carton jaune pour De Decker

Sur les mercenaires, voir aussi :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/les-suspects-f45/christian-amory-t260-75.htm#40737

En ce qui concerne le nommé GIGNEZ Freddy, j'ai appris qu'il s'agissait d'une personne étant le président d'une association "Contact" [...] et qu'il pouvait fournir du travail à des aventuriers désirant se rendre à l'étranger. En bas de cette page, vous pouvez constater que j'ai inscrit "Le Marseillais", mercenaire Afrique du Sud. Il s'agit d'un résumé de la conversation que j'avais eu avec BOUHOUCHE [vers sept. 1985] lorsque je lui avais demandé et dit que je désirais trouver un travail plus intéressant et que CALMETTE dit "le Marseillais" engageait pour l'Afrique du Sud des mercenaires qu' il payait 150.000 fr par mois." (s: Amory, PV21266)

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2419p15-wachtelaer-herman

"Wachtelaer est en relation avec le MSN (Mouvement Social Nationaliste) pour l'obtention d'armes, où il jouit d'un crédit certain, par l'entremise de Gignez, Freddy, lequel est un ami intime de Wachtelaer."

Freddy Gignez ("Le contact") "pouvait fournir du travail à des aventuriers désirant se rendre à l'étranger" (mercenariat).

"Le Mouvement Social Nationaliste (MSN), dont le nom définit si bien l'idéologie, est le successeur du mouvement rexiste à la fin des années 70. Ces enfants de Léon Degrelle étaient dirigés par José Ravet, l'homme qui organise les contacts avec Jean-Marie Le Pen et son Front National. En 1985, pas moins de cinq militants du MSN se présentaient sur les listes du FNNF, comme Jean-Pierre Demol et Freddy Gignez, tous deux membres du bureau politique du Mouvement Social Nationaliste. (s: article 'combat' / 1987).

José Ravet est aussi l'éditeur responsable de "L'éveil nationaliste" ( MSN )

http://www.scribd.com/doc/90971300/L-eveil-nationaliste

J'ai déjà dit sur d'autres fils de discussion à quoi "Troiano" me faisait penser (Hyperion, Eurologos) mais il peut s'agir d'un homonyme ///

Par contre, il est intéressant de se centrer sur l'avenue Wielemans Ceuppens 64 et de voir ce qu'il y a dans un rayon de 100 à 200 mètres ...

Le Soir
21 septembre 1983

(...)

L'ancien sous-officier arrêté, et dont le mandat a été confirmé pour un mois, appartenait à la Force navale : le quartier-maître Michel Libert,vingt-quatre ans, de Saint-Gilles, n'avait pas renouvelé son engagement comme sous-officier temporaire l'année dernière, il est donc redevenu civil. Selon nos informations, il conteste avoir volé ces documents à l'état-major, mais dit les avoir reçus ou à tout le moins les avoir découverts dans l'appartement d'un étranger, à Saint-Gilles.

Par ailleurs, un ami de Michel Libert, arrêté il y a un mois pour une autre cause, est actuellement interrogé sur la provenance des documents secrets. Il s'agit de Marcel Barbier, que la police de Forest appréhenda le 16 août dernier, avenue Wielemans Ceuppens, alors qu'au cours d'une rixe avec son frère, il avait tiré un coup de feu lorsque des passants étaient intervenus pour le calmer.


RENÉ HAQUIN

Un document très intéressant : le journal de Robert Barbier (le frère de Marcel) :

http://fr.scribd.com/doc/100189384/Robert-Barbier-WNP-Journal

Il me semble nécessaire de le lire pour mieux comprendre le WNP ... et s'intéresser à ses relais en Allemagne.

A noter la mention de Mitsui, qui a suscité les développements sur Jimmy le Belge / Guillaume Vogeleer. Des représentants de Mitsui étaient au Cercle des Nations.

Un lecteur attentif me fait remarquer que lorsqu'il est placé sous mandat d’arrêt, Marcel Barbier est inscrit à St.-Gilles, rue de Parme 42.

La maison située au n° 42 de la rue de Parme était l’ancien domicile et résidence de Michel Libert, qui avait déménagé.

Depuis le mois de juin 1983, c'est Marco Santi qui occupait cette maison. On peut trouver facilement le parcours de Marco Santi sur internet ...


_ _ _


La mention de José Ravet est pour moi une confirmation que c'est bien de Jean-Marie Le Pen qu'il est question dans le schéma de Latinus (et que Vega est bien l'ambassadeur argentin à Paris, membre de la loge P2 qui était à ce moment très puissante en Argentine).

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Pour en revenir à Claude Guéant, destinataire de la lettre de J-F Etienne des Rosaies, il en est beaucoup question dans l'actualité :

http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Accuse-par-Takieddine-Gueant-dement-584124

(...) "Oui, la Libye a financé Sarkozy et Guéant", lance dans le Parisien de mercredi Ziad Takieddine. Réponse de l'un des deux intéressés, Claude Guéant, sur le plateau d'i-Télé dans la soirée : "Tout ce que raconte monsieur Takieddine est faux." (...)

Cela ajoute-t-il du crédit à ce que prétend Lee Wanta ?

“This was Gladio, of course, the bastardized anti-Communist program that set up terror organizations across Europe as a “fall back” defense in case of a successful Soviet invasion. Libya was the staging ground for Gladio, a program operated, not out of Italy as reported, but out of Switzerland, by the ‘P2,’ a Freemason organization that eventually operated in 26 countries, across not only Europe but Latin America as well.”

(je n'ai pas d'avis sur la question mais il est regrettable qu'il n'y ait pas eu de procès public de Kadhaffi ...)

Coïncidence ?

http://www.resistances.be/tueurs1.html

16 août 1983

Marcel Barbier (le n°3 du groupe action du WNP) est arrête, à Saint-Gilles (une commune de Bruxelles), suite à une bagarre de rue. Néanmoins, il fait des révélations sur le WNP. Des documents confidentiels de l’OTAN volés par cette organisation sont retrouvés dans son appartement. L’affaire WNP débute.

