Assassinat du docteur Michel Delescaille

Je ne poste évidemment pas cette affaire par hasard...  

Le docteur Michel Delescaille  est assassiné le 5 novembre 1983 sentier de la rue de Rodeuhaie à Louvain-la-Neuve.

Il existe une plaque commémorative à l'endroit où son corps a été retrouvé.



Il s'agit d'une affaire assez étrange.

Le docteur Delescaille était généraliste à Watermael-Boitsfort.

Le 5 novembre 1983, le docteur est enlevé et conduit dans ce bois de Louvain-la-Neuve. Il y est torturé et tué sauvagement à coups de marteau (deux marteaux furent retrouvés). L'enquête ne donnera rien.

Il faudra attendre cinq ans pour qu'un couple de quinquagénaires apparemment sans histoire, petits indépendants de Assesse dans la province de Namur, fut arrêté. Ils furent condamnés à 20 ans de prison. Ils n'ont jamais avoué et n'avoueront jamais.

Ce couple avait un fils Philippe Rouaux, jeune étudiant qui suite à une déception amoureuse tomba dans une grave dépression nerveuse. C'est le docteur Delescaille qui s'occupait de lui et non un psychiatre. Le garçon ne se remit jamais et se suicida d'une balle dans la tête.

Les parents auraient rendu responsable le docteur Delescaille de la mort de leur fils et se seraient lancés dans cette expédition punitive dans l'intention de le tuer d'une manière très brutale.

Le jugement fut controversé à l'époque car il était difficile d'imaginer ce couple enlever et tuer sauvagement le docteur.

A noter que l'enquête fut menée par Jean-Luc Noël (PJ de Nivelles) qui s'occupait aussi des tbw. Le juge d'instruction était Christian Bayens (qui s'occupa aussi des tbw)...

A noter que le nom de Delescaille se retrouve dans l'enquête de la Bsr de Wavre sur le Wnp.

Un certain Alain Lecomte fut interrogé et déclara ceci : Vous me demandez si Paul Latinus et le docteur Michel Delescaille se connaissaient. Je vous répons qui je n'en sais rien. J'ai évidemment rencontré Latinus plusieurs fois après le meurtre de Delescaille, et cela n'a jamais été un sujet de discussion entre nous.

(...) Je ne sais faire aucun liaison entre Latinus, Delescaille, et Mireille Cracco, et je n'en vois d'ailleurs aucune. Je peux encore vous préciser que je n'ai jamais rencontré Paul Latinus sur le site universitaire de Louvain-la-Neuve. Je ne saurais vous préciser s'il se rendait parfois à cet endroit. PV 345, 4 mai 1984

A noter aussi le rôle du capitaine Rousseau dans cette affaire : https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t857-rousseau-jacques?highlight=Rousseau

Rappelons que ce capitaine Rousseau fut celui qui, dans l'assassinat du docteur Michel Delescaille, sauvera une jeune étudiante d'une erreur judiciaire en adoptant une procédure qui était assez particulière

Autre élément (à prendre avec des pincettes) : Michel Delescaille aurait bien connu une certaine Mireille Cracco qui va mourir d'une overdose alors qu'elle allait faire des révélations sur le meurtre Delescaille (de nouveau au conditionnel).

Autre déclaration de cet Alain Lecomte :

D'après le site NL et imazibraine


Dr. Delescaille had zijn praktijk in Watermaal-Bosvoorde, waar een jaar eerder de uitgebrande VW Santana van de Bende is teruggevonden. Watermaal was de eerstvolgende gemeente op traject van de vluchtauto, net na de schietpartij in Hoeilaart.

Volgens getuigen zouden bij die schietpartij gewonden of doden gevallen zijn aan de kant van de Bende. Heeft Delescaille er één verzorgd, ook gedurende de maanden daarna, en werd hij uiteindelijk uit de weg geruimd als lastige getuige? Nog iets verder richting Brussel, in het studiocomplex Immo 2000 werd die dag een hoop bloed gevonden in de gang op het gelijkvloers en op de eerste verdieping, waarvoor niemand een verklaring had ...

