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| marc ou marco | |
| | Auteur | Message |
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sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:19 | |
| Un post sur internet:
Pour une fois, je suis d'accord avec vous. Est-ce d'ailleurs bien Marc Dutroux qui a enlevé Julie et Mélissa ? D'après les confessions qu'il a faites, ce sont bien Michèle Martin et Bernard Weinstein qui les ont enlevées. Marc Dutroux a été mis devant le fait accompli et aurait tout fait pour essayer d'arranger l'histoire. Je fais une parenthèse. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé lors de mon propre kidnapping. Michèle Martin, connue à l'époque sous un autre nom, en compagnie de certains de ses bons amis, a aidé en prétextant des photos pour un spot pour le SIDA. Et certains idiots, dont moi, sont tombés dans le panneau (désolée pour l'appellation d'idiots mais nous la méritons tous). Marc Dutroux n'est arrivé qu'après et nous a aidés à nous en sortir, du moins une autre personne et moi. Si on ne l'avait pas eu, les autres nous tuaient. Je pense qu'il y a eu une certaine confusion étant donné qu'Il y avait bien dans la bande un autre Marc, qui a d'ailleurs son portrait dans les tueurs du Brabant wallon. Marc Dutroux, tout le monde l'appelait Marco et non Marc. Si je prends le jour de l'assassinat de Christine van Hees et que je compare les révélations de Régina Louf et ce que j'ai entendu et vécu moi-même, c'est cet autre Marc qui était présent avec un de ses copains. Malgré les dires de Régina, Marc Dutroux était dans l'impossibilité de se trouver sur place au moment du meurtre. Je reviens aux confessions de Marc Dutroux. Evidemment, la personne à qui il a parlé de Julie et Mélissa est décédée. Le nombre de témoins de l'affaire Dutroux qui sont décédés est effarant. Même les morts dites naturelles sont suspectes. Je parlais hier sur ce site d'un gars qu'on surnommait le Prince. Il a été tué devant un distributeur de billets de banque alors qu'il comptait témoigner dans l'affaire Dutroux. J'ai appris son décès en consultant un site sur l'affaire Dutroux.
Dernière édition par sinope le Ven 13 Nov 2015 - 16:12, édité 3 fois |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:21 | |
| Suite à cela j' ai fait une petite recherche et un personnage a retenue mon attention:
http://www.dhnet.be/archive/provocation-policiere-51b86993e4b0de6db9a4d7bf
Qui est
le mystérieux
Marco Sala?
BRUXELLES Marc (Marco) Saelen, appelé aussi Marco Sala, est un curieux personnage.
En juin 1996, c'est l'épilogue du procès Reyniers, l'un des meilleurs flics qu'ait connus ce pays, piégé par certains de ses indicateurs: devant la cour d'appel, l'imprudent Frans Reyniers est condamné à 10 mois de prison avec sursis.
L'un de ses informateurs patentés, Noël Gilissen, écope de 4 ans de prison et de 80.000F d'amende. Un parent de ce dernier, Marc Saelen, dit Marco, est condamné à deux ans de prison avec sursis et à 80.000F d'amende.
Deux ans plus tard, Marco Saelen réapparaît dans le sillage d'une série de sociétés plus ou moins bidon, actives notamment dans le domaine des GSM. Des GSM qui ont pour particularité de ne pas être très clairs et d'avoir été injectés dans un carrousel TVA. Avec l'aide d'hommes de main, dont le patron d'une firme MJM Création, installée à quelques centaines de mètres de la maison d'un certain Marc Dutroux, Marco Saelen attire auprès de lui des commerçants flamands auxquels il fournit de la marchandise à des prix défiant toute concurrence: tomberont dans ses filets le Courtraisien Ronald Van Petegem, le patron de la société All Euro Communications (AEC), ou les frères Tom et Walter Driessens de la firme TTI qui, outre un séjour en prison, perdront dans l'aventure une centaine de millions de francs.
Comme on l'imagine, Marco Saelen ne s'est pas attiré que des amis en agissant de la sorte. Certains d'entre eux ont voulu le rencontrer pour s'expliquer. Ils se sont fixé rendez-vous dans un hôtel et, subrepticement, une photo a pu être prise de l'homme qui s'était présenté comme étant Marco Saelen. Nous publions ce document.
