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 Alost, 9 novembre 1985

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Frédéric

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMer 30 Avr 2014 - 13:44

A propos des écoutes : aucune preuve n'a été apportée dans ce sens. Une simple déduction de faits (équipement important, capacité à esquiver les forces de l'ordre présentes autour du bois, profil para-miliaire possible).
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totor




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMer 30 Avr 2014 - 14:10

Frédéric a écrit:
A propos des écoutes : aucune preuve n'a été apportée dans ce sens. Une simple déduction de faits (équipement important, capacité à esquiver les forces de l'ordre présentes autour du bois, profil para-miliaire possible).

J'ai l'impression qu'on se perd en conjectures, car aucun indice ne va dans le sens d'écoutes par les tueurs.
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malvira

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMer 30 Avr 2014 - 14:55

totor a écrit:
Frédéric a écrit:
A propos des écoutes : aucune preuve n'a été apportée dans ce sens. Une simple déduction de faits (équipement important, capacité à esquiver les forces de l'ordre présentes autour du bois, profil para-miliaire possible).

J'ai l'impression qu'on se perd en conjectures, car aucun indice ne va dans le sens d'écoutes par les tueurs.

Un argument pour les écoutes:dans les voitures qu'ont a retrouver ils avaient souvent enlever la radio,peut être pour justement brancher un scanner?
Un argument contre les écoutes: si ils avaient eu un scanner ils auraient entendu que les gendarmes se retrouveraient chez torine et de ce fait n'aurait pas été se fourrer dans le bois à la même heure.
Bref,pour chaque détail,comme souvent d'ailleurs dans cette histoire,il y a à boire et à manger  Wink 
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totor




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMer 30 Avr 2014 - 15:32

malvira a écrit:
totor a écrit:
Frédéric a écrit:
A propos des écoutes : aucune preuve n'a été apportée dans ce sens. Une simple déduction de faits (équipement important, capacité à esquiver les forces de l'ordre présentes autour du bois, profil para-miliaire possible).

J'ai l'impression qu'on se perd en conjectures, car aucun indice ne va dans le sens d'écoutes par les tueurs.

Un argument pour les écoutes:dans les voitures qu'ont a retrouver ils avaient souvent enlever la radio,peut être pour justement brancher un scanner?
Un argument contre les écoutes: si ils avaient eu un scanner ils auraient entendu que les gendarmes se retrouveraient chez torine et de ce fait n'aurait pas été se fourrer dans le bois à la même heure.
Bref,pour chaque détail,comme souvent d'ailleurs dans cette histoire,il y a à boire et à manger  Wink 

Certains ici parlent de scanners portatifs qui existaient déjà à l'époque, pour les radios je pense surtout à une revente au marché noir, car ça valait une fortune à l'époque !
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ED2M




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyJeu 1 Mai 2014 - 7:34

S'ils avaient un scanner monté fixe dans leur voiture, ils auraient dû monter une antenne. Antenne pas discrète du tout vu sa taille. Les témoins n'auraient pas pu la rater et en auraient fait état.
Une radio-scanner portable est plus probable. Prix à l'époque: +- 10.000 FB. Cher mais certainement pas inaccessible.
Et il existait déjà des écouteurs type "oreillette" dont la mise en place coupait le haut-parleur...
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Frédéric

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 25 Mai 2014 - 10:14

Chronos a écrit:
C’est donc surtout lors de cette phase que vous devez être à l’écoute des communications des forces de l’ordre si vous en avez la possibilité ! Les tueurs ne l’étaient de toute évidence pas. Par conséquent, ils ne devaient pas l’être non plus pendant leur fuite.

Ils étaient bien informés à mon avis, comme tend à le montrer une succession de faits (le dernier hold-up ayant été réalisé après le départ des policiers du supermarché, par exemple) et devaient écouter les communications des forces de l'ordre pour leur échapper ensuite (pour la vague de 1985). Qui dit équipement en gilet pare-balle, dit équipement en système d'écoute.

