schéma de Michel Libert

alain a écrit:

QUI veut des photos de BORGNIOL ,FERET ,et PORTENART ensemble .....?
ou ,des photos de FERET et me STIRBOIS aussi ensemble (meme tracts d ailleurs de DREUX et BXL .....)

EN plus ,il faut savoir que Freddy ,le bourreau de BETHUNE (il etait le garde de corps de BORGNIOL )se rendait souvent chez pique pique ,ils partagaient le pain des copains ,et ds les sous sols du Parnasse, echangeaient les voitures ,afin que le MENHIR se deplace +facilement incognito en Belgique .....
les photos (evidemment existent ) ......

En septembre 1985, Jean-Marie Le Pen apporte son soutien au PFN belge comme le confirme un courrier daté du 5 septembre 1985 de Jean-Marie Le Pen envoyé à Daniel Gilson, responsable du PFN belge, publié dans : Manuel Abramowicz, Les rats noirs - L'extrême droite en Belgique francophone, éditions Luc Pire, Bruxelles, 1996, page 27. Le PFN est dissous en 1991 par sa propre direction et s'intègre par opportunisme dans le Front national. Plusieurs dirigeants du PFN siègent à la direction du FN, sont élus sur ses listes ou militent dans ses rangs. C’est le cas de Daniel Gilson, Xavier Sandron, Pieter Kerstens, Georges Matagne, Christian Denivelle, Roland Pirard, Frédéric Erens. A la fin des années 1980, pour gagner le leadership de la mouvance néorexiste, le PFN avait même mis en place une structure spéciale dont le principal objectif était de réhabiliter Léon Degrelle auprès de l'opinion publique : l'Association pour l'indivisible liberté d'expres​sion(Aile). En France, dans les années 1980, dans l'organigramme du Parti nationaliste français et européen (PNFE, ouvertement hitlérien), il y avait une «section Léon Degrelle». Une librairie à Paris, la librairie Ogmios, diffusait alors ses écrits.
Le Parti nationaliste français et européen (PNFE) était un groupuscule nationaliste d'extrême droite, fondé en avril 1987 à la suite d'une scission du Parti nationaliste français et inactif depuis 1999. Comme beaucoup d’autres groupes d'extrême droite français, le PNFE utilisa la croix celtique comme emblème. Sa devise était « France d'abord ! Blanche toujours ! ». Parmi ses membres, on peut citer le négationniste Vincent Reynouard ; Erik Sausset, rédacteur de la revue Le Flambeau, en fut le président de 1996 à 1999. En janvier 1994, les Faisceaux nationalistes européens (FNE) de Mark Fredriksen se rallient au PNFE.
Le PNFE rallia des policiers français issus de la Fédération professionnelle indépendante de la police (FPIP). Le président du PNFE était Claude Cornilleau, ancien membre du FN. Conseiller municipal RPR de Chelles (Seine-et-Marne) en 1983, il fut démis en 1987 par le maire RPR, car il s'était éloigne du projet pour lequel il avait été choisi sur la liste municipale.
Le secrétaire national a été remplacé après son exclusion par Michèle d'All'Ara en 1991.
Les membres du PNFE ont commis des crimes et des délits sanctionnés par la justice française, comme des profanations de sépultures, des agressions et des incendies contre des foyers d'immigrés et des locaux du PCF entre 1986 et 1989, dans le sud de la France. En décembre 1988, l'explosion d'une bombe artisanale dans un foyer Sonacotra à Cagnes-sur-Mer fit un mort et 12 blessés, mais l'enquête se termina par deux non-lieux. Le 24 avril 1997, le principal inculpé pour la profanation du cimetière juif de Carpentras dans la nuit du 8 au 9 mai 1990 était un ancien membre du PNFE1.
Le journal du parti, Tribune nationaliste, créé en octobre 1985, a été interdit en décembre 1990.

