Emission RTL-TVi, 2 juin 2010

La tuerie d'Alost... à la télé (16/05/2010)


Ce midi, reconstitution de la dernière tuerie du Brabant: pour la télé déjà le mercredi 2 juin
ALOST Ce dimanche midi, la police fédérale, en accord avec les magistrats de Mons et Charleroi en charge, procédera, sur le parking du Delhaize d’Alost, à une reconstitution grandeur nature de la dernière des tueries attribuée aux tueurs du Brabant qui ont sévi impunément en Belgique de l’été 1982 à novembre 1985, laissant 28 victimes tuées.
Cette reconstitution 25 ans après, était réalisée pour VTM et RTL-TVi qui préparent une émission exceptionnelle à l’échelle nationale les 2 (RTL) et 3 (VTM) juin. Peut-être la dernière carte !
Le 9 novembre 1985, huit personnes, clients et caissières, ont été tuées par balles au Delhaize d’Alost. Six semaines plus tôt, huit l’avaient déjà été aux Delhaize d’Overijse et Braine-l’Alleud. L’objectif des enquêteurs désormais dirigés par le commissaire Eddy Vos, est de remuer les souvenirs et de susciter les derniers témoignages.
Invraisemblable après tant d’années ? Et pourtant en 2003, la même démarche avait obtenu des résultats positifs; ceux-ci sont d’ailleurs à la base des émissions de la dernière chance qui se préparent. En effet, les enquêteurs prévoient de diffuser un nouveau portrait-robot.
Ensuite, ils veulent diffuser aussi le témoignage exclusif du policier Eddy Nevens. Enfin, le programme prévoit de retracer les trente dernières heures des tueurs du Brabant qui effectivement ne sont plus manifestés après le 9 novembre 1985.
Pourquoi ? Peut-être parce que l’inspecteur Nevens, qui était moniteur de tir à la police d’Alost, pense avoir atteint un des gangsters, celui qui était assis avec son riot gun dans le coffre arrière de la VW Golf, véhicule retrouvé par la suite à 52 km de là dans le bois de la Houssière (Ronquières).
Des éléments font penser que celui qui était assis à l’arrière était Killer ou Tueur, surnom donné au chef de la bande qui aurait personnellement tué 23 des 28 victimes des tueries.
L’aide du public est essentielle : après l’émission de 2003, des automobilistes – 18 ans après – avaient signalé avoir croisé cette nuit-là vers 3 h du matin, dans le bois de la Houssière, une VW Golf à l’arrêt sur le bas-côté de l’avenue Marouset et de la rue de la Chapelle au Foya, avec deux hommes debout près de la Golf et un “paquet” au pied du véhicule.
Une hypothèse serait que le "long paquet” était en fait le corps de l’homme blessé par Nevens à Alost. Donc, de Killer qui n’aurait pas survécu ou que ses complices auraient achevé, ce qui expliquerait la fin des tueries. Mais on a creusé un mois, en 2004, à la Houssière, sans rien exhumer.
La conviction d’Eddy Nevens d’avoir fait mouche tient à l’arme – un.38 de 4 pouces – spécialement réglée, au fait qu’il a pu adopter la position de tir et que la VW Golf était à peine à 15 mètres. Plus tard l’enquête a permis de retrouver un manteau, une gaine, une cartouchière, etc., indication supplémentaire, dans cette hypothèse, que les complices se seraient débarrassé d’effets dont l’un d’eux n’avait plus besoin, et pour cause.
À ce stade, les deux complices sont désignés comme : Le Vieux (celui qui pilotait) et Le Géant (celui dont la stature impressionna tant des dizaines de témoins).
La prescription définitive intervient le mardi 10 novembre 2015. La promesse Delhaize de 250.000 € est toujours valable.

source : DHnet

Eddy Nevens a affirmé à bouten qu'il n'a pas selon lui touché l'un des hommes. Tout au plus, a-t-il pu toucher le véhicule.

ET SURTOUT

"...que de le hayon était fermé. ( Et ) il n'y avait donc pas de tireur qui ouvrait le feu sur tout le monde par ce trou béant comme on le prétend parfois. "

Peut-être, après 24 ans 1/2, va -t-on voir plus clair dans cette hypothèse: le Géant tué à Aalst, ce qui sonne la fin des tueries du Brabant !

Cordialement

La récompense

Extrait du livre de R. Haquin Jan 2006 page 221

" Deux primes de dix millions ont été offertes pour confondre la bande: l'une par la direction des supermarchés, l'autre par Delhaize. Même à ce prix (...) on ne sait rien des auteurs, rien de leurs mobiles. Rien que des hypothèses. " fin de citation.

René Haquin a pu faire une erreur, il n'était pas infaillible. Mais cela me paraît valoir la peine de vérifier. Pour des hommes attirés par le fric, il en va du simple au double. Et puis, 25 ans plus tard, avec " l'inflation " galopante, il devrait y avoir réajustement, non?
Ce qui N'a PAS changé, c'est qu'on N'en sait PAS plus des auteurs NI de leurs motivations !

Une lueur d'espoir...?!
Cordialement.

Il y a quand même quelque chose d'illogique !!!
A Braine ils avaient 2 voitures et une dame à bien vu une vielle opel avec un vieux au volant et un blond sortant de celle ci et prendre son riot gun et mettre son masque et à Alost on parle d'un vieux du géant et de "killer" mais pas du blond !!!

Si quelqu'un a vu "le paquet", la police arrivée sur les lieux aurait du trouver du sang près de la carcasse de la golf car si touché par Nevens et qu'il avait un gillet pare balles il a peut être été touché à la tête et là ça pisse du sang à crever !!!

Reconstitution des tueries du Brabant à Alost
A Alost, a débuté dimanche matin à 11 heures la reconstitution d'une attaque commise en 1985 et qui est imputée aux auteurs des tueries du Brabant wallon. Les images seront diffusées à la télévision sur les chaînes privées vtm et RTL-TVi. Un appel à témoins sera alors lancé.


A Alost, a débuté dimanche matin à 11 heures la reconstitution d'une attaque commise en 1985 et qui est imputée aux auteurs des tueries du Brabant wallon. Les images seront diffusées à la télévision sur les chaînes privées vtm et RTL-TVi. Un appel à témoins sera alors lancé.


Les enquêteurs ont pris l'initiative de lancer un appel à témoins via une émission de télévision. "Il est difficile d'expliquer simplement l'ensemble de la situation, c'est pourquoi nous avons recours aux images. Certains éléments qui ne sont pas encore connus du grand public seront diffusés sous forme d'images", a expliqué l'enquêteur Eddy Vos, qui dirige la cellule d'enquête consacrée aux tueries du Brabant wallon.

Des dizaines de figurants participent à la reconstitution. Certains portent d'anciens uniformes. La reconstitution filmée débute avec la découverte le 9 novembre 1985 de chèques dans la forêt de la Houssière, près de Nivelles et se termine 36 heures plus tard dans ce même bois, lorsque les auteurs de l'attaque du Delhaize boutent le feu à leur véhicule.

Dimanche, est reconstituée la scène de l'attaque du Delhaize à Alost qui avait coûté la vie à 8 personnes. "Si les gens pouvaient livrer des informations sur ces dernières heures, cela pourrait constituer une percée au niveau de l'enquête", souligne Eddy Vos. Le tournage prendra une semaine. La reconstitution sera diffusée à la télévision en juin. Ultérieurement, elle pourrait être diffusée également à l'étranger.

Source : Rtlinfo.be

Iemand toevallig 'iets' opgemerkt, zo ongeveer 25 jaar geleden?

Nadat het niet met profilers en leugendetector lukte, proberen de speurders nu met een tv-reconstructie de Bende van Nijvel te ontmaskeren. Douglas De Coninck heeft zijn twijfels bij het nut ervan. Douglas De Coninck is redacteur van deze krant.