Une chose est certaine, toutefois: l'homme photographié dans l'hôtel n'est pas Marco Saelen. Selon certaines sources dignes de foi, il pourrait même s'agir d'un undercover, un policier chargé d'infiltrer certains milieux, voire de les pousser à la faute. En droit, on appelle cela de la provocation policière
Dernière édition par sinope le Ven 13 Nov 2015 - 15:48, édité 2 fois |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:24 | |
| http://archives.lesoir.be/un-autre-mois-de-prison-pour-lagasse-de-locht_t-19900419-Z02L6M.html?queryand=Marc+Saelen&firstHit=0&by=10&when=-1&sort=dateasc&pos=2&all=7&nav=1
Toujours en marge de ces enquêtes, signalons enfin l'arrestation, à Louvain, par le juge Decoux, du beau-frère de Noël Gilisen (arrêté à Bruxelles par le juge Bulthé le 6 avril): il s'agit de Marc Saelen, inculpé d'exploitation d'une maison de débauche.
Dernière édition par sinope le Ven 13 Nov 2015 - 15:51, édité 1 fois |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:29 | |
| De son côté, Sonia Camps, la jeune femme proche du commissaire Reyniers et de son informateur Noël Gilissen (arrêté il y a quinze jours) exprime ses inquiétudes, dans un communiqué reçu jeudi.
Elle confirme connaître le chef de la PJ et Gilissen, sans que cela soit déshonorant. Elle conteste formellement l'inculpation de proxénétisme retenue à sa charge à l'issue de son interpellation, la semaine dernière, et craint que «des dénonciations calomnieuses dont il faudrait lui rendre compte n'égarent actuellement la Justice». Elle rappelle que les armes saisies dans le studio loué par Gillissen étaient légalement détenues.
Elle entend défendre son honneur, ses droits à une vie privée et demande que cessent «certaines formes de persécution»: filature constante de sa voiture, coupures de l'électricité et du téléphone sous prétexte administratif mystérieux, état de siège par des photographes, refus par toutes les firmes sollicitées d'obtenir la location d'un téléphone portatif».
Mesures qu'on dit étrangères à l'instruction judiciaire, dans les milieux concernés. |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:34 | |
| Une saisie d'armes
jette une nouvelle
ombre sur la PJ
Un coup de tonnerre et un coup dans l'eau dans ce qu'il est convenu d'appeler «les affaires» qui ébranlent, depuis un mois, la police judiciaire de Bruxelles. Coup de tonnerre: les perquisitions ordonnées, mardi, par le juge d'instruction Luc Maes ont débouché sur la découverte au domicile auderghemois de Sonia Cams, une relation du commissaire en chef Frans Reyniers, d'un stock de munitions, de six fusils d'assaut et de quatre armes de poing.
Entre-temps, des gendarmes de la BSR de Nivelles cherchaient à localiser Sonia Cams, 40 ans, une relation du commissaire en chef de la police judicaire de Bruxelles, Frans Reyniers, et une figure connue du milieu de la publicité, des relations publiques et de la distribution de films. ( memento: spot pub sida)
MARC METDEPENNINGEN.
Suite en neuvième page.
Une saisie d'armes jette
une nouvelle ombre sur la PJ
Voir début en première page.
Le salon de rencontre de l'avenue des Nénuphars, à Auderghem, accueillait dans la discrétion des personnalités du monde des affaires, de la publicité et de la politique. Il était également fréquenté par l'un ou l'autre journaliste et, jusqu'il y a peu, par des membres de la police judiciaire de Bruxelles... et des magistrats. Sonia Cams avait récemment emménagé dans une villa du boulevard du Souverain.
Dans la matinée de mardi, son domicile auderghemois avait été perquisitionné sur instruction du juge Maes. Le comptable de Sonia Cams, l'une de ses employées et certaines de ses relations proches figuraient au nombre des personnes «visitées», mardi, par les gendarmes de la BSR de Nivelles.
Une deuxième perquisition, effectuée l'après-midi, dans le pent-house occupé rue des Nénuphars par Sonia Cams allait se révéler productive. Les enquêteurs mirent, en effet, la main sur un arsenal soigneusement dissimulé: six armes de guerre (des fusils d'assaut), quatre armes de poing (dont un Beretta) et une quantité de munitions qualifiée d'«impressionnante».
Forts de cette découverte, les gendarmes se mirent à la recherche de Sonia Cams. Peu avant minuit, elle fut aperçue rue des Nénuphars. Elle tenta d'échapper aux gendarmes mais fut rapidement rattrapée. Emmenée rue de Louvain, dans les locaux de la BSR bruxelloise, elle fut invitée à accompagner les gendarmes jusqu'à Nivelles mais refusa cette proposition. Informé de ces réticences, le juge Maes a délivré, mercredi midi, un mandat d'amener. Sonia Cams devrait être transférée, ce matin, vers le cabinet du juge Maes.
