Moyen, André

l'adresse de moyen est pour la periode qui nous interesse ? 78-88 ? ou c'est plus tard ?


le quartier à la gare est souvent nommé "la barrière "

nom donné a une barrière coulisante sur rails qui est utilisé jusqu'en 1980  ? pour arreter le trafic voiture a un passge à niveau pour train


c'est là que aurait vécu A.V. si donc c'est d'épôque

Sauf erreur de ma part, les personnes citées par le procureur Jean Deprêtre à la fin de sa vie habitaient toutes dans ce coin-là. Il en va de même des associés de Ronald Rossignol. Claude Nitelet, très fortement suspect à mes yeux, est également revenu dans les environs.

Ceci dit, je ne sais pas si André Moyen a habité au 25, chaussée reine Astrid après 1961 ... mais c'est probable...

Extrait de "Europe-Amérique" du 31 août 1950. A noter : la page consacrée aux funérailles de Julien Lahaut est suivie par un article de "Capitaine Freddy" (André Moyen) sur l'Allemagne.

https://www.scribd.com/doc/265856094/Europe-Amerique-du-31-aout-1950

http://www.dhnet.be/actu/faits/mon-pere-mele-a-l-assassinat-de-julien-lahaut-555a27bd35704bb01c5b74ff

"Mon père, mêlé à l’assassinat de Julien Lahaut ?"

Gilbert Dupont Publié le mardi 19 mai 2015 à 04h13 - Mis à jour le mardi 19 mai 2015 à 13h51

http://www.dewereldmorgen.be/artikel/2015/05/19/lahaut-executie-in-achtertuin-koninklijk-paleis

Boekrecensie

Lahaut: ''Executie in achtertuin koninklijk paleis"

(...)

HERVE a écrit:

http://www.dhnet.be/actu/faits/mon-pere-mele-a-l-assassinat-de-julien-lahaut-555a27bd35704bb01c5b74ff

"Mon père, mêlé à l’assassinat de Julien Lahaut ?"

Gilbert Dupont   Publié le  mardi 19 mai 2015 à 04h13  - Mis à jour le  mardi 19 mai 2015 à 13h51

A mon avis, elle ne connait pas la moitié du quart de la vie de son père. Compartimenter encore et encore....

Elle pourrait sans doute donner quelques informations sur son domicile, peut-être les liens avec la famille royale marocaine (à l'époque de Hassan II, on pouvait parler d'une dictature), ... mais le séisme d'Agadir était en 1960 : elle n'a de toute façon connu André Moyen qu'après.

Une fois de plus, la Sûreté militaire a très peu collaboré. Pourquoi les chercheurs ne peuvent-ils avoir accès aux archives concernant ces affaires ? Va-t-on une fois de plus se moquer du Parlement ?

en avril 1983 , il monte une firme ds l'avenue de MARS 75 à Schaerbeek

Cela pourrait valoir la peine de s'intéresser aux sources de financement d'André Moyen : la Société Générale et Brufina.

En particulier : l'Union Minière... (et M. Robillard)

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/afdi_0066-3085_1967_num_13_1_1958

La « congolisation » de l'Union Minière du Haut Katanga

http://www.cairn.info/revue-courrier-hebdomadaire-du-crisp-1959-5-page-4.htm

La déclaration gouvernementale sur l'avenir du Congo

Voir aussi

http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_mini%C3%A8re_du_Haut_Katanga

_ _ _ _

Extrait de "Qui a tué Julien Lahaut ?"

Le réseau de Moyen est parvenu à traverser la crise suscitée par l'assassinat de Lahaut sans l'ombre d'un dégât. Cette initiative privée - qui n'hésitait pas à recourir à la terreur et se savait protégée par des hauts responsables émanant des services publics - a-t-elle simplement disparu ou a-t-elle encore pu agir par après ? Nous n'avons pas de réponse à cette question qui mérite certainement d'être posée.

Note : en 1967, Marcel De Roover est le représentant belge au congrès de fondation de la Ligue anticommuniste mondiale.

Voir aussi les pages 56, 57 et 58 de

https://fr.scribd.com/doc/265071111/Andre-Moyen-dans-Gladio-JW-CHP-3

Le "réseau" d'André Moyen est né en août 1945. Il s'en occupera à temps plein à partir de février 1948. Ce réseau présentait des analogies avec "Athos" (dont André Moyen était le n°2). Pendant la seconde guerre mondiale, "Athos" a procédé à une cinquantaine d'exécutions (et André Moyen y a sans doute pris part).