Dit is wat wordt bedoeld als men zegt dat er na 25 jaar nog wordt gespeurd naar de Bende van Nijvel. Er wordt op automarkten en gespecialiseerde veilingssites gespeurd naar een Golf om voor de camera in brand te steken
Op een koude novembernacht in het jaar 1985 wou boer Kamiel uit Appelterre, bij Ninove, de rolluiken laten zakken toen hij de grijze VW Golf opmerkte op zijn erf. Uit de auto kwamen twee mannen met bivakmutsen en combat boots gestapt. Ze droegen zware machinegeweren. Boer Kamiel bemerkte kogelgaten in de auto.

Een van de mannen nam het woord.

- Boer, hebt gij melk?

- Jazeker, en ook verse eieren.

- Ha, dat is dan goed, boer. Wij komen zojuist van de Delhaize in Aalst, maar daar hadden zij geen verse melk.

Een transactie werd beklonken, waarna boer Kamiel zijn late bezoekers er nog op attendeerde dat hij zelf al eens schade had gehad en dat hij van deze ervaring had geleerd dat verzekeringsmakelaren een onfortuinlijke automobilist niet altijd willen geloven op zijn woord. Men behoort in geval van autoschade foto's te maken.

- Ah, is dat zo?

- Maar geen probleem zenne. Ik heb hier mijn Kodak. Ga naast elkaar voor de auto staan. En zet die bivakmutsen af, kwestie dat de man van de verzekeringen duidelijk kan zien dat jullie het zijn.

- Heel goed mijnheer de boer en excuus voor het verlet.

CSI wedersamenstelling
Vijfentwintig jaar lang zat boer Kamiel te wachten. Hij had het filmrolletje naar de winkel gebracht en de foto's lagen nog steeds in zijn keukenla. Maar de mannen met de Golf lieten niets meer wat van zich horen. In de jaren die volgden keek boer Kamiel tv, en las hij kranten. Over de Bende van Nijvel, die in de avond van 9 november 1985 in de Delhaize van Aalst acht mensen had geëxecuteerd. Drie mannen in een grijze Golf. De daders waren gevlucht richting van Ninove, stond er. "Wat erg toch", bedacht boer Kamiel dan. "Dat zo weinig mensen iets hebben gezien."

Nu is het grote moment daar. Nadat ze op kerkhoven lijken ontgroeven en knoken testten op dna, vanuit Canada een leugendetector lieten overvliegen, profilers aan het werk zetten en getuigen hypnotiseerden, vestigen de speurders van de cel Waals-Brabant (CWB) hun hoop nu op het absolute neusje van de zalm inzake forensische hightech. We spreken hier over een nieuwe opsporingstechniek die pas in het volgende seizoen van CSI Miami aan bod gaat komen. De wedersamenstelling.

Men brengt alle beschikbare actoren van toen weer samen op dezelfde plek, de parking van de Delhaize, en men speelt het hele gebeuren na. De speurders gingen bij het organiseren van hun wedersamenstelling in en rond Aalst niet over een nacht ijs. Actrice Kadèr Kürbüz werd ingehuurd om figuranten te coachen. Er diende gezocht naar de juiste auto. "Wij moesten zowel een rijklare VW Golf I terugvinden voor de autoscènes als een wrak van dat type om later in een bos in brand te steken", aldus een speurder in Het Nieuwsblad. "Blijkt echter dat de Golf I stilaan een collector's item geworden is waarvan de marktwaarde toeneemt. Dus kwam daar nogal wat zoekwerk bij kijken."

Dit is wat wordt bedoeld als men zegt dat er na 25 jaar nog steeds wordt gespeurd naar de Bende van Nijvel. Er wordt op automarkten en gespecialiseerde veilingssites gespeurd naar een VW Golf I om voor de camera in brand te steken. De auto moet er natuurlijk heel precies uitzien als de authentieke VW Golf I, want zoals iedereen weet kleuren de vlammen in het nachtelijke bos heel anders dan bij pakweg de VW Golf GTI of de Seat Impreza Turbo. Bij een wedersamenstelling gaat het om details.

De bij de wedersamenstelling geschoten beelden worden nu gemonteerd tot een film die ons een inzicht zal geven in "de laatste 36 uur van de Bende van Nijvel". De film zal op 2 juni worden uitgezonden om RTL-TVi en daarna op vtm. De speurders hopen getuigen te vinden bij wie het een kwarteeuw na datum te binnen zal schieten dat ze die avond "iets hebben opgemerkt". Dit is het moment, kortom, waarop boer Kamiel na 25 jaar zal rechtveren: "Kerdjie kerdja, dat waren die mannen!"

Criminele business om zeep
De Bende van Nijvel gaf aanleiding tot twee parlementaire onderzoekscommissies, een stuk of honderd tv-documentaires, een muur vol boeken, een strip van Nero en een film van Julien Vrebos. En tot de decimering van een bijna complete generatie Belgische topcriminelen. De Bende doodde voor de lol, of voor een blik olie en wat sigaretten of whisky. Ze ging radicaal in tegen axioma's 1, 2 en 3 in het lessenpakket voor de beginnende gangster. 1. kleine buit = niet schieten, 2. schiet enkel als het niet anders kan en 3. schiet als het even kan niet naar de politie.

"De Bende van Nijvel deed dat wel en heeft mijn hele business om zeep geholpen", zo blikte de Brusselse oud-peetvader Alain Moussa onlangs terug. "De rijkswacht wachtte na 1985 niet langer om te schieten, ze kreeg ook nieuwe wapens, en snellere wagens. Kwam je als gewapende overvaller voor de rechtbank, dan werd je drie keer zo streng gestraft." Moussa trok in eigen kringen op onderzoek. "We waren zo bereid om de Bende van Nijvel te verlinken, als we tenminste iets wisten. Maar we wisten niks."

Wie achter de Bende van Nijvel schuilging, dat weet de immer optimistische Eddy Vos van de CWB na 25 jaar nog altijd niet. Zo te horen weet hij inmiddels wel al wie het niet was. Geen rijkswacht, geen leger, geen extreem rechts, geen binnen- of buitenlandse inlichtingendienst. Nee, er zijn nu elementen die wijzen in de richting van "het Noord-Franse misdaadmilieu". Klassieke misdaad: het oude verhaal. Dit was de hypothese van de diepgelovige Nijvelse procureur Jean Deprêtre ("schorremorrie"). Het was tunnelvisie, dezelfde tunnelvisie die maakt dat we ook nooit zullen weten wie Joke Van Steen vermoordde. (Ook in die zaak hielden de speurders een wedersamenstelling. Met een jonge agente in de rol van lijk dat over 5 kilometer achterop een brommer werd vervoerd.)

Het feit dat je er mag van uitgaan dat er getuigen zijn die 25 jaar lang bleven zwijgen, komt niet doordat ze te dom zouden zijn om een VW Golf met drie gangsters in te linken aan de Bende van Nijvel, zegt Vos nu (DM 17/01). Het komt door al die "complottheorieën" en door de "mythe die rond de Bende hangt". De schrik dat spreken in deze wel eens een gevaarlijk zou kunnen zijn "zit er nog dik in". Het klinkt als: "Kijk straks allemaal tv, u zal zien dat het heel banale crimineeltjes waren die zonder aanwijsbaar motief 28 onschuldige burgers executeerden. Er is niets om bang voor te zijn."

