Ciolini, Elio (Bande Haemers, Loge P2 en Italie)

Humo cette semaine 19 nov

het testament van Rudy de Jonghe

de man die Haemers ving

gravement malade ,

non je ne regrette rien .:

Citation :

Tk heb een boeiend leven gehad,ik ben fier op wat ik bereikt heb.Ik ben blij met mijn beroepskeuze, ik ben blij met mijn vrouw , die ik al ken van mijn 16 jaar.Ik heb een toffe zoon, twee kleinkinderen, mijn huis.Ik heb veel meegemaakt  in mijn leven.Er is niks waar ze me nog mee kunnen verrassen.

Il lui reste un peu de temps.

chapeau !

Je me suis demandé si Guillaume Vogeleer avait pu connaître André Labay ...

La réponse d'un spécialiste :

Je ne crois pas qu'ils se soient vus, car ils n'étaient pas dans le même secteur d'affaires.
En 1966, Labay était en combine avec Thierry de Bonnay, 40 ans, ancien résistant, engagé dans l'armée américaine à 18 ans, parachutiste en France, pilote à Madagascar, mercenaire au Congo. Ils avaient recruté à l'hôtel Pierre de Serbie des « affreux » qui étaient entraînés dans une ferme de l'Ardèche. de Bonnay avait aussi mis en place un commando sois-disant destiné à faire évader l'ancien premier ministre du Katanga, Moïse Tshombé, détenu à Alger après sa capture dans le ciel des Baléares le 30 juin 1967, mais c'était une escroquerie pour soutirer de l'argent à la famille Tshombe. Je n'ai jamais entendu dire que  Vogeleer ait marché dans cette combine et il avait fait un croix sur le Congo, trop périlleux à son goût.

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FRANCE-ZAÏRE-CONGO 1960-1997: Echec aux mercenaires

Un autre extrait du livre de Antonella Beccaria sur Elio Ciolini ("Il facciendiere"), page 204 :

(...) Nel curriculum di questo strano faccendiere, ci puo entrare poi una storia del 2005, quando fu indicato come l'estensore di un prospetto legato a una richiesta inviata a un ufficio di Bruxelles per ottenere una trentina di milioni di euro con cui finanziare presunte attivita paramilitari. (...)

Une note renvoie à l'article suivant :

http://archiviostorico.corriere.it/2005/luglio/05/Dssa_galassia_destra_caccia_fondi_co_9_050705222.shtml

Dssa, la galassia di destra a caccia di fondi

(...) Al broker ex deputato arriverà in fretta e furia un prospetto redatto da Elio Ciolini, personaggio torbido, «superteste» di professione condannato più volte per calunnia, depistaggio e truffa. Non proprio la carta vincente per «sfondare» a Bruxelles. (...)

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Pour mieux comprendre :

http://www.liberation.fr/societe/2005/07/05/un-commando-fasciste-italien-revait-d-enlever-battisti_525627

Un commando fasciste italien rêvait d'enlever Battisti

Laure STEPHAN 5 juillet 2005 à 02:51

Un projet d'enlèvement de Battisti en France par des barbouzes italiens ? L'hypothèse est réelle. Et vient de prendre corps avec une série de révélations dans la presse italienne. L'enlèvement de Cesare Battisti, membre des Prolétaires armés pour le communisme, aurait été ainsi préparé par le Département d'études de stratégie antiterroriste (DSSA), «bureau» d'extrême droite fondé en mars 2004. Avant que le projet soit abandonné à l'automne après la fuite de l'écrivain. C'est ce qu'a rapporté dans son édition de dimanche le quotidien italien Corriere della Sera, tandis que l'autre grand titre de la Péninsule, La Repubblica, indiquait de manière lapidaire que le DSSA, un «groupe de néofascistes [...] nourrissait l'espoir d'arrêter le terroriste en fuite Cesare Battisti».

Fantasmes. Un espoir plus qu'un projet concret, à en croire Marco Imarisio, journaliste du Corriere et auteur de l'article sur le rapt envisagé de Battisti : «Le DSSA aurait eu deux fois le projet d'enlever Battisti. D'abord, alors qu'il était encore à Paris, ses membres ont voulu mettre sur pied un commando; et ensuite alors qu'une rumeur laissait penser qu'il se cachait en Corse. Mais on ne peut pas parler de plan véritable, les membres du DSSA fantasmaient plus qu'autre chose», explique-t-il. Il n'empêche, le DSSA aurait compté 150 personnes : ses deux dirigeants, Gaetano Saya et Riccardo Sindoca, qui se réclament tous deux de «filiation fasciste», sont aux arrêts domiciliaires depuis vendredi.

