| | Beersel, 23 décembre 1982 | |
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Auteur | Message |
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arthur29923
Nombre de messages : 509 Date d'inscription : 08/07/2015
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Fév 2017 - 2:51 | |
| http://www.dhnet.be/archive/cinq-ans-ferme-pour-lucien-vial-51b7f2f3e4b0de6db99b0054
CHARLEROI Lucien Vial, un négociant en vins de 72 ans, a été condamné à cinq ans de prison ferme, hier, par le tribunal correctionnel de Charleroi. L'individu était en effet poursuivi pour un vaste trafic d'êtres humains au départ de la Roumanie. On lui reprochait également l'exploitation de la prostitution de jeunes Roumaines, trois viols, ainsi que d'avoir permis le séjour illégal de plusieurs personnes en Belgique, tout en les mettant au travail en profitant de leur situation vulnérable. Rien que ça. Au travers d'opérations caritatives et d'un intermédiaire roumain, (...) Il avait exploité des Roumains à l'Hôtel de France de Loverval
Le prévenu semblait vouloir "former" ces jeunes femmes en leur "apprenant par exemple à faire des fellations". Sans oublier ces chambres avec miroir aux plafonds
http://www.observatoirecitoyen.org/spip.php?article629 En première audience, Lucien Vial a tout nié en bloc : « {Je me suis rendu à plusieurs reprises en Roumanie avec Médecins Sans Frontière. Les filles me sollicitaient :
Né en France (Les Halles, Rhône) en 1935, il se fait connaître des autorités judiciaires françaises (entre 1960 et 1970) pour faits de mœurs, proxénétisme et vols. Installé en Belgique, dans la région de Walcourt, il entamme une double vie de négociant en vin (il fournit essentiellement les restaurants) et de violeur en série. {{1983, juillet}} : plainte déposée par la maman d'une jeune fille qui sera confrontée à son agresseur dans les locaux de la gendarmerie de Charleroi. Le dossier est resté sans suite. {{1983, septembre}} : Vial bénéficie d'un non-lieu suite à une plainte déposée par une autre jeune fille qui déclare avoir été menacée de représailles. {{1983, novembre}} : Dossier ouvert et transmis au Parquet de Namur pour débauche de mineur. Sans suite connue. {{1986}} : plainte déposée par Catherine L. pour viol. Ce dossier montre que Vial se fait aider d'un complice, un certain Paolo D. Sans suite connue. {{1986}} : plainte déposée pour viol par Daphné R. Seul dossier qui aboutira à une condamnation de Vial, le 24 octobre 1989 (Charleroi). Il restera cependant en liberté après sa condamnation. En tout, il aura fait 59 jours de préventive. {{1986}} : plainte déposée par Patricia D. Non-lieu. {{1986}} : du 16 décembre 1986 au 7 janvier 1987, puis du 27 janvier au 13 février 1987, Vial est détenu à la prison de Jamioulx, dans la cellule contiguë à celle de Dutroux. Ils vont au préau ensemble. {{1988}} : plainte d'une jeune fille (Parquet de Bruxelles) contre Vial et des complices qui prennent des photos. Classement sans suite. {{1989}} : plainte d'une mineure contre Vial et son rabatteur, un certain Didier. Elle déclare avoir été l'objet d'un chantage afin de se prostituer avec des clients désignés par Vial. Sans suite connue. {{1989, 21 mai}} : Deux jeunes filles (Laurence B., 16 ans, et Sylvie E., 17 ans) sont emmenées par un rabatteur de Vial, Paolo D. Un témoin, ami des jeunes filles, Pascal, prend le numéro de la voiture et téléphone à la gendarmerie. Les deux jeunes filles sont droguées et violées dans un hôtel à Rosée. Des photos sont prises. Une d'elles parvient à s'échapper. Les deux hommes sont arrêtés (Prison de Jamioulx). Le jeune homme témoin fait une déposition à la BSR de Charleroi. Le surlendemain, deux jours après le viol, Lucien Vial et Paolo D., sont libérés. Le 4 juin 1989, Pascal, le témoin, est retrouvé mort sur un trottoir de Charleroi. « Overdose », conclut le parquet qui ferme le dossier. {{1989, 25 mai}} : autre plainte, encore, déposée par Nathalie M. qui dénonce une tentative de viol sur une mineure. Sans suite connue. {{1989 }}: plainte pour grivèlerie déposée au Parquet de Charleroi. Classé sans suite. {{1991, 18 mars}} : Dossier ouvert par le Parquet de Charleroi pour débauche de mineures. Transmis au Parquet de Namur, le dossier est resté sans suite connue. {{1991, 8 mai}} : arrestation de Lucien Vial après un viol commis avec un autre rabatteur, Mohamed I. (même