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| Bouhouche, Madani | |
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Auteur | Message |
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michel-j
Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Ven 15 Oct 2010 - 17:34 | |
| Putain ! Va falloir fondre une médaille de l'ordre de Léopold de 3,5kg, avec les yeux en rubis et les dents en diamants !... La couleur du ruban, on sait pas trop... des lignes rouges et noires... noires et blanches... rouges et blanches ?... Ou les trois à la fois ?
Aux abris, Michel !... Je sais pas si ton forum approche un peu trop d'une piste brulante, mais à mon avis il y a des "visites amicales" en perspective ! |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Ven 15 Oct 2010 - 18:27 | |
| - michel-j a écrit:
Aux abris, Michel !... Je sais pas si ton forum approche un peu trop d'une piste brulante, mais à mon avis il y a des "visites amicales" en perspective ! Tant que ces visites restent virtuelles... _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | billbalantines
Nombre de messages : 1364 Date d'inscription : 23/03/2007
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Ven 15 Oct 2010 - 22:23 | |
| - michel a écrit:
- michel-j a écrit:
Aux abris, Michel !... Je sais pas si ton forum approche un peu trop d'une piste brulante, mais à mon avis il y a des "visites amicales" en perspective ! Tant que ces visites restent virtuelles... Qui est le marchand d'armes Witteveen? Lien avec la Belgique le Congo et les anversois libanais? |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 16 Oct 2010 - 6:28 | |
| Si j'en crois le site suivant et s'il s'agit bien de Jacobus Witteveen, c'est le propriétaire de la société anversoise " Afridiam " ...
Il est présenté comme un des " facilitators of the UNITA diamond trade "
Pourquoi cette question ? A quoi pensez-vous ?
http://verdade.no.sapo.pt/soares_e.html
( ... )
UNITA gains diamonds through the taxing of diamond diggers, mining its own diamonds and through granting licenses to diamond buyers to operate within its areas of control. South African Piet Hand has helped, according to the U.N, UNITA to move its diamonds out of Africa and into Belgium, which is a transit point for some 80 percent of the world's rough diamonds. Other facilitators of the UNITA diamond trade are "Johnny" Seber, David Zollman, Imad Kabir (Emad Bakir) and Jacobus Witteveen -- the owner of the Antwerp, Belgium diamond company "Afridiam."
( ... ) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 16 Oct 2010 - 7:23 | |
| http://www.un.org/News/dh/latest/angolareport_fr.htm ( ... ) 87. Les diamants de contrebande se négocient facilement à Anvers. L'UNITA et ses partenaires commerciaux comptent sur le fait qu'ils peuvent à la fois entreposer leurs diamants en lieux sûrs et les vendre finalement aux diamantaires d'Anvers sans grande difficulté. Anvers est une place importante pour le négoce des diamants bruts puisque c'est là que s'effectuent près de 80 % des transactions qui représentent un chiffre d'affaire d'approximativement 5 milliards de dollars. Le Groupe d'experts a constaté, à cet égard, que le laxisme extrême des contrôles et de la réglementation applicables au marché anversois facilite et peut-être même encourage les activités commerciales illicites. 88. A côté du marché légal officiel sur lequel s'importent et s'exportent les diamants en Belgique -- un marché structuré autour du Hoge Raad voor Diamant (HRD), autrement appelé le Haut Conseil du diamant -- il existe aussi un marché "gris" important à Anvers, auquel participent quelque 4 000 à 5 000 négociants, joailliers, fabricants et courtiers (contre approximativement 3 500 négociants enregistrés). L'enregistrement au Haut Conseil du diamant est volontaire, et les transactions effectuées en dehors de ce cadre réglementaire ne sont pas en elles-mêmes illégales. Une fois que les diamants sont arrivés à Anvers, il est virtuellement impossible d'en suivre la trace. Les diamants vendus directement à un joaillier ou à un fabricant peuvent être polis (après quoi il n'est plus possible de les identifier distinctement), ou mélangés à de la marchandise déclarée afin qu'on ne puisse pas en déceler la présence. 89. Le contexte réglementaire laxiste qui prévaut à Anvers tient semble-t-il pour beaucoup à la crainte fréquemment exprimée qu'une réglementation plus stricte n'aurait d'autre résultat que d'inciter les négociants à aller faire leurs affaires ailleurs. Le relâchement qui caractérise le marché anversois tient aussi dans une certaine mesure à des facteurs sur lesquels les autorités belges n'ont pas de contrôle -- à savoir l'importance du volume des importations, les difficultés que l'on a parfois à déterminer précisément l'origine d'un paquet de diamants (en particulier si des pierres provenant de diverses régions ont été mélangées), et la grande facilité avec laquelle les diamants peuvent être passés en contrebande. 