Wavre, 30 septembre 1982

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souvent les extrapolations sont pas correctes par manque de connaissance des données., soit

longtemps je pensais au gendarme RAES qui déclarait que qqs chose cloche ds cet histoire de wavre
mais est ce que Raes connaissait le fait que le brocanteur / antiquair (français)vivant ds la rue de bruxelles
un peu plus loin
avait vu une voiture au plaques françaises (possib le santana)
qqs jours avant ds la rue derrière .

si cette donnée est correcte les TBW ont bien fait une répérage ds lieux ...

donc pas une répétition cinema , (garé ds la rue de bruxelles) mais répérage (garé hors vue)

Bonjour C.P.,

Oui je pense qu'il s'agit des mêmes qu'à Maubeuge.

Je pense qu'il y a dans cette équipe un membre, qui se trouve être l'un de nos trois affreux.

La composition d'une équipe n'est jamais certaine, c'est comme au foot, on n'est jamais à l'abri d'une jambe cassée. De même, ce n'est pas parce que l'on évolue en provinciale le dimanche que l'on dit non à un petit match amateur entre copain le samedi.


Cordialement C.P.
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Qui a donné l'ordre de laisser Alost sans défense ce jour là ?

Bonjour Guy,

Votre réponse m'inquiète en disant qu'il s'agit des mêmes qu'à Maubeuge.

Vous disiez par exemple pour Wavre que les tueurs étaient passifs et c'est bien parce qu'ils étaient obligés de se défendre qu'ils en étaient arrivés à tirer sur policier et gendarmes.

Mais à Maubeuge, ce n'est pas le cas, les policiers prévenus par téléphone d'agissements suspects sur la place se présentent deux par une rue, un troisième par une autre, et directement, un policier est pris sous le feu des cambrioleurs.

Ils ne défendent pas nos tueurs, ils tirent directement avec l'intention de tuer.

Bien cordialement Guy

Bonsoir Falco,

vous avez écris :

Citation :

Vous disiez par exemple pour Wavre que les tueurs étaient passifs et c'est bien parce qu'ils étaient obligés de se défendre qu'ils en étaient arrivés à tirer sur policier et gendarmes.

J'ai utilisé le terme passif, pour désigner le comportement de l'auteur présenté comme étant '' tueur '', par deux fois à l'intérieur de la bijouterie. J'ai aussi écris que par deux fois ils se sont laissé surprendre, à Wavre.

Qu'est-ce qui nous dit qu'ils ont été surprit à Maubeuge ?

D'où vient l'appel téléphonique ?
Je les trouve bien long à charger alors que la marchandise semble être à vue de la vitrine, donc il n'y a pas à de perte de temps à chercher. . .C'est un vol rapide, bris de vitrine, arrache des fils du téléphone, chargement et go.
Pourquoi ne mettent-ils pas les fausses plaques françaises ? ils en ont pourtant.


Cordialement Falco,
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Qui a donné l'ordre de laisser Alost sans défense ce jour là ?

Bonsoir Guy,

Je réponds demain, là je suis à la bourre (pressé s'entend)

Bonne soirée
Cordialement

Bonjour à tous, j'aimerais vous suggérer une vision différente pour le vol chez Dekaise.

Afin de disculper l'armurier aux yeux du public, les TBW mettent en scène un vol avec agression.
Ils peuvent ainsi se procurer des armes aisément et D.D. est mis hors de cause.

De plus, le faire en pleine journée réduit les dégâts fait au magasin.
Il est plus facile et plus discret de pénétrer dans la boutique lorsqu'elle est ouverte, que de fracasser la vitrine et forcer le volet.

J'attends vos avis et réactions.

Je n'y avais jamais pensé.
Toutefois, je mets un bémol en mettant en évidence la raclée prise par D.D.
Je ne pense pas que l'on rosse un complice de cette façon, on rosse plutôt un traître ainsi ou alors un gars que l'on rackette.
Mais votre suggestion mérite d'être développée.

Bonjour,
Je sens qu'on va à nouveau parler du Liban.

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Bonjour à tous,

Qui dit qu'il n'était pas un traître, pour 3 clients et amis, à qui il avait promis quelque chose mais qu'il fallait attendre un peu que l'objet arrive.

Que l'objet soit arrivé un ou 2 mois plus tard, sans qu'il ne prévienne ses amis, et qu'il le présente à une autre personne.