CS1958 a écrit:

En septembre 1985, Jean-Marie Le Pen apporte son soutien au PFN belge comme le confirme un courrier daté du 5 septembre 1985 de Jean-Marie Le Pen envoyé à Daniel Gilson, responsable du PFN belge, publié dans : Manuel Abramowicz, Les rats noirs - L'extrême droite en Belgique francophone, éditions Luc Pire, Bruxelles, 1996, page 27. Le PFN est dissous en 1991 par sa propre direction et s'intègre par opportunisme dans le Front national. Plusieurs dirigeants du PFN siègent à la direction du FN, sont élus sur ses listes ou militent dans ses rangs. C’est le cas de Daniel Gilson, Xavier Sandron, Pieter Kerstens, Georges Matagne, Christian Denivelle, Roland Pirard, Frédéric Erens. A la fin des années 1980, pour gagner le leadership de la mouvance néorexiste, le PFN avait même mis en place une structure spéciale dont le principal objectif était de réhabiliter Léon Degrelle auprès de l'opinion publique : l'Association pour l'indivisible liberté d'expres​sion(Aile). En France, dans les années 1980, dans l'organigramme du Parti nationaliste français et européen (PNFE, ouvertement hitlérien), il y avait une «section Léon Degrelle». Une librairie à Paris, la librairie Ogmios, diffusait alors ses écrits.
Le Parti nationaliste français et européen (PNFE) était un groupuscule nationaliste d'extrême droite, fondé en avril 1987 à la suite d'une scission du Parti nationaliste français et inactif depuis 1999. Comme beaucoup d’autres groupes d'extrême droite français, le PNFE utilisa la croix celtique comme emblème. Sa devise était « France d'abord ! Blanche toujours ! ». Parmi ses membres, on peut citer le négationniste Vincent Reynouard ; Erik Sausset, rédacteur de la revue Le Flambeau, en fut le président de 1996 à 1999. En janvier 1994, les Faisceaux nationalistes européens (FNE) de Mark Fredriksen se rallient au PNFE.
Le PNFE rallia des policiers français issus de la Fédération professionnelle indépendante de la police (FPIP). Le président du PNFE était Claude Cornilleau, ancien membre du FN. Conseiller municipal RPR de Chelles (Seine-et-Marne) en 1983, il fut démis en 1987 par le maire RPR, car il s'était éloigne du projet pour lequel il avait été choisi sur la liste municipale.
Le secrétaire national a été remplacé après son exclusion par Michèle d'All'Ara en 1991.
Les membres du PNFE ont commis des crimes et des délits sanctionnés par la justice française, comme des profanations de sépultures, des agressions et des incendies contre des foyers d'immigrés et des locaux du PCF entre 1986 et 1989, dans le sud de la France. En décembre 1988, l'explosion d'une bombe artisanale dans un foyer Sonacotra à Cagnes-sur-Mer fit un mort et 12 blessés, mais l'enquête se termina par deux non-lieux. Le 24 avril 1997, le principal inculpé pour la profanation du cimetière juif de Carpentras dans la nuit du 8 au 9 mai 1990 était un ancien membre du PNFE1.
Le journal du parti, Tribune nationaliste, créé en octobre 1985, a été interdit en décembre 1990.

J'ai hésité à répondre à ce mélange de vraies fausses informations, finalement j'ai opté pour une réponse circonstanciée.
J'ai très bien connu le FJ pour en avoir été membre et je connais parfaitement son histoire et je sais ce qui s'y est passé et quand.

Pour revenir au sujet initial, JMP ou pas JMP cela n'a aucune importance. Si c'est faire le procès de l’extrême droite, c'est déjà fait. Le propre de ce forum c'est de chercher et chercher, et encore chercher. C'est ingrat et nombre d'intervenants ont du mérite de passer un temps fou, qui sur un article, qui sur une bribe d'information.
Jean-Marie Paul était, au moment de la Rotonde, Chef de la section de Bruxelles au FJ.
Je renvoie aux déclarations de Francis Dossogne pour les autres responsabilités réelles qu’exerçait Jean-Marie Paul. Je pense donc, pour ma part, qu'il a plus sa place dans le schéma de Libert.

Passons du temps sur Tinck, là on tutoie le concret. S'appesantir sur le parcours de Jean-Marie Lepen n'a pas d’intérêt.

