Aginter Press

https://fr.metapedia.org/wiki/Pierre_Sergent


(...)  Durant quelques mois, il (Pierre Sergent) produit un mensuel, Le Défi, qui vise le même objectif (1969).  (...)

_

Yves Guérin-Sérac en parle dans une lettre à Florimond Damman :
 

.
Il est question d'Aginter Presse dans

https://books.google.be/books?id=tqObDwAAQBAJ&pg=PA63&dq=%22Jean-Pierre+Cherid%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwidm9GN29ziAhXJLlAKHXTsCesQ6AEINDAC#v=onepage&q=%22Jean-Pierre%20Cherid%22&f=false

Je n'ai pas (encore) l'article complet ...





(...)





https://www.jstor.org/stable/25732521?read-now=1&seq=5#page_scan_tab_contents






Le hussard du Général
De Jacques Dauer




_ _ _ _ _ _

Sur Charles Cogan :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Cogan

(...)  Charles Cogan (11 janvier 1928-14 décembre 2017) est un militaire et journaliste américain d'origine irlandaise ayant travaillé pendant 37 ans pour la CIA. Entre 1979 et 1984 il a dirigé le département Proche-Orient et Asie du sud à la Direction des Opérations. Entre 1984 et 1989, il a été chef de poste de la CIA à Paris.  (...)

https://www.tandfonline.com/author/Cogan%2C+Charles

http://www.drcharlesgcogan.net/


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HERVE a écrit:

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(...)




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Ahmed Ben Bella  renversé par le coup d'État de Houari Boumédiène (sur la photo ci-dessus) le 19 juin 1965 à Alger, emprisonné jusqu'en juillet 1979, puis assigné à résidence jusqu'à sa libération en octobre 1980.
A la suite de quoi la Suisse puis la France où le mouvement cherche a acheter des armes pour une tentative de coup d'Etat .
Mais avortée puisque l'avocat de Ahmed Ben Bella (Ali Mécili) est assassiné à Paris en 1987 par la Sécurité militaire algérienne.
Ahmed Ben Bella fait profil bas, revient d'exil , fin de l'histoire...

Voir ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmed_Ben_Bella

Retour sur un extrait de

Article 31  n°8  mai 1985






V...: Enquête sur l'affaire des «avions renifleurs»
De Pierre Péan




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Pour information :

http://ladroitecitoyenne.be/le-president/

(...)   Un tournant important va être sa rencontre lors d’un Congrès européen, avec Florimond Damman, le secrétaire-général du Mouvement d’Action pour l’Union Européenne (MAUE) qui va devenir son mentor jusqu’à son décès en 1979. Florimond Daman va lui-même lui présenter l’Archiduc Otto de Habsbourg, à l’époque président de l’Union Paneuropéenne. L’archiduc fera d’Aldo-Michel Mungo son représentant auprès de la jeunesse en Belgique de 1976 à 1980.  (...)

_ _ _

https://fr.scribd.com/document/273995778/Renifleurs-La-verite




(...)



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Il est question de Daniel Boyer dans

Dominique de Roux: Le provocateur (1935-1977)
De Jean-Luc Barré

et dans

Les explications de M. Boyer homme d'affaires de l'" inventeur " belge

LE MONDE | 21.01.1984 à 00h00

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Sans oublier le rôle de Valéry Giscard d'Estaing dans l'affaire des "avions renifleurs"...

N'est-il pas "G" ci-dessous ?

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Voici un document lié à Aginter Presse et théorisant plus ou moins la stratégie de la tension, cité dans divers ouvrages, intitulé "Notre action politique".

La reproduction ci-dessous est tirée de "Internazionale Nera" de Andrea Sceresini, 2017 (l'occasion de rappeler que "Andrea" est un prénom masculin en italien).





Il en est question dans

L'orchestre noir (4e partie, chapitre 1)








(...)



