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 ROCKEFELLER (David)

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HERVE




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MessageSujet: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyLun 19 Oct 2015 - 16:37



https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Rockefeller

David Rockefeller, né le 12 juin 1915 à New York, est un homme d'affaires et milliardaire américain. Ancien président de la Chase Manhattan Bank, il dirige l'empire de sa famille, fondé à la fin du XIXe siècle par son grand-père John D. Rockefeller.

(...)


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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyLun 19 Oct 2015 - 16:39



https://www.youtube.com/watch?v=ZkIZ8buy4WA

Les Rockefeller, histoire d'une famille 1/3

https://www.youtube.com/watch?v=2_5mljyTLOc

Les Rockefeller, histoire d'une famille, 2/3

https://www.youtube.com/watch?v=vMWhAp6HZMY

Les Rockefeller, histoire d'une famille, 3/3


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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyLun 19 Oct 2015 - 16:42



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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyLun 19 Oct 2015 - 16:46



https://fr.scribd.com/doc/241043341/DNSA-00334-Kissinger-Violet


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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyMar 9 Aoû 2016 - 17:47


Au sein de la "trilatérale", il faut citer

Carlo Pesenti  ( https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2523p15-pesenti-carlo )

Baron Jean-Pierre Berghmans, Chairman of the Executive Board, Lhoist Group, Limelette, Belgium

_ _ _

http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/BOIRAL/10677

Novembre 2003, page 14

Trente ans d’une institution secrète

Pouvoirs opaques de la Trilatérale


Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973, dans un monde alors bipolaire, David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. Moins médiatisée que le forum de Davos, elle demeure très active, au travers d’un réseau d’influences aux multiples ramifications.


Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines (2). »

(...)

Olivier Boiral
Professeur à l’université Laval (Canada)

(1) Le Monde diplomatique a consacré plusieurs articles au sujet dans les années 1970. Lire en particulier Claude Julien, « Les sociétés libérales victimes d’elles-mêmes », et Diana Johnstone, « Une stratégie trilatérale », respectivement mars 1976 et novembre 1976. Lire aussi l’article de Georges-Albert Astre, « Le nouveau capitalisme », in Manière de voir, n° 72, en vente le 15 novembre.

(2) Le nombre des « distingués citoyens » admis au sein de la Commission a été par la suite élargi et comprend aujourd’hui plus de 300 membres. MM. Raymond Barre, Thierry de Montbrial, Denis Kessler ont participé à ses travaux. M. de Montbrial est également membre du « Groupe Bilderberg ».

(...)

_ _ _

Voir aussi :

http://archive.indymedia.be/news/2004/01/79874.html

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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyMar 21 Mar 2017 - 17:52


http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2017/03/20/le-dernier-petit-fils-de-john-rockefeller-david-rockefeller-est-mort-a-101-ans_5097823_3382.html

Le dernier petit-fils de John Rockefeller, David Rockefeller, est mort à 101 ans

Le Monde.fr avec AFP | 20.03.2017 à 19h09 • Mis à jour le 20.03.2017 à 19h14

Celui qui dirigea la Chase Manhattan Bank (devenue JP Morgan Chase) pendant près de 35 ans en avait fait l’une des banques américaines les mieux représentées à l’étranger.

L’une des plus puissantes dynasties américaines perd l’un de ses membres, David Rockefeller, puissant banquier, philanthrope et dernier petit-fils de John Rockefeller. Il est mort « tranquillement pendant son sommeil », suite à un arrêt cardiaque lundi 20 mars, à l’âge de 101 ans, a annoncé son porte-parole, Fraser Seitel.

« Il est resté actif jusqu’au dernier moment », a souligné M. Seitel, qui travaillait avec lui depuis 1970. « Il vivait chaque jour au maximum », a-t-il ajouté. Avec sa femme, Margaret, décédée en 1996, David Rockefeller avait 6 enfants, 10 petits-enfants et 10 arrière-petits-enfants. Mais aucun de ses descendants « n’a atteint ni peut-être aspiré à avoir sa stature », soulignait le New York Times.

Né le 12 juin 1915, David Rockefeller dirigea pendant près de 35 ans, jusqu’en 1980, la Chase Manhattan Bank, devenue depuis JP Morgan Chase. Sa fortune était estimée à 3,3 milliards de dollars (3,07 milliards d’euros) au dernier classement des milliardaires publié lundi par le magazine Forbes.

Grand voyageur, ayant rencontré plus de 200 chefs d’Etat dans près de 100 pays, selon sa biographie officielle, il avait fait de sa banque l’un des établissements américains les mieux représentés à l’étranger. Chase fut ainsi la première banque à ouvrir des bureaux en Russie puis en Chine continentale.

Homme d’influence et philanthrope

David Rockefeller était aussi l’une des figures les plus en vue du monde des affaires américain. Il fut de ceux qui défendaient la responsabilité sociale des entreprises – poussant notamment Chase à jouer un rôle important pour aider la ville de New York à sortir de la crise fiscale qui l’avait ruinée dans les années 1970.

