schéma de Michel Libert

Sur les liens entre Le Pen, Pierre Ceyrac et d'autres figures de la droite française avec Moon, voir le livre de J.F.Boyer, "l'Empire Moon" (1987 - sur internet).

Sur les liens Afrique du Sud-Israël, un article intéressant :

http://www.guardian.co.uk/world/2006/feb/07/southafrica.israel




South Africa's prime minister John Vorster (second from right) is feted by Israel's prime minister Yitzhak Rabin (right) and Menachem Begin (left) and Moshe Dayan during his 1976 visit to Jerusalem.


A voir aussi:

http://en.wikipedia.org/wiki/John_Vorster#Ossewabrandwag

Ironiquement, le premier Ministre John Vorster, reçu amicalement par Begin, Rabin et Dayan à Jérusalem en 1976, avait été emprisonné en 1942 par les autorités sud-africaines pour son appartenance à une organisation paramilitaire fascisante et pro-nazie (il y avait carrément le grade de général) . Pendant la seconde guerre mondiale, le pays faisait encore partie du "Commonweatlh" britannique. Vorster était d'ailleurs un judéophobe/antisémite autoproclamé.

La possibilité d'une coopération dans le domaine de l'armement nucléaire a sans doute brisé les tabous ...

Dans la même rubrique:

http://en.wikipedia.org/wiki/Category:South_African_Nazi_collaborators

Dernière remarque: une collaboration entre Israel et la RFA dans le domaine militaire et celui du renseignement s'est établie assez rapidement. Il serait intéressant de savoir quels sont les anciens criminels de guerre nazis avec lesquels les Israéliens ont travaillé.

http://www.spiegel.de/international/germany/intelligence-agency-s-murky-past-the-nazi-criminals-who-became-german-spooks-a-745640.html

http://www.spiegel.de/international/germany/from-nazi-criminal-to-postwar-spy-german-intelligence-hired-klaus-barbie-as-agent-a-740393.html

HERVE a écrit:

Sur les liens entre Le Pen, Pierre Ceyrac et d'autres figures de la droite française avec Moon, voir le livre de J.F.Boyer, "l'Empire Moon" (1987 - sur internet).

Sur les liens Afrique du Sud-Israël, un article intéressant :

http://www.guardian.co.uk/world/2006/feb/07/southafrica.israel




South Africa's prime minister John Vorster (second from right) is feted by Israel's prime minister Yitzhak Rabin (right) and Menachem Begin (left) and Moshe Dayan during his 1976 visit to Jerusalem.


A voir aussi:

http://en.wikipedia.org/wiki/John_Vorster#Ossewabrandwag

Ironiquement, le premier Ministre John Vorster, reçu amicalement par Begin, Rabin et Dayan à Jérusalem en 1976, avait été emprisonné en 1942 par les autorités sud-africaines pour son appartenance à une organisation paramilitaire fascisante et pro-nazie (il y avait carrément le grade de général) . Pendant la seconde guerre mondiale, le pays faisait encore partie du "Commonweatlh" britannique. Vorster était d'ailleurs un judéophobe/antisémite autoproclamé.

La possibilité d'une coopération dans le domaine de l'armement nucléaire a sans doute brisé les tabous ...

Dans la même rubrique:

http://en.wikipedia.org/wiki/Category:South_African_Nazi_collaborators

Dernière remarque: une collaboration entre Israel et la RFA dans le domaine militaire et celui du renseignement s'est établie assez rapidement. Il serait intéressant de savoir quels sont les anciens criminels de guerre nazis avec lesquels les Israéliens ont travaillé.

http://www.spiegel.de/international/germany/intelligence-agency-s-murky-past-the-nazi-criminals-who-became-german-spooks-a-745640.html

http://www.spiegel.de/international/germany/from-nazi-criminal-to-postwar-spy-german-intelligence-hired-klaus-barbie-as-agent-a-740393.html

Jean Bultot avait probablement des contacts en Afrique du Sud avant de s'y rendre, comme Latinus au Chili.
Via qui ?
Afrique du Sud et Israël, à l'époque se considéraient entourés de voisins hostiles, ce qui les rapprochait.
Les partisans de l'Algérie Française comptaient sur l'aide de ces deux pays dans la période qui a précédé le putsch d'avril 61.
Reste à déterminer s'il y a un lien ED/TBW.
Depuis le temps qu'on en parle (et pas plus tard qu'en juillet dernier avec le résultat que l'on sait).
Est-ce que le livre sur le WNP de René Haquin n'a pas favorisé cette piste ?
Si la CBW entends "fermer des portes", celle de l'ED l'est-elle depuis juillet dernier ?
A ce jour, le livre de Guy Bouten a contribué à refocaliser sur cette piste avec en toile de fond les milieux ultra-conservateurs US.
Il n'est alors plus question de desesperados mais d'un plan concerté avec l'appui des forces les plus réactionnaires de Belgique.
Dans l'épisode de Wavre, il y a probablement de sérieux éléments militant en faveur de cette piste (en tous cas le moyen orient).
Pour la seconde vague, c'est le mode para-miltaire qui abonde dans ce sens cette fois-ci.
Mais n'est-ce pas le propre de tous les groupes bien organisés qui sortent du lot en matière de banditisme ?

C'est en Afrique du Sud que le général italien Gian Adelio Maletti a trouvé refuge.

Il en est question dans l'article de Philip Willan ci-dessous :

http://www.guardian.co.uk/world/2001/mar/26/terrorism

(il y a un fil de discussion à ce sujet)

Par ailleurs, je viens de revoir le film "JFK" de Oliver Stone

http://fr.wikipedia.org/wiki/JFK_%28film%29

Très intéressant, même s'il date de 1991.

On voit passer le général Lyman Lemnitzer. Je crois que si un nouveau film était tourné, ce général prendrait une place plus importante, surtout depuis que l'opération Northwoods n'est plus un secret.

Afrique du Sud, voir Mossad. mais aussi bultot... et calmette/gignez (recrut. mercenaires)... et jean-claude darv.ille ...

HERVE a écrit:

Par ailleurs, je viens de revoir le film "JFK" de Oliver Stone

http://fr.wikipedia.org/wiki/JFK_%28film%29

Très intéressant, même s'il date de 1991.

