Jacques Jonet

Jean-Pierre Mazery a témoigné hier (7 juillet 2017) devant la commission parlementaire d'enquête "kazakhgate".





A cette occasion, il a confirmé que Martine de Bassompierre était une membre bien connue et importante de l'Ordre de Malte en Belgique et qu'elle s'était opposée à ce que l'industriel George Forrest reçoive le titre de baron... ce qui l'opposait à Jean-François Etienne des Rosaies qui serait "tombé amoureux" de George Forrest.

Jacques Jonet est sur le "listing Beijer" :

https://fr.scribd.com/doc/55267083/29584595-List-Beijer

HUMO  -  16 juillet 1996





(traduction)

Chantal de Bassompierre, la veuve de Guy Cruysmans, tombe du ciel ; tout ce qu'elle sait, c'est que son mari travaillait à la Caisse Privée et qu'il avait été auparavant chef scout. Pour le reste, elle ne sait rien, absolument rien. "Philippe Thierry, Georges Haemers et Guy Lacroix, je n'ai jamais entendu ces noms", dit-elle. Et elle nous déconseille également de téléphoner à la Caisse


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(traduction)

Les liens entre VdB, la Caisse Privée et la famille Cruysmans étaient visibles partout. Guy Cruysmans était marié à Chantal de Bassompierre, et la soeur de Chantal de Bassornpierre a épousé l'avocat de droite Jacques Jonet, un confident de VdB. En 1979, Vanden Boeynants a déclaré qu'il ne possédait que trois biens immobiliers ; jusqu'à ce que les enquêteurs qui se sont penchés sur ses activités frauduleuses découvrent la société irnmobilière du Bastion. Cette société était dirigée par Daniel Cruysmans et Guy Cruysmans et par le gendre de VdB. L'agent immobilier était propriétaire de quatre immeubles à Bruxelles. Le véritable propriétaire de l'Immobilière du Bastion s'est avéré être Paul Vanden Boeynants.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_paneurop%C3%A9enne_internationale






Aux côtés de Jacques Jonet et de Florimond Damman, il y a Wolfram Bitschnau (ancien Nazi autrichien) et Loris Facchinetti (franc-maçon, membre du groupe néofasciste Europa Civiltà).

On retrouve Loris Facchinetti dans la lettre qu'il écrit à Vittorio Pons





(traduction d'un extrait)

Je crois que Strauss, Tindemans et les autres amis devraient concentrer leur action en Italie sur le professeur Gedda, en lui donnant les moyens économiques d'intervenir en ce moment, dans notre pays, avec des instruments incisifs.

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Il s'agit clairement d'un appel de fonds à Franz Josef Strauss (qui contribuait au financement de Aginter Presse, sans doute avec le soutien d'industriels et financiers bavarois) et à Léo Tindemans (avec quels fonds pouvait-il intervenir ?)

Le médecin de Otto de Habsbourg aurait été Franz Reidweg

https://fr.wikipedia.org/wiki/Franz_Riedweg

Franz Riedweg, né le 10 avril 1907 à Lucerne et mort le 22 janvier 2005 à Munich est un médecin suisse, Obersturmbannführer de la Waffen-SS.

Il dirigeait le journal SS-Leitheft.

Responsable du recrutement de volontaires dans plusieurs pays, il avait également des liens privilégiés avec Heinrich Himmler. Après la Deuxième Guerre mondiale il s'est installé à Munich, où il a repris son activité de médecin. Il n'a jamais renié le nazisme.

https://www.imago-images.com/st/0084537007

https://gw.geneanet.org/gounou?lang=en&pz=auguste&nz=dumont&p=francois&n=de+bassompierre

L'épouse de Jacques Jonet était Martine de Bassompierre, soeur de Chantal de Bassompierre, l'épouse de Guy Cruysmans de la Caisse Privée qui a employé Patrick Haemers, Philippe Lacroix, etc

https://archive.ph/20120530174850/www.bendevannijvel.com/daders/personen_haemers.html

Chantal de Bassompierre, de weduwe van Guy Cruysmans, valt uit de lucht, ze weet alleen dat haar man bij de Caisse Privé werkte en dat hij vroeger scoutsleider was. "Philippe, Thierry, Georges Haemers en Guy Lacroix, ik heb die namen nog nooit gehoord", zegt ze.


https://www.ag-group.be/fr/avis-de-deces/chantal-de-bassompierre/

Selon

http://ofuturopresente.blogspot.com/2007/04/adieu-mon-ami-short-memoir-of-jacques.html

Jacques Jonet participait à l' Institut d’Études Politiques Vaduz.

