Morue, Marcel

Il ne faut pas être sorcier pour deviner que ce soir là si les PM ont été envoyées sur une bagarre "bidon" sur Ophain c'est que les TBW ne savaient pas qui étaient les PM ce soir là !!!

La place d'Ophain n'est même pas à 5 minutes du Colruyt de Nivelles et de cette façon, à mon avis, un complice a vite fais de prévenir les autres qui étaient en PM ce soir là !!!

Je peux toujours me renseigner pour savoir à quelle heure approximative les PM sont parties à Ophain ?

Pour Morue, beaucoup de choses ont été dites (qu'il savait qu'il allait mourir, ........) savoir le vrai du faux est impossible !!!

De quels dossiers s'occupait ce brave homme ?

rien trouvé
sauf

1.:affaires ds le cité des Acclots ...où se trouvait la gendarmerie(?)
2.:opus dei ? qqpart un message d'un membre sur le site ici ou les années ....
3.: footnote ds le docs du parlement que je ne retrouve plus mais il s'agit d'une possibilité ,non elucidée , que 4 jeunes gendarmes de nivelles étaient membre de ....

donc affaire interne !

n'oublie pas le rim ram au bureau de la gendarmerie arrivait pas à faire son déclaration
sur l'homme ds la pluie.

Il vous manque de l'information cruciale... CCF etc.

jc1243401 a écrit:

K a écrit:

http://anneesdeplomb.topdiscussion.com/les-appartenances-mouvements-et-lieux-toutes-affaires-confondues-f41/chevaliers-du-rouvre-t128-30.htm#25116

Le Gendarme Morue enquetait sur les affaires CCF
(lien avec Copine)

Une telle enquête ne devait-elle pas être menée par la (les) BSR? Or, Morue était gendarme en tenue.

Cela dépend à quel niveau de l'enquête. Prenez Toussaint, par exemple.

@deach

Citation :

La place d'Ophain n'est même pas à 5 minutes du Colruyt de Nivelles et de cette façon, à mon avis, un complice a vite fais de prévenir les autres qui étaient en PM ce soir là

!!!


tres bizarre qu'il font venir toutes les équipes sur la place de Ophain et c'est presque sur leur chemin de fuite.

Si tout ces brigades étaient en alerte après le déclenchement des alarmes du colruyt et l'appel de lacroix à l'aide ils aurait pu facilement tomber sur les TBW en fuite ?

on peut se poser la question pourqoui les policiers de Braine n'y sont pas aller car c'est tout près, peut être il n'ont pas l 'authorisation de travailler hors secteur de Braine.
donc s'il y a gression même à 1km d'un bureau de police hors secteur , la gendarmerie de wavre ou nivelles était mobilisée ?
éil me semble par contre que cet appel à été fait directement à nivelles (pas enregistrer )donc les autres brigades ne l'ont eu que aprés par la centrale de Nivelles?

Jean Marchenoir a écrit:

Cela dépend à quel niveau de l'enquête. Prenez Toussaint, par exemple.

En effet et nous en avons déja parlé, cela a d'ailleurs été confirmé, la gendamerie disposait d'une brigade judiciaire totalement indépendante de la BSR.

sur les annees de plomb lein avec l'article ds le Peuple sur van Wijck et Morue et ccf

https://i.servimg.com/u/f81/11/21/10/03/00314.jpg


le peuple 13 mai 1989 la une

michel a écrit:

SiscoF a écrit:

"On" a[urait] téléphoné au CTR ce soir là pour demander s'il travaillait ce soir là.

Votre information est-elle fiable à 100%?

Le renseignement est fiable. Mais je ne serai pas aussi affirmatif pour dire à 100%, j'aurais cependant dû mettre au conditionnel (il était tard), j'ai donc corrigé.

L'information provient des anciens gendarmes de Tubize.

bien

donc on a telephoné

1.: pour savoir s'il travaillait car il a été malade ?
2.: pour la bagarre bidon

3: Question est ce que Fourez- Dewit qui n'avait pas de sous ds son portemonnaie mais
avait un radiotelephone ds son voiture mercedes comme Finné ?

4.:mon info dit que les derniers mots de Morue à ces collegues étaient :

C'est pour moi, j'y vais ?

Il est partie vraiment sur le déclenchement l'alarme du centrale de delhaize?
N'avait il pas un bouton alarme à la station d'essence aussi?

3 et 4 doivent être certifie car c'est possible que Fourez Dewit avaient un rendez- vous avec

Morue et que celui çi a laissé tomber son arrêt de maladie pour être present à ce rendez -vous.

possibilité improbable ??? toutes les combinaisons doivent être étudiées et éliminées.

(assurance vie =AXA à Wavre à confirmer)

Ce lundi 17 septembre 2012, vingt-neuf ans que Marcel Morue nous a quittés.