90. Les autorités belges n'ont pas mis en place de système efficace d'identification des importations de diamants. Aucun effort n'a &t& fait non plus pour surveiller les activit&s des courtiers, n&gociants et diamantaires suspects -- qui pour la plupart peuvent, semble-t-il, voyager librement et mener leurs transactions à leur guise. Le Groupe d'experts a appris que "l'équipe spéciale chargée de la surveillance du commerce des diamants", créée par le Gouvernement belge et le Haut Conseil du diamant en 1999, ne s'était jamais réunie. Il a appris aussi que les autorités belges procédaient à des vérifications ponctuelles sur les marchandises parmi lesquelles on suspectait que pouvaient se trouver des "diamants de l'UNITA". Toutefois, ces vérifications n'ont apparemment donné aucun résultat. 91. La réticence ou l'incapacité de l'industrie du diamant, en particulier à Anvers, à mettre de l'ordre dans ses rangs, est une question qui préoccupe particulièrement le Groupe. Des personnes connues dans les milieux concernés pour négocier des diamants de l'UNITA n'ont, en général, jamais été dénoncées ni n'ont fait l'objet de sanctions. Parmi elles figurent un certain Jean "Johnny" Seber (un ressortissant turc dont on sait qu'il est l'un des principaux contacts de l'UNITA à Anvers), et un certain David Zollman (qui sert depuis longtemps de contact à l'UNITA pour la vente de diamants illicites) -- qui, ni l'un ni l'autre, n'ont jamais fait l'objet de sanctions ni du moindre ostracisme dans les milieux du diamant. Le Groupe d'experts a également été informé qu'un certain Imad Kabir (alias Emad Bakir) était aussi probablement associé à une société faisant le négoce du diamant basée à Anvers. Cette information est parvenue au Groupe trop tard pour qu'il puisse en confirmer ou vérifier l'exactitude, mais elle sera communiquée au Comité des sanctions pour vérification ultérieure( . ( ... ) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 16 Oct 2010 - 8:45 | |
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AFRIDIAM
Kinshasa - Gombe 26, Av. de l'Equateur
Téléphone : (00243) 88 45 545 | Portable : (00243) 88 44 965 | Fax :
_ _ _ _ _ _ _ _
http://www.guardian.co.uk/world/2000/may/14/sierraleone
Africa's deadly trade in diamonds
How Western arms dealers, corrupt warlords and our hunger for jewels have brought misery to millions
* Jason Burke in London, Chris McGreal in Sierra Leone, Ed Vulliamy in New York and Nick Paton Walsh in Antwerp * The Observer, Sunday 14 May 2000
On a hot, humid day three years ago the rebels hacked off Jonah Dumbuya's right arm and his ears.
The 23-year-old teacher was walking through the bush near his village when he was surrounded by armed men and forced to the ground. After their work, the rebels gave the him a letter to take to the government asking for a new arm.
'If you want to know the value of a diamond in Sierra Leone you should take all the arms and legs they chopped off and put them on one side, and all the diamonds dug up over the past 10 years and put them on the other, and then you divide one into the other. That is the value of a diamond in Sierra Leone,' said Dumbuya.
He may not know it, but he is a tiny and bloody link in a huge and complex chain that links cities from New York and London to Tel Aviv and Johannesburg; that links the richest countries of the world with the very poorest, that links warehouses full of Kalashnikov rifles in Eastern Europe with huts full of maimed children in tropical jungles; that links the gleaming gems on the ring fingers of half the world's brides with blood and sweat and pain. They are gems fuelling half a continent's wars.
The trail starts in places like the dusty town of Catoca in Angola, or in the jungles around the war-scarred city of Kisangani in the Congo. Catoca is a huge industrial site where 1,000 workers and huge earthmovers sift yellow, arid dust. It is guarded by heavily armed paramilitary troops.
Around Kisangani the scene is different. Deep in the fetid rainforest, half-naked men work around the clock with sieves and a shovels in the hope that they will be lucky just this once and that their lives will change. Usually they find just a $20 stone which, if not stolen by local bandits or ill-disciplined Congolese troops, might buy them enough food to give them the strength to go on digging.
For all its immense variety the African diamond trade is a slick, well-run business. From the bottom - the myriad workers slaving under the hot sun - to the consumers on the high streets of London, the stones move efficiently along well-worked routes. First, in the case of the small mines, the miner will sell his gem to a local dealer. The dealer will have split the haul with the local military commander, who will pass his stash on to his seniors. After taking a little for themselves - they pass the growing hoard on towards the top.
With armies of up to 35,000 troops, spread over hundreds of thousands of square diamond-rich miles, huge quantities of diamonds amass quickly. Local warlords - or governments - typically sell concessions for the bigger mines, and the concession-owners then feed the gems on to the world market.