modus operandi que pour le double viol de Rosée). {{1991, 18 juin}} : Séjour de L. Vial à la prison de Saint-Gilles (6 jours), suivi d'un traitement psychiatrique à Auvelais (3 mois). Vial se tient à carreau : deux procès lui pendent au nez. {{1993, 6 mars}} : La Chambre des mises en accusation de Liège renvoie les deux rabatteurs, Paolo D. et Mohamed I., en correctionnelle. Lucien Vial, lui est déclaré « irresponsable » et fera simplement deux mois en défense sociale ! {{1993}} : dossier ouvert contre L. Vial pour vol qualifié. Classé sans suite par le Parquet de Charleroi. {{1995}} : Arrestation de L. Vial en France avec trois prostituées roumaines, dont une mineure d'âge. Les enquêteurs démontrent un trafic d'êtres humains avec complicités en France et en Allemagne. {{{Un dossier Vial dans l'affaire Dutroux}}} |Un certain nombre de témoignages postérieurs à l'arrestation de Dutroux forcent les enquêteurs à ouvrir un dossier d'enquête spécifique concernant Lucien Vial. Nom de code « raisin », dossier 139/96 de Neufchâteau. {{1996, 23 août}} : Nathalie B., qui avait déjà porté plainte contre Vial, en 1983 pour viol, fait une déposition à la PJ de Dinant : elle est formelle pour dire avoir vu Nihoul et Vial ensemble. (Elle reconfirmera son témoignage le 21 mars 1997)
{{1996, 30 août}} : un rapport de la BSR de Charleroi mentionne que « dans le milieu carolo, il est connu que Vial fréquentait Niltoul. Ils ont été vus ensemble au {Carré blanc}. Le nom de cet établissement a également êté cité dans le dossier Dutroux en rapport avec un témoignage selon lequel Julie et Melissa y avaient été vues. Le juge Langlois n'a pas accepté de donner de mandat de perquisition pour que l'endroit soit visité. Le rapport du 30 août 1996 précise que selon un « contact info », Vial « {paye 50.O0O à 60.000 francs pour des jeunes filles} ». Quelques jours plus tard, les enquêteurs de l'antenne « Neufchâteau » de la BSR de Bruxelles reçoivent le témoignage d'un ancien détenu à la prison de Jamioulx disant avoir revu Dutroux et Vial ensemble dans un établissement bien connu de Charleroi. {{1996, 14 octobre}} : dessaisissement du juge Connerotte qui avait envisagé des perquisitions chez Vial. Idée que le juge Langlois ne poursuivra pas. {{1997, 9 janvier}} : il est établi par les enquêteurs que Vial est en contact avec un souteneur connu, dans le quartier nord de Bruxelles. {{1997, 18 mars}} : témoignage d'un ami de Diakostavrianos aux enquêteurs de la BSR. « {Un garagiste de Charleroi, nommé (...), qui connaît Vial m'a dit que Vial tournait des cassettes pornos avec adultes et avait organisé une soirée dans un château avec certaines personnalités connues...} » {{1997, 18 avril}} : Les enquêteurs de Neufchâteau reçoivent un nouveau témoignage d'une victime de Vial en 1987, qui signe sa déclaration en disant avoir peur de représailles. Le même jour une autre femme, violée par Vial lorsqu'elle avait 15 ans, fait une déposition en rappelant ce qu'elle avait déjà dit à la BSR de Philippeville en 1987 : « {Vial est connu pour rechercher des filles de 15, 16 ans... ». } {{1997, 11 juillet}} : sur recommandation du commandant BSR Jean-Luc Duterme, le juge Langlois ordonne une relecture du dossier « raisin » 139/96. Quinze jours après, l'adjoint de Duterme estime « {qu'il est inutile d'enquêter plus avant sur Vial} ... ». {{1997, 30 juillet}} : un rapport confidentiel adressé au Procureur Bourlet et au directeur opérationnel de l'antenne « Neufchâteau » de la BSR de Bruxelles, explique qu'un informateur a déclaré que « {Vial « tient » des gens haut placés par des photos faites à leurs dépens lors de soirées organisées à sa villa avec des filles mineures...} ». Dernier acte d'un dossier qui reste, en principe, toujours ouvert!| {{2003, 10 octobre}} : Lucien Vial est arrêté et plusieurs ressortissants roumains découverts dans son hôtel, comme travailleurs en noir et en séjour illégal. Une instruction est ouverte. Au début d'octobre, une lettre anonyme avait été adressée à la police locale de la zone Germinal dénonçant un certain L. Vial, négociant en vin et tenancier de l'Hôtel de France, chaussée de Philippeville, à Charleroi, pour trafic d'êtres humains dont les victimes étaient de jeunes roumaines. Il s'est avéré plus tard que cette lettre avait été écrite par un témoin direct : Alain V., cuisinier à l'Hôtel de France.
