Jean Paul MARIN...

je l ai deja ecrit sur un autre file
une hôtesse n est pas la personne adequate pour voler des denree.

a l arriver d un avion tous le personnel ayant un creux se servait dans les plateaux
repas .(du commandant ,au rep cap,mecanicien,etc...)
car tous allais a la poubelle

si cette hotesse a ete renvoyer c est qu il y avait une autre raison!

la stratégie de la direction etait fort critiquer par les syndicat(puissant !,greve d un service
bloque l aeroport, et sabena doit payer les agent des autre service ,avion ne decole plus!)
critiqué du au fait des engagement suivit de licenciement!

Hoho a écrit:

Il faut lire ceci : http://archives.lesoir.be/la-sabena-multiplie-les-plaintes-contre-jean-paul-marin_t-19930819-Z0749V.html

Citation :

LA SABENA MULTIPLIE LES PLAINTES CONTRE JEAN-PAUL MARIN, ACCUSE DE DIFFAMATION LE DELEGUE SYNDICAL PAR QUI LE SCANDALE ARRIVE
VANDEMEULEBROUCKE,MARTINE
Page 13
Jeudi 19 août 1993
La Sabena multiplie les plaintes contre Jean-Paul Marin, accusé de diffamation
Le délégué syndical par qui le scandale arrive
Ce n'est pas demain que le tribunal du travail pourra trancher le litige qui oppose la Sabena à l'un de des membres de son personnel. L'affaire «Jean-Paul Marin» est promise à de longues péripéties juridiques tant les requêtes s'accumulent auprès du Parquet.
Jean-Paul Marin est ce délégué syndical FGTB licencié le 12 février dernier sans préavis ni indemnités pour avoir, lors d'un conseil d'entreprise, accusé d'antisémitisme un commandant de bord (aujourd'hui dans l'entourage direct de Pierre Godfroid, le patron de la Sabena). Ces accusations nous ont été aussi communiquées par d'autres membres du personnel de cabine qui disent avoir entendu le commandant tenir des propos antisémites... sur les vols Bruxelles - Tel-Aviv, se vanter de ses voyages chez Degrelle en Espagne et dire toute son admiration pour le Vlaams Blok. L'homme a d'ailleurs appartenu au noyau dur du Front de la jeunesse.
Dans un premier temps, le tribunal du travail a donné tort à la Sabena: Marin, comme travailleur protégé, ne pouvait être licencié sur-le-champ. Le délégué syndical a été réintégré mais pas pour longtemps.
La Sabena a - comme l'exige la loi - demandé au tribunal du travail d'autoriser le licenciement de Marin pour faute grave et a, en même temps, porté plainte au pénal contre le délégué syndical. La plainte auprès du Parquet suspend évidemment la procédure civile du tribunal du travail et retarde pour plusieurs mois (ou plusieurs années?) le moment où la Sabena devra prouver la faute grave de Jean-Paul Marin, sans quoi il lui faudra verser de substantielles indemnités de licenciement...
Que reproche la Sabena à Marin? Beaucoup de choses? à voir le nombre de plaintes qui ont été déposées auprès du Parquet.
CONTRE-OFFENSIVE
SUR LE TERRAIN PÉNAL
La première porte sur les mêmes griefs que ceux qui devraient être examinés par le tribunal du travail: outrage et diffamation. La compagnie aérienne accuse Marin d'allégations mensongères et d'être à l'origine d'une campagne de dénigrement de la Sabena. L'enquête interne, a toujours affirmé la direction, a démenti les accusations du délégué syndical. Dans la même requête, on l'accuse aussi d'avoir voulu extorquer deux millions à la Sabena.
Mais ce n'est pas tout. D'autres plaintes ont été transmises au juge Bruno Bulthé dont l'une est le témoignage d'une personne avec laquelle Marin est en conflit depuis plusieurs années et qui l'accuse d'avoir volé, en 1989, du carbone à la compagnie. Le 3 mai, la PJ a perquistionné au domicile du délégué syndical, saisi sa comptabilité et l'a interrogé longuement à plusieurs reprises, sans résultats semble-t-il. Mais les choses ne s'arrêtent pas là: à la demande de son avocat, Marin avait demandé à un membre du personnel de la Sabena une attestation prouvant que l'achat de carbone s'était fait dans les règles. Nouvelle plainte de la Sabena qui accuse Marin d'avoir demandé une fausse facture pour camoufler le vol.