Either way, the amounts involved are huge. Jonas Savimbi, who leads the Unita guerrilla movement in Angola, has spent an estimated £2 billion on supplies for his rag-tag army in the last 10 years. Diamonds have allowed him to convert a motley group of ill-trained fighters into one of the best armed irregular forces in the world, capable of fighting a war that has cost 500,000 lives.
The poor African state of Liberia has, according to a US State Department report, sent out at least £200 million worth of diamonds a year, though it has no real gem reserves of its own. Almost all the diamonds were from Sierra Leone, and were collected by troops loyal to Foday Sankoh, the rebel Revolutionary United Front leader whose troops look set to confront the British Army within days.
The sheer wealth involved explains why Sankoh is willing to take such risks to prevent United Nations troops entering the key diamond producing areas in the East of the country.
US State Department sources estimate that between 10 and 15 per cent of the global diamond trade - worth between $5bn and $7bn a year - is made up of smuggled and illicit stones. That sort of money buys a lot of AK47s.
Though men like Sankoh and Savimbi are the key figures, a host of minor players have essential roles. Dozens of different African countries are involved, both directly in the trade and in the conflict it provokes. Some, such as Blaise Compaore, the President of Burkina Faso, and Charles Taylor, the leader of Liberia, help by facilitating the transfer of diamonds from 'conflict' countries to circumvent many of the controls placed on the trade by the UN, other regulators and the big diamond companies such as De Beers. Others help fuel the trade by providing military support to warlords in return for packets of stones or permission to mine, such as the governments of Sudan, Zimbabwe, Rwanda, Burundi and Uganda.
Zimbabwe's involvement is particularly murky. Critics of President Robert Mugabe's regime in Zimbabwe accuse the elderly autocrat of committing 11,000 of his country's troops to the war in the Democratic Republic of Congo in return for vastly lucrative concessions on its diamond fields.
Zimbabwe's economy suffers enormously, hundreds of its soldiers are being killed and Mugabe and senior army officers are getting richer.
But the system would fall apart without the shadowy group of western middlemen who set up the deals, fly the diamonds to the main dealing markets in the West and supply the weapons that the Africans so desperately want. It would also collapse without commercial agreements that keep diamond prices high.
A recent UN report into the failure of the sanctions imposed to stop the trading of stones from Angola lists a score of men such as Victor Bout, a Russian former KGB agent who runs an airfreight service out of Dubai, and the De Decker brothers, two South African businessmen alleged to have funnelled weapons into - and gems out of - half the countries along the continent's west coast.
Another key figure named is a Dutch national called Jacobus Witteveen. According to the researchers he has procured arms for Unita and owns his own Antwerp-based diamond firm.
The Observer has also learnt that at least two British-based companies are involved in the trade, and that a number of mercenary organisations with UK links have been drawn into the shadowy world of smuggled diamonds. There are even some British mercenaries who are reported to have trained the rebels in Sierra Leone.
The UN report's findings are confirmed by US State Department and Central Intelligence Agency sources. It reveals that almost all the weapons being flown into Africa come from Eastern Europe. Most are from Bulgaria, though increasing quantities are now sourced in the Ukraine. Everything from tank parts and multiple rocket launchers to handguns and bayonets are flown in, often with trainers. The Sierra Leone rebels are reported to have former Soviet surface-to-air missiles. At the height of the Angolan war, 22 Ilyushin transport aircraft were landing on a single airstrip each night. Without such arms supplies, war on the scale seen now in Africa would be impossible.
The consequences of the rush for the diamonds - and the bloody fighting that it provokes - are obvious. 'Even the Cold War superpowers did not allow the wholesale ripping up of the economy, the use of children as soldiers and attacks on relief groups,' says Herbert Rowe, political scientist and Africa specialist at Georgetown University in Washington.
As for Sierra Leone, the UN report blames diamonds for 'destabilising the country for the better part of three decades, stealing its patrimony and robbing an entire generation of children, putting the country dead last in the UN's human development index'.
The key to the whole system that drives the diamond wars is found, however, not in a stinking bush war bunker but in one of Europe's most well-heeled cities.
Two thirds of the world's diamond trade is dealt through the Belgian port of Antwerp. It is there that, campaigners allege, the blood-stained stones from African conflicts are laundered clean and sent out to be worn on the fingers of lovers around the world.
On Antwerp's sunny, tree-lined Pelikanstraat, amorous couples wander, gawping at the baubles on display in the shop windows. The real business, however, is done on the grey functional walkway round the corner called the Hovenierstraat. Here diamonds, both rough and polished, are dealt wholesale to the tune of $20bn a year.
The street is overshadowed by a series of huge office blocks: the five main diamond exchanges. For years, when the warlords of Africa placed their packets of rough diamonds into the sweaty hands of their arms dealer's gem experts, it was to the cramped rooms behind these doors that the gems were brought to be evaluated and sold. A culture of turning a blind eye to a stone's provenance gave the city an ugly reputation as the world's leading gem-laundering centre.