Dans tous les cas, ce point, sujet à discussion, ne facilite pas l'identification de ces tueurs.
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Cusmenne Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 25 Mai 2014 - 11:07

un scanner portable de marque "Realistic" vendu à l'époque chez "Tandy" (tiens "Tandy",déja fournisseur pour d'autres éléments) avait une antenne de 20 cm, flexible....200 mémoires pour scanner toutes les fréquences GD, sans souci.......
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Cusmenne Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 25 Mai 2014 - 11:12

http://rigreference.com/en/rig/3884-RadioShack_Realistic_Pro_32 pas si difficile......Wink
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alain




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 25 Mai 2014 - 11:19

Cusmenne Claude a écrit:
un scanner portable de marque "Realistic" vendu à l'époque chez "Tandy" (tiens "Tandy",déja fournisseur pour d'autres éléments) avait une antenne de 20 cm, flexible....200 mémoires pour scanner toutes les fréquences GD, sans souci.......
Voir Buslik et ses gadgets ....detonateurs pour bombinettes  bom 
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Cusmenne Claude




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 25 Mai 2014 - 11:48

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CS1958




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptySam 4 Oct 2014 - 22:35

A lire ou relire, même avec Google trad.à partir de bende van Nijvel:


Bende van Nijvel
1982-1985
Feiten
Getuigenis frituuruitbater
Twee dagen na de aanslag in Aalst gingen de verdachten frieten eten
Bijna achtenveertig uur na de bloedige aanslag in Aalst door de Bende van Nijvel kreeg een frituuruitbater in Vilvoorde de bende van Philippe ‘Johnny’ De Staerke – de latere hoofdverdachte in het Bende-onderzoek – en zijn broer Léon over de vloer. “Ze kwamen binnen in commandostijl en waren heel gespannen en onrustig, alsof ze dachten dat ze gevolgd werden. Ik had de indruk dat ze uit een modderpoel kwamen gekropen – hun broek en schoenen zaten onder de modder. En ze hadden enorme honger.” Na vijfentwintig jaar duikt een nieuwe, interessante getuigenis op in het Bende-dossier.
Maandag 11 november 1985 is een mistige, sombere dag. In de goed draaiende Vilvoordse frituur van B.J. aan de rijksweg Brussel-Mechelen is al de hele dag abnormaal weinig volk geweest. Iedereen zit thuis op deze feestdag. Het land is ook in rouw na de overval, twee dagen eerder, op de Delhaize in Aalst. De beruchte Bende van Nijvel was er iets voor sluitingsuur met zware wapens binnengevallen en had daarbij acht mensen gedood. Ook B.J. heeft de recente overvallen met ontzetting gevolgd. Rond vijf uur ‘s avonds vertrekt zijn vriendin naar huis omdat B. het wel alleen af kan in de frituur, met zo weinig klanten.
“Ik stond uit het raam naar buiten te kijken, of er geen klanten op komst waren. Iets voor zes uur zag ik uit de richting van Brussel een BMW komen. Hij reed traag voorbij, de inzittenden keken in mijn richting, iets verder draaide hij zich om en keerde terug. De BMW, serie 5, werd naast de frituur geparkeerd. Door het achterraam van de frituur zag ik vijf mannen uitstappen. Het was een heel mooie wagen, in van dat blinkend Ferrari-rood.”
“Binnen bleven ze niet bij elkaar zitten, zoals groepjes dat gewoonlijk doen, maar verdeelden ze zich onmiddellijk over de ruimte van mijn frituur: twee in de ene hoek, twee in de andere, en de leider van het spel, een hyperkinetisch mannetje dat ik later herkende als Philippe De Staerke, liep ongedurig heen en weer – de anderen spraken hem aan met Johnny, maar achteraf heb ik gehoord dat hij eigenlijk Philippe heette. Donkere ogen, donker haar, middelbare grootte. Hij had een trainingspak aan met een kleurige, modderige broek. Hij had zijn sokken over zijn broek getrokken.”
“Het eerste wat Johnny deed toen hij binnenkwam, langs de zijdeur, was naar de schuifdeuren aan de voorkant van mijn frituur stappen om te testen hoe het slot werkte en of de deuren opengingen. Zodra hij de deuren open en dicht kreeg, leek hij wat meer op zijn gemak en werden er frieten besteld. Johnny voerde het hoge woord; de rest zei amper iets, behalve een man die ik later herkende als Léon De Staerke, zijn oudere broer. Léon was gekleed in een leren jekker en hij droeg halfhoge cowboylaarzen die helemaal onder de modder zaten.”
“Ook de rest van het gezelschap zat onder de modder. Rechts op het krukje zat een man in een halflange parka of legerjas, een legerbroek en legerlaarzen. Hij was geen reus, wel een atletisch figuur van één meter tachtig met bruinachtig, gebekt haar en opvallende bakkebaarden. Hij was heel gespierd en had best een auditie voor ‘Rambo’ kunnen doen. Hij heeft in dat halfuur dat ze binnen waren geen woord gezegd. Terwijl hij at, verloor hij de weg in de richting van Brussel geen seconde uit het oog. Léon, die aan de andere kant stond, keek constant naar buiten om de weg in de andere richting – Mechelen – te observeren. Die gasten waren duidelijk niet op hun gemak.”