Dans ce réseau ("synarchie"), il y avait les sponsors (Union Minière, Brufina), les agents et les correspondants (notamment la police judiciaire et la Sûreté militaire). Il y avait une collusion entre la police judiciaire et un service privé.

Je me demande dans quelle mesure André Moyen a intégré Securitas dans son réseau...

L'analogie avec un réseau "stay-behind" devrait aussi retenir l'attention.

C'est André Moyen qui a créé le BACB.

François Goossens (un assassin de Julien Lahaut) était un collaborateur du réseau.

Son surnom était "Adolphe"

Je me demande s'il y a un lien avec l'énigmatique message du SDRA dont il est question ci-dessous. Difficile à vérifier, surtout avec la mauvaise volonté de la Sûreté militaire et l'inaccessibilité de certaines archives...

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http://archives.lesoir.be/malgre-les-pressions-gladio-veut-conserver-ses-secrets-_t-19910328-Z03TA1.html

Jeudi 28 mars 1991

Livrez les noms! - Jamais, répondent les «gladiateurs». L'heure du choc est arrivée.


Ici Bruxelles... - Chers amis Stay Behind, la section SDRA 8 vous assure de sa très haute estime et vous remercie de votre dévouement au pays. Ils vous certifient que les pressions et les menaces seront vaines et que la parole donnée sera honorée. «Adolphe se porte bien».

Hier Radio Brussel... - Beste Stay Behind vrienden, de Sectie SdRA 8 geeft blijk van haar hoogste waardering en dankt U allen voor uw toewijding tegenover het land. Wij verzekeren U dat alle druk en bedreigingen tot niets dienen en dat wij ons gegeven woord alle eer aandoen. «Adolf stelt het goed».

_ _

Voilà - comme on nous l'a demandé, sans changement et dans les deux langues - le message qu'un «patron» de la section SDRA-8 du Service général de renseignement (la branche de notre service de renseignement militaire gérant, avec la Sûreté, le Gladio belge) nous a priés de diffuser. Si ce texte mérite d'être publié, c'est qu'il illustre bien le climat conflictuel et polémique dans lequel se déroulent les travaux de la Commission d'enquête sénatoriale sur le réseau de résistance «Stay behind». Une structure clandestine internationale créée après la guerre pour préparer la Belgique et d'autres nations à une éventuelle occupation ennemie.

(...)

après les changements des techniques de guerre vers les missiles à têtes nucleaires

toute l'idee de stay behind était devenu d'aucune valeur car il ne restera personne !


c'est pour cela que le stay behind info's et reseaux ex-filtrations des années 50 se sont éteintes et pas remplacés

sauf ds qqs têtes figées , peut etre

les tbw n'étaient pas des retraités

Pour information ...

Les annexes (documents, PVs, etc) du livre "Twee jaar Bendecommissie" de Hugo Coveliers sont sur :

https://www.scribd.com/doc/266119103/Documents-Commission-Hugo-Coveliers

Guy Bouten a écrit que Jean Bougerol était une bonne connaissance de Ivan Matteo Lombardo. Il est question de ce dernier dans l'extrait ci-dessous...

C'est intéressant car je crois que Ivan Matteo Lombardo a été dans un gouvernement avec Edgardo Sogno, un contact de André Moyen ...

Tout lien possible entre André Moyen et Jean Bougerol est évidemment intéressant à approfondir.

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The Vatican at War: From Blackfriars Bridge to Buenos Aires
Par Philip Willan

Voir :

https://www.univ-paris1.fr/autres-structures-de-recherche/ipr/les-revues/bulletin/tous-les-bulletins/bulletin-n-20-reseaux-organisations-societe-civile-et-politique-internationale/bernard-ludwig-le-comite-europeen-et-international-paix-et-liberte/

Bulletin n° 20, automne 2004

Le Comité européen et international Paix et Liberté

« Internationale » ou réseau de l’anticommunisme ?

( 1950-1970)
Bernard Ludwig

(...)   L’ensemble du réseau Paix et Liberté était profondément intégré aux réseaux industriels et patronaux. Pour ces derniers, comme pour les anticommunistes virulents, la lutte contre le communisme était une question de subsistance. En effet, depuis que l’Union des intérêts économiques avait pointé plus directement, pour les législatives de 1919, sur le péril communiste par une affiche représentant un Bolchevik le couteau entre les dents, l’engagement des milieux patronaux dans la lutte contre cette menace était plus important.

