Dossier atlas

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Paris Match  17 octobre 2019

Thierry Afschrift est cité dans le dossier Atlas...













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https://www.dekamer.be/FLWB/PDF/54/2179/54K2179007.pdf




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https://www.rtbf.be/info/societe/detail_fraude-fiscale-des-milliers-de-documents-revelent-les-mecanismes-utilises-pour-eviter-l-impot?id=10343198

Fraude fiscale: des milliers de documents révèlent les mécanismes utilisés pour éviter l'impôt

Planquer sa fortune dans un paradis fiscal tout en pouvant retirer son argent chez nous à n’importe quel distributeur de billets, c’est un luxe que peuvent s’offrir seulement de richissimes clients. Amenés par des "rabatteurs" vers les organisateurs de ces réseaux de fraudeurs, ces clients sont généralement triés sur le volet.
Frédéric Loore, journaliste à Paris-Match, est parvenu à obtenir des documents jetant une lumière crue sur les pratiques des professionnels de la fraude.
Ces documents issus des "Dubaï papers" mettent en cause des dizaines de clients belges utilisant des "offshores" pour blanchir leur argent ou éviter de payer des impôts.
En France, la justice a ouvert une enquête pour "blanchiment de fraude fiscale". La Belgique devrait logiquement suivre, chez nous la justice a ouvert une "information" et s’apprête à recueillir les documents du dossier judiciaire français.

Des dizaines de sociétés "écran" dans des paradis fiscaux

Au cœur du réseau sur lequel enquête la justice française, on trouve le prince Henry de Croÿ et sa société Hélin.
Ce n’est pas un inconnu de la justice belge puisqu’il a fait l’objet d’une longue enquête début des années 2000.
Celui qui est à la tête de ce réseau de sociétés a été condamné en 2012 en première instance à trois ans d’emprisonnement pour fraude fiscale et blanchiment. Mais la Cour d’appel de Liège a réformé ce premier jugement en 2015, estimant que l’accusation n’apportait pas "à suffisance" la preuve d’une faute pénale.
Henri de Croÿ a donc été acquitté, le dossier étant renvoyé vers l’administration fiscale.

Un circuit complexe passant par un émirat du golfe persique

Les milliers de documents aux mains de la justice française révéleraient l’existence de dizaines de sociétés, toutes aux mains des mêmes mandataires.
Le groupe Hélin est désormais actif au départ de l’émirat de "Ras Al-khaïma", situé dans le golfe persique et qui a la réputation d’être à l’abri des investigations du fisc.
Selon le principe du "pas vu, pas pris", le système dévoilé par l’enquête de Frédéric Loore permet à un citoyen belge de retrouver son argent en Belgique sans avoir à payer d’impôts.
Un tour de passe-passe rendu possible par les échanges multiples entre les sociétés gérées par le groupe Hélin, sociétés avec lesquelles le bénéficiaire final de l’opération n’a pratiquement aucun contact, l’existence de ces sociétés n’ayant pour seule fin que d’éluder l’impôt.

Expert des fraudeurs mais aussi auprès des tribunaux

L’enquête met aussi en évidence le rôle ambigu des "experts" de la finance. Ils sont avocats, comptables, réviseurs, avec en commun d’intervenir à un moment dans la chaîne de création des "offshores".
L’enquête journalistique met ainsi en évidence la présence en qualité d’expert de Thierry Afschrift, qui enseigne à l’Université, et conseille aussi la Cour d'appel de Bruxelles dans les affaires financières. Son nom apparaît à plusieurs reprises dans les documents recueillis.
Thierry Afschrift dans sa réponse à Paris-match précise qu’il s’en tient à son strict rôle de conseiller juridique et fiscal et ne prend part à aucun montage financier illicite.
Dans les documents relatifs aux différents "montages", les lignes rouges ont-elles été franchies par les experts dont les noms apparaissent ?
Ce sera à la Justice à le determiner.

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https://www.facebook.com/photo.php?fbid=765103390587198&set=a.159991311098412&type=3&theater

Nouvelle moisson de révélations après un été studieux le nez plongé dans les « Dubaï Papers », l’énorme « leak » financier révélé en France par « l’Obs » l’an dernier.