Vorige week stond nog iets anders in de krant. Eric Lammers is vrij met enkelband. Lammers was in de vroege jaren tachtig een schietgrage soldaat in dienst van het neonazistische Westland New Post (WNP). Op 19 februari 1982 maakte hij deel uit van een doodseskader dat in Anderlecht een bejaard koppel executeerde. Onderzoek wees later uit dat deze mensen hadden gefungeerd als oefenpoppen, voor het geval WNP ooit de opdracht zou krijgen om een KGB-spion te mollen.

Dit gebeurde hier, onder onze neus, in Anderlecht in 1982. De laatste die Eric Lammers in vrijheid nog te spreken kreeg, was journalist Guy Bouten, tijdens zijn research voor zijn boek over de Bende van Nijvel. Lammers legde uit hoe het WNP in die tijd fungeerde als een goed getraind doodseskader. Lammers hield vaak schietoefeningen in het Bois de la Houssière, waar nu terwille van de tv-uitzending een 30 jaar oude Golf moet fikken. Enkele weken geleden verscheen ook het boek van ex-rijkswachter Robert Beijer, een man die eveneens deel nam aan moordpartijen "in opdracht van..."

Beide boeken bieden ons een glimp op de leefwereld van enkele protagonisten van de politieke misdaad tijdens de loden jaren. In de vroege jaren tachtig liepen er in België enkele goed getrainde luiden rond in de rotsvaste overtuiging dat de oorlog met de Russen al bezig was en orders, hoe waanzinnig ook, onder geen enkele omstandigheid in twijfel konden worden getrokken.

De CWB deed het boek van Bouten af als flauwekul. Alle min of meer "politieke" pistes zijn onderzocht, zo heet het, en zijn volstrekt inopportuun gebleken. Het is nu een kwestie van allemaal samen voor de tv te gaan zitten. En wachten tot boer Kamiel belt.

source : http://www.demorgen.be/dm/nl/2461/De-Gedachte/article/detail/1106934/2010/05/18/Iemand-toevallig-iets-opgemerkt-zo-ongeveer-25-jaar-geleden.dhtml

Citation :

Nee, er zijn nu elementen die wijzen in de richting van "het Noord-Franse misdaadmilieu"

Boer-Ka uit Appelterre a entretemps pris une ligne ADSL et il a bien lu tout vos messages.
il va écrire un mechant lettre "droit de réponse " a DDC.

Douglas va après pouvoir mieux étaler ses connaissances , surtout qu'il a déjà bien décrit la situation le 9/6/2001 ds le" morgen " à alost vu du seul temoin membre de la famille des 4 victimes : le grand père VDA habitant en face du Delhaize.

il va aussi pouvoir expliquer pourquoi Moussa , dont il parle ds l'article ,après avoir été liberé après 18 ans , parle dans son premier interview a un collègue journaliste, du tenancier Mark Stens de Ottignies ("'qui n'etait pas des notres" dit -il mais qui était en vain venu lui demander de l'aide ,

mais par malchance il n'a pas trouvé Moissa est retourné et a été assasinné.
Par hasard un autre tenancier des environs à pris les poudres escampettes vers l' espagne aussi et par hasard c'est dans ces cafés ou ...etc
à lire sur nos sites etc etc ...enzovoort, enzovoort ,disait Louis paul Boon ds le "kapellelkensbaan".....

Quelques photos de la reconstruction d'Alost (source : www.bendevannijvel.com)

Vos prépare son deuxieme carrière de realisateur de programmes policier.
Je le souhaite bonne chance.

Surtout qu'il a déjà exclus des pistes.

Je ne veux pas parier sur le contenu de l'émission mais
j'espère qu'il parle de

1.: Pourqoui Mendez passait /travaillait son temps à ALOST
2.: Ou ils ont trouvé des traces de pneus ds le osbroekpark
3.: ce qu'a crié une des victimes en reconnaissant ses agresseurs
4.: ce qu'on a trouvé sur le toit le semaine après.
5.:comment 2 BOB étaient dans le magasins plus vite qu'un témoin occulaire qui a pris son revolver et qui a descendu qqs étages et est entré ds ce magasin.
6.: le va et vient des vehicules de la gendarmerie constaté en opposition avec ce qui est noter ds les PV de celles -ci ... semble -t-til.

enzovoort enzovoort

Tiens ...personne semble connaitre STENS et Moussa encore ....RIP

michel a écrit:

Iemand toevallig 'iets' opgemerkt, zo ongeveer 25 jaar geleden?

Nadat het niet met profilers en leugendetector lukte, proberen de speurders nu met een tv-reconstructie de Bende van Nijvel te ontmaskeren. Douglas De Coninck heeft zijn twijfels bij het nut ervan. Douglas De Coninck is redacteur van deze krant.

Dit is wat wordt bedoeld als men zegt dat er na 25 jaar nog wordt gespeurd naar de Bende van Nijvel. Er wordt op automarkten en gespecialiseerde veilingssites gespeurd naar een Golf om voor de camera in brand te steken
Op een koude novembernacht in het jaar 1985 wou boer Kamiel uit Appelterre, bij Ninove, de rolluiken laten zakken toen hij de grijze VW Golf opmerkte op zijn erf. Uit de auto kwamen twee mannen met bivakmutsen en combat boots gestapt. Ze droegen zware machinegeweren. Boer Kamiel bemerkte kogelgaten in de auto.

Een van de mannen nam het woord.

- Boer, hebt gij melk?

- Jazeker, en ook verse eieren.

- Ha, dat is dan goed, boer. Wij komen zojuist van de Delhaize in Aalst, maar daar hadden zij geen verse melk.

Een transactie werd beklonken, waarna boer Kamiel zijn late bezoekers er nog op attendeerde dat hij zelf al eens schade had gehad en dat hij van deze ervaring had geleerd dat verzekeringsmakelaren een onfortuinlijke automobilist niet altijd willen geloven op zijn woord. Men behoort in geval van autoschade foto's te maken.

- Ah, is dat zo?

- Maar geen probleem zenne. Ik heb hier mijn Kodak. Ga naast elkaar voor de auto staan. En zet die bivakmutsen af, kwestie dat de man van de verzekeringen duidelijk kan zien dat jullie het zijn.

- Heel goed mijnheer de boer en excuus voor het verlet.

CSI wedersamenstelling
Vijfentwintig jaar lang zat boer Kamiel te wachten. Hij had het filmrolletje naar de winkel gebracht en de foto's lagen nog steeds in zijn keukenla. Maar de mannen met de Golf lieten niets meer wat van zich horen. In de jaren die volgden keek boer Kamiel tv, en las hij kranten. Over de Bende van Nijvel, die in de avond van 9 november 1985 in de Delhaize van Aalst acht mensen had geëxecuteerd. Drie mannen in een grijze Golf. De daders waren gevlucht richting van Ninove, stond er. "Wat erg toch", bedacht boer Kamiel dan. "Dat zo weinig mensen iets hebben gezien."

Nu is het grote moment daar. Nadat ze op kerkhoven lijken ontgroeven en knoken testten op dna, vanuit Canada een leugendetector lieten overvliegen, profilers aan het werk zetten en getuigen hypnotiseerden, vestigen de speurders van de cel Waals-Brabant (CWB) hun hoop nu op het absolute neusje van de zalm inzake forensische hightech. We spreken hier over een nieuwe opsporingstechniek die pas in het volgende seizoen van CSI Miami aan bod gaat komen. De wedersamenstelling.

Men brengt alle beschikbare actoren van toen weer samen op dezelfde plek, de parking van de Delhaize, en men speelt het hele gebeuren na. De speurders gingen bij het organiseren van hun wedersamenstelling in en rond Aalst niet over een nacht ijs. Actrice Kadèr Kürbüz werd ingehuurd om figuranten te coachen. Er diende gezocht naar de juiste auto. "Wij moesten zowel een rijklare VW Golf I terugvinden voor de autoscènes als een wrak van dat type om later in een bos in brand te steken", aldus een speurder in Het Nieuwsblad. "Blijkt echter dat de Golf I stilaan een collector's item geworden is waarvan de marktwaarde toeneemt. Dus kwam daar nogal wat zoekwerk bij kijken."