On voit passer le général Lyman Lemnitzer. Je crois que si un nouveau film était tourné, ce général prendrait une place plus importante, surtout depuis que l'opération Northwoods n'est plus un secret.

Ce qui est ironique, c'est que les tentatives d'assassiner Castro se sont calmées rapidement après la mort de Kennedy, Johnson n'étant apparemment pas mis au courant.

Mais ca, Oliver Stone s'abstient bien d'en parler dans le film, il ne prend les Cubains que quand ca l'arrange pour sa thèse, et embraie ensuite sur le Viêt-nam.

A relire :

http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/people/article/les-corses-et-kennedy-24597

(...)

Ainsi, sur le film de Zapruder, tout le monde avait remarqué des trucs assez étranges : un petite fumée bleue derrière un bosquet, un gars étrange avec un parapluie de couleur alors qu’il faisait ce jour là 35 °C à l’ombre, etc. Everett révèle que derrière le buisson se tenait bien.... Lucien Sarti, un bandit corse, trafiquant de drogue, qui fut tué par la police à Mexico en 1972. Que vient donc faire un Corse sur la pelouse du Dealey Plaza de Dallas ? Selon Hunt, c’est une longue histoire de mafieux : le contrat d’assassinat du président US aurait été signé au départ en France, à Marseille, un chef mafieux corse tentant de recruter tout d’abord pour la besogne Chiristian David, dont le cursus n’est plus à faire. ce chef mafieux corse, c’était... Antoine Guerini, qui appellait Kennedy "le gros légume" en langage codé de téléphone. Guérini avait déjà été recruté depuis longtemps par la CIA (au sortir de la guerre !), et avait monté ensuite la French Connection, le gigantesque trafic d’héroïne entre la France et les US avec son équivalent new-yorkais, Lucky Luciano. Guerini recrute donc un tueur au profit de Luciano, pour des raisons encore inconnues. Comme tout chef mafieux, ni l’un ni l’autre ne vivront très vieux. Le 23 juin 1967, alors qu’il faisait le plein de sa Mercedes avec son fils, Antoine Guérini sera abattu de onze balles tirées par un tueur casqué à moto. Luciano ne verra même pas sa "commande réalisée" : il meurt à Naples en janvier 1962, d’une crise cardiaque. Les commanditaires véritables sont tout autres. Des pétroliers texans, affirme Hunt.

Christian David, "Le beau serge", membre du SAC et impliqué dans l’affaire Ben Barka, jugea le contrat trop risqué et le refusa. C’est ce qu’il a raconté un peu partout. C’est en fait Lucien Sarti qui accepta à sa place, parait-il. Sarti, muni d’un passeport italien, prit l’avion pour Mexico deux semaines avant le jour fatidique, pour atterrir à Brownsville, à la frontière US ou des mafieux américains lui avaient donné rendez-vous. Selon David, toujours, trois tireurs étaient présents au total, à Dallas. Les tirs furent croisés, deux de derrière, dont un seul en hauteur, l’un des deux tirs blessant le sénateur Connaly, le dernier coup, fatal, venant de l’avant et emportant la moitié du front du président. Jackie Kennedy, vue en train de courir à quatre pattes sur le coffre de la décapotable et décrite partout comme "s’affolant", ne cherchant qu’a rattraper un morceau du crâne... enlevé par le tir horizontal dévastateur, arrivé de face. Un autre éclat de crâne fut retrouvé plus loin, dans l’herbe, par un habitant de Dallas, Billy Harper.

Une quatrième balle fut tirée de l’arrière sans atteindre personne, certains évoquent la possibilité même de 6 tirs (2 par tireur). William Reymond citant le cas d’un témoin ayant reçu des éclats de béton au dessus de la tête, une balle ayant ricoché sur un des piliers de pont où il s’était réfugié en raison de la chaleur. Les deux autres tireurs venaient du Canada où ils s’enfuirent une fois le crime commis, Sarti étant éliminé plus tard sur l’ordre... de la CIA, à Mexico.

(...)

Lucien Sarti

Lucien Sarti, né vers 1931 en Corse et mort le 27 avril 1972 à Mexico (Mexique), est une figure du milieu marseillais, autant comme trafiquant de drogue que tueur à gages pour le compte de la French connection.

Sur son lit de mort, l'ancien agent de la CIA Howard Hunt l'a nommé comme étant l'une des personnes ayant tiré sur le président John Fitzgerald Kennedy lors de son assassinat en 1963 à Dallas.

Biographie[modifier]

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Il travailla pour Auguste Ricord, un trafiquant de la French connection à Marseille. Il fut tué par la police de Mexico en 1972.

Liens externes[modifier]
(en) Biographie de Lucien Sarti

From Wiki.

Autre version par rapport à celle de Sol Estes ?

À la fin de sa vie, (Howard) Hunt a fait plusieurs allégations à propos de l'assassinat de John F. Kennedy, comme l'a rapporté son fils John Hunt Saint. Dans des enregistrements audio, des discussions et des écrits, Hunt a selon son fils déclaré qu'il était impliqué dans un complot visant à tuer le président Kennedy. Il dit le nom de code donné par les conspirateurs à l'opération était "Le Grand Événement". Parmi les autres conjurés présumés figuraient David Atlee Phillips, Cord Meyer, Frank Sturgis, David Sánchez Morales, William King Harvey, un tireur français : Lucien Sarti , qui a travaillé pour la mafia (milieu marseillais, French connection), et le vice-président Lyndon B. Johnson

Note : Howard Hunt a été impliqué dans le scandale du Watergate ...

Sur Lucien Sarti :

http://www.spartacus.schoolnet.co.uk/JFKsarti.htm

(...)

(3) As a result of his research Stephen Rivele came to the conclusion that the plot to kill Kennedy involved Antoine Guerini, Carlos Marcello, Santos Trafficante and Lucien Sarti.

My own conviction at this point is that the contract probably originated with Carlos Marcello of New Orleans who placed it in Marseilles through his colleague Santo Trafficante, Jr. who had the closest relations with Antoine Guérini. Beyond that, it seems reasonable that Giancana of Chicago was involved if we accept Christian David and Michel Nicoli’s idea that the assassins were met at the border by representatives of the Chicago Mafia. And the fact that Sarti’s customers were primarily in New York, and the fact that the assassins evidently moved out of the United States through the Montreal corridor, which was very closely linked to the New York Mafia, also suggests that Gambino may have been involved.