On y découvre notamment l'implication des avocats d’affaires Thierry Afschrift et Arnaud Jansen dans les activités du groupe Helin, le circuit d’évasion fiscale présumée d'Henri de Croÿ aux Emirats Arabes Unis. Le premier est juge… suppléant à la 6e chambre fiscale de la cour d'Appel de Bruxelles. Le second siège au conseil de discipline du barreau franchophone de la capitale. Tous deux apparaissent comme rabatteurs de gros clients désireux d'échapper au fisc. S'y ajoute Jean Lotz, ancien haut magistrat expert en matière de lutte contre la fraude, étrangement proche du « prince noir » à l'époque où il était encore en fonction. Vous avez dit "dysfonctionnement" ? Le reste est une histoire d'offshores, de sociétés écrans et de carambouilles.

Henri de Croÿ avait tout prévu. Sauf les "Dubaï Papers" et cette enquête. Selon une récente étude de l'Union européenne, les (très riches) Belges sont champions de l'argent dissimulé dans les paradis fiscaux : ils se taillent la part du lion des 62 milliards d'euros évadés. Voici comment.

A lire ce jeudi dans Paris Match Belgique avant de retrouver prochainement un dossier complet en accès libre sur le site du magazine.
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Pour information :

http://www.frerealbert.be/chienne-de-reynders/carnets-de-mah-chienne-de-didier-reynders-12-le-toutou-de-mon-matre-cest-pas-moi/

http://www.hetgrotegeld.be/index.php/les_grosses_fortunes/detail_belastingen/1809
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Un article de 1993 où il est question de "Winnie" Kollbrunner :

https://www.independent.co.uk/news/world/spirit-of-the-masons-lives-on-in-the-murky-recesses-of-italian-life-a-calabria-prosecutor-has-1485514.html






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"Winnie" Kollbrunner a travaillé pour Claudio Martelli... Un lien avec la P2 ?


https://books.google.be/books?id=N_lmIDH3zPIC&pg=PA218&lpg=PA218&dq=%22claudio+martelli%22,+P2&source=bl&ots=T1CYJ9ZMU7&sig=ACfU3U3K9BCSfQh678W-rGhRX1tb1qRJ9A&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj5l6jbsKblAhVDJVAKHesyCUQ4ChDoATADegQICRAB#v=onepage&q=%22martelli%22%2C%20P2&f=false


Freemasonry

(transmis par un lecteur attentif)

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Kollbrunner and titles laundering

On that episode there aren't many documents. The investigations were buried and then stopped in 1994. The most important document I can give you is the authorization asked by the judges to the Italian Chamber of Deputies to proceed with charges against Martelli (1). Documentation on this episode is almost untraceable because one of the accused, Mario Mortera, prominent freemason tied with mafia and expelled by Brazil with accusation of minor trafficking asked the European right-to-be-forgotten.

Also, it is important not to forget that Winnifred Kollbrunner was in Somalia in the days of Ilaria Alpi's murder (the Italian journalist investigating the ring of arms trafficking in Africa that connected mafia, freemasonry and Italian secret services) as stated by the policemen Francesco Borrè (2) to the parliament enquiry commission on Alpi's murder.

http://legislature.camera.it/_dati/leg11/lavori/stampati/pdf/37640.pdf

http://legxiv.camera.it/_dati/leg14/lavori/stenbic/58/2005/0726/s060.htm

See the book "Il caso Genchi" (Genchi's case), an interview of the consultant Gioacchino Genchi (cited above), because after investigating on the mafia he also had analysed the titles trafficking that involved Martelli and Kollbrunner.

https://fr.scribd.com/document/319647644/Edoardo-Montolli-il-Caso-Genchi

Extrait de "Il caso Genchi"...

KOLLBRUNNER WINNIFRED ELLEN, già collaboratrice del ministro della Giustizia Claudio Martelli nel 1992. Intorno a lei si apre la vicenda poi archiviata su un furto di titoli bancari. Il caso, aperto da Cordova in Mani segrete, viene affidato al magistrato della Procura circondariale di Roma Achille Toro.