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"Internazionale Nera"
Andrea Sceresini
(2017) 






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"Internazionale Nera"
Andrea Sceresini
(2017) 




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"Internazionale Nera"
Andrea Sceresini
(2017) 




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"Internazionale Nera"
Andrea Sceresini
(2017) 

(traduction)

Qu'est-ce que c'était vraiment Aginter Presse? De qui Guérin-Sérac et ses hommes ont-ils pris leurs ordres? Quels étaient leurs objectifs? Mais surtout: comment s'en sont-ils sortis? Comme nous l'avons vu, les archives de la Rua das Pragas ont mystérieusement disparu dans les airs à la suite de la révolution des oeillets. Il en va de même pour Guérin-Sérac et ses lieutenants, qu'aucun magistrat n'a jamais réussi à interroger, ni en Italie ni à l'étranger. Comment était-ce possible? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons trouvé une source inestimable de mémoire. En 2008, l'ancien terroriste Pierluigi Concutelli, l'un des hommes de Sérac à Madrid, a publié son autobiographie, "Io, l'homme noir". Le volume passe en revue des dizaines et des dizaines d’épisodes criminels, allant du meurtre de sang froid du juge Vittorio Occorsio au meurtre en prison de l' "informateur" Ermanno Buzzi, en passant par les braquages ​​d'autofinancement, l'inaction, les années féroces du militarisme armé. (...)  Il n’est pas fait mention d’Aginter Presse et de Guérin-Sérac qui, comme nous l’avons déjà vu, a même confirmé ce que Concutelli a lui-même déclaré aux juges, a été l’organisateur du voyage dans le "pays hors d’Espagne" (Angola) des terroristes, de ses camarades. Pour quelle raison?

"L'aquila e il condor" est un autre texte assez intéressant, l'autobiographie de Stefano Delle Chiaie, publiée en 2012. Le fondateur d'Avanguardia nazionale
Stefano Delle Chiaie, L'aquila et le condor, Sperling & Kupfer, Milan 2012.(...)


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Pierluigi Concutelli et Giuseppe Ardica
Io, l'homme noir. Une vie entre politique, violence et prison
Marsilio, Venise 2008.

http://www.marsilioeditori.it/lista-autori/scheda-libro/3179422-io-luomo-nero/io-l-uomo-nero

Rome, 10 juillet 1976. Huit et trente heures du matin. Dans le quartier africain de Rome, une Fiat "124" est garée dans la mauvaise direction. Un homme tenant une mitrailleuse sort de la voiture, fait quelques pas et tire. Le but est un autre homme qui s'écroule sans vie. La victime est Vittorio Occorsio, un juge. Le meurtrier s'appelle Pierluigi Concutelli.
Les années de plomb vues par un protagoniste, d'un "méchant". Pierluigi Concutelli, multi-dirigeant, ancien terroriste noir et ancien commandant militaire du Mouvement pour l' Ordre Nouveau, parle dans son livre de lui-même, sans détours. Expliquer les raisons de ses choix tragiques et la raison de l'utopie de la révolution armée qui a plongé l'Italie dans un climat de guerre civile.
Vie illégale, vols, meurtres.
Des années de combats de poings sur la place avec les communistes aux armes à feu et le sang. Enfin, l'arrestation. Le 13 février 1977, des hommes anti-terroristes entourent un bâtiment situé dans le centre historique de Rome, Via dei Foraggi. Concutelli est pris au piège. Menottes aux yeux des caméras de Rai, il se déclare prisonnier politique et ne connaît plus que la prison.
Pierluigi Concutelli n'a jamais regretté et ne s'est jamais dissocié de la lutte armée. Il doit purger 63 ans et quatre peines de prison à perpétuité (pour insurrection et pour les meurtres Occorsio, Buzzi et Palladino).


https://books.google.be/books/about/Io_l_uomo_nero.html?id=c4jaAAAAMAAJ&redir_esc=y

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https://books.google.be/books/about/L_aquila_e_il_condor.html?id=vMaMgXZhixEC&redir_esc=y

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Note : dans le très intéressant document

https://books.openedition.org/pur/46753?lang=fr

Chapitre V. L’Aginter presse : réseaux OAS, contre-subversion et terrorisme
p. 129-155

(...)

Des réseaux Aginter presse pérennes

Vincenzo Vinciguerra témoigne en outre de la pérennité des réseaux de l’Aginter presse qui se reconstituent à Madrid, après la révolution des Œillets en 1974. Guérin-Sérac et Stefano Delle Chiaie y recréent une centrale permettant notamment d’héberger les terroristes italiens en fuite, comme ce fut le cas de Vincenzo Vinciguerra ou encore de Pierluigi Concutelli, tous deux militants d’Ordine Nuovo. Les autorités italiennes soupçonnent en effet l’agence de tourisme Transalpino de couvrir une activité d’assistance en Espagne mais également en France, en Italie et en Belgique 88 . Stefano Delle Chiaie aurait en effet profité de cet exil dans la péninsule ibérique pour renforcer ses liens avec le mouvement espagnol Forza Nueva. Une réunion entre représentants d’AN et du groupe espagnol, en présence de plusieurs membres de l’Armée de libération portugaise, aurait eu lieu en octobre 1975 afin de coordonner un « effort parallèle entre les groupes d’extrême droite pour arrêter la diffusion du communisme en Europe, grâce à l’utilisation de tous les moyens disponibles, terrorisme inclus ».