Le Corriere della Sera livre quelques extraits des documents de l'enquête préliminaire, reprenant notamment une conversation téléphonique du 14 septembre 2004 entre l'un des dirigeants du DSSA, Riccardo Sindoca, et un agent de police pénitentiaire, Marco Campidani : il est question de «Bruno Rossi», nom de code pour indiquer les Brigades rouges et désigner également Cesare Battisti, aussi surnommé «le Porc» ou «le Porc rouge», «prêt à être enlevé». Battisti est alors en fuite depuis le 21 août. Les membres du DSSA avaient-ils des informations sérieuses sur la localisation de Battisti ? Selon Marco Imarisio, la conversation téléphonique interceptée coïncide avec la parution d'un article dans le Giornale, quotidien italien, selon lequel Cesare Battisti était alors en Corse. Mais dans les conversations, les membres du DSSA parlent aussi de contacts. Les éclaircissements sur le degré de préparation du rapt de Cesare Battisti seront sans doute donnés par les premiers interrogatoires qui doivent avoir lieu mercredi à Gênes.

Pour autant, les ambitions principales du DSSA semblent avoir été d'abord d'«éliminer le terrorisme islamique et protéger le pape». Dans le but de lutter contre le terrorisme, la structure organise ainsi des filatures, elle surveille des lieux soupçonnés d'être des couvertures et filme plusieurs individus.

C'est au milieu de ces activités qu'émerge le projet Battisti. Ce qui semble incongru à certains. Sa réussite aurait pourtant, selon la presse italienne, permis de légitimer les activités du DSSA, qui cherchait des appuis aussi bien politiques que financiers. «Les membres parlaient souvent de Battisti en l'insultant, continue Marco Imarisio, il ne faut pas oublier que ce DSSA était formé de personnes d'extrême droite qui haïssent Battisti d'un point de vue idéologique. Mais c'était aussi le projet le plus ambitieux d'un point de vue de l'image, toute l'Italie parlait alors de Battisti.»

Police parallèle. Si le projet d'enlever Battisti risque peu d'émouvoir la Péninsule, la révélation de la formation d'un groupe de police parallèle crée, elle, un petit malaise. D'abord, parce qu'elle intervient alors que le gouvernement est en pleine polémique avec les autorités américaines. L'Italie dément formellement avoir été informé de l'enlèvement de l'imam Abou Omar par la CIA, en plein Milan, en 2003. Et les institutions italiennes affirment de nouveau ne pas avoir été au fait des activités du DSSA, ce que contredit pourtant l'un des dirigeants de cette officine, Gaetano Saya.

Mais ,surtout, le ministère de l'Intérieur craint que d'autres groupuscules «parallèles» aient mis un pied dans les forces de l'ordre italiennes ; aujourd'hui, 24 policiers, gendarmes ou agents de la répression des fraudes sont mis en examen dans l'affaire du DSSA.


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http://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind_en_Belgique

(...)

En 1996, un article du quotidien Le Soir fit sensation en révélant qu'un plan de base de la défense militaire de la Belgique, composé en août 1995, déclarait qu'« il n'existe aucune menace ouverte en Belgique mais il existe bien une menace clandestine permanente » émanant des « communautés immigrées ». Le plan de l'ITC (commandement territorial interforces) prévoyait la constitution d'un réseau d'espionnage afin d'infiltrer la société civile, pour empêcher des actions de subversion d'« agents ou sympathisants » issus « des milieux diplomatique, culturel, commerciaux et religieux » étrangers en Belgique. Confrontées aux accusations de racisme, les autorités militaires belges ont par la suite affirmé qu'elles modifieraient le plan.[réf. nécessaire]

Tout comme l'affaire du Département d'études stratégiques antiterroriste (DSSA) en Italie, ce plan de 1995 incline à croire[Qui ?] que les réseaux stay-behind n'ont pas été complètement démantelés depuis la révélation de Giulio Andreotti. Il est certain que la Belgique reste, comme au temps de la guerre froide et du fait de sa situation géographique et de sa position au cœur de l'Europe, une porte d'entrée et une fenêtre béante pour tous les subversifs étrangers. l'OTAN et la Commission européenne sont conscients des dangers qui les menacent autant que de l'efficacité et de la nécessité de l'emploi de moyens qui ont fait leurs preuves. Cependant, à la suite du scandale Gladio les réseaux stay-behind n'ont été officiellement dissous dans leur totalité qu'en Belgique, ou plutôt, la Belgique a déclaré ne plus avoir de service SDRA 8. Mais rien n'empêche et même tout pousse la Belgique à avoir (re)créé des réseaux stay-behind. Les anciens membres du SDRA 8 n'ont pas perdu leurs récentes motivations et il doit en être de même dans d'autres pays. En Italie, c'est en juillet 2005 que la presse[Qui ?] apprend l'existence du DSSA, une « structure de police parallèle » mise en place par deux dirigeants de l'Union nationale des forces de police (Unpf), un syndicat présent dans chaque service des forces de l'ordre. Les deux chefs, Gaetano Saya et Riccardo Sindona, ont affirmé être d'anciens membres de Gladio. Apparemment, Fabrizio Quattrocchi, assassiné en Irak après avoir été pris en otage, était là-bas « pour le compte du DSSA », selon le site internet - désormais fermé - du DSSA. Selon les enquêteurs, le DSSA tentait de se faire reconnaître internationalement afin d'obtenir des financements pour ses activités parallèles.


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D'où la question : Elio Ciolini était-il un membre des réseaux Stay-behind ?