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https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2087p75-vols-de-voitures-tbw-et-copycats

(...) VW PASSAT luxe quatre portes, de couleur vert métallisé , découverte le 17 août (1983) tôt le matin, à l'orée du bois de Lobbes.

Ce véhicule flambant neuf a été dérobé la nuit précédente sur le parking qui jouxte la chaîne de montage de Volkswagen à Forest. Il n'a jamais été immatriculé.

Avant de mettre le feu et de s'appliquer à ce que les flammes effacent toutes traces - on l'a soigneusement imbibé d'un produit inflammable - on l'a réduit à l'état de carcasse inutile. La batterie , les bougies, la roue de rechange et même le réservoir ont été emportés. Par contre surprise : on decouvre dans le coffre deux sieges démontés provenant d'une Golf : celle de juin 1983 abandonnée à quelques centaines de mètres de là deux mois plus tôt.

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Le café "Le Contact" est très proche des parkings de VW Forest. Il serait intéressant de savoir qui était responsable du gardiennage ... Il faudrait aussi s'intéresser à la soirée entre la direction de VW et Karel de Lombaerde / Michel Libert (décrite par ce dernier).

Un dossier du Nouvel Observateur du 3 janvier 2013 est sur :

http://fr.scribd.com/doc/118778069/Nouvelobs-3-jan-2013-Francs-macons

Ces francs-maçons qui nous gouvernent

Extrait :

http://robert-friedman-red-mafiya.blogspot.be/2007/09/robert-friedman-red-mafiya-jewish-mafia_1596.html

Robert Friedman Red Mafiya Jewish Mafia or Russian mafia 5/6

(...)

Mogilevich's lieutenants are trained in intelligence operations and countersurveillance, and pro­vide warnings of impending police actions against the organization. Law officers in Hungary and elsewhere keep him apprised of police efforts to penetrate his orga­nization.

"He also ingratiates himself with the police by providing information on other [Russian crime] groups' activities, thus appearing to be a cooperative good citizen," a classified FBI report asserts.

In fact, Mogilevich has used precisely that ploy to com­promise other European intelligence services. On April 28, 1998, the German national television network ZDF reported that the BND (the German intelligence agency) had entered into a secret contract with Mogilevich to sup­ply information on rival Russian mob groups. The charges were made by several sources, including Pierre Delilez, a highly regarded Belgian police investigator who specializes in Russian organized crime. If the television report is accu­rate, one possible motive for BND's deal, believes a U.S. law enforcement expert on the Russian mob, is that the Germans faced an intelligence gap after having "pulled their people out of Moscow in 1998 because they didn't like the level of cooperation they were getting from the Russian authorities on the Russian mob." Because of the deal with the BND, police in Belgium, Germany, and Aus­tria have complained that it is now impossible to investigate the Brainy Don.

Mogilevich also developed substantial and well-con­cealed political connections, particularly in Israel, according to reports by Israeli intelligence, which notes the mysterious and unexplained disappearance of Mogilevich's Ministry of Interior file. In Brussels, Mogilevich's man Anatoly Katric, a Ukrainian-born Israeli citizen who spent much of his time entertaining international diplomats for the Red Mafiya, approached Philip Rosenberg, the head of the far-right, anit-immi-grant National Front Party, which held 5 percent of the seats in the Brussels parliament. Katric offered Rosen­berg 3 billion Belgian francs to obtain Mogilevich Belgian citizenship. Rosenberg allegedly agreed, but was indicted on corruption charges and fled to Papaya, Thailand, before the deal could be consummated. Investigators found suspected bribe money in a Swiss bank account, which Katric ultimately admitted to the Belgian police came from Mogilevich.

In France, Mogilevich approached Alfred Cahen, a recently retired high-ranking Belgian diplomat who had been ambassador to the Belgian Congo and France. Cahen had just been named secretary of the North Atlantic Treaty Association, the lobby group for NATO in Paris. Mogile­vich, banned from entering France, wanted Cahen to arrange a meeting with French intelligence so he could pro­pose passing political and gangland information to them in exchange for surreptitious access to the country. Cahen agreed to make the introductions, and both sides were apparently satisfied with the results, said Pierre Delilez. A disturbed Delilez had warned French intelligence against working with the mobster, for, "The more that these agen­cies use Mogilevich's services, the more trouble it will be to prosecute him." Cahen himself wasn't prosecuted, as there was no proof that money had changed hands, although investigators later found $180,000 in a bank account belonging to Cahen's son, which they suspected came from Mogilevich.

(...)

Sur Mogilevich :

http://en.wikipedia.org/wiki/Semion_Mogilevich

(...) Both Mogilevich and his associate Mikhailov ceased to travel to the west in the late 1990s, although Mogilevich retains an Israeli passport.[23] In 1997 and 1998, the presence of Mogilevich, Mikhailov and others associated with the Russian Mafia behind a public company trading on the Toronto Stock Exchange (TSX), YBM Magnex International Inc., was exposed by Canadian journalists. On May 13, 1998, dozens of agents for the FBI and several other U.S. government agencies raided YBM's headquarters in Newtown, Pennsylvania.


Décidément, la nationalité belge semble convoitée !


http://archives.lesoir.be/la-mafia-russe-avait-achete-l-elu-du-fn-justice-_t-20030925-Z0NKTH.html?queryand=%22Philippe+Rozenberg%22&firstHit=0&by=10&when=-1&sort=datedesc&pos=7&all=57&nav=1

La mafia russe avait acheté l'élu du FN

Ex-élu bruxellois, Rozenberg avait reçu deux millions de francs pour rendre des «services»

Un député FN lié à la mafia russe

DELEPIERRE,FREDERIC

Page 1;7

Jeudi 25 septembre 2003

(...)

Ce réquisitoire renvoie Rozenberg en correctionnelle, avec Sergeï Mikhaïlov. Au total, cinq membres de cette organisation criminelle se verront convoqués devant la justice belge, ainsi que deux autres Belges : Eric Van De Weghe, un intermédiaire, et Christian Amaury, un ancien gendarme. Ils devront répondre de corruption, blanchiment, faux et usages de faux, recel et association de malfaiteurs.·

(...)