(...)

http://chomsky-must-read.blogspot.be/2008/08/french-gunman-grassy-knoll-lucien-sarti.html

_ _ _


Parmi les possibles assassins de JFK, le nom de Robert K. Brown a aussi été cité. Il était tireur d'élite et s'intéressait beaucoup aux silencieux.

_ _ _


J'ai déjà pensé à Robert K. Brown comme un des tueurs du Brabant à cause de sa ressemblance avec un des portraits-robots ... mais il y a une difficulté : s'il avait été arrêté, les enquêteurs se seraient directement tournés vers les USA (bien que vu ses relations internationales avec des mercenaires ...)

Cependant, si "on" a osé employer Lucien Sarti pour l'assassinat de Kennedy, "on" aurait aussi pu oser faire appel à Robert K. Brown pour les tueries du Brabant ... à condition d'être à peu près certain qu'une arrestation était impossible (par exemple en ayant un autre véhicule et des exécutants supplémentaires en réserve en cas de coup dur).

Le dossier du magazine " Le Point " sur Jean-Marie Le Pen est sur :

http://fr.scribd.com/BEGHINSELEN

http://fr.scribd.com/doc/114422568/Le-Point-Le-Pen

http://chomsky-must-read.blogspot.be/2008/08/french-gunman-grassy-knoll-lucien-sarti.html





Lucien Sarti (born circa 1931 in Corsica, died April 27, 1972 in Mexico City) was a drug trafficker and killer-for-hire involved in the infamous French Connection heroin network. He was named on the television series The Men Who Killed Kennedy as one of the men who shot U.S. President John F. Kennedy. The series aimed to critically analyze the evidence in the assassination and attacked the official government conclusion that Lee Harvey Oswald had acted alone in killing Kennedy.

In one of the late episodes of the series, aired in 2003 on The History Channel, French prisoner Christian David named Sarti as one of three French criminals hired to carry out the assassination of Kennedy on November 22, 1963, when he was interviewed by author Anthony Summers. David's account was corroborated by Michele Nicoli, a former associate of David's who is currently in the U.S. Drug Enforcement Administration's witness protection program. Sarti was the only man David explicitly named, as he had been killed by police in Mexico City in 1972. The trio had all been working for heroin trafficker Auguste Ricord, a known client of the Marseilles underworld, at the time of Kennedy's death

(...)


Christian David

Christian David was a French Corsican who eventually became Auguste Ricord’s bodyguard and headed one of Ricord’s five divisions. He was also a bold international criminal, highly respected and feared within the underworld, who had lived with violence since his childhood in occupied France. His criminal career swung like a pendulum, mostly doing mercenary work for both the French underground but often performing assignments for that country’s secret political police as well.19

David was born in 1929 in the city of Bordeaux in the south of France.20 He was about 33 or 34 years old when President Kennedy was killed on November 22, 1963.21 He was only 58 when he appeared in The Men Who Killed Kennedy 1988, although he looked like an old man in the documentary because he had endured severe torture in a Brazilian prison in 1972.22

Of medium height and slender physique, a swarthy complexion common among Corsicans, a younger healthier Christian David walked with the firm, assured stride of a warrior, preferred elegantly tailored Continental-style clothes, and always carried a weapon. He was carrying a pistol with a silencer and a grenade when the Brazilian police arrested him in 1972.

Danish journalist Henrik Krüger wrote the following description of Christian David in his book, The Great Heroin Coup:


[Christian David has] been a pimp, robber, hired assassin for French intelligence, hatchet man in Algiers torture chambers, arms trader, spy, narcotics trafficker and true to form, lover of beautiful women. He’s one of the few alive who knows the truth about the Ben Barka affair that shook France in 1965; he knows details of the brutal power struggle within French intelligence agency SDECE; of SDECE collaboration with the Corsican Mafia; and of the secret CIA operations in Latin America. Ample grounds for anyone’s paranoia. But David is cunning and tough, and that is why he’s still alive.23



David liked to gamble; he loved the casinos in Rio, Buenos Aires, Asunción, and Montevideo. Although he was Corsican—known for their code of silence—David had a reputation as a talker. He once boasted that in 1969 Ricord’s organization had moved 1,000 kilograms of heroin into the United States in one big load. The heroin had been concealed in bags of money, placed in an armored truck, driven from Mexico to Houston, Texas, where it was stored in a warehouse then later distributed to buyers in Chicago, Cleveland, Los Angeles, and New York.24

Often using aliases, Jean-Pierre, Eduardo, and Beau Serge,25 David was often seen with Auguste Ricord at the Maison des Anciens Combattants Français, a well-known haven for international gangsters in Buenos Aires, Argentina. David was an international criminal at that time. In the 1960s he was wanted by the French authorities for murdering Paris Policeman Lieutenant Maurice Galibert26—who, when he was shot, was investigating the kidnapping and murder of Moroccan political exile, Mehdi Ben Barka.27 This indicates that Christian David was likely involved in Ben Barka’s death.

Mehdi Ben Barka was a Moroccan revolutionary politician who lived in exile in Paris in the early Sixties. It was widely viewed that Ben Barka would soon be president for the Republic of Morocco. When Morocco and Algeria had a brief war in 1963, Ben Barka sided with Algeria and went into exile. He was subsequently accused of high treason for an alleged plot against King Hassan II and was sentenced in absentia to death. He moved to Paris and became leader-in-exile of the opposition to Hassan. On October 29, 1965, Ben Barka disappeared. He was never found, and investigators concluded that gangsters were paid to kidnap and murder him. It was suggested several times that the plot was headed by General Muhammad Oufkir, Hassan's minister of the interior. The Ben Barka affair created a political crisis for the government of French President Charles de Gaulle and led to ruptured diplomatic relations between France and Morocco for almost four years.28

In the spring, summer, and fall of 1972, the governments of South and Central American were working with the Nixon administration to stop heroin from being smuggled into the United States. In October 1972 the Brazilian federal police arrested David and Nicoli along with several other Brazilian underworld figures. Most of them were using false identity papers. David, Nicoli, and another Frenchmen were transported by air to federal police headquarters in Brazilia, the nation’s capital, where Brazilian police interrogated them in a manner that has made Brazil notorious throughout the world.29

David was stripped of his clothing and hung upside down in the interrogation cell. He claimed he was tortured with electric shocks applied to his testicles and the head of his penis. Evidently he did not talk; however, the torture became so severe that he attempted suicide by swallowing a light bulb rather than undergo more. He later cut his wrists with glass fragments. After that he walked bowlegged from the pain.30 This was the Christian David that the world saw in Nigel Turner’s documentary, The Men Who Killed Kennedy—a man of 58 using a walker who appeared to be closer to 80.