A relire aussi : ce qu'a écrit "swansongunsung"

Lun 4 Jan 2010 - 16:25

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1793p30-un-artricle-du-guardian-2001

(...)

Mais ce qui est intéressant ici, c'est le fait que CIOLINI avait effectivement de très forts liens avec les Etats-Unis lorsqu'il était en Belgique. Sa petite-amie belge, Nicole WYNANTS, a dit (PV daté 7/11/1986)

Il a fait plusieurs voyages a Miami, et pretendait meme avoir travaillé pour la police locale. Il avait meme des insignes ou plaques de la police de Miami. Le no. qu'il m'avait donnéétait le 00-1-305-3619828, mais je n'y ai jamais obtenu la moindre reponse. [...] prevenir son avocat a Miami (me FREDERICI tel 00-39-55-572769). [...]

Mais qu'est-ce que CIOLINI faisait veritablement aux Etats-Unis? (ou il habitait juste avant de s'installer en Belgique).

On sait, grâce a un "appunto" sur CIOLINI, et son avocat FREDERICI, lorsqu'il habitait KEY BISCAYNE, un banlieu de MIAMI. Un "appunto" est un rapport confidentiel rédigé par les services secrets italiens.

APPUNTO

1. Fonte occasionale riferisce che il noto Elio CIOLINI abita in 150 Ocean Lane Drive, app 8, F-Key Biscayne, telefono 001305/3616427, ed ha un recapito presso il box postal plus 260 in Crandon Boulevard.

Svolge attivate lavorativa presso la "HERTZ", settore recupero autovetture.

Frequenta i ristorante "De Giovanni", ubicato in Miami, e "Da Stefano", sito in Key Biscayne.

Ha ospitato, presso la propria abitazione, l'avvocato Federico FEDERICI.

E solito usare,"microspie" per registrare delle conversazioni e sfuttarle a scopo estorviso.

La fonte riferiste, altresi, che tra il CIOLINI, PAZIENZA e FEDERICI intercorrono stretti contatti e che i tre avrebbero rapporti con Stefano DELLE CHIAIE in Costa Rica.

2. Tanto si comunica per quanto di interesse. Si gradirà ricevere al riguardo elementi di riscontro ed ogni altra utile notizia.

Je crois que CIOLINI était veritablement envoyé en mission en Belgique a partir des Etas-Unis. Mais pas pour le compte du Département d'Etat des Etats-Unis. Je crois que c'était pour le compte des gens comme le terroriste d'extrême droite Stefano DELLE CHIAIE et ses contacts dans la P2 (PAZIENZA et FEDERICI étaient tous les deux très proches de la P2).

(...)

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Cela peut être comparé à

Puppetmasters: The Political Use of Terrorism in Italy
Par Philip Willan







et la note 9 :

Sur Stefano Delle Chiaie :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Delle_Chiaie

En 1982, il rencontre à Miami Abdullah Catli, le numéro deux des Loups gris, groupe ultranationaliste turc infiltré par Gladio(12).

(12) ↑ « La Turquie, plaque tournante du trafic de drogue » [archive], Le Monde diplomatique de juillet 1998

CATLI est le criminel turc qui avait été libéré de prison pour participer aux attentats Ergenekon ; il s'est refugié aux USA et a ensuite participé aux meetings CIA-Gladio B-Al Zawahiri (Al Qaeda) dixit Sibel Edmonds ("Gladio B").

Pour information sur Sibel Edmonds :

En français :

KILL THE MESSENGER - UNE FEMME A ABATTRE

http://www.justacitizen.org/KillTheMessenger.html


En anglais :


An Introduction to Gladio B - James Corbett on Breaking The Set

https://www.youtube.com/watch?v=U0CQloZQoIc


Sibel Edmonds Answers Your Questions on Gladio B (90 minutes)

https://www.youtube.com/watch?v=zccmyXIRfxU

Dans le très intéressant documentaire

https://www.dailymotion.com/video/x168cd7

on apprend que Stefano Delle Chiaie a visité la colonie Dignidad au Chili.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Colonie_Dignidad

La colonie Dignidad est une colonie agricole recluse et sectaire qui est fondée au Chili en 1961 par des expatriés allemands dont notamment Paul Schäfer (ou Schaefer), ancien nazi et brancardier de la Waffen-SS, condamné plus tard pour abus sexuels contre des mineurs.

Pendant la dictature militaire d'Augusto Pinochet, la colonie aide la police politique qui y emprisonne et torture des opposants.

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Cela a même suscité des "rêves" de sa part ...

Toujours est-il que les "Italiens" comme lui semblent avoir été très proches de la DINA.

Or, le schéma de Libert montre que Paul Latinus était lié à la DINA.





Cela pourrait aussi être le cas de Bernard Mercier et de Karel de Lombaerde (le schéma ne permet pas de conclure définitivement).

Or, Bernard Mercier a été aux funérailles de Franco en 1975 en Espagne, avec le major Bougerol

Selon le documentaire, ces funérailles ont été l'occasion d'une réunion entre la DINA et les "Italiens".

Peut-on conclure que Bernard Mercier a lui aussi rencontré Stefano Delle Chiaie et des gens de la DINA ?