_ _ _


Voir aussi les autres articles du Soir sur Rozenberg, notamment :

http://archives.lesoir.be/italie-corruption-et-blanchiment-un-ex-depute-belge-lie_t-20010124-Z0K5KH.html?queryand=Un+ex-d%E9put%E9+belge+li%E9+%E0+un+mafieux+russe%3F&firstHit=0&by=10&when=-1&begYear=1989&begMonth=01&begDay=01&endYear=2013&endMonth=01&endDay=02&sort=datedesc&rub=TOUT&pos=0&all=1&nav=1

Corruption et blanchiment

Un ex-député belge lié à un mafieux russe ?

LALLEMAND,ALAIN

Page 4

Mercredi 24 janvier 2001

(...) La justice belge pense que Minin aurait versé l'argent à Rozenberg en échange de documents d'identité lui permettant de s'installer en Belgique (...)

_ _ _ _ _ _ _


Voir aussi

http://russianmafiablog.blogspot.be/2007/03/russian-mafia-bosses-sergei-mikhas.html

et

La mafia russe avait acheté l'élu du FN (Jeudi 25 septembre 2003)

(...) Mais Philippe Rozenberg n'est pas le seul à faire l'objet de cette demande de renvoi. A ses côtés se retrouvent Sergeï Mikhaïlov, un parrain de la mafia russe, et quatre de ses acolytes. Deux Belges complètent la liste des inculpés. Eric Van De Weghe, un « homme de commissions » qui aurait joué le rôle d'intermédiaire aidé de Christian Amaury, un ancien gendarme soupçonné d'avoir joué le rôle de chauffeur et de prête-nom (...)

_ _ _ _ _ _ _


Eric Van De Weghe est associé à Robert Beijer en Thailande. Il faut aussi relire les documents relatifs aux "faux du KGB".

On retrouve donc de nombreux noms déjà cités dans l'affaire de Tueurs du Brabant ... ainsi que d'autres (Alfred Cahen) du rapport ATLAS. A noter que Alfred Cahen est aussi cité comme correspondant de Anne Bouty (voir Nihoul).

Dans l'article suivant

http://archives.lesoir.be/l-empereur-du-kazakhstan-enquete-sur-un-trio-venu-de-la_t-20000722-Z0JGTU.html

Chodiev affirme qu'il n'a jamais rien demandé ni payé à Philippe Rozenberg :

(...) Se pourrait-il que cela soit lié à Mikhaïlov, mafieux russe présumé dont la justice suisse suspectera qu'il soit en affaires avec Birshtein? C'est ce que la justice tentera de faire dire à Chodiev. Mais celui-ci n'aura jamais la preuve de l'origine des menaces reçues. Ils m'ont convoqué au procès de Mikhaïlov, à Genève. Pour me poser des questions sur la corruption de votre député Philippe Rozenberg, auquel je n'ai jamais rien demandé ni payé. En 1999, après sa libération, Mikhaïlov m'a abordé à la sortie du restaurant «Tokyo», à Moscou: «Il n'était pas bon que tu témoignes contre moi», m'a-t-il dit. Quand je lui ai dit que je ne l'avais pas fait, il m'a simplement dit: «On se reverra plus tard...»

Cela n'empeche en tout cas pas Chodiev d'avoir des liens avec la mafia :

http://enews.fergananews.com/news.php?id=1982

Wikileaks: Uzbek mafia boss Salim sells official positions and treats Uzbek ministers

14.01.2011 12:07

(...)

The cablegram indicates that “The birthday party for Salim’s wife, Shahlo, took place at a Tashkent restaurant in summer 2005. In addition to Salim,’ daughter and son, guests at the birthday included former Foreign Minister Mahmudova and the wives of Foreign Minister Ganiev and Deputy Prime Minister Sultanov. The wives of "UzbekComuneHizmet" General Director Halmukhamedov and foreign-based oligarch Fatokh Shodiyev also attended, along with famous singer Yulduz Usmanova. According to the contact, most guests gave Shahlo $3,000 in cash, while Shodiyev's wife gave $10,000. (Shodiyev reportedly left Uzbekistan in 1994 after making a fortune in the cotton business, and is now living in Kazakhstan and Belgium. He holds a senior position in the Eurasian Industrial Association and is rumored to be an adviser to President Nazarbayev)".

Pour information ( Ibragimov Sr a résidé à Braine l'Alleud )


Body in the bag spy and his mystery links to an oligarch; New questions over death of M16 agent as details emerge about his work in the field and relationship with son of Kazakhstan billionaire

JASON LEWIS
1577 words
30 December 2012
The Sunday Telegraph

The Sunday Telegraph © 2012. Telegraph Media Group Ltd.

THE SPY whose body was found in a locked bag in his flat in London was in contact with the son of a Kazakh oligarch, The Sunday Telegraph can disclose.

Police are examining Gareth Williams's relationship with Furkat Ibragimov in the months before the spy's body was found in a flat owned by MI6.

The disclosure raises fresh questions over the death of Mr Williams, what he was doing in his work for British intelligence and whether he had been encouraged by MI6 to develop a connection with the billionaire oligarch's son.

It is one of a series of key facts uncovered by The Sunday Telegraph which include how:

Mr Williams was involved in field activities for the intelligence services and was more than just the computer analyst he had been portrayed as;

He may have been followed from secret meetings with undercover MI6 agents, according to one theory;

MI6 is fully cooperating with the police inquiry after criticism of its failure to do so initially;

Police have reinterviewed friends and acquaintances;

Far from being an assassination squad, the mystery couple seen near his flat were trying to find a party in a neighbouring property.

The disclosure of the relationship with Mr Ibragimov, whose father is listed among the 400 richest people in the world, comes after a search by police for answers into how Mr Williams - a GCHQ computer expert on secondment to MI6 - came to die.

His naked body was found locked inside a North Face bag in the bath of his flat in Pimlico, central London, in August 2010.

An inquest left open the possibility that he had been murdered and that his death might have been connected to his intelligence role.

The coroner ruled that the cause of death was "unnatural and likely to have been criminally mediated" and she was "satisfied that on the balance of probabilities that Gareth was killed unlawfully".

