Jean Paul MARIN...

Pas évident de poster dans la bonne rubrique, dans le doute, supposons que cette rubrique soit la plus appropriée....à la base, mécano spécialisé, voitures de compétition circuits et 4x4 genre rally-raids....évoluait, région pl Dailly mais aussi, Laeken....dans les années 80, (?), devenu mécano Sabena Technics...., y a rencontré un hotesse, sont devenus propriétaires d'une batisse d'importance, située à Ohain/Lasne..., y a été sauvagement assasiné dans son garage....

par hasard famille de Denis Marin ?


https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1791-marin-denis

vue que étant tecbnicien du SABENA il avait accès aux soutes .

pour l'affaire Van deuren il y a un denommé DAVRA donné par un informateur du monde de Rally aussi:

Citation :

De opsporingen van Toumpsin en co. hadden gevolgen. Davra was
een beruchte heler en hij werd jarenlang beschuldigd van betrokkenheid
bij de hold-up op wapenhandel Dekaise. Er waren ook verklaringen
tegen hem. Volgens een rallyrijder die hem aangaf, sprak
hij Spaans en had hij een loods in Schaarbeek, waar hij niet alleen
wagens opsloeg, maar ook wapens. De informant, die net als Davra
zijn buitenverblijf had in de Brusselse seksclub Jonathan, beweerde
dat de garagehouder hem had willen inhuren om een Delhaize te
overvallen en gaf daar precieze details over. Davra werd pas in januari
1997 samen met acht andere bendeverdachten buiten vervolging
gesteld. Hij was toen overleden.

en français on utilise : "poursuites éteintes" quand la personne est morte et

"hors cause" pour "pas impliqués"

mais ici je ne sais pas

"davra" = hendrik rauwens
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1540-rauwens-hendrick

DAVRA ,encore un espagnol

il va falloir demande a michèle si son mari était d'origine basque , car il y a une piste vers ETA aussi

retournons à

jean paul Marin famille de Denis MARIN ?

Il faut lire ceci : http://archives.lesoir.be/la-sabena-multiplie-les-plaintes-contre-jean-paul-marin_t-19930819-Z0749V.html

Citation :