Dit is wat wordt bedoeld als men zegt dat er na 25 jaar nog steeds wordt gespeurd naar de Bende van Nijvel. Er wordt op automarkten en gespecialiseerde veilingssites gespeurd naar een VW Golf I om voor de camera in brand te steken. De auto moet er natuurlijk heel precies uitzien als de authentieke VW Golf I, want zoals iedereen weet kleuren de vlammen in het nachtelijke bos heel anders dan bij pakweg de VW Golf GTI of de Seat Impreza Turbo. Bij een wedersamenstelling gaat het om details.

De bij de wedersamenstelling geschoten beelden worden nu gemonteerd tot een film die ons een inzicht zal geven in "de laatste 36 uur van de Bende van Nijvel". De film zal op 2 juni worden uitgezonden om RTL-TVi en daarna op vtm. De speurders hopen getuigen te vinden bij wie het een kwarteeuw na datum te binnen zal schieten dat ze die avond "iets hebben opgemerkt". Dit is het moment, kortom, waarop boer Kamiel na 25 jaar zal rechtveren: "Kerdjie kerdja, dat waren die mannen!"

Criminele business om zeep
De Bende van Nijvel gaf aanleiding tot twee parlementaire onderzoekscommissies, een stuk of honderd tv-documentaires, een muur vol boeken, een strip van Nero en een film van Julien Vrebos. En tot de decimering van een bijna complete generatie Belgische topcriminelen. De Bende doodde voor de lol, of voor een blik olie en wat sigaretten of whisky. Ze ging radicaal in tegen axioma's 1, 2 en 3 in het lessenpakket voor de beginnende gangster. 1. kleine buit = niet schieten, 2. schiet enkel als het niet anders kan en 3. schiet als het even kan niet naar de politie.

"De Bende van Nijvel deed dat wel en heeft mijn hele business om zeep geholpen", zo blikte de Brusselse oud-peetvader Alain Moussa onlangs terug. "De rijkswacht wachtte na 1985 niet langer om te schieten, ze kreeg ook nieuwe wapens, en snellere wagens. Kwam je als gewapende overvaller voor de rechtbank, dan werd je drie keer zo streng gestraft." Moussa trok in eigen kringen op onderzoek. "We waren zo bereid om de Bende van Nijvel te verlinken, als we tenminste iets wisten. Maar we wisten niks."

Wie achter de Bende van Nijvel schuilging, dat weet de immer optimistische Eddy Vos van de CWB na 25 jaar nog altijd niet. Zo te horen weet hij inmiddels wel al wie het niet was. Geen rijkswacht, geen leger, geen extreem rechts, geen binnen- of buitenlandse inlichtingendienst. Nee, er zijn nu elementen die wijzen in de richting van "het Noord-Franse misdaadmilieu". Klassieke misdaad: het oude verhaal. Dit was de hypothese van de diepgelovige Nijvelse procureur Jean Deprêtre ("schorremorrie"). Het was tunnelvisie, dezelfde tunnelvisie die maakt dat we ook nooit zullen weten wie Joke Van Steen vermoordde. (Ook in die zaak hielden de speurders een wedersamenstelling. Met een jonge agente in de rol van lijk dat over 5 kilometer achterop een brommer werd vervoerd.)

Het feit dat je er mag van uitgaan dat er getuigen zijn die 25 jaar lang bleven zwijgen, komt niet doordat ze te dom zouden zijn om een VW Golf met drie gangsters in te linken aan de Bende van Nijvel, zegt Vos nu (DM 17/01). Het komt door al die "complottheorieën" en door de "mythe die rond de Bende hangt". De schrik dat spreken in deze wel eens een gevaarlijk zou kunnen zijn "zit er nog dik in". Het klinkt als: "Kijk straks allemaal tv, u zal zien dat het heel banale crimineeltjes waren die zonder aanwijsbaar motief 28 onschuldige burgers executeerden. Er is niets om bang voor te zijn."

Vorige week stond nog iets anders in de krant. Eric Lammers is vrij met enkelband. Lammers was in de vroege jaren tachtig een schietgrage soldaat in dienst van het neonazistische Westland New Post (WNP). Op 19 februari 1982 maakte hij deel uit van een doodseskader dat in Anderlecht een bejaard koppel executeerde. Onderzoek wees later uit dat deze mensen hadden gefungeerd als oefenpoppen, voor het geval WNP ooit de opdracht zou krijgen om een KGB-spion te mollen.

Dit gebeurde hier, onder onze neus, in Anderlecht in 1982. De laatste die Eric Lammers in vrijheid nog te spreken kreeg, was journalist Guy Bouten, tijdens zijn research voor zijn boek over de Bende van Nijvel. Lammers legde uit hoe het WNP in die tijd fungeerde als een goed getraind doodseskader. Lammers hield vaak schietoefeningen in het Bois de la Houssière, waar nu terwille van de tv-uitzending een 30 jaar oude Golf moet fikken. Enkele weken geleden verscheen ook het boek van ex-rijkswachter Robert Beijer, een man die eveneens deel nam aan moordpartijen "in opdracht van..."

Beide boeken bieden ons een glimp op de leefwereld van enkele protagonisten van de politieke misdaad tijdens de loden jaren. In de vroege jaren tachtig liepen er in België enkele goed getrainde luiden rond in de rotsvaste overtuiging dat de oorlog met de Russen al bezig was en orders, hoe waanzinnig ook, onder geen enkele omstandigheid in twijfel konden worden getrokken.

De CWB deed het boek van Bouten af als flauwekul. Alle min of meer "politieke" pistes zijn onderzocht, zo heet het, en zijn volstrekt inopportuun gebleken. Het is nu een kwestie van allemaal samen voor de tv te gaan zitten. En wachten tot boer Kamiel belt.

source : http://www.demorgen.be/dm/nl/2461/De-Gedachte/article/detail/1106934/2010/05/18/Iemand-toevallig-iets-opgemerkt-zo-ongeveer-25-jaar-geleden.dhtml

Voici la traduction effectuée par lagloupette02 :

Quelqu'un aurait-il, par hasard, remarqué quelque-chose il y environ 25 ans ?

Comme ni les services de profileurs ni les détecteurs de mensonges n'ont donné de résultats, les enquêteurs tentent actuellement de démasquer les tueurs du Brabant wallon par le biais d'une reconstitution télévisée. Douglas De Conink (journaliste au Morgen) est sceptique. Il s'explique :

Par une froide nuit de novembre de 1985, Camille, un fermier d'Appelterre, près de Ninove, baisse ses stores lorsqu'il aperçoit une Golf grise devant chez lui. Deux hommes en cagoules et chaussés de combat shoes en sortent. Ils portent de grosses mitraillettes. Camille remarque des impacts de balles sur leur véhicule.

Un des hommes s'adresse à lui.

Avez-vous du lait ?
Bien sûr, des œufs frais aussi.
Ah, alors ça va. Nous venons du Delhaize d'Alost, il n'y avait plus de lait frais.
Ils font affaire. Ensuite, Camille explique a ses visiteurs inattendus qu'il a lui-même déjà été victime d'un sinistre et qu'il en avait retenu que les compagnies d'assurances ne veulent pas toujours croire les automobilistes malchanceux. Lors de dégâts à un véhicule, il faut prendre des photos.