A fresh police investigation was ordered after the inquest, resulting in new leads.

Detectives have not ruled out the possibility of murder. Crucially, they have secured the full cooperation of MI6. Earlier this year, Sir Bernard Hogan-Howe, the Metropolitan Police Commissioner, ordered a DNA screening of MI6 officers to try to identify genetic material found on the bag in which Mr Williams's body was found.

Sir Bernard said that he was angered by an unacceptable breakdown in communication, in which evidence was withheld from investigating officers. When asked what powers he had to ensure that MI6 cooperated, he said: "The law."

According to a source with detailed knowledge of the inquiry, one of the first things that the detectives learnt from this new "openness" on the part of the intelligence agencies was that Mr Williams was "directly involved with two MI6 assets in the field".

Witnesses were also asked what they knew of his connection to Mr Ibragimov, though there is no suggestion that he played any part in Mr Williams's death.

It is unclear whether detectives have spoken to Mr Ibragimov or his father Alijan, the Kyrgyzstan-born businessman who is a member of a group of oligarchs known as the "Trio". The other two are his business partners, Alexander Machkevich and Patokh Chodiev, who own a mining, oil and gas, and banking empire in Kazakhstan.

Mr Ibragimov, 25, is one of four sons and is based in London, where he has invested millions in an oil company and, most recently, a health drink firm called Rebootizer.

How Mr Ibragimov met Mr Williams and whether he knew that he was a spy is unclear.

The men had at least one mutual friend, Missa Elizabeth Guthrie, the daughter of an American millionaire. Miss Guthrie befriended Mr Williams in the year before his death, after she shared a flat with Sian Lloyd-Jones, his school friend. She is also close to Mr Ibragimov, calling him "Shark".

The Sunday Telegraph has learnt that court papers that were never made public described Mr Ibragimov as Miss Guthrie's friend and business partner and suggested that she had asked Mr Williams if he could fake a degree certificate for him.

However, when Miss Guthrie was asked about the connection between Mr Williams and Mr Ibragimov at the inquest, she said that Mr Williams had never mentioned him.

An MI6 officer known only as Witness F, who gave evidence from behind a screen during the inquest, was asked whether Mr Williams should have reported if he had been in contact with anyone from Kyrgyzstan, which neighbours Kazakhstan, to the service's vetting team. Witness F said that she could not answer for security reasons.

Mr Ibragimov's father and his partners are the major shareholders in the Londonbased Eurasian Natural Resources Corporation, which controls mines in Kazakhstan, Eastern Europe and Africa. In 2009, it reported profits of more than £900million.

Mr Ibragimov Snr, who is on the Forbes list of billionaires, with an estimated worth of £1.73 billion, has homes that include an estate near Lake Zurich in Switzerland.

His son controls an investment portfolio called Glendesk Overseas and, with his brothers Davron and Dostan, is overseeing the construction of the first motor racing circuit in Kazakhstan, where they and Nursultan Nazarbayev, the ruler of the central Asian country, hope to stage Formula One racing.

Last week, Mr Ibragimov, a graduate of the private European Business School London, was on holiday in the Far East and could not be contacted. Miss Guthrie was also unavailable for comment.

The connection to central Asia is only one of the leads being followed by detectives.

They are also examining Mr WIliiams's MI6 role and his involvement with two field agents. According to the source, detectives have been exploring the idea that the MI6 agents could have been followed to their meetings with Mr Williams, leading to him being identified by foreign agents and murdered.

This area was originally ruled off limits by intelligence chiefs when murder squad detectives were called in to examine Mr Williams's death.

At the time, no MI6 officers were interviewed by detectives and only security-cleared officers attached to police counter-terrorism operations were allowed into the Secret Intelligence Service headquarters in Vauxhall Cross, South London, to examine Mr Williams's office.

It is unclear whether Mr Williams's engagement with field agents involved him going undercover or if, as seems more likely, he was giving the agents technical help.

Computer experts from GCHQ are regularly sent on operations abroad, including with the Army in war zones, and others have played a role in bugging embassies. It is known that Mr Williams had been sent to the US to work alongside agents from America's National Security Agency. Detectives have also been able to finally solve one of the outstanding questions of the inquiry. In December 2010, police issued an "e-fit" of a man and a woman, both of Mediterranean appearance and aged between 20 and 30, who, they said, were seen entering the communal area of the property in which Mr Williams lived one evening in June or July.

At the time, a police spokesman said: "Having gained access to the communal area of the building, they intimated that they had a key to Gareth's flat, number 4, and were last seen walking towards it."

It was almost two years before the police were able to rule the couple out of their inquiries.

The Sunday Telegraph can reveal that the pair were guests who became lost on their way to a pizza party being held by an Italian language student in a flat down the road from Mr Williams's flat. Pierpaolo Pittari, who gave the party, lived in Alderney Street between February and November 2010 while he was learning English. Last week, Mr Pittari, who now lives in Salerno, near the Amalfi Coast, said: "Some of my guests got lost on the way to my flat and knocked on the wrong door. Someone later gave their details to the police. I saw the e-fit at the time but I did not recognise them as my friends. I still can't see any likeness."

Detectives are also said to be re-examining details of Mr Williams's lifestyle.

His family and friends have dismissed claims that he was involved in cross dressing or that he had an interest in bondage. However, his landlady in Cheltenham told the inquest how she and her husband had found Mr Williams tied to a bed in the flat he rented from them, and police found internet searches for bondage sites on his computer. Forensic officers are viewing the photographs, videos and a computer-generated image of his apartment again, trying to rule out the idea that the scene was staged by someone with knowledge of forensic investigation techniques, to suggest that Mr Williams was a sexual deviant and detract from evidence that he was murdered.

However. the theory remains that Mr Williams may have simply locked himself in the bag and suffocated.

A Scotland Yard spokesman said: "Officers retain an open mind in relation to the circumstances surrounding the death of Mr Williams."