LA SABENA MULTIPLIE LES PLAINTES CONTRE JEAN-PAUL MARIN, ACCUSE DE DIFFAMATION LE DELEGUE SYNDICAL PAR QUI LE SCANDALE ARRIVE
VANDEMEULEBROUCKE,MARTINE
Page 13
Jeudi 19 août 1993
La Sabena multiplie les plaintes contre Jean-Paul Marin, accusé de diffamation
Le délégué syndical par qui le scandale arrive
Ce n'est pas demain que le tribunal du travail pourra trancher le litige qui oppose la Sabena à l'un de des membres de son personnel. L'affaire «Jean-Paul Marin» est promise à de longues péripéties juridiques tant les requêtes s'accumulent auprès du Parquet.
Jean-Paul Marin est ce délégué syndical FGTB licencié le 12 février dernier sans préavis ni indemnités pour avoir, lors d'un conseil d'entreprise, accusé d'antisémitisme un commandant de bord (aujourd'hui dans l'entourage direct de Pierre Godfroid, le patron de la Sabena). Ces accusations nous ont été aussi communiquées par d'autres membres du personnel de cabine qui disent avoir entendu le commandant tenir des propos antisémites... sur les vols Bruxelles - Tel-Aviv, se vanter de ses voyages chez Degrelle en Espagne et dire toute son admiration pour le Vlaams Blok. L'homme a d'ailleurs appartenu au noyau dur du Front de la jeunesse.
Dans un premier temps, le tribunal du travail a donné tort à la Sabena: Marin, comme travailleur protégé, ne pouvait être licencié sur-le-champ. Le délégué syndical a été réintégré mais pas pour longtemps.
La Sabena a - comme l'exige la loi - demandé au tribunal du travail d'autoriser le licenciement de Marin pour faute grave et a, en même temps, porté plainte au pénal contre le délégué syndical. La plainte auprès du Parquet suspend évidemment la procédure civile du tribunal du travail et retarde pour plusieurs mois (ou plusieurs années?) le moment où la Sabena devra prouver la faute grave de Jean-Paul Marin, sans quoi il lui faudra verser de substantielles indemnités de licenciement...
Que reproche la Sabena à Marin? Beaucoup de choses? à voir le nombre de plaintes qui ont été déposées auprès du Parquet.
CONTRE-OFFENSIVE
SUR LE TERRAIN PÉNAL
La première porte sur les mêmes griefs que ceux qui devraient être examinés par le tribunal du travail: outrage et diffamation. La compagnie aérienne accuse Marin d'allégations mensongères et d'être à l'origine d'une campagne de dénigrement de la Sabena. L'enquête interne, a toujours affirmé la direction, a démenti les accusations du délégué syndical. Dans la même requête, on l'accuse aussi d'avoir voulu extorquer deux millions à la Sabena.
Mais ce n'est pas tout. D'autres plaintes ont été transmises au juge Bruno Bulthé dont l'une est le témoignage d'une personne avec laquelle Marin est en conflit depuis plusieurs années et qui l'accuse d'avoir volé, en 1989, du carbone à la compagnie. Le 3 mai, la PJ a perquistionné au domicile du délégué syndical, saisi sa comptabilité et l'a interrogé longuement à plusieurs reprises, sans résultats semble-t-il. Mais les choses ne s'arrêtent pas là: à la demande de son avocat, Marin avait demandé à un membre du personnel de la Sabena une attestation prouvant que l'achat de carbone s'était fait dans les règles. Nouvelle plainte de la Sabena qui accuse Marin d'avoir demandé une fausse facture pour camoufler le vol.
UN CONFLIT PERSONNEL
VOIRE PASSIONNEL?
Le conflit entre Marin et la direction de la Sabena prend une allure passionnelle. Jean-Paul Marin a largement fait connaître autour de lui les raisons de son licenciement, y compris auprès de Force ouvrière, le syndicat le mieux implanté au sein d'Air France, actionnaire principal de la Sabena. Ces démarches irritent au plus haut point Pierre Godfroid? qui parle d'une action diffamatoire menée à grande échelle.
Ce conflit syndical est devenu un conflit personnel entre Godfroid et Marin, expliquait un délégué syndical de la Sabena. Entre deux hommes intransigeants.
En mars dernier, lorsqu'un avion de la Sabena, en route pour Tel-Aviv, a été contraint de faire un atterrissage d'urgence à Belgrade après une alerte à la bombe puis quand, quelques jours plus tard, un coup de fusil a été tiré dans le pneu d'un avion, la Sabena faisait publiquement le rapprochement (même si c'était pour démentir) avec le conflit l'opposant à Jean-Paul Marin et à l'émotion que ses accusations avaient provoquée dans la communauté juive.
Nous n'avons pas tiré de conclusion, précise M. du Bois pour la Sabena. Mais à propos de ces deux incidents, nous avons attiré l'attention du Procureur du Roi sur le fait qu'un membre du personnel harcelait un membre de la direction. Comme élément pour son enquête.
De son côté, Jean-Paul Marin a également déposé plainte à la gendarmerie de Zaventem: depuis plus de deux mois, il reçoit régulièrement des appels téléphoniques anonymes même en pleine nuit. Le «Zoller» qui a été installé sur sa ligne montre que les appels proviennent du central de la Sabena (à Zaventem et à l'Air Terminus de Bruxelles) et du bureau du «témoin» du vol de carbone.
Pure invention, estime M. du Bois. Mais le listing du délégué syndical est pourtant explicite.
Jusqu'où ira ce conflit?
J'ai l'impression qu'on veut «casser» Marin, explique un délégué de la Sabena. La direction cherche tout ce qui peut être à charge, y compris des bruits de couloir.
UNE CO UTEUSE STRATÉGIE
DE L'INTIMIDATION?
D'autres relèvent un paradoxe: pour éviter que des employeurs ne fassent trop durer la procédure auprès du tribunal du travail, il est désormais obligatoire de verser au délégué licencié une indemnité qui s'ajoute à ses allocations de chômage.
Faire traîner les choses coûte donc à la compagnie aérienne...
Même analyse au service juridique de la FGTB où on estime que le désir de se débarrasser d'un délégué trop remuant semble l'emporter sur les considérations financières. Ce n'est pas une première, souligne le service juridique.
Nous avons plusieurs «gros» dossiers avec la Sabena, souvent sur des questions de principe, d'interprétation de convention. Et la Sabena ne lésine pas sur les moyens juridiques. Elle va jusqu'au bout, jusqu'à la cassation si nécessaire, même si, parfois, il est évident depuis le début qu'elle va perdre.
Nous n'avons pas la «juridite», assure M. du Bois. Mais dans le passé, il y avait une propension chez le personnel, poussé par les organisations syndicales ou corporatistes, à faire appel aux tribunaux du travail pour faire valoir leurs droits.
Que l'initiative vienne de la Sabena ou du personnel, l'habitude de recourir aux tribunaux semble encore bien vivace.
MARTINE VANDEMEULEBROUCKE