(traduction)

KOLLBRUNNER WINNIFRED ELLEN, ancienne collaboratrice du ministre de la Justice Claudio Martelli en 1992. Elle a fait l'objet d'une enquête qui a ensuite été classée concernant un vol de titres bancaires. L'enquête "Mani segrete" (mains secrètes), ouverte par Cordova a été confiée au magistrat du parquet de Rome Achille Toro.

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http://www.iacchite.blog/ndrangheta-e-massoneria-cordova-aveva-scoperto-tutto-in-mani-segrete/

‘Ndrangheta e massoneria: Cordova aveva scoperto tutto in “Mani segrete”

(traduction)

'Ndrangheta et franc-maçonnerie: Cordova avait tout découvert dans "Mani segrete" (mains secrètes).

C’est avec le repentir de Pietro Marrapodi, notaire, Ndrangheta et grand orateur de la loge Reggio "Logoteta", qu’en 1992 les événements restés secrets ont été révélés. Le témoignage a été recueilli par un procureur consterné, Agostino Cordova.

Marrapodi a été le premier à indiquer également de nombreux magistrats de Reggio comme complices de maçons.

Après ses brûlantes révélations, Pietro Marrapodi a demandé au Reggio et aux procureurs nationaux d'avoir une escorte qui lui a été refusée. Un matin, le corps de Pietro Marrapodi, 62 ans, a été retrouvé sans vie dans le sous-sol de sa maison du centre-ville, pendu. L'affaire a été rapidement qualifiée de suicide mais des doutes sur la fin de l'homme persistent encore aujourd'hui.

Le procureur Cordova s'est inspiré de ces événements pour lancer une enquête qui a abouti à une enquête très délicate appelée «mains secrètes».

L'ENQUÊTE "MAINS SECRETS" DU PROCUREUR AGOSTINO CORDOVA

Agostino Cordova, alors procureur de Palmi, a tenté avec cette enquête de s'extirper de l'entrelacement tissé par les loges maçonniques. Parmi de nombreuses difficultés, il a rassemblé beaucoup de matériel qui aurait servi à démontrer l'existence d'une relation contraignante entre la 'Ndrangheta et la politique. Le procureur a réussi à saisir l'ordinateur du Grand Orient d'Italie contenant les archives électroniques de toutes les loges maçonniques italiennes.

L'enquête s'est élargie pour produire environ 800 dossiers et soumettre plus de soixante personnes à une enquête. La maxi enquête sur Cordova impliquait des personnalités influentes du monde des affaires, de la finance, de la politique et de la justice elle-même, même si ce n'était pas strictement calabrais.

Des traces de certains scandales majeurs ont été retrouvées, comme celui lié au trafic de déchets toxiques, au commerce illégal d'armes, aux contrats, jusqu'à suspecter un trafic d'uranium avec l'ex-Union soviétique.

Après environ deux ans d'enquêtes, en 1994, l'enquête a été retirée des mains d'Agostino Cordova et transférée au parquet de Rome, où elle est restée pour ramasser la poussière jusqu'au 3 juillet 2000 lorsque la juge des enquêtes préliminaires Augusta Iannini, épouse de Bruno Vespa, a accepté la demande de rejet de l'enquête déclarant le "pas de place pour poursuivre l'action pénale pour 64 suspects soupçonnés d'appartenir à la franc-maçonnerie".

Parmi les diverses accusations portées plus tard contre Agostino Cordova, il y a aussi celle d'avoir collecté des documents qualifiés d '«anormaux», c'est-à-dire d'avoir trop travaillé.

Dans les années 90, en Italie, 146 francs-maçons faisaient l'objet d'enquêtes pour crimes mafieux et politiques, dont 83 étaient également accusés de blanchiment d'argent. Cependant, parmi les personnes inscrites dans les loges, il y avait aussi plusieurs policiers et carabiniers, accusés par Cordova d'avoir empêché les enquêtes.

Autres extraits de "Il caso Genchi"...

(traduction)

Et, après avoir écarté le procureur de Palmi, il se concentre sur Bruno Siclari, procureur général de la Cour d'appel de Palerme, originaire de Reggio de Calabre, qui a fait ses armes à Milan, enquêtant sur Francis Turatello "Faccia d'angelo", sur le baron de la drogue en Lombardie Gaetano Fidanzati, sur la loge P2 puis, à Venise, sur le gang de la Brenta : en octobre 1992, il devient le premier procureur national antimafia.