Shadow a écrit:

CS1958 a écrit:

En septembre 1985, Jean-Marie Le Pen apporte son soutien au PFN belge comme le confirme un courrier daté du 5 septembre 1985 de Jean-Marie Le Pen envoyé à Daniel Gilson, responsable du PFN belge, publié dans : Manuel Abramowicz, Les rats noirs - L'extrême droite en Belgique francophone, éditions Luc Pire, Bruxelles, 1996, page 27. Le PFN est dissous en 1991 par sa propre direction et s'intègre par opportunisme dans le Front national. Plusieurs dirigeants du PFN siègent à la direction du FN, sont élus sur ses listes ou militent dans ses rangs. C’est le cas de Daniel Gilson, Xavier Sandron, Pieter Kerstens, Georges Matagne, Christian Denivelle, Roland Pirard, Frédéric Erens. A la fin des années 1980, pour gagner le leadership de la mouvance néorexiste, le PFN avait même mis en place une structure spéciale dont le principal objectif était de réhabiliter Léon Degrelle auprès de l'opinion publique : l'Association pour l'indivisible liberté d'expres​sion(Aile). En France, dans les années 1980, dans l'organigramme du Parti nationaliste français et européen (PNFE, ouvertement hitlérien), il y avait une «section Léon Degrelle». Une librairie à Paris, la librairie Ogmios, diffusait alors ses écrits.
Le Parti nationaliste français et européen (PNFE) était un groupuscule nationaliste d'extrême droite, fondé en avril 1987 à la suite d'une scission du Parti nationaliste français et inactif depuis 1999. Comme beaucoup d’autres groupes d'extrême droite français, le PNFE utilisa la croix celtique comme emblème. Sa devise était « France d'abord ! Blanche toujours ! ». Parmi ses membres, on peut citer le négationniste Vincent Reynouard ; Erik Sausset, rédacteur de la revue Le Flambeau, en fut le président de 1996 à 1999. En janvier 1994, les Faisceaux nationalistes européens (FNE) de Mark Fredriksen se rallient au PNFE.
Le PNFE rallia des policiers français issus de la Fédération professionnelle indépendante de la police (FPIP). Le président du PNFE était Claude Cornilleau, ancien membre du FN. Conseiller municipal RPR de Chelles (Seine-et-Marne) en 1983, il fut démis en 1987 par le maire RPR, car il s'était éloigne du projet pour lequel il avait été choisi sur la liste municipale.
Le secrétaire national a été remplacé après son exclusion par Michèle d'All'Ara en 1991.
Les membres du PNFE ont commis des crimes et des délits sanctionnés par la justice française, comme des profanations de sépultures, des agressions et des incendies contre des foyers d'immigrés et des locaux du PCF entre 1986 et 1989, dans le sud de la France. En décembre 1988, l'explosion d'une bombe artisanale dans un foyer Sonacotra à Cagnes-sur-Mer fit un mort et 12 blessés, mais l'enquête se termina par deux non-lieux. Le 24 avril 1997, le principal inculpé pour la profanation du cimetière juif de Carpentras dans la nuit du 8 au 9 mai 1990 était un ancien membre du PNFE1.
Le journal du parti, Tribune nationaliste, créé en octobre 1985, a été interdit en décembre 1990.

J'ai hésité à répondre à ce mélange de vraies fausses informations, finalement j'ai opté pour une réponse circonstanciée.
J'ai très bien connu le FJ pour en avoir été membre et je connais parfaitement son histoire et je sais ce qui s'y est passé et quand.

Pour revenir au sujet initial, JMP ou pas JMP cela n'a aucune importance. Si c'est faire le procès de l’extrême droite, c'est déjà fait. Le propre de ce forum c'est de chercher et chercher, et encore chercher. C'est ingrat et nombre d'intervenants ont du mérite de passer un temps fou, qui sur un article, qui sur une bribe d'information.
Jean-Marie Paul était, au moment de la Rotonde, Chef de la section de Bruxelles au FJ.
Je renvoie aux déclarations de Francis Dossogne pour les autres responsabilités réelles qu’exerçait Jean-Marie Paul. Je pense donc, pour ma part, qu'il a plus sa place dans le schéma de Libert.