Vendredi 6 décembre 1996
Meurtre mystérieux
Un restaurateur tué de deux balles Mercredi, vers 4 heures du matin, un restaurateur de Nalinnes a été abattu sur l'aire de Fromiée, située peu après la sortie de Luttre sur l'autoroute A 54 qui relie Charleroi à Bruxelles. Un meurtre particulièrement mystérieux qui laisse les enquêteurs de la PJ de Charleroi perplexes. Michel Piro, 50 ans, exploite un restaurant un peu particulier : «L'Arche de Noé», qui se trouve à proximité du carrefour du Bultia, à Nalinnes. C'est un véritable mini-zoo où l'on peut manger à quelques mètres des cages des lions et des tigres. Le restaurant jouit d'une certaine réputation dans la région. Ce mercredi, Michel Piro et son épouse, Véronique Laurent, 36 ans, prennent très tôt, vers 3 h 30, la route de Bruxelles pour aller acheter des victuailles au marché matinal, en prévision d'un week-end chargé. Véronique prend le volant de la camionnette. Sur l'autoroute, elle est cependant prise d'un besoin pressant. Le couple décide de s'arrêter sur l'aire de Fromiée. Véronique descend, s'éloigne vers les buissons et perd la camionnette de vue. C'est alors qu'elle entend deux détonations. Elle revient précipitamment et découvre son mari mort, gisant dans son sang, au travers des sièges de la camionnette. Averties par la jeune femme, les forces de l'ordre ne tardent pas à arriver. Le meurtrier de Michel Piro n'a laissé aucune chance à sa victime, constatent-elles. Un premier projectile tiré à travers la vitre a fracassé l'épaule, le second l'a atteint sous l'oreille. Véronique Laurent n'a rien vu; tout au plus a-t-elle aperçu une voiture de teinte sombre et de grosse cylindrée s'éloigner. Un camionneur qui dormait dans son engin ne pourra lui non plus donner aucun renseignement précis sur ce véhicule. Michel Piro ne se connaissait pas d'ennemis, c'est du moins ce qu'affirment son entourage et son épouse. La victime avait, avant de se reconvertir dans la restauration, géré un «bar à filles», sur la N 5, à Loverval, à quelques kilomètres à peine de l'Arche de Noé. Faudra-t-il aller chercher dans ce passé un peu trouble du quinquagénaire des inimitiés coriaces qui auraient pu pousser quelqu'un au crime ? Les enquêteurs ne semblent pas privilégier, à ce stade de l'enquête, l'une ou l'autre piste. On a juste entendu l'épouse de la victime, témoin privilégié du drame. http://archives.lesoir.be/un-restaurateur-tue-de-deux-balles_t-19961206-Z0D14N.html -- LE MEURTRE DE MICHEL PIROT, QUI INTERESSAIT NEUFCHATEAU, ELUCIDE A CHARLEROI, LE PATRON DE L'ARCHE DE NOE ASSASSINE PAR SON...
MEGETTO,FRANCO
Page 18
Mercredi 26 novembre 1997
Le meurtre de Michel Pirot, qui intéressait Neufchâteau, élucidé à Charleroi
Le patron de l'Arche de Noé assassiné par son épouse
Le 5 décembre 1996, Michel Pirot, 50 ans, était abattu de deux balles tirées à hauteur de la tête sur l'aire de Fromiée, parking autoroutier situé le long de l'A 54 Charleroi - Bruxelles, à Luttre. Une exécution dans les règles, opérée dans des circonstances rocambolesques et que vient enfin d'élucider la police judiciaire de Charleroi.
Michel Pirot était le patron d'un restaurant, l'Arche de Noé, à Malines, qui a la particularité d'héberger une véritable ménagerie exotique - le détail a son importance. Son épouse, Véronique Laurent, 36 ans, exploitait le restaurant avec lui. Le jour du drame, le couple avait pris la route de Bruxelles pour aller au marché matinal, faire le plein de victuailles.
Sur la route, Véronique Laurent avait prétexté un besoin urgent pour s'arrêter à Fromiée. Elle s'était éloignée du véhicule, avait-elle expliqué, et avait entendu deux détonations.
A son retour, son mari était mort; une voiture de grosse cylindrée s'en allait. Pour les enquêteurs, dirigés par le commissaire Jean Laitem, l'histoire était cousue de fil blanc. Et la veuve joyeuse, qui n'avait même pas attendu l'enterrement pour ouvrir le restaurant, était le suspect numéro un. Restait à la faire craquer. L'enquête a duré. Ce qui a valu au commissaire Laitem des interpellations de la part du parquet de Neufchâteau, qui voyait dans cette affaire la patte de Dutroux : Pirot, disait la rumeur, avait des révélations à faire sur Julie et Mélissa.
ttp://archives.lesoir.be/un-restaurateur-tue-de-deux-balles_t-19961206-Z0D14N.html |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 20 Aoû 2017 - 19:43 | |
| - K a écrit:
- une recherche a été fait si VDE avait des dettes de jeu ....
il semble avoir emprunté des petites sommes à sa soeur mais c'est surtout aux impots qu'il devait beaucoup:200.000euro!
pour les connoisseurs de alibaba ; il faut écrire que un membre du personel du "chateau de Beersel a reconnu sur photo le viet-con comme (page 66) chauffeur fixe avec lequel VDE revenait souvent de bruxelles quand il avait raté son dernier train...
ce viet-con c'était celui qui était arreté devant le box de Hergé ds le parking beau site ,le Soir de Wavre quand ensemble avec ce fils de juge et BVD ils essayaient de charger un moto volé ds un camionette ds le parking beau site
mais les autres membres de personnel ne le confirment pas , dommage
et en plus le grand Jurion se plaignait que la BSR de Halle venait poser trop de questions inutiles sur
"la personne " qui habitait là -haut .....
il s'en foutait ?
de son coté l'aide n' était pas époustouflant
tiens , tiens où on a entendu cela aussi .......à Wavre ! Bonsoir K? Je suppose que par "viet-con", vous voulez dire un "asiatique" ??????????? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Lun 21 Aoû 2017 - 7:12 | |
|
Dernière édition par K le Ven 21 Fév 2020 - 12:08, édité 1 fois |
| | | Ben
Nombre de messages : 60 Localisation : Antwerpen Date d'inscription : 11/01/2007
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Lun 21 Aoû 2017 - 13:05 | |
| - CS1958 a écrit:
- Je suppose que par "viet-con", vous voulez dire un "asiatique" ???????????
