Maison incendié dans le bois de la houssière

Pol Silentblock a écrit:

Oui. très bien ! Bonne recherche d'infos.
Y a-t-il un vague lien avec les affaires qui nous occupent ?

d'après certains intervenants cette maison aurait été brûlée afin de faire disparaître les traces du passage des tbw.

Il est vrai que sa situation géographique jouxte la rue du Pire qui est la rue où ont été aperçu juste avant les attaques meurtrières certains braqueurs notoires au volant de la golf qui leur a servi .
Peut-être que la zone de replis est là et non dans la triangulation des canadiens.
Une question : Cette maison se trouve-t-elle à portée des 100 Kms au compteur parcouru par la 504 ?
Si oui, nous avons le point de chute des deux séries d'attaques et pour une fois un véritable indice qui peut les relier !

kael a écrit:

Enfin, j'ai eu les renseignements concernant cette habitation.
Elle appartenait a Michel w. qui est actuellement en prison pour le meurtre d'un antiquaire de Braine-Le-Comte.
Son épouse avait quitté le domicile et la maison fut vendue (ou allait être vendue) quand Michel W aurait obstruer avec des terres (afin de retarder les services d'incendie) les accès de la maison a l'aide d'un bulldozer et ensuite mis le feu lui-même a cette maison.
Ce monsieur est, bien connu de la région et apparemment très redouté y compris, de la police locale.
Employant de la main-d'oeuvre non déclarée personne ne l'a jamais embêter pourtant ce monsieur travaillait dans la rue la plus importante de braine (rénovation de bâtiment commercial entre autres) je ne parle même pas de l'état de ses véhicules non réglementaire.
il est aussi bien connu pour du déversement interdit de détritus au temps où il faisait le transport de container, de nombreux sites sont encore en cours de dépollution.

Bonjour sorry de ne pas être venu plus tot mais qlq problèmes de PC
La maison en question n'appartenait pas à W mais à D. qui est décédé depuis qlq années d'un cancer. Selon ce que j'ai pu entendre, ce serait sa femme qui y a mis le feu. J'avais entendu, il y a plusieurs années, des personnes qui parlaient de cette maison en disant que les enquêteurs du BW devraient s'y intéresser car le feu y aurait été mis pour cacher les traces de passage des tueurs.
En son temps il y avait des box pour chevaux et même un manège avec taverne ou se rendait régulièrement W.

Eric a écrit:

kael a écrit:

Enfin, j'ai eu les renseignements concernant cette habitation.
Elle appartenait a Michel w. qui est actuellement en prison pour le meurtre d'un antiquaire de Braine-Le-Comte.
Son épouse avait quitté le domicile et la maison fut vendue (ou allait être vendue) quand Michel W aurait obstruer avec des terres (afin de retarder les services d'incendie) les accès de la maison a l'aide d'un bulldozer et ensuite mis le feu lui-même a cette maison.
Ce monsieur est, bien connu de la région et apparemment très redouté y compris, de la police locale.
Employant de la main-d'oeuvre non déclarée personne ne l'a jamais embêter pourtant ce monsieur travaillait dans la rue la plus importante de braine (rénovation de bâtiment commercial entre autres) je ne parle même pas de l'état de ses véhicules non réglementaire.
il est aussi bien connu pour du déversement interdit de détritus au temps où il faisait le transport de container, de nombreux sites sont encore en cours de dépollution.

Bonjour sorry de ne pas être venu plus tot mais qlq problèmes de PC
La maison en question n'appartenait pas à W mais à D. qui est décédé depuis qlq années d'un cancer. Selon ce que j'ai pu entendre, ce serait sa femme qui y a mis le feu. J'avais entendu, il y a plusieurs années, des personnes qui parlaient de cette maison en disant que les enquêteurs du BW devraient s'y intéresser car le feu y aurait été mis pour cacher les traces de passage des tueurs.
En son temps il y avait des box pour chevaux et même un manège avec taverne ou se rendait régulièrement W.

bizarre un des pompiers ayant intervenu sur ce lieu ma pourtant certifier que la maison appartenait a W.