UN CONFLIT PERSONNEL
VOIRE PASSIONNEL?
Le conflit entre Marin et la direction de la Sabena prend une allure passionnelle. Jean-Paul Marin a largement fait connaître autour de lui les raisons de son licenciement, y compris auprès de Force ouvrière, le syndicat le mieux implanté au sein d'Air France, actionnaire principal de la Sabena. Ces démarches irritent au plus haut point Pierre Godfroid? qui parle d'une action diffamatoire menée à grande échelle.
Ce conflit syndical est devenu un conflit personnel entre Godfroid et Marin, expliquait un délégué syndical de la Sabena. Entre deux hommes intransigeants.
En mars dernier, lorsqu'un avion de la Sabena, en route pour Tel-Aviv, a été contraint de faire un atterrissage d'urgence à Belgrade après une alerte à la bombe puis quand, quelques jours plus tard, un coup de fusil a été tiré dans le pneu d'un avion, la Sabena faisait publiquement le rapprochement (même si c'était pour démentir) avec le conflit l'opposant à Jean-Paul Marin et à l'émotion que ses accusations avaient provoquée dans la communauté juive.
Nous n'avons pas tiré de conclusion, précise M. du Bois pour la Sabena. Mais à propos de ces deux incidents, nous avons attiré l'attention du Procureur du Roi sur le fait qu'un membre du personnel harcelait un membre de la direction. Comme élément pour son enquête.
De son côté, Jean-Paul Marin a également déposé plainte à la gendarmerie de Zaventem: depuis plus de deux mois, il reçoit régulièrement des appels téléphoniques anonymes même en pleine nuit. Le «Zoller» qui a été installé sur sa ligne montre que les appels proviennent du central de la Sabena (à Zaventem et à l'Air Terminus de Bruxelles) et du bureau du «témoin» du vol de carbone.
Pure invention, estime M. du Bois. Mais le listing du délégué syndical est pourtant explicite.
Jusqu'où ira ce conflit?
J'ai l'impression qu'on veut «casser» Marin, explique un délégué de la Sabena. La direction cherche tout ce qui peut être à charge, y compris des bruits de couloir.
UNE CO UTEUSE STRATÉGIE
DE L'INTIMIDATION?
D'autres relèvent un paradoxe: pour éviter que des employeurs ne fassent trop durer la procédure auprès du tribunal du travail, il est désormais obligatoire de verser au délégué licencié une indemnité qui s'ajoute à ses allocations de chômage.
Faire traîner les choses coûte donc à la compagnie aérienne...
Même analyse au service juridique de la FGTB où on estime que le désir de se débarrasser d'un délégué trop remuant semble l'emporter sur les considérations financières. Ce n'est pas une première, souligne le service juridique.
Nous avons plusieurs «gros» dossiers avec la Sabena, souvent sur des questions de principe, d'interprétation de convention. Et la Sabena ne lésine pas sur les moyens juridiques. Elle va jusqu'au bout, jusqu'à la cassation si nécessaire, même si, parfois, il est évident depuis le début qu'elle va perdre.
Nous n'avons pas la «juridite», assure M. du Bois. Mais dans le passé, il y avait une propension chez le personnel, poussé par les organisations syndicales ou corporatistes, à faire appel aux tribunaux du travail pour faire valoir leurs droits.
Que l'initiative vienne de la Sabena ou du personnel, l'habitude de recourir aux tribunaux semble encore bien vivace.
MARTINE VANDEMEULEBROUCKE

Dans l'archive du journaliste Hugo Gijsels ont retrouve ceci:

AA 1868/224 Dossier betreffende Piloot X (Raymond Aelvoet) bij Sabena en ontslag
van de vakbondsafgevaardigde in deze zaak. 1993-1994. 1 omslag.