Hier, les enquêteurs ont tenté d'établir la provenance des armes découvertes chez Mme Cams. L'ampleur du stock de munitions exclut toute utilisation à des fins sportives. Les pistolets et fusils d'assaut saisis appartiendraient à Noël Gilissen, l'un des deux informateurs limbourgeois de la PJ de Bruxelles placés sous mandat d'arrêt, vendredi dernier, par le juge d'instruction bruxellois Bulthé dans le cadre d'une vaste affaire d'escroquerie à la TVA, un «carrousel» portant sur plus de 70 millions de francs. Noël Gilissen et Frederick Klee auraient mis au point un système consistant à vendre fictivement plusieurs fois les mêmes véhicules en récupérant la TVA à chaque opération. Une même opération, portant sur du matériel hi-fi, aurait été organisée par les deux hommes, sous couvert de la société Mulectro Service. Leur mandat d'arrêt a été confirmé, mardi, par la chambre du conseil de Bruxelles.
L'instruction du juge Bulthé est alimentée par des témoignages faisant état de l'implication d'officiers de la police judiciaire dans cette escroquerie à la TVA. Un membre de la PJ bruxelloise désigne nommément le commissaire Reyniers (hospitalisé dans la région d'Anvers depuis hier) comme étant le «cerveau de cette affaire».
La brigade bruxelloise de la PJ exhale des relents de scandale qui se sont sensiblement renforcés, mardi, après la publication par le journal De Morgen d'informations mettant en cause l'un des chefs de section de la PJ, le commissaire Georges Marnette. Selon le journal flamand, ce commissaire et le commissaire en chef Frans Reyniers auraient couvert les activités délictueuses de Gilissen et Klee, pourtant dénoncées par un adjudant de la BSR d'Anvers. Une cabale montée contre le gendarme avec l'aide de deux prostituées aboutit, l'an dernier, à son arrestation. Il demeura cinq jours en prison avant d'être blanchi.
La découverte des armes de Gilissen au domicile de Sonia Cams fait s'entrecroiser les dossiers d'instruction des juges Maes (Nivelles) et Bulthé (Bruxelles). Leur concentration entre les mains d'un seul juge n'est pas exclue. Retenons enfin, pour l'anecdote, que les jardins de la villa de Sonia Cams, boulevard du Souverain, et celui du juge Bulthé sont pratiquement attenants.
Dernière édition par sinope le Ven 13 Nov 2015 - 15:53, édité 1 fois |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 15:37 | |
| Les hommes de Delta présentent un schéma qui ne convainc pas la commission
Tueries : les informations
qui fondent l'hypothèse De Staercke
Des indices sans preuves. Des liens vagues avec la bande Haemers, l'extrême droite et même les Borains.
Après l'ancien juge d'instruction de Termonde Freddy Troch, dessaisi en 1990 des dossiers de Tamise et d'Alost au profit de Charleroi, la commission d'enquête «bis » sur les tueries du Brabant a entendu, lundi soir et mardi, ses trois principaux enquêteurs de la cellule Delta, (avec «D» comme Dendermonde) créée après la tuerie de novembre 1985 à Alost.
Le colonel de gendarmerie Eric Sack, le commissaire de P.J. Alfons Van Rie et l'adjudant Collewaert restent convaincus de l'existence de liens entre les tueries et la bande de De Staercke (condamné à 20 ans pour hold-up, braquages et vols de voitures). Leur hypothèse est fondée sur les informations «douces» reprises dans le schéma du colonel Sack : De Staercke serait impliqué dans la tuerie d'Alost (dont il reste le seul inculpé), mais aussi dans celle d'Overijse, avec un autre de la bande, Serge Papadopoulos, le «géant» qui boite et qui correspond à une description donnée par un témoin d'Overijse.
De Staercke n'a pas d'alibi. Sa fille et sa maîtresse disent qu'il a fait des courses au Delhaize d'Alost peu avant la tuerie de novembre 1985. La nuit suivante, il aurait déposé une Samsonite (avec les armes d'Alost ?) chez Papadopoulos avant d'aller l'enterrer dans le bois de Pepingen, puis de la déterrer. Une Samsonite fut saisie en 1986. De Staercke, spécialiste en dénégations, prétend que la valisette ne contenait que de faux papiers et des bijoux. Mais, envoyée à l'analyse à Londres, la Samsonite livra une douille et des traces de poudre...
Les limiers de Delta ont d'autres indices : des propos tenus par De Staercke après Alost, selon des comparses; un manteau gris (vu par un témoin) pareil à celui retrouvé chez un complice. Et quelques coïncidences, comme la ligne de fuite des tueurs qui menait d'Alost vers Hal, la région de De Staercke. Mais pas assez pour étayer un dossier d'assises, admettent-ils.