“Naast de atleet zat nog een jong, smal ventje van een jaar of twintig. Een zuiders type – Algerijns of zo – met donkere ogen en een mooi Frans accent, dat hoorde ik toen hij bestelde. Hij zat daar heel treurig, en het leek alsof hij nog nooit in een frituur gegeten had. Johnny legde hem uit hoe de prijslijst in elkaar zat en bevaderde hem de hele tijd: ‘Ça va? Smaakt het?’ De vijfde man bleef bij de zijdeur staan, hield het plein achter de frituur in het oog en ging geregeld buiten kijken. Hij was de chauffeur. Hij was de enige die niet onder de modder zat. Hij was ongeveer vijftig jaar oud. Vierkant gezicht, korte nek, voile, licht grijzende haardos die netjes naar achteren gekapt was … Volgens mij was het geen Belg, eerder een Grieks of Spaans type.”
De sfeer was geladen. De enige die iets tegen Johnny zei was Léon: die zat hem te porren om een meisje aan te spreken dat na hen binnengekomen was. Johnny begon haar lastig te vallen en ik zocht oogcontact met Léon, de oudste van het gezelschap, in de hoop dat ze haar dan met rust zouden laten. Maar hij keek me aan met een koude blik; het was onmogelijk om
contact met hem te maken.”
“Een halfuur later vertrokken ze. Johnny vroeg met zijn piepstem aan de mannen: ‘Wel, jongens, was het goed? Heeft het gesmaakt? Gaan we hier betalen of niet?’ Toen kreeg ik het wel even warm. Maar uiteindelijk hebben ze betaald en zijn ze vertrokken.” Ik heb de link met de Bende van Nijvel en de overval in Aalst niet onmiddellijk gelegd omdat er altijd werd gesproken over drie gangsters, geen vijf. Maar een jaar later (op 6 maart 1986, red.) werd Johnny De Staerke aangehouden en verscheen zijn foto paginagroot in de krant. Ik herkende hem direct. Dat gezicht, die grote muil, die arrogantie: dat vergeet je niet. Ook Léon herkende ik op foto’s in de krant. Ik was zeker van hen allebei: zij waren het. En ik dacht: verdorie, ik heb twee dagen na Aalst waarschijnlijk de Bende van Nijvel over de vloer gehad.”
Waarom ben je niet naar de politie gegaan?
“De kranten schreven dat Johnny De Staerke de hoofdverdachte was in het Bende-onderzoek, en ik dacht dat mijn getuigenis maar een detail was. Ze hadden hun hoofdverdachte: wat kon ik daar nog aan toevoegen? Maar die avond bleef wel door mijn hoofd spelen. Er raakten meer details bekend, over het bos van La Houssière waar de gangsters voor en na de overval in Aalst waren opgemerkt.”
“Dat ze in de nacht van zondag op maandag wapens in het kanaal hadden gedumpt, vlakbij het bos aan het hellend vlak van Ronquières. Dat één van hen wellicht bij de overval doodgeschoten was en zijn kompanen hem in dat bos hadden begraven … Toen legde ik de link met de modder op de schoenen en kleren van mijn klanten, die maandagavond. Ik heb mijn verhaal gedaan aan een paar bevriende rijkswachters uit Vilvoorde, maar die lieten me verstaan dat ik het maar beter zo kon laten. Ik had de indruk dat ze niet veel vertrouwen in het Bende-onderzoek hadden.”
Nummer 4 en 7
In 1997 werden een twintigtal robotfoto’s van mogelijke daders verspreid op gele affiches. Ze waren gemaakt op basis van verklaringen van getuigen van Bende-overvallen – al dan niet onder hypnose. Tien jaar na de vreemde avond in zijn frituur ziet B. het gezicht van de chauffeur terug op de gele affiche.
“Het was nummer 7. Ik was er honderd procent zeker van. Dat vierkante gezicht, die korte nek, dat naar achteren gekapte haar… Als ik een robotfoto van de chauffeur had moeten maken, had ik het niet beter gekund. Robotfoto nummer 4 deed mij denken aan het gezicht van de atleet, vooral vanwege de bakkebaarden. Maar daar ben ik veel minder zeker van, omdat ik hem nooit goed heb kunnen bekijken. Hij zat de hele tijd naar buiten te spieden.”
Heb je dat gemeld aan de politie?
“Ja, ik heb naar het telefoonnummer op de gele affiches gebeld, een anonieme tiplijn. Ik heb kort mijn getuigenis gegeven, maar heb er nooit reactie op gekregen.”
Robotfoto nummer 7 stemt overeen met de beschrijving van één van de daders van een bloedige overval op een juwelier in december 1983 in Anderlues, Henegouwen. Het Poolse echtpaar dat de winkel uitbaatte werd voor de ogen van hun dochter in koelen bloede neergeknald. De daders stalen een paar wekkers en fantasiejuwelen – twee doden voor wat prullaria. Ze lieten bovendien een duidelijke signatuur na, door dezelfde wapens te gebruiken als bij de dodelijke inbraak in de Colruyt van Nijvel, twee maanden eerder.
Robotfoto nummer 4 verwijst dan weer naar een dader uit de tweede reeks overvallen van de Bende van Nijvel in 1985: de bijzonder gewelddadige gangster, bijgenaamd ‘de Killer’, die in september 1985 in de Delhaizes van Eigenbrakel en Overijse de meeste dodelijke slachtoffers maakte. De onderzoekers van de zogenoemde Cel Waals Brabant, belast met het Bende-onderzoek, schatten het aantal leden van de Bende op minstens zes of zeven, met een vaak wisselende bezetting voor de verschillende overvallen in ’82, ’83 en ’85.