Source: http://www.cegesoma.be/docs/Invent/Gijsels_AA1868_1986.pdf

On ne trouve pas grand chose sur Raymond Aelvoet à part le fait qu'il aurait touché le jackpot: http://www.dhnet.be/actu/faits/sabena-nouveau-scandale-51b7c17ee4b0de6db98c0d26

Bien vu Merovingien.

Il doit s'agir du pilote en question. Il faisait partie du syndicat national de l'aviation civile (Snac).

Mes collègues pilotes peuvent rappeler la lettre que j'ai en tant que premier officier junior, n'ont début des années 90, a écrit à Pierre Godefroid, à l'occasion du fait que nous avons eu en main, 17% de notre salaire et que je, entre autres exigé sa démission. Lorsque notre ancien directeur des opérations, Raymond Aelvoet daarrop est sorti j'étais spontanious dans son bureau appelé et pose ma lettre de démission pour la première fois terminé. Aujourd'hui a montré que, alors que nous étions l'équipe à la déposer, le «gang de Godefroid" se dévouent pour le ministre est arrivé à la serre noir Sabena. Ils ont en effet été envoyés par Dieu d'une mission, et donc y avaient droit. Ils ont estimé supérieur à la plèbe, parce que nous avons été traités alors. Vous vous souvenez de cette nuit-là avant le fameux référendum, quand Godefroid a menacé de sortir sa littérature concernant le Concordat ... . Les pratiques frauduleuses ont été plus tard mis sur et maltraités par les Zwitsters à ceux dont elle avait joui achat sur le serment du secret et ce qui était pure fraude première, est devenu plus tard la corruption pure. Après la plupart des membres de la bande de Godefroid ont été contraints à gauche avec de grandes oprotpremies restés personnes comme Patrick Dubois, de retour dans la Maison de la Sabena, et il a commencé à travailler sur le démantèlement de notre faveur Sabena, Swissair.,

Claire Ysebaert, ancien membre du conseil d'administration de la Sabena, qui nous a surpris avec le fait que non seulement il a soutenu notre explication, mais encore ajouté que cette que la pointe de l'iceberg ... . "Vous n'avez aucune idée de ce qui s'est déjà produit dans Sabena" dit que l'homm


ce alors que des milliards circulent en Suisse était en plein essor. La cabine a été privé du droit à un repas à bord, alors que l'avion était chargé avec des repas pour les passagers qui n'étaient pas là.

décidement! les repas sabena!

Le syndic est maintenant engagé dans la manipulation de la faillite. Déjà 10 années
Il a fait de bonnes choses que nous ne pouvons pas ignorer. Mais comme «l'avocat du diable» est vouée à tirer vers Zurich, tous ses flèches et il ne peut pas s'empêcher de laisser les managers belges seul. Soyons clairs.
Cela rend l'histoire Sabena unique et pourtant si perverse. Il ne peut donc pas être utilisé comme un modèle pour d'autres compagnies aériennes. C'est une compagnie aérienne nationale, la deuxième plus ancienne dans le monde après KLM, a été assassiné par son propre actionnaire majoritaire prémédité restera unique dans l'histoire de l'aviation.

http://www.tribunal-sabena.be/NL/speechfilipvanrossumno2011.htm

Sabena avait la compagnie de spectre Sabbel Insurance Ltd dans les Bahamas mis en place pour payer via un compte au Luxembourg. Cadres pour les années en noir Ce système existait depuis 1991.

Nous nous sommes toujours demandé comment quelque 30 milliards de francs belges ont pu être transférés vers la Suisse. Ou bien les cadres étaient stupides, ou bien ils ont été payés, car cela n'aurait pas été possible sans leur collaboration.

M. Godfroid s'est toujours occupé de technologie sociale et fiscale de pointe afin de trouver des système permettant de maintenir les coûts salariaux au plus bas, a déclaré M. Gacoms.

Il rappelle ainsi la proposition avancée alors par M. Godfroid d'établir les pilotes sous le pavillon d'autres pays, comme le Luxembourg, afin de payer moins de taxes sur leurs rémunérations.

