Opération Libye

Déclaration de Marcel Barbier :

En ce qui concerne cette formation en Libye: toute cette histoire me semble être un prélude à l'hypothèse de Belliraj: Faez Al Ajjaz recherche des jeunes Marocains à utiliser pour "la cause islamique". Marcel Barbier dans la lettre numéro 6 de février 1986:

Faez Al Ajjaz était également impliqué dans «l'opération Libye». C'est comme ça. Sur la place Rouppe, il y avait un refuge pour jeunes Nord-Africains négligés. Il voulait leur fournir une activité utile et proposait de les former en tant que combattants de l'Islam. Vous pouvez deviner le suivi: ils recevraient une formation au terrorisme en Libye. Je devais les préparer ici pour qu'ils passent les tests difficiles. À cause de ma peau foncée et de mon nouveau nom, Zwaël Boukadida, je ressemblais à un enfant d'un père tunisien et d'une mère belge.

Mes parents auraient été tués dans un accident. En Libye, je serais bien accueilli et enquêter en secret sur les réseaux terroristes en Europe. Lammers, Nemry et Saucez partiraient dans une première phase. Je suivrais avec Libert. Cependant, Calmette et Christian Smets m'ont conseillé de ne pas accepter la proposition, car sinon une certaine mort m'attendait.

Beaucoup plus tard, j'ai appris que nous aurions été exposés et que nous nous sommes retrouvés sur place. Ceux qui devaient nous trahir seraient alors déployés en Europe pour déstabiliser les institutions lors d'attaques terroristes, comme dans les grands magasins.

Mais Barbier ne l'a pas fait, parce qu'il réalisait qu'il serait liquidé par après (comme témoin gênant) ...

Je me permets de faire remarquer qu'80, le terme "islamiste" n'était quasi jamais employé. On parlait plus volontiers de Hezbollah, d'OLP, et ainsi de suite.

Imazibraine a écrit:

Mais Barbier ne l'a pas fait, parce qu'il réalisait qu'il serait liquidé par après (comme témoin gênant) ...

Ce qui ne veut pas dire que d'autres y ont été....

