Lhost, Gérard

OK, mais il y a plus important aujourd'hui, non?? vous n'avez pas d'opinion sur Lhost, mon homonyme...

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@roulio, pas grave, des infos Hubert et moi avons un sacré dossier sur lui, mais pas permis de divulguer pour le moment....à suivre

Des intervenants sur le site flamand indiquent que ce serait LHOST qui aurait fait placer l'adjudant Philippe VERMEERSCH - qui l'assistait déjà lors du vol d'armes à l'ESI - à la cellule DELTA et que ce serait VERMEERSCH qui y aurait très rapidement suggéré d'effectuer une nouvelle et providentielle plongée à Ronquières. La manipulation pourrait donc être leur fait.

Le timing actuel est intéressant. Grand chambardement à la télévision, il y a quelques jours, notamment quant à des soupçons de manipulation de l'enquête en ce qui concerne la 2ème plongée à Ronquières, puis perquisition un peu plus tard chez LHOST (ou LOST désormais ?). J'imagine que la cellule d'enquête espérait que LHOST contacte ses complices - s'il est impliqué - après l'émission, au moins pour se marrer avec eux quant au patinage de l'enquête, qu'il était donc mis sur écoute, et qu'on aura épluché ses différentes boîtes emails lors de la perquisition …

Il est en effet très probable que Gérard Lhost est lié au "mystère" de Ronquières, via Philippe Vermeersch. C'est l'Etat-Major de la gendarmerie qui pourrait être impliqué.

https://www.demorgen.be/binnenland/bende-speurders-doen-huiszoeking-bij-oud-rijkswachtkolonel-ba914885/

Bende-speurders doen huiszoeking bij oud-rijkswachtkolonel

Federaal parket ziet in Gérard Lhost mogelijke ‘manipulator’

09-11-18, 20.29u - Douglas De Coninck

(...)

https://www.hln.be/de-krant/inval-bij-beschermer-van-extreemrechtse-rijkswachters~a5a7289c4/

Inval bij ‘beschermer van extreemrechtse rijkswachters’

BENDE-SPEURDERS NEMEN “VERSCHEIDENE VOORWERPEN” IN BESLAG

10 november 2018

(...)

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D'après plusieurs médias, le colonel Lhost n'aurais pas été entendu lors de la perquisition menée à son domicile.
Quant à la question pourquoi avoir quitté la gendarmerie pour la CEE, je pense que le colonel Lhost sachant très bien que le futur général à nommer au sein de la gendarmerie serait cette fois néerlandophone, il à certainement profité de l'occasion pour passer à la CEE (salaire plus attractif également).

A ma connaissance, Gérard Lhost n'a jamais été entendu du tout, si ce n'est par la seconde commission d'enquête (qui demandait déjà que l'on se penche sur le "mystère" de Ronquières).

serait-il possible de connaitre la carrière complète de ce dernier ? date, fonction etc....

Dans l'article suivant :

https://www.hln.be/de-krant/inval-bij-beschermer-van-extreemrechtse-rijkswachters~a5a7289c4/

Gérard Lhost est qualifié de ‘beschermer van extreemrechtse rijkswachters’.

"On" a aussi dit que c'est la perspective d'une enquête interne sur lui qui l'avait conduit à quitter la gendarmerie. Toujours est-il que dans le service de sécurité du Marché Commun, il a retrouvé plusieurs personnes qui partageaient ses opinions, comme Pierre Eveillard qui fut soupçonné de complicité avec Securitas.

michel a écrit:

michel a écrit:

Quelqu'un peut-il confirmer que G.Lhost était présent comme client lors de l'attaque du Colruyt de Hal?

Un lecteur attentif me précise que :
Op het moment dat het gebeurd is, was er een rijkswachtkolonel aanwezig in het warenhuis. Hij deed niks, hij is nooit verhoord, maar heeft zelf zijn verklaring geschreven."

traduction : Au moment où cela s'est produit, un colonel de gendarmerie était présent dans le grand magasin. Il n'a rien fait, il n'a jamais été interrogé, mais a écrit sa propre déclaration.

Bron: Beetgenomen | Hilde Geens

Hilde Geens n'identidie pas le colonel en question donc.

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Oui il est exact qu'il à retrouvé feu Pierre Eveillard à la CEE, j'ai d'ailleurs connu ces deux personnes à ce endroit j'aimerais quant même ajouté que Pierre Eveillard à gagné le procès qu'il à fait contre le marché commun à l'époque.