'I saw the e-fit but I did not recognise them as my friends'

Voir aussi :

http://www.dailytelegraph.com.au/news/world/spy-in-bag-had-mysterious-links-to-kazakh-oil-oligarch/story-fnddckzi-1226545626323

http://www.guardian.co.uk/business/2012/dec/27/enrc-oligarchs-sued-financial-adviser

Dans l'article ci-dessus, voir l'extrait suivant :

His son controls an investment portfolio called Glendesk Overseas and, with his brothers Davron and Dostan, is overseeing the construction of the first motor racing circuit in Kazakhstan, where they and Nursultan Nazarbayev, the ruler of the central Asian country, hope to stage Formula One racing.


Quelques remarques :

Glendesk Overseas Limited a company incorporated in the British Virgin Islands on 4 July 2011, under registered number 1657070 whose registered address is 333 Waterfront Drive, PO B175, Road Town, Tortola, British Virgin Islands

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Quand on parle de Formule 1, on pense à Max Mosley :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Mosley

Max Mosley, né le 13 avril 1940 à Londres, est le second fils de Diana Mitford et d'Oswald Mosley.

Au sujet de Oswald Mosley :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Oswald_Mosley

Oswald Mosley, né à Londres le 16 novembre 1896 et mort à Orsay (Essonne) le 3 décembre 1980, 6e baronnet, est un homme politique britannique, fondateur de la British Union of Fascists (BUF) en 1932.

(...) « Ce n'est qu'après 1933 et surtout à partir de 1935 que Mosley, qui rencontrera alors Hitler, subira, par l'intermédiaire de Diana Mitford et de sa sœur Unity, hitlériste déchaînée, l'influence du nazisme. Prétextant répondre aux attaques des juifs, dans les milieux populaires de l'East End londonien comme au sein des élites, il va développer un violent antisémitisme, associé à son discours antiélitaire, antiploutocratique, et nationaliste. Même si ses relations avec le Führer demeureront plus épisodiques qu'avec Mussolini […], Mosley n'hésitera pas à s'aligner sur les thèses nazies et à donner à son mouvement le titre significatif de British Union of Fascists and National Socialists en 193616… » (...)


Sans vouloir faire de généralisation abusives, on sait quel intérêt Serge Kubla porte aux courses de Formule 1.

Le député maire Patrick Balkany est très proche de Nicolas Sarkozy et appartient à la GLNF, selon

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2008-01-24/les-nouveaux-francs-macons/917/0/220316

Voir :

Pathok Chodiev Looks at Iron Ore

17 June 2009
Africa Mining Intelligence

The visit by Patrick Balkany, deputy mayor of Paris suburb Levallois-Perret and a close friend of French President Nicolas Sarkozy, to Mauritania in early June did not have as its sole aim to end the political crisis by postponing elections to July 18. Balkany, who travelled with Renaud Guillot Corail, his right-hand man, was in fact accompanied by the Kazakh mining oligarch Pathok Chodiev, a former consultant to Tractebel. Chodiev, a strategic shareholder in Eurasian Natural Resources Corporation (ENRC) who has Belgian nationality since 1997, is on the look-out for opportunities in iron ore. Mauretania, the world’s 15th largest iron ore exporter at some 12 million t/year, has significant resources of high quality ore, including 190 m t with grading of 66%. Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM), whose privatisation was mooted in early 2008 (AMI N°170), dominates the sector. It is the country’s main foreign exchange earner.

ENRC is to review SNIM’s permits and examine opportunities for a partnership. ENRC’s Chief Executive Officer, Johannes Sittard, and Amre Youness, IMR’s executive in charge of Africa (see below) will take a team of technicians there from June 24. Chodiev is also interested in the management of the port of Nouadhibou. The terminal, which takes out SNIM’s ore from Zouerate, 700 km from the coast, is outdated and requires major investment.

Until recently IMR, ENRC’s parent company, included Luanshya Copper Mines (LCM) and the Chambishi metallurgical plant in Zambia among its mining interests in Africa, in partnership with BenySteinmetz Global Resources (BSGR). However, after BSGR pulled out early this year, LCM, whose activity is halted, has now been “transferred” to the Chinese group NFC Africa under the supervision of the Lusaka government. On the other side of the border, in Congo-K, Chodiev had for a while begun talks with Kinshasa on the sale of Société Sidérurgique de Maluku (Sosider).

Pour en revenir au schéma de Latinus, il est légitime de considérer que Maurice Robert (officier du SDECE et personnage clé de la Françafrique de Jacques Foccart) est le "Robert" que Paul Latinus mentionne.

Il est en effet clair que Christian Tavernier et Bob Denard se connaissaient très bien. A ce sujet, voir le fil de discussion sur Christian Tavernier et ce qui suit ("AMI") :

http://fr.wikipedia.org/wiki/AMI/ArMI/Fire

http://hlebooks.com/presse/total.htm

La revue belge francophone AMI (pour Armes Militaria International) parut à partir de 1979. Elle publiait des articles sur les armes et le Militaria. Elle devint ArMI en 1987 puis Fire en 1990. Le magazine Fire, appartenant aux mercenaires Bob Denard et Christian Tavernier, disparut en 2002. Ces magazines furent vendus en kiosque en Belgique, en France et en Suisse.

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Maurice Robert est bien entendu très proche de Bob Denard et de Jacques Foccart ( ... ainsi que de Charles Pasqua )

Voir :

http://fr.scribd.com/doc/96247364/Xavier-Renou-CHP-XI

(...) Pour son coup d'État de 1978 aux Comores, Bob Denard s'appuie sur une société de gardiennage, la Société française outremer services (dont le principal actionnaire n'est autre que Maurice Robert, officier du SDECE et personnage clé de la Françafrique de Jacques Foccart), établie à Paris et constituée pour recruter les hommes nécessaires à l'opération (40). Plus récemment, des jeunes mercenaires constituent la société Octogone, entre 1995 et 1998. Selon Jean-Paul Cruse, Octogone serait une sous-filiale de Vivendi, via la société Techni du pasquaïen Henri Antona (41).

(...)

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http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article934

(...)