Traduction libre:

Le dr Michel Delescaille aurait pratiqué à Watermael à proximité de l'endroit où fut retrouvé un an plutôt la Santana brûlée (affaire dekaise). Selon des témoins il y aurait eut des blessés ou des morts parmi les membbres de la bande lors de la confrontation à Hoeilaart. Le dr Michel Delescaille aurait  peut-être soigné une de ces personnes blessées et le traitement aurait duré plusieurs mois voire un an. l'aurait-on tué pour supprimer un témoin gênant? ...
---
beaucoup de conditionnels et pas de de sources...

Il y a une discussion à ce sujet sur le fil https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2561-juges-etc-jean-vandendries

Dans ce fil je relève


capitaine buridan :


Victime des tbw oublié:

Michel delescaille est assassiné… officiellement par les parents d’un jeune en difficulté dont il
s’était occupé et qui s’est suicidé.
Toutefois, les experts (psychiatres notamment) sont formels pour dire que ces gens
n’avaient pas les capacités (intellectuelles, psychiques et matérielles) pour exécuter
Michel de la façon dont cela s’est passé. En effet, Michel a d’abord été kidnappé,
conduit dans un endroit où il fût torturé à mort et puis son cadavre a été déposé
ailleurs… (Cela, avec un sang-froid et un professionnalisme absolument pas dans les
cordes des pseudos coupables)
Il semble évident que si Michel a été torturé, c’était bien pour savoir s’il savait
certaines choses…
(En l’occurrence, Mireille cracco lui avait-elle confié ce qu’elle savait concernant les TBW…)
Le fait que des gens se soient accusés d’être les meurtriers de Michel prouve
l’implication de gens telle la Sûreté de l’État (voire la CIA)

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Willy-Nilly :

Juges etc..... Jean Vandendries Empty

Selon mes infos, le docteur Delescaille soignait les filles de Tuna-Lydia. Il devait savoir certaines choses. Apparemment Beijer est venu au secours d'un inculpé (du meurtre) manifestement innocent.
On parle aussi de Bouhouche.

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HERVE

Une lettre de François Raes à Walter de Bock :
https://i.servimg.com/u/f11/15/00/61/71/del11.jpg

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Sur ce dernier post de Herve on parle d'un docteur (honyme ou le même?) de Schaerbeek ou d'Evere

Sauf que Delescaille se déplaçait à domicile et venait soigner les étudiants logés à Immo 2000 où du sang gut retrouvé après l'agression Dekaise. Et cet endroit était fréquenté par un certain AJ complice de...

Évidemment, les enquêteurs sont passés à côté de cet AJ...Pas le profil recherché...

Beaucoup de conditionnel en effet, Human.

Né à Schaerbeek
Source

Au sujet de la lettre Raes, je comprends mal ou il parle du père Delescaille, lui-même docteur.

michel a écrit:

Au sujet de la lettre Raes, je comprends mal ou il parle du père Delescaille, lui-même docteur.

Il dit :" le fils de ce docteur aurait été assassiné et je ne sais pas par qui ni pourquoi"

Cela laisse supposer que le père de Michel était médecin aussi ou que François s'est trompé.

Le père de Michel s'appelle Charles Delescaille né le 12 mai 1920 décédé le 29 févr 2012.
Habitait probablement dans le quartier d'Helmet.

Ci-dessus,

michel a écrit:

...un certain AJ....

Vous voulez parler de A.A.F. (ou F.A.A) ?
(en espérant que vous et les lecteurs du forum compreniez ces initiales...)

x a écrit:

Ci-dessus,

michel a écrit:

...un certain AJ....

Vous voulez parler de A.A.F. (ou F.A.A) ?
(en espérant que vous et les lecteurs du forum compreniez ces initiales...)

Non il ne s'agit pas de Al Ajjaz. Chaque chose en son temps. Bonne soirée.

Voici ce que m'a dit une connaissance de Michel Delescaille :

Tout le monde un minimum au courant du dossier ne croit pas une seule seconde que ses prétendus assassins aient eu les capacités intellectuelles pour que les choses se soient passées comme elles se sont passées. Pourquoi les prétendus coupables auraient-ils commencé par le torturer ? si c'était une simple vengeance comme c'est dit... pourquoi commencer par le torturer?

Citation :

 si c'était une simple vengeance comme c'est dit... pourquoi commencer par le torturer?
 

Drôle de question Michel. . .Les personnes qui se vengent ne souhaitent pas du bien à la personne ciblée qui est ou qu'il pensent etre l'offenseur.

Vengeance définition : dédommagement moral de l'offensé par punition   de l'offenseur.


