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| schéma de Michel Libert | |
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Auteur | Message |
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HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 9:22 | |
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Dans le document suivant, il y a un long article sur le CNIP (Centre National des Indépendants et Paysans) :
http://www.scribd.com/doc/93370471/Article-31-n%C2%B07-Avril-1985
Jean-Marie Le Pen a été membre du CNIP.
Antoine Pinay, du CNIP, a été Président du Conseil et Ministre des Finances et des Affaires économiques.
Cela vaut la peine d'en savoir plus sur Antoine Pinay et sur le cercle Pinay (voir notamment la revue Lobster).
Des informations détaillées sont sur :
(J.Van der Reijden, 2006)
http://www.scribd.com/doc/11830651/Pinay-Cercle
Il y a un lien fort entre Pinay et Valéry Giscard d'Estaing (avions renifleurs) ...
After the proclamation of the Fifth Republic, the CNIP leader Antoine Pinay became Minister of Economy and Finance and chose him as Secretary of State for Finances from 1959 to 1962.
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 11:07 | |
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Il serait intéressant d'avoir une confirmation du contenu des fameux telex OTAN dérobés par le WNP ...
Il faut rappeler que la loge P2 a été accusée d'avoir fourni des missiles Exocet à l'Argentine.
Par ailleurs, je garde l'hypothèse selon laquelle il y avait des contacts entre le WNP et la loge P2 argentine (Pro Patria) et que "La Vega" est César de la Vega, ambassadeur argentin à Paris de 1974 à début 1976 ... les contacts ont pu continuer.
On sait en outre actuellement que Alexander Haig (SHAPE, secte Moon, etc) penchait du côté de l'Argentine lors de ce conflit.
_________________
LES VOLS DE TELEX OTAN LA JUSTICE MILITAIRE POUR LES MILITANTS DU WNP
HAQUIN,RENE
Page 20
Lundi 1er octobre 1990
(...)
En mai 1989, le dossier des vols de télex Otan ne concernant plus aucun «civil» fut transmis à l'auditorat militaire.
L'audience doit s'ouvrir aujourd'hui à 14 heures devant la première chambre du Conseil de guerre. Sept militaires ou miliciens, à l'époque en service actif ou en congé, tous anciens militants du WNP, sont cités à comparaître: Michel Libert, Jean-Bernard Peche, Francine Vandenborre, Frédéric Saucez, Françoise Durvin, Philippe Vanden Herreweghen et Marc De Jode sont accusés de trahison pour avoir subtilisé plus de trois cents télex classifiés «confidential, secret, restricted», un exemplaire du «Bulletin hebdomadaire du renseignement» (document à usage restreint) et peut-être des documents de la «Commission pour les problèmes nationaux de défense» au palais d'Egmont. Le Conseil de guerre n'a cité aucun témoin.
(...)
_____________
La guerre des Malouines (en anglais : Falklands War, en espagnol : Guerra de las Malvinas) est un conflit entre l'Argentine et le Royaume-Uni portant sur la souveraineté britannique des îles Malouines — situées à 480 km des côtes argentines et peuplées de descendants de Britanniques — entre avril et juin 1982.
_ _ _
Juin 1981 Premier vol de télex ultrasecrets de l’OTAN, au QG des forces armées belges à Evère, par des militaires membres du WNP.
Juillet 1981 Latinus montre à Christian Smets les documents OTAN volés par son groupe.
Mai 1983 Fin de l’opération des vols des documents de l’OTAN par le WNP.
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 11:16 | |
| >>ds "une milice privée d'extrême-droite' (ANNE MAESSCHALK)".
on y trouve les noms enfin de deux cabinetards cepic ds le minist Go.or un des deux doit être commun avec la donne qu'on avait sur un nom commun entre --------DEWEE, LATINUS et ce cabinard, ..... retrouvé où ? , ds le clampin de latinus ?
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les telex peuvent avoir ete des faux telex sur les positions des bateux (otan =anlais pour induire les argentins sur des fausses pistes,..;;mais je ne le pense pas
en tout cas personne n'a été condamné pour les vols car c'était ou trop tard ou le trib n'était pas .... .... |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 11:27 | |
| A lire aussi :
Jean-Pierre Stirbois, l'apparatchik
16 juillet 2011 | Par La rédaction de Mediapart
Le Monde magazine consacre une série d'été très documentée aux «numéros deux du FN». Cette semaine, Stirbois, partisan de la ligne «pure et dure».
_ _
Les numéros deux du Front national (2/4) : Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik
LE MONDE MAGAZINE | 15.07.11 | 17h36 • Mis à jour le 01.08.11 | 19h46
(...)
La liste qui a remporté la victoire compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, Jean-Pierre Stirbois.
Une semaine auparavant, ce dernier avait bousculé l’échiquier politique avec le "coup de tonnerre de Dreux" : sa liste obtenait près de 17 % des voix au premier tour et il allait réussir l’exploit – obliger les droites à fusionner avec le FN. L’homme de cette victoire historique qui fait connaître le Front national aux Français est l’inverse de Jean-Marie Le Pen. L’un est austère, l’autre brillant, l’un est un tribun, l’autre un apparatchik.
Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes. En 1965, il participe à la campagne présidentielle du candidat d’extrême droite Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. Stirbois y rencontre à cette occasion une militante prénommée Marie-France, qui va partager sa vie affective et politique.
La déroute électorale qui suivra va provoquer une lutte fratricide entre Tixier et Le Pen. Stirbois choisit le premier puis s’en va participer au lancement du Mouvement jeune révolution. "Solidariste", ce groupe réunit des anciens de l’OAS-Métro-Jeunes, leur idole est le capitaine Pierre Sergent. Au retour de son service militaire en 1969, Stirbois prend en charge le secrétariat national. "C’est là que vont se former le style et les méthodes d’organisation du futur numéro deux du FN", estime l’historien Jonathan Preda.
Stirbois veut construire une élite révolutionnaire apte à l’action clandestine. Il est lié avec Aginter Press, une officine portugaise de contre-subversion très impliquée dans les actions terroristes qui frappent l’Italie. La découverte dans sa cave d’armes et de matériel destiné à la production d’explosifs lui vaut d’ailleurs un an de prison avec sursis en 1971. L’organisation vit alors des crises successives. En 1975, Stirbois renomme son noyau de fidèles l’Union solidariste et fonde une imprimerie. Dix ans plus tard, elle tournera à 90 % pour le FN.
