Après le Colruyt, la fusillade devant le 'Diable Amoureux'

le gendarme lacroix a tiré avec sont revolver en passant sa main entre la portiere
ouverte et la camionnette
il n y a que sa main et ses pied qui sont accessible au tireur d en face
la croix est touché a la main droite et son collègue au pied

les tueur ont tiré ou il fallait pour atteindre leur but !

pourquoi un des tueur laissse en vie lacroix et son complice tue son collègue

sur ce forum certain présume que les tbw tue inévitablement ,comme si c est
trois personnes n avaient qu une pensé...

ça a peut être coûté chers a la personne d avoir laissez en vie Lacroix ou
c était peut être prévu, ou cette personne (tbw coté lacroix)n avais pas l intention de
tuer qui que ce soi sauf pour protéger sa vie

x ,chronos et d autre sur ce forum demontre qu il y a un des trois tbw plus prompt a tue

(ça peut être une stratégie de défense en cas d arrestation ?)un tueur et deux voleurs

le fait de penser que quand les tbw on tirer sans tuer signifie" qu ils ont rater" est
une presomption ,une supposition !

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CQB241 a écrit:
ptk a écrit:

A hauteur du diable amoureux, le barage était visible.

La route Nivelles - Waterloo monte et descend continuellement.
Pour avoir refait la route de nuit récemment, les feux du carrefour du Cosmos sont déjà visibles au moment où on passe à hauteur du pont menant à Hougoumont.
Le Diable étant plus bas, on ne voit presque rien de là.


c est etonnant de faire un barage qui ce voit d aussi loin

Bonjour Gurkhov et merci pour votre intervention.

Je prends bonne note de votre remarque, qui ouvre une autre porte de discussion concomitante : nos forces de l'ordre étaient bien faiblardes (gens d'armes ou policiers) face à la vague de banditisme que nous avons connus entre 1978 et 1996 et en particulier, pendant les tueries dont débat.

En revanche, pour ma part, le fiasco de Nivelles (morts, truands dans la nature, butin ridicule) n'est que constitutif d'une réflexion plus globale sur les tueries et sur le relatif amateurisme des tbw, en dépit de leur violence.

- Faire des casses pour des produits de bouche mais se munir de voitures berlines et non de breaks
- Le centre-ville de Wavre qui sans une bonne dose de chance aurait pu être le fin prématurée de leur "épopée" (passage face à la BSR, circulation, passage à niveau, incapacité entre Tombeek et Koldam de fausser compagnie à une R4 en Santana).
- La cacophonie à leur sortie de Genval (ils mettent plusieurs personnes en joue sur la parking mais n'anticipent pas le conducteur de l'Audi qui tente -héroïquement ou inconsciemment- de les ralentir).
- Les attaques de Genval puis Fort-Jaco furent des erreurs dans une zone si urbanisée. Ils ont clairement sous-évalué les risques (ils apprendront de ces erreurs, la violence de 1985 étant, selon moi, consécutive aux avatars rencontrés).
- Ils attaquent munis de haches et de matraques (Beersel 2, Fort-Jaco, Halle), leur stock d'armes est limités -les armes de Dekaise déjà vendues?-
- Ils volent la Saab dans le garage Denuit et, étonnés par le berger allemand, vident un chargeur sur lui... un mercredi à 1h du matin dans un quartier résidentiel.
- Je n'insiste pas sur Beersel et Anderlues tant le coup du siège arrière et l'attaque par dépit de cette bijouterie modeste sont parlants.

En fait, je vois deux alternatives :
- Soit, Tueur, le meneur, est atteint d'héboïdophrénie et en phase dissociative aiguë, il recherche la confrontation avec les forces de l'ordre ou toute autre forme d'autorité.
- Soit, nos larrons ont beaucoup d'ambition dans leurs attaques mais n'ont ni la logistique, ni la capacité et ont pris énormément de risques. Le mélange de chance et la faible opposition qu'ils ont rencontré fit le reste...