88 CdM, Rapport d’expertise d’Aldo Giannuli commandité le 12 mars 1997, annexe 233, APP-Mi, fasc. « Delle Chiaie », lettre de la DGPS au directeur du SISDE, 20 septembre 1981.

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Un autre extrait :
 

(traduction)
 

Cher M. Laurent, Merci beaucoup pour votre réponse très complète. Le seul point "obscur" concerne les relations que vous entretenez avec les États-Unis: vous dites que les référents américains de votre structure étaient les "organisations tampons" liées à Ronald Reagan. Cependant, dans les années 1960, Reagan était gouverneur de la Californie et avait récemment adhéré au parti républicain - du moins le révèle-t-il dans les livres d'histoire. Alors, comment pourrait-il gérer des relations internationales aussi importantes et délicates? Avait-il sa propre structure de renseignement "privé"? A-t-il répondu directement à Nixon? J'aimerais comprendre cet aspect un peu mieux, ce qui est certainement d'un grand intérêt. Merci encore, meilleures salutations. A.S.

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Bonjour M. Sceresini, je vous ai tout de suite éclairé sur le prétendu «point noir». Aginter Presse ne concernait pas directement Reagan, mais avec certaines des organisations républicaines qui dans les années suivantes l'auraient poussé à la présidence. Comme par exemple l’ancienne Société John Birch.

Cordialement, J.-ML.

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Cher M. Laurent, j'ai bien reçu votre mail, dont je vous remercie. À la lumière de vos dernières lettres, je vous adresse une nouvelle série de questions auxquelles j'aimerais que vous répondiez.

 

• Relations entre Aginter Presse et les États-Unis: vous affirmez que votre organisation était en contact avec les comités pro-républicains et avec Ronald Reagan. Vous donne le nom de la John Birch Society. Pouvez-vous nommer d'autres organisations? Les comités étaient-ils un lien entre vous et les services secrets américains ou entre vous et la présidence américaine? Quel genre de relation existait? Les fonds ont été payés? Y a-t-il eu un échange d'informations ou une dépendance stratégique? Soyons clairs: Aginter Presse a-t-il agi au nom des États-Unis?
 

• Quand vous parlez d ’« organisation tampon », par exemple en Italie, à quels groupes faites-vous référence? Pouvez-vous donner des noms?
 

• Dans la seconde moitié des années soixante-dix, quand il était impliqué dans le développement de contacts avec les "organisations tampons" en Italie et en Allemagne, vers quels groupes s'est-il tourné? Qui a su? Quels étaient les objectifs opérationnels de ces contacts? Parle-t-on - comme en Afrique - des opérations militaires et de "contre-insurrection"?
 

• En 1965, Eccesso Che Guevara était également actif au Congo. Avez-vous déjà rencontré?
 

• Que pouvez-vous dire du massacre de la Piazza Fontana à Milan? Etes-vous d’Aginter Presse en train de recueillir des informations à ce sujet?
 

• Vous avez parlé des documents d’Aginter Presse qui ont été brûlés à la suite de la Révolution des œillets et qui sont donc restés complètement secrets. Quel type d'informations ont-ils contenu? Pensez-vous qu'il existe encore des archives inviolables?
 

J'espère que je ne vous ai pas ennuyé. Je crois que certaines réponses sont exclues - au-delà des vicissitudes humaines et professionnelles individuelles de chacun de nous - aux fins de l'histoire et de la conscience commune de ce continent. Ce qui est très important. Merci pour votre gentillesse. Cordialement. A.S.

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Bonjour M. Sceresini, je vais répondre, par courtoisie, aux questions contenues dans le dernier courrier électronique.

 

• Question 1: Jolm Birch Society: oui. Comités républicains: ils constituaient clairement un lien avec les services. Financement américain: non.
 

• Question 2: Agence outre-mer, Nouvel Ordre et groupes néo-fascistes en general.
 

• Question 3: En Allemagne, le groupe de Gehlen, "Der Rote Brief », groupe de Strauss en Bavière. C'était un pacte d'action et de renseignement.
 