La Libre
Mis à jour le vendredi 25 mars 2011

... Si l’on remonte un peu plus loin dans la ligne du temps, on trouve un autre personnage clé dans les relations belgo-libyennes : l’incontournable Robert Urbain. L’ex-maïeur socialiste de Boussu est depuis 1999 le président de la Chambre de commerce belgo-libyenne, où se côtoient des hommes d’affaires. Il a mené quatre missions commerciales en Libye depuis 2004. La Belgique exporte vers ce pays davantage qu’elle n’importe – pour 141 millions d’euros en 2008. L’Italie, l’Espagne, la France et l’Allemagne sont les principaux partenaires commerciaux de la Libye. Hormis l’Allemagne, tous les pays “partenaires” sont engagés dans la coalition.
Robert Urbain, le Borain qui roule ses “r”, a été ministre du Commerce extérieur à trois reprises dans les gouvernements Martens et Dehaene, entre 1981 et 1995. Et au grand dam des ministres des Affaires étrangères de l’époque (les CVP Léo Tindemans et Mark Eyskens), il a lancé une politique d’ouverture à la Libye alors même que les artificiers de Kadhafi – on l’apprendra plus tard – préparaient l’attentat contre l’avion de la Pan Am. Le bourgmestre de Boussu avait été approché par le chef du Bureau populaire de Libye à Bruxelles, Mohamed Al Faitouri, qui avait estimé que le PS était le plus réceptif des partis belges à la cause arabe. Urbain avait ses entrées en Tunisie, et il se rendit fréquemment à Djerba, lieu de villégiature des dignitaires libyens pendant le week-end. “La Libre Belgique” parla à l’époque de la “couscous connection de Robert Urbain”.
Premier essai en décembre 1988. Urbain veut aller en Libye, la première visite d’un officiel belge depuis 26 ans, mais y renonce en dernière minute en raison d’une opération au ménisque. En mai 1989, il annonce une nouvelle tentative, avec l’intention de “plaider la cause des otages belges s’il s’avère qu’ils sont en Libye”. Car on soupçonne fort la Libye, qui sert de permanence à plusieurs groupes terroristes, d’en savoir beaucoup sur le docteur belge Jan Cools, enlevé au sud-Liban en mai 1988, et plus encore sur la famille Houtekins-Valente enlevée en 1985 au large de la Libye à bord d’un vieux sardinier, le “Silco”.
L’enlèvement du premier a été revendiqué par un groupe inconnu, “Les soldats du Droit”, tandis que le kidnapping de la famille franco-belge est endossé en 1987 seulement par le groupe d’Abou Nidal, qui a son QG en Libye, avec l’appui de Kadhafi.
Jan Cools est libéré en Syrie peu après la visite de M.Urbain à Kadhafi en juin 1989. Ses ravisseurs se félicitent dans un communiqué des “bons rapports entre le Parti socialiste belge et la nation arabe et islamique” tandis qu’à Bruxelles, Léo Tindemans est furieux : “M.Urbain est parti en Libye sans mandat du gouvernement belge sur la question des otages belges et sans me consulter.”
La libération des Houtekins en 1991 sera l’épilogue d’une autre affaire, toujours obscure, où l’on vit le directeur général de la politique aux Affaires étrangères, Jan Hollants van Loocke, devoir démissionner pour avoir délivré un visa belge à Walid Khaled, l’homme qui avait revendiqué l’enlèvement. Les Houtekins furent libérés le 12 janvier 1991 en échange de la libération discrète d’une prison belge du Syrien d’origine palestinienne, Saïd Al Nasser. L’homme avait tué un jeune enfant juif à Anvers en 1980 en lançant deux grenades sur un groupe de jeunes attendant à un arrêt de bus. Une rançon sous forme de deux bourses d’études à des étudiants palestiniens en Belgique, la poursuite d’un programme de 200 millions de FB en faveur des Palestiniens des territoires occupés et la confirmation d’un accord commercial général avec la Libye, gelé depuis 1983, furent le prix supplémentaire à payer.
Arrêtés pour espionnage par les Libyens, les Houtekins-Valente ne quittèrent jamais le sol libyen durant leur détention. Ils servirent de monnaie d’échange pour Tripoli et le Fatah-CR. “Je ne me sens pas bien quand je vois avec quels égards est reçu Kadhafi par les dirigeants européens”, déclarait en 2005, au journal “De Nieuwsblad”, Valérie Houtekins, sortant d’un silence de quatorze ans. Qui l’entendit ?
Christophe Lamfalussy

michel a écrit:

Imazibraine a écrit:

Mais Barbier ne l'a pas fait, parce qu'il réalisait qu'il serait liquidé par après (comme témoin gênant) ...

Ce qui ne veut pas dire que d'autres y ont été....

Auquel cas ils n'en sont pas revenus parce que les américains ont lancé une attaque contre la Libye.

En résumé ;
Octobre 1985, l'opération avait été en partie simulée lors d'un exercice.
Décembre 1985,  les attentats des aéroports de Rome et de Vienne. Kadhafi fait savoir qu'il continuera à financer la Fraction armée rouge, les Brigades rouges et l'IRA tant et aussi longtemps que les pays européens appuieraient les Libyens opposés à son régime.

5 avril 1986, des agents libyens font exploser une bombe dans une discothèque de Berlin-Ouest fréquentée par les soldats américains.
14 avril 1986, en représaille, c'est l'opération "El Dorado Canyon" dont le but officiel est justement "réduire les capacités de la Libye à aider et à entraîner des terroristes". A l'occasion de quoi ils larguent 60 tonnes de bombe sur la Libye.

Wiki

Said Al Nasr (alt. Said al-Nasser ; Nassar Saeed ) était un Palestinien syrien connu pour avoir organisé l' attaque contre le camp d'été d'Anvers le 28 juillet 1980 , dans laquelle il avait attaqué un groupe de 40 enfants juifs attendant avec leurs familles un autobus à prendre. leur camp d'été avec des grenades à main. Un garçon a été tué et huit autres ont été grièvement blessés.