http://archives.lesoir.be/syndicaliste-licencie-pour-diffamation-sabena-commandan_t-19930320-Z06JJD.html

Citation :

SYNDICALISTE LICENCIE POUR DIFFAMATION SABENA : COMMANDANT DE BORD ACCUSE D'ANTISEMITISME
VANDEMEULEBROUCKE,MARTINE
Page 20
Samedi 20 mars 1993
Syndicaliste licencié pour diffamation
Sabena: commandant de bord
accusé d'antisémitisme
Depuis le 12 février, un délégué syndical FGTB de la Sabena est au chômage. Motif de son licenciement? Avoir accusé d'antisémitisme un commandant de bord de la compagnie aérienne.
Selon Jean-Paul Marin, le délégué licencié, les faits remontent au conseil d'entreprise du neuf décembre 1992. J'ai interpellé la direction sur le fait qu'un responsable de la Sabena tenait des propos antisémites. Il s'agit d'un commandant de bord qui assure régulièrement les vols sur la ligne Bruxelles-Tel Aviv. Certains passagers, explique Jean-Paul Marin, se seraient plaint de cette attitude. Par ailleurs, le commandant en question se serait à plusieurs reprises vanté devant le personnel de rendre régulièrement visite à «Léon» (Degrelle) en Espagne.
Pour le président de la Sabena, Pierre Godefroid, il s'agit là de propos diffamatoires: aucune preuve n'aurait pu être apportée à cette accusation d'antisémitisme. Pour ce motif, le 12 février, Jean-Paul Marin est licencié sans préavis ni indemnités par la direction «des relations humaines». Une procédure pour le moins inhabituelle puisque J.-P. Marin est un travailleur protégé...
Le 22 février, J.-P. Marin reçoit une lettre dans laquelle la Sabena annonce qu'elle introduit la procédure de licenciement conforme à la législation (qui passe par le tribunal du travail). Cette fois, on ajoute un nouveau «motif grave»: le fait d'avoir parlé de cette affaire à l'hebdomadaire «Le Vif-L'Express»... après le «premier» licenciement.
Les accusations d'antisémitisme de J.-P. Marin reposent pourtant sur des faits troublants: le pilote en question a appartenu au noyau dur du Front de la Jeunesse et serait fiché à la Sûreté de l'Etat depuis 1979. L'Anti-defamation League qui, à New York, lutte contre les résurgences de l'antisémitisme a pris contact avec la Sabena pour faire part de l'indignation de certains passagers, témoins de propos antisémites et révisionnistes.
La première audience au tribunal du travail a été fixée au 19 avril prochain. La Sabena a exigé la procédure en néerlandais, arguant du fait que la société se trouve en Région flamande alors que le délégué syndical est francophone. Ambiance...
M. Vdm

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un article peut etre deja parut sur le forum ?
je ne met que le lien (je ne sais sur quel fil me mettre)
on y parle d ostende de bruxelles ,angleterre , pilotes(bar a waterloo) le monde...
drogue ,armes, diamant ,poisson... m rossignol ,kiki lemaire ,m barrett jolley et d autres

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coke-en-stock-ix-au-menu-tilapia-88728

http://www.dhnet.be/actu/societe/la-belgique-carrefour-du-trafic-de-diamants-51b7d861e4b0de6db99171a4

le délégue syndical éjecté, puis massacré , pas de famille donc avec l'autre Marin , mais mort suspect quand même.