Ps : Je n'ai pas dit que le couple condamné était coupable.

Je vais y revenir plus tard mais une lettre anonyme a joué un rôle dans cette affaire. Cette lettre fut analysée par l'expert Guillaume, le même qui a désigné la compagne de Jean Bultot (de mémoire...) comme celle qui avait écrit les papiers abandonnés (ou un certain papier jamais publié où l'on trouvait les mots genou, centre de douleur)par la bande. Une contre-expertise demandée par Bultot n'est pas arrivée aux mêmes conclusions...

Guillaume est le quatrième personnage qui a joué un rôle dans l'affaire tbw et dans l'affaire Delescaille. Et tous les quatre se sont acharnés sur le couple condamné...

Autre chose : que vient faire le capitaine Rousseau dans cette enquête menée par la PJ?

En tapant Pierre Rouaux Delescaille, on tombe sur un article en anglais. Voici sa traduction :

Philippe Rouaux a eu quelques revers dans sa jeune vie. À 20 ans, il a tenté de se suicider quand une petite amie a rompu leur relation. Deux ans plus tard, l'étudiante en philosophie était éperdument amoureuse de Pascale Iserbiet, 20 ans.

Le couple attrayant a été fiancé lorsque, pour des raisons qui lui sont propres, Pascale a rompu ses fiançailles.

Philippe n’a pas bien accepté le rejet. Le 6 décembre 1982, alors qu'il était assis dans sa voiture, dans sa ville natale d'Assesse, en Belgique, il a pointé un fusil de calibre 22 sur sa tête, a appuyé sur la gâchette et a mis fin à ses jours.

Des détectives enquêtant sur l’apparence de suicide trouvèrent le fusil de Philippe étendu sur ses genoux. Son empreinte digitale droite était sur la gâchette. Ils ont également appris qu'il avait déjà tenté de se suicider et que trois membres de la famille de sa mère s'étaient suicidés. Affaire classée. Au moins pour le moment.

Le 5 novembre 1983, un incident non lié a eu lieu à Assesse lorsque le docteur Michel Delescaille a été porté disparu par son épouse Jacqueline. Elle a déclaré que son mari, un médecin généraliste et psychiatre âgé de 33 ans, avait reçu un appel téléphonique la veille au soir et s'était précipité hors de leur domicile en criant par-dessus son épaule que quelqu'un s'était cassé la cheville.

Lorsqu'il ne rentra pas chez lui, Jacqueline chercha Michel dans tout le village, mais ne trouva aucune trace de lui ou de son Opel Kadett.

Le destin du Dr Delescaille n’a pas été un mystère. En quelques heures, une joggeuse, Marie Angares, est tombée sur la voiture du médecin. Elle contourna le véhicule et vit le corps de Michel gisant dans la boue à une trentaine de mètres de la voiture. Marie a couru vers une ville voisine et a alerté la police. Bientôt des détectives de Namur, la grande ville la plus proche, ont repris l'enquête.

Un médecin examinant le corps a trouvé plusieurs blessures à la tête. Dans la boue près du corps, les détectives ont récupéré deux gros marteaux ensanglantés avec des cheveux adhérant aux deux.

De légères traces de pneus se trouvaient à côté de l'Opel, ce qui indiquait que les meurtriers étaient partis dans leur propre véhicule. Nul doute que l’appel téléphonique chez le médecin avait été une ruse pour l’attirer à la mort.

Qui aurait commis un tel crime? Jacqueline et Michel étaient heureux mariés. Les détectives ont fait des enquêtes discrètes. Jacqueline était totalement dévouée à son mari et à leurs deux enfants. Il n'y avait pas d'amoureux caché dans les coulisses. De même, Michel n'était impliqué dans aucune femme. Il n’y avait absolument aucune faille dans la vie conjugale du couple.

À la fin de l’enquête, la police décida d’interroger chacun des patients psychiatriques du Dr Delescaille au cas où l’un d’eux aurait pu entretenir une rancune réelle ou imaginaire à l’encontre du médecin.

Un seul n'a pas été interrogé, pour la simple raison qu'il était mort. Comme par hasard, Philippe Rouaux avait été l’un des patients de Michel.