The Antwerp trade's governing body, the Diamond High Council (HRD), says business is now reformed. Youri Steverlynck, a spokesperson, maintained that the body has imposed tough new rules. The latest regulation, introduced late last year, means that independent experts check that no diamonds have been imported or exported without documents proving the gems are not from war zones, he said.
But the reform has its limits. It was not hard for The Observer to find a buyer for seven, one carat rough diamonds that 'were from Sierra Leone and had no papers'. After two hours of making calls, a dealer agreed to take our stones for $5,000.
The cash was to be paid in notes with non-consecutive serial numbers, the deal was to be completed at 3pm the following day in the company's Hovenierstraat office. Once the rough diamonds were polished, it would be almost impossible to tell where they had been mined.
One young diamond polisher, Kollon S, was not surprised. 'People here don't care where [rough diamonds] come from,' he said. 'Money, mines and the right people are all there together in Africa. You can send in the UN, but they can't control it. It's a small world, your name matters and everyone trusts each other to keep quiet.'
The UN report is uncompromising. It describes Antwerp as a 'diamond smugglers' dream', where 'even over the most overt cases of questionable behaviour, little is done'.
A few thousand miles to the South, however, there is movement on the issue. A disparate alliance is gradually forming to force change.
Three weeks ago, key American diplomatic and development staff stationed in Sierra Leone called a meeting. Around a table the suited officials sat opposite a number of key mining figures and half a dozen rival military commanders, including rebel leader Sankoh and representatives of the government. Outside the central African sun beat down. Inside the atmosphere was tense.
It was an acrimonious few hours. One American source said the RUF was 'intransigent' over control of the mining areas and the sort of distribution of profits that was envisaged by the peace agreement last year. Finally, an exasperated UN commander is reported to have said the peacekeeping force would attempt to seize back control of the country's mining areas before the end of July. Now that operation has begun, under the leadership of the British Army.
The fact that the Americans called the crucial meeting - even if it ended badly - shows that curbing the trade's excesses is finally being seriously discussed in the western corridors of power.
State Department officials say the American administration is likely to propose a global marketing system in which diamond sales must be accompanied by documents declaring their source and destination. The aim would be a multilateral treaty signed by African nations and overseen by the US.
Diplomatic pressure is being brought to bear on Belgium, and a close eye is being kept on the burgeoning diamond markets of Tel Aviv and Kiev. The Foreign Office has been lobbying quietly for reform.
Other factors may help too. New mines in Canada are threatening to undercut prices. Synthetic diamonds are eating into the market, and a new fake called Moissanite looks exactly like the real thing and is affecting sales of real gems. The age of diamonds may be over.
In Africa too, the movement is gathering pace. Last Friday experts at a meeting of the African Diamond Technical Forum, chaired by South African Minister of Minerals and Energy Phumzile Mlambo-Ngcuka, urged governments on the continent to create an environment for the fair and transparent trading of diamonds in order to prevent smuggling.
The participants, including representatives from the governments of the US, Britain, Belgium and from non-governmental organisations, urged the diamond industry to contribute towards the development 'of the communities and countries in which they derive their wealth', though they agreed that it was fundamentally up to Africans themselves to act.
No one expects change to come swiftly, however, and no one doubts that for Jonah Dumbuya and the ordinary people of Sierra Leone, it is now far too late. 'We used to talk of this country as rich because of the diamonds,' said Dumbuya.
'It was a good thing. It was a glamorous thing - a country with diamonds. Even people who had nothing to do with diamonds would paint them on the signs for their shops and call them Diamond Restaurant, or Diamond Clothes Shop. But they don't do that any more because diamonds have become a nightmare.'
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 16 Oct 2010 - 9:27 | |
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http://www.observatoirecitoyen.be/IMG/pdf/bende11.pdf
( ... )
Godbille a finalement abordé la question de l’assassinat de Finné (82) : « Je voudrais vous signaler que M. Finné — c’est notoirement connu — était directeur de l’agence bruxelloise de la banque Copine dont les structures, à la fin de la vie commerciale de cette banque, se confondaient avec celles du Crédit commercial et financier et ce, grâce à l’influence de M. Gherardi.
J’ai constaté que M. Finné avait une activité de rabatteur de fonds — c’est ce que nous avons vu dans le cadre du dossier du Crédit commercial et financier — par l’intermédiaire d’une société holding Credithold. Il s’agit d’une société luxembourgeoise, filiale du Crédit commercial et financier, elle-même détentrice d’une série d’autres sociétés commerciales. Je pense, par exemple, à la société North Europe Insurance Company, société qui était administrée par Ronald Rossignol.