K a écrit:

le délégue syndical éjecté, puis massacré ,  pas de famille donc avec l'autre Marin , mais mort suspect quand même.

Et j'imagine que le motif du licenciement n'a échappé à personne. Il a dénoncé un ultra noyau dur FJ ??? Qui est pilote dans ce milieu? Nom en MP si besoin.
Et c'est le fameux Pierre Godfroid allégué comme "patron" d'un suspect des TBW le fameux Claudy V.
Finalement la mort de Marin n'est peut-être sans un lien avec les dossiers. Il pouvait faire "chanter" l'ex boss de la Sabena?

pour du trafique de ..carbone...

en tout cas l histoire est loin d etre clair


De son côté, Jean-Paul Marin a également déposé plainte à la gendarmerie de Zaventem: depuis plus de deux mois, il reçoit régulièrement des appels téléphoniques anonymes même en pleine nuit. Le «Zoller» qui a été installé sur sa ligne montre que les appels proviennent du central de la Sabena (à Zaventem et à l'Air Terminus de Bruxelles) et du bureau du «témoin» du vol de carbone.
Pure invention, estime M. du Bois. Mais le listing du délégué syndical est pourtant explicite.
Jusqu'où ira ce conflit?

meme l article est ambigue !   ça plainte ce retourne contre lui!!!! grace a sont avocat???
ou au tounure des phrase journaliste??? ou?

Je suis d'accord avec vous Luanda sur l'ambiguité de l'article...

Attention que Marin a accusé apparemment plusieurs personnes et pas juste un commandant de bord si je ne me trompe.

On cherche donc quelqu'un de la Sabena. Il y a une référence dans les dossiers X, l'a-t-on identifié ou pas ?

Citation :

X1 in PV 100.399, January 11, 1997: "Translation of a fax of X1 of January 6, 1997: She speaks of someone who judged to see if she was dangerous. It is about someone who prefers the violence: the sex is a dessert... He often went to hunt with VDB - he works at Sabena. He participated in the hunts on children... Tony brought her to a domain - there were 4 other girls (Marianne; Valerie; Catharine; Sonja)... [present:] VDB [Paul Vanden Boeynants] - person from Sabena - 4 Gd [gendarme officers] - de Bonvoisin.

Qui est cette personne ?

http://www.actuamedica.be/MediSurf/FR/MediSurf-Arch-FR-005269.html

Citation :

Sabena: la scientologie au septième ciel

Une entreprise, d’autant plus si elle est publique, ou mixte privé – public, peut-elle se permettre d’ignorer froidement un rapport d’une commission de la Chambre des députés (les élus du peuple belge) pour cause, officiellement, de « business »? La réponse, à l’évidence, est non.

À la Sabena, compagnie aérienne nationale belge dont l’Etat – donc, in fine, chaque citoyen – est encore actionnaire, même minoritaire, la réponse est, au contraire, oui. C’est que, si la Sabena fait une fois de plus l’actualité en raison de sa situation financière dramatique, elle a réussi à rester très discrète sur un autre point qui, pourtant, mériterait encore plus de la propulser, et pas glorieusement du tout, sous les projecteurs. Etonnament, cependant, ceci n’a donné lieu qu’à quelques très légers entrefilets dans la presse (ah, surtout, ne pas déranger et conserver les toujours agréables invitations!): en plein cœur de Bruxelles, au carrefour de l’Europe, l’hôtel Sodehotel, qui appartient à la Sabena, accueillait cers derniers jours une exposition sur la scientologie. Pour la bonne cause, pensez-vous. Que nenni! Cette exposition, qui a, nous revient-il d'excellentes sources, donné lieu à un juteux contrat, est organisée par l’Eglise de scientologie elle-même! Qui s’était vu refuser d’autres lieux.