Le médecin avait diagnostiqué chez Philippe un dépressif maniaque, ce qui a été plus ou moins confirmé lorsque le pauvre garçon s'est tiré une balle après s'être fait rejeter par sa fiancée. Par nature, la police est curieuse. Ils ont jeté un nouveau regard sur le suicide de Philippe et ont relevé des divergences surprenantes. Philippe était gaucher. Vous vous souviendrez peut-être que l'empreinte digitale sur la gâchette provenait de son index droit.

Curieusement, le rapport d'enquête indiquait que, même si Philippe s'était tué à l'intérieur d'un véhicule, aucun obus vide n'avait été retrouvé dans la chambre de l'arme. À l'époque, la coquille vide manquante avait été attribuée à une mauvaise manipulation de la part des enquêteurs.

Les détectives ont interrogé un des amis de Philippe, qui a déclaré que Philippe avait confié qu'il détestait son père et qu'il allait se tuer afin que son père ait une conscience coupable. Au moment du suicide apparent, on pensait que Philippe s'était suicidé du fait de la fin de ses fiançailles. Tout cela a permis de rouvrir l'affaire Philippe Rouaux.

Trois ans se sont écoulés depuis la mort de Philippe. Les policiers ont été surpris quand ils ont reçu une note anonyme accusant l'ex-fiancée de Philippe, Pascale Iserbiet, et son petit ami actuel, Georges Landry, d'avoir assassiné Philippe.

Pascale a été blessée et en même temps insultée, quiconque croirait qu'elle est impliquée dans la tragédie.

Elle avait un alibi hermétique au moment du décès de Philippe. Quant à Georges, il n’était même pas dans la région et ne connaissait pas Pascale à l’époque.

La police les a classés comme suspects, mais a activement cherché à savoir qui enverrait une telle lettre incriminante.

La lettre ayant été envoyée à Assesse, la police a montré l'enveloppe aux employés du bureau de poste. Effectivement, l’un des employés s’est rappelé avoir déjà vu l’écriture manuscrite, mais ne savait plus où.

La police a photocopié l'enveloppe et en a remis une copie à chaque employé. De cette manière, ils pourraient comparer l’écriture à n’importe quel autre courrier similaire qui leur serait transmis. Trois jours plus tard, des lettres arrivèrent au bureau de poste avec une écriture manuscrite correspondant à celle de l'enveloppe photocopiée. La lettre accusant Pascale et Georges avait été écrite par Pierre Rouaux, le père de Philippe.
La police les a classés comme suspects, mais a activement cherché à savoir qui enverrait une telle lettre incriminante.

La lettre ayant été envoyée à Assesse, la police a montré l'enveloppe aux employés du bureau de poste. Effectivement, l’un des employés s’est rappelé avoir déjà vu l’écriture manuscrite, mais ne savait plus où.

La police a photocopié l'enveloppe et en a remis une copie à chaque employé. De cette manière, ils pourraient comparer l’écriture à n’importe quel autre courrier similaire qui leur serait transmis. Trois jours plus tard, des lettres arrivèrent au bureau de poste avec une écriture manuscrite correspondant à celle de l'enveloppe photocopiée. La lettre accusant Pascale et Georges avait été écrite par Pierre Rouaux, le père de Philippe.

Quand Pierre a été interrogé. Il a reconnu avoir envoyé la lettre anonyme à la police dans laquelle il était indiqué que Pascale était responsable de la mort de son fils lorsqu'elle avait rompu leurs fiançailles. La police a expliqué que Pascale était peut-être indirectement responsable, mais que ce n'était pas une infraction pénale. En outre, la famille s'est suicidée et Philippe avait déjà tenté de se suicider avant de rencontrer Pascale.

Les personnes âgées de Rouaux ont été longuement interrogées. Finalement, lui et sa femme, Bernadette, ont rompu. Ils ont blâmé le Dr Delescaille, le psychiatre de leur fils, pour sa mort. Ce sont eux qui ont passé l’appel téléphonique au sujet de la cheville cassée. Tous deux avaient porté des coups à la tête du médecin avec les gros marteaux alors qu'il rampait dans la boue.

Le 29 mars 1988, Bernadette et Pierre Rouaux ont été reconnus coupables de meurtre et condamnés à 20 ans de prison. La mort suspecte de Philippe Rouaux n'a jamais été résolue.

Aaah ces traducteurs automatiques !....

1. Je devine que :
"Les personnes âgées de Rouaux ont été longuement interrogées. Finalement, lui et sa femme, Bernadette, ont rompu"
doive se lire :
Les parents de Rouaux ont été longuement interrogés. Lui [Pierre] et sa femme, Bernadette, ont fini par 'craquer' ?