RIP

et dire que l'année dernière , un voisin du colruyt me disait, tiens , vous êtes les premiers
pour me poser un question en 25 ans sur ce qu'il c'est passé ces nuits là .

ils n'ont rien entendus et ces voisins , entre- temps expropriés , non plus
et un membre ici déclare la même chose pour un troisieme voisin situé au nord.


Est ce que on a déplacé sa plaque conmémorative? au nouveau HQ?

Les gendarmes tombés en service honorés
V.F.

Mis en ligne le 19/09/2012

Avant la fusion des polices, la gendarmerie aclote organisait chaque année une manifestation d’hommage aux hommes tombés en service. Une stèle, était alors fleurie. Il faut dire que les gendarmes nivellois décédés au combat durant la Deuxième Guerre mondiale, en déportation suite à des actions de résistance ou en service sont plus d’une dizaine. Le dernier était Marcel Morue, mort en septembre 1983 lors de l’attaque du Colruyt de Nivelles par les tueurs du Brabant wallon. Après la construction du nouveau commissariat central à la chaussée de Charleroi, cette stèle a été transférée. Et un ancien gendarme aujourd’hui policier, Gilbert Audeval, a suggéré que les autorités renouent avec cette tradition d’hommage aux hommes qui se sont sacrifiés. "C’est important parce que je me suis aperçu que certains de mes jeunes collègues n’ont pas la moindre idée de qui était Marcel Morue", explique-t-il. "Ils ne savent pas non plus que des gendarmes de Nivelles sont décédés de mort violente durant la guerre. J’espère que cette tradition consistant à leur rendre hommage va renaître et perdurer." C’est d’autant plus probable que, depuis quelques mois, des recherches historiques sont en cours pour retracer l’histoire de la gendarmerie à Nivelles, depuis la maréchaussée de l’époque française jusqu’à la fusion des polices et à la constitution de la zone Nivelles-Genappe. Ce travail dans les archives des services et du musée de la gendarmerie mais qui fait aussi appel aux souvenirs des anciens est mené par Mireille Verhelst. Il devrait faire l’objet d’une publication courant 2013. Pour le bourgmestre, Pierre Huart, au-delà de l’indispensable devoir de mémoire, cette stèle, inaugurée hier à l’entrée du commissariat, doit aussi rappeler aux policiers la prudence qu’il convient d’adopter sur le terrain au quotidien, dans l’exercice d’un métier au service des citoyens mais qui comporte toujours des dangers.

Source : http://www.lalibre.be/actu/brabant/article/761630/les-gendarmes-tombes-en-service-honores.html

http://blog.seniorennet.be/rijkswacht/archief.php?ID=1351358

es 30 ans de l'attaque du Colruyt de Nivelles: «Papa ne devait pas aller au travail ce jour-là»

Adrien Vigneron

À l’occasion du 30 ème anniversaire de l’attaque du Colruyt de Nivelles, nous avons rencontré Laurence Morue. Âgée de trente-six ans aujourd’hui, elle n’avait que six ans lorsque sa maman lui a appris que son papa, Marcel, avait été abattu par les Tueurs du Brabant.



Laurence Morue, 36 ans, n’avait que 6 ans lorsque son papa a été abattu.

A.V.

Laurence Morue, 36 ans, n’avait que 6 ans lorsque son papa a été abattu.

Malgré qu’elle n’avait que six ans le 17 septembre 1983 lorsque son papa a été abattu par les Tueurs du Brabant lors de l’attaque du Colruyt de Nivelles, Laurence n’a pas oublié cette période de sa vie. « Je dormais lorsque les gendarmes sont venus annoncer la mauvaise nouvelle à ma maman. Quand je suis descendue, je l’ai trouvée en pleurs dans les escaliers. C’est là qu’elle m’a dit que papa ne reviendrait plus… » commence Laurence.

Et pour cause, Marcel Morue, 30 ans, est tombé nez à nez avec les Tueurs du Brabant sur le parking du Colruyt de Nivelles. « Il a reçu une première balle de Riot Gun dans la cheville au moment où il a voulu descendre du combi. Puis, ils sont venus l’achever d’une seconde balle à bout portant, en pleine tête. » Tous ces détails et d’autres encore, sa famille a attendu quinze ans avant de les découvrir ! « On avait enjolivé sa mort en nous disant qu’il n’avait pas souffert. Mais quinze ans plus tard, on a enfin pu accéder au dossier. Dedans, c’était tout le contraire… Il a eu le temps de se rendre compte qu’il ne reverrait plus ses enfants ! Ma maman, elle, n’a jamais pu faire son deuil, ils n’ont pas voulu qu’elle le voie. Trop dur selon eux ! On a aussi appris que son corps avait été autopsié. Or, on ne nous l’avait jamais dit… », raconte Laurence qui a aussi une sœur de trois ans sa cadette.