Comme W y était souvent et qu'il était grand copain de D c'est peut-être la raison pour laquelle des personnes pensaient que cette maison lui appartenait.

La rue du pire arrive directement au lieu actuel des fouilles en passant par " charly du bois".

oeilneuf a écrit:

La rue du pire arrive directement au lieu actuel des fouilles en passant par " charly du bois".

faut juste traverser le canal pour être à l'endroit des fouilles.

Eric a écrit:

Comme W y était souvent et qu'il était grand copain de D c'est peut-être la raison pour laquelle des personnes pensaient que cette maison lui appartenait.

Ces individus sont-ils connus par d'autres de nos membres?

Un point commun entre cette maison (dont on a jamais su si elle a été fouillée ou pas) et le large de Fauquez : le proprio de cette maison ainsi que son copain MW étaient clients de la petite bouffe.

bien Kael , merci

pouvez vous situé la position de cette maison maintenant rasée je pense.

je ne comprend pas 100%

les photos de Trisch et de Kael: deux maisons différentes? Une maison de D. (ami de michel W.) et une maison de Marceleaux/Maxhelau? Quelle est la difference, ou se trouvent-elles? Quelle maison a été brulée et laquelle se trouvait près du Golf avec le corps? Qui était le ferrailleur, D. ou Marceleaux/Maxhelau?

en ce qui concerne mes photos c'est une erreur , les vrais photos sont celle de trish.

trish=michel ??

par contre sur familienaam.be je ne vois ni de Marceleaux ni de Maxhelau

c'est pourtant basé sur l'état civil de 1998...

Ni sur Geneanet

Ce Claude Maxh ce serait l'homme décédé en dernière page de ce document (rubrique décès) :
http://cms.horus.be/files/99908/MediaArchive/pdf/pontacelles_et_vous/infos_pont_a_celles_129.pdf

kael a écrit:

Enfin, j'ai eu les renseignements concernant cette habitation.
Elle appartenait a Michel w. qui est actuellement en prison pour le meurtre d'un antiquaire de Braine-Le-Comte.
Son épouse avait quitté le domicile et la maison fut vendue (ou allait être vendue) quand Michel W aurait obstruer avec des terres (afin de retarder les services d'incendie) les accès de la maison a l'aide d'un bulldozer et ensuite mis le feu lui-même a cette maison.
Ce monsieur est, bien connu de la région et apparemment très redouté y compris, de la police locale.
Employant de la main-d'oeuvre non déclarée personne ne l'a jamais embêter pourtant ce monsieur travaillait dans la rue la plus importante de braine (rénovation de bâtiment commercial entre autres) je ne parle même pas de l'état de ses véhicules non réglementaire.
il est aussi bien connu pour du déversement interdit de détritus au temps où il faisait le transport de container, de nombreux sites sont encore en cours de dépollution.

Un rapport ?


Huit ans pour l’agresseur de l’antiquaire (28/06/2012)