Les organisations anti-communistes le savaient, et, à dessein, y trouvèrent une source de revenus. Le VFF, par exemple, avait débuté sa propagande par une campagne anti-sabotage au profit de l’industrie et tirait une partie de ses fonds de généreux donateurs de l’industrie allemande. Progressivement sa coopération avec l’industrie et les organisations patronales (BDI, BDA) ou les chambres de commerce aboutit à un financement mensuel contre une intense activité de lutte contre l’infiltration communiste au sein des comités d’entreprise. Son expertise et ses succès dans ce dernier domaine furent souvent loués par le Comité international et ses techniques reprises par d’autres membres du Comité. Mais c’est surtout dans les pays où l’influence du PC était forte, et notamment sur la classe ouvrière, comme en France et en Italie, que les comités Paix et Liberté tentaient d’immuniser le monde ouvrier. En France, par exemple, la création de Paix et Liberté s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les sabotages communistes contre l’envoi d’armement en Indochine dans les grands ports. Mais plus généralement, le mouvement de David luttait dans toutes les concentrations industrielles contre l’influence communiste, que ce soit en son nom, en soutenant Force ouvrière ou même des syndicats « maison ». Car ses fonds provenaient justement en partie de fonds patronaux. De même la FIAT et l’empire Agnelli furent à la base des ressources de l’organisation italienne. Le comité autrichien n’était, quant à lui, en fait qu’un nom cachant une organisation patronale, la Fédération des travailleurs indépendants. Enfin, le président du comité belge de Bruxelles et un temps du comité international, Maurice Keyaerts, directeur de banque et proche des milieux industriels, représentait bien l’importance des milieux économiques et financiers au sein du réseau. Il drainait dans son sillon également Marcel de Roover, directeur de la Banque de Bruxelles. L’anticommunisme du réseau Paix et Liberté était donc aussi un anticommunisme économique.   (...)

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Europe Since 1945: An Encyclopedia, Volume 2
publié par Bernard A. Cook








Voir également

http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1357

et

http://www.larousse.fr/encyclopedie/images/Affiche_du_mouvement_anticommuniste_%C2%AB_Paix_et_libert%C3%A9_%C2%BB/1315480

Le contact américain d'André Moyen était René Solborg.

Il en est question dans

http://chs.univ-paris1.fr/Cantier.pdf





Voir

http://en.wikipedia.org/wiki/William_J._Donovan

L'enquête criminelle sur les tueurs du Brabant""
Par Adrien Masset (Auteur)





http://www.senate.be/lexdocs/S0523/S05231297.pdf





(...)





(...)

Je ne sais pas qui était le "commissaire Z".

Le principal contact de André Moyen à la police judiciaire de Bruxelles, à l’époque de l’assassinat de Lahaut, était Roger Fretin.

http://www.historischekranten.be/issue/HYN/1935-06-08/edition/null/page/11

Concernant André Moyen, les historiens ont trouvé peu de documents précisant ses contacts  avec l’étranger (quelques noms de personnes de contact surtout en Suisse, en France et en Italie (où pour la petite histoire, il rencontre même le pape en 1951).

Les déclarations de André Moyen dans la presse ne contiennent souvent qu’une part de vérité :  par exemple quand il dit dans "Le Soir" que De Vleeschauwer était ami avec Scelba et l’a introduit à Scelba.

En réalité Moyen écrit à De Vleeschauwer que De Roover l’envoie en Italie et lui demande si, en tant qu’ancien ministre de l’Intérieur, il pourrait lui écrire une lettre d’introduction à Scelba.

De Vleeschauwer s’exécute mais on voit bien dans sa lettre que c’est la première fois qu’il écrit à Scelba (« permettez-moi de me présenter », ton très formel, etc.).


http://www.indymedia.org.uk/media/2006/12/358945.pdf

(...) 'A serious purge never occurred, thereby allowing much of the old Fascist bureaucracy to survive.'10 Prime Minister De Gasperi together with Interior Minister Mario Scelba personally oversaw 'the reinstatement of personnel seriously compromised with the fascist regime'.11 (...)


http://operation-gladio.net/vulliamy-ed-secret-agents-freemasons-fascists-and-top-level-campaign-political-destabilisation

(...)