Al Nasr est né en 1955. Il a été condamné en Belgique en 1980 pour avoir jeté deux grenades à la main à un groupe d' enfants juifs attendant un bus à Anvers le 27 juillet 1980.  Il était muni d'un passeport marocain. au moment de son arrestation.

Dans l' affaire Silco , le gouvernement belge a "échangé" le prisonnier Said Al Nasr emprisonné contre des membres de la famille Houtekins-Kets en 1990, une famille franco-belge enlevée en Libye - une demande du groupe militant Abu Nidal .

L' incident , Silco implique l'enlèvement de la Belgique - français familleHoutekins-Kets par le gouvernement libyen de leur yacht Silco dans les eaux de la mer Méditerranée , le 1er Août 1985.

La partie belge de la famille a été maintenue en captivité pendant près de cinq ans en Libye , mais elle a été libérée après la libération de Said Al Nasr(condamné au début des années 1980 pour avoir lancé une grenade dans un groupe d' enfants juifs à Anvers dans le Attaque au camp d’été d’Anvers en 1980 ) pour la famille, au Caire, en Égypte , le 12 janvier 1991. La partie française de la famille avait été libérée un peu plus tôt, lorsque le gouvernement français avait négocié sa liberté avec le gouvernement libyen. [1]

pierre a écrit:

La Libre
Mis à jour le vendredi 25 mars 2011

 ... Si l’on remonte un peu plus loin dans la ligne du temps, on trouve un autre personnage clé dans les relations belgo-libyennes : l’incontournable Robert Urbain. L’ex-maïeur socialiste de Boussu est depuis 1999 le président de la Chambre de commerce belgo-libyenne, où se côtoient des hommes d’affaires. Il a mené quatre missions commerciales en Libye depuis 2004. La Belgique exporte vers ce pays davantage qu’elle n’importe – pour 141 millions d’euros en 2008. L’Italie, l’Espagne, la France et l’Allemagne sont les principaux partenaires commerciaux de la Libye. Hormis l’Allemagne, tous les pays “partenaires” sont engagés dans la coalition.
Robert Urbain, le Borain qui roule ses “r”, a été ministre du Commerce extérieur à trois reprises dans les gouvernements Martens et Dehaene, entre 1981 et 1995. Et au grand dam des ministres des Affaires étrangères de l’époque (les CVP Léo Tindemans et Mark Eyskens), il a lancé une politique d’ouverture à la Libye alors même que les artificiers de Kadhafi – on l’apprendra plus tard – préparaient l’attentat contre l’avion de la Pan Am. Le bourgmestre de Boussu avait été approché par le chef du Bureau populaire de Libye à Bruxelles, Mohamed Al Faitouri, qui avait estimé que le PS était le plus réceptif des partis belges à la cause arabe. Urbain avait ses entrées en Tunisie, et il se rendit fréquemment à Djerba, lieu de villégiature des dignitaires libyens pendant le week-end. “La Libre Belgique” parla à l’époque de la “couscous connection de Robert Urbain”.
Premier essai en décembre 1988. Urbain veut aller en Libye, la première visite d’un officiel belge depuis 26 ans, mais y renonce en dernière minute en raison d’une opération au ménisque. En mai 1989, il annonce une nouvelle tentative, avec l’intention de “plaider la cause des otages belges s’il s’avère qu’ils sont en Libye”. Car on soupçonne fort la Libye, qui sert de permanence à plusieurs groupes terroristes, d’en savoir beaucoup sur le docteur belge Jan Cools, enlevé au sud-Liban en mai 1988, et plus encore sur la famille Houtekins-Valente enlevée en 1985 au large de la Libye à bord d’un vieux sardinier, le “Silco”.
L’enlèvement du premier a été revendiqué par un groupe inconnu, “Les soldats du Droit”, tandis que le kidnapping de la famille franco-belge est endossé en 1987 seulement par le groupe d’Abou Nidal, qui a son QG en Libye, avec l’appui de Kadhafi.
Jan Cools est libéré en Syrie peu après la visite de M.Urbain à Kadhafi en juin 1989. Ses ravisseurs se félicitent dans un communiqué des “bons rapports entre le Parti socialiste belge et la nation arabe et islamique” tandis qu’à Bruxelles, Léo Tindemans est furieux : “M.Urbain est parti en Libye sans mandat du gouvernement belge sur la question des otages belges et sans me consulter.”
La libération des Houtekins en 1991 sera l’épilogue d’une autre affaire, toujours obscure, où l’on vit le directeur général de la politique aux Affaires étrangères, Jan Hollants van Loocke, devoir démissionner pour avoir délivré un visa belge à Walid Khaled, l’homme qui avait revendiqué l’enlèvement. Les Houtekins furent libérés le 12 janvier 1991 en échange de la libération discrète d’une prison belge du Syrien d’origine palestinienne, Saïd Al Nasser. L’homme avait tué un jeune enfant juif à Anvers en 1980 en lançant deux grenades sur un groupe de jeunes attendant à un arrêt de bus. Une rançon sous forme de deux bourses d’études à des étudiants palestiniens en Belgique, la poursuite d’un programme de 200 millions de FB en faveur des Palestiniens des territoires occupés et la confirmation d’un accord commercial général avec la Libye, gelé depuis 1983, furent le prix supplémentaire à payer.
Arrêtés pour espionnage par les Libyens, les Houtekins-Valente ne quittèrent jamais le sol libyen durant leur détention. Ils servirent de monnaie d’échange pour Tripoli et le Fatah-CR. “Je ne me sens pas bien quand je vois avec quels égards est reçu Kadhafi par les dirigeants européens”, déclarait en 2005, au journal “De Nieuwsblad”, Valérie Houtekins, sortant d’un silence de quatorze ans. Qui l’entendit ?
Christophe Lamfalussy