© avpress
Un des tortionnaires avait déjà pris 10 ans en 1983 pour meurtre et assassinat
ÉCAUSSINNES Marcel Nandancée, antiquaire de Braine-le-Comte, domicilié à Écaussinnes, ne pourra jamais oublier le 26 novembre 2006.
L’homme et son épouse avaient été surpris durant leur sommeil par deux hommes qui ont fait irruption dans leur chambre. Ils avaient alors été ligotés, torturés,…
“Ils s’en étaient notamment pris à mes testicules à l’aide de pinces. Ils avaient posé un couteau sur le visage de mon épouse”, se souvient Marcel. “Ils m’ont volé ma vieillesse. Auparavant, ma maison était toujours ouverte. Maintenant, nous nous enfermons en permanence. Leurs voix, je m’en souviendrai jusqu’à la fin de mes jours.”
Les malfrats étaient repartis avec deux tableaux. Ils avaient réussi à prendre la poudre d’escampette durant très longtemps.
Et pourtant, les enquêteurs disposaient d’objets avec traces d’ADN et notamment une cagoule retrouvée dans la baignoire. L’ADN prélevé sur celle-ci n’a pu confondre Lamine Balti, l’un des auteurs de l’agression de l’antiquaire, que dans le cadre d’un vol avec meurtre commis à Bruxelles en 2010. Le dossier montois a alors été rouvert…
C’est même Me Franck Discepoli, avocat de Marcel Nandancée, qui, en effectuant des recherches sur Internet, s’est rendu compte que l’un des agresseurs de l’antiquaire et de son épouse, Lamine Balti, un Tunisien vivant en Allemagne, avait déjà été condamné au début des années 80 par la cour d’assises de Rouen. Il avait alors écopé d’une peine de dix ans pour un meurtre et un assassinat !
En 2010, il a également été condamné par le tribunal correctionnel d’Anvers à trois ans pour vol avec violence commis en 2008, quinze mois après les faits d’Écaussinnes.
Cette fois, il écope donc de huit ans et devra encore comparaître devant la cour d’assises de Bruxelles.
Pour l’agression de l’antiquaire et de son épouse, Lamine Balti niait les faits. Il affirmait que la cagoule et autres objets avec son ADN lui avaient été volés dans une voiture. Le tribunal ne l’a pas cru.
Il n’empêche, le second court toujours… “Le nombre d’années auxquelles il allait être condamné m’importait en fait peu. Par contre, j’aurais souhaité que l’on interpelle le second auteur. Ces deux individus avaient plus que certainement été commandités. Ma maison est isolée de tout. Il faut vraiment savoir que je suis antiquaire. En outre, les auteurs avaient évoqué l’agression d’un ami qui était décédé à Braine-le-Comte”, conclut l’antiquaire.

Johanne Tinck
© La Dernière Heure 2012

Ou plutôt..................................................