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Die Internationale der Konservativen: Transnationale Elitenzirkel und ...
Johannes Großmann





(traduction)

c) " ... un centre intellectuel de la politique conservatrice jusqu'à nos jours"

Un article paru en 1985 dans International Background illustre à quel point l'institut de Vaduz a parfois évolué sur un terrain glissant en se rapprochant des positions de la "Nouvelle Droite". Dans cet article, Fredborg, s'inspirant clairement du discours "ethnopluraliste" de la "Nouvelle Droite" française, se prononce en faveur d'une renaissance du concept discrédité de race dans le contexte d'un débat accru sur l'immigration et l'intégration. Une certaine tendance à la radicalisation est également manifeste sur le plan personnel. En 1982, deux représentants éminents de la droite nationaliste du FPÖ, Elmar Walter, chef de département au ministère de l'Économie, et John Gudenus, employé au ministère de la Défense, sont devenus membres de l'Institut en provenance d'Autriche. Alors que Walter s'est illustré plus tard comme auteur de la revue Die Aula, classée à l'extrême droite, Gudenus, nommé membre du Conseil fédéral autrichien en 1990, a été condamné en 2006 pour avoir minimisé l'holocauste. Le général Close et le jeune député Armand De Decker ont rejoint l'institut de Vaduz en provenance de Belgique. Comme Jonet, ils étaient des membres éminents de l'anticommuniste Institut Européen pour la Paix et la Sécurité (IEPS), fondé en 1983 à Bruxelles. Au début des années 1980, l'investisseur grec Vassilios Alexandras Tsakos a apparemment été invité au moins une fois à la "Maison de Malans". A cette époque, il cherchait à obtenir le soutien des milieux proches du gouvernement pour son projet d'oléoduc transafricain reliant la mer Rouge à l'Atlantique, et distribuait - comme on l'a su plus tard - de généreux cadeaux financiers.

La tolérance tacite de positions radicales et d'agissements sans discernement était surtout explosive parce qu'à côté de cela, des responsables politiques influents s'engageaient activement au sein de l'institut de Vaduz ou apparaissaient au moins comme conférenciers. C'est ainsi qu'au cours des années 1980, la liste des membres, déjà impressionnante, a pu être complétée par des politiciens conservateurs de renom tels que le député britannique à la Chambre des communes et futur garde du sceau Robert Gascoyne-Cecil Viscount Cranborne, son collègue de fraction Charles Wardle

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https://www.cairn.info/revue-histoire-economie-et-societe-2016-2-page-32.htm

(...)  quatre cercles d’élites : le Centre européen de documentation et d’information (CEDI), le Comité international de défense de la civilisation chrétienne (CIDCC), l’Institut d’études politiques de Vaduz et le Cercle. Liés entre eux de manière plus ou moins étroite, ces quatre forums de rencontre interpersonnel partageaient un certain nombre de caractéristiques : le rôle éminent – d’élites – de la plupart de leurs protagonistes dans la vie politique, économique, militaire, scientifique ou culturelle de leurs pays respectifs ; le caractère « privé » et secret de leurs activités, portées par un esprit d’amitié et de consentement mutuel ; leur composition transnationale ; et – surtout – l’affirmation explicite et offensive de leur orientation conservatrice.  (...)

Les adhérents de l’Institut de Vaduz procédaient à un échange régulier d’informations sur la situation internationale et les développements dans leurs pays respectifs en se rencontrant, entre amis, quatre week-ends par an. Hans-Joachim von Merkatz fut le premier président de l’Institut. Tandis que le CEDI fut surtout financé par le ministère espagnol des Affaires étrangères, l’Institut de Vaduz n’avait pas besoin d’aides d’État, grâce aux cotisations annuelles payées par ses membres. Au début des années 1970, il disposa même de moyens financiers suffisants pour acquérir un terrain à bâtir et construire sa propre maison, parfaitement adaptée à ses besoins. Les rencontres de l’Institut réunissaient un groupe influent d’hommes politiques, d’entrepreneurs et de journalistes conservateurs européens et américains.  (...)