@Lenovo

Voir en effet

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX%3A62001TJ0258
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Puisque vous les avez connus, pouvez-vous les décrire ? Cela nous aiderait à mieux comprendre.

J'ai par exemple lu que Pierre Eveillard avait une grenade vide pour décorer son bureau. Avez-vous vu quelque chose de ce genre ?

Pierre Eveillard parlait-il de son frère ?

Un de leurs collègues était lié au WNP. Je suppose qu'il n'en a jamais été question... mais...

Pas du tout mais je n'ai connu ces personnes que quand je devais en tant que membre du gardiennage remettre des plis au bureau de sécurité sans plus c'est pour cela que j'aurais voulu avoir des détails sur la carrière de Lhost.
Jamais vu de tel objet sur le bureau de feu Eveillard

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K a écrit:

interludium:

for whom the bell tolls


T et un gen. recoived une délégation de lux deux semaines après overijse afin d'organiser une observation d'un ancien collègue de là bas qui travaille avec un compagnié belge

le délégation se compose de deux voitures vu que un off et un sous -off ne se mélangent pas  !.

c'est un choc(kw) je pense pour le sous off , le "coq" car lui c'est le seul qui connait le dossier "boemelaers " et il est laissé dehors devant la porte du bureau de la tête à tête .(belgo -lux)

du coup il va boire qqs bières à cérises .

plus tard on le met sur les recherches d'une bande sanguinaire  . Ce qu'il fait en qqs semaines .

pour éviter qu'il retourne sur l'affaire des " boemelaers" on le retire ses armes et le case ds un bureau pour peindre les boulons  ou qqs chose comme cela.


je me suis toujours demandé comment T et le gen. ont eu du temps pour recevoir le délégation de lux

car deux semaines après overijse ils étaient très occupés non ?


je pense que T est passé au comm parlem et c'est là seulement que sa situation a overijse est devenu clair : il c'etait mis dessus sa famille pour les proteger .


il n'avait pas son arme de service avec lui hors du service comme il avait ordonné à tous ses sous- traitants ( à confirmer)

Durant l'attaque Torrez serait resté debout et c'est un membre du personnel qui lui aurait dit de se coucher. Ce témoignage est-il exact? Déjà entendu parler de ça?

@Lenovo

L'information venait de

http://archive.spectator.co.uk/article/11th-december-1999/30/the-driving-force

(...)  'My father got completely smashed last year.' We were sitting in the office of the drivers' representative, Pierre Eveillard, an ex-policeman who heads the Transport Section. Martinez and Eveillard were both smoking Marlboros, lighting each fresh cigarette from an amusing lighter made from a real hand-grenade. In a large glass cabinet, occupying one wall of the office, was a compendious collection of military caps, lead soldiers, and other memorabilia. Behind them were propped some signed photographs.  (...)
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Il y a un fil de discussion sur Pierre Eveillard :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2922-pierre-jacques-eveillard
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A quelle époque les avez-vous connus ? Vous les avez vus ensemble ? Quels niveaux hiérarchiques avaient-ils à ce moment ? Vous étiez employé par Securitas ?
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Un autre membre du service : Robert Thomas





Selon Michel Libert (WNP), Robert Thomas était chargé du collationnement informatisé de toutes les données concernant les nouvelles recrues (en utilisant le matériel et la mémoire informatique de la Commission) ainsi que de l'encodage de nombreux dossiers d'enquêtes.

J'ai connu ces personnes vers 1989 jusqu'en 1990, je n'ai jamais vu messieurs Lhost et Eveillard ensemble mais leurs bureaux respectifs était juste séparé par une cloison. Gérard Lhost était le supérieur de Pierre Eveillard mais il y avait encore un homme plus haut que Gérard Lhost je pense que son nom était De Han mais je ne l'ai jamais vu.
J'étais employé par la firme intergarde .