Deux présidents américains, le démocrate Jimmy Carter et le républicain Richard Nixon, lui avaient proposé le poste de secrétaire au Trésor, rappelait lundi le New York Times. Il a décliné à deux reprises.

Reprenant le flambeau allumé par son grand-père, John, fondateur de la compagnie pétrolière Standard Oil, puis porté par son père, également prénommé John, David Rockefeller était aussi un grand philanthrope.

Ancien de Harvard, il donna quelque 25 millions de dollars (23,25 millions d’euros) à la célèbre université en 1994. En 2005, pour son 90e anniversaire, il avait aussi promis 5 millions de dollars (4,6 millions d’euros) par an au Museum of Modern Art de New York, le MoMa.

_ _ _ _ _ _


Mort de David Rockefeller, puissant banquier et philanthrope

Le dernier petit-fils de John Rockefeller est mort, lundi 20 mars, à l’âge de 101 ans.

LE MONDE | 21.03.2017 à 10h18 • Mis à jour le 21.03.2017 à 10h22 | Par Stéphane Lauer (New York, correspondant)

Banquier aussi puissant que discret et généreux mécène du Museum of Modern Art de New York (MoMa), David Rockefeller est mort, lundi 20 mars, à l’âge de 101 ans. Le dernier petit-fils de John Rockefeller, le fondateur de la Standard Oil, à l’origine de la dynastie familiale, s’est éteint dans son sommeil dans sa résidence de Pocantico Hills, au nord de New York.

Né le 12 juin 1915 à New York, M. Rockefeller était le sixième enfant de John Davidson Rockefeller, le fils unique du fondateur de la dynastie, et d’Abigail Greene Aldrich. Diplômé d’Harvard en 1936, il obtient un doctorat d’économie de l’université de Chicago quatre ans plus tard. Il commence sa carrière comme secrétaire du maire de New York, Fiorello La Guardia, poste qu’il occupe à titre gracieux pour soutenir l’effort de guerre américain, avant de s’engager en 1943 dans l’armée pour servir dans les renseignements en Afrique du Nord et en France, ce qui lui permet d’apprendre à parler couramment français. En 1946, M. Rockefeller entre à la Chase National Bank, présidée à l’époque par son oncle, Winthrop Aldrich. Il grimpe rapidement les échelons pour se retrouver vice-président en 1955, à la suite de la fusion avec la Bank of the Manhattan Company, puis patron de l’ensemble, de 1961 à 1980, et, enfin, président jusqu’à sa retraite en 1981. Le groupe, qui prendra en 2000 son nom actuel, JPMorgan Chase, sera l’un des principaux financeurs de l’industrie pétrolière et un acteur incontournable des conseils d’administration des compagnies issues de l’éclatement de la Standard Oil, à commencer par Exxon Mobil.

Un réseau de relations digne de celui d’un chef d’Etat

Sous sa direction, la banque devient l’un des piliers du système bancaire international en tissant un puissant réseau à travers le monde. M. Rockefeller est le premier à ouvrir une filiale de banque américaine en Egypte, juste après la crise de Suez en 1956, puis en Union soviétique, en 1973, tandis que la Chase Manhattan Bank devient l’intermédiaire aux Etats-Unis de la National Bank of China.

Il tisse ainsi au fil du temps un réseau de relations digne de celui d’un chef d’Etat. Sollicité par Richard Nixon, puis par Jimmy Carter pour devenir secrétaire au Trésor, M. Rockefeller refusa à chaque fois, préférant faire de la politique à sa manière, c’est-à-dire à la tête de sa banque. Il noua ainsi des contacts discrets avec les leaders noirs de l’opposition au régime d’apartheid en Afrique du Sud, tout en faisant affaire avec le pouvoir blanc. En octobre 1979, il n’hésita pas à aider le chah d’Iran à se faire hospitaliser à New York, une initiative qui servit de prétexte à la prise d’otages de l’ambassade américaine à Téhéran. Le banquier fut également un farouche supporteur de l’aide aux pays du tiers-monde pour en faire autant de débouchés potentiels pour les Etats-Unis.

A la tête d’une fortune évaluée aujourd’hui à 3,3 milliards de dollars, M. Rockefeller consacra la dernière partie de sa vie à la philanthropie au profit notamment d’Harvard, l’Université Rockefeller (New York) ou bien encore du MoMa, dont sa mère était déjà l’un des principaux mécènes. Les trois institutions devraient toucher 100 millions de dollars chacune à la suite de son décès. En 1998, il s’est vu décerner la Médaille présidentielle de la liberté, la plus haute distinction civile américaine.

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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyMar 21 Mar 2017 - 18:13


https://www.nytimes.com/2017/03/20/business/david-rockefeller-dead-chase-manhattan-banker.html?_r=0

David Rockefeller, Philanthropist and Head of Chase Manhattan, Dies at 101

By JONATHAN KANDELL     MARCH 20, 2017

David Rockefeller, the banker and philanthropist with the fabled family name who controlled Chase Manhattan bank for more than a decade and wielded vast influence around the world for even longer as he spread the gospel of American capitalism, died on Monday morning at his home in Pocantico Hills, N.Y. He was 101.