On s’aperçoit que ce monsieur avait fait des prêts très intéressants notamment à M. Van Camp, qui tenait l’auberge « Des Trois Canards ». On peut se poser la question de savoir pourquoi il a fait ces prêts. C’est un axe d’enquête. On s’aperçoit, en tout cas, qu’il y a des éléments d’ordre répréhensible qui relient ces personnes les unes aux autres. Je donnerai, à huis clos, d’autres éléments qui sont notoirement connus.
Les activités de M. Rossignol ont suscité mon intérêt dans la mesure où elles mettaient en exergue un rôle fondamental qui était celui de l’évacuation de sommes d’argent, de valeurs ou de personnes par des avions taxi qui atterrissaient dans des petits aéroports. Cela m’a permis d’établir un lien avec la découverte de certains noms liés à la gestion de certaines sociétés d’aviation. Je pense notamment à M. Buslick. J’ai constaté - j’en parlerai tout à l’heure plus amplement — que certains aéroports provinciaux étaient gérés par des personnes qui quand même étaient fort proches du milieu des trafiquants d’armes. Ce n’est peut-être pas un hasard que M. Bouhouche disposait d’une Jeep 4x4 blanche de marque Mercedes, immatriculée, depuis le 16 novembre 1983, au nom d’une société d’aviation. Ce sont là des éléments qui permettent de comprendre qu’au-delà des coïncidences, il y a des liens d’affaire qui sont plus évidents.
Ce n’est peut-être pas une coïncidence que l’on retrouve des armes de l’E.S.I., Beijer, Bouhouche et cs. et des boxes loués par une société immobilière dont les administrateurs sont, pour certains, en tout cas, des administrateurs du groupe Copine.
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| | | billbalantines
Nombre de messages : 1364 Date d'inscription : 23/03/2007
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 16 Oct 2010 - 22:29 | |
| - HERVE a écrit:
http://www.observatoirecitoyen.be/IMG/pdf/bende11.pdf
( ... )
Godbille a finalement abordé la question de l’assassinat de Finné (82) : « Je voudrais vous signaler que M. Finné — c’est notoirement connu — était directeur de l’agence bruxelloise de la banque Copine dont les structures, à la fin de la vie commerciale de cette banque, se confondaient avec celles du Crédit commercial et financier et ce, grâce à l’influence de M. Gherardi.
J’ai constaté que M. Finné avait une activité de rabatteur de fonds — c’est ce que nous avons vu dans le cadre du dossier du Crédit commercial et financier — par l’intermédiaire d’une société holding Credithold. Il s’agit d’une société luxembourgeoise, filiale du Crédit commercial et financier, elle-même détentrice d’une série d’autres sociétés commerciales. Je pense, par exemple, à la société North Europe Insurance Company, société qui était administrée par Ronald Rossignol.
On s’aperçoit que ce monsieur avait fait des prêts très intéressants notamment à M. Van Camp, qui tenait l’auberge « Des Trois Canards ». On peut se poser la question de savoir pourquoi il a fait ces prêts. C’est un axe d’enquête. On s’aperçoit, en tout cas, qu’il y a des éléments d’ordre répréhensible qui relient ces personnes les unes aux autres. Je donnerai, à huis clos, d’autres éléments qui sont notoirement connus.
Les activités de M. Rossignol ont suscité mon intérêt dans la mesure où elles mettaient en exergue un rôle fondamental qui était celui de l’évacuation de sommes d’argent, de valeurs ou de personnes par des avions taxi qui atterrissaient dans des petits aéroports. Cela m’a permis d’établir un lien avec la découverte de certains noms liés à la gestion de certaines sociétés d’aviation. Je pense notamment à M. Buslick. J’ai constaté - j’en parlerai tout à l’heure plus amplement — que certains aéroports provinciaux étaient gérés par des personnes qui quand même étaient fort proches du milieu des trafiquants d’armes. Ce n’est peut-être pas un hasard que M. Bouhouche disposait d’une Jeep 4x4 blanche de marque Mercedes, immatriculée, depuis le 16 novembre 1983, au nom d’une société d’aviation. Ce sont là des éléments qui permettent de comprendre qu’au-delà des coïncidences, il y a des liens d’affaire qui sont plus évidents.
Ce n’est peut-être pas une coïncidence que l’on retrouve des armes de l’E.S.I., Beijer, Bouhouche et cs. et des boxes loués par une société immobilière dont les administrateurs sont, pour certains, en tout cas, des administrateurs du groupe Copine.