• Question 4: Oui.
 

• Question 5: Je ne suis pas au courant de cet argument.
 

• Question 6: Pourquoi pensez-vous que ces fichiers ont été brûlés ? Ma mémoire s'est enflammée avec eux, que Dieu vous assiste, M. Sceresini.


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Voici l'échange de messages dans le livre... (l'idéal serait d'avoir la version originale, qui est en français…)

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John Birch Society (JBS)

https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Birch_Society

http://theconversation.com/the-john-birch-society-is-still-influencing-american-politics-60-years-after-its-founding-107925

https://www.youtube.com/watch?v=dg6ixwmcMcc
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"Internazionale Nera"
Andrea Sceresini
(2017) 

(traduction)

Aginter Presse - une structure occulte

Les révélations inattendues de Lafitte (Jean-Marie Laurent), bien que incomplètes, ont largement confirmé les anciennes thèses du pouvoir judiciaire italien. Aginter Presse était une structure cachée liée aux services occidentaux. Il a agi dans l'ombre, mettant fin au "travail sale", exécutant de véritables commandos et infiltrant systématiquement les rangs de l'extrême gauche. Jean-Marie Laurent a mis sur papier une expression très spécifique: "organisations tampons". "Ce sont des structures qui bénéficient d'une couverture particulière - écrit-il -, et qui peuvent donc agir tranquillement tant sur le plan informatif que sur le plan "militariste". Ils sont soumis au contrôle plus ou moins direct des services de sécurité, qui peuvent ainsi éviter de s'exposer. "Jamais auparavant, dirigeant de l'une des organisations secrètes les plus mystérieuses des cinquante dernières années, il a accepté de parler, et il l'a fait ouvertement, en mentionnant même quelques noms: celui du PIDE, tout d'abord, qui aurait largement financé la fausse agence de Lisbonne. Et puis ceux de l'organisation Gehlen, dont nous avons déjà parlé, et de Ordre Nouveau, dont la cellule de Padoue, en 2005, aurait été désignée par la Cour de cassation comme responsable du massacre de la Piazza Fontana. Et encore une fois, il y avait la John Birch Society, l'une des associations de droite américaines les plus influentes, qui - selon la reconstruction de Lafitte - sert de point de contact avec les services secrets de Washington. Un rôle qui - selon notre interlocuteur inattendu - aurait également été joué par l'entourage du gouverneur de Californie, Ronald Reagan. " Sur ce point, l'ancien numéro deux de Sérac n'a manifestement pas très envie de s'attarder: ses accusations semblent plutôt télégraphiques et ne s'appuient sur aucun type de retour. Cependant, pour clarifier, il est possible de remettre en question une ancienne publication du California State State Committee intitulée  (...)


_ _ _




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Note : les liens entre Ronald Reagan et la John Birch Society ont été âprement discutés !

https://www.nytimes.com/2000/09/24/books/no-left-turn.html

The Right Moment

Ronald Reagan's First Victory and the Decisive Turning Point in American Politics.
By Matthew Dallek.

(...)  Dallek traces Reagan's campaign strategy, detailing how Reagan's link to the ultraconservative John Birch Society almost sank him as a candidate.  (...)

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https://blessedistruth.wordpress.com/tag/ronald-reagan/

(...)  In 1962, Reagan raised money for a Southern California Republican congressman and John Birch Society member, John Rousselot.  (...)
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(...)  Hoover’s top aides took special note when Reagan appeared on Jan. 9, 1966, on NBC’s “Meet the Press.”

Reagan was asked why he hadn’t disavowed the John Birch Society, a group known for its far-reaching conspiracy theories.

Robert Welch, the society’s founder, contended President Eisenhower and other leading U.S. officials had been communists and traitors. The group claimed to have thousands of members nationally and chapters throughout Southern California.

Under pressure to clarify his stand on the society for months, Reagan had issued a press release saying he never was a member of the group and disagreed with Welch’s “reckless and imprudent statements.”

On “Meet the Press,” Reagan said he had not condemned the society itself because the Burns committee had looked into the group and found “nothing of a subversive nature.”

The FBI, Reagan added, “has found nothing requiring an investigation of the John Birch Society.”

But FBI officials knew the bureau’s files contained a potentially explosive memo.