Passons du temps sur Tinck, là on tutoie le concret. S'appesantir sur le parcours de Jean-Marie Lepen n'a pas d’intérêt.

Il était indiqué à cette rubrique qu’il n’existait aucun lien à l’époque entre Jean-Marie Le Pen et l’extrême droite belge. Il semble que cette information soit inexacte. C’est la raison pour laquelle j’ai posté ce message.
Je dois dire que personnellement, je ne suis pas totalement convaincu par la thèse de la déstabilisation de la Belgique par les tueries du Brabant wallon ; et c’est un euphémisme.
Je penche plutôt pour la thèse des prédateurs. Des êtres dénués de tout scrupule, des asociaux prêts à tout par appât du gain, des individus agressifs, agissant en meute, faisant un usage immodéré de la gâchette, moyen de défoulement, révélateur de leur haine de la société et de leur déclassement. Je pense que les profilages ne me donnent pas tort.
Je pense qu’il faut relire les rubriques consacrées à la 2e vague. Notamment ce qui concerne les propos tenus par les tueurs lors des attaques. Il est systématiquement question de leur dépit devant des butins insuffisants.
Pour autant, vous proposez à juste titre de se recentrer sur Tinck pour lequel en définitive, nous ne disposons pas de beaucoup d’informations. Ce qui est tangible est avéré, c’est qu’il a par le passé tué un homme dans un contexte raciste. Voici un élément qui nous permet de supputer des sympathies d’extrême droite.
Quant aux schémas Libert et Latinus, il semble qu’ils aient retenu l’attention des enquêteurs tout au long de ces années compte-tenu de la piste WNP. Nous sommes donc en droit de nous interroger sur ce JMP de Paris.  

Y a-t-il un lien entre





et le magistrat Merckx dont il est question dans le fil de discussion relatif à Michel Verdeyen ?

Pourquoi "Maître" ?
On appelle pas un parquetier ou tout autre magistrat "Maître"  

http://www.pagesdor.be/avocats/leeuw-saint-pierre/

Citation :

Merckx Dirk
Victor Nonnemanstraat 15B 1600 Leeuw-Saint-Pierre
02 344 44 45

http://www.novius.be

Avocats  -   Leeuw-Saint-Pierre

Encore un...site en construction...  

Et In Arcadia Ego a écrit:

http://www.pagesdor.be/avocats/leeuw-saint-pierre/

Citation :

Merckx Dirk
Victor Nonnemanstraat 15B 1600 Leeuw-Saint-Pierre
02 344 44 45

http://www.novius.be

Avocats  -   Leeuw-Saint-Pierre

Encore un...site en construction...  

Parquet  

A relire, au sujet de Dirk Merckx :

http://www.nieuwsblad.be/article/detail.aspx?articleid=GCT2FPN4S

Nieuw schandaal doet gerecht op grondvesten daveren

Seks, leugens en corruptie bij het Brusselse parket

   zondag 27 september 2009
   Auteur: Mark Eeckhaut

(...)

_ _ _


Est-ce bien cette personne qui était en contact avec Karel de Lombaerde (KDL) du WNP ?
A-t-il vraiment été chargé de la lutte contre le terrorisme pour les Nations Unies ?

.

a herve, ce Asmaoui est de quelle région??? merci

Pour Asmaoui, voir :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t246p45-les-tueurs-du-brabant-wallon-candidus-ps

Il semble lié au Borinage...

a herve, merci, j'habitait Quaregnon à cette époque et il y avait une grande famille Asmaoui (médecins, et biens d'autres métiers) donc pas du tout barjots, ne serait-il pas un faux barjot et manipulait les Borains???

HERVE a écrit:

Un ami français me communique quelques renseignements sur Mr De Beketch (qui a interviewé Suzanne LABIN, voir le message précédent) ; parmi ses associés, on compte d'anciens pétainistes et même un ancien nazi.