Selon le responsable syndical, on savait aussi à l'époque que l'ex-administrateur délégué payait très bien ses collaborateurs.

L'ex -patron Pierre Godfroid a reconnu sur PV que des paiements étaient faits via les Bermudes.

Un ex-cadre de la Sabena ayant rapatrié une somme à la provenance injustifiable avait été interrogé. Il avait avoué qu'un système de rémunération occulte avait été instauré au début des années 1990, pour s'éteindre à l'arrivée de Swissair

Pierre Godfroid, patron de la compagnie aérienne de 1990 à 1995, livrait une déposition édifiante : "Quand je suis arrivé à la Sabena , j'ai trouvé une équipe qu'il fallait modifier. J'ai conservé environ 50 pc des anciens et j'ai fait appel à des gens nouveaux que je n'ai pas pu embaucher à leur valeur de marché" . Dès lors, il leur avait promis un supplément au noir "qui devait un tant soit peu améliorer leur net. (...Puis) par souci de solidarité et d'équité, j'ai fait rejoindre au fur et à mesure les anciens" . Les nouveaux ? Gery Daeninck, Claude Palmero, Bernadette Franzi, Patrick du Bois, Clément Costers et Jean Delance.

Autre découverte : des rémunérations occultes auraient aussi été servies à des administrateurs belges de Sabbel, Jan Ghyssaert et Patrick du Bois, anciens présidents, étant cités. Mais là, nouveau retour à la DLU , le canal était luxembourgeois, via AXA Luxembourg (qui n'est pas en cause). Le tout au nez et à la barbe des réviseurs de KPMG.


après les révélations d'il y a 10 jours, un système encore plus important de rémunérations occultes. Reutlinger auditionné

BRUXELLES Nouveau scandale Sabena 10 jours après les premières révélations qui avaient choqué. Même système, mais en plus grave. Selon nos infos, des primes de départ déguisées, à l'époque où la compagnie aérienne luttait pour la survie et son personnel pour l'emploi, ont été versées à une vingtaine de dirigeants, pour des montants nettement plus importants encore que le "circuit Sabbel" dévoilé (le 20 janvier 2007) par Le Soir et Soir Mag.

Limitées aux seuls 8 premiers bénéficiaires (sur les 20 à avoir touché le jackpot), ces primes de départ ont atteint la somme astronomique de 150 millions de francs : environ 3,75 millions d'euros sans impôt car tout à l'époque a été dissimulé au fisc.

L'enquête bat son plein. Selon nos infos, le Suisse Paul Reutlinger (Swissair) et le Belge Pierre Godfroid pour Sabena ont été entendus, la semaine passée, par la police judiciaire fédérale de Bruxelles, à la demande du juge Van Espen. Les questions portaient sur ce nouveau scandale. Dans l'ordre décroissant, les huit winners à avoir touché le jackpot sont : Pierre Godfroid, Raymond Aelvoet, Hilde Burie, Hugues Frazer, M. Petit, Patrick du Bois, M. Guissart et Tony Jossa. 10 autres dirigeants ont touché des montants moins importants mais néanmoins confortables, faites-leur confiance.

Parfois appelés "primes de non-concurrence" , ces versements avaient complètement échappé aux réviseurs. Ils ont été détectés par les experts du juge, sur une comptabilité parallèle à laquelle les syndicats n'ont jamais eu accès.

Pierre Godfroid : 35 millions de francs (875.000 €); Raymond Aelvoet, ex-dirigeant syndical, directeur des opérations : 35 millions (875.000 €); Hilde Burie, directrice RH : 30 millions (750.000 €). Patrick du Bois : 17 millions (425.000 €). Répétons : ces avantages sont indépendants des versements Sabbel (ces autres versements réalisés ceux-là par l'intermédiaire d'une banque aux Bermudes, médiatisés il y a 10 jours, NdlR).

http://www.tribunal-sabena.be/FR/caissenoiresabena.htm

mais ou est passer la sabena? ("mais ou est passer la derniere compagnie",filme)

luanda a écrit:

(...)

mais ou est passer la sabena? ("mais ou est passer la derniere compagnie",filme)

...dans le Triangle des Bermudes ?  