Ici Godbille indique à demi-mots que Bob Beijer et Bouhouche avaient comme employeur/commanditaire des administrateurs liés à la banque Copine...!!! Le lien avec Finné-Rossignol est déjà établi ci-dessus. Le reste les trafics apparaît aussi limpide. Les règlements de compte ont visiblement été sanglants. Ce n'est qu'une hypothèse, restons prudents ! |
| | | michel-j
Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 17 Oct 2010 - 8:51 | |
| Et un fil vers le major Vernaillen ?... Si c'est "le major" qui était visé, ilserait bon d'explorer les dossiers qu'il traitait alors... Si c'est Veraillen en personne, qu'est-ce qui peut le relier aux autres ? |
| | | VicarInAspic
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 10/10/2010
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 17 Oct 2010 - 11:29 | |
| Dommage que BR a quitté le site. Moi ce qui m'intrigue par exemple, c'est les clients de ARI, le service de Bou et Bije. Un des clients INTERTEL = un service de sécurité privé lié aux casinos controlés par la maffia américaine depuis le temps des troubles cubaines / caraibes/ Meyer Lanski.
Les casinos c'est des machines idéales à laver des $$$$ noirs. On sait qu'il y avait un lien 'casino' chez Leroy/Gol. A-t-on tenté d'installer ces machines à laver en Belgique? Intertel était bien placé.
'Casino du Liban'. Des preneurs?
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| | | michel-j
Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 17 Oct 2010 - 12:50 | |
| - VicarInAspic a écrit:
Les casinos c'est des machines idéales à laver des $$$$ noirs. On sait qu'il y avait un lien 'casino' chez Leroy/Gol. A-t-on tenté d'installer ces machines à laver en Belgique?Intertel était bien placé.
'Casino du Liban'. Des preneurs?
Il y a bien longtemps que la Belgique (si ça n'est depuis son existence sous sa forme actuelle !) constitue la plaque tournante principale de tous les trafics pour le continent européen. Tout comme la City de Londres l'est pour le blanchiement massif au travers des "créations d'entreprises allégées" et autres facilités off shore qu'elle entretient, bien avant la Suisse ; "vulgaire coffre-fort" !... Que la Suisse coule, l'économie mondiale subit un électro-choc au travers de quelques très importantes fortunes... plutôt occultes, donc, peu influentes... Que l'économie anglaise ou étatsunienne se casse la gueule, et ce sont carréménet les marchés mondiaux qui se trouvent à plat ventre ! Tous ces grenouillages dans le cadre des arrangements financiers occultes articulés autour de Stay Behind (Services de renseignements de pays intéressés chapeautés par la CIA + "mafias" locales et Cosa Nostra toujours en mal de blanchiment + allumés de tous crins rêvant de grandeurs impériales où ils auraient à jouer... les nettoyeurs de chiottes -impossible sur ce point de recadrer leurs rêves mégalomaniaques ; syndrome napoléonien !) extrêmement voraces en budgets officieux.... qui n'ont plus des masses de raison d'être après l'éffondrement du communisme... si l'on oublie le principal ; l'accroissement exponentiel des fortunes de marchands de canons associés désormais aux marchands de drogue... qui ridiculisent les anciens milliardaires de l'or noir ! Pour la couverture Stay Behind la Belgique se trouve dans le giron de l'Angleterre... une habitude héritée de la campagne de Waterloo... puis celles de 14-18 & 39-45 quand le territoire était leur terrain de jeu de prédilection... dont l'oncle Sam n'a pas voulu priver son principal féal ! Mais là... on piétine carrément les plate-bandes de l'Establishment !!... Autre chose que les "amuses-gueules" TBW, simple péripétie... Attention aux coups de batons si on titille "le nerf de la guerre" sur lequel les familles influentes (qualifiées de "nobles") on bâti leurs fortunes et hégémonies territoriales... passées et actuelles ! |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 25 Nov 2010 - 7:01 | |
| http://archives.lesoir.be/une-arme-pas-de-munitions_t-20060106-0044VW.html?queryand=%22bois+de+la+houssi%E8re%22%2C+%22tueurs+du+brabant%22&firstHit=0&by=10&when=-1&sort=datedesc&pos=3&all=19&nav=1
Une arme, pas de munitions
DELEPIERRE,FREDERIC
Vendredi 6 janvier 2006
Bouhouche Alain Weykamp était à Fougax dès le 24 novembre
L'ex-truand s'était encore entraîné récemment avec son riot gun. Mais les enquêteurs ne trouvent pas de munitions.
Les enquêteurs de la cellule de Jumet s'interrogent. Certes, ils ont saisi un riot gun lors de leur perquisition dans la maison isolée de feu Madani Bouhouche, à Fougax-et-Barrineuf, dans l'Ariège, mais ils n'ont pas trouvé la moindre munition. Or, dans le jardin, de nombreux impacts sur plusieurs cibles métalliques prouvent que Bouhouche s'était encore adonné au tir récemment.