In June 1960, an informer whom the FBI memo described as “reliable” reported that Reagan secretly belonged to the organization’s Beverly Hills chapter. The chapter included actors John Wayne, Adolphe Menjou and Zasu Pitts, columnist Hedda Hopper and screenwriter Morrie Ryskind, the informer told the bureau.  (...)

https://www.youtube.com/watch?v=_BPhYEFGaGM
Larry Mc Donald: Le champion de l'Anticommunisme.

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http://dspace.unive.it/bitstream/handle/10579/12182/857843-1208195.pdf

I rapporti tra l’estrema destra italiana e l’Organisation de l’Armée Secrète francese

Anno Accademico 2016 / 2017

(traduction)

Entre 1974 et 1975, autour de Delle Chiaie et Guillou se forma ce qui devint plus tard le "groupe de Madrid", qui comprenait Vincenzo Vinciguerra, Pierluigi Concutelli, Augusto Cauchi, Mario Ricci, Piero Carmassi et Giuseppe Calzona, auxquels les services espagnols ne posaient aucun problème et, au contraire, apportaient apparemment un soutien financier (608). Salvini a écrit sur le groupe:

En ce qui concerne l'imputation associative [...], il ne semble pas y avoir de doute que le groupe de Madrid, qui est à la suite de AGINTER PRESS et en partie formé par les mêmes militants, constitue une bande armée [...]. Le groupe était en effet caractérisé par la stabilité du lien associatif entre ses membres (dont certains ont pu maintenir des contacts politiques / stratégiques dans de nombreux pays du monde et d'autres, au contraire, ayant des tâches clairement opérationnelles), avaient des bases logistiques et des références (rappelez-vous le plongeur chargé de permettre le transit entre la France et l'Espagne), il avait également des armes et des explosifs fournis, comme le «C4», par d'autres "structures" alliées, était capable de fournir à ses participants de faux documents et de faux billets d'avion également par l'intermédiaire d'agences telles que la Transalpino (gérée à Madrid par Stefano DELLE CHIAIE) et avait avant tout pour but de concevoir un nombre illimité d'opérations terroristes et d'infiltration dans des zones défavorable aux fins de la provocation (609).


(608) Vincenzo Vinciguerra a déclaré à cet égard: «Parallèlement à la disponibilité de cet appartement " couvert ", les services spéciaux ont constitué un fonds destiné au soutien des fugitifs italiens administré par Stefano DELLE CHIAIE. En substance, chacun recevait un montant mensuel d'environ 7 000 pesetas pour ses dépenses personnelles.
Dans ce dernier appartement, seul un nombre limité de personnes autorisées pouvait se rendre, y compris, à part moi, des Italiens, Mario RICCI et Giuseppe CALZONA. Avec des personnes non autorisées, il n’était même pas possible de parler de l’existence de cet appartement ".

Rapport d'interrogatoire reproduit dans: Juge instructeur de Milan, Dr. Salvini, rg. 2/92 F, phrase
Ordonnance du 3 février 1998 contre Rognoni Giancarlo + 32, cit., P. 378.

(609)  Ivi, p. 413.

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Une autre citation de Jean-Marie Laurent sur Aginter Presse :

En général, nous nous sommes rapprochés des "organisations tampons", avec des structures similaires aux nôtres. C'est moi qui ai personnellement créé les contacts en Italie et en Allemagne, après quoi j'ai passé la main à d'autres camarades. Guérin-Sérac a fait un travail similaire aux États-Unis. En ce qui concerne l’Afrique, je peux confirmer que j’ai établi des relations avec le deuxième bureau français.

Aginter Presse avait malgré tout maintenu des contacts très étroits avec Paris. Nous étions tous engagés dans quelque chose, mais chacun de nous était utilisé dans les domaines qu'il connaissait le mieux. Mes souvenirs les plus forts concernent certainement le moment de ma détention à Brazzaville. J'ai été torturé et condamné à mort dans le plus grand secret. J'ai attendu huit jours pour mon exécution et j'ai été sauvé par le coup d'État du capitaine Ngouabi, qui a renversé Massamba.

Note : faut-il en déduire que c'est Yves Guérin-Sérac lui-même qui était en contact avec la John Birch Society (qui est plutôt marginale aux USA... mais qui a des moyens financiers) ? Le concept "organisations tampons" est intéressant.

