Selon l'auteur GLOBUS= Kintex (à Sofia)
First National: filière nucleaire
Khan: dit ne pas avoir effectué le transfer de 2 milliards de $ (Atlas) , c'était fait à Bxl ( Dekoning ?)
pas de liens avec le projet pakistanais.

CGER et Khan: voir dans le même livre ' De elite van de macht' pages 722 et 723

Pages 722 et 723. Vraiment un livre considérable.

Non pas 'Milmi' mais Miami

Miami - Florida - Orlando - Lekeu - Buslik  - Bouhouche - Mendez - Practical Shooting Club Erembodegem - Aalst ?

Peut-être faut-il lire "Rekening Félix" et pas "Dekoning"... dans ce cas, il pourrait s'agir d'un compte ouvert à la First National et de Félix Przedborski...

"filière nucléaire" : c'est important ... mais de quoi s'agit-il exactement ? Vu la mention de "Farouk Khan", on peut penser à la "bombe islamique" pakistanaise (sans doute avec un financement saoudien ; le prince Turki - du "Safari club" - devait être au courant).

Félix Przedborski a longtemps représenté le Costa Rica à l'AIEA à Vienne. Il devait bien connaître le monde du nucléaire et il était familier des trafics d'armes.

Intéressant aussi de voir apparaître la CGER ...

Si on y ajoute le possible lien entre Norbert Van de Voorde (Belgonucléaire puis SCK-CEN) et Abdul Qadeer Khan ainsi que celui existant entre Etienne van de Voorde et Eurosystem Hospitalier / Fabrique Nationale / PRB... l'hypothèse d'un volet nucléaire à l'Irangate pourrait être renforcée et il pourrait y avoir eu une implication de la Belgique...

Question : que savait Jacques Fourez de tout cela ?

Remarque : nous savons que la DIA a joué un rôle important dans les tueries du Brabant. Un des patrons de la DIA a été Samuel V. Wilson (1976-1977). Il a ensuite été lié à Peregrine International Associates (société créée en 1981) qui faisait les "covert operations" pour le "Defense Department" en recrutant d'anciens militaires.

Voir :

http://articles.philly.com/1987-04-26/news/26193966_1_peregrine-executives-covert-operations-peregrine-officials

Firm Says U.s. Urged Covert Plots Khomeini Called Target Of One Scheme

April 26, 1987

(...)
One important message to Meadows and other Peregrine officials, they said, was that the Reagan administration, early on, had decided to assign much of the government's covert and clandestine activity to the military, rather than the CIA.
The Defense Intelligence Agency, for example, which was created in 1961 to oversee the services' separate military intelligence units, also stepped up its "extraordinary military activities" to include counterterrorism and counterinsurgency.
Wilson's observation, according to Howard, was that "The DIA was picking up 90 percent of the CIA's work. The DIA was going to become the new CIA and leave the CIA out there to take the public licks."
(...)