( ... )
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 16:54 | |
| Sur Hector Villalon ...
http://archives.lesoir.be/l-affaire-ecoovie_t-19890208-Z01CVA.html
HAQUIN,RENE
Page 1;6
Mercredi 8 février 1989
L'affaire Ecoovie prend l'allure d'un Irangate...
(...) Avec d'autres, Thierry créa au Panama une société d'achat de café sud-américain à payer par les traites indonésiennes. Parmi ces autres, l'argentin Hubert Villalon, qui précisément servit de négociateur au gouvernement Carter lors de la prise d'otages des membres de l'ambassade américaine à Teheran...
(...)
Note : il faudrait vérifier le prénom ...
Voir :
http://www.scribd.com/doc/93400077/Villalon-Peron
www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=797
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 18:33 | |
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http://anneesdeplomb.topdiscussion.com/t126-pio-bougerol-et-cie
Ref :
-Hebdo Telemoustique n° 24, 3723/040697, pag 26 : CIA en Belgique, F. Moser. -Le Vif Express, 090597, pag 74 : Washington a piégé les ordinateurs du monde. -Rapport Parlementaire Sectes: 313/7-95/96 : I (48 en 304) II (51) : Duquesne , Willems. (secte Ecoovie)
En 72 la sa. Wackenhut Belgium s'installe à 41 rue du Page à Ixelles. Riconosciuto était le génie informatique de Wackenhut. Il négocie aussi pour la CIA la libération en oct 80 des otages américains en Iran.
Il a aussi modifié le Logiciel "Promis...", par lequel Washington a piégé les ordinateurs de beaucoup d'états.
M.Villalon Victor ( Techniholding ) joue aussi un röle en Iran.
Il rencontre à Damas Steve Keteler, maitre ThIerry et le financier palestinien Zubaidi : celui-ci laisse gérer par la secte ECOOVIE une somme de 10.500.000.000 US Dollar; c'est la somme qu'il a reçue des USA pour les livraisons d'armes à Komeiny dans l'affaire Iran-contragate.
Wackenhut : firme de surveilllance privée : un environnement où on retrouve Calmette, Barbier, etc
Wackenhut existe encore de nos jours sous le nom G4S, alias Group 4 Securicor en Belgique.
Sur Ecoovie :
http://www.voltairenet.org/Rapport-de-la-Commission-d-enquete,7309
Le 31 janvier 1986, une convention est conclue entre d’une part le Central Establishment For Trade and Investment de Beyrouth et sa filiale la Zubaïdi Trading Company représentés par M. Hassan Zubaïdi et d’autre part la Liberty Production Jersey Limited PO BOX 404 St. Helier Jersey c/o International Dynamic Trading (IDT), SPRL Boulevard de Waterloo à Bruxelles représentées par M. Steve Keteleer, sujet belge, né le 11 janvier 1936 à Wilrijk.
(...)
Un avocat marseillais, M. Hubert Thierry est le conseil juridique du Techniholding de Paris ; ce holding est dirigé par un homme d’affaires argentin, M. Victor Villalon qui avait joué un rôle important lors de la libération des otages à l’ambassade des USA à Téhéran et était resté en très bons termes avec l’ex-président Jimmy Carter. Comme conseil juridique de ce holding M. Thierry est venu à Bruxelles en mars 1986. Il y a rencontré M. Gustave Keteleer et depuis lors il est devenu un collaborateur actif de l’association Zubaïdi Keteleer. A plusieurs reprises, il s’est rendu à Damas.
(...)
Le prénom de Villalon semble changer selon les sources
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 18:41 | |
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Tiré de
http://www.scribd.com/doc/93106343/Secret-Teams-and-Covert-Operations-in-the-Reagan-Era
(Peter Dale Scott, etc)
(...) The Strategy of Tension : CAL, P-2, Drugs, and the Mafia
Reports linking WACL to drugs became particularly flagrant in the period 1976-80, as the rift between WACL and Carter's CIA widened, and as a new Argentine-dominated affiliate of WACL in Latin America (CAL) ploted to extirpate radical Roman Catholic priests and prelates fostering libertaion theology.
A high-point or low-point of the CAL plotting wqs reached in 1980, when Argentine officers, bankrolled by the lords of Bolivia's cocaine traffic, installed the Bolivian drug dictatorship of Luis Garcia Meza (...)
La suite est aussi intéressante ...
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Dim 13 Mai 2012 - 22:42 | |
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Voici l'avis d'un contact en Argentine au sujet de Villalon (voir les liens avec Ecoovie en Belgique) ...
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This is a key figure, dangerous and strange. I have mentioned his name many times in my book.
Villalón was a Peron' secretary and, at the same time, friend of Fidel Castro, who gave him the franchise of the Cuban cigars in Europe. Meanwhile, he was a close friend of Almiral Massera and Jose Lopez Rega. His name has not appeared into the P2 list, but I think he was a key member of the lodge. Villalón acted as Massera spokesman in Europe and was involved in the kidnapping of the FIAT's director in France: Luchino Revelli Beaumont. I think that kidgnapping was organized with Massera and Montoneros' cooperation. Also, he acted as mediator in the case of the Iran's hostages and starred a full, when he wrote a letter to Iran's Government as if it were written by the US Government.
Villalón kept a good relationship with Khadafy.
Villalón also has a key role in the Montoneros' formation. Despite his advanced age, he was suing before the Courts any person who published something bad against him.
From my view, Villalón is the key person to study for understanding the lodge P2. Probably, he were a KGB agent.
Any additional information about him would be welcome.
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 9:07 | |
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Je ne partage pas vraiment l'opinon selon laquelle Villalon serait un agent du KGB ... mais il est bien possible qu'il soit lié à la P2.
Un autre article du New York Times est sur :
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93456345/Villalon-NYT-1980
Il n'est pas évident de comprendre ce qu'il faisait avec Ecoovie ... il faudrait relire ce qu'il y a sur le forum au sujet de cette secte.
Hector Villalon me semble aussi trouble (et suspect) que Elio Ciolini ...
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 9:37 | |
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Sur Villalon, voir
http://www.stelling.nl/morgenster/uranium.htm
(en néerlandais)
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 11:40 | |
| Eurodif>beaucoup de attaques en france /contre la france (mais la begique et la suede étaient aussi ds eurofdif et Iran sous le shah) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 12:11 | |
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Contrairement à mon "contact" en Argentine, je ne lie pas Villalon (malgré le peu que j'en connaisse) et le KGB.
Dans notre pays, il a été proche de la secte Ecoovie.