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https://www.degruyter.com/document/doi/10.1524/9783110354263.389/html

(traduction)

Face aux changements dynamiques des "longues" années 1960, le CEDI, imprégné de valeurs traditionnelles, avec son mode de fonctionnement inflexible et son obsolescence manifeste, devait apparaître aux yeux des observateurs extérieurs comme une étrange relique d'une époque que l'on croyait révolue.  En effet, le CEDI était perçu par le public - si tant est qu'il l'ait été - comme un club d'anciens, éloigné de la réalité, composé de propagandistes sclérosés, de monarchistes irréductibles et de nostalgiques du clergé.1 Parallèlement, les liens étroits du CEDI avec l'Espagne et le Portugal commençaient à peser sérieusement sur sa réputation dans les démocraties d'Europe occidentale. Dès la fin des années 1950, un petit groupe de membres éminents du CEDI avait toutefois réussi à se réorganiser à l'écart du public, dans un contexte local différent et sous des auspices idéologiques différents, créant ainsi un forum alternatif et beaucoup plus efficace pour discuter des valeurs et des politiques conservatrices. La création d'un "Institut européen d'études politiques", qui devait "élaborer, avec le concours de spécialistes, des propositions pratiques de nature politique, économique, sociale et culturelle à soumettre à toutes les organisations et institutions nationales et internationales", avait déjà été annoncée dans les statuts du CEDI de 1957.2 Des goulots d'étranglement financiers et un désaccord sur la forme de l'institut à créer avaient cependant empêché la réalisation de ce projet dans un premier temps.

C'est principalement grâce à Arvid Fredborg que les plans initiaux ont pu être réalisés, même s'ils ont été modifiés.  Né en 1915 à Hudiksvall, Fredborg est issu d'une famille imprégnée de valeurs conservatrices traditionnelles et a grandi dans le milieu de la haute bourgeoisie cultivée de la ville scolaire et épiscopale de Skala, dans l'ouest de la Suède. Dès ses années de lycée, Fredborg est devenu membre de l'organisation de jeunesse de la Ligue générale des électeurs, un parti national-conservateur.  (...)

Die Internationale der Konservativen: Transnationale Elitenzirkel und ...
Johannes Großmann



(traduction)

Ainsi, outre Otto de Habsbourg, Agnew, Fontmichel, Fredborg, Moreira, Rippon et Alois von Waldburg-Zeil, entre autres, annulèrent leur participation. Dans ce contexte, le slogan d'Habib-Deloncle était plus défiant que convaincant : "Le CEDI a survécu et il continuera à survivre !" (81)

Ce qui devait être le début d'une nouvelle période de prospérité s'est avéré être le dernier clou du cercueil d'une organisation qui avait déjà dépassé son zénith depuis des années. Le discours solennel de Huyn ne fut donc guère plus qu'un chant d'adieu nostalgique à "la plus ancienne institution internationale chrétienne-conservatrice en Europe après la Seconde Guerre mondiale", dont les membres avaient souvent "donné des impulsions décisives à la coopération internationale des partis chrétiens et conservateurs" (82). Le seul résultat concret du congrès fut la nomination du Belge Paul Vankerkhoven comme nouveau président international. L'ancien député européen Vankerkhoven, qui n'avait que peu de craintes à l'égard des groupes d'extrême droite, avait déjà pris la direction du centre belge en 1971 après la mort de De Roover et l'avait rallié à une ligne conservatrice radicale, à la fois anticommuniste et critique envers les Etats-Unis. La direction que prendrait le CEDI sous la direction du Centre belge était déjà perceptible lors du Conseil de Bruxelles de novembre 1982, lorsque l'ancien général de l'OTAN Robert Close condamna la stratégie de l'Alliance atlantique du Nord, demanda une orientation des médias de masse et polémiqua contre le "cancer des mouvements neutralistes et pacifistes". (83)

Le congrès de Wildbad Kreuth devait toutefois rester la dernière manifestation du CEDI international. Une réunion du Conseil, annoncée pour le printemps 1987, n'a pas eu lieu.