Jos Vander Velpen, "Les voilà qui arrivent. L'extrême-droite et l'Europe" 1993:

Fin 1987, d'anciens rédacteurs de Minute fondent Le Choc du Mois, qui s'assure la collaboration occasionnelle de hauts dignitaires du FN tels que Pierre Vial. Ce n'est pas un hasard si le lancement de ce mensuel, proche des «païens» de la Nouvelle droite, a lieu peu avant les importantes élections présidentielles et législatives de 1988. Son message politique se devine sans peine.

En mars 1988, le magazine dont le rédacteur en chef est Serge de Beketch, titre: «Mitterrand, le Parrain et ses mafias». Quelques mois plus tard, c'est : «Sans accord avec Le Pen, le suicide de la droite». En juin 1988, Le Choc publie l'intégralité de la fiche de police du président Mitterrand ! Depuis mars 1990, François Brigneau et Christian de la Mazière occupent les premiers rôles dans la rédaction du Choc. Le premier était membre de la Milice, le second des SS.

Mais bon, tout ça n'est pas si extraordinaire quand on sait qu'en 1944-45 , l'épuration a été faite par dessus la jambe. En France, l'extrême-droite a acquis une grande puissance pendant la Guerre Froide et aujourd'hui elle s'est infiltrée jusqu'au sommet de l'Etat.

1) Robert Hersant (1920-1996), magnat de la  presse (le groupe Hersant: http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Hersant ) et propriétaire du principal quotidien conservateur français (Le Figaro) , fut lui même un ancien pétainiste et collaborateur des nazis pendant l'Occupation. Condamné à la libération , il a été amnistié dès 1952 et a repris les affaires.

2) Les notables du parti de la majorité actuellement au pouvoir (l'UMP , pourtant d'origine gaulliste) ont milité dans ou créé des partis fascisants / néo-nazis lorsqu'ils étaient étudiants dans les années 1960-1970 : GUD (Groupe Union Défense) , Ordre Nouveau , Occident etc. Certains de ces partis ont même été déclarés hors-la-loi et leurs membres avaient fait l'objet de poursuites judiciaires pour des motifs divers (trafic d'armes, violences etc). Ca n'a pas empêché les intéressés de se "recycler" , et d'obtenir des positions très élevées. On peut citer Alain Madelin, Patrick Devedjian, Gérard Longuet , Claude Goasguen, Alain Robert , et j'en oublie sûrement plein d'autres.

3) L'un des plus proches conseillers du président Sarkozy , Patrick Buisson , appartient aux milieux catholiques d'extrême-droites / intégristes. Avant d'être embauché par Sarkozy, il a dirigé le journal "Minute"; c'est un ami de Le Pen; il a même conseillé Phillippe de Villiers.

https://www.dailymotion.com/video/xing9l_buisson-eminence-grise-de-sarkozy_news

Pour l'ensemble du reportage:

https://www.dailymotion.com/video/xipbg9_reportage-de-complement-d-enquete-decryptage-de-la-stategie-xenophobe-de-l-ump_news

---
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Soir

Le Soir

Le Soir est un quotidien généraliste belge de langue française fondé en 1887 par Émile Rossel.


En mai 1983, le renouvellement des mandats d'administrateurs au sein de la s.a. Rossel & Cie, la société éditrice du Soir, provoque une crise majeure au sein du journal. Rossel & cie était une entreprise familiale, dont les actionnaires étaient des descendants d'Emile Rossel. On y distinguait deux groupes : les « majoritaires », descendants de Victor Rossel, dont la figure de proue était sa fille Marie-Thérèse, et les « minoritaires », descendants d'Emerence, une sœur de Victor, représentés par Jacques et André Declercq. Les deux groupes ont des visions diamétralement différentes de la manière de gérer le journal. En 1983, les choses s'enveniment lorsque les « minoritaires » proposent Robert Hersant comme candidat au poste d'administrateur. Ce grand patron de droite de la presse française, connu pour son interventionnisme dans les journaux de son groupe, suscite les plus vives inquiétudes au sein de la rédaction du Soir, qui craint pour son indépendance8. Les « majoritaires » se résignent finalement à l'entrée de Hersant dans le conseil d'administration

3 juin 1983: la rédaction se dote d'une société des rédacteurs, l'association sans but lucratif Société des Journalistes professionnels du Soir (SJPS), qui a pour objet « la sauvegarde et la promotion des intérêts professionnels, moraux, intellectuels et matériels de ses membres en tant que journalistes ». Colette Braeckman en est la première présidente; René Haquin le premier vice-président.