Paul Latinus au Chili, c'est lié à Maria Cuevas, épouse de Philbert de Liedekerke dont la famille est proche de Etienne Davignon et de Armand De Decker ...

Selon le livre de Antonella Beccaria, "Il faccendiere" (page 158) : en 1983, le SISMI a rédigé une note selon laquelle, selon une source occasionnelle, Ciolini vivait à Miami, Ocean Lane Drive, et travaillait dans la récupération des voitures Hertz.

Au sujet de Miami, il y a beaucoup de choses dans le livre "L'arme de la drogue" de Henrik Krüger (traduit en français en 1984).

Notamment (page 209) :

En tous lieux, le nom de Shackley résonnait, laissant pour écho les mots drogue, assassinats, terrorisme et torture ... Tout comme celui de Miami faisait songer aux complots de la CIA, du Milieu et des formations d'extrême-droite, aux conspirations et aux sommes colossales amassées grâce à la drogue. Sommes qui étaient finalement dépensées dans la guerre secrète autant que dans la vie politique aux USA.

Un certain Felix/Fedor P. a eu une adresse à Miami. Il aimait sans doute le jet ski?

Gainesville Sun - 11 août 1984

@dim

Il n'y a pas que Miami ...

Il faut aussi citer le Costa Rica :

"La fonte riferiste, altresi, che tra il CIOLINI, PAZIENZA e FEDERICI intercorrono stretti contatti e che i tre avrebbero rapporti con Stefano DELLE CHIAIE in Costa Rica."

Il semble donc qu'il y avait des contacts étroits entre Ciolini, Frederici et Pazienza ... Gelli ne devait pas être très loin ...

Il s'agit sans doute de l' appunto  dont parle Antonella Beccaria à la page 158 de son livre, même si elle ne reprend pas la mention du Costa Rica.

Pour s'en assurer, il faudrait avoir accès à

Appunto del Sismi classificato come "riservatissimo" e risalente al febbraio 1983 acquisito dalla Commissione P2          (page 221 du livre)

Intéressant pourtant de voir apparaître le Costa Rica : Félix Przedborski, Alexandre de Belgique, Aldo Vastapane ...

Il est important de se souvenir que Elio Ciolini était à Miami en 1983, notamment quand on lit ce qui suit :

http://forum.prisonplanet.com/index.php?topic=145786.5;wap2

-- In 1981 Mehmet Ali Agça, a member of the Turkish drug-trafficking Grey Wolves, attempted to assassinate Pope John Paul II. Le Monde diplomatique later reported that the assassination attempt was organized, at the request of Turkish mafia chief Bekir Celenk, by Abdullah Çatli, a drug-trafficking Grey Wolf leader of death squads for Turkish intelligence. Le Monde diplomatique added that one year later Çatli visited Miami with the notorious Operation CONDOR killer, Stefano delle Chiaie.

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Stefano delle Chiaie, Elio Ciolini et Abdullah Catli se sont-ils rencontrés à Miami ?

C'est sans doute à la fin 1983, début 1984 qu'a eu lieu la rencontre entre Stefano Delle Chiaie, Richard Jerome Scott (CIA) et Guillaume Vogeleer à Patpong, Bangkok.

Il serait bien de savoir à quel moment exactement Elio Ciolini est arrivé en Belgique mais c'est très probablement un peu après (entre les deux vagues des Tueries du Brabant).

Le dernier livre de Philip Willan est en partie sur Google Books...


The Vatican at War: From Blackfriars Bridge to Buenos Aires
Par Philip Willan

Il y est plusieurs fois question de Elio Ciolini.

J'en retiens la leçon de prudence quant à la vérité de ce qu'il avance ...

Extraits





(...)

Petit retour sur nos messages de la page 24 (18 et 19 décembre 2012).

Il faut en effet relire

http://fr.scribd.com/doc/100310158/Van-Baelen-Pourtois-Dekaize

notamment ce qui concerne l'uranium.

Je me demande s'il n'y a pas un lien avec les extraits suivants du livre de Antonella Beccaria sur Elio Ciolini (page 95 et suivantes) ...





(...)





Revoir aussi

https://www.dailymotion.com/video/x56fr8_1986-les-tueurs-du-brabant-wallon-4_news

et ce qui concerne Pierre Attala ...

question pour vous HERVé , della chiae était où ? , fin septembre 1982 a l'attaque de dekaise car en en parle ds le el Pais ! retrouvé ds le brol du santana au derscheid

Abdullah Çatlı aurait rencontré le terroriste italien Stefano Delle Chiaie à Miami en septembre 1982.

Voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Abdullah_%C3%87atl%C4%B1

Je crois que l'information vient de

"La Turquie, plaque tournante du trafic de drogue", article du Monde diplomatique de juillet 1998 à propos d'Abdullah Çatlı.

Je vais essayer d'avoir l'article original.

Je me demande si Elio Ciolini était à Miami à cette époque.

Ce que "K" écrit est peut-être important. Est-il possible d'avoir une copie de ce journal ? Comment est-il arrivé dans la Santana ?