A family spokesman, Fraser P. Seitel, confirmed the death.

Chase Manhattan had long been known as the Rockefeller bank, although the family never owned more than 5 percent of its shares. But Mr. Rockefeller was more than a steward. As chairman and chief executive throughout the 1970s, he made it “David’s bank,” as many called it, expanding its operations internationally.

His stature was greater than any corporate title might convey, however. His influence was felt in Washington and foreign capitals, in the corridors of New York City government, in art museums, in great universities and in public schools.

Mr. Rockefeller could well be the last of a less and less visible family to have cut so imposing a figure on the world stage. As a peripatetic advocate of the economic interests of the United States and of his own bank, he was a force in global financial affairs and in his country’s foreign policy. He was received in foreign capitals with the honors accorded a chief of state.

He was the last surviving grandson of John D. Rockefeller, the tycoon who founded the Standard Oil Company in the 19th century and built a fortune that made him America’s first billionaire and his family one of the richest and most powerful in the nation’s history.

As an heir to that legacy, David Rockefeller lived all his life in baronial splendor and privilege, whether in Manhattan (when he was a boy, he and his brothers would roller skate along Fifth Avenue trailed by a limousine in case they grew tired) or at his magnificent country estates.

Imbued with the understated manners of the East Coast elite, he loomed large in the upper reaches of a New York social world of glittering black-tie galas. His philanthropy was monumental, and so was his art collection, a museumlike repository of some 15,000 pieces, many of them masterpieces, some lining the walls of his offices 56 floors above the streets at Rockefeller Center, to which he repaired, robust and active, well into his 90s.

In silent testimony to his power and reach was his Rolodex, a catalog of some 150,000 names of people he had met as a banker-statesman. It required a room of its own beside his office.

Spread out below that corporate aerie was a city he loved and influenced mightily. He was instrumental in rallying the private sector to help resolve New York City’s fiscal crisis in the mid-1970s. As chairman of the Museum of Modern Art for many years — his mother had helped found it in 1929 — he led an effort to encourage corporations to buy and display art in their office buildings and to subsidize local museums. And as chairman of the New York City Partnership, a coalition of business executives, he fostered innovation in public schools and the development of thousands of apartments for lower-income and middle-class families.

He was always aware of the mystique surrounding the Rockefeller name.

“I have never found it a hindrance,” he once said with typical reserve. “Obviously, there are times when I’m aware that I’m treated differently. There’s no question that having financial resources, which, thanks to my parents, I learned to use with some restraint and discretion, is a big advantage.”

An Ambassador for Business

With his powerful name and his zeal for foreign travel — he was still going to Europe into his late 90s — Mr. Rockefeller was a formidable marketing force. In the 1970s, his meetings with Anwar el-Sadat of Egypt, Leonid Brezhnev of the Soviet Union and Zhou Enlai of China helped Chase Manhattan become the first American bank with operations in those countries.

“Few people in this country have met as many leaders as I have,” he said.

Some faulted him for spending so much time abroad. He was accused of neglecting his responsibilities at Chase and failing to promote aggressive, visionary managers. Under his leadership, Chase fell far behind its rival Citibank, then the nation’s largest bank, in assets and earnings. There were years when Chase had the most troubled loan portfolio among major American banks.

“In my judgment, he will not go down in history as a great banker,” John J. McCloy, a Rockefeller friend and himself a former Chase chairman, told The Associated Press in 1981. “He will go down as a real personality, as a distinguished and loyal member of the community.”

Mr. Rockefeller’s forays into international politics also drew criticism, notably in 1979, when he and former Secretary of State Henry A. Kissinger persuaded President Jimmy Carter to admit the recently deposed shah of Iran into the United States for cancer treatment. The shah’s arrival in New York enraged revolutionary followers of Ayatollah Ruhollah Khomeini, provoking them to seize the United States Embassy in Iran and hold American diplomats hostage for more than a year. Mr. Rockefeller was also assailed for befriending autocratic foreign leaders in an effort to establish and expand his bank’s presence in their countries.

“He spent his life in the club of the ruling class and was loyal to members of the club, no matter what they did,” the New York Times columnist David Brooks wrote in 2002, citing the profitable deals Mr. Rockefeller had cut with “oil-rich dictators,” “Soviet party bosses” and “Chinese perpetrators of the Cultural Revolution.”

Still, presidents as ideologically different as Mr. Carter and Richard M. Nixon offered him the post of Treasury secretary. He turned them both down.

After the death in 1979 of his older brother Nelson A. Rockefeller, the former vice president and four-term governor of New York, David Rockefeller stood almost alone as a member of the family with an outsize national profile. Only Jay Rockefeller, a great-grandson of John D. Rockefeller, had earned prominence, as a governor and United States senator from West Virginia. No one from the family’s younger generations has attained or perhaps aspired to David Rockefeller’s stature.

“No one can step into his shoes,” Warren T. Lindquist, a longtime friend, told The Times in 1995, “not because they aren’t good, smart, talented people, but because it’s just a different world.”