Gurkhov a écrit:

Clint Eastwood a écrit:

On a beaucoup écrit sur le feu croisé délivré par les occupants de la Saab et de la Mercédès et je ne sais plus quel bonze de la PJ a décrété à ce sujet qu'ils auraient pu s'entretuer …, ce qui serait le signe d'un certain amateurisme et exclurait une formation militaire quelconque …

Lionel Ruth, citant un "expert venu assister à une reconstitution", il me semble.

C'est le militaire dans l'émission "Devoir d'Enquête" spéciale "tueurs du Brabant", si j'ai bonne mémoire.
Ils auraient pu... Mais ce n'est pas le cas

Citation :

Je vais prendre le problème à l'envers. J'ai vu des militaires faire de très mauvais tirs, et même ouvrir le feu sur leurs propres camarades ou alliés.

Ca s'appelle un tir "ami"...

Citation :

J'ai vu des unités d'élite utiliser des tactiques dangereuses.

C'est pour ca que ca s'appelle "des troupes d'élite".
Parce ce qu'elle savent faire ce que les autres ne savent pas faire...

Citation :

Une manoeuvre "de merde" n'exclut en rien des gens entraînés, même si on aimerait croire que c'est le cas.

La différence est que les troupes d'élites s'en sortent et les autres y restent....

Citation :

Surtout dans les années 80 où on apprenait un peu sur le tas, entre le karaté et le tir à la hanche.

Ce qui a valu aux miliciens l'inimitié des "carrières" parce qu'ils les surpassaient de loin.
Au point qu'on a dû leur donner bérets "de convenance" parce que ca faisait "mauvais genre" qu'ils n'en aient pas....

Citation :

Au combat, la chose est encore plus difficile. L'Eni bouge, ferraille, ne se laisse pas faire ... Sans compter le stress ... Les films qui circulent sur Youtube sont intéressants de ce point de vue-là. Il est rare de voir un combattant appliqué. Il est plus fréquent de les voir tirer au jugé de peur de se faire flinguer en prenant le temps d'ajuster correctement l'indien qui leur fait face et qui ne pense qu'à les scalper ...

En général, ils tirent même plus de balle qu'il peut y en avoir dans le chargeur (il suffit de compter pour s'en apercevoir)
La différence étant qu'on était en pleine guerre froide et ce n’était pas du cinéma.
Il fallait s'appliquer et donc beaucoup moins d'état d'âme. C'était plutôt le genre "Terminator" ...

Citation :

En effet.
Dans la plupart des entrainements tactiques, même de nos jours,

Dans les années 80 c'était encore teinté de l’esprit des années 60 'libération des moeurs) et il vaudrait mieux éviter ce sujet glissant, ca va encore faire jaser....

Clint Eastwood a écrit:

- Certes, durant ma propre formation militaire comme chef de peloton dans une unité d'élite souvent citée dans ce forum, on ne m'a jamais exposé pareille technique

Faisons simple et pour revisiter "les classiques", c'est pareil que pour les angles de tir et les fameuses "restrictions" qui les accompagnent (d'où une amplitude de tir maximale autorisée)...

J'aimerai avoir votre avis sur ce qui suit ;

Pour faire simple, quand on est actionnaire de la FN, ca permet aussi d'en sortir des armes prévues pour l'exportation à destination de l'Italie et les escamoter sans qu'elles soient répertoriées . Il y avait forcément "quelqu'un" qui les a prises et les a fait sortir de l'usine...

Un fait, c'est que depuis 1978, la mouvance "wallonne" détiens 50 % des actions de la FN (39.4 % pour la RW et 10,6 % pour le fond d'investissement wallon. Ce fond est aussi actionnaire de l'endroit où on entretien les moteurs de F16, lol)
http://www.patrimoineindustriel.be/public/files/publications/bulletins/piwb/articles/44/2000-10-11n44light.pdf

Mendez y travaille mais son ami MB (qui est aussi l'ami et l'ancien grade du corps du éminent membre du PSC) le tue

bernard1957 a écrit:

et même avec le matériel tir de nuit on en met encore à côté.  avec un pointeur laser on améliore mais il faut de la pratique