Il faut relire le livre "Ecoovie, le mic-mac des services secrets" et il apparaît clairement que Ecoovie avait des liens avec l'extrême-droite.
Il est donc très probable que Villalon ait été de droite (ou d'extrême-droite).
Le "gourou" de la secte Ecoovie a été un proche de Maurice-Eugène André, un ancien officier d'aviation de l'armée belge ... une étrange personne qui dirigeait un groupuscule d'extrême-droite ... et qui a tenté plusieurs fois de s'infiltrer dans la mouvance écologiste.
A noter : Maurice-Eugène André a suivi une formation NBC (Nucléaire, Bactériologique et Chumique) à la base de Glons ... l'endroit où, après la même formation, Paul Latinus aurait été formé au contre-espionnage avant d'entrer au service du PIO (puis du WNP). Certains pensent que les liens de Latinus avec les Américains (DIA... SHAPE ...) ont commencé à Glons.
http://www.mil.be/aircomp/units/index.asp?LAN=fr&ID=191
La secte Ecoovie avait, en Italie, des contacts avec le SID. Ce service secret militaire italien a été impliqué dans la stratégie de la tension en Italie et dans le scandale de la loge maçonnique P2.
On reste toujours dans l'extrême-droite...
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 12:43 | |
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Des extraits de
Ecoovie, le mic-mac des services secrets
sont sur :
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93468963/Ecoovie-le-mic-mac-des-services-secrets-extraits
On y parle de Villalon à la page 127.
A noter : à la page 133, il est question de Paul Cams.
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 13:35 | |
| Sur l'Argentine et le Peronisme, voir
http://en.wikipedia.org/wiki/Ezeiza_massacre
http://en.wikipedia.org/wiki/Montoneros
(à noter : le rôle de Stefano Delle Chiaie ...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Lun 14 Mai 2012 - 15:07 | |
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Sur Villalon ...
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ARCHIVES/archives.cgi?ID=9d11dd9664b02ed2877c442088ebdc523300c9307f118731
ENQUETE Trente ans après Les secrets d'un enlèvement
Article paru dans l'édition du 29.12.07 Le 13 avril 1977, Luchino Revelli-Beaumont, éminence grise de Fiat, était enlevé à Paris. L'affaire avait fait la « une » pendant près de trois mois. Une action judiciaire pour « faute lourde de l'Etat » pourrait être engagée en France Qui se souvient de l'affaire Revelli-Beaumont, le feuilleton médiatique qui avait tenu en haleine les Français en 1977 ? Un soir d'avril, le directeur général de Fiat-France est enlevé en plein 16e arrondissement à Paris. Un groupuscule prétendument révolutionnaire, composé d'Argentins, réclame 30 millions de dollars. Son manifeste, publié sur une pleine page dans Le Monde, est adressé « aux ouvriers européens, nord-européens et japonais, à leurs enfants, à nos peuples du tiers-monde, à nos camarades ». Après deux mois et vingt-sept jours de tractations secrètes, l'otage avait été libéré contre une rançon de 2 millions de dollars, payés à Genève. En 1985, l'affaire avait trouvé son épilogue : deux des sept exécutants étaient jugés en France. Une chape de plomb se refermait sur ce rapt dont les dessous restaient mystérieux.
Dans la salle à manger d'un hôtel de montagne, à Courmayeur, en Italie, Luchino Revelli-Beaumont, 88 ans, légèrement voûté, le sourire un peu figé mais l'oeil brillant, s'avance et se fend d'un baisemain. L'ex-otage s'était jusqu'ici refusé à rencontrer la presse. L'éminence grise de Fiat sillonnait le monde pour négocier les plus gros contrats lorsque, à l'âge de 58 ans, au faîte de sa carrière, sa vie avait été brisée. Lâché du jour au lendemain, l'homme fut mis à la retraite anticipée. Depuis, il vivait à Gênes, emmuré dans le silence.
Mais voilà que sous l'effet de révélations aussi inattendues que tardives, les squelettes commencent à sortir des placards. En novembre, Luchino Revelli-Beaumont a donné son accord pour que sa fille Laura engage en France une action pour « faute lourde d'Etat », seul recours pour tenter de faire la lumière sur certains épisodes de cette affaire. L'avocat parisien William Bourdon a accepté de conduire cette procédure.
Tout a commencé fin janvier 2006, avec le coup de fil d'un journaliste d'investigation argentin à Laura Revelli-Beaumont. Juan Gasparini, qui vit à Genève, dit avoir la preuve, documents et enquête à l'appui, que le cerveau de l'enlèvement est un certain Hector Villalon, un ancien conseiller du mythique général argentin Juan Peron, renversé en 1975 et contraint à l'exil. Richissime businessman argentin qui a toujours mêlé politique et affaires, Hector Villalon, aujourd'hui âgé de 77 ans, coule des jours tranquilles à Sao Paulo, au Brésil. Après la libération de Luchino Revelli-Beaumont, il avait été inculpé de complicité d'enlèvement par la justice française, puis blanchi.