A Privileged Life

The youngest of six siblings, David Rockefeller was born in Manhattan on June 12, 1915. His father, John D. Rockefeller Jr., the only son of the oil titan, devoted his life to philanthropy. His mother, Abby Aldrich Rockefeller, was the daughter of Nelson Aldrich, a wealthy senator from Rhode Island.

Besides Nelson, born in 1908, the other children were Abby, who was born in 1903 and died in 1976 after leading a private life; John D. Rockefeller III, who was born in 1906 and immersed himself in philanthropy until his death in an automobile accident in 1978; Laurance, born in 1910, who was an environmentalist and died in 2004; and Winthrop, born in 1912, who was governor of Arkansas and died in 1973.

David grew up in a mansion at 10 West 54th Street, the largest private residence in the city at the time. It bustled with valets, parlor maids, nurses and chambermaids. For dinner every night, his father dressed in black tie and his mother in a formal gown.

Summers were spent at the 107-room Rockefeller “cottage” in Seal Harbor, Me., and weekends at Kykuit, the family’s country compound north of New York City in Tarrytown, N.Y. The estate was likened to a feudal fief. As Mr. Rockefeller wrote in his autobiography, “Memoirs” (2002), “Eventually the family accumulated about 3,400 acres that surrounded and included almost all of the little village of Pocantico Hills, where most of the residents worked for the family and lived in houses owned by Grandfather.”

In that bucolic setting, he developed a fascination for insects that would lead to his building one of the largest beetle collections in the world.

David was 21 when John D. Rockefeller died. “He told amusing stories and sang little ditties,” Mr. Rockefeller recalled in 2002. “He gave us dimes.”

Mr. Rockefeller’s sense of noblesse oblige was heightened by his early education at the experimental Lincoln School in Manhattan, founded by the American philosopher John Dewey and financed by the Rockefeller Foundation to bring together children from varied social backgrounds. He went on to study at Harvard, receiving his bachelor’s degree in 1936, and then spent a year at the London School of Economics, a hotbed of socialist intellectuals. Mr. Rockefeller was awarded a Ph.D. in economics from the University of Chicago in 1940.

Moved by the Great Depression at home and abroad, he stated in his doctoral thesis that he was “inclined to agree with the New Deal that deficit financing during depressions, other things being equal, is a help to recovery.” The notion that a Rockefeller would take such a liberal economic view was major news; the family, rock-ribbed Republican, was known for its fierce opposition to President Franklin D. Roosevelt, the New Deal’s author.

After receiving his doctorate, Mr. Rockefeller became a secretary to Fiorello H. La Guardia, New York’s pugnacious, liberal Republican mayor. In 1940, he married Margaret McGrath, known as Peggy, whom he had met at a dance seven years earlier, when he was a Harvard freshman and she was a student at the Chapin School in New York. His wife, a dedicated conservationist, died at 80 in 1996. They had six children: David Jr., Abby, Neva, Margaret, Richard and Eileen. A complete list of his survivors was not immediately available.

Mr. Rockefeller enlisted in the Army in 1942, attended officer training school and served in North Africa and France during World War II. He was discharged a captain in 1945.

He began his banking career in 1946 as an assistant manager with the Chase National Bank, which merged in 1955 with the Bank of Manhattan Company to become Chase Manhattan.

Banking in the early postwar era was a gentleman’s profession. Top executives could attend to outside interests, using social contacts to cultivate clients while leaving day-to-day management to junior officers.

Mr. Rockefeller found plenty of time for such activities. In the late 1940s, he replaced his mother on the Museum of Modern Art’s board and eventually became its chairman. He courted art collectors. In 1968, he put together a syndicate, including his brother Nelson and the CBS chairman, William S. Paley, to buy Gertrude Stein’s collection of modern art. David and Peggy Rockefeller’s own prized paintings — by Cézanne, Gauguin, Matisse, Picasso — were lent to the museum permanently.

Putting a Bank in Order

Mr. Rockefeller’s rise in banking was swift. By 1961, he was president of Chase Manhattan and its co-chief executive with George Champion, the chairman. Promoting expansion overseas, Mr. Rockefeller clashed with Mr. Champion, who thought that the bank’s domestic business was more important. After Mr. Rockefeller replaced Mr. Champion as chairman and sole chief executive in 1969, he was able to enlarge the bank’s presence on almost every continent. He said his brand of personal diplomacy, meeting with heads of state, was crucial in furthering Chase’s interests.

“There were many who claimed these activities were inappropriate and interfered with my bank responsibilities,” Mr. Rockefeller wrote in his autobiography. “I couldn’t disagree more.” His “so-called outside activities,” he insisted, “were of considerable benefit to the bank both financially and in terms of its prestige around the world.”

By 1976, Chase Manhattan’s international arm was contributing 80 percent of the bank’s $105 million in operating profit. But instead of vindicating Mr. Rockefeller’s avidity for banking abroad, those figures underlined Chase’s lagging performance at home. From 1974 to 1976, its earnings fell 36 percent while those of its biggest rivals — Bank of America, Citibank, Manufacturers Hanover and J.P. Morgan — rose 12 to 31 percent.