Il faudrait relire plusieurs fils de discussion, notamment

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1060-vw-santana

Michel a écrit :

Ce véhicule fut utilisé pour le cambriolage de Maubeuge et pour l'attaque de l'armurerie Dekaize à Wavre. Elle fut retrouvée le jour même (30 septembre 1982) abandonnée en forêt de Soignes. A proximité, les enquêteurs retrouveront un certain nombre d'objets : des cartes de banque et divers documents volés à Dekaize et à ses clients, des blocs de mousse provenant d'un siège d'une VW, un soulier, un polo, un journal espagnol, une paire de lunettes sans verre, des notes manuscrites, une carte de parking jamais identifiée.

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Je suppose que le "journal espagnol" est El Païs que "K" mentionne.

Quelle est la date de parution de ce journal ?

Que dit-on sur Stefano delle Chiaie ?

Je ne crois plus trop aux coïncidences.

Pour se fixer les idées en ce qui concerne la chronologie, voir aussi

http://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Townley

Michael Townley avoua l'existence de liens entre la Colonia Dignidad, sinistre camp dirigé par l'ancien nazi Paul Schäfer, et le Laboratoire de guerre bactériologique de l'armée chilienne de l'autre côté. Les enquêteurs soupçonnent que le poison qui a tué Frei Montalva dans la clinique de Santa Maria en 1982 a été élaboré dans cet endroit. Ce nouveau laboratoire de l'armée, à l'intérieur de la Colonia Dignidad, aurait été, selon Townley, le successeur du laboratoire de la DINA Via Naranja de lo Curro, où Townley travaillait avec le chimiste Eugenio Berrios. Townley a aussi témoigné au sujet d'expériences biologiques commises sur des prisonniers dans ce camp de détention.

http://www.cooperativa.cl/p4_noticias/site/artic/20050330/pags/20050330114755.html

Michael Townley fue interrogado por muerte de Frei Montalva

El ex agente de la DINA entregó sus declaraciones el pasado mes de enero por lo que la familia Frei solicitará que se adjunten al proceso que se sigue por la muerte del ex Presidente.

(...)

Sur "Colonia Dignidad", voir l'interview de Stefano delle Chiaie dans

https://www.dailymotion.com/video/x168cd7

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t115p120-gladio

Page 9 du fil "Gladio" ...


billbalantines

Sujet: Re: GLADIO   Mar 19 Oct 2010 - 22:36

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michel a écrit:

LA PRINCESSE IRENE SOUS LA MENACE DU GLAIVE :ATTENTAT DE MONTEJURRA LE 9 MAI 1976 JAMAIS ELUCIDE....

VAN DEN BRINK,RINKE

Jeudi 6 décembre 1990

LA PRINCESSE IRÈNE SOUS LA MENACE DU GLAIVE

L'attentat meurtrier commis en 1976 contre le prince de Bourbon-Parme et son épouse Irène pourrait être l'oeuvre du réseau Gladio.

AMSTERDAM
De notre correspondant particulier

L'attentat (jamais élucidé) commis en 1976, en Espagne, contre la princesse néerlandaise Irène et son mari de l'époque, le prince Carlos Hugo de Bourbon-Parme, a-t-il été l'oeuvre de membres italiens du Gladio ? Les néo-fascistes italiens Stefano Delle Chiaie et Carlo Ciccutini auraient fait partie du commando qui n'a raté sa cible que de justesse. C'est ce qui ressort des documents de l'enquête officielle consacrée au Gladio en Espagne.

La princesse Irène (qui abandonna ses droits au trône néerlandais en 1964) et son mari participaient, le 9 mai 1976, à la traditionnelle manifestation du mouvement carliste - lequel réclamait le trône espagnol pour la maison de Bourbon-Parme - à la montagne de Montejurra, dans le nord de l'Espagne. Subitement, des inconnus ouvrirent le feu avec des armes automatiques sur les quelques milliers de manifestants. Bilan: deux morts et des dizaines de blessés. Le couple princier dut son salut au fait qu'il ne se trouvait pas en tête du cortège.

La princesse néerlandaise multiplia alors des déclarations dans lesquelles elle indiquait que le commando avait joui de très hautes protections et de la coopération de hautes autorités militaires. La justice espagnole n'a jamais élucidé l'affaire. Le Premier ministre espagnol de l'époque, M. Carlos Arias, le dernier à avoir été nommé par Franco, empêcha, il est vrai, l'interrogatoire du leader présumé du groupe en l'extradant immédiatement vers l'Italie après son arrestation.

Des photos prises par des reporters de presse présents lors de la fusillade établirent clairement que plusieurs néo-fascistes italiens, parmi lesquels Delle Chiaie et Cicuttini, faisaient partie du commando. Cicuttini a été condamné à perpétuité pour complicité dans un triple meurtre commis à Peteano, tout près d'un dépôt d'armes du Gladio. Son procès (italien) a été à la base des révélations sur le Gladio. Les tentatives du juge d'instruction Felice Casson d'établir si les explosifs utilisés lors de l'attentat provenaient de ce dépôt d'armes établirent ainsi la première trace concrète du Gladio.
Cicuttini vit aujourd'hui en Espagne. Il a épousé la fille d'un général de brigade espagnol. Et puisqu'il a acquis la nationalité espagnole, Madrid refuse de l'extrader.