@Lenovo

Il y a aussi un fi de discussion sur "Securitas", d'où je tire l'extrait suivant :

"L'Europe des Fraudes" de Jean Nicolas (XXVI)

(...) Le dossier enregistré à la section financière du Parquet de Bruxelles en date du 23 avril 1998 porte le numéro 70991589/98. Il est parvenu à l’instruction cinq jours plus tard et a atterri au cabinet du juge Van Espen sous le numéro 22/98. L’incrimination concerne une «infraction commise par des dirigeants de société» et elle met en cause de hauts fonctionnaires de la Commission européenne et des dirigeants de la société de surveillance Group 4 Securitas. Parallèlement, une enquête interne se déroule à l’intérieur de la Commission via l’unité antifraude contre quatre fonctionnaires, à savoir MM. Claude Willème (personnage inévitable et incontournable à la Commission, sous-chef de la sécurité, ancien de la DGSE française et qu’on retrouve entre autres comme intermédiaire dans l’affaire Cresson-Perry), Pierre Eveillard (ancien membre influent du service de Sécurité, difficilement contournable avant 1995, mis en rapport avec Paul Vanden Boeynants et Jacques Santer), Pieter de Haan (chef du service de sécurité de la Commission) et un certain François. L’UCLAF a d’ailleurs fait parvenir son rapport d’enquête interne sur les fraudes découvertes et sur les personnages centraux, à savoir ces quatre fonctionnaires, au juge Jean-Claude Van Espen qui, en date du 3 mars 1999, effectua une perquisition judiciaire de sept heures dans les locaux de la Commission.

A la base de cette affaire qui concerne les services de sécurité de la Commission européenne : des irrégularités, qualifiées de «graves» par le juge d’instruction, à l’intérieur de la Commission et concernant le recrutement et la gestion du personnel de sécurité et des actes de corruption envers des fonctionnaires chargés de ce secteur au Breydel, le tout en collaboration avec le Groupe 4 qui était maître du marché. «Nous n’étions certes pas les moins chers pour ce marché, mais nous avions d’autres arguments à faire valoir dans ce secteur sensible», s’expliquera un responsable du Group 4 Securitas, Stéphane Bocque.

Les faits délictueux se sont déroulés en 1993 et 1994. D’après des éléments ont été payés sans contrepartie de travail. Des cas de népotisme ont également eu lieu et des fausses factures ont été émises. Fin 1994, Pierre Eveillard, l’un des personnages centraux de la Commission dans cette affaire, fut suspendu de ses fonctions au service de sécurité et muté sur une voie de garage dans le secteur des transports de l’institution.

C’est à ce moment là que le chef du département sécurité, Pieter de Haan, apprit que le nouveau président de la Commission, Jacques Santer, désirait incorporer à partir de janvier 1995 Pierre Eveillard dans son cabinet. Cette promotion assez surprenante n’a finalement pas eu lieu. Mais elle met en lumière les excellentes relations entre la famille Eveillard, dont Christian, inspecteur de police à Etterbeek, le frère de Pierre, figurait comme «officier de liaison» pour la Commission, et la mouvance de Paul Vanden Boeynants. Un Christian Eveillard qui était d’ailleurs un visiteur régulier de la fameuse taverne «le Dolo», sinistrement célèbre depuis quelques années et connue pour avoir été un rendez-vous d’éléments d’extrême droite.

Sans vouloir faire le moindre amalgame, on peut quand même s’étonner du fait que la Commission recrute dans un environnement fréquentant des endroits répertoriés comme proches de l’extrême droite et même cité dans les dossiers de Marc Dutroux et de Jean-Michel Nihoul. Et le fait que le président de l’institution européenne -encore une fois inconscient et mal conseillé où quelque peu compromis par ses relations ? - demande justement de disposer pour ses besoins personnels de sécurité d’un fonctionnaire suspendu et muté pratiquement la veille de son arrivée pour une implication dans un cas de fraude, intrigue également.

Le juge Van Espen qualifie ce dossier «d’important» et nous a assuré qu’il ne manquera pas de faire toute la lumière par son enquête dans une affaire qui, même si elle ne constitue finalement qu’un cas de fraude parmi plein d’autres, démontre que les dysfonctionnements et les irrégularités ne se passent pas seulement dans le cadre des sous-marins extérieurs, mais également au coeur même de la Commission, jusqu’à son bureau de sécurité. Il est évident que s’il y a un service à la Commission où l’enquête journalistique devient difficile, sinon impossible, c’est bien dans l’entourage et au sein du service de sécurité, où les fuites sont plus qu’exceptionnelles et où on gère le bureau d’une façon bien plus draconienne vis-à-vis des regards indiscrets qu’ailleurs dans l’institution. Ceci dit, l’affaire Groupe 4 était, début 1999, la troisième affaire pendante devant un Parquet et un juge d’instruction. (...)

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Robert Thomas, cela vous dit quelque chose ?

Non ce nom de Robert Thomas ne me dis absolument rien, il faut dire que je n'était que simple garde et que j'ai quitté le marché commun après un an pour un autre chantier d'intergarde.