C’est que, à la Sabena, on ignore délibérément le rapport, excellent, de la commission «sectes» de la Chambre, qui a classé la scientologie dans la catégorie des sectes nuisibles. Donc dangereuses pour la santé mentale de ses membres et, par voie de conséquence, pour la démocratie. La Sabena n’a pas plus tenu compte des récents procès qui, en France, ont visé l’église de scientologie, avec de sévères jugements à la clé. Ni de l’existence de comités de proches d’adeptes de sectes et d’anciens membres qui ont réussi à en sortir - au prix de quelles souffrances! – qui travaillent eux aussi à éclairer l’opinion publique et les décideurs sur les dangers de toutes les sectes. Et qui établissent que la scientologie (reconnue aux Etats-Unis, ce pays symbole de liberté, mais où un candidat à la présidence laisse exécuter une personne reconnue comme handicapé mental) est l’une des sectes parmi les plus dangereuses et vicieuses, du fait de son pouvoir économique, de son ascendant total sur ses membres (qui subissent un réel lavage de cerveau) et de sa présence aussi forte que discrète dans toutes les sphères de la société.

Un émoi réel

De tout cela, la Sabena n’a cure. Et, chez ses responsables qui ne peuvent être suspectés ni d’appartenance, ni même de tolérance par rapport à la scientologie ou à toute autre secte, l’affaire suscite un réel émoi. Parce qu’elle remet de vieux démons en mémoire. Au début de cette décennie, en effet, des accusations précises avaient été lancées contre la compagnie, alors encore 100% à l’Etat, et dirigée par Pierre Godfroid. Ces accusations indiquaient la présence d’adeptes d’idées d’extrême droite ainsi que de scientologues aux plus hauts niveaux de la société. Certaines des méthodes de gestion appliquées étaient d’ailleurs particulièrement proches de celles prônées par la scientologie, notamment à travers U-man, une société qui fait partie de sa nébuleuse.

On pensait que l’arrivée de Swissair et de ses gestionnaires (ceux-là même qui ont si habilement su «recaser» dans leur conseil d’administration l’ex-commissaire européen aux Transports puis à la Concurrence, le belge Karel Van Miert) avait mis un terme à une situation interne qui, effectivement, était chaotique. La réalité est-elle différente de notre bonne foi (ou de notre naïveté)?

Un hasard malheureux

Des sources internes à la Sabena expliquent, avec une gêne manifeste, que «c’est un hasard malheureux, mais économiquement très rentable. Maintenant, certains s’en mordent les doigts. On n’avait vraiment pas besoin de ce genre de publicité». Reste que le hasard ne l’est en réalité pas du tout et qu’il n’a donc forcément rien de malheureux: nous avons pu apprendre que, avant de signer le contrat, Sodehotel (donc, la Sabena) s’est assuré de ce qu’ il «n’entraînait aucun risque juridique». En clair, la Sabena savait parfaitement ce que cette exposition représente comme insulte à la plus élémentaire décence et à la démocratie.

Un argument avancé par certains, à la Sabena, mérite néanmoins d’être souligné, car il note une hypocrisie certaine du politique. «Certes, disent ces personnes, il y a le rapport de la Chambre et ce dossier a été mal géré car il aurait tout simplement mieux valu ne pas conclure l’affaire. Mais, légalement, l’église de scientologie n’est pas interdite de séjour. Les politiques ne peuvent exiger du privé de prendre des mesures discriminatoires qu’eux-mêmes n’osent pas mettre en forme de loi. À ce rythme, devrions-nous refuser d’embarquer dans nos avions un membre du Vlaams Blok? Et Sodehotel devrait-il refuser de louer une salle à ce parti qui n’est pas interdit?» C’est effectivement mettre là le doigt sur le fond du problème, et l’on sait que l’hypocrisie, en politique, joue rarement la grande absente.