A ces oppositions au sein du gouvernement s’ajoutent les initiatives personnelles d’hommes politiques, mobilisant, par exemple, les réseaux de M. Charles Pasqua ou du colonel Maurice Robert, ancien directeur pour l’Afrique du Service de documentation extérieure et du contre-espionnage (Sdece) et ancien ambassadeur de France au Gabon. « A une reprise au moins, j’ai dû démonter une opération stupide montée par un politique », reconnaît, sans vouloir en dire plus, un ancien officier de la DGSE. Les opérations organisées sans qu’un des services intéressés (DPSD, DGSE ou DST) en ait connaissance sont en effet exceptionnelles. « Le pouvoir contrôle toujours, même si le feu est orange », estime François-Xavier Sidos.

(...)

_ _ _


Maurice Robert ayant été ambassadeur au Gabon, il devait connaitre Jean-François Etienne des Rosaies ... dont les liens avec Armand De Decker devraient vraiment etre clarifiés ... Cela s'ajoute en effet à la sécession du Biafra ...

A noter aussi : dans le journal "Libération" (12 septembre 1996), Tavernier est présenté comme "officier des services secrets belges" ...

http://www.liberation.fr/monde/0101192119-l-opposition-a-mobutu-et-l-occident-a-son-chevetils-craignent-une-destabilisation-du-zaire-s-il-disparait

(...) Déjà fin juin, un officier des services secrets belges, le colonel Tavernier, a été reçu à l'Elysée où il s'est enquis de la maladie de Mobutu et de la manière dont «on pourrait tenir le pays». (...)

_ _ _


Les services secrets militaires belges (et étrangers) interviennent décidément très souvent dans les affaires dont on s'occupe ...


Par ailleurs :





http://www.killersbrabant.be/objects-fr.php


Les revues que l'on a retrouvées :

AMI (Armes Militaria Infos).
Armes international - N° 25 - dec 85 - jan 86.
L'amateur des armes - N° 30.
Armes international - N° 1 - december 1983.

ainsi que l'encyclopédie ...

Le feu était au Bois de la Houssière entre le 2 et le 9 novembre 1985. Il y avait aussi divers documents et des chèques estampillés DELHAIZE, volés lors des faits commis à OVERIJSE le 27 septembre 1985.

Quelqu'un a eu en même temps en main des chèques de l'attaque d'Overijse, l'encyclopédie et les revues.

Or, une des revues était :

Armes international - N° 25 - dec 85 - jan 86.

Etonnant qu'elle ait été brulée avant le 9 novembre 1985 ...

Est-ce via Claude Dery ? (copain de Madani Bouhouche)

Voir :

L'enquête criminelle sur les tueurs du Brabant

Par Adrien Masset

http://www.ufctogo.com/+Deces-de-Maurice-Robert-ancien+.html

Décès de Maurice Robert, ancien bras droit de Jacques Foccart

Le 20 novembre 2005, publié sur ufctogo.com

Pilier de la "Françafrique", bras droit du gaulliste Jacques Foccart, symbole de l’activation des réseaux de l’Elysée en Afrique, Maurice Robert est mort, mercredi 9 novembre, près de Bordeaux. Il était âgé de 86 ans.

Du recrutement du mercenaire Bob Denard en 1963 à la sécession du Biafra en 1967 en passant par le rétablissement au Gabon du président renversé Léon M’Ba, on retrouve Maurice Robert dans la plupart des "coups tordus" réalisés dans les années 1960 et 1970 sur le continent noir sous prétexte de défendre ou de rétablir des régimes profrançais.


Né le 29 avril 1919, ancien résistant, ancien d’Indochine, Maurice Robert rejoint en 1953 le service de documentation extérieure et de contre-espionnage (Sdece, aujourd’hui direction générale de la sécurité extérieure, DGSE). Il y dirigera le département "Afrique" pendant vingt ans avant d’être recruté par la société pétrolière Elf, plaque tournante des mêmes réseaux africains.

En 1979, sa nomination par Valéry Giscard d’Estaing comme ambassadeur au Gabon, dirigé par son ami Omar Bongo, suscita un tollé. En 1981, la gauche mit fin à ses fonctions et Maurice Robert bénéficia alors d’un emploi fictif pendant trois ans chez Elf, comme le racontent Antoine Glaser et Stephen Smith dans Comment la France a perdu l’Afrique (Calmann-Lévy, 2005).

L’ancien officier des services secrets a raconté ses souvenirs dans Maurice Robert, ministre de l’Afrique (Seuil, 1980), où il se présente comme un "serviteur de l’Etat".

En 1996, le président Jacques Chirac avait élevé Maurice Robert au grade de grand officier de la Légion d’honneur.

Philippe Bernard - Le Monde (France)

HERVE a écrit:

(...) Mais Philippe Rozenberg n'est pas le seul à faire l'objet de cette demande de renvoi. A ses côtés se retrouvent Sergeï Mikhaïlov, un parrain de la mafia russe, et quatre de ses acolytes. Deux Belges complètent la liste des inculpés. Eric Van De Weghe, un « homme de commissions » qui aurait joué le rôle d'intermédiaire aidé de Christian Amaury, un ancien gendarme soupçonné d'avoir joué le rôle de chauffeur et de prête-nom (...)

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Eric Van De Weghe est associé à Robert Beijer en Thailande. Il faut aussi relire les documents relatifs aux "faux du KGB".

Alors RB moi qui vous croyais "rangé des voitures" depuis belle lurette ?? toujours dans les affaires, on ne se refait pas semble-t-il.
Et c'est quoi en fait cette association avec VDW ? et Am... toujours "pas loin " après il viendra encore se plaindre
Indécrottable, voila le mot qui vous convient... (j'ai scellé une enveloppe avec la réponse que je pense que vous allez donner, si elle correspond, je vous la laisserai lire )

Voir aussi :

http://www.liberation.fr/evenement/0101440770-la-mission-parallele-du-colonel-maurice-robert

(...) Longtemps officier traitant de Bob Denard, lors de ses aventures africaines ­ et comoriennes (1), il a été l'un des parrains des coups d'Etat réussis aux Comores. (...)

(1) Il a encore témoigné en faveur de Denard, en 1999, lors du procès aux assises du meurtre du président Abdallah Ahmed.