Les autorités belges faisaient semblant d'apprendre l'enlèvement de la famille Houtekins-Kets-Valente seulement en novembre 1987, lors de la revendication par Abou Nidal, ce qui ne correspond probablement pas à la réalité. La famille avait déjà été enlevé par la marine libyenne le 1er août 1985, mais les Libiens n'avaient pas de chance : personne en Belgique avait remarqué la disparition de cette famille, parce qu'ils avaient déjà déménagé en France au milieu des années '70. Ils n'avaient plus aucun contact avec leur famille en Belgique. Tout indique cependant que le gouvernement belge était au courant de l'enlèvement du Silco, parce qu'en février 1987 un autre navire, le Carine II, est intercepté par la marine libienne avec deux Belges à bord : Frank B. et Mirella B, (pas le même nom de famille), ainsi qu'un Américaine, un Egyptien et un Allemand. Ils sont pris en otage pendant trois mois et demi par les libiens avant d'être libérés en juin 1987, donc à un moment où la population belge n'était pas encore au courant de l'affaire du Silco.
Aucune publicité est donné à l'affaire du Carine II en Belgique : vous trouverez seulement un petit article dans le journal le Monde Diplomatique (en France). Pourquoi a-t-on essayé de garder cette affaire secrète? S'agissait-il d'une operation par des services de renseignement dans le cadre de l'enlèvement de la famille Houtekins?

Tout indique que la finalité de l'enlèvement de la famille Houtekins était dès le début la libération de Said Al Nasser. Le piratage du Silco coïncide aussi avec le début de la dernière vague de hold-ups sur les Delhaizes en Belgique en 1985 ...

En ce qui concerne le visa délivré au terroriste Walid Khaled : le Ministre Marc Eyskens déclare en 2001 à Gazet van Antwerpen qu'il s'agissait d'un agent double des services de renseignement français. Et que le visa avait été délivré à leur demande. Mais Walid Khaled était chargé dès le début par Abou Nidal d'obtenir la libération de Said Al Nasser, détenu en Belgique. Cela implique que Walid Khale était également au courant de tous les moyens de pression utilisés par Abou Nidal pour obtenir cette libération... Y inclus les attaques sur les Delhaizes?