Trente ans après, les Revelli-Beaumont ont découvert que M. Villalon avait obtenu un non-lieu sur la base d'une déclaration jamais vérifiée. L'homme d'affaires argentin avait été arrêté en juillet 1977, à partir de relevés téléphoniques communiqués par la Suisse, le pays où fut payée la rançon. Il avait reçu des appels des ravisseurs à son domicile parisien. C'était, prétendait-il, en tant qu'intermédiaire mandaté par son « amie » Maria-Elda Revelli-Beaumont, l'épouse de l'ex-otage. Cette dernière n'a jamais été interrogée par le juge. A 88 ans, elle a, en février 2007, déposé un témoignage chez un avocat de Gênes, certifiant n'avoir jamais mandaté le fameux M. Villalon. Luchino Revelli-Beaumont voit resurgir les fantômes de son passé. Il avait connu cet homme alors qu'il était l'assistant de Juan Peron : « Puis il a disparu, et Isabelita Peron m'a dit un jour : «Villalon nous a déçus.» »
A l'origine de ce remue-ménage, le manuscrit posthume d'un certain Jorge Caffatti. Cet activiste d'une des branches de la guérilla péroniste fut le chef des ravisseurs de Luchino Revelli-Beaumont. Il est le seul à avoir échappé à une vaste opération de police, en juillet 1977, deux semaines après la libération de l'otage. Ses six compagnons ont été arrêtés en Espagne. Hector Villalon est tombé à Paris. Le chef des ravisseurs, lui, a regagné clandestinement l'Argentine. Mais, quelques mois plus tard, il s'est retrouvé emprisonné dans le redoutable lieu de détention de l'Ecole supérieure de mécanique de la marine (ESMA), à Buenos Aires. Et, en novembre 1978, il a été exécuté. Avant de disparaître, Jorge Caffatti a rédigé ses Mémoires, encouragé par ses tortionnaires. Versé aux archives de la commission d'enquête sur la dictature créée en 1983 par le président Raul Alfonsin, ce texte a été publié en mai 2006 à Buenos Aires, précédé d'une enquête biographique du journaliste Juan Gasparini. « Caffatti était mon unique interlocuteur. Tout ce qu'il raconte sur ma détention est exact », confirme Luchino Revelli-Beaumont. Vrai : durant sa captivité, il fut quatre fois condamné à mort par ses ravisseurs encagoulés et leur « tribunal ouvrier ». Vrai : il fut contraint d'écrire sur les pratiques de corruption de Fiat en Italie et en France. Il avoue ne pas avoir pu lire les Mémoires d'outre-tombe de celui qu'il appelait « Renato ». « C'est encore trop douloureux. Mes enfants l'ont fait pour moi. »
Dans son récit, Jorge Caffatti, qui se faisait appeler Renato Mateassi au moment de l'enlèvement, explique avoir agi pour financer la lutte armée, alors que ses huit camarades, dont il ne détaille pas le rôle, étaient davantage mus par l'argent, certains ayant des « rêves de grandeur ». Parmi eux, Hector Villalon, alias « Pajaro » (l'Oiseau), est expressément nommé. Creusant cette piste, le journaliste Gasparini a retrouvé des témoins de l'époque. Parmi eux, l'un des anciens ravisseurs qui habite l'Espagne, ainsi que deux camarades proches de Jorge Caffatti. Tous désignent M. Villalon comme l'inspirateur de l'opération. Ses motifs auraient été crapuleux.
Contacté à Sao Paulo par courriel, puis par téléphone, Hector Villalon, dans un français parfait, réfute toutes ces accusations, les qualifiant de « pure folie ». L'Argentin maintient sa version : à l'époque, dit-il, il a agi comme intermédiaire avec l'accord de la famille Revelli-Beaumont. Le fait qu'il soit mis en cause relève selon lui « d'une opération pour discréditer les péronistes en exil ». L'enlèvement de Luchino Revelli-Beaumont a été organisé, explique-t-il sans avancer la moindre preuve, par les responsables de la dictature argentine.
En 1977, quatre avocats parisiens l'avaient sorti des griffes de la justice. L'un d'entre eux, Christian Bourguet, interrogé par Le Monde, se dit « stupéfait » d'apprendre que l'alibi de son client n'a pas été vérifié auprès de la famille. Mais il ajoute ne pas croire à la culpabilité de celui qui devint ensuite un partenaire, presque un ami. En 1979, en pleine crise des otages américains à Téhéran, le tandem, qui avait ses entrées auprès du nouveau pouvoir iranien, fut mandaté par Jimmy Carter pour jouer les émissaires secrets. L'affaire se termina d'une étrange manière : M. Villalon avait été soupçonné d'avoir réécrit une lettre personnelle du président américain à l'ayatollah Khomeyni, alors qu'il jouait les intermédiaires ! Me Bourguet décrit son camarade péroniste comme un redoutable homme d'affaires, brillant analyste politique, doté de multiples contacts dans les milieux socialistes européens.
A 88 ans, l'ex-otage, lui, veut comprendre. Pourquoi, à l'époque, son avocat, payé par Fiat, ne lui a-t-il jamais parlé de l'alibi d'Hector Villalon ? Pourquoi a-t-il été lâché ? A la veille de son enlèvement, le 13 avril 1977, Luchino Revelli-Beaumont, avocat de formation, est l'un des hommes les plus influents de Fiat. Directeur général en France, il conseille le président de la firme, Umberto Agnelli, pour les opérations internationales. Spécialiste des missions délicates, il voyage sans cesse : URSS, Brésil, Chine, Roumanie, Chili, etc. En Argentine, au début des années 1970, la situation politique est explosive, Fiat ne parvient plus à se faire payer et cherche une solution pour que la stabilité revienne. En juin 1973, Luchino Revelli-Beaumont, le « diplomate itinérant », orchestrera un plan secret : le rapatriement à Buenos Aires du général Juan Peron, alors en exil à Madrid. Ce sera la grande affaire de sa vie. Elle le mettra en contact avec la nébuleuse péroniste, celle-là même d'où sont issus la plupart de ses ravisseurs.
Après sa captivité à Paris, c'est la chute. Une commission de psychiatres le déclare « invalide mental à 100 % » et le met à la retraite à 58 ans. Il ne reverra plus jamais Umberto Agnelli. Malgré un accord oral, la multinationale refusera même de payer ses frais de santé. Certains souvenirs remontent sous forme d'énigmes. Luchino Revelli-Beaumont se remémore parfois son ami l'ambassadeur Albert Chambon. Ce diplomate français avait joué un rôle décisif pour obtenir sa libération. Il lui avait raconté comment, chez Fiat, « certains avaient débouché le champagne » en apprenant l'enlèvement. Ou encore ces insistantes rumeurs selon lesquelles la police française connaissait le lieu de détention mais n'était pas intervenue.
Après sa libération, Luchino Revelli-Beaumont avait lui-même fourni des indications précises, à partir de souvenirs auditifs et de visions furtives. En 1978, il mena des recherches, aidé par un jeune policier. En vain. Aujourd'hui, il a affirmé avoir identifié un château, à Verrières-le-Buisson, dans l'Essonne. En mai, il est entré dans l'enceinte de cette propriété et a été saisi d'une certitude. Il reconnaissait les bruits, les couleurs, le gravier, le perron et la rambarde sur laquelle il avait pris appui. C'est là, dit-il, que, trente ans plus tôt, il est resté séquestré pendant près de trois mois.
Agathe Duparc
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mar 15 Mai 2012 - 15:24 | |
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Une copie de la chronologie des Tueries du Brabant tirée du livre de Haquin et Mottard est sur :
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93647371/Tueries-du-Brabant-Chronologie
A noter :
Paul Latinus effectue un rappel au CRC de Glons en juillet 1977. Contacts avec des officiers de l'OTAN / DIA ?
Paul Latinus devient informateur de la Sûreté (Massart) en juillet 1979 ; entremise de M. Thomas (Sécurité CEE, formateur au Front de la Jeunesse).