Finalement, ce samedi 17 septembre 1983, la seule erreur de Marcel aura été de se rendre au travail. « Ma maman m’a dit qu’il n’aurait pas dû travailler ce jour-là. Il était en congé maladie… Mais il y avait des mauvaises langues qui parlaient sur son dos. Pour les faire taire, il a décidé de prendre son service. »

Chose incroyable, le gendarme avait comme un pressentiment. « Il n’avait pas dit au revoir à ma maman comme il le faisait d’habitude. Pour la première fois, il lui a dit qu’il n’était pas sûr de revenir… », poursuit cette maman de deux enfants de 12 et 9 ans.

Source : http://www.lacapitale.be/809522/article/regions/brabant-wallon/actualite/2013-09-12/les-30-ans-de-l-attaque-du-colruyt-de-nivelles-papa-ne-devait-pas-all

[quote=...
Chose incroyable, le gendarme avait comme un pressentiment. «  Il n’avait pas dit au revoir à ma maman comme il le faisait d’habitude. Pour la première fois, il lui a dit qu’il n’était pas sûr de revenir…  », poursuit cette maman de deux enfants de 12 et 9 ans.[/b]

Source : http://www.lacapitale.be/809522/article/regions/brabant-wallon/actualite/2013-09-12/les-30-ans-de-l-attaque-du-colruyt-de-nivelles-papa-ne-devait-pas-all[/quote]
Si c'est avéré c'est quand même très étrange, il travaillait sur quoi exactement le gendarme Morue avant sa mort?
En général les pères de famille on tendance a rassurer leur famille même quand ils savent une situation potentiellement dangereuse, alors si il a dit celà à sa femme avant de partir, il doit forcément y avoir une raison...

K a écrit:

http://anneesdeplomb.topdiscussion.com/les-appartenances-mouvements-et-lieux-toutes-affaires-confondues-f41/chevaliers-du-rouvre-t128-30.htm#25116

Le Gendarme Morue enquetait sur les affaires CCF
(lien avec Copine)

 

Mise à jour : mercredi 18 septembre 2013 06h00 Nivelles « Je pense tout le temps à ce qui est arrivé à papa »

L'Avenir Magaly SWAELENS

Elle avait 6 ans quandles tueurs du Brabant ont abattu son papa, le gendarme Marcel Morue, en service à Nivelles. C’était il y a tout juste trente ans.
Marcel Morue était gendarme à Nivelles. Il y a trente ans, dans la nuit du 16 au 17 septembre 1983, il perd la vie, alors qu’il est en intervention. Le drame se déroule lors de l’attaque du Colruyt de Nivelles. Le gendarme est abattu froidement, sur le parking, par la bande des Tueurs du Brabant.
Sa fille aînée, Laurence Morue (36 ans) a toujours difficile à endiguer ses larmes lorsqu’elle aborde cet épisode de sa vie. «Pas un jour ne passe sans que je pense à mon papa et aux circonstances de sa mort.Je n’avais que 6 ans à l’époque. Ma maman et moi avons été réveillées durant la nuit. Ma mère pensait que mon père avait encore oublié les clés de la maison. Lorsque je suis descendue, elle m’a annoncé que je ne le reverrais plus. C’était horrible.»
Laurence Morue poursuit: «Mon père était quelqu’un de sévère. Son travail lui tenait plus qu’à cœur. Il était courageux et n’avait pas peur de foncer, malheureusement… Ce jour-là, il ne devait normalement pas aller travailler. Ma maman a toujours fait en sorte que moi et ma sœur ne voyons rien de cette attaque dans les médias. Nous avons été préservées. C’était nécessaire vu la difficulté du cap à passer. Cependant, mes enfants sont au courant de l’histoire. Ils savent que ce genre d’événement n’arrive pas qu’aux autres. Mon fils, âgé de 9 ans, voue une admiration pour les policiers. Il voudrait en faire son métier. Il y a sûrement un lien avec la mort de son grand-père.»
Ce mardi, Laurence Morue s’est rendue, avec son mari et ses enfants, au commissariat central de la zone de police Nivelles-Genappe, où l’on rendait hommage aux anciens gendarmes et policiers disparus en service. Un hommage à son papa, entre autres. «Cette cérémonie est nécessaire pour que l’on n’oublie jamais ce qui est arrivé et pour que les policiers se rendent compte des dangers de leur métier», a conclu la jeune femme.
L’initiateur de cet hommage, c’est l’inspecteur Gilbert Audeval, qui a remplacé Marcel Morue dans sa fonction, juste après sa disparition. «Je suis arrivé comme jeune gendarme et j’ai hérité de son matériel professionnel : son casier, son carnet de procès-verbaux… Cela m’avait fortement touché. Aujourd’hui, avant que je parte à la retraite, je voudrais que l’on prenne le relais et que l’on perpétue le souvenir de cet homme que je n’ai pourtant pas eu l’occasion de le connaître. Je souhaite aussi rappeler aux jeunes que tout peut arriver sur le terrain, et souvent lorsqu’on s’y attend le moins. Plus l’intervention paraît légère, moins on s’y prépare. Et c’est souvent là que se cache le danger.»