Cependant, l'enquête à Palmi ne s'est pas arrêtée. Et il se concentre de plus en plus sur les affaires de 'ndrangheta-politique-maçonnerie. Cordova a littéralement mis l'Italie sens dessus dessous avec des recherches partout. Il s'agit de la plus grande enquête jamais réalisée sur les loges, en termes de nombre d'opérations. A tel point qu'ils l'ont désormais appelée "Mains secrètes", rimant avec "Mains propres", qui entre-temps nettoie le Parlement italien.

Cordova trouve également des liens avec un vol en 1990 de titres du Banco Santo Spirito à Rome, qui auraient été blanchis dans la moitié de l'Europe. Dans la ligne de mire se trouve Winnifred Ellen Kollbrunner, collaboratrice du ministre de la Justice, Martelli. Le procureur s'est ensuite envolé pour Rome et a confié ce qu'il avait découvert au chef du bureau du procureur, Rosario Di Mauro, qui a ouvert un dossier sur l'affaire. Et qui est confiée aux procureurs Achille Toro et Giulio Sarno.

(...)

Pour le reste, l'affaire Martelli-Kollbrunner, qui est née d'une partie de l'enquête de Cordova sur la franc-maçonnerie et qui lui a été déléguée par le procureur de district Rosario Di Mauro - celui connu pour l'inculpation de Sica pour son enquête sur Alberto Di Pisa,

(...)

Comme cela s'est produit, certainement parce qu'il n'y avait pas de preuves ou de crimes, pour P2, pour l'enquête Cordova sur la franc-maçonnerie, comme cela a pu arriver pour Tangentopoli lorsque pour l'affaire Kollbrunner, Achille Toro a demandé une plus grande coordination sur l'affaire Eni, Cusani et Martelli ou quand Renato Squillante, des colonnes de Repubblica, croyait que Rome était le siège naturel de cette enquête. Et encore comme cela s'est produit pour tous les autres événements juridiques sur lesquels divers journalistes ont alimenté les rumeurs sordides sur le parquet de la capitale, quelle que soit la couleur du pouvoir politique qui s'en occupait.

(...)

Et en fait, Elia Valori a des contacts notamment dans l'ancien système judiciaire. Même avec Achille Toro, bien sûr, dont la seule «présence judiciaire» en Calabre était, par hasard, l'extrait qu'Agostino Cordova lui avait apporté il y a dix-sept ans, aux prises avec des enquêtes sur la franc-maçonnerie déviante: l'affaire Kollbrunner, pour laquelle il a demandé une coordination sur l'enquête qui concernait le monde varié d'Eni, Cusani et le ministre de la Justice de l'époque Martelli.

Pour information (je ne sais pas s'il y a un lien) :

https://oac.cdlib.org/findaid/ark:/13030/c80k2f0h/

Atlas Network records

The Atlas Network was founded in Fairfax, Virginia, as the Atlas Economic Research Foundation, in 1981. Its founder, Sir Antony Fisher (1915-1988), had already created the Institute of Economic Affairs in his native Great Britain and the Fraser Institute in Canada. The purpose of these organizations was promotion of free market economics, limited government, and deregulation and privatization to the greatest extent possible. Other issues of interest to Atlas were school choice, climate change, and the relation of religion to economics. The policies advocated by Atlas and its sister organizations were credited with influence on the economic programs pursued by the governments of Margaret Thatcher in Britain and Ronald Reagan in the United States.

http://pdf.oac.cdlib.org/pdf/hoover/2015C50.pdf

(152 pages)

The Atlas Network donated its records to the Hoover Institution Library & Archives in 2015.

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Voir

https://fr.wikipedia.org/wiki/Antony_Fisher

https://fr.wikipedia.org/wiki/Atlas_Network

L'Atlas Network dit tirer son financement de dons de particuliers, de fondations ou d'entreprises (dont notamment ExxonMobil, Philip Morris et Koch Industries), mais aussi de dotations de fonds publics consenties par le ministère des Affaires étrangères américain ainsi que le National Endowment for Democracy, fonds de dotation semi-public et bras essentiel du soft power américain.