Jean-Marie Laurent dit aussi :

En parlant d ’« organisations tampons »: il s’agit de structures bénéficiant d’une couverture particulière (agences de presse, partis politiques, le choix est vraiment vaste) et qui peuvent donc agir sans perturbation, tant au niveau informatif que " militaire ". Elles sont soumises au contrôle plus ou moins direct des services de sécurité, qui peuvent ainsi éviter de s'exposer à la première personne. Il n'y a généralement aucune forme d'infiltration mutuelle. Il s'agit plutôt de collaborer avec les ressources respectives en vue d'un objectif stratégique commun. Nos relations avec les États-Unis ont traversé des "organisations tampons" liées à Ronald Reagan. Il n'y a pas eu de collaboration directe avec la CIA, du moins à ma connaissance : nous avons tenté de le faire, mais cela a malheureusement échoué. Comme je vous l'ai déjà répété, mon attention s'est surtout concentrée sur l'échiquier africain. En plus des pays que j'ai mentionnés plus tôt, j'ai également traité avec l'Angola, Cabinda et le Mozambique.

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Stefano Delle Chiaie était lié à l'agence de voyage "Transalpino".

C'est dans l’agence de voyages "Transalpino" à Madrid qu'ont eu lieu des réunions pour l’opération "Reconquista".

Opération Reconquista était le nom donné par les services secrets espagnols (Central Documentation Service, SECED) pour contrecarrer la faction dominante carliste de gauche lors de la transition espagnole de 1976. 

https://www.scribd.com/document/25605294/DOCUMENTOS-CARLISTAS

https://es.wikipedia.org/wiki/Operaci%C3%B3n_Reconquista_(1976)

https://books.openedition.org/pur/46753?lang=fr

(…)  Les autorités italiennes soupçonnent en effet l’agence de tourisme Transalpino de couvrir une activité d’assistance en Espagne mais également en France, en Italie et en Belgique 88. Stefano Delle Chiaie aurait en effet profité de cet exil dans la péninsule ibérique pour renforcer ses liens avec le mouvement espagnol Forza Nueva. (…)

88 CdM, Rapport d’expertise d’Aldo Giannuli commandité le 12 mars 1997, annexe 233, APP-Mi, fasc. « Delle Chiaie », lettre de la DGPS au directeur du SISDE, 20 septembre 1981


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Il y a eu une agence portant ce nom à Bruxelles.

Quel était le lien ?

FRAUDE FISCALE CHEZ TRANSALPINO ? TROIS ARRESTATIONS
                                   
...Fraude fiscale chez Transalpino? Trois arrestations Sous la conduite du juge d'instruction bruxellois Simons, et depuis trois jours, la gendarmerie de Bruxelles s'est lancée dans une action d'envergure visant la société Transalpino et ses propriétaires. Dénoncé par le ministère des Finances et l'Inspection spéciale des impôts, le tour-opérateur belge est suspecté de s'être livré à une importante fraude fiscale, se chiffrant à plusieurs centaines de millions, et organisée autour d'un montage de sociétés. Hier, en fin de journée, trois membres de la famille Jannone, propriétaire de Transalpino…

Vendredi 8 septembre 1989 ; Journal Le Soir

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[url=https://archive.org/stream/nsia-SouetreJean/nsia-SouetreJean/Souetre Jean 040_djvu.txt]https://archive.org/stream/nsia-SouetreJean/nsia-SouetreJean/Souetre%20Jean%20040_djvu.txt[/url]

Translation of sworn testimony by Jacques Godard of Aginter Presse.

Bruges 27 January 1968.


Born Courbevoie (suburb of Paris) 25 August 1935.

I have been incarcerated in the prison at Bruges since 9 November 1967
on a charge of false identity and illegal stay in Belgium. I am aware of
the fact that my extradition has been demanded by the French authorities
through a communication which was made to me by the Chambre de Mise en
Accusation (Court of Indictment or Grand Jury) at Card. I am opposing this
extradition which has been demanded on a charge going back to March 1963,
for breach of trust. If I oppose this extradition it comes from the fact
that for nearly two years I have been working in Portugal for certain
services whose activity is very often opposed to French government policies.

To be precise: I was working in Lisbon for the press agency, Aginter Presse,
an organization under the Portugese Ministry of Information, and working
covertly for the PIDE (Portugese Political Police). My activities consisted
of a service of Aginter Presse which was called Order and Tradition. This
service was charged with the study of all African problems, that is, relations
with Rhodesia, with Johanesburg, with white Africa. We also did editorials
which were then communicated to the Voice of the West, to be aired on short
wave to Africa, either French-speaking Africa or Portugese Africa.