The 1974 recession hammered Chase, which had an unusually large portfolio of loans in the depressed real estate industry. It also owned more New York-related securities than any other bank in the mid-1970s, when the city was edging toward bankruptcy. And among major banks, Chase had the largest portfolio of nonperforming loans.

Chase also got caught up in a scandal in 1974. An internal audit discovered that its bond trading account was overvalued by $34 million and that losses had been understated. A resulting $15 million drain in net income tarnished the bank’s image. In 1975, the Federal Reserve and the comptroller of the currency branded Chase a “problem” bank.

Even as he struggled to reverse Chase Manhattan’s decline, Mr. Rockefeller found time to address New York City’s financial problems. His involvement in municipal affairs dated to the early 1960s, when, as founder and chairman of the Downtown-Lower Manhattan Association, he recommended that a World Trade Center be built.

In 1961, largely at his instigation, Chase opened its 64-story headquarters in the Wall Street area, a huge investment that helped revitalize the financial district and encouraged the World Trade Center project to proceed.

In the mid-1970s, with New York City facing a default on its debts because of sluggish economic growth and uncontrolled municipal spending, Mr. Rockefeller helped bring together federal, state and city officials with New York business leaders to work out an economic plan that eventually pulled the city out of its crisis.

At the same time, he put his bank’s affairs in order. By 1981, he and his protégé Willard C. Butcher had restored Chase Manhattan to full health. He yielded his chairmanship to Mr. Butcher that year.

From 1976 to 1980, the bank’s earnings more than doubled, and it outperformed its archrival, Citibank, in returns on assets, a critical indicator of a bank’s profitability. Even after retiring from active management in 1981, Mr. Rockefeller continued to serve Chase as chairman of its international advisory council and to act as the bank’s foreign diplomat. He did not hesitate to criticize United States officials for policies he considered mistaken.

He was notably harsh about President Carter. In 1980, he told The Washington Post that Mr. Carter had not done “what most other countries do themselves, and expect us to do — namely, to make U.S. national interests our prime international objective.”

But Mr. Rockefeller also played the gadfly to Mr. Carter’s far more conservative successor, President Ronald Reagan. While the Reagan administration was supporting anti-Marxist guerrillas in Africa, Mr. Rockefeller took a 10-nation tour of the continent in 1982 and declared that African Marxism was not a threat to the United States or to American business interests.

Late in life, Mr. Rockefeller was involved in controversies over Rockefeller Center, the Art Deco office building complex his father built in the 1930s. In 1985, the Rockefeller family mortgaged the property for $1.3 billion, pocketing an estimated $300 million. In 1989, the family sold 51 percent of the Rockefeller Group, which owned Rockefeller Center and other buildings, to the Mitsubishi Estate Company of Japan. Mitsubishi later increased its share to 80 percent.

The purchase represented the high tide of a buying spree of American properties by Japanese corporations, and it opened the family to criticism that it had surrendered an important national symbol to them. When Japan’s economic bubble burst in the early 1990s and Mitsubishi was forced to declare Rockefeller Center in bankruptcy in 1995, Mr. Rockefeller was criticized again, this time for allowing the site to slip into financial ruin.

Before the year ended, Mr. Rockefeller put together a syndicate that bought control of Rockefeller Center. Then, in 2000, it was sold in a $1.85 billion deal that severed the center’s last ties with the Rockefeller family.

As an octogenarian, Mr. Rockefeller, whose fortune was estimated in 2012 at $2.7 billion, increasingly devoted himself to philanthropy, donating tens of millions of dollars in particular to Harvard, the Museum of Modern Art and the Rockefeller University, which John D. Rockefeller Sr. founded in 1901.

Even in his 90s, David Rockefeller continued to work at a pace that would tire a much younger person. He spent more than half the year traveling on behalf of Chase or groups like the Council on Foreign Relations and the Trilateral Commission. In 2005, when he was interviewed in his offices at Rockefeller Center, he remained physically active, working with a trainer at the center’s sports club.

He continued to collect art, including hundreds of paintings as well as furniture and works in colored glass, porcelain and petrified wood.

That same year, he pledged a $100 million bequest to the Museum of Modern Art. Such giving became grist for the society pages. One celebrity-filled fund-raising gala at the museum in 2005 drew 850 people paying as much as $90,000 for a table. The occasion was Mr. Rockefeller’s 90th birthday, and at the end of the evening, he was presented with a birthday cake modeled after his house in Maine. Then it was off to a week in southern France to continue the celebration with 21 members of his family.

With the book “Memoirs” in 2002, he became, at age 87, the first in three generations of Rockefellers to publish an autobiography. Asked why he wrote it, he replied in his characteristic reserved tone, “Well, it just occurred to me that I had led a rather interesting life.”