Le laser n'est pas apparut avant les années 80, minimum.
Il existait des balles "traçantes" notamment au phosphore et donc "incendiaire"

on en mettait en début et fin e chargeur, pour au début diriger le tir et signaler la fin de chargeur. cela évite de faire clic dans le vide.
pour le tir de nuit en matériel embarqué nous en avions dans les années 70 mais en individuel reçu en dotation (du moins chez nous) au début 90. pour les lasers ceux que j'ai vu c'est après 2000 pour l'Afghanistan

En https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t3179p425-nivelles-17-septembre-1983#126704 ,

deach a écrit:

Le témoignage de l'agent Ruys dit bien que lorsque la Golf de la police de Braine est arrivée un gars est sortit de la Mercedes (du côté passager) et qu'il avançait calmement vers la Golf en tirant avec son rg et en regardant les photos de la Saab tout l'arrière semble rempli de marchandises !
Donc en toute logique (sauf erreur) le chauffeur + le passager et quid du 3 ème ou des autres ???
Donc une 3 ème voiture !!!

> "...de l'arrière gauche" dit le témoin, donc sorti de son côté (= conducteur = gauche), longeant la Mercedes vers l'arrière.... gauche, pour se présenter finalement face à la Golf qui montait vers lui.

>> Le 3 ème ? Ben il est resté dans la Saab pardi !

>>> Concernant d'autres auteurs éventuels, et une autre voiture, c'est une autre question...
________________________________________________________
(re)voir https://www.youtube.com/watch?v=ALWUO9l5lXI&t=30m34s

Une nouvelle version des faits vient d'être publiée chez nous amis flamands:

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=2289&p=11

]

C'est malheureusement assez vague CP .

...

" il est sorti de la voiture ", expression que B .R utilise 3 fois ( 2 pour la mercedes, 1 pour la Saab ) est très claire et nullement imprécise.
Elle signifie bel et bien: " quitter la voiture par une portière" , et qu' effectivement la mercedes était occupée par plusieurs TBW.

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Idéalement il faudrait obtenir des aveux . Un de mystères de cet" cold case " est que personne n'a jamais parlé a part la prostituée bruxelloise au debut des années 80 .
Malheureusement on tourne toujours en rond et l'enquête a comme ambition surtout de fermer des pistes et donc reconnaitre en quelque sorte que les pistes étaient improductives .
Je pense qu'il faut d'urgence et prioritairement déplacer les commissions rogatoires vers le Nord de la France

13 a écrit:

Idéalement il faudrait obtenir des aveux . Un de mystères de cet" cold case " est que personne n'a jamais parlé a part la prostituée bruxelloise au debut des années 80 .
Malheureusement on tourne toujours en rond et l'enquête a comme ambition surtout de fermer des pistes et donc reconnaitre en quelque sorte que les pistes étaient improductives .
Je pense qu'il faut d'urgence et prioritairement déplacer les commissions rogatoires vers le Nord de la France

Mais il y en a eu des tas d'aveux et de dénonciations.
Merci de nous indiquer que c'est la " prostituée bruxelloise du début des années 80 " qui est la seule à être digne de foi.

Pas de dérapages ironiques svp du haut de votre grandeur .

Les autres aveux et dénonciations  ont été vérifiés soigneusement en general .Pas celui là

Ne me remerciez surtout pas je fais cela par charité chrétienne ( et amicale ) a votre égard ! Et soyez convaincu que je n'ai rien contre les pyrénéens ..

Adhérez solidairement a la poursuite de la piste française svp !

Je serais ravi de croire à votre piste 13 si vous ou J.P Adam nous montriez des éléments concrets.
Pour l'instant, on n'en a pas vu un seul.
Pour ma part, je pense que la vérité de l'essentiel du dossier se trouve à Alost .
Bonne chance pour vos recherches .

Allez sur la page FB des tueries ou se trouve en pdf un article paru il y a trois jours dans la Meuse avec différents éléments interessants .
Bonne lecture

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Assez d'accord avec le terme de  journalisme de pacotille . Cela illustre assez bien ce qu'on appelle "générer des antidonnées " c'est a dire rapporter de maniere non vérifiée et pseudo-factuelle des observations et des  "faits " qui sont exactement l'inverse de ce qui s'est passé réellement .

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