(81) Procès-verbal de la réunion du Conseil international du 17.10.1986 à Wildbad Kreuth, dans : ACSP-NL Jaeger-D 96.

(82) Texte de la conférence de Huyn intitulée "Liberté - La stratégie pour la paix", dans : ibid.

(83) Notes manuscrites de Habib-Deloncle, 8. 11. 1982, dans : Archives privées Habib-Deloncle. Sur les membres belges du CEDI Vankerkhoven, Close, Jonet et Kerchove, qui étaient également actifs au sein du Cercle, voir également p. 544.

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(page 544 - sur le "Cercle")



(traduction)

Comme auparavant au sein du CEDI, les participants des différents pays, de plus en plus souvent désignés comme "membres", étaient de plus en plus perçus comme des délégations nationales et annoncés comme tels dans les invitations. Les groupes les plus importants, composés de huit à vingt personnes, venaient généralement des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de l'Allemagne, les Américains étant particulièrement bien représentés lors des réunions annuelles organisées à Washington. Le groupe belge, composé presque exclusivement de représentants de l'anti-communiste IEPS tels que Close, De Decker, Jonet, Nicolas de Kerchove et Vankerkhoven, a également joué un rôle important, car il était largement identique à la participation belge au CEDI et à l'Institut de Vaduz. Dans les années 1980, seuls l'ancien commandant général des carabiniers, Umberto Cappuzzo, et Giancarlo Valori, également engagé dans l'Institut de Vaduz, ont rejoint le Cercle en provenance d'Italie. Les Pays-Bas étaient représentés par le juriste et politologue de Tilburg Frans Alting van Geusau et l'entrepreneur Frans Otten.

Les charismatiques
Anne Devailly





Voir

Une certaine idée de l'Europe - OTTO DE HABSBOURG - L'Union Paneuropéenne

https://www.dailymotion.com/video/xquqrn


Entretien - Otto de Habsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=9IrBP_g4sjk


Interview d'Otto de Habsbourg-Lorraine: Jean Monnet (Pöcking, 5-6 février 2004)

Dans cet entretien privé, l'Archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, président de l'Union paneuropéenne internationale, distingue la vision technocratique de l'Europe unie de Jean Monnet de la perception plus prophétique du comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur de l'Union Paneurope.

https://www.cvce.eu/obj/interview_d_otto_de_habsbourg_lorraine_jean_monnet_pocking_5_6_fevrier_2004-fr-a55f97f2-8aa2-4283-8aad-50bf38c98273.html


Interview d'Otto de Habsbourg-Lorraine: le général de Gaulle et l'Europe (Pöcking, 5-6 février 2004)

Dans cette interview, l'Archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, président de l'Union paneuropéenne internationale et ancien député européen, explique pourquoi, à ses yeux, le général de Gaulle a été un acteur majeur dans l'histoire de la construction européenne.

https://www.cvce.eu/obj/interview_d_otto_de_habsbourg_lorraine_le_general_de_gaulle_et_l_europe_pocking_5_6_fevrier_2004-fr-1617fb55-b16c-4837-b8c2-c0b6cbf455b3.html


Interview d'Otto de Habsbourg-Lorraine: le cinquième élargissement de l'UE (Pöcking, 5-6 février 2004)

L'Archiduc Otto de Habsbourg, président de l'Union paneuropéenne internationale, s'exprime en faveur de l'élargissement de l'Union européenne. Ancien député au Parlement européen, il n'a cessé de lutter pour l'unification de l'Europe.

https://www.cvce.eu/obj/interview_d_otto_de_habsbourg_lorraine_le_cinquieme_elargissement_de_l_ue_pocking_5_6_fevrier_2004-fr-5286a5ff-2059-4186-a0f8-55bea003735a.html

Dans les archives (très riches) de Kyril Drenikoff (qui mériterait d'être mieux connu) :  





Il est question de l' Associato Benedictus Patronus Europae dans le livre de André Van Bosbeke :




(traduction)

Devant moi se trouve le programme du 'Vème Congrès - 5,6
et 7 octobre 1973' de l' 'Associatio Benedictus Patronus Europae'. Il s'agit
d'une organisation relativement peu connue. Ce Vème congrès s'est tenu à
Madrid sous la présidence du Cardinal Marcelo Gonzalez Martin, Primat
d'Espagne. Les orateurs étaient, entre autres, Marcel Clément, membre du
Cercle Violet, Paul Vankerkhoven, et S.A.I. et R. l'Archiduc Otto de
Habsbourg.