DES LIENS, PAS DE PREUVES
Les hommes de Delta ont aussi trouvé des liens entre la bande De Staercke et celle de Patrick Haemers via Simone Menin, une ancienne fiancée, et via l'armurier Darville. Peut-être aussi un indice avec les masques de carnaval trouvés dans un box de la bande Haemers à Uccle. Et des liens avec l'extrême droite, via Jean Bultot (ex-directeur de prison...), Lammers (qui fut en contact avec Haemers), les ex-gendarmes Bouhouche, Beijer et Lekeu, le Front de la jeunesse, le groupe G, le WNP. Même des liens avec les Borains via Becker (cité dans le dossier de Tamise), Estievenart (en relation avec un cousin de De Staercke) et Nardella (dont la soeur fréquenta un de la bande de De Staercke). Le colonel Sack relie même De Staercke, l'intrigante Sonia Cams (du dossier Reyniers) et l'ancien magistrat Claude Leroy qui appartint au cabinet de Jean Gol. Ben voyons...
- De Gol on peut aussi passer à Wathelet, lance un député. Ne trouvez-vous pas que ce sont des liens assez... euh... déplorables ?
Clôturant son exposé, le colonel Sack a stigmatisé, sans l'expliquer autrement que par une mentalité bruxelloise méprisante pour la province, l'agressivité de trois officiers de la P.J. de Bruxelles, Franz Reyniers, Georges Marnette et Yves Zimmer.
Le procureur de Termonde, M. De Saeger, précise même avoir en personne téléphoné à propos de Bultot au procureur de Bruxelles Francis Poelman (aujourd'hui décédé) qui lui aurait répondu que Bultot était une personne honorable. Les trois enquêteurs du groupe Delta disent n'avoir jamais trouvé ailleurs qu'à Termonde une aussi bonne collaboration interpolices. Mais des gens comme Lekeu ou Bultot, tenus pour suspects par Termonde, étaient considérés comme des informateurs par les cellules d'enquête de Charleroi, de Bruxelles ou de Nivelles.
- Regrouper tous les dossiers à Charleroi, pensez-vous, comme on l'a dit et écrit, que cela signifiait condamner à l'échec l'enquête sur les tueries ?, demande alors Philippe Dallons.
Le colonel Sack reste prudent :
- Nous avions trouvé des liens. Pas de preuves. Je pense que ce fut une décision bureaucratique.
Perplexe, le président Van Parijs s'interroge à son tour :
- Vous aviez une vision et une stratégie. Vous cherchiez les exécutants et des liaisons. Mais, si on élimine De Staercke de votre hypothèse, il n'en reste pas grand-chose...
La démonstration de Termonde renvoie aux amalgames - l'hypothèse mafieuse - déjà développés par le substitut Jean-François Godbille. Par comparaison, il faut admettre que Nivelles avait, en 1985, plus d'éléments à charge des Borains, acquittés à Mons en 1988...
RENÉ HAQUIN |
| | | sinope
Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 06/10/2015
| Sujet: Re: marc ou marco Ven 13 Nov 2015 - 16:23 | |
| En septembre 2000, une société ayant pignon sur rue à Namur lui propose une exclusivité sur des nouveaux Nokia. Van Peteghem toujours à l'affût dit qu'il prend néanmoins les précautions d'usage, vérifie la société, s'informe auprès des banques, se décide et fait verser le montant convenu - 420.000 € - de son compte Dexia sur le compte BBL à Jambes des Établissements Machin. Tout part de là. Le ciel sur la tête ! La justice soupçonne un carrousel à la TVA. Van Peteghem proteste, on ne le croit pas. Le juge Coméliau l'arrête. Le mandat d'arrêt est léger; il ne tient que 19 jours. À sa sortie, Van Peteghem est invité à verser au fisc 1.129.063.137 de francs belges. Il cherche à comprendre. Et découvre, au fur et à mesure, que les gens qui lui proposaient les Nokia sous couvert de la société Machin sont des indics connus de la police fédérale. Un droit élémentaire, en Belgique, est la confrontation : Ronald Van Peteghem nous dit ne l'avoir jamais obtenu(e). Les années passent. Rien ne bouge. Fin 2006, ses avocats Sven Mary et Laurent Kennes, s'en prennent à cette instruction endormie. Non , répondent les juges : "L'instruction ne présente pas de retard ." Après 6 ans !
Donc Marc Saelen un indic qui tient une maison de debauche et adepte des carroussels? |
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