Et puis, je crois qu' il n'a pas eu de fracture du crâne, mais quand même un fameux coup de crosse pour qu'il soit hospitalisé dans le coma dit-on. Ceci pour vraiment le disculper, tous les moyens sont bons à ce niveau là.

Cordialement

<

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Bonjour Roulio,

Je n'avais pas retenu cela car j'avais consulté le livre Dupont et Ponsaers où il était écrit que DD avait été blessé et placé dans un coma 4 jours. On ne précisait pas de fracture du crâne. C'est donc ce que j'avais mémorisé.
Par contre, si vous regardez l'article donc vous me parlez, on y trouve des erreurs. Par exemple, on parle d'une voiture Audi et pas d'une VW Santana. Mais enfin bref, çà ne changera en rien ce que je pense de cette bizarre affaire de Wavre.

Bien cordialement.

Bonsoir CQB,

vous avez écris :  

Citation :

Bonjour à tous, j'aimerais vous suggérer une vision différente pour le vol chez Dekaise.

Afin de disculper l'armurier aux yeux du public, les TBW mettent en scène un vol avec agression.
Ils peuvent ainsi se procurer des armes aisément et D.D. est mis hors de cause.

De plus, le faire en pleine journée réduit les dégâts fait au magasin.
Il est plus facile et plus discret de pénétrer dans la boutique lorsqu'elle est ouverte, que de fracasser la vitrine et forcer le volet.

J'attends vos avis et réactions.

Dans '' le dernier mensonge '' , BR nous révélait que Daniel Dekaise '' mangeait à tout les râteliers ''. Il y expliquait que pour l'attaque sur le major Vernaillen avec Dani Bouhouche, les armes étaient fournies par Juan Mendez et Daniel Dekaise en personne.

Bouhouche à plusieurs fois volé les biens de ses connaissances et complices armuriers ( Mendez/ESI ).
Pourquoi pas Dekaise ? Il a réglé son compte à certains. Pourquoi pas Dekaise ?
Bouhouche était proche des personnes qu'il volait, ciblait ( Mendez/Goffinon/ESI ), et restait proche par la suite ( famille Mendez/Goffinon ).  

Dani Bouhouche et Juan Mendez sont les individus cités par Roland Campine et Bernard Sartillot qui ont pourchassé, vu et rattrapé les auteurs.


Cordialement CQB,
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'' Encore une affaire que, faute de mieux, on va ranger sous la large et complaisante bannière
des tueries du Brabant Wallon! ''
( Robert Beijer )

Salut Guy,

quelle genre de truand peux reconnaître le restaurateur et faire pression aussi rapidement ...

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Bonsoir Pierre,

peut-être le même genre de truands que ceux qui portent des coups dans un but d'aveuglement.
On ne fait pas ca quand on est loin de chez soi, là ou on ne risque pas d'être reconnu. . .Je prends comme exemple '' tueur ''qui opère à visage découvert, et tranquille à Plancennoit, cela veut dire qu'il n'est pas du coin, et qu'il ne connaît pas madame Van-Lindt.
Leur attitude semble ici, totalement opposée.

Pour reconnaître, il faut connaître.


Cordialement Pierre,
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'' Encore une affaire que, faute de mieux, on va ranger sous la large et complaisante bannière
des tueries du Brabant Wallon! ''
( Robert Beijer )

@ Roulio,

Aucun problème Roulio, je comprends tout à fait votre démarche, celle de vouloir éviter les " une personne a dit que" sans fournir de références.
J'essaye d'agir de la même manière mais ce n'est pas toujours facile. Le dossier est tellement vaste et compliqué qu'on se souvient de quelque chose d'exact sans plus savoir d'où on a trouvé çà.