De robotfoto’s die in 1997 werd uitgegeven door de onderzoekers.
Johnny De Staerke, een keiharde crimineel uit het Brusselse, werd meer dan vijftien jaar lang beschuldigd van betrokkenheid bij de moordende raid in Aalst. Met de Bende van Baasrode, een verzameling gangsters rond de familie De Staerke, pleegde hij in de jaren tachtig tientallen hold-ups, inbraken en autodiefstallen. Een paar uur voor de overval in de Delhaize van Aalst was hij er samen met zijn vriendin en haar dochter op verkenning geweest. Voor die overval stelde onderzoeksrechter Troch van Dendermonde hem in staat van verdenking.
Maar in 1991 werden Troch en zijn speurders van het onderzoek gehaald door toedoen van justitieminister Melchior Wathelet. Het Bende-onderzoek werd tot ieders verbazing overgeheveld naar Charleroi, waar het in het slop raakte. Het spoor-De Staerke raakte volledig ondergesneeuwd en eind 2001 werd Johnny De Staerke buiten vervolging gesteld als verdachte in het Bende-onderzoek.
Het spoor-De Staerke kwam onlangs weer op de voorgrond toen de speurders bij de reconstructie van de overval in Aalst (in juni vorig jaar te zien op VTM en RTL TV1) een nieuwe robotfoto van één van de chauffeurs van de bende verspreidden. Verschillende getuigen herkenden daar Dominique Salesse in, één van de vroegere kompanen van Johnny De Staerke: hij was lid van de Bende van Baasrode en kreeg in 1987 net als Johnny twintig jaar cel voor zijn deelname aan overvallen. De vijfenvijftigjarige Salesse is inmiddels vrij en ontkent dat hij iets met de Bende van Nijvel te maken heeft.
Ook bij frituuruitbater B.J. maakte de reconstructie indruk:
“Hoofdspeurder Eddy Vos zei in de tv-uitzending over de reconstructie dat de uren voor en na de overval cruciaal waren, en dat tips daarover voor een doorbraak konden zorgen. Ze hebben toen de dertig uur na de overval gereconstrueerd, de zogezegde laatste uren van de Bende van Nijvel. Mijn getuigenis valt ongeveer vijfenveertig uur na de overval, maar misschien is ze toch belangrijk. Vooral omdat ik echt het idee had dat die mannen ergens ondergedoken hadden gezeten: je zag dat aan hun gedrag. Daarom heb ik weer zin om contact op te nemen met de speurders.”
De overval van de Bende van Nijvel op de Delhaize in Aalst vond plaats op zaterdagavond 9 november 1985 om 19.40 uur. De speurders vermoeden dat één van de daders is doodgeschoten door een politieman, en dat hij na de overval door zijn kompanen in het bos van La Houssière begraven is. De gangsters zijn daar in de dagen voor en na de overval verschillende keren opgemerkt.
Eén dag na de overval ziet een getuige er twee verdachte mannen aan het stort. In de nacht van zondag 10 op maandag 11 november omstreeks halfeen dumpen de gangsters verschillende zakken wapens in het kanaal Brussel-Charleroi, vlakbij het bos van La Houssière. De wapens, zal later blijken, zijn gebruikt bij verschillende Bende-overvallen in ’82, ’83 en ’85, ook in Aalst.
Op maandag 11 november ontdekt een jogger in het bos van La Houssière een uitgebrande Golf GTI. De Golf die gebruikt is bij de overval in Aalst, is in de nacht van zondag op maandag door de gangsters in brand gestoken. Maandagavond 11 november, omstreeks zes uur, krijgt frituuruitbater B.J. in Vilvoorde een uitgehongerde bende over de vloer, waaronder Johnny en Léon De Staerke. Hun schoenen en kleren zitten onder de modder.
________________________________________
Bron » Humo | Annemie Bulté | Januari 2011
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gypsy