Premier vol de documents secrets OTAN en juin 1981, sur ordre de Latinus.
Premier contact de Latinus avec Faez al Ajjaz en juillet 1981 (via Emile Lecerf).
Fin des vols de documents-télex OTAN en mai 1983 (De Jode)
- -
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_Malouines
La guerre des Malouines s'est déroulée entre avril et juin 1982. Les vols des documents OTAN ont commencé avant et se sont terminés après. Il y a bien entendu eu une préparation de l'invasion de la part de l'Argentine. Il est tentant de penser que ces vols étaient destinés à informer la P2 argentine ( César de la Vega, peut-être Villalon ... ) tenant aussi compte du fait que Alexander Haig (probable lien avec Latinus) penche(ra) du côté de l'Argentine ...
Cela ne reste cependant qu'une hypothèse ...
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mar 15 Mai 2012 - 17:15 | |
| si WNP est organisé par la SGR-SDRA le vols des telex peut etre une tentative de desinformation par rapport aux même ARGENTINS , les induire en erreur qoui
comme cela c'est plus comprehensible que que les acteurs du (pseudo-vols (voulus!)n'ont jamais été punis ? ? que le proces a été tiré en longeur jusqu'au (verjaring) .
si il y a un consulat ambassade tout près du rue de coccinelles ,on pourait supposer qu'il y avait un argentin ds la SANTANA ....
pourait y avoir un lien entre Dekaise et l'Argentine ? punition pour fausses infos ?
je n'ai jamais compris les liens" liban" avec la presence de cette joural" el Pais"
c'est pas bou &be ,ni montgom. kee, pourt.is van ba.len ni sa bonne portugaise donc il ne reste que Mend., Kasg ou Faez ? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mar 15 Mai 2012 - 17:36 | |
| d'un coté on peut comprendre que latinus a donner les telex a Faez - Citation :
- Premier vol de documents secrets OTAN en juin 1981, sur ordre de Latinus.
Premier contact de Latinus avec Faez al Ajjaz en juillet 1981 (via Emile Lecerf). mais de l'autre côté: - Citation :
- . Latinus avait déclaré qu’après le premier vol de télex par Libert en juin 1981, il avait montré ceux-ci
à Christian Smets en juillet 1981, et il précise que cela s’était passé dans un café près de la Bourse à Bruxelles. (Interrogé par le juge d’instruction, Mme Coppieters) et haq 90 ou on peut comprendre que SMETS connaissait la magouille avec les faux telex et il a laissé mettre Latinus ces faux doc ds les mains de FAEZ , qui n'a pas bronché non plus et comme cella ils ont trainer depuis juin ds le couloir : personne voulait car ils étaient bidon.? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mar 15 Mai 2012 - 17:47 | |
| >>> - Citation :
- Fin mars 1981 retour de Latinus de CHILI
>> - Citation :
- Premier vol de documents secrets OTAN en juin 1981, sur ordre de Latinus.
>>. - Citation :
- Latinus avait déclaré qu’après le premier vol de télex par Libert en juin 1981, il avait montré ceux-ci
à Christian Smets en juillet 1981, et il précise que cela s’était passé dans un café près de la Bourse à Bruxelles. (Interrogé par le juge d’instruction, Mme Coppieters) et haq 90 >> - Citation :
- Premier contact de Latinus avec Faez al Ajjaz en juillet 1981 (via Emile Lecerf).
>>> - Citation :
- La guerre des Malouines s'est déroulée entre 2 avril et 14 juin 1982. Les vols des documents OTAN ont commencé avant et se sont terminés après. Il y a bien entendu eu une préparation de l'invasion de la part de l'Argentine
>>> - Citation :
- Fin des vols de documents-télex OTAN en mai 1983 (De Jode
>>> - Citation :
- Le 16 août 1983, la police de Forest avait arrêté Marcel BARBIER suite
à une tentative de vol avec violences au cours de laquelle BARBIER avait tiré en direction des jambes d'un magrébain. Lors des perquisitions effectuées par la police de Forest aux résidences de BARBIER, elle avait découvert notamment des armes, des emblèmes nazis, divers documents dont des télex de l'0tan -et le Chilien qui habite là ?ds le même batiment la où barbier avait habité (officielement >>l'histoire du feu) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mar 15 Mai 2012 - 20:52 | |
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Pour en revenir à Villalon, les articles que je peux trouver sur lui font un lien avec la CIA (et pas le KGB). Le lien avec Ecoovie est intéressant ...
Note : " En 1991 una investigación llevada a cabo en el Senado de los Estados Unidos vinculó a Héctor Villalón con la CIA, pese a lo cual él sigue negándolo. "
http://espacioseuropeos.com/?p=23913
Personajes singulares en el siglo XX: IV-Héctor Villalón, un aventurero argentino: guerrillero, consultor de negocios, secuestros, armas…
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mer 16 Mai 2012 - 8:55 | |
| Voir :
UBU - 874 - 876 - Tueries du Brabant
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93747756/UBU-874-877-Tueries-du-Brabant
La prénommée "Karine" (UBU du 10 avril 2008) serait "Carine L (supprimé par la modération), libanaise. Elle a beaucoup cotoyé Faez al Ajjaz et tenait "Le Picotin". Elle aurait bien connu Eric Haemers, Philippe Graton, Ferrara (mafia, "agricultura", arrêté à Bruxelles en même temps que ??? il faudrait relire les dossiers), etc ( Blaton, De Pauw ...) Son frère cadet faisait partie des scouts de Michel Libert (WNP) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mer 16 Mai 2012 - 9:18 | |
| Un article intéressant sur Villalon ... en néerlandais ...
(seconde moitié du texte)
http://www.stelling.nl/morgenster/uranium.htm
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mer 16 Mai 2012 - 9:37 | |
|
http://www.stelling.nl/morgenster/uranium.htm
(...)
De Franse agenda
Maar er was meer. Zo was het de regering Carter niet ontgaan, dat de in de jaren zeventig noodgedwongen in Parijs verblijvende groep rond ayatollah Khomeini goede contacten had ontwikkeld met een juridisch expert op het gebied van mensenrechten, de advokaat Francois Cheron. Via hem ontstond dan ook na de eerste schermutselingen in Teheran tegen het bewind van de sjah een liaison tussen de regering in Washington en de groep Iraanse bannelingen in Parijs. Het lag dus voor de hand dat Cheron na de gevangenname van het Amerikaanse ambassadepersoneel in november 1979 als één van de eersten werd benaderd met het verzoek als intermediair te willen fungeren. Mogelijk in samenwerking met de PLO, die eveneens al in een vroeg stadium bij de onderhandelingen betrokken was (9).