Ah bon ?
Pas de problème. J'ai un Kodak. Mettez-vous tous les deux devant votre voiture. Otez vos cagoules, pour que l'employé de la compagnie d'assurance puisse bien voir qui vous êtes.
Très bien, merci, et toutes nos excuses pour le dérangement.
Camille a attendu pendant 25 ans. Il a porté le film à développer et les photos sont restées dans un tiroir de sa cuisine. Les hommes à la Golf n'ont plus jamais donné signe de vie. Au cours des années qui suivirent, Camille a lu des journaux et a regardé la télévision. Il a lu des informations à propos des tueurs du Brabant wallon qui avaient exécuté 8 personnes le soir du 9 novembre 1985 au Delhaize d'Alost. Trois hommes dans une Golf grise. On disait que les auteurs avaient fui en direction de Ninove. "Quel dommage, pensait Camille, que si peu de gens aient vu quelque chose."

Maintenant le moment est venu. Après avoir exhumé des corps dans des cimetières, réalisé des tests ADN, avoir fait venir un détecteur de mensonges du Canada, après avoir fait appel à des profileurs et entendu des témoins sous hypnose, les enquêteurs de la cellule Brabant wallon fondent tous leurs espoirs sur le top du top en matière de high tech d'enquête criminalistique. Nous parlons ici d'une nouvelle technique qui n'entrera en ligne de compte qu'à la prochaine saison de CSI Miami : la reconstitution.

On ramène le plus grand nombre possible des protagonistes de l'époque au même endroit, sur le parking du Delhaize, et on rejoue toute la scène. Pour l'organisation de cette reconstitution, les enquêteurs n'ont pas lésiné sur les moyens. L'actrice Kadèr Kürbüz a été engagée pour coacher les figurants. Il fallait trouver le véhicule adéquat. "Nous devions trouver à la fois une Golf I prêt à l'emploi pour les scènes avec des voitures, ainsi qu'une épave de même type qu'on pourrait brûler plus tard dans un bois" déclare l'un des enquêteurs au Nieuwsblad. "Il semblerait qu'avec le temps, la Golf I soit devenue un collector dont la valeur augmente. Nous avons donc dû beaucoup chercher."

Cela signifie que 25 ans après les faits, on cherche une Golf sur les marchés de voitures d'occasion afin de pouvoir la faire brûler devant les caméras. La voiture doit évidemment ressembler très précisément à la VW I de l'époque, parce que tout le monde sait que la couleur des flammes d'une Golf I n'est pas la même que celle d'une Golf GTI ou d'une Seat Impreza Turbo, par exemple. Quand il s'agit d'une reconstitution, il ne faut pas négliger le moindre détail.

Les images qui ont été prises lors de la reconstitution ont été montées et un film a été réalisé, qui nous permettra de voir "les dernières 36 heures des tueurs du Brabant wallon". Il sera diffusé le 2 juin sur RTL-TVI et après cela sur VTM. Les enquêteurs espèrent trouver, après un quart de siècle, des témoins qui vont réaliser qu'ils ont "remarqué quelque chose" ce soir-là. En bref, c'est le moment où Camille va bondir de son siège en s'exclamant"Nom d'une pipe, c'était eux".

Les tueurs du Brabant wallon sont à l'origine de deux commissions parlementaires d'enquête, d'une centaine de documentaires télévisés, d'un tas de livres, d'une bande dessinée de Nero et d'un film de Julien Vrebos. Une génération presque entière de grands criminels belges a été décimée. Les tueurs du Brabant wallon ont tué pour s'amuser, ou pour un peu d'essence, quelques cigarettes et quelques gorgées de whisky. Ils sont allés totalement à l'encontre des axiomes 1, 2 et 3 des leçons du gangster débutant, à savoir : 1. Petit butin, pas de coup de feu. 2. Ne tirer que s'il n'y a pas moyen de faire autrement. 3. Si possible, ne pas tirer sur un policier.

"Les tueurs du Brabant wallon ont ruiné tout mon business" déclarait récemment le parrain bruxellois Alain Moussa. "Après 1985, la gendarmerie n'a plus hésité à faire feu, elle disposait de nouvelles armes et de voitures plus rapides. Si vous vous retrouviez au tribunal pour une attaque à main armée, la sanction était 3 fois plus lourde." Moussa a fait des recherches dans son propre entourage. "Nous étions prêts à dénoncer les tueurs du Brabant wallon, du moins si nous avions su quelque chose. Mais nous ne savions rien."

Malgré son indéfectible optimisme, Eddy Vos, l'enquêteur de la cellule Tueurs de Brabant wallon, ne sait toujours pas qui se cachait derrière les tueurs du Brabant wallon. A l'entendre, il sait maintenant de qui il ne s'agissait pas. Pas la gendarmerie, pas l'armée, pas l'extrême-droite, pas un service de renseignements – national ou international. Non, des éléments indiquent actuellement qu'il s'agirait de milieux criminels du nord de la France. Du banditisme, la vieille rengaine. C'était l'hypothèse défendue par Jean Deprêtre, le procureur de Nivelles. C'est une vision étriquée des faits, la même que celle qui fait qu'on ne saura jamais qui a tué Joke Van Steen. (Dans cette affaire aussi, les enquêteurs ont procédé à une reconstitution. Avec une jeune policière en guise de cadavre, qui fut transporté sur 5 km à l'arrière d'une mobylette).

Qu'on pense maintenant que des témoins se sont tus pendant 25 ans n'est pas dû au fait qu'on aurait été trop bête que pour relier trois gangsters aux tueurs du Brabant wallon, déclare Vos maintenant (DM, 17/01). Cela provient de toutes ces "théories du complot" et du "mythe autour des tueurs". La peur de parler est toujours très présente. Aujourd'hui on dit : "Regardez la télévision, vous allez voir qu'il s'agit de simples petits criminels qui ont exécuté 28 citoyens sans aucune raison apparente. Il n'y a pas de quoi avoir peur."

La semaine dernière, les informations nous apprenaient encore autre chose. Eric Lammers a été libéré, muni d'un bracelet électronique. Dans les années 80, Lammers était un soldat prompt à tirer, au service du Westland New Post (WNP). Le 19 janvier 1982, il faisait partie d'un escadron de la mort qui a exécuté un couple de personnes âgées à Anderlecht. L'enquête montrerait plus tard que ces personnes avaient servi de mannequin d'entrainement pour le cas où le WNP recevrait la mission d'exécuter un espion du KGB.

Cela s'est passé ici, en 1982, à Anderlecht, à deux pas de chez nous. Le dernier à avoir parlé à Lammers quand il était libre est le journaliste Guy Bouten, lors de ses rechercher pour son livre sur les tueurs du Brabant wallon. Lammers lui a expliqué que le WNP fonctionnait à l'époque comme un escadron de la mort bien rôdé. Lammers s'entraînait régulièrement au bois de la Houssière, là où une ancienne Golf devra brûler pour les besoins de l'enquête. Il y a quelques semaines, Robert Beyer, un ex-gendarme, a lui aussi publié un livre. Il a également participé à des actions sanglantes "à la demande de…".

Les deux ouvrages nous donnent un aperçu du monde de quelques uns des protagonistes des crimes politiques pendant les années de plomb. Au début des années 80 circulaient en Belgique quelques hommes qui étaient persuadés que c'était la guerre avec les Russes et que les ordres, si idiots qu'ils puissent paraître, ne pouvaient pas être remis en question.

La cellule Brabant wallon a dézingué le livre de Bouten. Toutes les pistes plus ou moins politiques ont été examinées, et se sont toutes avérées fausses. Il faut simplement que tout le monde regarde la télé. Et attende que Camille appelle

DDC est un journaliste d'investigation qui N'a JAMAIS pratiqué la langue de bois. Sa carrière est émaillée d'articles percutants, sa pensée est connue.
On aime ou on n'aime pas, c'est selon !
Les seules choses qu'on NE peut lui reprocher, sont: la clarté de sa pensée, une expérience solide et un bon sens rarement pris en défaut.