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2. Je m'étonne de lire plus haut "Louvain-la-Neuve" pour les lieux de la découverte, tandis que l'article en Anglais parle d'enquêteurs dépêchés sur place depuis Namur. Or, des enquêteurs, nous le savons fort bien, il en existe à Wavre, par exemple...
N.B. je ne me pose pas la question du pourquoi des enquêteurs de Namur. Je me demande juste si l'article en Anglais n'a pas "dérivé" dans ses informations, quant à l'endroit de la découverte du corps du Dr D.

Ce n'est finalement probablement qu'une erreur sans importance significative.

x a écrit:

Aaah ces traducteurs automatiques !....

1. Je devine que :
"Les personnes âgées de Rouaux ont été longuement interrogées. Finalement, lui et sa femme, Bernadette, ont rompu"
doive se lire :
Les parents de Rouaux ont été longuement interrogés. Lui [Pierre] et sa femme, Bernadette, ont fini par 'craquer' ?

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2. Je m'étonne de lire plus haut "Louvain-la-Neuve" pour les lieux de la découverte, tandis que l'article en Anglais parle d'enquêteurs dépêchés sur place depuis Namur. Or, des enquêteurs, nous le savons fort bien, il en existe à Wavre, par exemple...
N.B. je ne me pose pas la question du pourquoi des enquêteurs de Namur. Je me demande juste si l'article en Anglais n'a pas "dérivé" dans ses informations, quant à l'endroit de la découverte du corps du Dr D.

Ce n'est finalement probablement qu'une erreur sans importance significative.

Le corps a bel et bien été découvert à LLN.

Le juge d'instruction était Bayens travaillant dans le Brabant wallon. Logique.

L'un des enquêteurs fut Noël (pj Nivelles).

Je n'ai pas très bien compris pourquoi une publication en anglais parle de cette affaire bien longtemps après les faits.

Bayens qui semble jouir d'une bonne réputation et qui critique ouvertement Deprêtre n'a -t-il pas vu que les 2 accusés n'étaient pas les coupables?

Personnellement, je ne vois pas ce qui peut exclure que les parents excédés soient passé à l'acte.

Pour ceux qui veulent gagner une étape pour consulter le document "original", voici le liens vers l'article en anglais:
https://www.pressreader.com/canada/the-western-star/20111206/281663956833015

A noter que la question reste ouverte de savoir pourquoi un journal hebdomadaire canadien publié à Terre-Neuve a publié cet article en 2011 ceci sans même indiquer que cela concernait un fait divers belge.  Comme l'article est disponible uniquement via une "app" de consultation de presse et sans avoir la possibilité de voir une vue de l'original du journal, il n'est pas possible de déterminer s'il faisait partie d'autres articles du même genre avec éventuellement une introduction.

Concernant le flou "géographique" de l'article (Assesse, lieu de découverte du corps non précisé, Namur comme la grande ville la plus proche), il ne faut pas oublié que cela a été publié au Canada, et à Terre-Neuve en particulier.
Terre-Neuve est près de 4 fois plus grande que la Belgique et avec une population 23 fois plus petite (moins de 500000 habitant contre les 11,5 millions enchez nous). Les quelques 17km entre Namur et Assesse, ou les 49km entre Assesse et LLN, pour un terre-neuva c'est du voisinage très proche.


Et vu que cette page est particulièrement pénible à consulter (mais qui met en place des interfaces aussi pourries?), en voici copie:
A noter une coquille dès le premier mot, "Philippe" étant écrit "Hilippe".
"Diagnosis bleak for doctor"  
The Western Star 6 Dec 2011

Hilippe Rouaux had a few reversals in his young life. At age 20, he attempted to take his own life when a girlfriend broke off their relationship. Two years later, the quiet philosophy student was madly in love with 20-year-old Pascale Iserbiet.

The attractive couple were engaged to marry when, for reasons of her own, Pascale broke off the engagement.

Philippe didn’t take the rejection well. On Dec. 6, 1982, while sitting in his car in his hometown of Assesse, Belgium, he pointed a .22 calibre rifle at his head, pulled the trigger and ended his life.

Detectives investigating the apparent suicide found Philippe’s rifle lying in his lap. His right index fingerprint was on the trigger. They also learned of his previous suicide attempt and that three members of his mother’s family had taken their own lives. Case closed. At least for the time being.