In the course of our services we had relations with certain persons
and organizations, like for example. President Tschombe, and with Biafra.

We likewise were in charge of relations with the John Birch Society, which

was an American political group financed especially by Texas oil producers

whose activity is absolutely anti-communist. Everywhere where there is a

struggle either open or covert with communists, the John Birch Society

lends its financial aid to the people who are struggling against inter-

national communism.

At the time of our activities we were able to get proof that the
so-called Colonel Robert Denard was in reality an operative of French
services, notably, of the SDECE. We got this evidence from quite a lot of
cross checking or intelligence, the principle of which was that a group of merc-
cenaries hired by Denard and located in Luanda in October, 1967 was
accounted for and payed by Denard with funds furnished by the SDECE. This
money had come notably from Paris and was forwarded directly to Luanda by
the French consul.

(…)

_ _ _

OAS: histoire de la guerre franco-française
Rémi Kauffer
Seuil, 2002 - 451 pages







.

La John Birch Society nous conduit aussi à la famille Koch

Fred Koch a été co-fondateur de la John Birch Society

https://www.jbs.org/about-jbs/fred-koch

https://en.wikipedia.org/wiki/Fred_C._Koch

Charles G. Koch et David H. Koch, deux des quatre fils de Fred Koch, s'occupent de la société "Koch Industries".

https://fr.wikipedia.org/wiki/Activit%C3%A9s_politiques_des_fr%C3%A8res_Koch

Activités politiques des frères Koch

Stato d'emergenza
De Vincenzo Vinciguerra
(2013)

(traduction)

(...)   Ce n’est donc pas un facteur idéologique commun qui permet l’alliance entre les hommes de l’OAS et, ensuite, d’Aginter Presse et des "néo-fascistes" italiens, mais la conscience de se trouver sur la même barricade anticommuniste, alignée au niveau politique et politique, opérant avec le "monde libre" dont la bataille est dirigée par les services secrets américains et atlantiques. En conclusion, nous ne pensons pas que l’Aginter Presse officiellement constituée en septembre 1966 puisse être considérée comme un nouvel OAS purement renouvelé et organisé, mais doit être considérée comme une structure couverte des services secrets américains pour la réalisation de tâches opérationnelles qui, en raison de leur nature et de leurs caractéristiques, ne doivent en aucun cas être retrouvées dans les services secrets américains et alliés.

Aginter Presse opère en fait sur trois continents (Amérique latine, Afrique et Europe), officiellement sous son propre nom et pour son propre compte, mais peut cependant compter sur le soutien caché des services secrets des pays dans lesquels il agit.

Indication indirecte mais significative du fait que l’OAS et Aginter Presse sont deux réalités distinctes, bien qu’exerçant également une fonction de direction dans la seconde, on trouve des hommes appartenant déjà à la première : nous la trouvons dans le fait que Robert Leroy, qui est devenu plus tard un agent d’Aginter Presse, en août 1962, à Rome, présenté par l’ancien sturmbannfuhrer de la brigade française Waffen SS, Alain Guignot De Sallebert, résident de longue date en Italie où il dirige une agence de presse, a pris contact avec Giuseppe Piéche. Giuseppe Piéche était commandant général des carabiniers sous le premier gouvernement du maréchal Pietro Badoglio. À l'époque, le préfet s'occupait de la réorganisation des services secrets civils du ministère de l'Intérieur dans les années d'après-guerre. Le haut dignitaire maçonnique restait toujours au sommet des structures souterraines italiennes, en contact étroit avec les services secrets américains.

Est-il concevable qu’un mois après la proclamation de l’indépendance algérienne, Robert Leroy ait pris contact avec le préfet Giuseppe Pièche pour le besoin de l’OAS?

Nous ne croyons pas. D'autre part, nous pensons que Leroy est déjà employé par les services secrets français dans des opérations cachées et "couvertes" pour contrer les activités des partis communistes italien et français.

Et nous pouvons supposer que même dans le cadre de son activité d'agent de Aginter Presse, Robert Leroy a obéi aux intérêts des services secrets français pour pouvoir démontrer sa décision de révéler une partie des secrets de la guerre clandestine à laquelle il avait participé, également en Italie, publiée par l'hebdomadaire L'Europeo du 14 juillet 1974, sans avoir à subir les représailles de Yves Guérin Serac, surpris par l'initiative de son collaborateur, certainement unique pour un homme habitué à garder les secrets.