Alors, gageons que si Boer Camille avait existé, DDC aurait mis la main dessus depuis longtemps. De même qu'il aurait désigné depuis belle lurette le fameux policier qui, 25 ans + tard, se souvient ( enfin ?)de ses aptitudes au tir...et de ses facultés à avoir décapité " de Bende van Nijvel " un soir de Nov 85.

Espérons autre chose qu'un nouveau coup d'épée dans l'eau ! Tant et tant de "pistes" farfelues déjà servies comme os à ronger aux familles
des victimes, à une Nation qui veut savoir comment tout cela fut possible... Une Nation qui se moque des Mérovingiens à déterrer, des millions de pages d'un dossier, des trifouillages au coeur même de la Cellule d'Enquête d'où l'on écarte deux éléments-clé sans autre forme de procès...que le silence même pas gêné du tout...

Gageons, au moins, que Mr VOS va faire grimper le taux d'écoute le 02 mai au soir.

Cordialement.

Ah ce brave Camille, toujours prêt à rendre service ... Si on l'avait connu plus tôt, avec ses bons oeufs frais et son lait ... de vache, s'il vous plaît !

Pour les Golf GTI I, si les reconstitutionistes sont en manque, ils peuvent toujours s'adresser à la SA Royale Belge ( AXA, aujourd'hui ) qui m'a indemnisé du vol de la mienne en 1985 ... retrouvée dans la Sambre deux ans après.... Qui sait à quoi elle a bien pu servir ?

Ha ces bagnoles !

La mienne aussi s'est volatilisée...l'automne 85.

Il s'agissait d'une Morris Marina de couleur bordeaux.
Pas de taille à rivaliser avec...votre Golf GTI. Quoique, pour faire des repérages en passant inaperçu, hé hé...!

Cordialement.

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http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=33157


Les enquêteurs sur les
tueries du Brabant abattent une dernière carte : une reconstitution télévisée
diffusée le 2 juin

Source : LA DERNIERE HEURE (16 mai 2010)

" Ce midi, reconstitution de la dernière tuerie du Brabant : pour
la télé déjà le mercredi 2 juin

Ce dimanche midi, la police fédérale, en accord avec les
magistrats de Mons et Charleroi en charge, procédera, sur le parking du
Delhaize d’Alost, à une reconstitution grandeur nature de la dernière des
tueries attribuée aux tueurs du Brabant qui ont sévi impunément en Belgique de
l’été 1982 à novembre 1985, laissant 28 victimes tuées.

Cette reconstitution 25 ans après, était réalisée pour VTM
et RTL-TVi qui préparent une émission exceptionnelle à l’échelle nationale les
2 (RTL) et 3 (VTM) juin. Peut-être la dernière carte !

Le 9 novembre 1985 , huit personnes, clients et caissières,
ont été tuées par balles au Delhaize d’Alost. Six semaines plus tôt, huit
l’avaient déjà été aux Delhaize d’Overijse et Braine-l’Alleud. L’objectif des
enquêteurs désormais dirigés par le commissaire Eddy Vos, est de remuer les
souvenirs et de susciter les derniers témoignages.

Invraisemblable après tant d’années ? Et pourtant en 2003,
la même démarche avait obtenu des résultats positifs; ceux-ci sont d’ailleurs à
la base des émissions de la dernière chance qui se préparent. En effet, les
enquêteurs prévoient de diffuser un nouveau portrait-robot.

Ensuite, ils veulent diffuser aussi le témoignage exclusif
du policier Eddy Nevens. Enfin, le programme prévoit de retracer les trente
dernières heures des tueurs du Brabant qui effectivement ne sont plus
manifestés après le 9 novembre 1985.

Pourquoi ? Peut-être parce que l’inspecteur Nevens, qui
était moniteur de tir à la police d’Alost, pense avoir atteint un des
gangsters, celui qui était assis avec son riot gun dans le coffre arrière de la
VW Golf, véhicule retrouvé par la suite à 52 km de là dans le bois de la
Houssière (Ronquières).

Des éléments font penser que celui qui était assis à
l’arrière était Killer ou Tueur, surnom donné au chef de la bande qui aurait
personnellement tué 23 des 28 victimes des tueries.

L’aide du public est essentielle : après l’émission de 2003,
des automobilistes – 18 ans après – avaient signalé avoir croisé cette nuit-là
vers 3 h du matin, dans le bois de la Houssière, une VW Golf à l’arrêt sur le
bas-côté de l’avenue Marouset et de la rue de la Chapelle au Foya, avec deux
hommes debout près de la Golf et un “paquet” au pied du véhicule.

Une hypothèse serait que le "long paquet” était en fait
le corps de l’homme blessé par Nevens à Alost. Donc, de Killer qui n’aurait pas
survécu ou que ses complices auraient achevé, ce qui expliquerait la fin des
tueries. Mais on a creusé un mois, en 2004, à la Houssière, sans rien exhumer.

La conviction d’Eddy Nevens d’avoir fait mouche tient à
l’arme – un.38 de 4 pouces – spécialement réglée, au fait qu’il a pu adopter la
position de tir et que la VW Golf était à peine à 15 mètres. Plus tard
l’enquête a permis de retrouver un manteau, une gaine, une cartouchière, etc.,
indication supplémentaire, dans cette hypothèse, que les complices se seraient
débarrassé d’effets dont l’un d’eux n’avait plus besoin, et pour cause.

À ce stade, les deux complices sont désignés comme : Le
Vieux (celui qui pilotait) et Le Géant (celui dont la stature impressionna tant
des dizaines de témoins).

La prescription définitive intervient le mardi 10 novembre
2015. La promesse Delhaize de 250.000 € est toujours valable."

Un article de Gilbert Dupont.

Le 9 novembre 1985 , huit personnes, clients et caissières,
ont été tuées par balles au Delhaize d’Alost.


http://levif.rnews.be/fr/news/belga-generique/reconstitution-des-tueries-du-brabant-a-alost-pour-la-television/article-1194733995648.htm#

16 mai 2010 à 12h19

Reconstitution des tueries du Brabant à Alost pour la télévision

Les enquêteurs ont pris l'initiative de lancer un appel à témoins via une
émission de télévision. "Il est difficile d'expliquer simplement
l'ensemble de la situation, c'est pourquoi nous avons recours aux images.
Certains éléments qui ne sont pas encore connus du grand public seront diffusés
sous forme d'images", a expliqué l'enquêteur Eddy Vos, qui dirige la
cellule d'enquête consacrée aux tueries du Brabant wallon.

Des dizaines de figurants participent à la reconstitution. Certains portent
d'anciens uniformes. La reconstitution filmée débute avec la découverte le 9
novembre 1985 de chèques dans la forêt de la Houssière, près de Nivelles et se
termine 36 heures plus tard dans ce même bois, lorsque les auteurs de l'attaque
du Delhaize boutent le feu à leur véhicule. Dimanche, est reconstituée la scène
de l'attaque du Delhaize à Alost qui avait coûté la vie à 8 personnes. "Si
les gens pouvaient livrer des informations sur ces dernières heures, cela
pourrait constituer une percée au niveau de l'enquête", souligne Eddy Vos.
Le tournage prendra une semaine. La reconstitution sera diffusée à la
télévision en juin. Ultérieurement, elle pourrait être diffusée également à
l'étranger.

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Citation :

La conviction d’Eddy Nevens d’avoir fait mouche tient à
l’arme – un.38 de 4 pouces – spécialement réglée, au fait qu’il a pu adopter la
position de tir et que la VW Golf était à peine à 15 mètres. Plus tard
l’enquête a permis de retrouver un manteau, une gaine, une cartouchière, etc.,
indication supplémentaire, dans cette hypothèse, que les complices se seraient
débarrassé d’effets dont l’un d’eux n’avait plus besoin, et pour cause.