Où sont donc passées ces munitions, voire d'autres armes ? Car, outre les impacts dus au riot gun, les cibles portent les traces de plombs et de balles de P.22. Des armes qui n'ont été retrouvées ni chez Bouhouche ni dans les gîtes dont il avait la gérance. Des bâtisses appartenant à un ami de longue date de Bouhouche, l'ancien membre du Front de la jeunesse (extrême droite), Alain Weykamp.
Les deux hommes se sont connus dans les années 70. A l'époque, Bouhouche était gendarme et Weykamp était garagiste. Ils fréquentaient tous deux le même club de tir, le Practical Pistol Club d'Etterbeek. Ils sympathisent et les penchants racistes du gendarme trouvent une oreille favorable chez le membre du groupuscule extrémiste. Bouhouche fournira même trois dossiers d'enquêtes officiels à des proches de Weykamp. Il s'en repentira par la suite.
En 1979, lors d'une réunion dans le « bunker » du Front, Bouhouche et Weykamp sont aperçus avec un jeune gendarme de Schaerbeek, Johan Demol. L'homme est fou amoureux d'une jeune membre du groupuscule. Il n'hésite pas à venir aux réunions pour la voir. Il est aujourd'hui député du Vlaams Belang à Bruxelles...
En décembre 1980, Alain Weykamp connaît quelques problèmes avec la justice. Un soir, il sort du club de tir avec son ami Jean-Marie Paul, lui aussi membre du Front. Paul est armé, Weykamp non. Dans un café de Laeken, une altercation éclate avec trois Nord-Africains. Paul vide son chargeur. Un homme meurt.
Le 5 avril 1981, Alain Weykamp et son amie sont amenés dans le bois de La Houssière, à Braine-le-Comte. L'homme s'y rend souvent avec d'autres militants d'extrême droite afin de s'y adonner au tir. Or, dans ce même bois, les enquêteurs ont retrouvé, calcinée, la dernière voiture utilisée par les Tueurs du Brabant lors du braquage du Delhaize d'Alost. Non loin de là était également enterré le corps d'un membre de la bande tué lors de l'attaque. C'est aussi dans ce bois de La Houssière que furent découverts, brûlés, des chèques volés lors d'un braquage à Overijse. Mais aucun lien ne pourra finalement jamais être fait entre Weykamp et la bande de Nivelles.
En 2000, Bouhouche bénéficie d'une libération conditionnelle suite à sa condamnation à 20 ans de réclusion qui lui a été infligée par les assises du Brabant pour toute une série de méfaits. Il part s'installer dans l'Ariège. Peu de temps après, Weykamp le rejoint et achète plusieurs gîtes dont il confie la gérance à son ami.
Le 24 novembre dernier, soit deux jours après le décès de Madani Bouhouche, Weykamp est descendu à Fougax. Il se serait rendu au domicile du défunt. Aurait-il emporté des munitions, des armes ou d'autres choses ? Les enquêteurs rentrés ce jeudi de leur commission rogatoire ne peuvent ni le prouver ni l'exclure, eux qui n'ont appris le décès de leur suspect que voici quelques jours à peine. Ils ne souhaitent pas faire de commentaire quant à une éventuelle audition de Weykamp. « Nous sommes saisis du dossier Bouhouche et de rien d'autre », indique Eddy Vos.
Mercredi, le juge Lacroix disait qu'il va où le dossier le mène. Nul doute qu'il aura à coeur d'entendre ce qu'Alain Weykamp pourra lui dire sur ses relations et ses activités avec Bouhouche. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 25 Nov 2010 - 8:40 | |
| Il est intéressant de suivre "Bouhouche" dans ce que dit "Insider" sur :
http://bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=853
( ... ) het verhaal van Beyer ken ik niet, maar het zou me niet verbazen. In die tijd waren er veel groepen actief, en allen even geheim. Of hij bij zo'n dienst betrokken was weet ik niet, Bouhouche in ieder geval wel. Overigens waren zij later niet meer zo close. Volgens mij werd Beyer door Dany gebruikt. Waarom denk je dat hij zijn deel niet heeft gehad van de goudroof op Zaventem? Omdat Bouhouche dat nodig had om andere activiteiten te financieren. ( ... )
Bouhouche was niet alleen degene die de auto van Al Ajjaz had teruggevonden in de ondergrondse parking, maar was ook degene die de auto heeft gestolen, gebruikt en in de parking geplaatst. Hij had informatie van Barbier gekregen waar hij de auto aan kon treffen. ( ... )
Wat Beijer betreft, ik heb in de boekhandel een gedeelte van zijn boek gelezen en snel weer neergelegd. Ik moest gelijk denken aan een gezegde van Bouhouche, "Als Bob fluit, dan liegt hij nog". Van wat ik mee gekregen heb, was Bouhouche de man die Bob met veel dingen mee liet doen, maar met veel dingen ook weer niet. Er is geen kans op dat Bob werkte in opdracht van de GRU, we praten over groepen in de rechtse scene, van WACL, VMO, Voorpost, FdlJ tot de CIA aan toe. Bob voerde alleen opdrachten van Dany uit en nam geen leiding of andere initatieven. Ook later is daar niets van gebleken. Het was anders geweest wanneer hij deel had genomen aan de CCC. ( ... )
In deze tijd zou dit inderdaad een criminele organisatie genoemd worden, maar dat geldt voor al de "stay behind" groepen. Maar zo werd dat door hen niet gezien, het ging om militaire en/of politieke doeleinden.