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Christian Tavernier était proche de Bob Denard.

Maurice Robert devait connaître énormément de mercenaires. Outre ses contacts avec Bob Denard ( Tavernier, Shramme, Vogeleer, Mazy, Shortt, etc ), il avait des liens avec Soldier of Fortune ( à nouveau Vogeleer, grand ami de Jim Coyne ; Shortt, qui connaissait Robert K. Brown ... qu'une photo montre avec le général Massu ; Bultot et son club de tir ... voir les T-shirts sur les photos )

Via certains mercenaires (comme Vogeleer), il aurait pu être en contact avec la pègre belge (Havelange, Habran, Florizoone, etc) ainsi qu'avec le SAC ...

________________


Maurice Robert connaissait plus que probablement Jean-François Etienne des Rosaies ... (Biafra ? Gabon ?)

Un article de 2010 :

Sur les liens entre Maurice Robert et Bob Denard ...

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Tearful French mercenary Denard called patriot.

By Andrew Gumbel

11 mars 1993

Reuters News

(...) France's ambassador to Benin at the time of the coup attempt, Maurice Robert, told the court on Wednesday there was a collusion between Denard's actions and French interests.

"Sometimes France closes its eyes but supports an operation when it serves its interests," Robert said. He described Denard as "a loyal and honest colleague who was never rewarded for his trouble". Denard shed a tear during Robert's speech too. (...)

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French ex-secret agents acknowledge ties to Denard.

10 mai 1999

Reuters News

(...) Maurice Robert, one-time head of the secret services' Africa department, testified that Denard was "enamoured of the Comoros and wanted the islands to develop economically".

He said Denard had always denied killing Abdallah.

But he acknowledged that Paris had given Denard tacit support for a 1975 coup in the Comoros in which Abdallah, the island group's first president, was toppled after only a month in office. (...)

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Luck runs out for a soldier of fortune; Storied mercenary, part of dying breed, is found guilty in coup attempt

SUSAN SACHS

SPECIAL TO THE GLOBE AND MAIL

21 juin 2006

(...) A former French spy-master, Maurice Robert, said he recruited Mr. Denard to undermine the new government in the Democratic Republic of Congo, formerly the Belgian Congo.

“We had to try to bring the former Belgian Congo into the French sphere of influence,” Mr. Robert explained in a French documentary released in 1994. “So I started to manipulate Bob Denard through an intermediary until the day in 1962 when I contacted him directly and he became an agent.”

Mr. Denard, according to Mr. Robert, wanted to maintain his “independence of action” and so remained an unpaid agent. (...)

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Omar Bongo; Franco-African Secret Society [analysis]

by Nicholas Shaxson

22 juin 2009

All Africa

(...) The French spy Maurice Robert, who became France's ambassador in Libreville in 1979, said that for all his admiration for Bongo, he had to try and protect Bongo against himself.

"Spontaneously generous, he gave too much leeway to his family and close allies in the world of business," Robert said. "This stained his image badly, with accusations of corruption."

(...)

Sur Maurice Robert, voir ce qui suit :

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Rappel : utilisation d'une société de gardiennage (comme Wackenhut ou Securitas ?) ...

La privatisation de la violence (Xavier Renou & alii, 2005).

CHP11 Le mercenariat français

p.375

Au-delà même de ces difficultés, le secteur de la sécurité privée et du mercenariat en France compte aussi nombre de sociétés constituées le temps d'une opération mercenaire, et démantelées ensuite (...) Pour son coup d'État de 1978 aux Comores, Bob Denard s'appuie sur une société de gardiennage, la Société française outremer services (dont le principal actionnaire n'est autre que Maurice Robert, officier du SDECE et personnage clé de la Françafrique de Jacques Foccart), établie à Paris et constituée pour recruter les hommes nécessaires à l'opération 40.

NOTES (p.484)
39. P. Ollivier, Soldat de fortune, op. cit., p. 62 sq.
40. Ibid

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CHP 13 Cachez ce mercenaire que Je ne saurais voir : la loi française du 3 avril 2003

L'OUTIL MERCENAIRE est intimement lié à la stratégie néo coloniale française en Afrique - à la Françafrique, cette façon de contrôler d'anciennes colonies tout en faisant croire que l'on respecte leur indépendance; cette façon de mener des guerres étrangères (au Biafra, dans les deux Congos, au Liberia, en Sierra Leone, etc.) tout en faisant croire que l'on respecte le droit international. Quand il fallait mener des actions militaires inavouables, on dépêchait les hommes de l'emblématique Bob Denard : il faisait des choses pas bien, mais c'était un mercenaire. Le masque est définitivement tombé avec les mémoires du colonel Maurice Robert, ex-patron des services secrets français en Afrique, bras droit barbouzard de Jaques Foccart : Denard était bien un faux mercenaire, un vrai agent des Services français recruté par Robert fin 1962 pour le compte du SDECE, ancêtre de la DGSE (1). (...)

NOTES (p.487)
1. Maurice Robert et André Renault, Maurice Robert. Ministre de l'Afrique, Seuil, 2004.

_ _ _


Rogue Agents - Habsburg, Pinay and the Private Cold War 1951 - 1991 by David Teacher
(3rd edition, 2011)

p.65

(...)

Another old French friend of Crozier's would be active in this campaign: Georges Albertini. In May 1975, Albertini launched another magazine, La Lettre de l'Homme Libre, together with Colonel Maurice Robert who had resigned as SDECE Deputy Director of Research in 1973. Robert had started his career in the French military, training counter-gangs in Vietnam in the early 1950s before joining SDECE in 1953 and directing their Africa Service from 1960 on. Albertini and Robert's magazine concentrated on Communist subversion in France and would continue publication until at least 1979. During this time, Robert was a Director of Elf, having been previously mandated by Elf President Pierre Guillaumat (himself a former French war-time intelligence agent) to set up and supervise a private intelligence network for Elf, to be run by Colonel Jean Tropel, another former SDECE officer. (...)