Meurtre de Braine: trois mandats
(14/10/2003)
Le commanditaire du vol avéré mortel pour Jacques Nenquin demeure toutefois dans la nature
BRAINE-LE-COMTE Le vol crapuleux, suivi du meurtre de M. Jacques Nenquin, est partiellement résolu. Nous évoquions l'affaire le 2 octobre dernier. Le mardi 1er octobre, une connaissance découvrait le corps sans vie de cet ingénieur septuagénaire à la retraite. Jacques Nenquin gisait dans son sang sur le sol d'une des pièces de sa maison de maître aux volets clos, 76 rue des Postes, à Braine-le-Comte. Il était un passionné d'antiquités et au lendemain du drame, le parquet montois évoquait la présence, chez la victime, d'un nombre invraisemblable d'antiquités de toute nature, de toutes les époques: des meubles, de la vaisselle, mais aussi des bibelots, accumulés jusque sur des chaises, au point qu'il était difficile de s'asseoir!
Le désordre démontrait qu'une fouille des lieux avait été effectuée. Reste à savoir ce qui a été emporté: Argent? Objets?
L'enquête, entamée par la police locale de la Haute Senne et reprise par la police fédérale, aura connu un rapide dénouement.
Ainsi, trois personnes ont été interpellées, une semaine après la mort du malheureux qui semble remonter au 29 septembre. Il s'agit d'un entrepreneur de la région de Tubize, d'un de ses ouvriers - tous deux âgés d'une quarantaine d'années - et d'une connaissance, plus jeune (la vingtaine).
Vendredi, ces personnes ont comparu devant la chambre du conseil de Mons, qui a renouvelé les mandats d'arrêt pour un mois. Libellé: vol avec circonstance aggravante qu'un meurtre a été commis sur la victime. Le meurtre en question aurait été perpétré à mains nues. Si les autorités judiciaires ont été discrètes à ce sujet jusqu'à ce lundi, c'est en raison du fait qu'un quatrième individu est recherché... et que, se rendant compte que ses complices ont disparu, il se cache bien!
Il semble que, pour tenter d'atténuer leur rôle dans le drame, les trois inculpés se rejettent la balle au niveau des coups qui ont provoqué la mort à M. Nenquin. Mais la règle de la corréité passive veut que tous trois en portent la responsabilité.
G. M.
© La Dernière Heure 2003
Septuagénaire tabassé à mort
(19/06/2006)
Assises du Hainaut : les meurtriers voulaient s’accaparer la fortune
MONS Lundi, trois hommes seront jugés par la cour d’assises de Mons. Michel Wojda, 48 ans, Jonathan Sluys, 25 ans et Thierry Auspert, 44 ans, sont accusés d’avoir tué, le 29 septembre 2003, Jacques Nenquin à Braine-Le-Comte.
Alors âgée de 71 ans, la victime disposait d’une fortune conséquente et collectionnait les œuvres d’art. Son corps sans vie a été retrouvé le lendemain midi par la fille d’un ami antiquaire. Après autopsie, il est apparu que les nombreux coups portés sur tout le corps étaient à l’origine du décès. Très vite, les trois accusés sont soupçonnés.
Si tous reconnaissent avoir participé aux faits, ils tentent toutefois de minimiser leur implication en rejetant la faute sur les autres. Wojda déclare avoir agi sur ordre de Sluys. Il prétend que c’est celui-ci qui s’est acharné sur la victime. Pour Sluys, c’est Wodja qui est à la source du projet criminel et des coups portés à la victime. Quant à Auspert, il confirme la version du second. Tout porte à croire que c’est en effet Wodja qui s’en est pris au vieillard.
Un couple d’amis, chez qui le malfaiteur s’est rendu à trois reprises le soir du drame, accompagné de ses complices (la première pour une raison sentimentale, la seconde pour convaincre son ami de participer aux faits et la dernière pour se faire soigner d’une blessure) atteste de la culpabilité de Wojda. L’accusé a insisté auprès de son ami pour faire un coup facile chez un vieux contre une somme de 7.500 euros et il portait des chaussures de sécurité comportant des taches de sang alors que les deux autres non.
Le mobile du meurtre reste l’appât du gain. Le jour des faits, Jacques Nenquin s’était rendu avec son ami antiquaire au Luxembourg pour y retirer une somme de 200.000 euros ayant eu vent de cette transaction. Les trois accusés avaient au départ prévu d’intercepter la victime sur le chemin du retour. Ratant le convoi, ils ont dû entrer par effraction au domicile du vieil homme, l’obligeant à dévoiler l’endroit où l’argent était caché en le brutalisant.
Après avoir fouillé les lieux sans trouver la cachette, ils emportèrent des tableaux et autres objets (caméras, GSM, bijoux, cigares), laissant J. Nenquin au sol.
Le procès sera présidé par Olivier Delmarche. La défense sera assurée par Me Mayence pour Michel Wojda, Mes Chomé et Bastin pour Jonathan Sluys et Mes Gras et Delcourt pour Thierry Auspert.
La partie civile sera quant à elle représentée par Mes Clavie, François et Soccio. L’avocat général est Anne Maschietto.
La version de Wojda s'effrite
(Belga)
Mis en ligne le 22/06/2006
Les inspecteurs et la juge d'instruction du SJA de Mons ont repris hier tous les points de l'enquête concernant le procès de Michel Wojda, 47 ans, Jonathan Sluys, 25 ans et Thierry Auspert, 44 ans. Ils sont accusés de vol avec violence sur le Brainois Jacques Nenquin, 71 ans, entraînant la mort de celui-ci (LLB 20-21/06). D'après les analyses ADN des traces de sang retrouvées sur les lieux, seules deux personnes ont été identifiées: Nenquin et Wojda. Quant à l'argument invoqué par Wojda sur sa participation aux faits (protection de Sluys qu'il considère comme son fils), le Président Olivier Delmarche lui a demandé pourquoi avoir accompagné le jeune homme chez Nenquin alors que ce dernier se trouvait seul à son domicile, sans le présumé commanditaire invoqué par Wojda. Il a répondu qu'il pensait que cet homme serait présent. Tous les inspecteurs ont réfuté cette affirmation. «C'est la première fois que vous dites ça», a conclu le président.