Ultimately David was extradited to the United States, along with Auguste Ricord, for heroin smuggling. This was part of the Nixon administration’s war on drugs. David was taken to a Brooklyn courthouse where his bail was set at $2.5 million. Within two weeks federal judge Jacob Mishler sentenced David to twenty years in prison for smuggling half a ton of heroin into the United States. In addition, the trial revealed David’s ties to the French intelligence service known as Service d’Action Civique (SAC). His tri-colored SAC ID was placed on display as he explained: "I was taken from prison in 1961 to work for an organization called SAC. It was arranged by someone with connections in the highest political circles." He also commented on his incarceration in Brazil: "I was tortured by the Brazilians for thirty days and fed nothing for twenty-six days. They stole my money. Today I can’t afford a lawyer, I haven’t a cent."31


(...)


Une fois encore, le SAC est présenté comme un " French intelligence service ", ce qui me semble trompeur. Il en va de même dans plusieurs livres en ce qui concerne Elio Ciolini ...

Si on accepte ce qui est parfois écrit, le SAC serait le Stay-behind français.

Peut-on alors dire qu'une organisation Stay-behind est liée à l'assassinat de JFK ? Qui dirigeait les réseaux Stay-behind en Europe à cette époque ? ... Plus que probablement Lyman Lemnitzer, un des piliers du complexe militaro-industriel ... Qui a ensuite eu Guy Weber comme assistant et était proche d' "Argenteuil" (Léopold III, Princesse de Rethy, prince Alexandre ...), comme le général Close et d'autres ...

_ _


Au sujet de l'assassinat de JF Kennedy :

http://www.aarclibrary.org/

http://www.history-matters.com/

Des CDROM contenant de nombreux documents ("The Church committee reports", "The Russ Holmes work file", etc) sont disponibles ..

Un autre site sur JFK :

http://www.maryferrell.org/wiki/index.php/Featured_JFKfacts

Sur Lyman Lemnitzer :

http://library.temple.edu/collections/scrc/general-lyman-l-lemni

Né en 1899....

In retirement Lemnitzer remained active as a sought-after speaker, advocate and adviser. He was a tireless proponent of the North Atlantic Treaty Organization, lecturing throughout the country about the importance of the Alliance and often testifying before Congress. He was Chairman of the Advisory Committee of the Citadel, Chairman and President of the Washington Institute of Foreign Affairs, a member of the President’s Foreign Intelligence Advisory Board and a member of the Rockefeller Commission on CIA Activities within the United States. In 1982 Kent State University named its Center for NATO Studies in his honor. General Lemnitzer died on November 12, 1988.

Ne faut-il pas chercher ailleurs ?
Qui était son successeur ?

Ce qui est intéressant, c'est de savoir qu'il avait de longues conversations avec Léopold III (ils faisaient du golf ensemble) et que son assistant au Shape en Belgique était Guy Weber (services secrets militaires).
Un ami de toujours de Guy Weber était Yves Du Monceau de Bergendael (ils étaient ensemble à la brigade Piron), patron du groupe GB-Inno-BM, épargné par les Tueries.

Ce qui est aussi intéressant, c'est qu'il avait présenté l'opération Northwoods au président Kennedy ... qui avait refusé et envoyé le général au loin.

S'il est confirmé que des Français sont impliqués dans l'assassinat de JF Kennedy, il est également intéressant de connaître leurs liens avec le SAC ( "Stay-behind" français, sous les ordres du SACEUR, c'est-à-dire de Lyman Lemnitzer lors de l'assassinat).

Quant à ses successeurs, il y a bien entendu Alexander Haig, un des pilier de la secte Moon, proche de Ronald Reagan, adminé par Paul Latinus ... Sans oublier que le WNP a eu des contacts avec la secte Moon.

Je dis cela parce que dans la ligne de temps, entre 1963 (JFK) - 1966 (NATO quitte la France) - etc pour aboutir à 1985, il y a a minima ... 20 ans... pour des gens qui étaient déjà d'un certain âge...

Je crois que la même "nébuleuse" continue à fonctionner aujourd'hui encore.

Il est assez clair que Lyman Lemnitzer n'est pas personnellement impliqué dans les Tueries du Brabant ... mais je crois que Guy Weber l'était (et il a été l'assistant de Lemnnitzer). Dans les années 1980, je pense à Alexander Haig ...

Par ailleurs, certaines personnes ont joué un rôle pendant des dizaines d'années,;;; comme André Moyen ... et comme Elio Ciolini ...

Certes, bien des choses restent troubles et sont de nature à éveiller notre attention.
La politique US n'a pas toujours été ...limpide.
Pour autant, avec des politiciens d'une docilité exemplaire du côté belge à l'époque, je ne vois pas trop bien l'intérêt de l'opération que vous suggérez.
Des campagnes d'attentas à l'Italienne, des attentats ciblés contre les opposants (Chili), mais au juste, en Belgique, quel était le problème ?
Les US étaient comme chez eux.
Pas d'opposants crypto-communistes ?
Pas de danger + de simples attaques de supermarchés...
Tout au plus pourrait-on penser à un coup de semonce à l'égard d'un homme politique qui aurait trahi un pacte moral avec l'Oncle Sam (ou plutôt des US dévoyés, le complexe militaro-industriel) dans le cadre de ventes d'armes par exemple.
Le rôle de la FN est peut être à éclaircir et permettrai d'établir un lien avec Janvier 86.