---

Robert Hersant, né le 31 janvier 1920 à Vertou (Loire-Atlantique), mort le 21 avril 1996 à Neuilly-sur-Seine (

Avant la Seconde Guerre mondiale, Robert Hersant milite au sein des Jeunesses socialistes (SFIO) de Rouen,

Il fonde alors le « Jeune front », un groupuscule pronazi situé dans l'orbite du Parti français national-collectiviste de l'ancien journaliste radical-socialiste Pierre Clémenti. La principale activité du « Jeune front » est de distribuer le journal antisémite Au Pilori, l'un des plus extrémistes de la collaboration, subventionné par les autorités allemandes.

Robert Hersant est condamné en 1947 à dix ans d'indignité nationale pour collaboration avec l'Allemagne nazie, mais bénéficie d'une amnistie générale en 1952.

En 1950, il fonde avec Balestre L'Auto-Journal qui sera à l'origine du groupe Hersant, qui détiendra notamment la Socpresse.

Il retourne ensuite à gauche, au Parti radical-socialiste, puis à la FGDS.

Dans les années 1970, Robert Hersant passera à droite et deviendra un soutien de la droite libérale et conservatrice avec notamment le rachat du Figaro.

1983 : Robert Hersant entre au conseil d'administration du groupe rossel

En 1987, Robert Hersant devient l'opérateur de chaîne française de télévision « La Cinq » en s'associant à Silvio Berlusconi,

Ou est le rapport avec les TBW et Libert?
Expliquez moi svp.

a luanda,aucun rapport avec Asmaoui du Borinage, ni avec Libert,

FAIRE DU CONCRET.

Sujet: Re: schéma de Michel Libert   Sam 25 Fév 2012 - 23:28
poste par herve
Dans la vidéo

https://www.dailymotion.com/video/xgvj6n_debat-sur-le-reseau-gladio-brabant-wallon-3-6_news#rel-page-under-4

Débat sur le réseau Gladio / Brabant Wallon 3/6

Marcel Libert déclare (à partir de la minute 16 ...)

" On était à la solde sans le savoir de gens en politique et en finances, installés au plus haut degré, qui demandaient par souci soit électoral soit financier soit économique ou d'influences tout-à-fait privées d'utiliser des réseaux organisés dans un combat qui pouvait être réorienté à des fins privées. "

----

.pour le momment et depuis 30 ans les seul personne que l on peut relier au tbw

sont les enqueteurs  et les victimes!

aujourd hui qui peut dire si libert (et son schema) ,bultho,lammers des ex para ou ex du katanga

ont quelque choses a voir avec les tbw?

--------
-------
je trouve ça tres concret qu apres la dilution du cepic par m deprer en 1982 , monsieur hersant

tente de s installer au commande du principale journal francophone (avec l accord d une minoriter)

comme je l ai rapporter plus haut,meme rene haquin et colette breackman ne sont pas rester indifferants a cela en 1983

---
peut etre que ce n est pas le bon fil mais comme c est içi que l on parlais de m hersant...

---

pour ma part je me demmande si ce ne sont pas des grandes entreprise  qui
ont tenter de destabilisser d autres entreprise  a coup d enlevement ,de meurtres
de chantages et peut etre des actes dit "terroriste" ? (???)

ceci dit je suis tres content que certain suivent la piste des trois truand

d autres celle des predateurs

d autre celle des ex para ,du cia etc etc

on peut esperer que parmi toutes ces pistes au moin une est la bonne

ce n est sans doute pas sur un forum que la veriter eclateras , mais le
faite que chacun apporte ses infos (avec ses croyances)peut permetre
a d autre de trouver des infos qu ils n aurais meme pas penser chercher
qui vont l eclairés sur certain point
.