© La Libre Belgique 2006
Le portrait de Wojda vire au noir
(Belga)
Mis en ligne le 23/06/2006
L'ACCUSÉ MICHEL WOJDA était au coeur de l'audience, jeudi, à la cour d'assises du Hainaut, où il doit répondre du vol avec violence ayant entraîné la mort de Jacques Nenquin, 71 ans, de Braine-le-Comte. Son portrait a viré de plus en plus au noir, la version de ses complices (qui est en opposition avec la sienne) Jonathan Sluys et Thierry Auspert commençant à se révéler comme la plus plausible. La compagne de Thierry Auspert s'est remémoré le retour de son mari le soir du drame, le 29 septembre 2003. Elle a expliqué que, n'arrivant pas à s'endormir cette nuit-là, il lui a déclaré: «Wojda m'a entraîné dans une sale affaire». Ensuite, l'ex-compagne de Wojda et sa colocataire ont expliqué que Wojda est apparu pour rencontrer le concubin de la deuxième. Le prenant en aparté, il lui a demandé de l'accompagner pour «se faire un vieux» en échange de 300 000 francs belges. Après les faits, les trois comparses sont revenus. Les deux femmes ont affirmé également que Wojda était le seul à être couvert de sang. Il a notamment été soigné par son ex-copine. De nombreuses ex-compagnes de Michel Wojda ont été citées comme témoins. Une femme fortunée, avec qui il a entretenu une brève relation, a déclaré avoir été trahie par un homme qui cherchait surtout une couverture sociale. Elle a parlé de lui en employant les qualificatifs de manipulateur, pervers, narcissique et qui retourne tout à son avantage. Pour elle, Wojda a la capacité d'entraîner les autres dans son sillon. La maman de Jonathan Sluys et ex-compagne de Wojda a affirmé que son fils aurait subi des pressions de la part de Wojda pour qu'il suive sa version. N'ayant pas réussi sa manoeuvre, Wojda aurait ensuite tenté d'accuser son ex-amie. Elle a ensuite parlé du repentir de son fils. Celui-ci s'est une fois encore excusé. Pas Wojda.
© La Libre Belgique 2006
Derniers témoins avant les plaidoiries
(Belga)
Mis en ligne le 27/06/2006
MICHEL WOJDA, JONATHAN SLUYS ET THIERRY AUSPERT ont vu défiler lundi les derniers témoins de moralité les concernant. De nouvelles facettes des accusés sont apparues lors des déclarations, semant encore le doute quant à la participation de chacun le jour du drame. Tous trois sont poursuivis pour vol avec violence sur la personne de Jacques Nenquin, 71 ans, entraînant la mort de ce dernier, le 29 septembre 2003 à Braine-le-Comte. Un expert en ADN a été entendu au sujet des taches de sang retrouvées sur la victime. Seule l'empreinte de celle-ci y a été décelée. Mais le spécialiste a déclaré n'avoir analysé qu'une tache d'1 cm2 sur les nombreuses que comportait le vêtement. Deux compagnons de prison de Wojda, qui avaient chacun écrit au juge d'instruction lors de l'enquête pour défendre l'accusé, ont continué dans ce sens à la barre. Dans un témoignage parfois embrouillé, l'un d'eux a affirmé avoir entendu en cellule Auspert et Sluys discuter des faits comme s'ils en étaient les commanditaires. Mais il avait, lors de l'enquête, affirmé sous serment avoir été manipulé par Wojda. Ce qu'il a nié lundi. Jonathan Sluys a une fois encore été décrit comme un gentil garçon, réservé et timide. Mais son image a été quelque peu ternie par le témoignage de son ex-compagne, le décrivant comme violent lorsqu'il avait bu. Les mots «travailleur» et «serviable» ont une fois encore été utilisés pour décrire Michel Wojda.
Mardi, l'audience entendra le réquisitoire de l'avocat général et les plaidoiries des cinq avocats des parties civiles. La défense plaidera quant à elle mercredi. L'issue du procès devrait être prévue pour jeudi.
© La Libre Belgique 2006
Longue défense, délibéré tardif
(Belga)
Mis en ligne le 29/06/2006
La cour d'assises du Hainaut a rendu mercredi tard dans la soirée son verdict concernant les trois personnes accusées de vol avec violence ayant entraîné la mort de Jacques Nenquin, 71 ans, le 29 septembre 2003 à Braine-le-Comte. La défense de MeMayence, conseil de Michel Wojda, 47 ans, a duré près de quatre heures. Il a tout d'abord demandé au jury de juger en son âme et conscience, sur des éléments objectifs et non des a priori, avant de redéfinir la règle de la preuve et celle de l'intime conviction. Il a ensuite décortiqué une à une les conversations téléphoniques échangées entre les personnes de l'entourage de Jonathan Sluys et Jacques Nenquin, tentant de démontrer que Sluys était à l'origine du projet. Pour lui, seul Wojda est toujours resté sur ses premiers aveux. Les trois plaidoiries ont été à l'image des trois accusés, chacun se rejetant la faute, accusant l'autre des coups et de l'initiative des faits. Pour eux, rien ne prouve que leur client soit intervenu en quoi que ce soit à ce niveau. Une longue délibération s'est conclue la nuit passée. Ce jeudi, les débats sur la peine prendront place avant que l'arrêt ne tombe dans la journée.
© La Libre Belgique 2006
Trente ans pour Wojda
Tard dans la soirée de mercredi, le jury des assises du Hainaut a reconnu Michel Wojda, Jonathan Sluys et Thierry Auspert coupables de vol avec menace, violence et effraction, ainsi que de l'intention de donner la mort à Jacques Nenquin, 71 ans, en lui portant des coups, le 29 septembre 2003 à Braine-le-Comte. Jeudi après-midi, la cour d'assises a rendu son arrêt : Wojda a été condamné à 30 ans de prison, Sluys à 25 ans et Auspert à 15 ans. L'avocat général avait requis la perpétuité. (b)