Il est question de André Moyen dans

http://operation-gladio.net/fr/les-r%C3%A9seaux-stay-behind-en-france-1945-1962

Les réseaux stay-behind en France: 1945-1962

(l'auteur n'est pas mentionné... ni la date ... qui doit être assez récente au vu de la bibliographie)

Un extrait qui est aussi une mise en garde :

Le document est aussi sur :

https://fr.scribd.com/doc/59001131/Les-reseaux-stay-behind-en-France-1945-1962

Extraits (avec les réserves ci-dessus) :










(...)

HERVE a écrit:

Je ne sais pas qui était le "commissaire Z".

Zimmer?

oui je pense aussi car si vous prenez "beetgenomen " on apprend que P. arrive en retard chez son advocat le jour de wavre et son excuse est qu'il a du aider bruno

l'advocat en parle avec Dossog qui previent Z qui attend et ne fait rien donc il le savait déjà

etc donc avec linfo de masset on comprend que Z peut avoir des infos aussi de Bougerol ,Moyen


plus tard avec delta c'est Reniers qui se fache sur V de delta

il le menace ;Si tu vient encore lire les dossiers de mes hommes sans mon authorisation je fais te foutre à travers la fenêtre

V était venu lire un dossier que Z avait fait sur Destaercke

un collègue du PJ ,abcd avec qui V avait travaillé à la gendarmerie avant ,l'avait donné authorisation en absence se Z et Reniers


avant il avait parlé des groupes ext dr ds la PJ mais plus tard se retracte-. A d'autres membres de delta il avait declaré encore pire semble t il


n'oublions pas que Calmette semble avoir travaillé ds un café où la pj venait souvent

Y a-t-il eu des contacts entre André Moyen et Carl Armfelt ?

http://www.kooshenderechter.nl/news/parallelle-structuren-in-actie-/

(...)  De organisatie was de spionagetak van O(peratiën), van de inlichtingendienst buitenland, die later bekend zou worden als de Nederlandse Gladio. Dit alles ging in directe samenwerking met de C.I.A. die “De Dienst” en Interdoc financierde. Die installeerde hiervoor bij Interdoc, hun eigen man Graaf Carl Armfelt, die tevens de opdracht had stay-behind organisaties op te richten in Nederland en België. Interdoc werkte nauw samen met Het Public Information Office (PIO), geleid door Jean Bougerol, toen officieel een Parallel inlichtingendienst van het Belgische leger, maar eigenlijk een privé dienst van Paul van den Boeynants. (...)

http://www.cryptome.org/2012/01/cercle-pinay-6i.pdf





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Pour information aussi :

http://www.velseraffaire.nl/

Autre question : André Moyen connaissait-il les personnes suivantes ?

Sur la société de Ronald Rossignol :

Occidental Aviation Services NV

Andere benaming: Occidental Airlines
BTW 425.418.838
HR Oostende 53.833
Oprichting: 13/01/1984 voor notaris Guy Nasseaux, 1410 Waterloo
Oprichters:
1°/ Joël Leclercq, boekhouder, wonend rue Jean Volders 168, te 1420 Braine l’Alleud
2°/ Mady Visse, secretaresse, echtgenote van J. Leclercq, wonend op zelfde adres
3°/ Luc Pieterhons, carrosseriebouwer, wonend rue Wayez 143, te 1420 Braine l’Alleud
Zetel bij oprichting: Rue Jean Volders 168, 1420 Braine-l'Alleud
Oorspronkelijke benaming: T.R.C. sprl (HR Nijvel 50.091)
Maatschappelijk kapitaal: 250.000 BEF

Verplaatsing zetel op 13/10/1988: Rue Sainte-Anne 6, 1420 Braine-l'Alleud
Kapitaalsverhoging op 05/05/1990: van 250.000 naar 750.000 BEF
Verplaatsing zetel op 20/10/1990: Avenue Wellington 31, 1420 Braine-l'Alleud

Wijzigingen op 14/06/1995:
1/ Ontslag verleend aan Joël Leclercq als zaakvoerder
2/ Benoeming van Martine Hissette tot zaakvoerder, wonend Waterkasteellaan 7, te 8421 De Haan
3/ Verplaatsing zetel: Luchthaven Oostende, bureau 229, bus 32, 8400 Oostende