C'est Ton Quang Loc. Voir aussi: http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1478 |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Lun 21 Aoû 2017 - 13:22 | |
| - Ben a écrit:
- CS1958 a écrit:
- Je suppose que par "viet-con", vous voulez dire un "asiatique" ???????????
C'est Ton Quang Loc. Voir aussi: http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=1478 Merci Ben. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21423 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Ven 27 Oct 2017 - 10:47 | |
| https://www.hln.be/sport/voetbal/belgisch-voetbal/hoe-de-bende-van-nijvel-ook-het-belgisch-voetbal-op-grondvesten-deed-daveren~a10be57b/
Hoe de Bende van Nijvel ook het Belgisch voetbal op grondvesten deed daveren
Sven Spoormakers 27 oktober 2017 06u16
Belgisch Voetbal Met de moord op conciërge José Vanden Eynde in ‘Auberge du Chevalier’ in Beersel deed de Bende van Nijvel ook het Belgische voetbal op z’n grondvesten daveren. Speurders vonden in het restaurant immers ook de zwarte boekhouding van Jef Jurion, en dat markeerde het begin van het grote omkoopschandaal tussen Standard en Waterschei.
Jef Jurion was behalve beheerder van de ‘Auberge’ in die jaren ook voetbalmakelaar. Onder anderen Alex Czerniatynski was een speler uit zijn portefeuille, en toen de speurders de woning van Jurion doorzochten, vonden ze bewijzen dat er bij Czernia’s transfer van Antwerp naar Anderlecht behoorlijk wat zwart geld gemoeid was. Brussels onderzoeksrechter Guy Bellemans, belast met het onderzoek naar de moord op Vanden Eynde, beet zich vervolgens vast in de zwartgeldcircuits in het voetbal en dankzij de zwarte boekhouding van Jurion vond hij bewijs na bewijs én zelfs de hele frauduleuze boekhouding van Standard. Aan de titel van de Luikse club in 1982 bleek een luchtje te hangen: op aandringen van trainer Raymond Goethals overtuigde kapitein Eric Gerets zijn kameraad Roland Janssen bij Waterschei om in de beslissende match niet al te zeer z’n best te doen - bij een gelijkspel was Standard kampioen. In ruil mochten de spelers van Waterschei de winstpremies van Standard onder elkaar verdelen.
Na het onderzoek volgden in 1984 al snel bekentenissen, waarna spelers als Gerets en Janssen een jaar geschorst werden. Michel Preud’homme, Jos Daerden, Walter Meeuws, Simon Tahamata en andere betrokkenen kwamen er met een speelverbod van negen maanden vanaf.
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| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Ven 27 Oct 2017 - 13:19 | |
| - HERVE a écrit:
https://www.hln.be/sport/voetbal/belgisch-voetbal/hoe-de-bende-van-nijvel-ook-het-belgisch-voetbal-op-grondvesten-deed-daveren~a10be57b/
Hoe de Bende van Nijvel ook het Belgisch voetbal op grondvesten deed daveren
Sven Spoormakers 27 oktober 2017 06u16
Belgisch Voetbal Met de moord op conciërge José Vanden Eynde in ‘Auberge du Chevalier’ in Beersel deed de Bende van Nijvel ook het Belgische voetbal op z’n grondvesten daveren. Speurders vonden in het restaurant immers ook de zwarte boekhouding van Jef Jurion, en dat markeerde het begin van het grote omkoopschandaal tussen Standard en Waterschei.
Jef Jurion was behalve beheerder van de ‘Auberge’ in die jaren ook voetbalmakelaar. Onder anderen Alex Czerniatynski was een speler uit zijn portefeuille, en toen de speurders de woning van Jurion doorzochten, vonden ze bewijzen dat er bij Czernia’s transfer van Antwerp naar Anderlecht behoorlijk wat zwart geld gemoeid was. Brussels onderzoeksrechter Guy Bellemans, belast met het onderzoek naar de moord op Vanden Eynde, beet zich vervolgens vast in de zwartgeldcircuits in het voetbal en dankzij de zwarte boekhouding van Jurion vond hij bewijs na bewijs én zelfs de hele frauduleuze boekhouding van Standard. Aan de titel van de Luikse club in 1982 bleek een luchtje te hangen: op aandringen van trainer Raymond Goethals overtuigde kapitein Eric Gerets zijn kameraad Roland Janssen bij Waterschei om in de beslissende match niet al te zeer z’n best te doen - bij een gelijkspel was Standard kampioen. In ruil mochten de spelers van Waterschei de winstpremies van Standard onder elkaar verdelen.
Na het onderzoek volgden in 1984 al snel bekentenissen, waarna spelers als Gerets en Janssen een jaar geschorst werden. Michel Preud’homme, Jos Daerden, Walter Meeuws, Simon Tahamata en andere betrokkenen kwamen er met een speelverbod van negen maanden vanaf.