Reste que la Sabena a raté l’occasion de donner une belle leçon à ce monde politique qui souvent, par le passé, l’a malmenée elle aussi et conduite au gouffre. On aurait aimé un communiqué de presse disant «Nous avons refusé un beau contrat recherché par la scientologie» . C’est l’inverse qui s’est produit, qui permet de se poser toutes les questions et d’exiger que des sanctions soient prises. Ceci doit être impérativement relayé par les administrateurs représentant l’Etat au conseil d’administration. Faute de quoi, les choses seront on ne peut plus claires.

Marc Vandermeir

Pour avoir travaillé à la Sabena en 1995-96 durant la présidence de Pierre Godfroid je confirme que le staff de la direction était gangrené par l'extrême-droite, le plus dangereux étant Pierre Godfroid.
C'est d'ailleurs parce que j'ai osé résister et tourner en bourrique toute cette clique que l'on m'a envoyé ce tueur à gages V.C. qui par après me fera des aveux de tbw.
Je précise que le secrétaire de P. Godfroid qui s'appelle Patrick du Bois n'a aucun lien de parenté avec moi. Par après il est devenu secrétaire du cardinal Daneels...

Citation :

Auteur Alexandra Colen , VB
Département Ministre des Transports
Sous-département Transports
Titre Sabena. - Bilan. - Surestimation des avions.
Date de dépôt 28/03/1997
Langue N
Publication question B81 - Page : 11043
Date publication 12/05/1997, 199619970
Statut question Réponses reçues


Question
Lors de la publication du rapport annuel 1996 de la Sabena, il est apparu que la valeur des avions avait été surévaluée - par erreur ou frauduleusement - en 1991-1992. Sous le prétexte que la compagnie aérienne nationale se portait «mieux», de nombreux agents ont été engagés à cette époque. 1. Quel était l'effectif consolidé de la Sabena fin 1987, 1991, 1992 et 1995? 2. Qui étaient les administrateurs à cette époque? 3. Qui étaient les réviseurs à cette époque?

Publication réponse B88 - Page : 12125
Date publication 30/06/1997, 199619970
Réponse
1. Le périmètre du groupe Sabena change régulièrement de sorte que les comparaisons en matière d'évaluation des effectifs ne sont relevantes que pour la société anonyme Sabena. L'évolution de l'effectif de Sabena est la suivante, en équivalents temps pleins: 1987: 8.598; 1988: 9.036; 1989: 9.902; 1990: 10.729; 1991: 9.756; 1992: 9.012; 1993: 9.295; 1994: 9.549; 1995: 9.486; 1996: 9.766. 2. En 1992, le conseil d'administration était composé comme suit: Pierre Godfroid, président. André Pahaut, vice-président. Administrateurs: Bernard Attali Jean-Didier Blanchet Gilles De Kerckhove D'Ousselghem Albert Frère Jan Huyghebaert Michel Moll François Narmon Marc Santens Jean-Louis Stalport François Thomazzeau Eddy Wymeersch Clair Ysebaert Administrateurs honoraires: Marcel Boussy Francis Burstin Omer Coenen René De Feyter Jacques De Staercke Jacques Moulaert Willy Peirens Roger Piton Raymond Rooses Philippe Suinen Michel Viseur 3. En 1992, les réviseurs étaient les suivants: - Klynveld, Peat Marwick, Goerdeler, représentée par Pierre P. Berger. - Fernand Detaille.

Quelles sont les sources qui permettent de faire le lien entre "le" Jean Paul MARIN, délégué syndical à la SABENA décédé en 1995 et celui "sauvagement assasiné dans son garage" ?  

c est vrais que rien ne relie la sabena au meurtre
pour trouver un meurtrier on cherche des raison ,ça vie priver est inconnue! ???
mais sa vie de syndicalite est mis en lumiere d une drole de façon

il lance des accusation(vrai,fausse?) temoin!!!
est ejecter !
est poursuivit!
est harceler ? central sabena?
est assassiner!

comment la sabena s en serais sorti sans cette mort "opportune"?

mais peut etre y a t il eu une suite (enquete?)