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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptySam 2 Mai 2020 - 13:33


America for Sale: Fighting the New World Order, Surviving a Global ...
Jerome R. Corsi


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MessageSujet: Re: ROCKEFELLER (David)   ROCKEFELLER (David) EmptyLun 25 Mai 2020 - 9:13


https://www.stelling.nl/kleintje/actueel/overzicht-actueel/de-beverwijk-files-004

(traduction)

Ce n'est pas un hasard si David Rockefeller a commencé à planifier une crise pétrolière en 1972. D'après un mémorandum secret de Standard Oil, il semble que des préparatifs étaient déjà en cours en 1968 pour la réduction de la production. À cette époque, les conseils d'administration des compagnies pétrolières parlaient d'un "excédent imminent en 1973".
Rockefeller a dû prendre des mesures immédiates et a élaboré des plans avec son protégé Henry Kissinger pour éviter un effondrement total du marché du pétrole.
À la demande de David Rockefeller, Kissinger a rejoint le gouvernement Nixon en 1968 en tant que conseiller à la sécurité nationale. Nelson Rockefeller a été utilisé pour obtenir de Nixon des promesses de soutien financier. Cela a donné à Rockefeller un cheval de Troie au sein du gouvernement américain pour couvrir politiquement ses plans pétroliers.

Ces plans avaient une très grande portée. Non seulement Rockefeller était prêt à provoquer une guerre au Moyen-Orient. Il a également pris des mesures au niveau mondial pour obtenir un soutien politique. Nous l'avons vu dans l'article précédent avec la formation du groupe Prométhée. Les Pays-Bas et la Belgique ont également joué un rôle majeur dans la planification avec les ports de transit de Rotterdam et d'Anvers et les grands dépôts pétroliers de Botlek et de Maasvlakte. Rockefeller a obtenu la coopération de la famille royale néerlandaise lors de la conférence de Bilderberg en 1972. Le prince Bernhard ne posait aucun problème, il avait déjà été soudoyé plusieurs fois par Rockefeller et, en raison de la grande importance de la famille royale néerlandaise à Shell, il était également assuré du soutien du couple princier de l'époque, Beatrix et Claus.

Un scénario différent a été élaboré pour la Belgique : le roi Baudouin semblait être incorruptible, les flèches étaient donc dirigées vers le prince Albert de Belgique de l'époque. Comme prévu, il était sensible à une injection financière et voulait également coopérer à un coup d'État contre son frère. Ces plans ont atteint une étape importante, avec le ministre de la défense Paul Vanden Boeynants comme exécutant. Après le coup d'État, le Prince Albert devait être installé comme nouveau roi, soi-disant dans l'intérêt national. Si les choses tournaient mal, Vanden Boeynants serait tenu pour responsable. Le coup d'État n'a pas eu lieu, car le roi Baudouin a été soudoyé contre toute attente. Cette histoire a été suivie en 1985, ce qui a entraîné de nombreux décès. Vous le comprenez probablement déjà ? Les tueries du Brabant y ont joué un rôle.

Comment cela s'est-il passé avec la soi-disant crise du pétrole ?

La note de service de Standard Oil mentionnée ci-dessus a permis de déduire que la production a diminué partout dans le monde. Dans la note secrète, cependant, on a exprimé le souhait que dans deux pays où Standard Oil avait ses principaux investissements, il n'y aurait pas de restrictions. Il s'agit de l'Arabie Saoudite et de l'Iran, alors encore la Perse. Non, l'Iran n'a pas participé au soi-disant embargo pétrolier arabe, non pas pour aider les compagnies mais parce que l'Iran travaillait à la construction d'un oléoduc de l'Iran vers la Turquie, afin de pouvoir fournir du pétrole iranien à l'Europe occidentale sans le long détour par l'Afrique du Sud. Les compagnies pétrolières concernées craignaient que cet oléoduc ne soit la raison d'une trop forte pression pour augmenter la production. Il fallait empêcher cela.
Il y avait d'autres rapports secrets à l'époque. Un rapport secret du gouvernement américain a été rendu public par le Wall Street Journal. Il a constaté qu'une série de sociétés en Irak foraient délibérément à de mauvaises profondeurs. Les bulldozers étaient utilisés pour rendre invisibles les trous de sonde déjà creusés. Ces manœuvres trompeuses ont été menées par l'Iraq Petroleum Company, qui a coopéré avec Exxon (Esso), Mobil, Shell et la Compagnie Française des Pétroles.
Tout cela avait pour but de faire monter les prix en créant artificiellement des pénuries. Une histoire très différente de celle du mémorandum. Il parle d'un excédent imminent de pétrole brut disponible, qui était attendu plus de cinq ans plus tôt pour 1973. D'autres "excédents" étaient attendus en 1978, lorsque le pétrole de l'Arctique, de l'Australie, de la mer du Nord et de l'Indonésie serait disponible. Une stratégie de restrictions a été élaborée par les grandes compagnies pétrolières, avec l'intention d'augmenter encore plus les profits sous le couvert de la "rareté".

Les principaux membres de la commission du Sénat américain chargée d'enquêter sur le comportement des grandes compagnies pétrolières internationales dans le conflit du Moyen-Orient leur ont reproché de ne rien faire pour empêcher les cheiks arabes du pétrole d'augmenter les prix. Ils ont même encouragé ces augmentations, en supposant que les profits augmenteraient avec la hausse des prix du pétrole. Le sénateur Church a été très direct à ce sujet : "Plus la pénurie d'énergie est importante, plus les Saoudiens augmentent leurs prix et plus les dividendes versés par Aramco aux actionnaires sont élevés". Au vice-président d'Aramco, Johnson, Church a posé la question suivante : "Pensez-vous qu'il soit normal que les profits augmentent avec le prix du pétrole ? Johnson : "Oui monsieur, je pense que c'est normal, je ne vois pas en quoi c'est différent.