Bouhouche verzorgde tijdens de training voor de coup in Suriname de logistiek in België. De gestolen wapens bij de groep Dyana waren ook bedoeld voor die coup. Hoe verder we komen op het forum, hoe meer ook weer blijkt dat de BVN eigenlijk het vervolg is op die planning en dat veel van gebeurtenissen in 1981 en 1982 en 1983 hiervoor bedoeld waren. Ik noemde zojuist de wapens, maar ook de identiteitsbewijzen spelen daarbij een rol. Op 3 juli 2009 heeft de leider van de geplande coup in Suriname, Peter van Haperen, bij de rechter-commissaris in Paramaribo, uitgebreid verslag gedaan van de Belgische connectie in deze coup en het aandeel hierin van Armfelt en Bouhouche. Hij heeft daar ook gezegd nog steeds te beschikken over deze plannen en te beschikken over een identiteitsbewijs gestolen in Chaumont-Gistoux, met daarop zijn foto en zijn alias. Hij heeft aangeboden de plannen en het identiteitsbewijs te overhandigen aan de militaire rechtbank op voorwaarde dat die de veiligheid van zijn gezin zou garanderen. Waarschijnlijk moet Van Haperen in december of januari in het proces Bouterse getuigen. ( ... )
Voir : http://www.demorgen.be/dm/nl/990/Buitenland/article/detail/1185292/2010/11/20/Nederland-plande-afzetting-Surinaamse-dictator-Bouterse.dhtml
Nederland plande afzetting Surinaamse dictator Bouterse
20/11/10, 11u19
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| | | troudbal2000
Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/01/2010
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 5 Mai 2011 - 11:59 | |
| Allez voir à la page 38 du document ici : [url]http://www.docstoc.com/docs/59930278/Dossier---Beyond-Dutroux---The-reality-of-child-abuse-and-snuff-networks---_pedophilia_-politics_-Belgium_-european-secret-services_-esoterism_-occultism_-banned-ebook_ [/url]
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| | | troudbal2000
Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/01/2010
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 5 Mai 2011 - 11:59 | |
| Bouhouche ami d'un certain nihoul dans l'affaire Dutroux. Le hasard quand même... |
| | | troudbal2000
Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/01/2010
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 5 Mai 2011 - 12:11 | |
| Et si par hasard quelqu'un a une version francaise du livre. Ca a l'air véritablement d'etre une mine d'or |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Jeu 5 Mai 2011 - 12:36 | |
| Source très contestable! _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | Ruf Nachtergaele
Nombre de messages : 133 Age : 76 Localisation : Renaix Date d'inscription : 30/03/2007
| Sujet: nihoul bouhouche martens en co Jeu 5 Mai 2011 - 21:05 | |
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| | | troudbal2000
Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 14/01/2010
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Ven 6 Mai 2011 - 8:33 | |
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Sam 18 Juin 2011 - 19:42 | |
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Dernière édition par K le Mar 3 Mar 2020 - 18:02, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 19 Juin 2011 - 12:15 | |
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Dernière édition par K le Mar 3 Mar 2020 - 18:03, édité 1 fois |
| | | myajacky
Nombre de messages : 17 Localisation : BRUXELLES Date d'inscription : 18/09/2011
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 18 Sep 2011 - 22:12 | |
| moi ayant connu, al w...m ... m’ayant entrainer avec lui, ...vers 80, bien sur qu'il était très à droite comme 60% des gents ? ..... ayant fait des stages ensemble.... sont état d'esprit n’étais pas "tordu à ce point .....c'est tout°°° |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Dim 18 Sep 2011 - 23:41 | |
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Dernière édition par K le Mar 3 Mar 2020 - 18:03, édité 1 fois |
| | | myajacky
Nombre de messages : 17 Localisation : BRUXELLES Date d'inscription : 18/09/2011
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Lun 19 Sep 2011 - 5:44 | |
| Alain W....(excuse j'ai du déraper).... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Bouhouche, Madani Lun 19 Sep 2011 - 12:22 | |
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Dernière édition par K le Mar 3 Mar 2020 - 18:04, édité 1 fois |
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| | | | Bouhouche, Madani | |
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