Un rapport récent du SGR cite ainsi l'exemple du pilote belge, R. A., impliqué dans un accident d'avion dans en juillet 1994 après son décollage d'Angola. `Les vols étaient complètement fous´, se souvient l'un de ces pilotes qui avoue `avoir tout largué après trois mois de folie. L'argent coule à flots, mais les risques sont énormes et on perd tout point de repère.´

http://www.dhnet.be/actu/societe/la-belgique-carrefour-du-trafic-de-diamants-51b7d861e4b0de6db99171a4

En juillet 1994, Christopher Barrett-Jolley en personne transporte 1,800 tonne d’armes de Plivdov en Bulgarie jusque Riyan au Sud-Yemen. Des Kalachnikovs, des mortiers et des bombes diverses. Pour 2000 dollars seulement le voyage, selon lui. Il fera plusieurs vols, qui seront tous déclarés « humanitaires ». Etrange façon de voir les choses. Il récidive en octobre 1994 vers l’Angola, en apportant 44 tonnes d’armes cette fois de Vishkek vers Luanda.

Christopher Barrett-Jolley change alors d’appareils pour les Antonovs d’Aaeroflot. Imitant ainsi un des autres amis de Rossignol, l’incroyable Victor Bout, qui les fait décoller lui aussi d’Ostende.

Ronald Desmet, accessoirement pilote de la famille royale saoudienne à ces heures. Un autre beau cas d’espèces : devenu PDG d’Air Cess, société de Victor Bout, il est le fils d’un ancien responsable de la Gécamines

Avec Victor Bout, il a aussi créé la firme Eastbound BVBA, une filière d’exportation de voitures neuves et d’occasion : le bon filon. Dans le genre, on met de tout. Y compris des voitures dont on ne sait pas toujours la provenance ! Ou avec un Boeing 707

En 1993-1994, le principal contact de l’UNITA fut un négociant en armes sud-africain nommé Ronnie De Decker. Les armements et le matériel militaire étaient échangés contre des diamants. A partir de 1995 ou 1996, jusqu’en octobre 1999, le Libanais Imad Kabir, ou Bakri, aurait été le principal intermédiaire de l’UNITA pour les importations d’armements et de matériel militaire, livrées via Kinshasa. Victor Bout, né au Tadjikistan et mis en relation avec Savimbi via le Rwanda,

On pense en effet à Jacques Wilmart, 75 ans, ancien commandant de bord de la compagnie Sabena, celui rendu célèbre pour l’affaire des enfants du Tchad, celle de l’arche de Zoé qui avait en fait déjà avant transporté dans son monomoteur une trentaine d’enfants en 43 heures de vol au total

le Check-in pilots bar », un petit bar de Waterloo, dans la banlieue de Bruxelles, un des bars où peuvent se rencontrer des pilotes à l’affût d’un vol quel qu’il soit. C’est là où Wilmart avait été contacté

http://www.dhnet.be/actu/societe/la-belgique-carrefour-du-trafic-de-diamants-51b7d861e4b0de6db99171a4

C’est qu’Anvers et son commerce du diamant représentent 7% de nos exportations.

Dans un de ces rapports du Service Général de Renseignement (SGR) les noms de quelques industriels belges très actifs au Congo sont mentionnés pour leurs investissements dans les zones contrôlées par l’Unita

David Zollmann est un de ces hommes. Le diamantaire anversois a aussi été épinglé par un rapport des Nations Unies et de nombreuses ONG. Il y a quelques mois, Zollmann contre-attaquait. 'L’Onu m’a cité sans aucune preuve'

ce proche de Mobutu qui achetait dans les années 90 tant du côté zaïrois qu’angolais (zones Unita comprises) reconnaissait 'tout le monde le faisait'

Jamais entendu parler de ce Marin, mais un garagiste un peu doué qui meurt dans des circonstances suspectes, au vu du dossier qui nous tarabuste, ça peut être intéressant.

Il y avait sans soute un mécano un peu doué dans la bande (les bandes ?).  Que sait-on exactement des circonstances de sa mort ?  Quand a eu lieu cette histoire ?