Et même pour Alexander Haig:

De 1974 à 1979, Haig est nommé SACEUR (Supreme Allied Commander in Europe), le commandant suprême des forces alliées en Europe, à la tête du commandement intégré européen de l'OTAN. En 1979, il est victime d'un attentat à la bombe organisé par la Fraction armée rouge (Rote Armee Fraction ou RAF, une organisation terroriste d'extrême gauche allemande) dont il sort indemne.

Il démissionne de l'armée en 1979 et devient directeur d'United Technologies pendant un an.

Début 1981, à l'arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche, il devient son Secrétaire d'État (équivalent de ministre des Affaires étrangères) mais il démissionne le 24 juin 1982, en partie à cause de son autoritarisme, de son manque de diplomatie et en désaccord avec les conseillers du président. Durant l'hospitalisation de Reagan suite à l'attentat perpétré contre lui, le 30 mars 1981, il semble outrepasser ses pouvoirs en déclarant qu'il a « la situation en main. » La presse l'accuse de vouloir court-circuiter le vice-président Bush. Haig se défend en disant qu'il n'offrait pas une réponse juridique mais pratique : selon ses dires, il ne parlait pas de la succession du président, mais seulement de la situation dans laquelle se trouvait le gouvernement après l'hospitalisation de Reagan.

Considéré comme un faucon, il entre en conflit avec le secrétaire à la Défense Caspar Weinberger. Il est notamment à l'origine de la lutte des Contras au Nicaragua et au Salvador. Il attise la tension avec les Soviétiques, provoquant l'incompréhension et le désarroi des Alliés occidentaux des États-Unis.

En 1988, Haig se présente aux primaires républicaines pour tenter d'être désigné candidat à l'élection présidentielle mais il échoue devant George H. W. Bush, le vice-président sortant.


Mais l'énigme réside peut-être ici:

[i]"...lutte des Contras au Nicaragua et au Salvador. Il attise la tension avec les Soviétiques, provoquant l'incompréhension et le désarroi des Alliés occidentaux des États-Unis"...

Au début des années 1980, le problème, c'était les missiles ...

Pour en revenir à Lyman Lemnitzer :

http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2003/06/jfks-second-term/302734/

(...) His experiences with the Joint Chiefs of Staff deepened Kennedy's reservations about the advice he was receiving from the military. One incident that alarmed him came shortly after the Bay of Pigs debacle, when the Joint Chiefs urged Kennedy to authorize the use of air and land forces in Laos to avert a communist takeover. Kennedy wanted to know what they intended if such an operation failed. The Joint Chiefs answered, in the words of Attorney General Robert F. Kennedy, "You start using atomic weapons!" Lyman Lemnitzer, the Chairman of the Joint Chiefs, promised that if they were given authorization to use nuclear weapons, they could guarantee victory. Kennedy saw Lemnitzer's assurance as absurd. Later he said, "Since he couldn't think of any further escalation, he would have to promise us victory." Kennedy and the Soviets ultimately reached a negotiated settlement in Laos. But the disagreement with his advisers would set a pattern.

(...)

http://911blogger.com/node/17469


(...) Let's take a look at the United States JCS track record in the time period around the Liberty Incident... (The BBC documentary "Dead in the Water" presents evidence to support Jones' research... for more on the Liberty Incident, click here.)

In 1961, the Joint Chiefs of Staff were consulted about the CIA's Bay of Pigs invasion plan. Headed by Lyman Lemnitzer, the JCS approved the plan, and involved JCS Chief Naval Officer Admiral Arleigh Burke.

In 1962, the JCS presented their plans for Operation Northwoods to an incredulous Kennedy administration, that deep-sixed the Operation, and sent Lemnitzer to Europe, where it is very likely that he got his ass involved with NATO's "Stay Behind" armies in Europe. Kennedy gave him the top spot at NATO. It's stunning that Lemnitzer would do this after the Bay of Pigs meltdown, but he did. It turns out that the JCS never needed Lemnitzer anyhow...

In 1964, the JCS approved the Desoto naval patrols, that steadily increased in boldness, ultimately giving birth to the Tonkin+Gulf+lie. It's possible that the JCS was running a calculated risk here, knowing that Vietnamese defenses would be highly active following+OPLAN+34A+raids+in+the+area+from+US+forces. The DIA was advising the Desoto patrols at the time to be ready for action, keying up the men on board the USS Maddox, and perhaps taxing their already ignited states of vigilance. Considering the Bay of Pigs and Northwoods floating around in the heads of the JCS holdovers from the Kennedy period, it's not only possible, but probable.

In 1968, there was the USS Pueblo incident. Another case of an intelligence ship sent out to dangle as bait. But the North Koreans didn't take the bait completely. They simply boarded the ship and took it. Had they blown it out of the water, the JCS could have reignited the Korean War. Both the Maddox and Pueblo missions were rubber stamped by the Special Group;

(...)

http://guerre.libreinfo.org/manipulations/mensonges-de-guerre/105-guerres-secretes-otan/500-guerres-secretes-otan-france.html

La guerre secrète en France

Les armées secrètes de l’OTAN (VII)

par Daniele Ganser

(...)

Cela a de quoi surprendre, mais même après les épisodes douloureux de la crise algérienne, les unités secrètes stay-behind ne furent pas définitivement dissoutes en France, elles firent l’objet d’une simple restructuration. En 1998, le spécialiste des services secrets Jacques Baud observa à juste titre que « bien que les preuves manquent, certains experts ont laissé entendre que les activités du réseau stay-behind français ont été menées sous couvert du Service d’Action Civique ». [67] Après la dissolution de l’OAS, de Gaulle aurait fait en sorte d’affaiblir le réseau Rose des Vents tout en renforçant son « Service d’Action Civique », ou SAC. Le SAC était une sorte de garde prétorienne gaulliste, un sanctuaire de gaullisme à l’état pur reflétant la méfiance du général à l’égard de tous les partis politiques, fut-ce le sien. La mission dont s’étaient eux-mêmes investis ces hommes était de soutenir l’action du général de Gaulle. [68] Fondé au lendemain de la guerre, le SAC était le bras armé du RPF, le Rassemblement du Peuple Français, qui tentait en vain de constituer une opposition aux communistes et aux socialistes français. Fondé officiellement comme un service d’ordre, le SAC était en réalité la section anticommuniste du RPF chargée des sales besognes. Ses unités menaient des opérations clandestines contre les ouvriers grévistes ou contre les militants communistes qui s’étaient fait une spécialité de perturber par leurs cris les discours lors des meetings gaullistes. Les hommes du SAC étaient également chargés de la protection des politiciens et des groupes de colleurs d’affiches du RPF. [69]