Je crois bien qu'il n'y ait plus que W. en prison... S. serait en liberté depuis peu...

W est de toute manière le seul réellement intéressant le cas échéant, eu égard à l'âge des deux autres.
Rien de neuf sur Marcellaux ?

Est-ce qu'on sait exactement où habitait ce Marcellaux? Je pense que j'avais lu Ronquières dans un post...

Il me semble également mais comme l'orthographe du nom est source de problème, difficile d'en retrouver trace.
PDS et (ou) Cocu se seraient rendus chez lui à l'époque.
Etait-il un ami de Wojda ?
Autre question.

Un de mes copains connait Wojda,mais ce n'est pas facile d'avoir des infos,mise à part que tout le monde en a peur,il serait costaud l'animal!

David a écrit:

Un de mes copains connait Wojda,mais ce n'est pas facile d'avoir des infos,mise à part que tout le monde en a peur,il serait costaud l'animal!

Beaucoup de monde à Braine et alentours a peur, pourquoi ?

Il doit être violent,je ne voit que ça...Et il aurait été impliqué dans pas mal d'histoires,même les flics s'en seraient méfiés,maintenant ce ne sont que des dires,je n'ai aucune preuve puisque je ne le connaît pas personnellement...

Je ne parle pas forcément de lui.
Votre avis sur les Sudistes ?