La presse espagnole suggère désormais qu'il en sait long sur les liens étroits entre les terroristes italiens d'extrême droite et l'armée espagnole. Le quotidien «El Pais» cite un juge italien anonyme qui déclare que Cicuttini possède également de nombreux détails sur la «sale guerre» anti-ETA.

Selon des documents des services secrets italiens, les terroristes italiens d'extrême droite auraient fait partie du GAL, une organisation responsable de nombre d'attentats contre des membres (présumés) de l'ETA en Espagne et en France.

Le gouvernement espagnol nie cependant tout lien formel entre le Gladio et les services secrets espagnols. Un ancien agent du Gladio a cependant déclaré que le Glaive utilisait un camp d'entraînement des services secrets aux îles Canaries.

Les activités espagnoles des néo-fascistes italiens ne se sont pas limitées à l'attentat contre la princesse Irène et son mari. Au mois de mars 1987, Cicuttini fit aussi partie du commando qui abattit cinq avocats communistes célèbres, espérant ainsi provoquer une révolte communiste et empêcher ainsi les premières élections démocratiques en Espagne. Ciccutini a d'ailleurs avoué avoir commis des attentats anti-ETA pour le compte des services secrets espagnols.

Son camarade d'armes, Delle Chiaie, était parmi les collaborateurs de Klaus Barbie en Bolivie. Delle Chiaie est considéré comme l'un des membres du commando qui commit l'attentat de Bologne (80 morts).

La princesse Irène et son mari Carlos Hugo avaient pour leur part été mis en garde contre un éventuel attentat. Le roi Juan Carlos avait informé l'ambassadeur néerlandais que des problèmes sérieux pourraient se produire à la montagne de Montejurra. L'ambassadeur avait informé à son tour le ministre des Affaires étrangères à La Haye. Celui-ci, avait appelé le Palais royal le 30 avril, jour de l'anniversaire de la Reine, quelques jours avant la manifestation de Montejurra.

RINKE VAN DEN BRINK

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Me suis tjs demandé si le journal 'El Pais' trouvé dans voiture Santana n'avait pas un lien avec une expédition punitive du GAL (extrême-droite) contre des gens qui apportent un soutien à ETA. A ce propos Dekaise ne 'travaillait' pas pour des milieux qui armaient l'ETA? Cela a-t-il été vérifié?

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Je crois me souvenir que Elio Ciolini avait proposé à Thierry Smars de rejoindre la lutte anti-ETA en Espagne ...

En tout cas, le franquisme espagnol était en lutte violente contre l'ETA basque.

Je pensais que "les Italiens" (Stefano Delle Chiaie, Elio Ciolini) n'avaient des liens avec la stratégie de la tension en Belgique qu'entre les deux vagues d'attaques ...

Si le nom de Stefano Delle Chiaie est dans le journal retrouvé dans la Santana, il est bien possible qu'il faille aussi s'y intéresser (à eux ou en tout cas à des gens qui les connaissaient) pour la première vague.

Il serait bien d'en savoir plus sur ce journal (date, etc).

Je crois que "les Italiens" ne sont eux aussi que des pantins dans une pièce qui les dépasse...

Pour moi, la question des trafics d'uranium vers la Libye (van Baelen, officier de l'OTAN, etc) reste ouverte.

En voyant le nom des banques impliquées dans cette affaire, un lecteur attentif me demande s'il y a un lien entre Ciolini et Fiorini (& Paretti)...

Les magouilles financières de Fiorini sont assez bien documentées et ressemblent à celles de Ciolini.

Fiorini & Paretti: reprises d'entreprises / manipulations des actions cotées en bourse et des marchés des changes / Drexel Burnham Lambert / etc

On parle notamment de Fiorini dans un dossier judiciaire (italien) sur Winnie Kollbrunner (dont il est question dans le dossier Atlas ... qui a peut-être travaillé avec Monsieur Félix) : trafics de "promissory notes", or, diamants, "mercure rouge" (?), uranium, faux dollars....

Voir :

http://www.independent.co.uk/news/world/spirit-of-the-masons-lives-on-in-the-murky-recesses-of-italian-life-a-calabria-prosecutor-has-uncovered-a-chilling-plot--a-masonic-conspiracy-to-overthrow-the-state-patricia-clough-reports-from-rome-1485514.html


Spirit of the Masons lives on in the murky recesses of Italian life: A Calabria prosecutor has uncovered a chilling plot - a Masonic conspiracy to overthrow the state. Patricia Clough reports from Rome

PATRICIA CLOUGH

Sunday 18 July 1993


Italian fiscal police, investigating possible swindles of European Community funds by pig-breeders in the tiny Calabrian town of Roccella Ionica, came upon something very odd last year. It was a makeshift Masonic temple, complete with throne and chairs arranged in a horseshoe, neatly folded hoods and Masonic symbols on black-draped walls.