Mais, malgré les agissements de son bras armé le SAC, le RPF ne parvint pas à remporter d’élections sous la IVe République ; il fut donc dissous en 1954. Cependant ses éléments les plus loyaux restèrent apparemment en contact puisqu’ils prirent part au coup de 1958 qui mit fin à la IVe République et remit de Gaulle au pouvoir. Jacques Foccart, le directeur et idéologue du SAC, en bon guerrier de l’ombre et partisan du général, prit en charge la coordination des opérations, grâce à ses relations au sein des services secrets, de l’armée et parmi les anciens résistants, pour organiser, le 24 mai 1958, l’occupation de la Corse par les soldats du 11e Choc basés à Calvi. [70] C’est ce qui amena l’expert en services secrets Porch à conclure que le SAC et Foccart ont véritablement « accouché du retour de de Gaulle au pouvoir en 1958 ». [71]


Le Service d’action civique, garde prétorienne du gaullisme

Le rôle joué par Foccart dans la guerre secrète qui se livra en France reste flou. «L’étendue des pouvoirs dont dispose Foccart est aussi mystérieuse que la manière dont il les a acquis à l’origine.» [72] Natif de Guadeloupe, l’homme fut mobilisé au début de la seconde guerre mondiale en 1939 mais parvint à s’échapper lors de la capitulation de la France. Il collabora ensuite avec l’armée allemande, mais vers la fin de la guerre, changea une nouvelle fois de camp et rejoignit la Résistance en Normandie. Il reçut même la médaille de la Liberté de l’armée états-unienne. [73] Après l’armistice, Foccart entra dans l’entourage proche du général de Gaulle et créa le SAC. Le centre d’entraînement pour les opérations spéciales qu’il fonda à Cercottes, près d’Orléans, « devint un lieu de pèlerinage pour les membres du SAC dans les années cinquante ». [74] Dans les années d’après-guerre, le service comptait près de 8 000 « réservistes », parmi lesquels des membres actifs du Service Action du SDECE et de son unité d’élite, le 11e Choc. Tous s’entraînaient à Cercottes et, après les révélations de 1990, le centre fut considéré comme l’un des principaux sites de formation des Gladiateurs français. [75]

En l’absence d’enquête officielle sur l’histoire de l’armée secrète française, il est pour l’heure difficile pour les chercheurs de distinguer les différences entre le réseau stay-behind Rose des Vents et le SAC, cela mériterait de faire l’objet d’études approfondies. Il semble cependant que le SAC se soit lui aussi livré à des opérations anticommunistes secrètes. Il aura fallu attendre l’arrivée au pouvoir des socialistes en 1981 pour que soit ouverte une enquête parlementaire. Quand en juillet 1981, à Marseille, un ancien chef du SAC, l’inspecteur de police Jacques Massié, fut retrouvé mort avec toute sa famille, les députés communistes exigèrent une enquête sur le Service d’Action Civique. En décembre de la même année, après six mois d’auditions, la commission parlementaire rendit un rapport volumineux dans lequel elle concluait que les activités des agents du SDECE, du SAC et de l’OAS en Afrique étaient « intimement liées ». Les députés découvrirent que le financement du SAC avait des origines troubles et provenait notamment des fonds du SDECE et du trafic de stupéfiants. [76]

(...)

[67] Baud, Encyclopedie, p.546.

[68] Porch, Secret Services, p.439.

[69] Ibid., p.438.

[70] Ibid., p.395.

[71] Ibid., p.439.

[72] Ibid., p.437.

[73] Ibid., p.438, basé sur la biographie de Foccart par Pierre Péant.

[74] Ibid., p.439.

[75] Baud, Encyclopedie, p.546 et le quotidien français Le Monde du 16 novembre 1990.

[76] Porch, Secret Services, p.446. Le rapport de la commission d’enquête parlementaire française sur le SAC est intitulé : Rapport de la commission d’enquête sur les activités du Service d’Action Civique, Assemblée Nationale. Seconde session ordinaire de 1981–1982, N°955, Alain Moreau, Paris 1982.

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Note : dans le livre de Jacques Baud (Encyclopédie, 2002, page 668) : "Bien que les preuves manquent, certains spécialistes ont suggéré que les activités des réseaux stay-behind français aient été menées sous le couvert du Service d'Action Civique (SAC), créé en 1958.

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C'est important car des personnes liées au SAC semblent avoir joué un rôle tant dans l'assassinat de JF Kennedy que dans les Tueries du Brabant (Adriano Vittorio). A noter aussi qu'Elio Ciolini est souvent présenté comme un membre du SAC (on peut le lui demander puisqu'il est en prison en Italie). Adriano Vittorio a été voisin de Simon Genevois dont le comportement laisse à penser qu'il avait le profil pour être membre du Stay-behind belge (militaire).

Ces personnes auraient pu obéir aussi bien à Lyman Lemnitzer (aussi proche de loges maçonniques comme la GLNF) qu'à Alexander Haig (un des piliers dela secte Moon).

En outre :

http://www.theantechamber.net/ExArchive/OperationGladio.htm

(...) Early 1970s Meeting between Alexander Haig and Licio Gelli

"In an interview the ex-Nato operative said that Ted Shackley, the CIA's deputy station chief in Rome, "fixed a meeting between Alexander Haig and Gelli at the US embassy in Rome in the early 1970s, when Haig was President Nixon's Chief of Staff. "Money" he said was then filtered to Stay Behind or Gladio with the blessing and knowledge of both Haig and the then head of the US National Security Council, Henry Kissinger. Their aim was to prevent a communist takeover at all costs.

(...)

Voici un petit extrait de ce que l'on peut trouver sur le site DNSA. (Digital National Security Archive - DNSA).

En faisant une recherche avec "Soldier of Fortune" ...