Bien cordialement Roulio

<

l'administration qui procure une licence d'armurier etait géré par la legislation de 1932 qqs part et finalement c'est la commune du donne un numero de licence a l'armurier.

celui de Dekaise on peut trouver sur un de pv qui circule sur le net

il date de juin l'environ même année de l'attaque.1982

on y parle pas de categorie dans les licences de vente d'armes

c'est  donc possible qu'il c'est installé là à wavre ds un anciene armurie qu'il a repris ou l'ancien armurier travaillait encore avec lui , ou il était ailleurs hors de Wavre ds un des localités ou il avait une autre licence d'un categorie moindre.

il me faut donc expliquer comment on peut être armurier depuis 3 ans et être connu à l'international et avoir une petite installation de debutant ds son petit magasin.

la reprise de l'enquete qui était au point mort , vers mars 1983 par les 3 enqueteurs de Wavre est du a une affaire a bruxelles (Pourtois ,?) puis sur une detection de trafic d'armes par les douanes ? ds un dépot de Anvers au Stinweg en juin 1983

pour DECOR:
(*
>>2 juin 1982 Kaplan en cavale 7dec accident

>>Debut 07/06/1983: Boite postal 211 loueé par BREMER-Castalodo –Bouhouche
Ala poste chaussée Boondael 55 IXELLES .jusqu'au 15 fevr 1988 et plus  

>> ESI:

Citation :

D'une manière générale, on s'est naturellement demandé
comment concilier cette initiative avec le fait que, quelque
six semaines plus tard, le 30 mai 1983, le procureur du
Roi a requis que l'on mette fin à l'enquête sur le vol d'armes
au groupe Dyane et que cette enquête a effectivement été
clôturée le 15 juin 1983.
Dans l'audition de Lhost, sa réaction écrite à cette injonction,
datée du 3 mai 1983, a été d'une importance
capitale. Nous citons ici ce document dans son intégralité,
compte tenu de son importance:
«1. Les réunions qui avaient été organisées, après le vol,
avec différents représentants des principales BSR du pays
ont été suspendues le 27 avril 82, faute d'éléments positifs
justifiant encore des réunions régulières

*)

time line:

>>9 juni 1983  Pourtois aangehouden voor affaire STINWEG Antwerpen p279

D&P?

Citation :

Willy Pourtois, een betaalde informant

De informant en zijn wapenarsenaal

Wanneer de Antwerpse BOB op 9 juni 1983 binnenvalt bij het bedrijf Stinweg worden in een transit-container 414 revolvers en pistolen, 101 jachtgeweren en 75 kisten munitie aangetroffen. Uit pv 2015 van de Antwerpse BOB blijkt dat de wapens op naam van Pourtois staan en bij Stinweg zijn opgeslagen met het oog op verdere export. Pourtois beschikt echter niet over een exportvergunning. Dezelfde dag valt de Brusselse BOB binnen bij Louis Galand, de ex-echtgenote van Pourtois bij wie de wapentrafikant echter nog steeds verblijft. De BOB neemt er drie niet-geregistreerde wapens, munitie, documenten en een aantal agenda's in beslag. Vooral de agenda's leren de speurders heel wat over het doen en laten van Pourtois.
Zo vernemen ze dat Pourtois tijdens de jaren zeventig een betaalde informant van de sectie B4 van de Staatsveiligheid was. B4 is ook de brigade belast met contra-spionage. De BOB'ers ontdekken ook dat Pourtois in contact staat met Madani Bouhouche. Tijdens het onderzoek naar de moord op Mendez treffen de onderzoekers overigens de naam van Pourtois aan in het wapenregister van de wapenhandel van Bouhouche. Een tiental wapens die bij Mendez werden gestolen, staan geregistreerd onder de naam van Pourtois. Volgens Bouhouche vroeg Mendez, van wie de wapens waren, om de naam van Pourtois te vermelden. Een antwoord op de vraag 'waarom' heeft men echter nooit gekregen. In een van de agenda's van Pourtois wordt het telefoonnummer aangetroffen van de omstreden journalist-spion Faez Al Ajjaz en van diens West-Duitse vrouw die in Marbella, Spanje woont.
Diezelfde Faez dook al herhaaldelijk op in verband met de extreem-rechtse WNP-militie. Ten slotte ontdekken de speurders ook dat Pourtois kort voor de overval op Wittock-Van Landeghem enkele Libanese en Syrische klanten die belangstelling hadden voor de beruchte prototypes van de kogelvrije vesten, bij het bedrijf introduceerde. In de nacht van 9 op 10 september 1983 overvalt de Bende het textielbedrijf Wittock-Van Landeghem in Temse. Het is een groot bedrijf, met verschillende vensters. Toch slaan de inbrekers precies dat raam stuk van het lokaal waar de kast staat, amper 3 meter verderop, waarin de ultrageheime prototypes van kogelvrije vesten zijn opgeborgen.
Zelfs de werknemers zijn niet op de hoogte van het bestaan van de vesten, laat staan van de bergplaats. Toch zijn de moordenaars van Nijvel regelrecht naar de kast gestapt, zonder aarzeling. Achteraf hebben ze met een mes, achterin het bedrijf nog wat kartonnen dozen gekrast, als om aan te geven dat ze ook ergens anders geweest zijn. Uit de dozen is echter niets verdwenen. Na de overval rijst onmiddellijk de vraag wie op de hoogte was van de prototypes kogelvrije vesten en de bergplaats ervan. Het onderzoek wijst uit dat er enkele klanten naar het nieuwe product zijn komen kijken.
Het blijkt dat ondermeer Pourtois enkele weken voor de overval klanten introduceerde bij Wittock-Van Landeghem die geïnteresseerd waren in de nieuwe kogelvrije vesten. Het onderzoek mondt uit op Libanese en Syrische klanten, aangebracht door Pourtois, die de speurders niet precies kunnen lokaliseren. Het spoor loopt dood. Een maand na de inbeslagname en de arrestatie van Willy Pourtois wordt Willy Van Baelen ondervraagd. De dag na het verhoor krijgt Daniël Dekaise een telefoontje waarin gedreigd wordt dat hij 'gaat creperen'. Er gebeurt echter niets met de wapenhandelaar