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 5 Oct 2014 - 10:39

A propos des "Scanner" d'écoute ,pompier,ambulance,avion etc...
Le milieux des radio amateurs ou "Cybiste" connaissaient très bien l'art de se procurer du matériel sans avoir à rendre de comptes
comme beaucoup de gens à l'époque ,mon père avais pratiqué ce hoby
& Tandy, étais avec Capitani & Elak les principales adresse pour se fournir en émetteur récepteursur Bruxelles
cependant jusque en 1980 maximum les scanner étaient en vente chez Tandy  mais pas chez Capitani & Elak ces deux dernier étant plus strict sur certains article +- réglementé.
+- car les scanner étaient  autorisés à la vente,mais interdit d'utilisation
Après 1980 ces scanner n'ont plus été vendu chez Tandy Belgique
Mais ,,je me souviens parfaitement que si vous cherchiez à en aquérir un ,
la communauté radio amateur vous indiquaient
une adresse en Hollande ,
J'y ai accompagné dans les années 90 un amateur d'aviation qui désirais écouter les transmission lors de meeting aérien
nous avions été dirigés vers HULST en Hollande ( à 25 Km de Temse Wink  )
le magasin s'appelais "RADIO HULST" et étais fléché depuis la frontière Belgo-Hollandaise  car son commerce reposais sur cette différence de législation et sa clientèle venais pour cela.
l'amis à pu ainsi acheter son scanner pour 3000-4000 franc Belge (- de 100eur) & le vendeur lui à proposé un livre de table des fréquences utilisée dans le royaume  de Belgique classée par zone & service
vous pouviez ainsi connaitre une fréquence
comme ce site actuellement: http://zebulon1er.free.fr/frequences.htm