_ _ _

Marcel Clément, directeur de L'Homme Nouveau, est un ami et l'un des hommes-clés du « système Violet ».

Dans la liste des participants à ce qui a sans doute été le 25ème et dernier congrès du CEDI :

Madrid - 25-28 Novembre 1976

_  

Benoît de Bonvoisin

Jean Bougerol

Brian Crozier

Florimond Damman

Jacques Jonet

Bernard Mercier

Carlo Pesenti

Antoine Pinay

Angèle Verdin  

Jean Violet

(...)

Note :

Carlo Pesenti était lié à la Milice de Jésus-Christ et a lancé les invitations pour la réunion de Royaumont ; il a aussi supporté financièrement Avanguardia Nazonale de Stefano Delle Chiaie...

Florimond Damman était en contact avec Yves Guérin-Sérac de Aginter Presse (où on retrouvait aussi Stefano Delle Chiaie).

Hommage à Otto de Habsbourg :  

https://www.monarchiesetdynastiesdumonde.com/pages/actualites-des-monarchies-du-monde/europe/autriche/hommage-otto-de-habsbourg-lorraine-une-vie-au-service-des-autres.html

(...)  Sous le regard de l'Abbé Général Frank Bayard, Grand Maître de l'Ordre Teutonique, (...)

_ _ _

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_grands_ma%C3%AEtres_de_l%27ordre_Teutonique

La période de l'ordre clérical (depuis 1923)

1923-1933 : Mgr Norbert Klein.

1933-1936 : abbé Paul Heider.

1936-1948 : abbé Robert Schälzky.

1948-1970 : abbé Marian Tumler.

1970-1988 : abbé Ildefons Pauler.

1988-2000 : abbé Arnold Wieland.

2000-2018 : abbé Bruno Platter.

2018 : abbé Frank Bayard

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http://www.imperialteutonicorder.com/id289.html



Otto was exiled in 1919 and grew up mostly in Spain. His devout Catholic mother raised him according to the old curriculum of Austria-Hungary, preparing him to become a Catholic monarch. During his life in exile, he lived in Switzerland, Madeira, Spain, Belgium, France, the United States, and from 1954 until his death, finally in Bavaria (Germany), in the residence Villa Austria. At the time of his death, he was a citizen of Germany, Austria, Hungary, and Croatia, having earlier been stateless de jure and de facto, and possessed passports of Monaco, the Order of Malta, and Spain. His funeral took place at St. Stephen's Cathedral in Vienna on 16 July 2011; he was entombed in the Imperial Crypt in Vienna and his heart buried in Pannonhalma Archabbey in Hungary.

La mère de Otto de Habsbourg :  

https://www.tombes-sepultures.com/crbst_964.html



Zita était la soeur de François-Xavier de Bourbon-Parme

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois-Xavier_de_Bourbon-Parme

François-Xavier de Bourbon-Parme est le père de Sixte-Henri de Bourbon-Parme (1940) qui engagera Stefano Delle Chiaie (Montejura) et financera la revue "Confidentiel" (à laquelle le général Robert Close donnera une longue interview).

Voir :

https://www.cairn.info/revue-histoire-economie-et-societe-2016-2-page-32.htmTest

L’« Internationale des Conservateurs ». Cercles d’élites transnationaux, diplomatie informelle et biographies croisées en Europe occidentale depuis 1945

Johannes Grossmann

(...)