Que les prix ont augmenté en conséquence ?

En 1973, Shell a réalisé un bénéfice net de 4 milliards, soit 380 millions de florins. Selon le directeur anglais de Shell, ce profit devait être maintenu car Shell avait besoin d'argent pour maintenir l'approvisionnement en énergie. Au cours du dernier trimestre de 1973, à la suite de l'augmentation du prix du baril (159 litres) de 1 dollar, rien que le 1er octobre 1973, Shell a réalisé un bénéfice de 600 millions de dollars. Le 1er janvier 1974, une augmentation du prix du baril de 4 dollars s'y est ajoutée, de sorte que les bénéfices boursiers du premier trimestre 1974 ont été gigantesques.

Dans le rapport annuel de 1973, la direction de Shell s'est trompée de toutes sortes de façons pour enlever l'impression de racleurs et de profiteurs impitoyables de la crise pétrolière, qui avait fait tripler les bénéfices de 1973. Les bénéfices de 1973 et 1974 ont été versés sous forme de dividendes aux (grands) actionnaires, en l'occurrence la maison d'Orange et le baron Edwin de Rotschild, qui était également (grand) actionnaire d'autres compagnies pétrolières.

Fin mars 1974, Shell a exigé une nouvelle augmentation des prix du pétrole et de l'essence. D'autres augmentations seraient utilisées, sauf pour maintenir les profits très élevés, pour financer le public, les acheteurs de pétrole, les investissements gigantesques dans de nouveaux gisements, en mer du Nord, dans le gaz de schiste, dans l'Arctique, etc.
En plus des énormes augmentations de prix, Shell voulait également recevoir des contributions du gouvernement pour investir dans de nouveaux sites d'extraction du pétrole.

En Belgique aussi, le conflit sur le prix du pétrole s'est encore aggravé en mars 1974, après que les compagnies pétrolières aient demandé une nouvelle augmentation du prix du litre d'essence. Après que le gouvernement sortant de Leburton eut accepté une augmentation du prix de la tonne de pétrole brut, le portant à 1239 francs, la Fédération pétrolière - l'organisme qui chapeaute les compagnies pétrolières - a brutalement exigé une augmentation à 1335 francs la tonne. Fin mars 1974, le gouvernement a annoncé qu'il ne souhaitait pas revenir à la décision antérieure, mais qu'il souhaitait discuter avec les compagnies pétrolières de la répartition de la hausse du prix du pétrole entre les différents produits pétroliers (essence, mazout, etc.). Cette communication équivalait à de nouvelles concessions de la part du gouvernement belge. Même cela n'a pas aidé. Les compagnies pétrolières ont continué à faire des menaces.

Les dimanches sans voiture n'ont eu aucun effet. La consommation d'essence n'a pas diminué. Afin de contourner l'interdiction de conduire le dimanche sans voiture, les gens commençaient à conduire le samedi et rentraient tard le dimanche soir, de sorte que la consommation ne diminuait pas du tout. Le moment de l'entrée dans les dimanches sans voiture a été mal choisi. La nécessité pratique faisait défaut car les réserves de pétrole se sont avérées plus que suffisantes. Lorsque le gouvernement s'est rendu compte que ces mesures étaient superflues, les restrictions ont été levées. De plus, les mesures étaient inefficaces. On peut se demander pourquoi la Belgique a rejoint les dimanches sans voiture. Il n'y avait aucune raison. La Belgique n'a pas été touchée par le boycott. Solidarité avec les Pays-Bas ? Ou bien la vraie raison était-elle le paiement généreux au Roi Baudouin et au Prince Albert ? Nous y reviendrons.

Pour les pays de l'OPEP, la hausse des prix du pétrole a signifié un énorme coup de fouet économique. Les pays arabes ont reçu beaucoup d'argent. Entre 1972 et 1977, les revenus pétroliers des pays de l'OPEP sont passés de 23 milliards de dollars à 140 milliards de dollars. Pour la Standard Oil des Rockefeller et les autres compagnies, les profits sont immenses. Il n'y avait jamais eu de pénurie ou de diminution de l'offre. Au contraire, l'offre était plus importante que jamais. Ce que la plupart des gens ne savent pas, c'est que ce sont les compagnies pétrolières qui déterminent l'offre et non les pays producteurs de pétrole. Jamais auparavant autant de pétrole n'avait été stocké dans Europoort que pendant le boycott pétrolier ! Tous les dépôts de pétrole étaient surchargés de pétrole acheté à bas prix qui était ensuite vendu au prix principal, les quantités étant réparties entre les groupes participants. La première grande action du groupe Prométhée a été un succès retentissant. Il n'y a que pour l'Ouest que c'était dur à avaler et que la crise pétrolière a entraîné un véritable ralentissement économique.