L'organisation tient son nom du roman La Révolte d’Atlas, de l’auteure libertarienne Ayn Rand.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Gr%C3%A8ve_(roman_d%27Ayn_Rand)

L' "Atlas Network" est un groupe de réflexion financé par des milliardaires ... qui finance d'autres groupes similaires dans le monde entier.

Par exemple, en Italie, l' "Istituto Bruno Leoni", un groupe d'extrême droite pro-marché ; il serait plus correct de dire un "lobby" car leurs prêteurs sont des inconnus et leurs dirigeants obtiennent d'importantes charges du gouvernement italien, même s'ils ne représentent qu'eux-mêmes et une bande de milliardaires.

Certains d'entre eux viennent de l'extrême droite fasciste et le premier président honoraire de l'Institut Bruno Leoni, Sergio Ricossa, serait devenu le ministre italien des finances si le coup d'Etat de Sogno avait réussi).

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https://www.brunoleoni.it/

https://en.wikipedia.org/wiki/Bruno_Leoni_Institute

https://it.wikipedia.org/wiki/Sergio_Ricossa

https://digilander.libero.it/cssc/libertarissima/00/ricossa_golpe.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Atlas_Network

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Selon le site, en 2021, 475 organisations de droite dans le monde sont membres du réseau Atlas.

À titre d'exemples, parmi les think tanks que l'Atlas Network a aidé à mettre en place ou à persister figurent aux États-Unis le Manhattan Institute ; au Canada l'Institut Fraser ; à Hong Kong le Lion Rock Institute ; au Royaume-Uni l'Adam Smith Institute, le TaxPayers' Alliance (TPA) et environ une dizaine d'autres lobbys et Think tanks installés (ou l'ayant été) à Londres (Westminster plus précisément) au 55 Tufton Street (entités qui ont joué un rôle majeur dans le processus qui a conduit au Brexit.


https://www.sourcewatch.org/index.php?title=Antony_Fisher

Cockett explained that after his success at the Fraser Institute, Fisher went to New York where in 1977 he set up the International Center for Economic Policy Studies (ICEPS), later renamed the Manhattan Institute. "The incorporation documents for the ICEPS were signed by prominent attorney Bill Casey, later Director of the Central Intelligence Agency".


https://www.sourcewatch.org/index.php/Manhattan_Institute_for_Policy_Research

The Sarah Scaife Foundation in fact for many years was the Manhattan Institute's single largest contributor.

https://www.sourcewatch.org/index.php?title=Sarah_Scaife_Foundation

https://www.sourcewatch.org/index.php?title=Koch_Brothers

Droites militantes et mobilisations réactionnaires
Centre tricontinental (CETRI)

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Sur Renaat et Koen Blijweert :

https://medor.coop/nos-coups/fontinoy-reynders-cie/vendre-nos-batiments-et-y-perdre-beaucoup-dargent/

(...)  Même l’intermédiaire le plus sulfureux de Flandre, Koen Blijweert, un ami de Bart De Wever, du CD&V et de… Jean-Claude Fontinoy, fut mis en cause.  (...)

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Gauche ! Droite !
Robert Close

Robert Close a rencontré Pierre Schifferli à la 13ème conférence de la WACL à Genève en 1980. Etait aussi présent, Ray S. Cline (proche de John K. Singlaub) qui a pris la parole pour critiquer le président Carter.

https://spartacus-educational.com/JFKclineR.htm

Pierre Schifferli était en contact avec Daniel Przedborski (un des fils de Félix Przedborski dont il est largement question dans le dossier ATLAS).

Un lien entre Robert Close et la famille Przedborski mérite d'être étudié.

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https://en.wikipedia.org/wiki/Antony_Fisher

(...)  By 1984, Fisher was watching over eighteen institutions in eleven countries. As of 2017, Atlas supports and works with nearly 500 free-market think-tanks in over 90 different countries. (...)

"The incorporation documents for the ICEPS were signed by prominent attorney Bill Casey, later Director of the Central Intelligence Agency"  (...)

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ICEPS =  International Center for Economic Policy Studies, later renamed the Manhattan Institute

https://en.wikipedia.org/wiki/Manhattan_Institute_for_Policy_Research

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Hazlitt

https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_du_Mont-P%C3%A8lerin

The Times - 30 Dec 1983