Si ce serait le cas, cela pourrait constituer un secret d'Etat, qui pourrait alors expliquer une certaine Raison d'Etat.

Dingue

Intéressant les liens entre Jean Thiriart et la Libye... Toujours ce même point commun : l'antisionisme.

Comment expliquer que Said Al Nasser n'ait été libéré qu'en ... 1990, si les attaques des TBW avaient pour objectif de le libérer ...

Il y a quelque chose de foireux dans cette présentation des faits ...

Clint Eastwood a écrit:

Comment expliquer que Said Al Nasser n'ait été libéré qu'en ... 1990, si les attaques des TBW avaient pour objectif de le libérer ...

Il y a quelque chose de foireux dans cette présentation des faits ...

La philosophie politique «on ne négocie pas avec les terroristes»???

Sans que les ravisseurs (le Fatah-CR d'Abou Nidal) aient adressé de nouveau signal au gouvernement belge, celui-ci se préparerait en effet, selon nos informations, à remettre en liberté le Palestinien condamné à perpétuité pour un attentat commis à Anvers en 1980 et libérable depuis le 27 juillet dernier: il a purgé le tiers de sa peine - puisque la perpétuité, chez nous, équivaut à trente années.

voir aussi https://www.lesoir.be/art/%252Fla-belgique-songe-a-liberer-nasser-al-said-et-signe-un-_t-19901208-Z03DPZ.html

michel a écrit:

La philosophie politique «on ne négocie pas avec les terroristes»???

Pas cette fois là.

C'est l’affaire du "Silco".
Un ancien bateau qui pêchait des sardines et qui a été reconvertit en bateau de plaisance.
Il a été arraisonné le 8 novembre 1987 au large de la bande de Gaza (et raison pour laquelle ils ne pouvaient pas être détenus en  Libye) par des membres de l'organisation palestinienne dissidente Fatah-Conseil révolutionnaire d'Abou Nidal. La famille belgo-francaise (5 belges et 3 francais) a été pris en otage.
Otages ; Emmanuel et Fernand Houtekins, Godelieve Kets, l'épouse d'Emmanuel, et leurs enfants Laurent et Valérie, la Française Jacqueline Valente et ses deux jeunes enfants, Marie-Laure et Virginie.


https://www.lesoir.be/art/%252Fimplique-dans-l-affaire-du-silco-un-responsable-du-grou_t-19950213-Z09407.html

Les otages belges ont servit de monnaie d’échange pour la libération de Said Al Nasser.

LE SOIR - 8/12/1990 à 00:00 Par Jean-Paul Collette a écrit:

La Belgique songe à libérer Nasser al Saïd et signe un accord avec la Libye
Cela bouge aussi pour les otages du «Silco»

Cela bouge, lentement, mais presque sûrement, du côté de Nasser al Saïd (puisque tel est son vrai nom). Donc du côté de la Belgique, dans l'affaire des quatre derniers otages du «Silco», Emmanuel, Godelieve, Valérie et Laurent Houtekins.

https://www.lesoir.be/art/%252Fla-belgique-songe-a-liberer-nasser-al-said-et-signe-un-_t-19901208-Z03DPZ.html

Clint Eastwood a écrit:

Comment expliquer que Said Al Nasser n'ait été libéré qu'en ... 1990, si les attaques des TBW avaient pour objectif de le libérer ...
Il y a quelque chose de foireux dans cette présentation des faits ...

Il n'y a aucun rapport entre les 2.

En réalité, les otages n'ont jamais été au Liban. Le Silco avait déjà été arraisoné le 1er aôut 1985, et pas au large de la bande de Gaza, mais devant la côte libienne.
La famille Houtekins le savait évidemment, mais le gouvernement belge leur a demandé de ne pas en parler.
Encore un petit secret d'Etat (mais déjà un secret public à l'époque).

Imazibraine a écrit:

La famille Houtekins le savait évidemment, mais le gouvernement belge leur a demandé de ne pas en parler.
Encore un petit secret d'Etat (mais déjà un secret public à l'époque).

Les libyens c'était le cadet de nos soucis en pleine crise des missiles