On Nov. 5, 1983, an unrelated incident took place in Assesse when Dr. Michel Delescaille was reported missing by his wife Jacqueline. She stated her husband, a 33-year-old general practitioner and psychiatrist, had received a phone call the previous evening and had rushed out of their home, shouting over his shoulder that someone had broken their ankle.

When he didn’t return home, Jacqueline went looking for Michel throughout the village, but could find no trace of him or his Opel Kadett.

Dr. Delescaille’s fate wasn’t a mystery for long. Within hours, a jogger, Marie Angares, came across the doctor’s car. She walked around the vehicle and saw Michel’s body lying in the mud some 30 feet from the car. Marie ran to a nearby town and alerted police. Soon detectives from Namur, the closest large city, took over the investigation.

A physician examining the body found multiple wounds to the head. In the mud near the body, detectives recovered two large bloody hammers with hair adhering to both.

There were faint tire tracks beside the Opel, which indicated the murderers had driven away in their own vehicle. No doubt the phone call to the doctor’s house had been a ruse to lure him to his death.

Who would have committed such a crime? Jacqueline and Michel were happily married. Detectives made discreet inquiries. Jacqueline was totally devoted to her husband and their two children. There were no lovers lurking in the wings. Likewise, Michel was not involved with any women. There was absolutely no flaw in the couple’s married life.

When the investigation wound down, police decided to interview each of Dr. Delescaille’s psychiatric patients in case one of them might have nurtured a real or imagined grudge against the physician.

Only one was not interviewed, for the simple reason he was dead. As luck would have it, Philippe Rouaux had been one of Michel’s patients.

The doctor had diagnosed Philippe as a manic depressive, which was more or less confirmed when the poor boy shot himself after being rejected by his fiancee. By nature, police are curious. They took another hard look at Philippe’s suicide and turned up some startling discrepancies. Philippe had been left handed. You may recall that the fingerprint on the trigger was from his right index finger.

Strangely enough, the investigative report indicated although Philippe had killed himself inside a vehicle, no empty shell had been recovered from the weapon’s chamber. At the time, the missing empty shell was attributed to mishandling by investigators.

Detectives interviewed one of Philippe’s friends, who said Philippe had confided he hated his father and was going to kill himself so his father would have a guilty conscience. At the time of the apparent suicide, it was believed Philippe had taken his life because of the termination of his engagement. All this served to reopen the Philippe Rouaux case.

Three years had passed since Philippe’s death. Police were surprised when they received an anonymous note accusing Philippe’s ex-fiancee, Pascale Iserbiet, and her current boyfriend, Georges Landry, of murdering Philippe.

Pascale was hurt and at the same time insulted anyone would believe she had anything to do with the tragedy.

She had an airtight alibi for the time of Philippe’s death. As for Georges, he wasn’t even in the area, nor did he know Pascale at the time.

Police wrote them off as suspects, but actively attempted to find out who would send such an incriminating letter.

Because the letter was mailed in Assesse, police showed the envelope to post office clerks. Sure enough, one of the clerks recalled having seen the handwriting before, but couldn’t remember where.

Police made photocopies of the envelope and gave a copy to each employee. In this way, they could compare the writing to any other similar mail which passed through their hands. Three days later, letters turned up at the post office with handwriting matching that on the photocopied envelope. The letter accusing Pascale and Georges had been written by Pierre Rouaux, Philippe’s father.

When Pierre was questioned, he admitted sending the anonymous letter to police stating that Pascale was responsible for his son’s death when she broke off their engagement. Police explained that Pascale may have been indirectly responsible, but that was not a criminal offence. Besides, suicide ran in the family and Philippe had attempted suicide before he ever met Pascale.

The elderly Rouaux under-went extensive questioning. Finally, both he and his wife, Bernadette, broke. They blamed Dr. Delescaille, their son’s psychiatrist, for his death. It was they who had made the phone call about the broken ankle. Both had rained blows to the physician’s head with the big hammers as he crawled in the mud.

On March 29, 1988, Bernadette and Pierre Rouaux were found guilty of murder and sentenced to 20 years’ imprisonment. The suspicious death of Philippe Rouaux has never been solved.

on retrouve cette article içi

https://pictouadvocate.com/wp-content/uploads/Archives/PDFs/Dec-07-2011.pdf