Je pense que cet info est largement exageré et ne correspond pas avec d'autres articles sur le sujet que je pense d'avoir lus.

Mais cela fait vendre du papier et donne de l'espoir....

Autant d'aller prier....

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http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/313261/les-30-dernieres-heures-des-tueurs.html

Les 30 dernières heures des tueurs

Les enquêteurs attendent des avancées grâce à un nouvel appel à témoins appuyé par une reconstitution minutieuse, diffusée ce soir sur RTL-TVi

BRUXELLES “C’est le baroud d’honneur”, concède le juge d’instruction et président du tribunal de 1re instance de Charleroi, Jean-Pol Raynal, en charge du dossier des tueries du Brabant depuis treize ans. “Sur la quinzaine de faits attribués aux tueurs du Brabant, on n’a pas réussi en 25 ans à en résoudre un seul. C’est très frustrant mais nous sommes toujours résolus”, ajoute-t-il.

De la résolution, il en faudra, car le temps presse : il ne reste que cinq petites années à la justice pour résoudre l’une des pages les plus mystérieuses mais aussi les plus sanglantes (28 morts de l’été 1982 à novembre 1985) de notre histoire judiciaire. “Nous devons avoir arrêté, inculpé et condamné les auteurs d’ici à cinq ans au plus tard”, s’inquiète Jean-Pol Raynal.

Autant le dire, une mission quasi impossible. “Les chances de trouver sont extrêmement faibles, mais elles existent”, concède le juge Raynal. Car que reste-t-il encore à faire dans cette enquête vieille de 25 ans ? Certes, de nouvelles techniques se sont développées notamment au niveau de l’ADN et de la balistique, mais le principal espoir réside dans l’arrivée de nouveaux témoignages.

C’est la raison pour laquelle un nouvel appel à témoins sera diffusé sur RTL-TVi ce soir dans le cadre de l’émission Affaires non classées. Un reportage de 27 minutes sous forme de reconstitution, tourné sur les lieux mêmes où s’est déroulée l’attaque la plus meurtrière des tueurs. “C’est une relecture du dossier sous l’angle des 30 dernières heures des tueurs. On démarre le 9 novembre 1985 au Delhaize d’Alost et on termine le 11 novembre dans le bois de la Houssière, à Braine-le-Comte, à 1 h du matin. Ils ont commis une erreur. L’un des truands a probablement été mortellement blessé. C’est peut-être un élément qui permettra de confondre les auteurs”, explique le juge Raynal.

Si les 27 minutes de la reconstitution n’apportent pas à proprement parler d’éléments neufs au dossier, on saluera néanmoins la rigueur de l’exercice, respectant minutieusement les P-V de l’époque. Elle choque aussi réellement par la violence déployée par les tueurs.

Avec beaucoup d’émotion, des témoins qui ne se sont jamais exprimés racontent leur calvaire. Ainsi, David, qui avait 10 ans, se souvient comment toute sa famille a été abattue froidement devant ses yeux et comment il a miraculeusement survécu.

L’émission fait la part belle à une théorie qui veut que les truands n’aient pas été 3 à commettre l’attaque mais plutôt 6 ou 7 séparés en deux groupes. Le portrait inédit qui sera diffusé après l’émission (lire ci-contre) appartiendrait à ce deuxième groupe. Et si, le soir du 9 novembre, le policier Eddy Nevens a tué l’un des auteurs, c’est ce qui expliquerait que l’attaque d’Alost fut la dernière…
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Pauvre Danièle Zucker ( bien sympa au demeurant ), trois ans qu'elle bosse et on l'écoute à peine !

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http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/586670/tueurs-du-brabant-la-zone-de-confort-des-tueurs.html

Tueurs du Brabant: la zone de confort des tueurs

La "zone de confort", soit le lieu stratégique des tueurs du Brabant, aurait été localisée il y a peu dans un quartier de Rhode-Saint-Genèse.

Les enquêteurs estiment que, de l'été 1982 à l'automne 1985, la solution à l'énigme des tueurs du Brabant passait par ce quartier d'environ septante rues, coincé entre la Chaussée de Waterloo et l'avenue de la forêt de Soignes. Ils pensent que les tueurs ont dû y posséder à l'époque un point de repli, des complicités, un box de garage équipé.

Ce quartier a été délimité après divers recoupements: véhicules volés, doubles immatriculations, etc. Des recherches y ont d'ailleurs été menées assez récemment, révèle encore le quotidien La Dernière Heure.
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http://www.lalibre.be/culture/mediastele/article/586511/les-dernieres-heures-des-tueurs.html

Les dernières heures des "Tueurs"

L’attaque du Delhaize d’Alost en 1985 a été reconstituée avec rigueur. Des témoins parlent pour la première fois à visage découvert. RTL, 19h45.

L’attaque du Delhaize d’Alost le 9 novembre 1985 à 19 h 30 est peut-être l’événement clé qui permettra de démasquer les "Tueurs" du Brabant wallon, qui ont semé la mort entre 1982 et 1985. Les enquêteurs veulent en tout cas y croire. Aucun de la quinzaine de faits attribués au "Tueurs", au cours desquels 28 personnes ont perdu la vie, n’a été élucidé. Tout au plus peut-on dire, sur base d’une étude de profilage, qu’ils étaient six ou sept tueurs.
"Cela pose question. Dans 5 ans, les faits seront prescrits. Les chances de trouver les "Tueurs" sont peut-être extrêmement faibles mais elles existent encore", souligne Jean-Paul Raynal, le juge d’instruction - et aujourd’hui président du tribunal de première instance de Charleroi - qui travaille depuis treize ans sur le dossier.

Sa collègue Martine Michel, qui l’a rejoint il y a un an, est persuadée que l’attaque d’Alost est un moment clé. C’est le dernier fait attribué aux "Tueurs". Ils ont fait irruption dans ce supermarché, tuant huit personnes et en blessant une quinzaine. Alors qu’ils quittaient les lieux, une patrouille de police est arrivée sur place. Le policier Eddy Nevens a fait feu à trois reprises dans la direction de leur VW Golf qui s’en allait, avec le hayon arrière ouvert. Il pourrait avoir touché un des trois auteurs, peut-être mortellement. "Un témoin corrobore le témoignage de Nevens. Ils sont alors aux abois. Ils ont sans doute commis des erreurs", explique Martine Michel.

D’où l’idée de reconstituer les 30 dernières heures des "Tueurs du Brabant wallon", jusqu’au 11 novembre 1985 à 1 h 30 où la VW Golf a été incendiée dans le Bois de la Houssière, à Braine-Le-Comte, qui serait une base de repli des Tueurs. RTL s’y est attachée et diffuse ce soir le reportage de 26 minutes dans "Affaires non classées" , une émission couplée avec un appel à témoins. Un nouveau portrait-robot d’un des tueurs y sera diffusé.

La reconstitution a été réalisée avec soin. L’équipe de télévision a filmé au Delhaize d’Alost et dans son parking où plusieurs personnes ont été tuées.

"C’est véritablement un travail qui colle à ce qui s’est passé. C’est rigoureux et il y a de l’émotion", juge M. Raynal qui estime que le côté émotionnel pourrait aider à réveiller des souvenirs chez des témoins.

Au cours de l’émission, des personnes, dont certaines n’avaient jamais témoigné à visage découvert, s’expriment. Et elles sont véritablement poignantes. Comme, David, qui âgé de 10 ans, a vu ses parents et sa sœur aînée se faire tuer à bout portant sous ses yeux à Alost. Il a pu fuir avant de se faire rattraper et être atteint à l’abdomen.