Pour la petite histoire cet amis n'a pas joué longtemps avec son scanner,
en effet le scanner "scan" et quand il scan il balaye les plages
de fréquences programmé et quel ne fut pas sa surprise d'entendre
dans son beau scanner tout neuf...
Sa police local dire à la radio " POLBRU y a un truc qui cloche avec ma radio un scanner est dans le quartier"

et oui,,,,le policier entendais un " tick" à chaque balayage du scanner sur sa fréquence
et la Police étais ,,devant sa porte

résultat il à lui même piétiner son joujou affin de ne pas se voir finir la nuit "a l'amigo"....Et a jeté son appareil au fond du jardin Crying or Very sad
Et oui,,,il y a une moral à  cette histoire Rolling Eyes
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michel
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyDim 9 Nov 2014 - 12:15

Aujourd'hui 9/11/2014, cela 29 ans que les tueurs s'attaquaient au Delhaize d'Alost.

Une pensée pour les huit victimes, les blessés et les familles.

La prescription est dans un an.

Nous ne lâcherons pas.

_________________
"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)
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brakko




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMer 3 Déc 2014 - 22:04

Celà a beaucoup défourailler ce 9 novembre de l'an 1985 à Alost. ceci dit l'on prétend à travers ce forum , ceteris paribus , toute chose étant égale par ailleurs , que des échanges de tirs on eu lieu entre la marée chaussée et les tbw.
or apres revisionnage de la vidéo de fr3 , sur le canal 3 de la TSF française , il apparait que seuls les malfrats ont fait usage de leurs pétoires laissant pensives nos forces de l'ordre , qui comme pétrifiées , n'ont nullement ripostés.
Alors qui croire? ceux qui prétendent que des tirs de confort ont été prodigués par la police belge lors de la fuite des malfrats en golf ou bien la télé française qui annonce tout de go ,propos du procureur GOL , en sus , qu'aucun tir n'a eu lieu de la part de nos forces vives.
je reste pensif et dérouté par cette nouvelle
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K




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyJeu 4 Déc 2014 - 8:25

faites un test :

écrit un scenario sur papier sur une attaque de banque par exemple

laisse un groupe d'acteurs le jouer avec un public qui est au courant de rien


notez trois jours après les 5 témoignages de l'interieur et de l'exterieur par 5 policiers et journalistes

laisse les journalistes tele refaire un scénario et laisse le jouer de nouveau par d'autres acteurs


si 50% correspond avec ce qui est écrit à l'origine vous pouvez être content !


ds le cas de Wavre et Koldam c'est a peu près cela qui c'est passé en 5 fois pire
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dislairelucien




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyJeu 4 Déc 2014 - 9:46

A titre comparatif on a de multiples exemples
Dans l'affaire Dutroux un couple de flamands en villégiatures à Bertrix à juré leur grand dieu avoir vu Nihoul à ...la piscine de la ville le jour ou Dutroux a enlevé la gamine.
Comme si Nihoul avait besoin de faire trempette Rolling Eyes dans les Ardennes ce jour la, lui qui préfère la trempette à la côte belge...
Les médias balancent la sauce et c'est parti.
Problème, l'enquête démontre qu'il était à l'autre extrémité du pays . Dommage pour le scoop mis à mal Crying or Very sad

