Claude Leroy

Citation :

De multiples condamnations pour escroqueries

BRUXELLES Début les années 1980, le 1er substitut Claude Leroy est la valeur sûre du parquet de Bruxelles. Docteur en droit, prof de droit civil à l'ULB, le magistrat enseigne à l'Institut de la Presse. Jean Gol le choisit à la Justice comme chef de cabinet adjoint responsable de la politique pénitentiaire. Claude Leroy vise la Cour d'appel. Et puis l'enfer...
Un beau matin de mars 1985, Frans Reyniers et ses hommes débarquent chez lui à Watermael-Boitsfort. Le magistrat a vendu des infos à des trafiquants de drogue. Il est arrêté. En prison, il fait la connaissance du directeur adjoint Bultot. Sa femme tombe dans les bras de Jean Bultot. Claude Leroy prétend détenir des informations sur les tueries du Brabant et pousse Bultot à s'enfuir au Paraguay. En dix-huit ans, Claude Leroy n'a quasi jamais cessé d'alimenter la chronique judiciaire. Il prend d'abord 18 mois puis encore 2 ans. A chaque coup, l'ex-magistrat affirme que c'est fini, qu'on ne l'y reprendra plus, qu'il a trouvé du boulot, qu'il gagne peu mais vit décemment. On le coince dans une affaire de faux parasols bronzants, pour des titres volés, dans des trafics de chèques, de cartes d'identité, des escroqueries dans les hôtels.
Dans son milieu, l'ex-premier substitut est appelé Monsieur Claude. Personnage au demeurant charmant, Claude Leroy s'en est plutôt bien sorti : il y a deux ans, la cour d'appel lui retire les 30 mois de prison infligés en 1ère instance: les faits sont trop anciens... mais Leroy avait lui même admis avoir retardé l'enquête par ses constants mensonges. Le 24 février 2001, Claude Leroy promettait sur l'honneur de ne plus recommencer. Le mois passé, le juge financier Michel Claise l'inculpait de complicité dans un carrousel à la TVA de dix millions d'euros.

© La Dernière Heure 2003

Quelqu'un a des infos sur ce "Leroy" (et même sur ce "Mage Leroy" qui n'a pas de visage) ?

https://www.google.com/search?hl=fr&as_q=&as_oq=leroy&as_sitesearch=tueriesdubrabant.1fr1.net

Voilà CC

Pour information, selon Jean Bultot ...

http://mozsnake.skyrock.com/1741484384-Le-livre-que-personne-n-a-ose-publier.html

(...) très discrètement dans ma vie : DODO ! Pour la présenter, revenons au mois d'avril 1985 !

CLAUDE LEROY, premier substitut du Procureur du Roi, ex-conseiller au cabinet de JEAN GOL, vient d'être arrêté ! Le scandale est énorme de par les fonctions de l'intéressé ! La Justice le soupçonne d'avoir remis un dossier ultra-secret (undercover) de la police à un gang international de trafiquants de drogue ! Le dossier contient les noms des indicateurs de la police. Une affaire de haute trahison !

CLAUDE LEROY avait déjà récolté quelques problèmes disciplinaires pour un certain laxisme envers quelques casinos. Mais de par son abord souriant et sympathique, l'annonce de son incarcération surprend beaucoup de monde. Alors qu'il croupit sous les liens de la détention, CLAUDE LEROY presse son épouse DOMINIQUE MERSCH de prendre contact avec ARLETTE. Il me vantera en ces termes auprès de son épouse :

« Très bon directeur mais il ne montera jamais, il est fiché du titre d'extrême droite au cabinet de JEAN GOL. »

Or, CLAUDE LEROY s'occupait précisément de l'administration pénitentiaire lors de son passage dans ce cabinet ! Les deux épouses vont se rencontrer et bientôt, je reçois une lettre de DOMINIQUE. Le ton de la lettre dévoile une rage contenue contre la Justice, mais aussi un esprit très frondeur.

N'ayant pas perdu mon sens de l'humour, je m'amuse à lu envoyer une lettre taquine sur elle-même, non sans louer les vertus de son époux. Or ce dernier est vite dénigré par quelques détenus yougoslaves qui semblent en connaître long sur la vie mouvementée qu'il mènerait en secret. Mes yeux s'écarquillent et mes oreilles se tendent lorsqu'il est décrit comme un noceur et un joueur ! Ces détenus me sortent des noms de compatriotes graciés par des « dons » très généreux. L'homme aurait-il trompé son monde à ce point ? Mais pour l'instant, (...)