Hubert Bonisseur de La Ba a écrit:

Quelles sont les sources qui permettent de faire le lien entre "le" Jean Paul MARIN, délégué syndical à la SABENA décédé en 1995 et celui "sauvagement assasiné dans son garage" ?  

J'ai effectivement été peut-être un peu vite en besogne... Il faudrait plus d'info de la part de Cusmenne Claude ?

En fait non ! Voir page 1 également.

Citation :

Rappel des faits : le 12 février 1993, Jean-Paul Marin, mécanicien avion au sol et délégué syndical, était licencié sans indemnités pour calomnie et diffamation. Au cours d'un conseil d'entreprise, il avait interpellé la direction de la Sabena pour dénoncer les propos antisémites et révisionnistes tenus, selon lui, par le vice-président de la Sabena de l'époque.

Pour moi il s'agit bel et bien du même.

Il serait intéressant de savoir de quelle source Cusmenne Claude tient ses infos qui ne parlent pas de ce conflit avec la Sabena !

luanda a écrit:

c est vrais que rien ne relie la sabena au meurtre
pour trouver un meurtrier on cherche des raison ,ça vie priver est inconnue! ???
mais sa vie de syndicalite est mis en lumiere d une drole de façon

il lance des accusation(vrai,fausse?) temoin!!!
est ejecter !
est poursuivit!
est harceler ? central sabena?
est assassiner!

comment la sabena s en serais sorti sans cette mort "opportune"?

mais peut etre y a t il eu une suite (enquete?)

La réponse à votre dernière question se trouve en page 1 de ce fil :

Citation :

En réponse à sa question, j'ai l'honneur de communiquer à l'honorable membre que par suite du conflit entre la Sabena et l'intéresé, la société s'est constituée partie civile à charge de l'intéressé du chef de calomnie, diffamation et tentative d'extorsion. L'instruction judiciaire n'a pas démontré des éléments spécifiques concernant des liens d'extrême droite qu'auraient eu des membres du cadre supérieur de la Sabena. Vu que l'intéressé est décédé entretemps, l'action publique est éteinte.

Je vais poser la question différemment : d'où vient l'info que Jean Paul Marin (délégué syndical SABENA) ait été sauvagement assassiné dans son garage...... a-t-il d'ailleurs été assassiné ? j'ai un gros doute.........  



Ajout : @hoho c'est en effet destiné à Cusmenne Claude   

Cusmenne Claude, si vous nous lisez !

a cette epoque sabena et belgavia se disputait certain service
catering ,cleaning ,...
ils ont engager beaucoups de monde et quelque mois apret ils devaient licencier

sabena comme tea ont acheter des 737 puis airbus puis catastrophes
les syndicas etaient chaud (ptb tous les jours a la porte avec des tractes)

mais il y a eu des bonne prime de licenciement...

qui a payer les airbus et les737? qui a eu les airbus et 737 tous neuf?

Cusmenne Claude a écrit:

Pas évident de poster dans la bonne rubrique, dans le doute, supposons que cette rubrique soit la plus appropriée....à la base, mécano spécialisé, voitures de compétition circuits et 4x4 genre rally-raids....évoluait, région pl Dailly mais aussi, Laeken....dans les années 80, (?), devenu mécano Sabena Technics...., y a rencontré un hotesse, sont devenus propriétaires d'une batisse d'importance, située à Ohain/Lasne..., y a été sauvagement assasiné dans son garage....

Un rapport avec les denrées volées par une hôtesse et revendues à Van Camp à Ohain ?

flanby a écrit:

Et Van Camp se faisait livrer de la marchandise volée à la Sabena par une hôtesse de l'air; de plus VC déclarait très peu au fisc, bcp de revenus dissimulés les employés étaient fatalement au courant de l'histoire...

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