Pourquoi cela sort maintenant ? Un hasard ? Une pierre à l'édifice pour l'épisode de l'auberge ? Difficulté de ma part avec la traduction ? |
| | | AS1987
Nombre de messages : 96 Date d'inscription : 20/10/2017
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Ven 27 Oct 2017 - 13:22 | |
| Faire du clic et rapporter du fric au site du journal Het Laatste Nieuws, qui aime le sensationnalisme et le foutbal, comme ses nombreux lecteurs. |
| | | Hoho
Nombre de messages : 1024 Date d'inscription : 17/10/2010
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Ven 27 Oct 2017 - 13:24 | |
| @AS1987 : probable, j'ai été très surpris hier de voir que la DH.be faisait de la pub payante sur google pour mettre en avant ses articles sur les TBW... Les morts sont semblent ils un bon investissement |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8620 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Sam 11 Nov 2017 - 20:48 | |
| Selon cet article, Mendez aurait cherché des informations sur le meurtre de l'Auberge.
http://objectifsecurite.be/objectif-s-curit/tbw-les-cavernes-oubli-es-d-ali-baba.html
TBW : Les cavernes oubliées d'Ali Baba
De nombreuses personnes impliquées de près ou de loin dans le dossier des tueurs du Brabant wallon décèdent : accidents, maladies, cancers, crises cardiaques, AVC, méningites saignolantes, meurtres, vieillesse etc….
La raison aurait voulu que les archives personnelles de ces personnes soient sauvées et les données analysées en détail. Elles auraient pu apporter un éclairage intéressant sur une série de crimes sans auteur. Il est très rare que les personnes ne laissent pas de petites notes manuscrites dans leur agenda, dans les livres qu’ils lisent etc…. Bizarrement, dans l’affaire des TBW, aucun document archivé n’est sauvé ou saisi chez les personnes concernées. Pire, dans au moins un des cas, un grand coffre rempli de documents divers est resté longtemps à la disposition de la justice.
Pourtant, le défunt propriétaire de ces archives était un ex-membre de l’OAS, dissident du SAC. Il éprouvait une profonde sympathie pour le régime de Franco et tout comme Echo Bravo, il était un pote de Léon Degrelle.
Finalement, Mike Fox, le nouvel occupant de l’auberge où se trouvait, peut être la montre en or, aurait tout brulé sans en prendre connaissance.
En 1985, Juan Mendez a frappé à la porte de Mike Fox. Il tentait de se renseigner en posant des questions du genre :
Puis-je visiter la cave ? Avez-vous cubé l’auberge pour connaitre s’il n’existe pas une cache dissimulée ? Savez-vous qu’il a été torturé afin qu’il révèle sa cachette où sont dissimulés les diaments et les armes ? Et les vêtements, les avez-vous jetés ? Avez-vous vérifié si aucun document ne se trouvait dans les poches ? Avez-vous l’adresse où se cache le fils de la victime ? Ect….
Est-ce parce que Mendez enquêtait sur ce meurtre et le vol d’armes dont il avait été victime qu’il a été abattu ?
Juan Mendez fréquentait pratiquement toutes les personnes citées dans le dossier TBW et il existe vraisemblablement un lien entre son meurtre et ses fréquentations !
On peut imaginer que Mendez ai décidé de faire des révélations. C’est que quelques jours avant son meurtre, il avait prétendu détenir des notes compromettantes sur le vol des armes dont il avait été victime et il laissait entendre qu’il connaissait l’identité des tueurs. Il voulait en parler à une de ses collègues, la rencontrer très rapidement. Rendez-vous est pris pour le 04 janvier. Paniquée, la jeune femme reporte l’entrevue et informe sa hiérarchie.
Juan Mendez ne fera jamais ses confidences. Le 07 janvier 1986, il est exécuté de 6 balles tirées à bout portant. Le tueur a tiré 4 balles dans la tête et 2 dans la poitrine. Les munitions utilisées sont introuvables en Belgique, des SILVER TYP.
Comment aussi savoir, pourquoi Juliette Golf craignait qu’on ne relie ce meurtre aux TBW. Allant jusqu’à dire : Ce meurtre n’a rien à voir avec ce qui s’est passé dans le Brabant wallon. Mettre votre nez dans cette affaire et vous le regretterez. Otant ainsi toute envie à la presse et aux enquêteurs d’établir un possible lien entre les 2 affaires.
Que faut-il penser qu’en un homme public très important dit : l’identité des tueurs m’est bien connue ou encore, 30 victimes pour sauver l’Europe, ce n’est pas cher payé. Bizarre raisonnement non ?
Avant qu’il ne soit trop tard, ne serait-il pas judicieux de voir ce qui peut encore être récupéré dans les archives des personnes défuntes, qui ont été impliquées dans ce dossier.
Dans le dossier TBW, la porte d’entrée semble grande ouverte en façade, mais est solidement cadenassée de l’intérieur et ce n’est pas demain qu’elle s’ouvrira !
Plus le temps passe, plus je réalise que le silence est une extraordinaire arme pour dissimuler ou tuer la vérité. Et il possède une alliée aussi redoutable perverse que lui : la disparition de tout ceux qui détiennent une petite pièce du puzzle, ce qui conduit irrémédiablement à l’impasse et à l’oubli. Les crimes des tueurs du Brabant wallon et les mystères qui les entourent en sont l’illustration parfaite.