Dans cette même affaire un garde forestier ( assermenté) des cantons de l''est apparaît à la T.V. devant un chalet de vacances et explique l'avoir loué à Dutroux pendant X temps.
Formel, il donne des détails.
Le journaliste le laisse déballer son boniment puis lui explique, documents à l'appui, qu'à cette période précise Dutroux était en taule pour de long mois.
"Ah ! Bon !Vous racontez n'importe quoi !
C'est pas possible puisque je suis certain qu'il était ici!
"clown


Plus récent, dans son bouquin " De bende van Nijvel " Bouten développe les accusations formelles d'un officier dénonçant un colonel comme étant un des tueurs de Temse.
Il rapporte :"Je suis formel , c'est lui !"

Comme quoi,même la fonction n'empêche pas le larron scratch
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pierre




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptySam 3 Jan 2015 - 2:34

On sait à quel point le sérieux et le professionnalisme des actions de la 2eme vague ont été menées
et organisées, sur le forum on mesure bien à quel point tout à été fait pour ne pas que l'on ne les retrouvent, avec le recul on comprend pourquoi il n'était pas trop stressés en sortant du Delaize D'alost. Ils avaient confiance à 100% en l'organisation.

Ils ont peut être tués les enfants comme n'importe quel témoin, uniquement pour être bien sur et certain de ne pas être reconnu, finalement le seul risque réel qu'il couraient vus les précaution qu'ils ont pris.

A Alost, Tueur est un personnage connu, il à de la bouteille et comprend vite que David pourrait un jour facilement le reconnaître. (se qui ait finalement arrivé)
ces pour cella qu'il cour apprêt lui pour l'achevé et le lésé pour mort.
J’attache donc une importance capital aux témoignage de David.
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 14 Avr 2015 - 9:07

alost debut de l'attaque 19h33


la gendarmerie n'attend pas la fermeture pour soi disant aller controler le Colruyt et le ALDI

mais ceux ci se ferment a 18H00 et19H00 (source bouqin CCC pag 63)

où il y avait exeption ce WE là ?


où ils y ont été ordonné par faux message radio ?

(cfr la fausse camionette signalée par POSTAL en route vers Overijse , le jour de )


cela explique ? le 41 minutes avant qu'ils trouvent un magistrat pour lancer l'alerte police nationale et donc pourqoui une helico n'est pas mis ds les airs comme pour les recherches après le vol du BMW de titi le lundi de nivelles.

le lendemain ds la reunion de crise du gouvernement on decidada de donner ce pouvoir de lancer cet alerte a la gendarmerie.
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Chronos




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 14 Avr 2015 - 17:42

pierre a écrit:
On sait à quel point le sérieux et le professionnalisme des actions de la 2eme vague ont été menées et organisées

Il faudrait m’expliquer où se trouve le sérieux et le professionnalisme dans le fait de stationner son véhicule de fuite loin de l’entrée du magasin (sans le moindre chauffeur de surcroît), de tirer au fusil à pompe sur tout ce qui bouge en alertant ainsi tout le quartier qu’un hold-up est en cours, de se retrouver pour l’un d’entre eux de longues secondes à découvert face à des policiers armés, ou de devoir rouler plus de 40 kilomètres pour pouvoir rejoindre la cache avec un véhicule recherché par toutes les patrouilles du royaume !!!

Que vous faut-il de plus pour que les auteurs de ces attaques ne vous paraissent pas "sérieux" et "professionnels" ? Qu’ils étaient déguisés en lapin rose et se déplaçaient en cuistax un mégaphone à la main pour annoncer leur hold-up ?


pierre a écrit:
avec le recul on comprend pourquoi il n'était pas trop stressés en sortant du Delaize D'alost. Ils avaient confiance à 100% en l'organisation.