Notre contribution essayera de nuancer voire de déconstruire cette idée prédominante niant l’existence d’un « vrai » internationalisme conservateur dépassant le cadre du pragmatisme politique et des alliances ponctuelles. Elle le fera en présentant quatre cercles d’élites : le Centre européen de documentation et d’information (CEDI), le Comité international de défense de la civilisation chrétienne (CIDCC), l’Institut d’études politiques de Vaduz et le Cercle. Liés entre eux de manière plus ou moins étroite, ces quatre forums de rencontre interpersonnel partageaient un certain nombre de caractéristiques : le rôle éminent – d’élites – de la plupart de leurs protagonistes dans la vie politique, économique, militaire, scientifique ou culturelle de leurs pays respectifs ; le caractère « privé » et secret de leurs activités, portées par un esprit d’amitié et de consentement mutuel ; leur composition transnationale ; et – surtout – l’affirmation explicite et offensive de leur orientation conservatrice.

(...)

https://www.orderofmalta.int/fr/actualites/le-grand-maitre-aux-funerailles-solennelles-de-otto-de-habsbourg/

Le Grand Maître aux funérailles solennelles de Otto De Habsbourg





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http://www.archivioradiovaticana.va/storico/2017/01/25/le_grand_ma%C3%AEtre_de_lordre_de_malte_a_d%C3%A9missionn%C3%A9/fr-1288214





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Extrait du livre de Antonella Beccaria sur Elio Ciolini...
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L’Uruguay era il paese prescelto anche da un altro dei vertici della P2, Umberto Ortolani, braccio destro di Gelli, che aveva casa in avenida Costa Rica, sempre a Montevideo, presso la sede del Sovrano ordine militare di Malta (Smom), di cui era ambasciatore. Detto in altre parole, la mente finanziaria della P2 risiedeva in una zona che stava in Uruguay, ma che per ragioni diplomatiche esulava dalla sua territorialità.

(traduction)

L'Uruguay a également été le pays choisi par un autre des dirigeants de la P2, Umberto Ortolani, le bras droit de Gelli, qui possédait une maison sur l'Avenida Costa Rica, également à Montevideo, au siège de l'Ordre Souverain Militaire de Malte (SMOM), dont il était ambassadeur. En d'autres termes, l'esprit financier de la P2 résidait dans une zone qui était en Uruguay, mais qui, pour des raisons diplomatiques, dépassait sa territorialité.

Un message de Michel Libert...

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Le PAL reposait sur un parrainage de facto de responsables pouvant démontrer une ascendance réelle ou assimilable articulée sur des 'Chapelles' lesquelles représentaient autant de gages de dévotion et de sérieux liés aux objectifs germaniques pan-européens d'après-guerre et anti-bolcheviques condition sine qua non pour toute performance à venir par des réseaux existants ou envisagés.

Chaque Chapelle devait être un catalyseur des valeurs émergeant d'une Tradition que l'on peut comparer à la Franc-Maconnerie 'opérative' lesquelles étaient loin d'être comparables autant que compatibles avec celle qualifiée de 'spéculative'.

Chaque réseau, afin d'obtenir un blanc seing pour envisager des opérations (action et/ou information), devait obtenir l'aval d'anciens Officiers ayant passé une formation légitime à Bad Töelz.

Chaque candidature de 'Commandeur' était soumise à une agréation particulièrement sévère où l'avis de la Maison de Otto de Habsbpurg était prépondérant.

Je considère que cela fut que trop souvent un fiasco dû à une récupération exercée par des Puissants désireux d'utiliser nos réseaux à des fins purement privées.


TC

ML

Pour information :

https://www.anrb-vakb.be/marie-laure-jonet-nous-partage-2?lang=fr

Jacques Jonet était le prédécesseur d'André Querton comme représentant de l'Ordre de Malte en Belgique.

L'épouse d'André Querton est Charlotte Lhoist (ancienne directrice du groupe Lhoist).

https://be.linkedin.com/in/andr%C3%A9-querton-a89a5946

https://userpages.fu-berlin.de/~leiger/WiltonPark/wiltonen_en.htm

Addresses of international Wilton Park Associations

Belgium
Jacques G Jonet
Domaine du Fuji 21
B-1970 Wezembeek-Oppem

Tel: 00 32 2 731 3060
Fax: 00 32 2 782 1600
Email: jacques.jonet@skynet.be


France
Professor Jean-Pierre Mazéry
Président
Communication Board
Sovereign Order of Malta
92 Rue du Ranelagh
F-75016 Paris

Tel: 00 33 6 80 43 66 37
Fax: 00 33 1 44 05 14 77
Email: jeanpierremazery@hotmail.com