Pour plus de détails (notamment sur Tropel) , voir page 65 et suivantes de

http://www.mediafire.com/?e0xd17qjadk6rn0

Pour ce qui concerne Georges Albertini (ex collabo, lié à la CIA) , voir le dossier d'Article 31 :

http://fr.scribd.com/doc/119054798/Albertini-Article-31-2e-Trimestre-1990-Extrait

Pour tout ce qui concerne Denard ou ses hommes, voir le site web de leur association ("orbs patria nostra").

Sur la guerre froide en Afrique, la Françafrique (et également l'Afrique du Sud), outre les ouvrages de l'association "Survie", voir le site web "Assassinats de coopérants" :

http://assassinatsdecooperants.ouvaton.org/

Sur Tropel ... mais aussi Violet ...

http://www.mediafire.com/?e0xd17qjadk6rn0

Page 65 et suivantes :

(...) Tropel had spent his career in the SDECE Counter-Espionage Division where
he was responsible for security within Section 7, the SDECE's team of 'plumbers'.

Dismissed after the Ben Barka affair in 1966, Tropel then joined Elf and from 1969
onwards set up Elf's intelligence network, called PSA (Protection, Security,
Administration) which would be very active, particularly in Africa. Its members
included many of the SDECE agents fired along with Violet by de Marenches in 1970
as well as former officers of the French security service DST and mercenaries such as
Bob Denard (163)*.

As we have seen in previous chapters, having developed the sniffer planes
project and ensured preliminary trials in Spain and a prospection campaign in South
Africa, Violet and the two inventors Bonassoli and de Villegas had still not found a
commercial outlet for their discovery. Violet however hoped to get Elf to accept the
project, and his Trojan Horse for working his way into Elf was its intelligence
network. Violet knew Tropel well - they had been active together in Catholic
organisations in the early 1970s - and Tropel had previously hired Violet's services as
a lawyer for Elf in 1972. However, Violet did not approach Tropel directly, but first
went to see Colonel Franck who functioned as Violet's SDECE case officer whenever
Violet's usual contact - the Head of the SDECE himself - was not available. Franck
knew Tropel very well; during the war, when Franck had commanded the Andalousie
resistance network around Bordeaux, Tropel had been his adjutant.

Informed by Violet of this "incredible technological breakthrough", Franck
wasted no time in contacting his former adjutant, now head of security at Elf. Tropel
was to remain intimately involved in the sniffer plane project after its acceptance by
Elf; Tropel would be responsible for security during the numerous trips taken by
Violet and the team of inventors. Tropel would also take care of some of the financial
arrangements: in 1976 some of the initial payments by Elf to Fisalma, de Villegas'
sniffer plane company, would be channelled through Unindus, a Swiss subsidiary of
Elf's run by Tropel. When the sniffer plane project expanded in 1978, the Unindus
staff would be reinforced by the addition of Paul Violet and Alain Tropel, the sons of
the two former SDECE agents (164).

(...)

(163) On the Elf network and the Gabon connection, see Péan (1983). The Elf
network would also intervene in domestic politics during the 1981 elections - the Elf
network was the channel chosen to transfer FF 2,000,000 from Gabonese oil revenue
to support Giscard d'Estaing's 1981 election campaign. In 1979, Robert had been
appointed French Ambassador to Gabon on Gabonese President Bongo's insistence,
and much to the disquiet of the French Foreign Office. See Péan (1983), pgs 139-150.

(164) Péan, pgs 117-119, 135-136, 156; Wolton, pg 266.

Sur Albertini ( http://fr.scribd.com/doc/119054798/Albertini-Article-31-2e-Trimestre-1990-Extrait )

27 novembre 1985, sous le titre " Les fonds secrets de Reagan en France ", Libération publiait des documents américains prouvant l'aide financière apportée par les services gouvernementaux, sous couvert de soutien secret au syndicalisme libre, à six institutions françaises : la confédération Force Ouvrière, l'UNI, liée au SAC, une association vietnamienne anticommuniste, "Que Me", et l'Institut d'Histoire Sociale (IHS), façade de la «maison Albertini»: 25 000 dollars, soit 200 000 F, cette année-là, à consacrer de la part de l'oncle Sam aux droits des travailleurs dans les sociétés (...)



(...)

Au début de la «guerre froide», quand l'urgence du «péril communiste» aide à oublier tout passé politique, Albertini tient sa
revanche: il sera l'expert français ès- anticommunisme.

(...)

En décembre 1960, il participe à la «Conférence Internationale sur la guerre politique des Soviets » organisée à Paris par la
Ligue Anticommuniste Mondiale (WACL), dont la section française est animée par Suzanne Labin, ancienne de la SFIO, future apologiste de Pinochet. Dans cette officine qui recrute essentiellement à l'extrême-droite, Albertini retrouve quelques connaissances du temps de la «Collaboration», commence à débaucher certains de leurs disciples, néo-vichystes ou néo-nazis, et resserre ses liens avec divers services secrets du «monde libre», ceux d'Afrique du Sud entre autres. Ce sera le deuxième souffle de la «maison Albertini», que commencent à alimenter «parfois des commissions commissions sur des marchés passés à Taiwan»(...

8 André Campana, L'Argent secret, le financement des partis politiques, 1976, qui ajoute joliment: «fi y a peut-étre
là une trace de l'activité de la CIA en France»!

(...)

Après Alain Besançon, communiste défroqué et repentant, journaliste et universitaire de renom, l'IHS s'enrichit de Jean-
François Revel (qui se laissa inviter à la même époque dans des meetings de la secte Moon, elle même liée à la WACL et aux services américains), du professeur de sciences politiques Jean-Claude Casanova, proche de Raymond Barre, de l'ancien secrétaire de rédaction des Temps Modernes Pierre Rigoulot, devenu bibliothécaire de l'IHS et spécialiste de «l'extermination» des Français par les Soviétiques après 1945(16).

16 Après s'être intéressé en 1984 à l'ensemble des victimes françaises du «Goulag»,P.Rigoulot, évolution significative de ses recherches, vient de publier La Tragédie des malgré-nous (Denoel), sur le sort des prisonniers de guerre allemands d'origine alsacienne et lorraine morts dans les camps soviétiques.

(...)