Tueries du Brabant : « Mon collègue est mort dans l'attaque de Nivelles »

Alain Berger (56 ans, gendarme depuis 1978) est le seul policier de la zone Nivelles-Genappe en activité à avoir connu l'épisode nivellois des tueries du Brabant. Le 17 septembre 1983, cette attaque ôta la vie à son collègue, Marcel Morue, alors que Jean-Marie Lacroix échappait à la mort grâce à une épaulette dans laquelle un malfrat tira à bout portant alors qu'il s'était écroulé à l'arrière du Colruyt de Nivelles.

«Je venais de me marier et j'étais en congé, se souvient Alain Berger. Mes collègues étaient de permanence mobile et ils avaient sauté dans leur Ford Transit quand l'alarme effraction avait retenti au commissariat. "Cette fois-ci, on va les avoir", avaient-ils dit en partant, car ce n'était pas la première fois que des voleurs s'introduisaient par l'arrière du supermarché. Ils ignoraient bien sûr qu'ils allaient se trouver nez à nez avec des bandits qui ne leur laisseraient aucune chance.»

L'annonce de cette tragédie provoqua un choc au sein de toute la brigade qui, quelques heures plus tard, fut mobilisée afin de se rendre au camping de la Cala, à Glabais. «On avait reçu une information selon laquelle ces bandits s'y étaient retirés. L'escadron spécial d'intervention Diane avait été requis, raconte Alain Berger. Dans le combi qui nous y emmenait, c'était le silence total. On se regardait les yeux dans les yeux, interdits. Personne ne pipait mot. On était incapable de parler. Glabais, c'était une fausse alerte.»

http://www.lavenir.net/extra/content/doc_30ans_bw/temoin7.html

Maïcool a écrit:

Tueries du Brabant : « Mon collègue est mort dans l'attaque de Nivelles »

Alain Berger (56 ans, gendarme depuis 1978) est le seul policier de la zone Nivelles-Genappe en activité à avoir connu l'épisode nivellois des tueries du Brabant. Le 17 septembre 1983, cette attaque ôta la vie à son collègue, Marcel Morue, alors que Jean-Marie Lacroix échappait à la mort grâce à une épaulette dans laquelle un malfrat tira à bout portant alors qu'il s'était écroulé à l'arrière du Colruyt de Nivelles.

«Je venais de me marier et j'étais en congé, se souvient Alain Berger. Mes collègues étaient de permanence mobile et ils avaient sauté dans leur Ford Transit quand l'alarme effraction avait retenti au commissariat. "Cette fois-ci, on va les avoir", avaient-ils dit en partant, car ce n'était pas la première fois que des voleurs s'introduisaient par l'arrière du supermarché. Ils ignoraient bien sûr qu'ils allaient se trouver nez à nez avec des bandits qui ne leur laisseraient aucune chance.»

L'annonce de cette tragédie provoqua un choc au sein de toute la brigade qui, quelques heures plus tard, fut mobilisée afin de se rendre au camping de la Cala, à Glabais. «On avait reçu une information selon laquelle ces bandits s'y étaient retirés. L'escadron spécial d'intervention Diane avait été requis, raconte Alain Berger. Dans le combi qui nous y emmenait, c'était le silence total. On se regardait les yeux dans les yeux, interdits. Personne ne pipait mot. On était incapable de parler. Glabais, c'était une fausse alerte.»

http://www.lavenir.net/extra/content/doc_30ans_bw/temoin7.html

Glabais n'était pas une fausse alerte. Encore fallait-il savoir où et qui chercher...

j'ai lu qqs part que un coup de téléphone était donné au pj de Bruxelles mais à reconfirmer


qqs temps avant ds les environs de ce camping un voyou recherché était abattu pendant son arrestation (en dormant ds sa voiture ensemble avec sa copine)

j'avais pensé que il se pourrait que une revanche était en jeu mais cela ne semble pas etre lié finalement


ce qui me frappe c'est que il ne mentionne pas l(appel de la premierequipe pour une bagarre a une kermesse :appel fausse ou info fausse ?

ce qui est nouveau c'est qu'il mentionne que d' autres vols à l'arrière de ce batiment ont eu lieu

Citation :

cette tragédie provoqua un choc au sein de toute la brigade qui ....

ils étaient si en choc que 25 ans après personne n'est allé demander ds les environs si ils ont entendu qqs chose !


pourtant les douilles gisaient partout et Depretre shootait là dedans dixit certains écrivains