Citation: Civilian Military Assistance Newsletter Volume One Issue One
[Includes List of CMA Regional and State Directors], Newsletter, c. May 1, 1985, 11 pp.
Collection: Iran-Contra Affair
Item Number: IC01094

Abstract: Civilian Military Assistance newsletter; Civilian Military Assistance cooperates with Soldier of Fortune to seek [Mercenaries; Contra funding]; Democratic International is formed by [National Union for the Total Independence of Angola (UNITA); United Nicaraguan Opposition (UNO); Ethnics Liberation Organization of Laos (ELOL)] at Jamba, Angola Conferences organized by Lewis Lehrman of Citizens for America; Civilian Military Assistance vows to support its Volunteers being held in Prisons in Costa Rica for providing support to Contras; Civilian Military Assistance discourages private American citizens from attempting to travel to Central America to assist the Contras without proper contacts; Civilian Military Assistance reports receiving requests for Mercenaries from Guerrilla groups in [Afghanistan; Laos; Angola; Vietnam; Guyana]


Citation: The Death of Jesus Rojas
Secret, Cable, 04641, April 16, 1991, 2 pp.
Collection: El Salvador, 1980-1994
Item Number: EL01278

Abstract: Reports death of Farabundo Marti National Liberation Front commandante Antonio Cardenal, alias "Jesus Rojas"; calls incident "classic military ambush."


Citation: Letter of Appreciation
[Article Attached], Non-Classified, Letter, January 22, 1981, 2 pp.
Collection: Afghanistan
Item Number: AF00816

Abstract: United States Embassy. Pakistan. Office of the Defense Attache thanks Robert K. Brown for his efforts in support of United States assistance to Afghan rebels including the delivery of Ammunition ; Soldier of Fortune describes the efforts of Mercenaries to carry out Arms transfers to the Afghan rebels through the United States Embassy. Pakistan. Office of the Defense Attache


Citation: [NSC Responses to House Permanent Select Committee on Intelligence Questions Posed in September 12, 1985 Letter]
Confidential, Letter, October 7, 1985, 9 pp.
Collection: Iran-Contra Affair
Item Number: IC01642

Abstract: Robert C. McFarlane denies knowledge of current source of Contra funding; Robert C. McFarlane denies that Oliver L. North uses U.S. National Security Council staff to carry on contacts with [Civilian Military Assistance; Soldier of Fortune; Mercenaries]; Robert C. McFarlane denies that [Oliver L. North; U.S. National Security Council] have inappropriate relationships with [John K. Singlaub; World Anti-Communist League; Citizens for America; Friends of the Americas]; Robert C. McFarlane denies any Oliver L. North involvement in assisting Contra resupply operations to avoid Corruption of Honduras. Armed Forces; [Robert C. McFarlane; Oliver L. North] meet with [Contra leaders; United Indigenous Peoples of Eastern Nicaragua (KISAN)] to encourage adherence to Human rights; Robert C. McFarlane denies any Oliver L. North involvement in facilitating Contra resupply operations through soliciting [Donors; Third-country donors]; Robert C. McFarlane responds to U.S. Congressional requests for information from Lee H. Hamilton warning that unsubstantiated allegations against United States hurt chances for Nicaragua Democracy; Robert C. McFarlane denies that Oliver L. North provided advice or direction to the Contras in planning Attacks; Robert C. McFarlane denies any Third-country donors have offered Contra funding without any Quid pro quo agreements


Citation: Nicaraguan Press on American Citizens Fighting with Contras
Unclassified, Cable, August 13, 1985, 2 pp.
Collection: Nicaragua
Item Number: NI02540

Abstract: News media in Nicaragua describe United States mercenaries who work for the Contras; Bill Johnson reports that Civilian Materiel Assistance assists Contra resupply operations from warehouses in New Orleans (Louisiana) rented by the Nicaraguan Democratic Force (FDN); Soldier of Fortune assists the Contras in Honduras while other United States mercenaries provide Military training to members of Miskito, Sumo, Rama (MISURA) in Nicaragua


Citation: [Renewal of Congressional Request for Information and Documentation on NSC Contacts with Contras]
Letter, October 29, 1985, 3 pp.
Collection: Iran-Contra Affair
Item Number: IC01710

Abstract: Michael D. Barnes reiterates the need for the U.S. Congress. House to receive documents from U.S. National Security Council concerning contacts with [Contra leaders; Civilian Military Assistance; Soldier of Fortune; Friends of the Americas; John Hull; John K. Singlaub; Korea (Republic); Taiwan; Israel]; Michael D. Barnes adjusts U.S. Congressional requests for information to allow U.S. National Security Council to respond to U.S. Congress. House. Permanent Select Committee on Intelligence on questions concerning contacts with the Contras


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Les "journalistes" de Soldier of Fortune semblent être surout des mercenaires et on remercie même Robert K. Brown pour "his efforts in support of United States assistance to Afghan rebels including the delivery of Ammunition" (janvier 1981).

Le même exercice avec Tshombe ...



Citation: The President's Intelligence Checklist
[Yemen; Saudi Arabia-Jordan; Laos; China-India Border; Congo; Venezuela; Brazil], Top Secret, Intelligence Summary, October 15, 1962, 7 pp.
Collection: National Security Agency: Organization and Operations, 1945-2009
Item Number: HN01190

Abstract: Reports and comments on key political and military developments in Middle East, Laos, Congo, Venezuela, Brazil, and on China-India border.


Citation: South Africa and South West Africa
[Conversation between Secretary of State Dean Rusk and an Unnamed South African Industrialist], Confidential, Memorandum of Conversation, June 10, 1965, 2 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00272

Abstract: Confidential sources predict that Political violence will erupt in Rhodesia (Southern) before it appears anywhere else in Southern Africa; Dean Rusk tells South African Business community representatives that willingness by the Verwoerd Administration (1958-1966) to modify South African policy would improve South Africa's Diplomatic relations; Dean Rusk is told that Independence is impossible for South West Africa


Citation: Memorandum for the President
[Chief Issues Which Will Determine U.S.-African Influence and Image over the Next Years, Namely Those Relating to the Southern Third of Africa], Secret, Memorandum, June 16, 1965, 2 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00274