source BVN ?

 
Pourtois se trouve en prison 9 juin 1983
9 juin 1983 perquisition chez l'ex- epouse van Pourtois et aussi au Stinweg à ANVERS pour infraction sur legisation import /export d'armes de guerre Pv 3636 bsr brux JI mad.Van BELLALENGH

Nutribel:

Nutribel International Industries, rue de l'automne 22, Ixelles
n° au registre: 0416.222.941
depuis 13/07/1976 société anonyme depuis 09/06/1983

""groothandel in tulpebollen, koffie, thee, cacao en specerijen, brandstoffen, oliën, ..."

Remarquez bien la date ...;
pure coincidence ,  circulez
Avant le 29.06.83, le directeur en était le docteur PIERRET Y- (02.10.20), ayant importé et exporté'tous les produits commerciaux possibles à échelon international. le 29 juin 1983 par acte de notaire la firme "Nutribel" devient "Nutribel international industries" et par hasard

Font partie de la société depuis le 29.06.83 :

VAN Baelen Willy (directeur administrateur délégué)
Montgomery KEE David (girecteur administrateur principal)
MONTGOMERY KEE Rory Georges ( fils de David)
ARRATOOM Aileen (épouse de MONT.GOMERY KEE David)
VEIGA MARQUES Maria-Clementine
Dr. PIERRET Yvan

le 30 juin 1983 Van Baelen est interpellé > donc le lendemain !!
le 30 juin 1983: menace: Tu vas bientot crever ( fautif) c'est le lendemain le 1 juillet vers 12h

ici quelque part Pourtois en tôle ecrit à la sureté car son clampin avec le n° codé donnant acces directement a un commissaire est pris par les gendarmes il doit etre liberé car qqs semaines apres il est situé à Tamise avant les faits avec de nouveau des libanais.

14 juli 1983: date du Rapport (Bihay) des gendarmes de Wavre
23 aout 1983: PJ dresse la nomenclature des armes volees
14 octobre 1983: saisi des moderateurs ?=date du pv avant perquisition /voir masset pag196

ds un addendum ds Masset est bien explique la légalité de la production des silencieux pour un armurier

pourtant cela prend une année de recherche pour les enqueteurs de wavre avant d'y arriver à les trouver.

si c'est legal il n'y apas de probème pour dekaise de les mettre au courant directement .

en plus le firme ingram en USA était en failitte ce que toutes les armuriers devait savoir donc la commancde et livraisons des silencieux n'avait pas de sens .

en plus l'exportation des ingrams de usa avec canons filetés , pourvu qu'il y a un vieux stock était forbidden , verboten par le authorités USA depuis aux moins 5 ans

alors pourqoui dekaise qui aimerais si bien connaitre la vérité a- t-il commencé la production , fait des recherches de les ameliorer et laissent t-il chercher les enqueteurs ds toutes les mauvaises directions

probalement il a été sous pression et a craint pour sa vie ne connaissant pas précisement qui de ses nombreuses clients en voudrait à sa vie.