Cheron was echter niet de enige Fransman die zich met de affaire bemoeide. Tussen kerst en oud en nieuw 1979 arriveerden twee andere Parijse advocaten, Christian Bourguet en Hector Villalon, in Panama. Daar had de gevluchte sjah via Egypte, Marokko, de Bahama's, Mexico en de VS uiteindelijk een voorlopige wijkplaats gevonden op het eiland Contadora, eigendom van de voormalige Panamese ambassadeur in Washington en steenrijke zakenman Gabriel Lewis Galindo (10). Zij kwamen namens de Iraanse minister van Buitenlandse Zaken Ghotbzadeh bij president Torijos de mogelijkheden aftasten om de sjah uitgeleverd te krijgen. Zij kregen vrij eenvoudig toegang tot de toenmalige Panamese leider dankzij Villalon's uitstekende Zuid-Amerikaanse contacten. Torijos wilde voor hij zijn vingers brandde eerst weten of de twee Franse advocaten inderdaad namens de Iraanse regering handelden en zond daarom één van zijn paladijnen mee bij hun terugkeer naar Teheran. Daar bleken zij inderdaad te zijn wat zij beweerden. Torijos stelde direct de Amerikaanse regering op de hoogte van de nieuwe mogelijkheid tot onderhandelen met Teheran en op 19 januari 1980 vond een eerste ontmoeting plaats tussen Bourguet en Villalon namens Teheran en twee afgevaardigden van de regering-Carter: Hamilton Jordan (chef-staf van het Witte Huis) en Harold H. Saunders (topdiplomaat en Midden-Oosten expert). Die ontmoeting luidde een reeks van geheime onderhandelingen in, die aanvankelijk op het gewenste succes leek af te stevenen. Begin mei werd echter duidelijk dat ook deze poging op niets zou uitlopen. Saunders legde deze historie vast in zijn in de noten al aangehaalde bijdrage aan het boek "American Hostages in Iran: the conduct of a crisis". Daarin schreef hij tussen neus en lippen ook dat Cheron en het duo Bourguet/Villalon vóór hun halvemaantocht om het Amerikaanse ambassadepersoneel veilig thuis te krijgen hun contacten met de Iraanse èmigré's in Parijs al deelden. Maar één detail is van speciale betekenis voor dit verhaal. Een citaat: "Both lawyers (Bourguet en Villalon, red.) were doing what sounded like a highly profitable legal business for Iran. One in dealings with the European nuclear power community and the other in oil and securities...". Met andere woorden, de beide advocaten hielden zich onder andere onledig met het in de steigers zetten van deals op nucleair terrein tussen Iran en Europese nucleaire consortia.
Tot 1979 was het Iraanse nucleaire programma een voornamelijk Franse aangelegenheid. Sterker nog, Frankrijk en Iran waren op dit gebied tot elkaar veroordeeld. Dat was het directe gevolg van de concurrentiestrijd die in de loop van de jaren zeventig in West-Europa was ontstaan tussen het Frans/Spaans/Italiaans/Belgische consortium Eurodif, dat gebruikmaakte van de gasdiffusiemethode om uranium te verrijken, en het Brits/Duits/Nederlandse Urenco, dat de veel goedkopere centrifugemethode in de aanbieding had. De aandelen van Eurodif waren in handen van het Commissariat à l'Energie Atomique (CEA). Toen het Eurodif-consortium onder invloed van de groeiende concurrentie in financiële moeilijkheden raakte, hevelde het CEA een deel van het Franse aandelenpakket-Eurodif over naar een nieuwe Frans-Iraanse onderneming. Direct daarop verschafte de sjah Eurodif een lening van 1 miljard dollar en bezorgde tegelijkertijd de Fransen op atoomgebied de facto een monopoliepositie in Iran (11).
Na de vlucht van de sjah zette de Franse regering in 1979 het Iraanse atoomprogramma op sterk water en dat noopte de ayatollah's andere, geheime wegen te bewandelen. Waarbij zowel Zubaidi als Villalon een rol hebben gespeeld. Zoals eerder beschreven beschikte Zubaidi voor zijn duistere zaken op dit terrein in Assad en Al Khassar over belangrijke Syrische partners. Ook Villalon onderhield banden met dit tweetal en verstevigde die nog nadat de VS bij de de Falklandoorlog (april - juni 1982) de kant van Engeland had gekozen (12).
De Argentijnse agenda
Dat was niet zo vreemd als het lijkt. Hector Villalon was van origine een Argentijn. Geruchten willen dat hij tijdens WO II werkzaam was voor de OSS, de voorloper van de CIA, en na de oorlog een tijdlang als persoonlijk secretaris van de Cubaanse president Batista optrad. Hoe dit ook zij, zeker is dat hij aan het einde van de tweede regeringsperiode van zijn politieke idool Juan Peron (1973/1974) zijn vaderland verliet en zich in Parijs vestigde. In 1976, na de machtsovername door Videla cs., zou hij volgens een latere getuigenverklaring afgelegd binnen het kader van een Amerikaans officieel onderzoek naar de achtergronden van de Iran/Contra-affaire aan het werk zijn getogen voor Batallion 601 (13).
Een paramilitaire eenheid, die onder de nieuwe Argentijnse geheime dienst SIDE ressorteerde en voornamelijk buiten Argentinië actief was. Deze lieflijke unit hield zich voornamelijk bezig met de jacht op en de marteling van naar het buitenland gevluchte "marxisten" tot de dood erop volgde. Daarnaast kidnapte het Batallion haast met de regelmaat van Greenwich zakenlui met een rijk gevulde buidel. Die keerden meestal veilig naar huis terug, maar niet nadat een losgeld met vele nullen was betaald. Een van de mensen die dat overkwam was de directeur van Fiat in Frankrijk Luchino Revelli Beaumont, die voor hij die post in Parijs aanvaardde het bedrijf van Gianni Agnelli in Argentinië had vertegenwoordigd. Zijn ontvoering in 1977, temidden van aanslagen van de zogenaamde Rode Brigades op het moederbedrijf in Turijn, was ontsproten aan het brein van de eveneens in Parijs verblijvende Villalon.