Abstract: Robert W. Komer reports that Insurgency in the Congo has been defeated and that some African countries are establishing relations with Moise Tshombe; United States influence in Africa will be determined by [United States policy toward South Africa; United States policy toward South West Africa; United States policy toward Southern Rhodesia] and by United States policy toward the Colonialism of Portugal; Robert W. Komer opposes large amounts of Economic assistance for African countries; Robert W. Komer believes that some experts overstate the risk of [Chinese (People's Republic) influence; Soviet influence] in Africa and advises Lyndon B. Johnson that United States policy toward Africa should emphasize Public relations efforts to indicate support for Africa's remaining Liberation movements


Citation: [Rand Daily Mail Report Article Discusses a New Drive to Recruit 300 South African Mercenaries for Congo]
Confidential, Cable, 000856, January 6, 1965, 2 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00242

Abstract: Rand Daily Mail (South Africa newspaper) reports attempts at the Recruitment of three hundred South African Mercenaries for use in the Congo


Citation: Proposed Training of South African Military Officers in the USG: Memo, Ball-Thompson, 12/9/64
Confidential, Memorandum, December 11, 1964, 1 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00238

Abstract: United States intervention in the Congo and the U.S. association with Moise Tshombe who employs South African Mercenaries have led to Attacks on United States embassies and on facilities of the United States Information Service; G. Mennen Williams opposes providing Military training to South African Military officers since African countries already accuse the U.S. of supporting Colonialism because of its role in the Congo


Citation: Proposed Lockheed Sale to South Africa
Secret, Memorandum, September 22, 1964, 6 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00213


Abstract: Lockheed Aircraft Corporation tells Jeffrey C. Kitchen that South Africa will obtain Anti-submarine aircraft from France if it does not get them from the U.S.; [U.S. Department of the Treasury; U.S. Department of Commerce] recommend sales of Military aircraft by United States corporations to South Africa in order to improve the United States [Balance of payments; Trade balance; Employment]; Arms Embargo against South Africa (2 August 1963) is widely perceived in International opinion as calling for total Arms embargoes against South Africa; William H. Brubeck reports that U.S. Exports of Anti-submarine aircraft to South Africa would provoke considerable opposition in African countries as well as among African Americans and Liberals in the U.S.; William H. Brubeck recommends postponing a decision on Arms sales until after the Presidential Elections in the United States (1964) and suggests that Johnson Administration (23 November 1963-21 January 1969) officials strive to reach a consensus regarding United States policy toward South Africa; U.S. Department of Defense favors sales of Anti-submarine aircraft to enable South Africa to patrol Shipping lanes around the Cape of Good Hope (South Africa)


Citation: South African Officers: US Military Training
Confidential, Memorandum, September 29, 1964, 1 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00218

Abstract: G. Mennen Williams argues against providing Military training to two South African Military officers because the U.S. has already been damaged in International opinion by its support of Moise Tshombe and of Tshombe's use of South African Mercenaries; Johnson Administration (23 November 1963-21 January 1969) will prepare a report on United States policy toward South Africa discussing Military training for South African Military personnel and restrictions imposed by South Africa on Visas issued to United States citizens but will defer decisions on these matters until after the Presidential Elections in the United States (1964)


Citation: Congo Government Makes Further Gains
Top Secret Dinar, Article, SC 00637/64, September 18, 1964, 2 pp.
Collection: National Security Agency: Organization and Operations, 1945-2009
Item Number: HN01368

Abstract: Reports on Congolese premier Moise Tshombe's intention to extend diplomatic gains won at Organization of African Unity foreign ministers meeting, and on government forces' recapture of key towns from insurgents.


Citation: Ambassador Naude's Visit
[Regarding Tshombe's Request for Military Aid, Including Aircraft, Equipment, Medical and Personnel Assistance], Secret, Memorandum, August 11, 1964, 1 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00195

Abstract: Willem C. Naude asks to see [Lyndon B. Johnson; Dean Rusk] to request United States intervention in the Congo because South African intervention might create Public relations problems; W. Averell Harriman is advised to see Willem C. Naude to discuss requests by Moise Tshombe for Military assistance from South Africa including [Aircraft; Military equipment; Medical care; Military personnel]


Citation: [Establishment of Relationship between South Africa and Independent African States]
Confidential, Cable, 00212, July 25, 1964, 1 pp.
Collection: South Africa
Item Number: SA00188

Abstract: United States Embassy. Congo opposes attempting to convince the government of the Congo and South Africa to establish Diplomatic relations; George M. Godley states that Moise Tshombe may establish covert relations with South Africa; George M. Godley states that the belief by the Verwoerd Administration (1958-1966) that Moise Tshombe will remove the Congo from the bloc of African countries opposed to South African policy may be mistaken


Citation: [Message from Moise Tsombe to President Kennedy Accusing Senior United States Officials of Aiding Cuban Subversion]
Confidential, Cable Elisabethville, October 31, 1962, 2 pp.
Collection: Cuban Missile Crisis
Item Number: CC01784

Abstract: Moise Tshombe declares that Kennedy Administration support for Cyrille Adoula risks the development of a situation like the Cuban Crisis in the Congo


Citation: The President's Intelligence Checklist
[Laos; Yemen; Congo; Soviet Union; Yugoslav-Bloc Relations; Includes Map], Top Secret, Intelligence Summary, October 17, 1962, 7 pp.
Collection: National Security Agency: Organization and Operations, 1945-2009
Item HN01192

Abstract: Reports key political and military developments in Laos, Yemen, Congo, and Soviet Union.


Citation: NSC Executive Committee Record of Action, December 17, 1962, 3:45 p.m., Meeting No. 37
Top Secret, Minutes, December 17, 1962, 1 pp.
Collection: Cuban Missile Crisis
Item CC02763

Abstract: ExComm Meeting (17 December 1962, 3:45 p.m.) participants agree on a U.S. Draft Declaration on Cuba (November 1962 - January 1963) for use if the [United States; Soviet Union] decide to make separate statements to the U.N. Security Council; John F. Kennedy authorizes informing [U Thant; Paul-Henri Spaak] that the U.S. is willing to send a squadron of U.S. Air Force Fighter aircraft to support the U.N. forces in the Congo; John F. Kennedy declares that if Moise Tshombe "is not cowed" by U.N. peacekeeping operations including the introduction of a U.S. Air Force squadron, then further Military actions will be considered; ExComm Meeting (17 December 1962, 3:45 p.m.) discussions include [Congo; U.S. Draft Declaration on Cuba (November 1962 - January 1963)]