Le policier Nevens y explique pourquoi il pense avoir atteint un des "Tueurs".

Un couple raconte sa rencontre avec les "Tueurs" dans le Bois de la Houssière en pleine nuit. Accompagné d’un autre couple, il passait en voiture et trois hommes les ont hélés : un était couché au sol, comme blessé, le deuxième faisait des signes de s’arrêter et le troisième avait les bras dissimulés derrière la portière ouverte de la Golf. Les deux couples ne se sont pas arrêtés, car ils trouvaient ce dernier point suspect mais avaient eu quelque remords. Ils avaient également peur. Poussés par leurs enfants, ils n’ont contacté la justice qu’en 2004. "Ce refus de s’arrêter leur a sans doute sauvé la vie", juge Mme Michel.

Avec cet appel à témoins, les enquêteurs espèrent en recueillir de nouveaux. Comme peut-être des personnes qui ont fréquenté le milieu des Tueurs, très fermé, dangereux et qui pourraient désormais être libérées de tout risque si elles parlaient aujourd’hui.
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http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=1053030

La zone de confort des tueurs

Lieu stratégique des tueurs : un quartier dans la banlieue sud de Bruxelles

BRUXELLES Ce quartier correspond à ce que les profileurs appellent la zone de confort. Selon nos infos, la zone de confort des tueurs du Brabant est depuis assez peu localisée dans un certain quartier de Rhode-Saint-Genèse, d’environ septante rues, coincé entre la chaussée de Waterloo et l’avenue de la forêt de Soignes.

Les enquêteurs ont pensé que de l’été 1982 à l’automne 1985, la solution à l’énigme des tueurs passait par ce quartier et que les tueurs ont dû y posséder à l’époque un point de repli, des complicités, un box de garage équipé. L’endroit est stratégique.

Selon nos infos toujours , des recherches y ont d’ailleurs été menées assez récemment. Recherches discrètes.

Ce quartier de Rhode-Saint-Genèse a été délimité comme leur zone de confort après divers recoupements : des véhicules utilisés par la bande ont été volés à Uccle et Waterloo, des doublettes d’immatriculation ont été faites sur des véhicules en circulation à Auderghem, Ixelles et Watermael-Boitsfort; à tel moment où en difficulté, les tueurs ont failli être coincés, ils y ont brûlé une voiture pas très loin, etc.

Ce quartier de Rhode situé en bordure de forêt de Soignes est considéré comme la zone de confort des tueurs : aucun fait n’y a été commis mais plusieurs indices y ramènent les tueurs. “On ne sait pas pourquoi mais il y a quelque chose.”

La difficulté consiste, 27 ans après, sans l’aide de l’informatique qui n’existait pas, à identifier qui habitait, qui vivait, qui louait, qui fréquentait, qui avait une activité peut-être cachée, dans une de ces septante rues répertoriées.

Gilbert Dupont

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A tout hasard ... le siège de Securitas était-il déjà à la chaussée de Bruxelles à Waterloo à cette époque ?

Ceci dit, même si le cadastre n'est pas parfait, il devrait aider les enquêteurs.
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Il me semble que l'on commence à tordre la terminologie, ce qui peut donner des idées fausses.
On parle de zone de confort mais il me parait impossible que cette zone (Rhode-Saint-Genèse) le soit. Ce qui est appelé zone de confort (terme qui vient de la lutte contre-guérrilla) est une zone où l'équipe peut se relaxer, abandonner certaines précautions, faire un peu de vie plus ou moins normale. Je vois mal comment le faire dans cette zone qui est en plein milieu de la zone des attaques.
Je crois plus utile de désigner cette zone de Rhode-Saint-Genèse comme zone de repli et/ou base de départ des attaques. Par contre ils avaient très certainement une zone de confort en dehors du triangle Bruxelles-Wavre-Nivelles où se concentrent la grande majorité des faits et un ou plusieurs itinéraires connectés à la zone de repli.
Dans cette optique, le message de Deach https://tueriesdubrabant.1fr1.net/les-lieux-f18/zone-de-repli-rhodes-saint-genese-t1644.htm#40905 qui parle d'un chemin très discret allant des 7 fontaines au bois de Hal, est très intéressant.

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http://www.rtlinfo.be/info/belgique/faits_divers/709089/tueurs-du-brabant-vous-souvenez-vous-de-cet-homme-

Tueurs du Brabant: vous souvenez-vous de cet homme?

A la demande de la justice, RTL-TVI reconstitue les faits et gestes présumés des tueurs du Brabant, juste avant qu'ils ne disparaissent le 9 novembre 1985, dans l’émission "Affaires non classées", ce soir dès 19h45. Voici le portrait robot encore jamais dévoilé d’un des membres présumés de cette bande. Si vous reconnaissez cet homme, qui doit aujourd’hui avoir 25 ans de plus, composez le numéro gratuit : 0800/91.119

http://www.rtlinfo.be/info/belgique/faits_divers/709089/tueurs-du-brabant-vous-souvenez-vous-de-cet-homme-#videoPlayer





http://www.rtlinfo.be/info/magazine/planetertl/707826/les-30-dernieres-heures-des-tueurs-du-brabant

Les 30 dernières heures des tueurs du Brabant

Entre septembre 1983 et novembre 1985, les "tueurs du Brabant" ont attaqué plusieurs grandes surfaces, faisant 28 victimes. La justice, quant-à elle souhaite relancer l'enquête sur les tueries du Brabant, cinq ans avant la date de la prescription.

Le 9 novembre 85, les tueurs du Brabant s'en prennent au Delhaize d'Alost. Ils tuent 8 personnes avant de prendre la fuite avec un butin dérisoire. C'est leur dernière attaque, la plus meurtrière aussi. Grâce à des témoignages, parfois récents, les enquêteurs ont retracé les 30 dernières heures de cette terrible bande.

A la demande de la justice, RTL TVI ("Affaires non classées") et VTM reconstituent en images les faits et gestes présumés des tueurs juste avant qu'ils ne disparaissent. Le but ? Cerner au plus près la vérité pour susciter de nouveaux témoignages qui pourraient être décisifs. Une trentaine de figurants, des voitures d'époque et la société Delhaize participent à cette reconstitution grandeur nature supervisée par les magistrats en charge du dossier.

Des témoins s'exprimeront pour la première fois. Parmi eux, le policier Eddy Nevens, moniteur de tir qui, le soir du 9 novembre 1985, a peut-être bien tué l'un des auteurs de ces attaques meurtrières.

Selon les enquêteurs, cela expliquerait pourquoi l'attaque d'Alost fut la dernière. Des informations exclusives et la divulgation d'un nouveau portrait robot vont sans doute réveiller des souvenirs. Elles devraient susciter de nouveaux témoignages recueillis en direct sur le plateau d'Affaires Non Classées sur RTL TVI lors d'une émission exceptionnelle diffusée ce mercredi 2 juin à 19h45.

Vous découvrirez également la nouvelle équipe en charge du dossier et les techniques de profiling mises en oeuvre. A cinq ans de la prescription, cette affaire qui a fait 28 morts et terrorisé la Belgique ne peut pas rester "non classée" c'est-à-dire non élucidée.

Numéro d'appel de la Police fédérale : 0800/91.119

Attention, le numéro qui apparaît pendant l'émission est valable uniquement ce mercredi 2 juin de 19h00 à 23h00. Pour toutes informations que vous souhaitez communiquer à la police après la diffusion de l'émission, vous pouvez appeler le 0800/91.119

Le site de l'émission "Affaires non classées"

Regardez la vidéo ci-dessous pour avoir un rappel des faits. Toutes les vidéos de l'émission seront disponibles sur notre site Internet après diffusion de l'émission.

http://www.rtltvi.be/blog/affaires-non-classees/73.aspx
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