The Grand Master of the lodge turned out to be Baron Pasquale Placido, a local aristocrat who had come down in the world. In his house they found a huge archive of secret documents, including correspondence with one Licio Gelli, former Grand Master of the sinister P2 secret lodge, whose members were key figures in all areas of Italian public life, and in the lodge's intrigue to subvert and possibly take over Italy.

For Dr Agostino Cordova, the tenacious cigar-smoking public prosecutor in nearby Palmi, the discovery turned out to be one of the first key pieces in a vast puzzle he and other magistrates are putting together on the secret activities of Italian Freemasons. The picture it now reveals, although still incomplete, is chilling.

The P2, or at least the spirit behind it, is not dead; apparently excised, it has instead grown again secretly in many other parts of Italian society.

Mr Cordova and his colleagues have come across strong evidence that a large number of secret - and so illegal - Masonic lodges are operating alongside, and in some cases protected by, legal Masonic lodges. Even respectable lodges, they believe, have secret members - high-ranking police officers, magistrates or public officials - whose identities are disguised in the lists of members, or who are not listed at all.

Like the P2, uncovered in 1981 and banned, these lodges bring together in criminal conspiracy some of the most powerful or influential people in the country: politicians, Mafia bosses, senior police officers and civil servants, suspected members of the secret services, bankers, businessmen.

There is evidence that they have bred arms-running rackets and corruption, enabled Mafia criminals to get off lightly, recycled dirty money and been behind bomb attacks and assassinations. Suspicions focus primarily on Sicily, Calabria and Campania, the regions dominated by the Mafia, where almost one-third of Italy's 30,000-odd Masons are based. Whether they are all linked in one single conspiracy or are operating individually is still not clear. Licio Gelli, although still on trial in connection with the P2 plot in a slow moving and almost forgotten case, is free and evidently still active. And while about one-third of the P2's 2,500-odd members were identified and many removed from their posts, most of the rest have not been unmasked.

So sinister has the picture become that the United Lodge of England, the oldest, biggest and - in Italian eyes - most authoritative Masonic organisation in the world, last month suspended recognition of the main Italian organisation, the 18,000-member Grande Oriente d'Italia.

The move, which in effect bans visits between Italian and English members, has been made 'pending clarification'. The Irish, Scottish and French lodges are taking similar measures.

Two months earlier, the growing accusations caused a dramatic split in the Grande Oriente. Claiming that he was being obstructed by his Masonic brothers from cleaning up the organisation, its Grand Master, a bearded professor of philosophy called Giuliano di Bernardo, with some 300 others, quit to found a new one called the Grand Regular Lodge of Italy.

Accused by his successor, Armando Corona, of failing to defend the Grande Oriente from the accusations against it, he in turn complained that all his attempts to break the links among the Grande Oriente, the P2 and other secret groups had failed. Then Mr di Bernardo, who suspects that there are some 1,500 secret Masons, met Mr Cordova in a secret place and, it is reported, told all he knew.

The English Masons expect the 'clarification' to come from Mr Cordova. But while anti-Mafia prosecutors can now work unimpeded and the corrupt and conspiratorial old political system appears to have collapsed, mysterious forces still seem bent on obstructing Mr Cordova's investigations.

From the beginning, he has been kept desperately short of staff by the authorities in Rome. And now, as mountains of documents fill his offices and his investigations cover the whole country, instead of the 10 deputy prosecutors he is legally entitled to, he has only five.

Mr Cordova's office has been subjected to repeated 'inspections' by the Justice Ministry. His nomination by his fellow magistrates for the post of super-prosecutor of the Mafia was blocked by the former justice minister, Claudio Martelli, a Socialist. And a promotion to public prosecutor of Naples was also torpedoed.

Ten days ago Mr Cordova protested to the parliamentary anti- Mafia commission about a 'general reluctance' among the carabinieri and fiscal police to carry out the investigations he required. He said he had been brought out-of-date lists of members or been given little clue to their identities. And he had been told there were no lodges in areas that were 'well known to be swarming with them'.

Mr Cordova left no doubt in members' minds about why he thought such reluctance had arisen. The various police forces, he made it clear, were full of corrupt Masons.

He has recently sent the High Council of the Judiciary, its self- governing body, a list of names of fellow magistrates who, he has discovered, are Masons. There is nothing illegal about membership in itself, but in dozens of cases the magistrates allegedly used their position to help Mafia criminals.

Mr Cordova's report includes evidence from Mafia pentiti. One allegedly spoke of a network of lawyers, magistrates, police officials, politicians and others that 'gave us protection, such as acquittals, reduced sentences and house arrest (instead of jail), and in return we killed anyone who was a nuisance to them'. And he told the anti-Mafia commission that 19 hitherto unknown P2 members were past or present members of parliament; one was a member of the anti-Mafia commission.