Insinueriez-vous que le policier Nevens et son collègue étaient leurs complices ? Car dans la négative, votre explication sur le fait que les "tueurs" ne paraissaient pas, je vous cite, "trop stressés" en sortant du supermarché n'a aucun sens !

pierre a écrit:
Ils ont peut être tués les enfants comme n'importe quel témoin, uniquement pour être bien sur et certain de ne pas être reconnu, finalement le seul risque réel qu'il couraient vus les précaution qu'ils ont pris.

Ah ! Et quelles précautions ont-ils pris ?

Si vous ne désirez pas être reconnu, il vous suffit de vous déguiser et de vous masquer ! C'est d'ailleurs exactement ce qu'ils ont fait ! Ils ne couraient donc aucun risque à ce niveau là.

Par contre, vu le contexte de l'époque, les risques les plus importants auxquels ils allaient être confrontés en commettant le hold-up d'Alost devaient se situer entre le moment où ils allaient sortir à pied du magasin jusqu'au moment où ils allaient rejoindre leur cache avec leur véhicule. Et là, excepté le port de gilet pare-balles, ils n'ont de toute évidence pris aucune précaution !

pierre a écrit:
   A Alost, Tueur est un personnage connu, il à de la bouteille et comprend vite que David pourrait un jour facilement le reconnaître. (se qui ait finalement arrivé) ces pour cella qu'il cour apprêt lui pour l'achevé et le lésé pour mort.
J’attache donc une importance capital aux témoignage de David

Vous voulez dire que "Tueur" était en fait Patrick Hammers ? Quand on sait que le portrait-robot attribué à "Tueur" pour les attaques de la 2ème vague est le portrait  numéro 4, je comprends effectivement que vous attachiez une importance capitale à ce témoignage. La ressemblance est effectivement frappante !
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bernarddeboussu




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 17:46

@Chronos:

Mais la ressemblance s'arrête où commence la matérialité des faits... HAEMERS ne pouvait être présent ce soir-là.

Le jeune David a vieilli et aujourd'hui encore, il garde intacts au fond de son subconscient les détails qui l'ont marqué ce soir-là...

Peut-être essayer l'hypnose... Ou lui proposer une série de photos ... scratch
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Henry

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 18:01

@ Bernard,
Pourquoi Haemers ne pouvait être présent ce soir ?
Ne me dites pas qu'il était en prison car il venait de braquer à Verviers quelques jours plus tôt.
Ceci dit sans préjuger de la présence de Haemers ou pas sur les lieux de la tuerie d'Alost.
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bernarddeboussu




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 18:16

@Henry:

HAEMERS n'était pas en prison mais comme il venait d'effectuer un braquage et qu'il n'était certes pas dans ses habitudes de récidiver coup sur coup, il est hautement improbable que ce fût lui à ALOST...quelques jours plus tard!

Y'a quelqu'un d'autre sous la perruque! Wink
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Henry

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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 18:30

@ Bernard,
Je ne dis pas qu'il y était, je n'en sais rien mais comme vous parliez de la matérialité des fait, je pensais que vous saviez quelque chose de concret.
Je rappelle aussi qu'un des enquêteurs avait également dit à David que Haemers était en prison au moment des faits.
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bernarddeboussu




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 18:37

@Henry:

J'essaie de procéder "par l'absurde" comme en maths! Wink

HAEMERS probablement étranger à ces faits...

Un lien à suivre est celui concernant le "petit Espagnol borgne", ami de CALMETTE et mentionné dans le document PV du Commandant SAMSON de la BSR de GAND...

Il semble effectivement s'agir de "JUAN" ... Juan PINILLA (N avec tildae) (Juan PINELLA expert en Kickboxing est basé en Floride, USA) qui était connu au BORINAGE comme "détective privé"...

Nos forumeurs issus de cette région doivent forcément, sinon l'avoir connu, du moins en avoir entendu parler...

Je pense ici à "signor"...que je tiens à saluer au passage. Smile
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bernarddeboussu




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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 EmptyMar 26 Mai 2015 - 18:39

@Henry:

C'est bien Juan PINILLA et non PINELLA ... study
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985   Alost, 9 novembre 1985 - Page 6 Empty

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