Qui a des info sur Albert VDBo et Baptist A. ?
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t523p25-claude-leroy

Etant donné le contexte (a savoir, les opération "RYan" et "Albe Archer 83"), ce qui correspondrait le plus au profil des tueurs ce serait le "Leroy" qui menait le dit "groupe Leroy" au Liban et qui est revenu à peu près en même temps que la milice de Udo Albrecht.

Udo Albrechet, fondateur de la milice "Wehrsportgruppe Hoffmann" et agent de la Sûreté de l'État de la RDA sous le nom de code "King", matricule XV 5297/81, à partir de 1981.
Après son retour, Leroy a été condamné par le Tribunal de Bruges et on n'entend plus parler de lui.
Leroy et Albrecht se sont forcément connu au Liban puisque les expatriés ont tendance à se regrouper et, par ailleurs, ils combattent clandestinement pour  le compte du Fatah... (et ce qui pourrait expliquer la venue de cet espion pseudo journaliste et accessoirement éditeur de revue d'arme)

pour info

(...)

L'émergence de Romy sur le marché de la drogue remonte au début des années 1980 et a été soutenue par quelques bons contacts en Belgique. L’un d’eux était le joueur professionnel Baptist Andries, qui a échangé des informations utiles avec un avocat substitut à Bruxelles, Claude Leroy, lorsqu’il en a été ainsi. Cette relation s’est révélée utile lorsque, en septembre 1984, quelques policiers Romy ont été arrêtés près de Bruxelles par la police avec 1 300 kilos de haschisch. L'arrestation est le résultat d'une grande enquête internationale sur les activités de Romy et de son club. Le cobra a découvert qu'un dossier intéressant était sur le plateau des autorités judiciaires à Bruxelles. Et plus important encore: à la portée de Leroy. La transaction a été faite rapidement. Via Andries, Romy a payé environ deux tonnes à Leroy en échange d’une copie de ce fichier. Il a notamment déclaré que le transport de drogue dans lequel ses interprètes avaient percuté le feu avait été mis en place et supervisé par le Bundes Kriminalamt allemand. La provocation et les gardes de Romy ont donc été relâchés en avril 1985.
(...)

https://raisondetat.forumactif.com/t164-osj-ordre-militaire-de-saint-jean-mafia-amsterdam-services-arabes

est ce la meme personne ?

C'est pourtant dans une période des plus troubles qu'en 1997 Jean-Baptiste Andries quitte Verviers pour Liège. Déboussolé par le suicide de l'avocat général Hubert Massa, par les démêlés judiciaires de Franz-Joseph Schmitz et de Marc de la Brassine, le parquet général est en pleine déconfiture, il lui faut retrouver des effectifs autant que du crédit. Le magistrat verviétois est de ces esprits droits qui, espère-t-on, rendront à la justice liégeoise un peu de sa sérénité et au justiciable de sa confiance. En janvier 1997, le Verviétois est donc détaché auprès de la cour d'appel, même s'il ne prêtera serment et n'entrera donc officiellement en fonction que trois ans plus tard.

(...)
Depuis, les chantiers se suivent sans jamais se ressembler : mise en oeuvre de la loi Franchimont, collaborations avec l'Université de Liège, relations avec la presse au plus fort du procès Cools, règlement de la procédure dans le dossier Dutroux et préparation de cette cour d'assises d'Arlon
(...)

Jean-Baptiste François Andries, né à Cologne en 1962, diplômé de la faculté de droit de l'UCL, agrégé en sciences sociales,...
(...)
(...)

Dès les prémices de l'affaire Dutroux, Jacques Langlois est nommé juge d'instruction, à Neufchâteau.

Jean-Marc Connerotte est accaparé par « l'affaire », il faut lui trouver un suppléant pour mener à bien les affaires dites courantes.

https://www.lesoir.be/art/les-accuses-les-magistrats-les-temoins-cinq-cents-temoi_t-20040227-Z0P3CU.html
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