De Argentijnse elite-eenheid trad in de tweede helft van de jaren zeventig in feite op als exporteur van het zo succesvolle Argentijnse schoonmaakprocédé naar andere daarin geïnteresseerde Latijns-Amerikaanse landen. Met op de bijsluiter het antwoord op de vraag hoe de daarvoor benodigde wapens konden worden gefinancierd: via drugshandel met de Verenigde Staten en West-Europa. In Miami richtte het Batallion voor het netjes inbedden van de geldstroom twee coverfirma's in: de Silver Dollar en Argenshow. Het beheer werd toevertrouwd aan Raul Guglielminetti, een onderwereldfiguur met een strafblad van hier tot Punta Arenas, en de boekhouder Leandro Sanchez Reisse. Langs die weg steunde het Batallion in 1980 de militaire coup in Bolivia en stond het aan de basis van de hulp aan de Nicaraguaanse contra's. Met medeweten en grote interesse van de CIA en de DEA. De eerste etappe van de Iran/Contra-affaire was daarmee afgelegd en Villalon behoorde tot de kleine kopgroep.
Bij de tweede etappe drukte hij opnieuw zijn neus nadrukkelijk tegen het venster. Vrijwel direct nadat in november 1979 het personeel van de Amerikaanse ambassade in Teheran in gijzeling was genomen, zocht Villalon namelijk contact met de CIA via Anthony MacDonald, de directeur van de First National City Bank. Namens Buenos Aires ontvouwde hij het plan om vijftig vrijwel zeker tot het Batallion 601 behorende Argentijnse huurlingen in Iran te laten infiltreren voor een bliksemsnelle bevrijdingsoperatie. Het voorstel viel op onvruchtbare grond omdat het Argentijnse militaire regime onder leiding van generaal Jorge Rafaël Videla wel de nodige garanties eiste voor de veiligheid van de huurlingen als de operatie onverhoopt op moeilijkheden mocht stuiten (14). Tegelijkertijd was Villalon voor Teheran in touw om in Panama de uitlevering van de sjah af te bakken. Ook dat liep echter zoals we eerder zagen op niets uit. Het werd even stil rond de Argentijnse intrigant, maar na de entrée in de wereldpiste van het Witte Huis-duo Reagan/Bush in januari 1981 en de direct daarop volgende terugkeer van het gegijzelde ambassadepersoneel zocht hij opnieuw via zijn bevriende bankdirecteur MacDonald contact met de afdeling subversie van het Amerikaanse overheidsapparaat. Ditmaal niet met de CIA, maar met een kolonel die in de jaren tachtig geschiedenis zou schrijven: Oliver North. Villalon bood aan in het geheim wapens en wapenonderdelen vanuit Israël naar Iran te laten transporteren met vliegtuigen van de particuliere Argentijnse onderneming Transporto Aëro Rioplatense (TAR). Die wapenleveranties vormden een onderdeel van de deals die vertegenwoordigers van de regering in Teheran en leden van het Republikeinse verkiezingsteam op 19/20 oktober 1980 in Parijs (!) waren overeengekomen in ruil voor het vrijlaten van de gijzelaars onmiddellijk na de inauguratie van Reagan. Bij deze onderhandelingen was ook een Iraniër betrokken die het jaar daarvoor door de CIA Iran zou zijn uitgesmokkeld en zich vervolgens net als Villalon in Parijs had gevestigd: Manucher Ghorbanifar (15). In dit geval viel het kwartje van Villalon wel en kwam er een luchtbrug tot stand. Tot in juli 1981 een toestel van TAR, dat zwaargeladen op weg was van Israël naar Iran, boven het grondgebied van de Sovjet-Unie verzeild raakte en door een MiG werd neergehaald.
De Syrische agenda
Zes jaar later raakte ook een Syrische relatie van Villalon betrokken bij het Iran/Contra-circus. Dat was Mansur al Khassar, die in de tweede helft van de jaren zeventig zijn opmars begon als wereldwijde drugs- en wapenhandelaar. In het Midden-Oosten werd hij daarbij geassisteerd door Rifaat Assad, de broer van de inmiddels overleden Syrische leider Hafez Assad, en diens Palestijnse zakenpartner Hassan Zubaidi. In Argentinië werd hij terzijde gestaan door de uit Syrië afkomstige Yoma-clan, bestaande uit Emir en Karim Yoma en hun zusters Amira en Zulema. Na een korte liaison met Al Khassar trouwde Amira met de schatrijke Saoedische sjeik Ibrahim al Ibrahim, terwijl Zulema in het bootje stapte met Carlos Menem. Toen nog een veelbelovende Argentijnse politicus van Syrische afkomst, die later mede dankzij de inhoud van de schatkist van deze groep het tot president zou schoppen.
Niet onvermeld mag blijven dat de eveneens van Syrische origine zijnde Saoedische financier Ghait Pharaon ook een graag geziene gast in huize Yoma was. Pharaon zou in de jaren tachtig met steun van de Amerikaanse bankier Jackson Stephens en de top van de Democratische partij een poging doen om de beruchte Pakistaanse groeibank BCCI een springplank in de VS te bezorgen (16). De naam van Stephens zou later een prominente plaats innemen in de sages over de drugs-voor-wapens-deals binnen het Latijns-Amerikaanse deel van het Iran/Contra-complex. De betrokken cocaïne zou ondermeer zijn weg naar de VS hebben gevonden via het eiland Contadora van zijn vriend Gabriel Lewis Galindo. Hetzelfde eiland waar een paar jaar tevoren de sjah had gelogeerd. Kleine wereld. Dankzij de Iran/Contra-connectie raakte het geldtuintje van de "Yoma-groep" weelderig in bloei. Zij legde rechtstreeks contact met de top van het Colombiaanse Cali-kartel en Amira en Ibrahim schrokken er zelfs niet voor terug om als muilezels te dienen voor de pecunia-stroom die dankzij die nieuwe connectie op gang kwam via Paraguay en Uruguay. Koffers vol narco-dollars versleepten zij naar New York om ze door reguliere instellingen als de Citibank en de Banco Santander te laten witwassen en ze vervolgens naar Argentinië te transporteren. Dit verbazend primitieve scenario bracht vanzelfsprekend de nodige risico's met zich mee. Toen dan ook in 1988 530 kilo cocaïne van het Colombiaans/Argentijnse conglomeraat in Barcelona werd onderschept en een internationaal onderzoek van start ging, werd besloten wat gelikter te werk te gaan. Villalon nam het initiatief tot de installering van een kleine vrijhandelszone op de Triple Frontera, het drielandenpunt van Brazilië, Paraguay en Argentinië. Dankzij zijn formidabele invloed in de regio kwam die zone in 1990 inderdaad tot stand. Compleet met een casino, banken en wisselkantoren. Inmiddels was zijn houding ten opzichte van de VS al jaren heel wat ambivalenter dan voorheen. Hij was woedend geweest op de regering Reagan/Bush toen die een maand na de op 2 april 1982 door de Argentijnse junta onder leiding van generaal Galtieri gestarte Falklandoorlog de zijde van Groot-Brittannië had gekozen. Mogelijk is dat de aanleiding geweest voor zijn assistentie bij de pogingen van P2-leider Licio Gelli om in mei van dat jaar van Parijs voor het ronde bedrag van 100 miljoen dollar een nieuw voorraadje Exocet-raketten los te weken ten behoeve van het Argentijnse regime (17).