Léon ROUFOSSE _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Sam 11 Nov 2017 - 21:15 | |
| Il est évident que José Vanden Eynde n'a pas été déshabillé, attaché sur son lit, molesté et brulé à la cigarette pour lui faire avouer ou se trouvait le gibier et les assiettes dans l'auberge.
Cordialement
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| | | Frédéric
Nombre de messages : 1371 Age : 56 Localisation : En vadrouille Date d'inscription : 12/05/2012
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Sam 11 Nov 2017 - 21:50 | |
| Soit il s'agit d'un meurtre gratuit lié au cambriolage, soit le cambriolage sert de façade à un règlement de comptes. Le concierge pouvait détenir des pièces confirmant des malversations, peut-être financières liées à la gestion d'une association ou d'un club sportif. Ou politiques, bien sûr, si ce concierge était lié à l'extrême-droite espagnole ou belge depuis des décennies. Souvent des histoires de trahison, qui mènent des individus en prison ou autres, et qui se terminent par des règlements de compte. Le concierge a peut-être été trop bavard, à un moment de sa vie. Très, très possible à mon avis. |
| | | Frédéric
Nombre de messages : 1371 Age : 56 Localisation : En vadrouille Date d'inscription : 12/05/2012
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:16 | |
| Revenons sur les motivations qui ont poussé à cette équipée sanglante.
La première possibilité est celle d'un cambriolage de denrées et victuailles, ce type d'auberge disposant en général de réserves importantes notamment d'alcool, non périssable. Dans ce cas-là, il était difficile de ne pas savoir qu'un concierge habitait l'auberge. Le trio ou quatuor de la bande a du effectuer des repérages et observer une lumière à l'étage le soir, celle occasionnée par le concierge. Le cambriolage aurait alors été réalisé avec l'idée d'exécuter le concierge. On voit mal des individus comme B&B (Bouhouche) dans ce type de plan. Plutôt des manouches, ou des individus du quart-monde sans ressources et prêt à tout pour pas grand-chose. Ou bien, un individu pris de pulsions meurtrière, type tueur en série, et qui cherche une victime facile, et utilise le prétexte des victuailles de l'auberge pour agir avec ses complices. Le tueur pouvait aussi avoir besoin de ressentir son emprise sur le groupe, comme un gourou (et là, l'hypothèse "sectaire" aurait un argument).
La deuxième possibilité est celle d'un meurtre ciblé lié au passé de l'aubergiste. Lié à des phalanges espagnoles, il aurait gravité dans un milieu qui fonctionne avec le sens de l'honneur, avec un dérivé éventuel, celui de certains gitans andalous espagnols, qui sont susceptibles d'agir sur plusieurs générations pour régler un problème personnel, familial. Ex : un frère, un père lésé financièrement ou moralement. Il serait très difficile d'y voir clair dans cette optique pour des enquêteurs non initiés, non renseignés, car le motif peut être très ancien.
Je penche très subjectivement pour cette seconde hypothèse, que rien ne l'accrédite pourtant objectivement. Un mixte de ces deux hypothèses n'est de plus pas à exclure (cf affaire Sharon Tate : le gourou avait créé un corps expéditionnaire composé d'anonymes).
Dernière édition par Frédéric le Dim 12 Nov 2017 - 11:34, édité 1 fois |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:34 | |
| Bonjour Frédéric,
A partir du moment ou les tueurs font déshabiller ou déshabillent José Vanden Eynde, l'attachent au lit le frappent et le brulent à la cigarette, l'on peut penser qu'ils essayent de le faire parler. . . Souvenez-vous Guy Ergo et le joaillier d'Anvers dans une situation similaire à celle de José Vanden Eynde, le but était de lui faire cracher la combinaison des coffres. . .
Dans ce cas ci, on peut tout supposer, car nous ne possédons pas suffisamment d'éléments.
1) Des types qui viennent en connaissance de cause et savent ce qu'ils cherchent, et là il y a beaucoup de possibilités, ce qui n'exclut pas un profil à la beigier 2) Des types de passage, vagabonds crapuleux, comme vous le faites remarquer et qui supposent que José Vanden Eynde cache quelque chose.
Si c'est des voleurs qui revendent des aliments, alors ils ont trouvé suffisamment que pour ne pas à partir avec la cave à vin ( il y avait de l'argent là, et ils le laissent ) .
Ce qu'il est important de constater, c'est qu'ils mangent et trinquent après sur les lieux
>>>> Ils font la fête après la violence qu'ils préméditent, ils aiment et l'un et l'autre.
Cordialement Frédéric
|
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:41 | |
| - michel a écrit:
- Selon cet article, Mendez aurait cherché des informations sur le meurtre de l'Auberge.
http://objectifsecurite.be/objectif-s-curit/tbw-les-cavernes-oubli-es-d-ali-baba.html
TBW : Les cavernes oubliées d'Ali Baba
De nombreuses personnes impliquées de près ou de loin dans le dossier des tueurs du Brabant wallon décèdent : accidents, maladies, cancers, crises cardiaques, AVC, méningites saignolantes, meurtres, vieillesse etc….