Dans le prochain épisode : Une nouvelle action de Prométhée. La démission du vice-président américain Spiro Agnew pour corruption présumée et l'instigation de l'affaire du Watergate, commandée par David Rockefeller. Tout cela pour amener Gerald Ford et Nelson Rockefeller au pouvoir en Amérique. La suite de l'histoire sur la corruption de la famille royale belge et ses conséquences. La formation en Belgique du véritable groupe G et la vérité sur les tueurs du Brabant. Un coin du voile ou toute l'histoire ?

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https://www.stelling.nl/kleintje/actueel/overzicht-actueel/de-beverwijk-files-006

(traduction)

Dans l'épisode précédent, nous avons vu comment David Rockefeller est parvenu à s'approprier le pouvoir en exerçant une grande influence dans le groupe Bilderberg, la création du groupe "Prométhée" et la mise en place de la Commission trilatérale. Cela a créé un réseau caché sur trois continents qui a été utilisé pour un exercice de pouvoir mondial.

David Rockefeller est mort le 20 mars 2017 à l'âge de 101 ans et était considéré comme un philanthrope, un parangon de la charité, qui n'avait que le meilleur pour l'humanité. Cette image était une illusion que les Rockefeller aiment encore aujourd'hui maintenir. Derrière cette façade soigneusement construite se cachait une personne complètement différente. Il a été le cerveau du "World & Peace Studies Foreign Relations", un groupe de réflexion américain sur la politique étrangère qu'il a fondé et financé et qui comprenait un groupe sélectionné de scientifiques américains qui ont élaboré des plans pour contrôler la politique mondiale. Afin de réaliser les plans (approuvés) de ce groupe de scientifiques, Rockefeller a utilisé le réseau secret "Prométhée" pour permettre une intervention politique et militaire à l'étranger.

Le succès de cette combinaison de groupes est apparu clairement lors de la crise pétrolière provoquée en 1973-1974, qui a généré plusieurs milliards de dollars pour la famille chaque année. Et ce n'était pas la première fois. Dès la fondation des Nations Unies, ils ont réussi à gagner beaucoup d'argent de manière détournée. Pour rendre possible la construction du siège de l'ONU, les Rockefeller ont fait don d'un terrain à Manhattan. Un geste grandiose qui leur a rapporté des milliards en raison de l'augmentation des prix de la propriété attenante qui appartenait également à la famille Rockefeller. C'est une autre méthode, vous donnez quelque chose et augmentez votre richesse et votre pouvoir. C'était une excellente combinaison de Standard Oil et de la banque Chase Manhattan.

Mais David Rockefeller avait plus de flèches à son arc et surtout en Amérique, il voulait encore plus de pouvoir au niveau du gouvernement. Pour cela, il voulait faire appel à son frère Nelson, mais il avait déjà essayé trois fois sans succès de remporter la nomination à la présidence du pays le plus puissant. La candidature n'a pas posé de problème avec l'argent des Rockefellers. Pour obtenir la nomination, il faut le vote des électeurs.
David Rockefeller a vu une autre possibilité. Un plan compliqué mais avec le résultat escompté.

C'est ainsi que ça s'est passé : Le seul moyen pour Nelson Rockefeller de devenir président des États-Unis était de passer par la porte arrière de la vice-présidence. On parle de 1974 autour de l'affaire du Watergate. Richard Nixon était président et Spiro Agnew est devenu la première cible en tant que vice-président en raison de fausses allégations de corruption et de pots-de-vin. Spiro Agnew a eu tellement de problèmes qu'il a accepté une offre financière de David Rockefeller et s'est retiré. Cela a ouvert la voie à Gerald Ford, le leader du parti républicain, très attaché à Rockefeller, et membre de la Chambre des représentants, pour prendre sa place en tant que vice-président de l'Amérique sans élection. La première bataille a été gagnée, celle de la présidence.

C'est là que se trouve la tâche du général Haig. Haig appartenait également aux intimes de Rockefeller et a été déployé lors de la deuxième attaque, la fuite dosée d'informations sur le Watergate.
Personne n'a été plus surpris que le président Nixon lui-même. Il était convaincu que Haig l'avait soutenu lors de l'attaque contre sa présidence, alors que c'est Haig qui a fourni les informations qui ont forcé "Tricky Dicky" à dégager le terrain. Le deuxième coup était gagné. Nixon a été automatiquement remplacé comme président par son vice-président Gerald Ford. Tout cela était nécessaire : le nouveau président des États-Unis, Gerald Ford, a nommé Nelson Rockefeller à la vice-présidence.

Le summum du pouvoir Rockefeller : prendre le gouvernement du pays le plus puissant du monde, sans guerre, même sans résistance. Faire nommer Gerald Ford comme président par un adepte du Rockefeller. Remettre son propre frère Nelson Rockefeller à la vice-présidence et nommer son plus fidèle employé Henry Kissinger au poste de ministre des affaires étrangères, même sans élection. David Rockefeller s'est présenté comme un brillant stratège. La voie était désormais ouverte pour les plans mondiaux de Rockefeller.


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