Nadat George H. Bush in 1988 zijn macht in de VS nog verder uitbreidde door te promoveren van vice-president tot president startte deze een grootscheepse operatie om voorzover mogelijk de ernstigste lijken in de Iran/Contra-kast te houden. Daartoe moest de BCCI tot ontploffing worden gebracht (1991) en een hele lijst van mensen tot zwijgen (18). Hector Villalon stond zonder twijfel ook op die lijst. Hij werd dan ook in 1991 in Florida opgepakt op beschuldiging van drugshandel en witwaspraktijken. Maar het duurde niet lang voordat de oude vos schielijk werd ontvlucht en overgebracht naar de Verenigde Arabische Emiraten. Vandaaruit vertrok hij naar de Syrische hoofdstad Damaskus en hervatte zijn samenwerking met de "Yomagroep", inclusief Rifaat Assad en Hassan Zubaidi.
In diezelfde vroege jaren negentig bezorgde Karim Yoma als speciale gezant van de net tot president verkozen Carlos Menem nucleaire technologie aan Syrië en Iran (19). Onder invloed van internationale protesten werd de gevarengrens daarbij net niet overschreden. Het toont echter aan dat deze groep zich wel degelijk moeite getroostte om de langdurige jacht op de Islamitische atoombom te ondersteunen (20). Een jacht waarbij mogelijk ook Nederland betrokken is geweest. Want na de al eerder vermelde bijeenkomst op Cyprus vond daar volgens getuigen begin 1982 een vervolgconferentie plaats. Daarbij zouden representanten van het Nederlandse bedrijfsleven verwoede pogingen hebben ondernomen om compensatie-orders los te peuteren van hun Arabische gesprekspartners binnen het raam van het beoogde nucleaire project. In hoeverre dat gelukt is, valt moeilijk te verifiëren. Maar zeker is dat kennis over deze gebeurtenissen is doorgedrongen tot de top van de toenmalige Nederlandse onderwereld en haar in staat heeft gesteld ten eigen bate druk uit te oefenen op de regering. Met hier en daar spectaculaire gevolgen. Later meer daarover.
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mer 16 Mai 2012 - 9:54 | |
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Iran Since the Revolution
Par Sepehr Zabir
Page 225
(...) Other interesting information on this episode reveals that the Argentine-born French resident, Hector Villalon, who was deeply involved in the US hostage crisis, was acting as a link between the exiled Iranian groups and the Ghotbzadeh plotters. Mohannad Reyshahri, the Qazi Shar, or Islamic judge of the armed forces, "had no doubts that Villalon was an operative of the Central Intelligence Agency, and just as the American media had revealed recently, the CIA was financing the military and civilian oppostin plotting Khomeini's overthrow.
(...)
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: schéma de Michel Libert Mer 16 Mai 2012 - 11:08 | |
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L'article suivant est relatif à Delle Chiaie :
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93754310/Delle-Chiaie-From-Bologna-to-Bolivia
Un passage à retenir (page 3) :
Pazienza also told Jonathan Kwitny that Italian military intelligence, then under the control of the P-2 lodge, paid Ledeen a least 120 000 USD plus generous expenses for his services in 1980 and 1981, before he became a special assistant to Secretary of State Alexander Haig.
J'ignorais que Ledeen avait travaillé avec Alexander Haig à cette époque ... Cela trouverait peut-être mieux sa place sur le fil de discussion consacré à Alexander Haig.
Cependant, il est noté sur le schéma de Libert :
Rapport avec secte Moon pour collaboration Rencontrée en 1983 à Dinant Décisions prises. Lesquelles ?
Il ne devait pas y avoir beaucoup de membres de la secte Moon en Belgique ... mais deux personnalités qui ont eu un rôle important dans cette secte sont Douglas MacArthur II et Alexander Haig ... et c'est à ce moment que Ledeen a travaillé pour Haig ...
Voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Francesco_Pazienza
(...)
Il (Pazienza) recrute alors le directeur du Washington Quarterly, Michael Ledeen [5], rencontré à New York à l'été 1980 [6], et présenté par Santovito [4]. Avec Ledeen, il monte le « Billygate » [5], qui conduit le frère du président Jimmy Carter à être accusé d'avoir reçu des fonds de la Libye. Ce scandale, monté avec l'aide du SISMI qui s'efforce de rassembler les informations sur Billy Carter [6], contribua à l'échec de Carter lors de la présidentielle de novembre 1980. Il piège Billy Carter, qui aurait rencontré Georges Habache, le fondateur du FPLP, lors de l'anniversaire de la révolution libyenne, en obtenant que le journaliste Giuseppe Settineri fasse une interview de l'avocat Michèle Papa [4], et acquérant aussi une photo des festivités par l'intermédiaire de Papa et de Federico Umberto D'Amato (it) [4], le chef des « Affaires réservées » du ministère de l'Intérieur italien. Lorsque La Repubblica lui demande, en 2009, si le Ministère de l'Intérieur italien avait donc interféré avec les élections dans un pays allié, il répond affirmativement, ajoutant que, même sans cette affaire, Carter aurait été défait [4].
Pazienza connaissait déjà Alexander Haig[6], chef de SACEUR (l'OTAN en Europe) et qui devint, en 1981, secrétaire d'Etat, avec Michael Ledeen comme conseiller spécial. Pazienza déclara plus tard que Ledeen, Z-3 au SISMI, aurait reçu plus de 120 000 dollars du SISMI en 1980 ou 1981 [6].
(...)
Voir :
Fabrizio Calvi et Olivier Schmidt (1988), Intelligences secrètes. Annales de l'espionnage, Hachette, 1988
Le chapitre consacré à Francesco Pazienza est sur :
http://www.scribd.com/BEGHINSELEN
http://www.scribd.com/doc/93756415/Francesco-Pazienza
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