La raison aurait voulu que les archives personnelles de ces personnes soient sauvées et les données analysées en détail. Elles auraient pu apporter un éclairage intéressant sur une série de crimes sans auteur. Il est très rare que les personnes ne laissent pas de petites notes manuscrites dans leur agenda, dans les livres qu’ils lisent etc…. Bizarrement, dans l’affaire des TBW, aucun document archivé n’est sauvé ou saisi chez les personnes concernées. Pire, dans au moins un des cas, un grand coffre rempli de documents divers est resté longtemps à la disposition de la justice.
Pourtant, le défunt propriétaire de ces archives était un ex-membre de l’OAS, dissident du SAC. Il éprouvait une profonde sympathie pour le régime de Franco et tout comme Echo Bravo, il était un pote de Léon Degrelle.
Finalement, Mike Fox, le nouvel occupant de l’auberge où se trouvait, peut être la montre en or, aurait tout brulé sans en prendre connaissance.
En 1985, Juan Mendez a frappé à la porte de Mike Fox. Il tentait de se renseigner en posant des questions du genre :
Puis-je visiter la cave ? Avez-vous cubé l’auberge pour connaitre s’il n’existe pas une cache dissimulée ? Savez-vous qu’il a été torturé afin qu’il révèle sa cachette où sont dissimulés les diaments et les armes ? Et les vêtements, les avez-vous jetés ? Avez-vous vérifié si aucun document ne se trouvait dans les poches ? Avez-vous l’adresse où se cache le fils de la victime ? Ect….
Est-ce parce que Mendez enquêtait sur ce meurtre et le vol d’armes dont il avait été victime qu’il a été abattu ?
Juan Mendez fréquentait pratiquement toutes les personnes citées dans le dossier TBW et il existe vraisemblablement un lien entre son meurtre et ses fréquentations !
On peut imaginer que Mendez ai décidé de faire des révélations. C’est que quelques jours avant son meurtre, il avait prétendu détenir des notes compromettantes sur le vol des armes dont il avait été victime et il laissait entendre qu’il connaissait l’identité des tueurs. Il voulait en parler à une de ses collègues, la rencontrer très rapidement. Rendez-vous est pris pour le 04 janvier. Paniquée, la jeune femme reporte l’entrevue et informe sa hiérarchie.
Juan Mendez ne fera jamais ses confidences. Le 07 janvier 1986, il est exécuté de 6 balles tirées à bout portant. Le tueur a tiré 4 balles dans la tête et 2 dans la poitrine. Les munitions utilisées sont introuvables en Belgique, des SILVER TYP.
Comment aussi savoir, pourquoi Juliette Golf craignait qu’on ne relie ce meurtre aux TBW. Allant jusqu’à dire : Ce meurtre n’a rien à voir avec ce qui s’est passé dans le Brabant wallon. Mettre votre nez dans cette affaire et vous le regretterez. Otant ainsi toute envie à la presse et aux enquêteurs d’établir un possible lien entre les 2 affaires.
Que faut-il penser qu’en un homme public très important dit : l’identité des tueurs m’est bien connue ou encore, 30 victimes pour sauver l’Europe, ce n’est pas cher payé. Bizarre raisonnement non ?
Avant qu’il ne soit trop tard, ne serait-il pas judicieux de voir ce qui peut encore être récupéré dans les archives des personnes défuntes, qui ont été impliquées dans ce dossier.
Dans le dossier TBW, la porte d’entrée semble grande ouverte en façade, mais est solidement cadenassée de l’intérieur et ce n’est pas demain qu’elle s’ouvrira !
Plus le temps passe, plus je réalise que le silence est une extraordinaire arme pour dissimuler ou tuer la vérité. Et il possède une alliée aussi redoutable perverse que lui : la disparition de tout ceux qui détiennent une petite pièce du puzzle, ce qui conduit irrémédiablement à l’impasse et à l’oubli. Les crimes des tueurs du Brabant wallon et les mystères qui les entourent en sont l’illustration parfaite.
Léon ROUFOSSE Qui est ce "Monsieur Léon " sorti de nulle part ? Aucune circonstances quant à des propos qui sont loin d'être anodins. Simple remarque en passant. |
| | | Frédéric
Nombre de messages : 1371 Age : 56 Localisation : En vadrouille Date d'inscription : 12/05/2012
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:43 | |
| Oui, dans tous les cas, ce sont des individus qui vivent dans un monde parallèle au nôtre. Autres référentiels, valeurs propres, désaxement complet ou partiel vis à vis de la société : remarqués par d'autres biais dans des logements collectifs. Trente ans après, ces caractéristiques demeureront intactes. |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:47 | |
| - Frédéric a écrit:
- Oui, dans tous les cas, ce sont des individus qui vivent dans un monde parallèle au nôtre. Autres référentiels, valeurs propres, désaxement complet ou partiel vis à vis de la société : remarqués par d'autres biais dans des logements collectifs. Trente ans après, ces caractéristiques demeureront intactes.
Des prédateurs au sens qui a été donné dés l'origine à ce mot ? (cf. notamment la question récurrente de @Roulio en bas de ses messages). |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 11:55 | |
| Définition prédateur : Un organisme vivant qui tue des proies pour s'en nourrir ou pour alimenter sa progéniture.
Peu importe leur origine sociale, leur fonction sociale ou pas, leurs motivation >>>> C'est des prédateurs et cela ne nous avance en rien de le savoir.