Aginter Presse, sous la direction d'Yves Marie Guillou, alias Yves Guerin Serac, est une structure d'espionnage et opérationnelle qui agit en harmonie avec les services secrets des pays où ses agents exercent leurs activités. Ceci est démontré, pour se limiter à l'Italie, par l'infiltration massive de ses propres éléments dans l'environnement marxiste-léniniste qui, lentement, se constitue en opposition à l'obéissance du Parti communiste de Moscou, soutenant les thèses du Parti communiste chinois.

(...)

_ _ _

Voir

https://fr.scribd.com/doc/198445048/L-orchestre-noir-pdf







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Giuseppe Piéche, mort en 1977, est intéressant :

http://boowiki.info/art/general-italien/giuseppe-pieche.html

et

Psyops. 70 ans de guerre psychologique en Italie.
De Solange Manfredi





ainsi que, pour ouvrir d'autres horizons :

https://kennedysandking.com/john-f-kennedy-reviews/the-canadian-archives-michele-metta-and-the-latest-on-permindex

One of the insights I gained about the anti-Kennedy forces in Metta’s book is found in a pact made between Italian and American Freemasons against Kennedy, which included a member of CMC and the CIA. This is an important assertion, since it is implying that CMC is involved in an anti-Kennedy plot. It also shows a connection between a member of CMC’s board of directors and the CIA. (p. 10) This pact involved Dr. Gigliotti, who was a CIA agent, and was organized by Giuseppe Pièche. (p. 13) Pièche was a member of CMC’s board of directors. (p. 15)

(...)

Giuseppe Pièche, who organized the above-mentioned anti-Kennedy pact, also provides a link between CMC and far-right Italian politics. This connection is important because CMC has always been a suspicious entity, the suspicion being that the company owed its existence to a motive other than profit. And Metta does provide the reader with reasons to be suspicious. Pièche was a general in Mussolini’s army. If this isn’t enough of a fascist credential, Metta goes on to state that he and Mario Scelba “created and directed” the Servizio Antincendio [Fire Service]. He was assisted in the Fire Service by Edgardo Sogno who was connected to P2 and who later told the press that the Fire Service was a NATO organization linked to the Gladio network. (p. 13.4) The author also informs the reader that Pièche and Sogno created and ran an organization called “Pace e Libertà” [Peace and Freedom], which received funding from Allen Dulles. (pp. 14-15)

(...)

Dans le message précédent, il est question du livre de Michele Metta



où il est bien écrit à la page 15 que "Guiseppe Pièche was also a member of the CMC board of directors".

A noter aussi, à la page 160, le lien entre Stefano Delle Chiaie et Paolo De Stefano, c'est-à-dire la 'ndrangheta calabraise.

https://en.wikipedia.org/wiki/Paolo_De_Stefano

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https://www.youtube.com/watch?v=OrnNpm74Ocw

L’organisation Gehlen était les yeux et oreilles de la CIA dans les pays du bloc soviétique pendant la guerre froide.



L’organisation Gehlen a également réussi à découvrir une unité secrète d’assassinat soviétique (c'est même de très bons candidats pour être nos tueurs)  fonctionnant sous l’égide des départements de contre-espionnage chargés d'éliminer les traîtres, déserteurs, espions et éléments criminels de l'armée soviétique.
Voir ; https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=https://michaelruark.blog/2018/07/08/gehlen-organization-and-cia/&prev=search

Départements aussi appelés  "SMERSH" (acronyme qui signifie "Mort aux espions") et qui on été rendus célèbre par certains  livres de "James Bond" comme  entre autres "Bons baisers de Russie" et "Tuer n'est pas jouer" Mais les producteurs de film ont préféré changer le nom en "SPECTRE"

Quant à ce "Leroy" il est trop vieux que pour revenir du Liban  début des années 80 mais un parent proche pourrait être possible

HERVE a écrit:

 
• En 1965, Eccesso Che Guevara était également actif au Congo. Avez-vous déjà rencontré?
 

l'aventure congolaise du "Che" fut un lamentable fiasco et même un désastre
Cfr "rébellion simba"
https://www.lepoint.fr/culture/le-jour-ou-le-che-a-debarque-sur-les-rives-du-fleuve-congo-05-10-2017-2162344_3.php

Citation :

Pensez-vous qu'il existe encore des archives inviolables?

Voir : https://blogs.mediapart.fr/danyves/blog/090117/mario-soares-l-homme-de-la-cia-contre-la-revolution-des-oeillets-est-mort