Many of the jigsaw pieces Mr Cordova is trying to piece together are startling. There is the case of the hold-up in 1990 in which 100bn lire ( pounds 43bn) worth of securities were stolen from a bank transport van. Two years later a Swiss woman called Winifred Kollbrunner was arrested while attempting to sell some of the stolen securities in Geneva. Ms Kollbrunner turned out to be employed as a kind of ministry consultant by Mr Martelli, who is under investigation in connection with the case and with the existence of a secret bank account allegedly opened in his name by Mr Gelli. She is suspected of selling the securities through a network of Masons in several Italian banks. Before leaving the Grande Oriente lodge, Mr di Bernardo suspended four Masons accused of being involved in the affair, including a former grand master of the lodge at Palmi and a former director-general of the Finance Ministry.

Mr Cordova has come upon evidence of Masonic involvement in illegal trade in guns, tanks and missiles from Pesaro and Brescia, in a Mafia operational base in Milan, of rackets involving toxic waste disposal in Naples, Brindisi and Savona and in fraudulent bankrupcty.

Sicilian magistrates are also probing the deaths of three people involved in Operazione Cesare, the code-name for investigations into links between the P2 and the island's Mafia. One was Boris Giuliano, an Italian secret service officer who, according to Tom Tripodi, a former undercover CIA agent who had been working with him, was killed 'because he had discovered the role of the P2 in the recycling of drug money'.

Giovanni Spadolini, Senate speaker and prime minister at the time of the P2 scandal, has said: 'There is an intrigue, still in many ways to be identified, between the P2 and the Mafia. Behind the destabilisation of Italy (by bombs and massacres in the past 30 years) were centres of corruption, very powerful and very closely linked to the political system . . . The P2 question is not closed.'

Par ailleurs, le nom de Ghaith Pharaon est cité dans ces affaires d'uranium :

http://en.wikipedia.org/wiki/Ghaith_Pharaon

(...) Pharaon was a major investor in Arbusto Energy, former President George W. Bush's first business venture. After several attempts, Arbusto Energy emerged in 1986 as Harken Energy Corporation, with George W. Bush prominently on the board of directors.[5] In 1987, the Harken Energy was desperate for money, and a bank that was half-owned by BCCI gave Harken a $25 million loan. Another Saudi investor and Pharaon partner is Abdullah Bakhsh, who joined the board of directors as a part of the deal. Bakhsh's banker was Khalid bin Mahfouz, who had his own shares in Arbusto/Harken, via the inheritance of Salem Bin Laden.[6][7] (...)


Sur la BCCI, voir :

http://moneyjihad.wordpress.com/2013/03/15/bcci-bankrolled-the-father-of-the-islamic-bomb/

BCCI bankrolled the father of the “Islamic bomb”
March 15, 2013

Founded by a Pakistani banker with prominent Gulf investors, the Bank of Credit and Commerce International (BCCI) became a depository of wealth acquired by Arab officials during the oil embargo against the U.S. in the 1970s.

BCCI took their profits and invested in fraudulent enterprises. According to History Commons, BCCI also set up a charitable foundation in the 1980s which gave most of its money to A.Q. Khan, the scientist created the first nuclear bomb ever possessed by an Islamic country—Pakistan:

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1981 and After: BCCI Charity Front Funnels Money to A. Q. Khan’s Nuclear Program

In 1981, the criminal BCCI bank sets up a charity called the BCCI Foundation. Pakistani Finance Minister Ghulam Ishaq Khan grants it tax-free status, and it supposedly spends millions on charitable purposes. Khan serves as the chairman of the foundation while also running the books for A. Q. Khan’s Kahuta Research Laboratories. Ghulam Ishaq Khan will be president of Pakistan from 1988 to 1993. (Levy and Scott-Clark, 2007, pp. 126-127) BCCI founder Agha Hasan Abedi announces that he will donate up to 90% of BCCI’s profits to charity through the foundation, and he develops a positive reputation from a few well-publicized charitable donations. But the charity is actually used to shelter BCCI profits. Most of the money it raises goes to A. Q. Khan’s nuclear program and not to charitable causes. For instance, in 1987 it gives a single $10 million donation to an institute headed by A. Q. Khan. Millions more go to investments in a front company owned by BCCI figure Ghaith Pharaon. (Beaty and Gwynne, 1993, pp. 290-291) An investigation by the Los Angeles Times will reveal that less than 10% of the money went to charity. (Los Angeles Times, 8/9/1991) BCCI uses other means to funnel even more money into A. Q. Khan’s nuclear program.

(...)

Pour en revenir à Van Baelen :





Il est quand même troublant de voir apparaître le Pakistan alors qu'il est par ailleurs question des liens Pharaon - BCCI - Khan (Pakistan)

Pour les personnes motivées : voir les messages de Thea Heart sur :

https://www.facebook.com/ilFattoQuotidiano/posts/118099675016885

(...)

Voir aussi :

http://archiviostorico.corriere.it/2005/luglio/05/Dssa_galassia_destra_caccia_fondi_co_9_050705222.shtml

Il Viminale: sappiamo distinguere chi mette in circolazione contrassegni di latta da chi collabora con la giustizia

Dssa, la galassia di destra a caccia di fondi

Tra « depistatori » e sostenitori di Francesco Pazienza. Pisanu: polizia parallela? Solo distributori di patacche

(...)

Imarisio Marco
Pagina 18
(5 luglio 2005) - Corriere della Sera

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On y parle de Ciolini et de "Bruxelles".