Evidemment si vous vous placez dans le sillage de Herve et déterrez les anciennes élucubrations de son fond de commerce CIA ex paras ex katanga vous avez du travail sur la planche
On pourrait aussi s’intéresser aux Chasseurs Ardennais, aux Guides, à l'amicale des chauffeurs du TEC
ou des facteurs du Centre.
Très dangereux les facteurs: approfondir.
Ne dit- on pas couramment: "plusieurs facteurs interviennent dans les tueries du Brabant! "
Je vous refile ici un tuyau de première. Même Haquin n'y avait pas pensé

.
je vois que vous n avez pas bien lu mon mesage

herver mets un lien sur une emission ou l on vois m libert prononcer cette phrase

la plupart des info que herve rapporte sur ce forum viennent de publication

qui ne sont a priori pas plus ou moin bien que votre propre publication
.

luanda a écrit:

Marcel Libert déclare (à partir de la minute 16 ...)

" On était à la solde sans le savoir de gens en politique et en finances, installés au plus haut degré, qui demandaient par souci soit électoral soit financier soit économique ou d'influences tout-à-fait privées d'utiliser des réseaux organisés dans un combat qui pouvait être réorienté à des fins privées. "

Je crois perso que Libert dit vrai.

La visite du Commandant de la Gendarmerie, le Lieutenant-Général LORGE, en 1971 au ZAIRE à KITONA.

http://blog.seniorennet.be/rijkswacht/archief.php?ID=1346287





http://www.gendarmerie-rijkswacht.be/-%20grades%20index.htm

VDB Un Citoyen Au-Dessus De Tout Soupcon
Par Jan Willems




_ _ _

http://archives.lesoir.be/glinne-phosphore-devant-la-tele_t-19970215-Z0DAJ2.html

GLINNE PHOSPHORE DEVANT LA TELE

Samedi 15 février 1997

Dans un communiqué manuscrit, faxé vendredi matin, l'ancien député européen Ernest Glinne, qui aurait été à l'origine d'un contact entre Agusta et les gens du PS (dont Philippe Busquin), revient sur ses furieuses dénégations.

Tous comptes faits, il connaît Dominique Delhauteur, le conseiller qui a écrit la note où il est question de son intervention. Au JT de la RTBF hier soir 13 février, j'ai reconnu Dominique Delauteur (il ne s'est pas encore souvenu de l'orthographe du nom). Je l'ai croisé de temps à autre dans les couloirs du PS et me rappelle maintenant avoir discuté avec une dizaines de responsables politiques et administratifs et des techniciens, dont le général Sokay et Dominique (on se parle plus par le prénom que par le nom au PS...) : il s'agissait voici longtemps du problème des euromissiles, étudié dans le cadre d'un groupe de contact international dénommé Scandilux.

Le général Sokay est entré dans le sérail socialiste en juin 1977, et est décédé à l'âge de 58 ans en février 1985.

Ernest Glinne retrouve aussi des souvenirs plus récents. Son collègue italien Enze Mattina, le «tripoteur de couloirs», lui a bel et bien demandé quelque chose. Quant à Enzo Mattina, écrit Glinne, il m'a demandé de faciliter une prise de contact urgente entre des dirigeants du PS et des industriels italiens, sans aucune mention d'un projet de contrat avec Agusta. Je n'ai jamais participé à une quelconque discussion de fond dans ce cadre ou autrement, avant que l'affaire ne devienne scandaleusement publique.

michel a écrit:

Je reposte ici le document posté par Dim qui est un document écrit par Michel Libert (WNP). Si les enquêteurs enquêtent dans cette direction, cela promet d'être chaud :

A relire...

Sur Robert K. Brown de Soldier of Fortune :

http://ammoland.com/2014/10/my-vote-doesnt-count-or-why-i-am-a-stupid-lazy-loser/#axzz3HAJi4rR0