Cordialement
|
| | | Tahchak
Nombre de messages : 244 Date d'inscription : 23/10/2017
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 12:30 | |
| pourquoi 6 balles? Pour venger 6 victimes, ou une famille de 6 personnes, ou une personne parent de 6 enfants...Ou bien les cambrioleurs étaient 6. Que signifie le chiffre 6 ? |
| | | Tahchak
Nombre de messages : 244 Date d'inscription : 23/10/2017
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 12:36 | |
| les groupes sataniques usent ete abusent de ce chiffre 6 pour marquer de leur empreinte monuments et lieux de cultes des religions chrétiennes ou juives. |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 12:39 | |
| - Tahchak a écrit:
- les groupes sataniques usent ete abusent de ce chiffre 6 pour marquer de leur empreinte monuments et lieux de cultes des religions chrétiennes ou juives.
Je l'ignore mais "666" est le chiffre de la Bête. Nous voilà probablement bien loin du sujet |
| | | guy mayeu
Nombre de messages : 2021 Date d'inscription : 30/08/2016
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 12:50 | |
| @ Talchak,
José Vanden Eynde n'a pas été attaché en croix et il n'y avait aucuns signes cabalistiques sur place contrairement à ce genre de meurtres rituel, absence de bougies. . .Etc. . .
6 balles, c'est peut-être simplement 5 balles + une
Cordialement Talchak
|
| | | glen
Nombre de messages : 224 Date d'inscription : 11/12/2008
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 13:44 | |
| - Frédéric a écrit:
- Revenons sur les motivations qui ont poussé à cette équipée sanglante.
La première possibilité est celle d'un cambriolage de denrées et victuailles, ce type d'auberge disposant en général de réserves importantes notamment d'alcool, non périssable. Dans ce cas-là, il était difficile de ne pas savoir qu'un concierge habitait l'auberge. Le trio ou quatuor de la bande a du effectuer des repérages et observer une lumière à l'étage le soir, celle occasionnée par le concierge. Le cambriolage aurait alors été réalisé avec l'idée d'exécuter le concierge. On voit mal des individus comme B&B (Bouhouche) dans ce type de plan. Plutôt des manouches, ou des individus du quart-monde sans ressources et prêt à tout pour pas grand-chose. Ou bien, un individu pris de pulsions meurtrière, type tueur en série, et qui cherche une victime facile, et utilise le prétexte des victuailles de l'auberge pour agir avec ses complices. Le tueur pouvait aussi avoir besoin de ressentir son emprise sur le groupe, comme un gourou (et là, l'hypothèse "sectaire" aurait un argument).
La deuxième possibilité est celle d'un meurtre ciblé lié au passé de l'aubergiste. Lié à des phalanges espagnoles, il aurait gravité dans un milieu qui fonctionne avec le sens de l'honneur, avec un dérivé éventuel, celui de certains gitans andalous espagnols, qui sont susceptibles d'agir sur plusieurs générations pour régler un problème personnel, familial. Ex : un frère, un père lésé financièrement ou moralement. Il serait très difficile d'y voir clair dans cette optique pour des enquêteurs non initiés, non renseignés, car le motif peut être très ancien.
Je penche très subjectivement pour cette seconde hypothèse, que rien ne l'accrédite pourtant objectivement. Un mixte de ces deux hypothèses n'est de plus pas à exclure (cf affaire Sharon Tate : le gourou avait créé un corps expéditionnaire composé d'anonymes). Frederic,les auteurs ne savaient sûrement pas qu'un concierge y séjournait.L'auberge avait déjà été cambriolée, plusieurs vols (vol d'alcool et de victuailles)y avaient été perpétrer sans qu'il n'y ai aucun concierge.C'est suite à ces nombreux vols que le propriétaire demanda a Vanden Eynde de rester dormir au 1er étage pour surveiller l'auberge.Si ce sont déjà nos lascars qui sont passer plusieurs fois,il ne s'attendaient pas à trouver quelqu'un dans les lieux.Etonnés de trouver un gardien ils se sont peut être dit que, puisqu'on met un concierge,il y a autre chose a voler que de l'alcool et des victuailles et ce sont mis à le torturer.Ralant de ne pas avoir de réponses ils l'ont achever. |
| | | Frédéric
Nombre de messages : 1371 Age : 56 Localisation : En vadrouille Date d'inscription : 12/05/2012
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 13:52 | |
| C'est une autre possibilité effectivement. Reste que le fait de tirer autant de balles sur un concierge relève de la pathologie lourde, si elle n'est pas motivée par un motif de vengeance. |
| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 65 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 Dim 12 Nov 2017 - 14:10 | |
| "Reste que le fait de tirer autant de balles sur un concierge relève de la pathologie lourde" mais le cas, comme vous le savez n'est pas unique dans cette saga sanglante. Qui dit pathologie dans ce contexte interpelle en ce qui concerne les complices. Une fascination devant la puissance brutale et incontrôlée ? Il n'y a pas de désordre mental du même ordre chez les complices mais une abstraction totale du moindre sentiment humain intelligible. Dans une logique clanique et peut-être intra-familiale, puissions nous obtenir une réponse à pas mal de nos interrogations. Mais il me semble que ce travail d'analyse a déjà été réalisé à trois reprises n'est-ce pas ? |
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| Sujet: Re: Beersel, 23 décembre 1982 | |
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| | | | Beersel, 23 décembre 1982 | |
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